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comment, entre 1578, date de la proclamation de l’
édit
, et 1685, date de la révocation, la France passa de la plus grande li
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és. Après avoir fait un tableau de la France de l’
édit
, victorieuse dans la guerre de Trente Ans, l’orateur expose comment o
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urs, les jésuites ont déjà réussi à « tourner » l’
édit
par mille arguties juridiques. Et les statistiques faussées peuvent f
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à imaginer ce qu’il fut advenu de la France si l’
édit
avait été observé, s’il n’avait pas été révoqué, si Sully avait été é
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anuels, tous les conflits « déchirent », tous les
édits
« apaisent », si c’est l’État qui les a promulgués. On célèbre l’édit
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? 2. La doctrine qui préside à la révocation de l’
édit
est-elle vraiment une doctrine opposée à celle qui préside à sa promu
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c’est encore l’homme de l’Édit. À tout prendre, l’
édit
n’est qu’une réédition de la boutade, sur le plan de l’État. La paix
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préférer la possession de la capitale. De même, l’
édit
est injurieux pour les deux fois, qu’il subordonne au raffermissement
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vinistes ? Le libre exercice de leur culte. Or, l’
édit
, en donnant cent places fortes aux réformés, et certains privilèges t
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revendication des calvinistes. En apprenant que l’
édit
vient d’être proclamé, le pape s’écrie : « Cela me crucifie ! » Et le
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ire que les principes qui furent à l’origine de l’
édit
, clairement manifestés par son « application », sont bel et bien les
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vaient aboutir logiquement à la révocation de cet
édit
, au terme de l’évolution centralisatrice et unitaire qu’ils avaient j
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Rien n’étant résolu, sur le plan spirituel, par l’
édit
, mais les parties se trouvant liées bon gré mal gré au cadre de l’Éta
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t triompher. Cependant une difficulté subsiste. L’
édit
a été donné comme « perpétuel et irrévocable ». Il s’agira de tourner
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s’agira de tourner cet obstacle légal. En fait, l’
édit
a été appliqué de telle sorte qu’on a déjà ruiné les églises protesta
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tants en France ». Pourquoi maintenir dès lors un
édit
sans objet ? Ce délicat souci de légalité, si l’on ne peut aller jusq
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qu’ils n’ont pas pu obtenir un siècle plus tôt. L’
édit
fut révoqué, dit Saint-Simon, « sans le moindre prétexte et sans aucu
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de des intentions qui présidèrent à l’octroi de l’
édit
aussi bien qu’à sa révocation tant décriée. On se demande par quelle
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orel. (Nicée se place douze ans seulement après l’
édit
de Constantin, et beaucoup d’évêques qui dominent le concile portent
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ersion remaniée de L’Amour et l’Occident . (Nouv.
édit
. Plon. 1956). 13. Il faut avouer que les réfutations les plus virule
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orel. (Nicée se place douze ans seulement après l’
édit
de Constantin, et beaucoup des évêques qui dominent le concile porten
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. Moreri, Grand Dictionnaire Historique, première
édit
. Prias, 1674, 20e édit. 1759 en 10 vol. 39. R. Cagnat, Inscriptione
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naire Historique, première édit. Prias, 1674, 20e
édit
. 1759 en 10 vol. 39. R. Cagnat, Inscriptiones Græcæ ad res Romanas
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hristianisme vient d’être autorisé et appuyé d’un
édit
du roy, que par l’ambassade des Abyssins à Batavie en 1692. Le tsar e
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onnaissance officielle par l’empereur Constantin (
édit
de Milan en 313), ses tentatives d’expansion vers l’Orient ont été ar
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le royaume des Capétiens en 1539 seulement, par l’
édit
de Villers-Cotterêts, et Luther crée l’allemand littéraire à la même
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force, en fait et en droit. Il n’y aura jamais d’
édit
de Villers-Cotterêts dans une Europe fédérée. 68. Ernst Robert Cur
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ns le royaume des Valois en 1539 seulement, par l’
édit
de Villers-Cotterêts, et Luther crée l’allemand littéraire à la même
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mêmes aux régions de leur État. Il n’y aura pas d’
édit
de Villers-Cotterêts dans une Europe fédérée. 17. Pour un Petit Li
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nçais, imposé comme seule langue officielle par l’
édit
de Villers-Cotterêts donné par François 1er en 1539. Si la France ent
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chèque. Ces différences n’ont nullement empêché l’
édit
de Villers-Cotterêts, imposant à toutes les nations annexées par les
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posé comme seule langue officielle dès 1539 par l’
édit
de Villers-Cotterêts. Si la France entendait revendiquer la Wallonie,
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is, imposé comme seule langue officielle en 1539 (
édit
de Villers-Cotterêts). Si la France entendait revendiquer la Wallonie
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nçais, imposé comme seule langue officielle par l’
édit
de Villers-Cotterêts donné par François Ier en 1539. Si la France ent
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né Girard, dans La Violence et le Sacré (Grasset,
édit
.), formule avec une rigueur fascinante l’hypothèse de la violence fon
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73). 149. E. M. Schumacher, Small is beautiful,
édit
. de poche, Abacus Londres, 1973, p. 58-59. 150. Ibid., p. 62. 151.
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s de diversifications nationales : en 1539, par l’
édit
de Villers-Cotterêts, François Ier impose le français comme seule lan
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tion de l’Europe. 41. Source : Eurobaromètre (
édit
. par la Commission de la CEE, Bruxelles), n° 10, janvier 1979.
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e une autre langue que le français, en dépit de l’
édit
de Villers-Cotterêts : l’Alsace, les Flandres, la Bretagne, les régio
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ns d’autres termes. 11 février 1966 À partir de l’
édit
de Milan en 313, le facteur spirituel est devenu décisif pour la soci