1 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
1 t » — et avec autorité, parla d’autre chose. L’ éminence grise Son idée d’une Pologne indépendante me semble avoir préfigur
2 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
2 homologue belge Julius Hoste, Joseph Retinger, l’ éminence grise de tout le mouvement, et Georges Rebattet (le Colonel Cheval de
3 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
3 resse, depuis vingt ans, s’obstine à le traiter d’ éminence grise de nos lettres. Il était tout le contraire : un maître socratiq
4 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
4 r, anciens ministres ; Joseph Retinger, qui fut l’ éminence grise du congrès ; le sénateur hollandais Kerstens, qui présidait la
5 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
5 aux conseils de Joseph Retinger, le fondateur, l’ Éminence grise du congrès de La Haye puis du Mouvement européen. Du fond de sa
6 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
6 l, le Polonais Joseph Retinger, qui avait été « l’ éminence grise du congrès de La Haye ». 86. Mon ami Richard Heyd, directeur d