1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 te en décidant si… cette absence de haine ; cette épouvante , devant la guerre… proviennent de plus d’humanité ou de moins de sant
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
2 tous les bancs par certains de nos articles nous épouvante . Notre retraite est toute « statutaire » — si l’on ose dire. Elle nou
3 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
3 ute de sa réalité. Le mystère de voir ses yeux l’ épouvante . Il y cherche une révélation et n’y trouve que le désir d’une révélat
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 tyrannie », « conformisme brutal », tout cela qui épouvante les libéraux n’est en fait que l’ensemble des conditions pratiquement
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
5 yrannie », « conformisme brutal », tout cela, qui épouvante les libéraux, n’est en fait que l’ensemble des conditions pratiquemen
6 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
6 yrannie », « conformisme brutal », tout cela, qui épouvante les libéraux, n’est en fait que l’ensemble des conditions pratiquemen
7 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
7 oyaumes s’ébranlent L’Éternel a tonné, la terre s’ épouvante  ! (Nuit, éclairs, bruits d’armes.) (Le chœur continue à chanter sour
8 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
8 poléon : Lorsqu’une puissance trop prépondérante épouvante l’univers, on s’irrite de ne trouver aucun moyen pour l’arrêter ; on
9 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
9 oléon : « Lorsqu’une puissance trop prépondérante épouvante l’univers, on s’irrite de ne trouver aucun moyen pour l’arrêter ; on
10 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
10 poléon : Lorsqu’une puissance trop prépondérante épouvante l’univers, on s’irrite de ne trouver aucun moyen pour l’arrêter ; on
11 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
11 lu, sensible à celui seul qui l’éprouve jusqu’à l’ épouvante  : l’être que nous formons au sommet de l’amour, et qui meurt à l’inst
12 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
12 une part de nous-mêmes qui machine cette brusque épouvante , ramassant dans un geste, une forme, une atmosphère, tout ce que nous
13 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
13 n vous, dans la démarche des passants, et voilà l’ épouvante et l’horreur. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchem
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
14 n vous, dans la démarche des passants, et voilà l’ épouvante et l’horreur. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchem
15 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
15 oute de sa réalité. Le mystère de voir ses yeux l’ épouvante . Il y cherche une révélation et n’y trouve que le désir d’une révélat
16 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
16 lu, sensible à celui seul qui l’éprouve jusqu’à l’ épouvante  : l’être que nous formons au sommet de l’amour, et qui meurt dans l’i
17 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
17 ope, sans espoir, Crie, et baissant les yeux, s’ épouvante de voir L’Océan monstrueux qui baise ses pieds roses. Seul, Lecont
18 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
18 es, leur révélaient le plaisir dans l’acuité de l’ épouvante , et fuyaient au galop vers leur désert. Et c’est aussi le prêtre ou l
19 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
19 es, leur révélaient le plaisir dans l’acuité de l’ épouvante , et fuyaient au galop vers leur désert. Et c’est aussi le prêtre ou l
20 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
20 ie d’immoraliste. Or le jeune Gide, en pressent l’ épouvante , s’il vient à désirer une femme qu’il aime. Tout à la fin de sa vie,
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
21 urope, sans espoir, Crie, et baissant les yeux, s’ épouvante de voir L’Océan monstrueux qui baise ses pieds roses. Seul, Leconte
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
22 ssement de nos destinées. Frappée de stupeur et d’ épouvante , l’Europe nous a repoussés avec colère ; la page fatale de notre hist
23 1977, Articles divers (1974-1977). Demain le soleil (20 décembre 1977)
23 t à l’utilisation du nucléaire, ce mot qui sème l’ épouvante à tort ou à raison. Les parties de campagne casquées autour du site d