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onne que M. Duhamel n’ait joint à son recueil une
épître
au préfet de Police sur les Embarras de Paris. Sujet de pastiche faci
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veut se soustraire, Karl Barth se met à relire l’
Épître
aux Romains, la plus inquiétante sans doute, pour notre esprit critiq
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e peut manquer d’évoquer aussitôt la réponse de l’
Épître
aux Romains : « Tout l’univers s’adresse à l’homme dans un langage in
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ire face d’une part à l’Église de Rome et c’est l’
Épître
à Sadolet ; d’autre part, aux premières déviations de la doctrine sac
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aroque dans les Scandales, orné et pompeux dans l’
Épître
, sobre et grave dans le Traité de la Cène, ce style garde partout les
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le sujet. Mais de la réponse de Calvin, de cette
Épître
à Sadolet dont chaque phrase est tendue comme un arc par la passion d
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le sujet. Mais de la réponse de Calvin, de cette
Épître
à Sadolet dont chaque phrase est tendue comme un arc par la passion d
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stement que traite saint Paul au chapitre XI de l’
Épître
aux Romains. Et sans doute ce texte illumine aussi profondément qu’il
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de ce dernier verset, dans son Commentaire sur l’
Épître
aux Romains. Et Calvin dit du même verset que c’est « une fort belle
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e jour du Seigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’
Épître
aux Hébreux (chap. II) insistent fortement sur cette unicité de la Ré
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Un amoureux peu lettré qui écrit à sa fiancée des
épîtres
copiées dans un manuel : croit-on que ces formules toutes faites ne t
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Un amoureux peu lettré qui écrit à sa fiancée des
épîtres
copiées dans un manuel : croit-on que ces formules toutes faites ne t
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Un amoureux peu lettré qui écrit à sa fiancée des
épîtres
copiées dans un manuel : croit-on que ces formules toutes faites ne t
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nnaissaient jamais de querelles de familles ! Les
épîtres
de Paul suffiraient à dissiper cette illusion. Il n’en reste pas moin
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ait choisi d’ouvrir au chapitre 13 de la première
Épître
aux Corinthiens : « Et maintenant ces trois choses demeurent : la Foi
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victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’
Épître
de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’archange Michel,
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victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’
Épître
de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’archange Michel,
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victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’
Épître
de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’archange Michel,
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: ce point de départ du Procès se trouve dans les
épîtres
de saint Paul56. Quel est alors le Juge impitoyable ? C’est le Dieu q
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Procès. 56. Voir Romains III, 10-20, et aussi l’
Épître
aux Galates. 57. Peut-être cette image fera-t-elle pressentir la cau
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art, je n’en vois pas de meilleur que la première
Épître
aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’union, précisément, que P
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ait choisi d’ouvrir au chapitre 13 de la première
Épître
aux Corinthiens : « Et maintenant ces trois choses demeurent : la Foi
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tourmentée, cette insistance des évangiles et des
épîtres
sur la réalité mortelle de la chair, et sur toutes ses contradictions
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une fois pour toutes » qui sert de leitmotiv à l’
Épître
« aux Hébreux » précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux
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ion, comme l’affirment avec force saint Paul et l’
Épître
aux Hébreux, s’est opérée « une fois pour toutes ». Ce centre du Cred
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dvaita : il s’agit d’influences chrétiennes. 17.
Épître
aux Philippiens, 2, 12-13. La doctrine de la prédestination accuse en
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une fois pour toutes » qui sert de leitmotiv à l’
Épître
« aux Hébreux » précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux
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tourmentée, cette insistance des évangiles et des
épîtres
sur la réalité mortelle de la chair, et sur toutes ses contradictions
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orientale est inclusive. L’unité invoquée par les
épîtres
pauliniennes était synonyme de l’Amour, de l’absence de partis hostil
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ativement. Elle se fonde sur quelques versets des
épîtres
et des évangiles qui dans l’ensemble définissent une éthique cohérent
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ancien que les évangiles : il se déclare dès les
épîtres
de saint Paul. Et s’il est remarquable que les évangiles, rédigés peu
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ativement. Elle se fonde sur quelques versets des
épîtres
et des évangiles7 qui dans l’ensemble définissent une éthique cohéren
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(Jean, XIII, 1). Enfin, ce passage capital de l’
Épître
de Jean I, 4, 7-21 : Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car
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térique qui nous échappe. Une bonne moitié de ses
épîtres
consiste en imprécations contre les « impudiques » et contre les « fa
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i qui vient de lire les évangiles et qui aborde l’
Épître
aux Romains se sent tomber de la prière dans l’éloquence polémique, d
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es de sa première Institution, puis en français l’
épître
liminaire au roi de France. Il a vingt-cinq ans. Il vient d’élaborer
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la Michel-Ange ou parfois même à la Gréco — de l’
Épître
à François Ier, opposons le mouvement pressant et familier des Sermon
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ques et doxologiques que nos liturgies tirent des
épîtres
ont été tirées elles-mêmes par les rédacteurs des épîtres des premièr
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ont été tirées elles-mêmes par les rédacteurs des
épîtres
des premières liturgies de l’Église. C’est du moins la thèse soutenue
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stement que traite saint Paul au chapitre XI de l’
Épître
aux Romains. Et sans doute ce texte illumine aussi profondément qu’il
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de ce dernier verset, dans son Commentaire sur l’
Épître
aux Romains. Et Calvin dit du même verset que c’est « une fort belle
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e jour du Seigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’
Épître
aux Hébreux (chap. II) insistent fortement sur cette unicité de la Ré
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art, je n’en vois pas de meilleur que la première
Épître
aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’union, précisément, que P
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combatif, Karl Barth publie un commentaire sur l’
Épître
aux Romains qui produit dans les milieux théologiques de langue allem
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combatif, Karl Barth publie un commentaire sur l’
Épître
aux Romains qui produit dans les milieux théologiques de langue allem
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(tragédie, comédie, essai, ode, discours, traité,
épître
, etc.) et enfin toutes les figures de la rhétorique. (De même qu’en p
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(tragédie, comédie, essai, ode, discours, traité,
épître
, etc.) ; et enfin toutes les figures de la rhétorique. (De même qu’en
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aient été rédigés, ne cesse de dénoncer dans ses
épîtres
le sacré tant juif que païen (hellénistico-romain surtout), qu’il ran
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« tout m’est permis, mais tout n’est pas utile » (
Épître
aux Romains) relative à l’ensemble des interdits et des tabous, au pr
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ment, dans ses quatre parties — évangiles, Actes,
épîtres
, Apocalypse — annonce l’avenir global tant du Monde que de l’homme. E
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été donnée par saint Paul, au chapitre VIII de l’
Épître
aux Romains (que je vais lire dans la traduction de Calvin, pour le p
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art, je n’en vois pas de meilleur que la première
Épître
aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’union, précisément, que P
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assurance de celles qu’on ne voit pas », selon l’
Épître
aux Hébreux. L’avenir du personnalisme ? Eh bien, j’ose dire qu’il se