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’il part dans l’idéologie, la critique d’art ou l’
érotisme
(effréné comme du mauvais Zola), l’intérêt humain faiblit, la critiqu
2
isque bien de commettre, à l’endroit de ce nouvel
érotisme
, la même erreur que la critique française à l’endroit de la gauloiser
3
ns pour le roman, et pour le film né du roman ; l’
érotisme
idéalisé diffus dans toute notre culture, dans notre éducation, dans
4
reud pour constater que l’instinct de guerre et l’
érotisme
sont fondamentalement liés : les figures courantes du langage le font
5
ut point et contenait, en outre, une forte dose d’
érotisme
. Partout et toujours, le sport a associé ces deux facteurs : dramatiq
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ns pour le roman, et pour le film né du roman ; l’
érotisme
idéalisé diffus dans toute notre culture, dans notre éducation, dans
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reud pour constater que l’instinct de guerre et l’
érotisme
sont fondamentalement liés : les figures courantes du langage le font
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ut point et contenait, en outre, une forte dose d’
érotisme
. Partout et toujours, le sport a associé ces deux facteurs : dramatiq
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ns pour le roman, et pour le film né du roman ; l’
érotisme
idéalisé diffus dans toute notre culture, dans notre éducation, dans
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reud pour constater que l’instinct de guerre et l’
érotisme
sont fondamentalement liés : les figures courantes du langage le font
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ut point et contenait, en outre, une forte dose d’
érotisme
. Partout et toujours, le sport a associé ces deux facteurs : dramatiq
12
e Freud, parle beaucoup d’instinct, de passion, d’
érotisme
et d’amour « matériel » ou « tact », mais jamais de « sexualité » ou
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de charité dans une atmosphère exténuante, hâte,
érotisme
, énervement. Paris soudain considéré comme la situation spirituelle l
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de charité dans une atmosphère exténuante, hâte,
érotisme
, énervement. Paris soudain considéré comme la situation spirituelle l
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de charité dans une atmosphère exténuante, hâte,
érotisme
, énervement. Paris soudain considéré comme la situation spirituelle l
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de charité dans une atmosphère exténuante, hâte,
érotisme
, énervement. Paris soudain considéré comme la situation spirituelle l
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atement vers les voyages, le sport, les jeux et l’
érotisme
. L’expérience des vacances payées nous l’a fait voir à une échelle ré
18
oposant des recettes de bonheur, de télépathie, d’
érotisme
, de paix de l’âme ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga « scie
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tement vers les voyages, le sport, les jeux, et l’
érotisme
. L’expérience des vacances payées nous l’a fait voir à une échelle ré
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oposant des recettes de bonheur, de télépathie, d’
érotisme
, de paix de l’âme ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga « scie
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tement vers les voyages, le sport, les jeux, et l’
érotisme
. L’expérience des vacances payées nous l’a fait voir à une échelle ré
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oposant des recettes de bonheur, de télépathie, d’
érotisme
, de paix de l’âme ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga « scie
23
e. Comment nous expliquer ce fait ? Et pourquoi l’
érotisme
est-il devenu synonyme de perversité non seulement dans le jargon des
24
ra », des « tantras », de tant d’autres traités d’
érotisme
dans les Vedas et les upanishads, reliant le sexuel au divin ; encore
25
our cultiver et ordonner à des buts spirituels, l’
érotisme
même dans les limites du mariage. C’est que les théologiens redoutaie
26
ianisme. C’est pourquoi le phénomène que je nomme
érotisme
, englobant le mariage d’amour, la passion mystique de Tristan et la l
27
iveté mère des vices — les chances pratiques de l’
érotisme
. Déplorer le phénomène est donc vain. Il s’agit de comprendre ses cau
28
rd, il s’agit de lui donner son vrai nom. C’est l’
érotisme
qui travaille les sociétés occidentales, de l’ouest à l’est, non pas
29
, instinctive et procréatrice. Et les moyens de l’
érotisme
sont la littérature, les « salles obscures », les arts plastiques (do
30
er sur l’écran. Ce n’est donc pas le sexe, mais l’
érotisme
, ni la sensualité, mais son aveu public, sa projection devant nous qu
31
tres et les « Lois d’Amour », bref, le lyrisme, l’
érotisme
et la mystique déchaînés sur l’Europe entière, et parlant une même la
32
tuel. Il n’y aurait pas non plus le problème de l’
érotisme
! Les auteurs érotiques l’oublient très naïvement, tout à leur passio
33
mie la société et la culture. En revanche, sans l’
érotisme
et les libertés qu’il suppose, notre culture vaudrait-elle mieux que
34
c soin de l’induire à l’amour de lui-même.74 » L’
érotisme
sensuel est l’autre extrême où se porte l’âme irritée mais non pas co
35
usqu’à nos jours, en Asie. Prenons l’exemple de l’
érotisme
. Le shivaïsme explique le cosmos tout entier en termes de sexualité :
36
es expressions. La passion et l’amour mystique, l’
érotisme
et l’amour du prochain, sont des problèmes occidentaux, posés à tous
37
comme principe et comme catégorie spirituelle. L’
érotisme
, « synthèse psycho-sensible » et déterminée par l’esprit, exige désor
38
rement à l’œuvre plastique, peinte ou sculptée. L’
érotisme
, exclu par l’esprit, trouvera donc son « médium absolu » non pas dans
39
cteur, du moins s’il l’a vraiment séduite ».97 L’
érotisme
de Don Juan s’oppose à l’Éros antique, qui était psychique et non sen
40
possibilités ou puissances rivales en l’homme : l’
érotisme
sexuel et l’amour. Or, ni la passion érotique d’un Byron ou d’un Napo
41
ci, ne sont à parler proprement, des instincts. L’
érotisme
commence précisément avec l’usage non instinctif du sexe (j’entends l
42
t est l’intelligence de Don Juan ; Don Juan est l’
érotisme
de Faust… Le romantisme conciliera que Don Juan et Faust cherchent to
43
t cependant, dès qu’elle accède à la liberté de l’
érotisme
(qui transcende la fonction naturelle et vitale) elle devient justici
44
iter reste un peu court. Il n’accédera jamais à l’
érotisme
, qui est dépassement de l’instinct et des faims animales. Il n’intére
45
, pour déceler une certaine faiblesse intime de l’
érotisme
donjuanesque, même dans ses manifestations les plus altières et les p
46
e. Comment nous expliquer ce fait ? Et pourquoi l’
érotisme
est-il devenu synonyme de perversité non seulement dans le jargon des
47
amasutra, des tantras, de tant d’autres traités d’
érotisme
dans les Vedas et les upanishads, reliant le sexuel au divin ; encore
48
ur cultiver et ordonner, à des buts spirituels, l’
érotisme
, même dans les limites du mariage. C’est que les théologiens redoutai
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ianisme. C’est pourquoi le phénomène que je nomme
érotisme
, englobant le mariage d’amour, la passion mystique de Tristan et la l
51
ennent leur nom de la Romania des troubadours), l’
érotisme
n’accède au niveau de la conscience occidentale qu’au début du xixe
52
des gnostiques ? C’est en tout cas le milieu où l’
érotisme
, qui est dépassement lyrique ou réflexif du sexuel biologique, va pou
53
e christianisme a suscité le problème sexuel et l’
érotisme
.) Kierkegaard ne se contente pas de substituer cette bipolarité à la
54
ple dualité des classiques. Il définit en effet l’
érotisme
(en termes étonnamment modernes) comme « une synthèse psycho-sensible
55
dernes) comme « une synthèse psycho-sensible ». L’
érotisme
est donc tout autre chose qu’un euphémisme désignant les aspects sexu
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négative et la décision positive du spirituel, l’
érotisme
kierkegaardien noue sa problématique absolument nouvelle, « psycho-se
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iveté mère des vices — les chances pratiques de l’
érotisme
. Déplorer le phénomène est donc vain. Il s’agit de comprendre ses cau
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rd, il s’agit de lui donner son vrai nom. C’est l’
érotisme
qui travaille les sociétés occidentales, de l’ouest à l’est, et non p
60
, instinctive et procréatrice. Et les moyens de l’
érotisme
sont la littérature, les « salles obscures », les arts plastiques (do
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er sur l’écran. Ce n’est donc pas le sexe, mais l’
érotisme
, ni la sensualité, mais son aveu public, sa projection devant nous, q
62
oètes et philosophes que l’on dit « obsédés par l’
érotisme
», loin d’être les fauteurs du phénomène dont j’ai rappelé plus haut
63
hnique » provoquerait-elle ce « déchaînement de l’
érotisme
» qui tendrait à neutraliser ses effets déshumanisants ? On peut l’im
64
agie des charlatans, voilà la boue. La vague de l’
érotisme
vient ensuite, encore trouble et tumultueuse. Si les digues ont sauté
65
tres et les « Lois d’Amour », bref, le lyrisme, l’
érotisme
et la mystique déchaînés sur l’Europe entière, et parlant une même la
66
ssairement dépréciatives. En revanche, le terme d’
érotisme
ne définit pour moi ni le bien ni le mal, mais un phénomène passionna
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tuel. Il n’y aurait pas non plus le problème de l’
érotisme
! Les auteurs érotiques l’oublient très naïvement, tout à leur passio
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ie, la société et la culture. En revanche, sans l’
érotisme
et les libertés qu’il suppose, notre culture vaudrait-elle mieux que
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d’un raisonnement dont je rappelle le schéma : l’
érotisme
commence où l’émotion sexuelle devient, au-delà de sa fin procréatric
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ange de plus est enfermé dans un corps vil ; — l’
érotisme
, véritable invention du xiie siècle, a donc toutes chances de corres
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comme principe et comme catégorie spirituelle. L’
érotisme
, « synthèse psycho-sensible » et déterminée par l’esprit, exige désor
72
rement à l’œuvre plastique, peinte ou sculptée. L’
érotisme
, exclu par l’esprit, trouvera donc son « médium absolu », non pas dan
73
cteur, du moins s’il l’a vraiment séduite.26 » L’
érotisme
de Don Juan s’oppose à l’Éros antique, qui était psychique et non sen
74
possibilités ou puissances rivales en l’homme : l’
érotisme
sexuel et l’amour. Or, ni la passion érotique d’un Byron ou d’un Napo
75
i, ne sont, à parler proprement, des instincts. L’
érotisme
commence précisément avec l’usage non instinctif du sexe (j’entends l
76
ter, reste un peu court. Il n’accédera jamais à l’
érotisme
, qui est dépassement de l’instinct et des faims animales. Il n’intére
77
, pour déceler une certaine faiblesse intime de l’
érotisme
donjuanesque, même dans ses manifestations les plus altières et les p
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t est l’intelligence de Don Juan ; Don Juan est l’
érotisme
de Faust… Le romantisme conclura que Don Juan et Faust cherchent tous
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soin de l’induire à l’amour de lui-même108 ». L’
érotisme
sensuel est l’autre extrême où se porte l’âme irritée mais non pas co
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usqu’à nos jours, en Asie. Prenons l’exemple de l’
érotisme
. Le shivaïsme explique le cosmos tout entier en termes de sexualité :
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es expressions. La passion et l’amour mystique, l’
érotisme
et l’amour du prochain, sont des problèmes occidentaux, posés à tous
82
t cependant, dès qu’elle accède à la liberté de l’
érotisme
(qui transcende la fonction naturelle et vitale) elle devient justici
83
ur sexualité et qui ne voient qu’ignominie dans l’
érotisme
, expulsent de leur propre personne (et de celle d’autrui s’ils le peu
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riche ne peut pas y entrer. Celui qui s’occupe d’
érotisme
et celui qui s’occupe d’économie seraient donc sur le même plan, s’ag
85
multipliez » Vu sous l’aspect physiologique, l’
érotisme
est l’usage de la sexualité pour d’autres fins que la procréation. Le
86
ur courtois. La forme tantrique ou courtoise de l’
érotisme
peut être interprétée de deux manières, soit qu’on la considère comme
87
ement différent, quand elle devient un moyen de l’
érotisme
, un moyen de maîtriser l’instinct pour l’ordonner à certaines fins pl
88
C’est dans la cortezia que je vois l’origine de l’
érotisme
occidental, et des problèmes qu’il ne cesse de poser et de reposer da
89
(3 octobre 1962)k Le prestige généralisé de l’
érotisme
est indubitable dans l’Occident contemporain. Il est attesté par le c
90
ons inverses de celles qu’on tirerait de Sagan. L’
érotisme
traduit certainement une décadence de l’amour idéalisé, tel que le co
91
et de réduire « l’Amour » à ce cliché d’époque. L’
érotisme
peut traduire un refus d’aimer, ou, au contraire, une prise de consci
92
contemporains sont censés adopter vis-à-vis de l’
érotisme
m’indiffèrent, et j’ai même quelque répugnance à y songer. k. « Un
93
. 18. Il s’agit d’une réponse à une enquête sur l’
érotisme
, introduite par ces mots : « Denis de Rougemont ( L’Amour et l’Occide
96
nos manières de parler des choses du sexe et de l’
érotisme
ont entièrement changé en un demi-siècle. En 1906, Freud croit devoir
97
unes, combien savent distinguer la sexualité de l’
érotisme
et la passion de l’amour vrai ? Cette turbulence de défis parfois sad
98
crivain peut commencer à parler quand il s’agit d’
érotisme
, il devient éloquent quand il s’agit de passion (tout le romantisme d
99
’instinct ordonné à l’espèce, à la procréation. L’
érotisme
est le plaisir pris pour fin, non comme moyen de l’acte procréateur.
100
’est pas la passion, on le sait de reste. C’est l’
érotisme
, c’est-à-dire l’usage non biologique de la sexualité au service du pl
101
ant d’égards. Or, tout cela joue au bénéfice de l’
érotisme
, auquel la sexualité tend à se subordonner, comme la nature à la cult
102
espèce à ce qu’est l’âge mûr pour l’individu. « L’
érotisme
, c’est l’affaire des vieux », disent beaucoup de jeunes autour de moi
103
pour les raisons que j’ai dites, et le seuil de l’
érotisme
va s’abaisser d’autant. Je vois venir le temps du changement des prob
104
rêve qui n’est plus le sien. Va-t-il découvrir l’
érotisme
par le biais d’un problème sexuel très nouveau, né de la dégradation
105
trentaine d’années. Les aspects littéraires de l’
érotisme
sont à peu près les seuls qui aient retenu l’attention du public fran
106
logiques et biologiques sur les relations entre l’
érotisme
et la démographie qu’il faudrait entreprendre désormais, en même temp
107
our un psychiatre américain, une « théologie de l’
érotisme
». Car l’érotisme dépend, en fin de compte, du religieux au moins aut
108
américain, une « théologie de l’érotisme ». Car l’
érotisme
dépend, en fin de compte, du religieux au moins autant que du sexuel.
109
ogie », réponse à l’enquête « Le déferlement de l’
érotisme
», Arts, Paris, n° 1004, 5-11 mai 1965, p. 2. Précédé de la note suiv
110
ues (personnalité double, intermittences du cœur,
érotisme
, dissolution de la personne) au xxe siècle. d) Les écoles. — Le ter
111
l’Évangile ne connaît pas de tabous, et que tout
érotisme
suppose un système de règles sociales : sans gênes, il n’est pas de p
112
dans le christianisme, qu’est né le problème de l’
érotisme
en Occident. Et c’est la gnose qui lui a donné sa forme au xiie sièc
113
s sur l’amour sexuel et divin, constitutives de l’
érotisme
littéraire, sont le fait des gnostiques et non des scolastiques, des
114
ont marqué un style de l’amour. Si l’on définit l’
érotisme
comme l’usage non procréateur de la sexualité, au service du plaisir
115
sexe. Et il a montré les relations profondes de l’
érotisme
avec le rêve — ce rêve dont l’épanchement dans notre vie consciente e
116
les enragés l’abolition du complexe d’Œdipe. Et l’
érotisme
, qui était en somme une forme littéraire de la sexualité, tend à rele
117
L’excitation de la nouveauté, ressort secret de l’
érotisme
, a bien plus de chances aujourd’hui de se faire sentir dans les média
119
gothiques, les troubadours avec leurs poèmes d’un
érotisme
raffiné, les romanciers du cycle de la Table ronde, modèles de l’aven
120
gothiques, les troubadours avec leurs poèmes d’un
érotisme
raffiné, les romanciers du cycle de la Table ronde, modèles de l’aven
121
ues (personnalité double, intermittences du cœur,
érotisme
, dissolution de la personne) au xxe siècle. d) Les écoles. — Le term
122
la relation entre la mère et le fils. L’amour, l’
érotisme
et la sexualité ont créé en Europe une problématique à peu près uniqu
123
l’Occident . Eux aussi cherchent un lien entre l’
érotisme
, l’amour-passion et une éthique. En 1969, j’ai fait sur ce sujet une
124
ble des relations amoureuses. Ne reste-t-il pas l’
érotisme
? Même pas. C’est une évidence. L’érotisme est l’usage culturel, non
125
pas l’érotisme ? Même pas. C’est une évidence. L’
érotisme
est l’usage culturel, non procréateur, de l’instinct sexuel. Faites s
126
de l’amour et de la haine, de la chasteté et de l’
érotisme
, du désir et de l’angoisse, de l’attraction et de la répulsion, de l’
127
plutôt du mariage, de la morale du couple ou de l’
érotisme
! Pourquoi donc, en effet, revenir sur tout cela ? Il y a bien des ra
128
s sans effet (même la scène du bain, si chargée d’
érotisme
: voir plus haut page 29). Et non seulement le philtre intervient de
129
dix lecteurs soucieux de William Reich. Quant à l’
érotisme
, que je définis comme « l’usage non procréateur du sexe » — j’y vois
130
tables, les femelles en tout temps accessibles. L’
érotisme
, deuxième niveau, est l’usage non procréateur, non fonctionnel de la
131
de la passion, laquelle est la transposition de l’
érotisme
en religion de l’amour ressenti, en exaltation nostalgique ou jubilan
132
u prochain dans le même rapport dialectique que l’
érotisme
l’est à l’instinct sexuel. L’Éros grec Le vocabulaire de la Grè
133
’apparaissent en Europe des expressions telles qu’
érotisme
, sexualité, problème sexuel, dans les œuvres de Charles Fourier et de
134
Georges Bataille dans ses ouvrages sur Éros et l’
érotisme
, si fort en vogue dans l’avant-garde intellectuelle des années 1970.
135
que de l’Éros. « Le christianisme, s’opposant à l’
érotisme
, a condamné la plupart des religions », écrit-il avec une lucidité to
136
te son œuvre illustre les liens nécessaires entre
érotisme
et religion, désir et angoisse, transgression et volupté, finalement
137
’agit plus d’échapper au péché, mais d’intégrer l’
érotisme
à la vie sans qu’il perde cette force qu’il devait au péché ; de lui
138
tinct sexuel que le refouler. Cette invasion de l’
érotisme
dans la rue, dans les mœurs, dans le langage, dans les livres, ne sig
139
e des puissances irrationnelles et affectives : l’
érotisme
généralisé, le budget privé de la magie qui, en France, dépasse le bu
140
maîtriser les deux pulsions contradictoires de l’
érotisme
et de la passion. Et ce sera la fonction retrouvée et renouvelée de l
141
sensibilité aux formes et aux sons, dépressions,
érotisme
énervé, délinquance et violence éclatant dans la rue comme un long cr
142
e les notions d’Éros, d’Agapè 27, de sexualité, d’
érotisme
, de passion… Certaines époques ont vu naître un sens neuf, mais dans
143
i ordonne l’individu aux finalités de l’espèce. L’
érotisme
est le plaisir sexuel pris pour fin en soi, non comme moyen de l’acte
144
s que l’algèbre et la sensation. (Paul Valéry) L’
érotisme
« déchaîné », dans le même temps, fut la fièvre, non l’antidote. Fièv
145
à l’amour sexuellement interdit. Restent, pour l’
érotisme
, les garçons. Revenons à votre préoccupation majeure : croyez-vous à