1
cédémonisme renouvelé que nous conduirait cette «
éthique
du sport » tempérée de raison. Ce qu’on en peut retenir, c’est la mét
2
s comme chez ceux de Gide, qu’il faut préciser. L’
éthique
et l’esthétique convergent dans la littérature d’aujourd’hui, et plus
3
à chercher dans le seul moi les fondements d’une
éthique
. Presque tous sont hantés par la peur d’une morale qui « déforme », q
4
s premières contributions à l’établissement d’une
éthique
adaptée aux besoins modernes. w. « Ramon Fernandez : Messages (NRF,
5
agne lamentablement réalisés les témoignages de l’
éthique
de cet « illustre réfractaire ». N’est-ce point trop demander à une e
6
s partout ailleurs divergents : « Barrès dans son
éthique
, Maurras dans son esthétique, les Surréalistes dans leur métaphysique
7
ère nous font entendre l’accord fondamental d’une
éthique
des fantômes, dont la poésie moderne n’est peut-être que la psycholog
8
. Du Bos ne cesse de la soumettre à des contrôles
éthiques
autant qu’esthétiques, il lui rend l’humilité et la dignité qui tout
9
précisément dans son refus de sacrifier jamais l’
éthique
à l’esthétique, et dans ce sens chez tant d’autres émoussé, et qu’il
10
oir être soi. Ayant ainsi esquissé ses positions
éthiques
, l’auteur part pour Aden. Quel n’est pas son étonnement de découvrir
11
, lyriques (les Anglais). Ici, elles imposent une
éthique
. Là, elles prêtaient le romantisme de leur décor ; ici, par l’effort
12
classicisme héroïque qu’elles inspirent. Ce thème
éthique
et philosophique paraît bien être le plus fécond et le plus adéquat à
13
surmontée. Pour moi je tiens que le seul problème
éthique
est de se réaliser comme unité. Non point parce qu’une morale stoïcie
14
ants. Car un système politique, une doctrine, une
éthique
, s’ils s’abandonnent de tout leur poids à quelque erreur interne, ne
15
t en demeure d’abandonner tout ce qui, dans notre
éthique
, s’inspire d’un conformisme bourgeois plutôt que de l’héroïsme chréti
16
gement sur tous les plans, financier, commercial,
éthique
et spirituel. Que les échanges se ralentissent ou cessent : aussitôt
17
ose la pensée et l’action jusque sur le plan de l’
éthique
. Or, un homme qui professe cette distinction — essentiellement modern
18
urs générations2 cultivèrent ce défaut d’exigence
éthique
comme la garantie d’une certaine douceur de vivre. Penser devint l’ar
19
pages, celui que l’on voudrait nommer l’a priori
éthique
. Kierkegaard, après avoir formulé la « monstrueuse contradiction » mo
20
soudain : « Cela ne viendrait-il pas de ce que l’
Éthique
possède en soi une certitude ? Il existerait alors une chose au moins
21
ute ne pourrait atteindre. » Mais qu’est-ce que l’
Éthique
? — Question non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du t
22
. » Mais qu’est-ce que l’Éthique ? — Question non
éthique
, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’Éthique ne comm
23
qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’
Éthique
ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir, mai
24
vent se situer à égale distance de la réalisation
éthique
, et se confondre dans la même insignifiance, quoique de signes contra
25
ceux dont l’œuvre détermine en nous une réaction
éthique
, c’est-à-dire une réalisation. On veut faire voir par ces exemples qu
26
et avec plus de conséquence6. C’est le drame de l’
éthique
individuelle, — une affaire d’amour, une affaire de la solitude. Une
27
ituel. C’est le refus de la magie qui fonde notre
éthique
, et ce dilemme est peut-être le plus important qui se pose à l’esprit
28
existence, de l’au-delà mystique et de l’immédiat
éthique
. Et quels sont les plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le
29
nt se traduire dans la similitude des conclusions
éthiques
et dans la divergence des réalisations littéraires. « Bon esprit, pre
30
us refusons le nom de chrétien à cet homme dont l’
éthique
, en définitive, apparaît comme fondée sur deux des réalités centrales
31
ce que vous faites. » Alors que la formule d’une
éthique
bourgeoise est au contraire : « Faites comme tout-le-monde, et pensez
32
e avant tout de réalisation personnelle, d’action
éthique
. Il n’a pas échappé à M. Benda que « le clerc moderne » (en tant qu’i
33
incipes suprêmes (c’est-à-dire fondamentaux) de l’
éthique
, devant huit officiers corrects qui n’ont jamais rien entendu de pare
34
ause sacrée de la paix ». Anti-personnalisme de l’
éthique
bourgeoise. 3° Les actes politiques déduits par accident des principe
35
d’un snobisme inattendu, la mode des discussions
éthiques
, d’ailleurs purement intellectuelles la plupart du temps, et le goût
36
euses. Friedrich Gogarten en particulier dans son
Éthique
politique pose tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un
37
e force que celle de la foi. Ce peut être sur une
éthique
de puissance et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur u
38
e éthique de puissance et de service ; ou sur une
éthique
de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurit
39
tenant cette phrase capitale de Kierkegaard : « L’
Éthique
ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir, mai
40
éter. Ils n’ont pas davantage reçu une révélation
éthique
, un étalon universel fournissant la mesure exacte du bien et du mal e
41
orce d’où provient l’ordre véritable. La décision
éthique
est toujours choix : on ne peut choisir pour un autre. Mais on peut,
42
nception générale de vie — politique, économique,
éthique
— fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces hu
43
olu. C’est ici que nous entrons dans l’ordre de l’
éthique
quotidienne. L’humaniste va chercher une solution humaine qui lui per
44
solues n’est qu’un attentat métaphysique contre l’
éthique
». Il s’agit donc ici d’une dialectique à deux termes simultanés, et
45
’il y ait au contraire un principe de dégradation
éthique
dans toute recherche de la synthèse et plus sûrement dans la croyance
46
qu’il permet ? Et le rendement créateur de cette
éthique
de la personne, par quoi, au bout du temps, se trouve-t-il à son tour
47
le de ces affirmations et de ces négations, cette
éthique
et cette actualité, ce refus de toutes les synthèses et ce principe d
48
risque et d’acte, ces mots désignent des réalités
éthiques
qui n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le choix dont parl
49
nt-Évremond de trop près dans les méandres de son
éthique
. Certes, il en fait valoir ainsi toutes les nuances, avec un art égal
50
z Proust, Blake et Keats, il devait aboutir à une
éthique
politique. Cette trajectoire très singulière parcourt les domaines le
51
faudra reconnaître dans le personnalisme la seule
éthique
actuellement libératrice. N’est-ce pas d’ailleurs l’éthique que la je
52
tuellement libératrice. N’est-ce pas d’ailleurs l’
éthique
que la jeune France se voit à peu près seule à défendre dans l’Europe
53
je dirai plus : quelques-uns des fondements d’une
éthique
de l’être qu’il est urgent que les chrétiens opposent à la « morale d
54
que in actu), mais bien dans le sens d’une norme
éthique
, que le péché seul rend inopérante ; la bonté, par exemple, n’est rie
55
e force que celle de la foi. Ce peut être sur une
éthique
de puissance et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur u
56
e éthique de puissance et de service ; ou sur une
éthique
de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurit
57
ption générale de la vie — politique, économique,
éthique
— fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces hu
58
olu. C’est ici que nous entrons dans l’ordre de l’
éthique
quotidienne. L’humaniste cherchera une solution humaine qui lui perme
59
il comparatif. Le choix, la décision, sur le plan
éthique
, est toujours à l’origine. Il est immédiat. Il est sans raison. Il es
60
et les expressions communistes, tant sur le plan
éthique
que sur le plan métaphysique. 1° Le christianisme est d’abord risq
61
ion — fondement de l’esprit bourgeois sur le plan
éthique
et culturel, fondement sur le plan politique, des partis, considérés
62
e force que celle de la foi. Ce peut être sur une
éthique
de puissance et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur u
63
e éthique de puissance et de service ; ou sur une
éthique
de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurit
64
ption générale de la vie — politique, économique,
éthique
— fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces hu
65
olu. C’est ici que nous entrons dans l’ordre de l’
éthique
quotidienne. L’humaniste cherchera une solution humaine qui lui perme
66
il comparatif. Le choix, la décision, sur le plan
éthique
, est toujours à l’origine. Il est immédiat. Il est sans raison. Il es
67
et les expressions communistes, tant sur le plan
éthique
que sur le plan métaphysique. 1° Le christianisme est d’abord risque
68
l au-dessus du général ? Serait-il affranchi de l’
éthique
? Mais alors, comment donc comprendrait-il son acte ? Vingt fois, Kie
69
t, de l’apport des poètes à la philosophie et à l’
éthique
. Les études de E. Weil sur l’histoire, de M. Souriau sur la mystique
70
rt, à l’illusion du praticisme, d’autre part, à l’
éthique
bourgeoise. « Descartes descendu dans la rue »30 vient consacrer l’ut
71
sables choses que nous dépensons notre argent ? L’
Éthique
de Spinoza coûte moins cher qu’une petite 5 chevaux. Quant au salut,
72
cune espèce de vérité pratiquement contraignante,
éthique
(analogue à la vérité contraignante de la foi), l’affirmation et la p
73
reconnaissons l’un et l’autre la nécessité d’une
éthique
héroïque. Seulement, nous avons deux conceptions radicalement opposée
74
its économiques de notre point de vue culturel. L’
éthique
générale des bourgeois, qui les a portés au pouvoir, considérait le t
75
tatation des plus graves : c’est qu’il y a dans l’
éthique
bourgeoise une espèce de fatalité qui la fait se retourner contre ell
76
que du maître et du serviteur — de Man oppose des
éthiques
, des styles de vie, des conceptions d’ordre moral. C’est ici qu’une q
77
ion plus profonde me paraît devoir être posée : l’
éthique
des maîtres oisifs est-elle vraiment la négation de l’éthique des tra
78
maîtres oisifs est-elle vraiment la négation de l’
éthique
des travailleurs, qui les a enrichis ? Serait-il absurde de soutenir
79
-il absurde de soutenir que c’est au fond la même
éthique
qui fait la force du bourgeois-travailleur et la faiblesse du bourgeo
80
urrait-on pas en déduire que l’erreur d’une telle
éthique
est commune aux uns et aux autres, aux patrons et aux ouvriers ? L’ex
81
’erreur qui, peut-être, affecta dès le principe l’
éthique
et la culture bourgeoises. Quelques remarques préliminaires nous aide
82
e révolution qui a consisté dans le passage d’une
éthique
de producteurs à une éthique d’assurances. Il nous permet en second l
83
ans le passage d’une éthique de producteurs à une
éthique
d’assurances. Il nous permet en second lieu d’apercevoir qu’une cultu
84
t à peser les « actiones latinæ », c’est-à-dire l’
éthique
des Latins24. Il importe de préciser que Dante est très loin de consi
85
ant les éléments de ce que j’aimerais appeler une
éthique
de l’intelligence, ou une morale de la culture, dans la communauté qu
86
cur que nous avons d’une mesure nouvelle. Essai d’
éthique
de la pensée — qui est peut-être une science nouvelle, et qu’en tout
87
me ! Plus encore : d’une doctrine générale, d’une
éthique
populaire de l’inactualité. Pourtant, elle n’est guère qu’un des sign
88
le, et d’abord, l’irritation de notre sensibilité
éthique
nous avertit du danger et nous presse de rechercher et de nommer ses
89
compensations — cultivèrent ce défaut d’exigence
éthique
comme la garantie d’une certaine douceur de vivre. Penser devint ains
90
ou d’une épouse. Et c’est ainsi que se compose l’
éthique
de l’homme moyen, cette irréalité si rassurante, si bourgeoise, on le
91
oise, on le sait de reste77. Par quel détour une
éthique
fondée sur l’inactualité des décrets de l’esprit — premier paradoxe —
92
s sommes responsables aujourd’hui ? L’implication
éthique
de la serve pensée est seule passible d’une mise en question réelle,
93
sies, c’est qu’elle a cessé de croire à sa valeur
éthique
. Elle révère en fait la morale des bourgeois, elle en partage toutes
94
à la sécurité morale — est d’être une pensée non
éthique
, ou supposant une éthique a posteriori, le caractère décisif de sa pe
95
t d’être une pensée non éthique, ou supposant une
éthique
a posteriori, le caractère décisif de sa pensée « existentielle » est
96
sée « existentielle » est au contraire l’a priori
éthique
. Kierkegaard est pour notre temps une figure littéralement gênante, u
97
soudain : « Cela ne viendrait-il pas de ce que l’
Éthique
possède en soi une certitude ? Il existerait alors une chose au moins
98
oute ne pourrait atteindre » Mais qu’est-ce que l’
éthique
? Question non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du tem
99
dre » Mais qu’est-ce que l’éthique ? Question non
éthique
, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. Car « l’éthique ne
100
manifeste seulement l’égarement du temps. Car « l’
éthique
ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir, mai
101
nt elle se confond naturellement avec une réalité
éthique
. Pour la pensée-pesante, comme pour l’éthique, il n’y a de réalité qu
102
ité éthique. Pour la pensée-pesante, comme pour l’
éthique
, il n’y a de réalité qu’immédiate. Mais aussi rien n’est immédiat que
103
font, — avec moi-même hors de ma prise ? Ainsi l’
éthique
récitative des distingués n’était qu’absence et remise à demain83. Qu
104
à la remorque des faits, s’oppose seul l’a priori
éthique
: l’actualité de la pensée. Toute pensée réelle agit dans l’immédiat,
105
dent ne pourrait s’en guérir qu’en revenant à une
éthique
d’engagement personnel et réfléchi. (Au lieu de cela on nous propose
106
origine et l’effet d’une pensée prolétarisée, non
éthique
. Sa permanence au cours de toute l’histoire serait propre à me faire
107
entre la pensée et l’action, il appartient à une
éthique
« actuelle » de critiquer les mauvaises raisons par lesquelles la cri
108
s c’est encore, et tout de suite, l’affaire d’une
éthique
nouvelle, non point d’une ingéniosité. Dialectique de l’incarnatio
109
ne certaine pensée, puis en faveur d’une certaine
éthique
, vise uniquement à désigner l’acte d’incarnation qu’est penser avec l
110
prouve de tout son être la présence d’une réalité
éthique
immédiate à chaque progrès du discours et qu’il n’en sorte pas intact
111
nscience ferme des nécessités de l’esprit et de l’
éthique
qu’elles nous imposent dans la situation où nous sommes, peut-être au
112
et avec plus de conséquence. C’est le drame de l’
éthique
personnelle, une affaire d’amour, une affaire de solitude menacée. Un
113
epris la description d’un nouvel ordre de valeurs
éthiques
, suspendu tout entier et relié en chacun de ses points, parfois sans
114
nt. Tel est le sens et la nécessité de l’a priori
éthique
. Il ne souffre aucune distance, ni dans le temps ni dans l’espace, ni
115
gles de l’art. Nous l’avons ramené à des conflits
éthiques
. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se résout poi
116
ans l’exercice de deux vertus maîtresses de notre
éthique
, l’imagination et le style. Enfin, nous avons assumé, et concentré to
117
rne, en même temps qu’au foyer rayonnant de toute
éthique
communautaire. Car si toutes les contradictions qui empêtrent nos vi
118
ui, par ailleurs, peut éclairer notre débat : « L’
éthique
ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir, mai
119
rait le résultat fatal du renoncement à la valeur
éthique
de la science en tant qu’acte (tentation à laquelle nous condamne à c
120
egaard, comme « un attentat métaphysique contre l’
éthique
». Il faut, certes, que l’homme trouve des points d’appui et garde un
121
its économiques de notre point de vue culturel. L’
éthique
générale des bourgeois, qui les a portés au pouvoir, considérait le t
122
tatation des plus graves : c’est qu’il y a dans l’
éthique
bourgeoise une espèce de fatalité qui la fait se retourner contre ell
123
que du maître et du serviteur — de Man oppose des
éthiques
, des styles de vie, des conceptions d’ordre moral. C’est ici qu’une q
124
ion plus profonde me paraît devoir être posée : l’
éthique
des maîtres oisifs est-elle vraiment la négation de l’éthique des tra
125
maîtres oisifs est-elle vraiment la négation de l’
éthique
des travailleurs, qui les a enrichis ? Serait-il absurde de soutenir
126
-il absurde de soutenir que c’est au fond la même
éthique
qui fait la force du bourgeois-travailleur et la faiblesse du bourgeo
127
urrait-on pas en déduire que l’erreur d’une telle
éthique
est commune aux uns et aux autres ? L’examen des triomphes ultérieurs
128
’erreur qui, peut-être, affecta dès le principe l’
éthique
et la culture bourgeoises. Quelques remarques préliminaires nous aide
129
e révolution qui a consisté dans le passage d’une
éthique
de producteurs à une éthique d’assurances. Elle nous permet en second
130
ans le passage d’une éthique de producteurs à une
éthique
d’assurances. Elle nous permet en second lieu d’apercevoir qu’une cul
131
t à peser les « actiones latinæ », c’est-à-dire l’
éthique
des Latins25. Il importe de préciser que Dante est très loin de consi
132
ant les éléments de ce que j’aimerais appeler une
éthique
de l’intelligence, ou une morale de la culture, dans la communauté qu
133
cur que nous avons d’une mesure nouvelle. Essai d’
éthique
de la pensée — qui est peut-être une science nouvelle, et qu’en tout
134
me ! Plus encore : d’une doctrine générale, d’une
éthique
populaire de l’inactualité. Pourtant, elle n’est guère qu’un des sign
135
le, et d’abord, l’irritation de notre sensibilité
éthique
nous avertit du danger et nous presse de rechercher et de nommer ses
136
compensations — cultivèrent ce défaut d’exigence
éthique
comme la garantie d’une certaine douceur de vivre. Penser devint ains
137
ou d’une épouse. Et c’est ainsi que se compose l’
éthique
de l’homme moyen, cette irréalité si rassurante, si bourgeoise, on le
138
eoise, on le sait de reste79. Par quel détour une
éthique
fondée sur l’inactualité des décrets de l’esprit — premier paradoxe —
139
s sommes responsables aujourd’hui ? L’implication
éthique
de la serve pensée est seule passible d’une mise en question réelle,
140
sies, c’est qu’elle a cessé de croire à sa valeur
éthique
. Elle révère en fait la morale des bourgeois, elle en partage les ill
141
à la sécurité morale — est d’être une pensée non
éthique
, ou supposant une éthique a posteriori, le caractère décisif de sa pe
142
t d’être une pensée non éthique, ou supposant une
éthique
a posteriori, le caractère décisif de sa pensée « existentielle » est
143
sée « existentielle » est au contraire l’a priori
éthique
. Kierkegaard est pour notre temps une figure littéralement gênante, u
144
soudain : « Cela ne viendrait-il pas de ce que l’
Éthique
possède en soi une certitude ? Il existerait alors une chose au moins
145
ute ne pourrait atteindre. » Mais qu’est-ce que l’
éthique
? Question non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du tem
146
re. » Mais qu’est-ce que l’éthique ? Question non
éthique
, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. Car « l’éthique ne
147
manifeste seulement l’égarement du temps. Car « l’
éthique
ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir, mai
148
nt elle se confond naturellement avec une réalité
éthique
. Pour la pensée-pesante, comme pour l’éthique, il n’y a de réalité qu
149
ité éthique. Pour la pensée-pesante, comme pour l’
éthique
, il n’y a de réalité qu’immédiate. Mais aussi rien n’est immédiat que
150
font, — avec moi-même hors de ma prise ? Ainsi l’
éthique
récitative des distingués n’était qu’absence et remise à demain85. Qu
151
à la remorque des faits, s’oppose seul l’a priori
éthique
: l’actualité de la pensée. Toute pensée réelle agit dans l’immédiat,
152
dent ne pourrait s’en guérir qu’en revenant à une
éthique
d’engagement personnel et réfléchi. (Au lieu de cela on nous propose
153
origine et l’effet d’une pensée prolétarisée, non
éthique
. Sa permanence au cours de toute l’histoire serait propre à me faire
154
entre la pensée et l’action, il appartient à une
éthique
« actuelle » de critiquer les mauvaises raisons par lesquelles la cri
155
s c’est encore, et tout de suite, l’affaire d’une
éthique
nouvelle, non point d’une ingéniosité. Dialectique de l’incarnatio
156
ne certaine pensée, puis en faveur d’une certaine
éthique
, vise uniquement à désigner l’acte d’incarnation qu’est penser avec l
157
prouve de tout son être la présence d’une réalité
éthique
immédiate à chaque progrès du discours et qu’il n’en sorte pas intact
158
nscience ferme des nécessités de l’esprit et de l’
éthique
qu’elles nous imposent dans la situation où nous sommes, peut-être au
159
et avec plus de conséquence. C’est le drame de l’
éthique
personnelle, une affaire d’amour, une affaire de solitude menacée. Un
160
epris la description d’un nouvel ordre de valeurs
éthiques
, suspendu tout entier et relié en chacun de ses points, parfois sans
161
nt. Tel est le sens et la nécessité de l’a priori
éthique
. Il ne souffre aucune distance, ni dans le temps ni dans l’espace, ni
162
gles de l’art. Nous l’avons ramené à des conflits
éthiques
. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se résout poi
163
ans l’exercice de deux vertus maîtresses de notre
éthique
, l’imagination et le style. Enfin, nous avons assumé, et concentré t
164
rne, en même temps qu’au foyer rayonnant de toute
éthique
communautaire. Car si toutes les contradictions qui empêtrent nos vie
165
uissante de ce rationalisme enfin reconnu comme l’
éthique
idéale des nouveaux maîtres, la rationalisation capitaliste s’accélèr
166
but de notre vie, de nous refaire une hiérarchie
éthique
, et de rendre ainsi à l’argent son rôle mineur de moyen, d’impur et s
167
e, très brièvement, en termes de philosophie et d’
éthique
personnalistes. On a souvent opposé à notre attitude, et à notre conc
168
et belges, et s’allie parfois curieusement avec l’
éthique
collectiviste. Mais l’anéantissement du moi peut aussi être compris c
169
imagination et non seulement dans son rapport à l’
éthique
. s. « Lettre de M. Denis de Rougemont », Bulletin de la Société fra
170
ersonnelle suffit à expliquer ce processus. À une
éthique
charismatique62 correspond nécessairement une organisation fédéralist
171
but de notre vie, de nous refaire une hiérarchie
éthique
, et de rendre ainsi à l’argent son rôle mineur de moyen, d’impur et s
172
os actions, tous nos systèmes… Une politique, une
éthique
, une idée qui ne peuvent être rapportées à la situation de l’homme pr
173
elles, et qui joueront un rôle déterminant dans l’
éthique
de l’Occident, même sous les noms paganisés d’idéalisme et de réalism
174
entretenir l’attente active du Messie, de même l’
éthique
charismatique77 des calvinistes les amène à la conception d’une inten
175
capitalisme moderne et de ses principales valeurs
éthiques
. Mais Sombart lui répond que le capitalisme est plus ancien, et qu’il
176
t — dans les déviations qualifiées que subirent l’
éthique
juive et l’éthique puritaine, à mesure qu’elles « réussissaient ». Le
177
ions qualifiées que subirent l’éthique juive et l’
éthique
puritaine, à mesure qu’elles « réussissaient ». Le spiritualisme tran
178
ale perte de conscience des fins religieuses de l’
éthique
puritaine, et transformant en tyrannie absurde ce qui était à l’origi
179
emple d’Israël et de sa chute. Toute la théologie
éthique
de Calvin est centrée sur la vocation : vocation du « petit troupeau
180
e, précisément, sur les valeurs élaborées par une
éthique
de la passion. Certes, il serait excessif d’estimer que la plupart de
181
danger spirituel que fait courir à la personne l’
éthique
de l’évasion, qui est née du mythe.) D’où les multiples tentatives de
182
es extérieures, n’avait que plus gravement miné l’
éthique
matrimoniale de la jeunesse. La décadence du mythe de la passion dans
183
en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade
éthique
» (c’est la « plénitude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage,
184
on détourne leur attention du problème proprement
éthique
. En tentant de réduire ou de dissimuler le caractère de pari que revê
185
ent inexact. 4. Sur la fidélité On fausse l’
éthique
du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors q
186
du mariage n’est pas du cur, mais du quomodo. « L’
éthique
ne commence pas, dit Kierkegaard, dans une ignorance qu’il faudrait m
187
ombre de jugements courants, dans le domaine de l’
éthique
d’abord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie. Au
188
rôle des camps de travail dans la création d’une
éthique
communautaire, l’erreur des conceptions sociales sur lesquelles ils v
189
t, à considérer comme absurde une poétique et une
éthique
de l’amour d’où sont issues, dans les siècles suivants, les plus bell
190
est pas infranchissable, surtout sur le plan de l’
éthique
. L’idéalisme et le matérialisme ont d’importants présupposés communs.
191
e détruire l’artificiel — rhétorique idéalisante,
éthique
et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le flot pri
192
tion suprême de la société médiévale dans l’ordre
éthique
. « C’est une nécessité sociale, un besoin d’autant plus impérieux que
193
soi-même qui semble faire partie du domaine de l’
éthique
… L’expression et la satisfaction du désir, qui paraissent toutes deux
194
ande distance ne trouve son équivalent dans nulle
éthique
imaginable de l’amour. C’est que la guerre totale échappe à l’homme e
195
ie siècle avait été la chevalerie courtoise, son
éthique
et ses mythes romanesques. La réponse du xviie siècle a pour symbole
196
e, précisément, sur les valeurs élaborées par une
éthique
de la passion. Certes, il serait excessif d’estimer que la plupart de
197
danger spirituel que fait courir à la personne l’
éthique
de l’évasion, qui est née du mythe). D’où les multiples tentatives de
198
es extérieures, n’avait que plus gravement miné l’
éthique
matrimoniale de la jeunesse. La décadence du mythe de la passion dans
199
en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade
éthique
» (c’est la « plénitude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage,
200
on détourne leur attention du problème proprement
éthique
. En tentant de réduire ou de dissimuler le caractère de pari que revê
201
ment inexact. 4.Sur la fidélité On fausse l’
éthique
du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors q
202
du mariage n’est pas du cur, mais du quomodo. « L’
éthique
ne commence pas, dit Kierkegaard, dans une ignorance qu’il faudrait m
203
ombre de jugements courants, dans le domaine de l’
éthique
d’abord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie. Au
204
in que Kierkegaard dans le dépassement du « stade
éthique
» ? Il m’arrive de le pressentir, et de penser : du point de vue de l
205
sonnes librement solidaires, telles qu’en forme l’
éthique
protestante. Seulement, il faut que cette force reste pure ! Car de m
206
t, à considérer comme absurde une poétique et une
éthique
de l’amour d’où sont issues, dans les siècles suivants, les plus bell
207
hons à nous représenter la situation psychique et
éthique
de l’homme en ce temps-là, nous constatons d’abord qu’il se trouve im
208
est pas infranchissable, surtout sur le plan de l’
éthique
. L’idéalisme et le matérialisme ont d’importants présupposés communs.
209
e détruire l’artificiel — rhétorique idéalisante,
éthique
et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le flot pri
210
tion suprême de la société médiévale dans l’ordre
éthique
. « C’est une nécessité sociale, un besoin d’autant plus impérieux que
211
soi-même qui semble faire partie du domaine de l’
éthique
… L’expression et la satisfaction du désir, qui paraissent tous deux i
212
ande distance ne trouve son équivalent dans nulle
éthique
imaginable de l’amour. C’est que la guerre échappe à l’homme et à l’i
213
ie siècle avait été la chevalerie courtoise, son
éthique
et ses mythes romanesques. La réponse du xviie siècle a pour symbole
214
e, précisément, sur les valeurs élaborées par une
éthique
de la passion. Certes, il serait excessif d’estimer que la plupart de
215
danger spirituel que fait courir à la personne l’
éthique
de l’évasion, qui est née du mythe.) D’où les multiples tentatives de
216
es extérieures, n’avait que plus gravement miné l’
éthique
matrimoniale de la jeunesse. La décadence du mythe de la passion dans
217
en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade
éthique
» (c’est la « plénitude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage,
218
on détourne leur attention du problème proprement
éthique
. En tentant de réduire ou de dissimuler le caractère de pari que revê
219
ment inexact. 4.Sur la fidélité On fausse l’
éthique
du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors q
220
du mariage n’est pas du cur, mais du quomodo. « L’
éthique
ne commence pas, dit Kierkegaard, dans une ignorance qu’il faudrait m
221
ombre de jugements courants, dans le domaine de l’
éthique
d’abord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie. Au
222
in que Kierkegaard dans le dépassement du « stade
éthique
» ? Il m’arrive de le pressentir, et de penser : du point de vue de l
223
t, à considérer comme absurde une poétique et une
éthique
de l’amour d’où sont issues, dans les siècles suivants, les plus bell
224
hons à nous représenter la situation psychique et
éthique
de l’homme en ce temps-là, nous constatons d’abord qu’il se trouve im
225
est pas infranchissable, surtout sur le plan de l’
éthique
. L’idéalisme et le matérialisme ont d’importants présupposés communs.
226
e détruire l’artificiel — rhétorique idéalisante,
éthique
et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le flot pri
227
tion suprême de la société médiévale dans l’ordre
éthique
. « C’est une nécessité sociale, un besoin d’autant plus impérieux que
228
soi-même qui semble faire partie du domaine de l’
éthique
… L’expression et la satisfaction du désir, qui paraissent tous deux i
229
ande distance ne trouve son équivalent dans nulle
éthique
imaginable de l’amour. C’est que la guerre échappe à l’homme et à l’i
230
ie siècle avait été la chevalerie courtoise, son
éthique
et ses mythes romanesques. La réponse du xviie siècle a pour symbole
231
e, précisément, sur les valeurs élaborées par une
éthique
de la passion. Certes, il serait excessif d’estimer que la plupart de
232
danger spirituel que fait courir à la personne l’
éthique
de l’évasion, qui est née du mythe.) D’où les multiples tentatives de
233
es extérieures, n’avait que plus gravement miné l’
éthique
matrimoniale de la jeunesse. La décadence du mythe de la passion dans
234
en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade
éthique
» (c’est la « plénitude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage,
235
on détourne leur attention du problème proprement
éthique
. En tentant de réduire ou de dissimuler le caractère de pari que revê
236
ment inexact. 4.Sur la fidélité On fausse l’
éthique
du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors q
237
du mariage n’est pas du cur, mais du quomodo. « L’
éthique
ne commence pas, dit Kierkegaard, dans une ignorance qu’il faudrait m
238
ombre de jugements courants, dans le domaine de l’
éthique
d’abord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie. Au
239
in que Kierkegaard dans le dépassement du « stade
éthique
» ? Il m’arrive de le pressentir, et de penser : du point de vue de l
240
x de mon âge, est moins urgente dans l’ordre de l’
éthique
, que dans celui de l’esthétique. C’est le maître-artisan de la langue
241
reuse que répand la vraie charité ; c’est toute l’
éthique
fédéraliste. Faut-il me résumer ? Ce sera vite fait. Je n’ai développ
242
sonnes librement solidaires, telles qu’en forme l’
éthique
protestante. Seulement il faut que cette force reste pure ! Car de mê
243
répand seule la véritable charité ; c’est toute l’
éthique
fédéraliste, et c’est aussi tout l’idéal œcuménique, que nos Églises
244
sonnes librement solidaires, telles qu’en forme l’
éthique
protestante. Seulement il faut que cette force reste pure ! Car de mê
245
ens de l’alliance jurée, c’est faire le lit d’une
éthique
de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres parce qu’on a d
246
ens de l’alliance jurée, c’est faire le lit d’une
éthique
de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres parce qu’on a d
247
ens de l’alliance jurée, c’est faire le lit d’une
éthique
de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres parce qu’on a d
248
les éléments dans toutes les formes élaborées, —
éthiques
, politiques, artistiques… C’est ainsi que j’ai cherché dans les œuvre
249
. C’est le refus de la « magie »6 qui fonde notre
éthique
, et ce dilemme est peut-être le plus important qui se pose à l’esprit
250
existence, de l’au-delà mystique et de l’immédiat
éthique
. Et quels sont les plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le
251
nt se traduire dans la similitude des conclusions
éthiques
et dans le contraste des réalisations littéraires. « Mon esprit, pren
252
s forte raison, chez notre homme, dont l’exigence
éthique
n’apparaît pas médiocre. Mais s’il s’est posé la question, il est cla
253
ie, des mesures, une grandeur, peut-être même une
éthique
héroïque. Mais tout cela, on sait de quoi c’est fait. On sait ce que
254
dans Crainte et Tremblement : la suspension de l’
éthique
par Dieu lui-même, en vue de certaines fins particulières. Les contra
255
s yeux, les plus géniales personnifications d’une
éthique
fondée dans la transcendance pure et d’une éthique fondée dans l’imma
256
thique fondée dans la transcendance pure et d’une
éthique
fondée dans l’immanence pure. Ils s’excluent réciproquement avec viol
257
t humains, ne saurait aboutir ailleurs que dans l’
éthique
de l’immanence, qui est l’éthique du Second Faust. Le héros du Procès
258
eurs que dans l’éthique de l’immanence, qui est l’
éthique
du Second Faust. Le héros du Procès, Josef K. s’était vu condamné par
259
i, la leçon de morale du Second Faust : comme une
éthique
de l’Incarnation, comme une œuvre exprimant la foi dans l’ordre provi
260
Nos contradictions sont réelles, nos hiérarchies
éthiques
ne le sont pas moins, mais celles-ci tendent à réduire celles-là, par
261
se. C’est une discipline de l’esprit, mieux : une
éthique
de l’expression. Tantôt civilité très raffinée, ou stricte austérité
262
’interviewer fictif qui lui demandait ce qu’est l’
éthique
, répond : Une dépendance de l’esthétique. Or non seulement l’exemple
263
er : c’est dans son esthétique que se réfugie son
éthique
la plus rigoureuse, et elle y règne au point qu’on pourrait dire que
264
dont le principe est proprement « moral », et une
éthique
qui se voudrait « immoraliste ». Tension finalement résolue au bénéfi
265
x de mon âge, est moins urgente dans l’ordre de l’
éthique
que dans celui de l’esthétique. C’est le maître-artisan de la langue
266
gement sur tous les plans, financier, commercial,
éthique
et spirituel. Que les échanges se ralentissent ou cessent : aussitôt
267
u stades intermédiaires entre la théologie et les
éthiques
. La catégorie intermédiaire qui paraît la plus féconde dans le domain
268
menacent la culture moderne au point de vue d’une
éthique
fondée sur la vocation : a) un faux universalisme fruit d’une éducati
269
ce que vous faites. » Alors que la formule d’une
éthique
bourgeoise est au contraire : « Faites comme tout-le-monde, et pensez
270
s des structures dynamiques informant à la fois l’
éthique
, le social et l’économique, le civisme et la politique : souci « tota
271
but de notre vie, de nous refaire une hiérarchie
éthique
, et de rendre ainsi à l’argent son rôle mineur de moyen, d’impur et s
272
os actions, tous nos systèmes… Une politique, une
éthique
, une idée qui ne peuvent être rapportées à la situation de l’homme pr
273
rôle des camps de travail dans la création d’une
éthique
communautaire, l’erreur des conceptions sociales sur lesquelles ils v
274
ine politique, le domaine spirituel et le domaine
éthique
. » Il résulte de ces précisions — si l’on ose dire — que le national-
275
lisé (maintiennent) l’amour sous la tutelle d’une
éthique
… » Car ce que les primitifs réglementaient n’était jamais l’amour au
276
que nous imaginons pour le réaliser — religions,
éthiques
, politiques, puis sciences — se confondent un beau jour avec une tyra
277
os mœurs est satisfaisant, il en résulte qu’une «
éthique
de l’amour » (entendons de la sexualité) n’est pas nécessaire ; car e
278
me et la contradiction, il nous faut rétablir une
éthique
, c’est-à-dire recréer des tensions entre la « nature » et un ordre, o
279
l y a ainsi des hommes qui croient n’avoir aucune
éthique
, aucune philosophie, aucune religion. Et même qui vous expliquent pou