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r le catholicisme à son mépris pour la révélation
évangélique
. Je ne vois là que l’indice d’une confusion bien française, hélas.
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dit Zarathoustra — développant sans doute une vue
évangélique
. Que ce petit écrit d’un mouvement naturel nous ramène au centre des
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nforme à une doctrine, mais un art assez purement
évangélique
pour transcender la confession qui lui a permis de naître. La grandeu
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par le jaillissement vers Dieu. Et tout précepte
évangélique
une fois détaché de la grâce se décompose avec virulence en sophismes
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des poètes » à la sensibilité si authentiquement
évangélique
— comme celle d’une Lagerlöf — se lier d’amitiés spirituelles avec Ch
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France surgir une poésie chrétienne d’inspiration
évangélique
? Souhaitons qu’il n’y faille pas les conjonctures sanglantes d’où na
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seule réponse possible et réelle dans le message
évangélique
. Et je demande maintenant aux chrétiens s’ils le savent eux-mêmes ; s
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e ses disciples, se faire un avoir de la Pauvreté
évangélique
, et bientôt ne plus vivre que sur les intérêts de cet avoir. Mais si
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. L’Épargne, autrefois participation de l’idéal
évangélique
de la pauvreté volontaire, c’est-à-dire de la notion de sacrifice, et
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lien avec la notion de sacrifice ou avec l’idéal
évangélique
et, pour comble, vertu de riche, mais qui retient encore le pathos ch
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st le bourgeois dont la morale usurpe l’apparence
évangélique
, en haine de l’Évangile et de ses exigences concrètes. Est-il besoin
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res : d’une part, elle est seule humaine, au sens
évangélique
du terme ; d’autre part, elle est intenable. Elle est seule humaine,
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ogien fidèle vient rappeler avec force l’exigence
évangélique
de la mort à soi-même, vient définir à nouveau l’Église chrétienne co
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ant foncièrement charitable en faveur de l’absolu
évangélique
. Voici le jugement qu’un des meilleurs critiques de ce temps51 a port
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dominante, dans toute cette guerre faite à la foi
évangélique
, ait été celle des Espagnols et des Romains. Les catholiques patriote
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res : d’une part, elle est seule humaine, au sens
évangélique
du terme ; d’autre part, elle paraît à peu près intenable. Elle est s
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. À l’origine permanente de toute action vraiment
évangélique
, il n’y a pas une sage volonté de réforme, mais une révolution totale
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e ses disciples, se faire un avoir de la Pauvreté
évangélique
, et bientôt ne plus vivre que sur les intérêts de cet avoir. Mais si
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tuel dont je me réclame a sa réalité dans l’ordre
évangélique
. Que dit donc l’Évangile ? « Les premiers seront les derniers », c’es
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res : d’une part, elle est seule humaine, au sens
évangélique
du terme ; d’autre part, elle paraît à peu près intenable. Elle est
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. À l’origine permanente de toute action vraiment
évangélique
, il n’y a pas une sage volonté de réforme, mais une révolution totale
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e ses disciples, se faire un avoir de la Pauvreté
évangélique
, et bientôt ne plus vivre que sur les intérêts de cet avoir. Mais si
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tuel dont je me réclame a sa réalité dans l’ordre
évangélique
. Que dit donc l’Évangile ? « Les premiers seront les derniers », c’es
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Karl Barth, pénètre et fait revivre notre pensée
évangélique
? Et voici que cette conjonction du poète philosophe et du théologien
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igine permanente de l’Église qu’est la révélation
évangélique
. Le calvinisme ou le luthérisme, ce sont bien moins des normes de pen
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ans prochain. Car le prochain selon la définition
évangélique
, c’est justement celui qui « exige » de l’aide et auquel on vient en
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que l’opposition réelle est entre la conception «
évangélique
» et la conception papale ; entre la foi à la Révélation parfaite et
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ours à la Tradition comme critère des révélations
évangéliques
. Ce qui s’oppose en réalité, c’est une doctrine du salut par la foi a
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lique procède de ce doute profond : la Révélation
évangélique
éclairée par l’Esprit est-elle vraiment suffisante ? Ne faut-il pas l
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de la foi. Luther insiste sur cet « extrêmisme »
évangélique
, que les sophistes n’étaient que trop portés à corriger et à « humani
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es prochains. Car le prochain, dans sa définition
évangélique
, c’est justement celui qui exige de l’aide et auquel je puis venir en
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quel point tout cela vit encore dans les églises
évangéliques
de nos jours ? Dès les bancs de « l’école du dimanche », tout jeune p
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de la foi. Luther insiste sur cet « extrémisme »
évangélique
, que les sophistes n’étaient que trop portés à corriger et à « humani
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illes d’Allemagne, successivement, des « semaines
évangéliques
» au cours desquelles des milliers de fidèles viennent écouter les ch
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ui le dépasse. Et l’on rejoint ici l’enseignement
évangélique
: ce ne sont pas des extases indicibles qui sont promises aux vrais c
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homme pût aimer Dieu (comme l’ordonne le sommaire
évangélique
de la Loi). Une créature finie ne peut aimer que le fini. Il en résul
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homme pût aimer Dieu (comme l’ordonne le sommaire
évangélique
de la Loi). Une créature finie ne peut aimer que le fini. Il en résul
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homme pût aimer Dieu (comme l’ordonne le sommaire
évangélique
de la Loi). Une créature finie ne peut aimer que le fini. Il en résul
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, un attachement à sa vérité propre qui est moins
évangélique
qu’individualiste, ou même rationaliste ? Certes, je m’en voudrais de
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ne conception de la « religion » plutôt déiste qu’
évangélique
; elles prônent un moralisme plutôt bourgeois que charitable ; elles
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neutre ? Si c’est vis-à-vis du Christ, la parole
évangélique
nous apprend que cette neutralité est suprêmement désavantageuse : el
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neutre ? Si c’est vis-à-vis du Christ, la parole
évangélique
nous apprend que cette neutralité est suprêmement désavantageuse : el
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ne conception de la « religion » plutôt déiste qu’
évangélique
; ils prônent un moralisme plutôt bourgeois que charitable ; et ils o
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neutre ? Si c’est vis-à-vis du Christ, la parole
évangélique
nous apprend que cette neutralité est suprêmement désavantageuse : el
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à Rio de la Plata, sous les auspices de l’Église
évangélique
de langue française. Je vois de grandes perspectives d’avenir devant
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nt foncièrement charitable, en faveur de l’absolu
évangélique
. « Kierkegaard — dit Rudolph Kassner — fut le dernier grand protestan
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icale du péché. Luther insiste sur cet extrémisme
évangélique
, que les sophistes n’étaient que trop portés à corriger et à humanise
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ttachement à sa vérité propre qui, lui, est moins
évangélique
qu’individualiste, ou même rationaliste. Certes je m’en voudrais de c
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ui le dépasse. Et l’on rejoint ici l’enseignement
évangélique
: ce ne sont pas des extases indicibles qui sont promises aux vrais c
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e prochain ». Car le prochain, dans sa définition
évangélique
, c’est justement celui qui exige de l’aide et auquel je puis venir en
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illes d’Allemagne, successivement, des « semaines
évangéliques
» au cours desquelles des milliers de fidèles viennent écouter les ch
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l’idée de progrès est de toute évidence d’origine
évangélique
, ou plus exactement paulinienne, mais combinée avec des notions grecq
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du chrétien dans le monde, selon la grande parole
évangélique
et paulinienne : « Soyez dans le monde comme n’étant pas du monde. »
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s) 44 720 ; Union suisse d’ouvriers et d’employés
évangéliques
13 368 ; Union syndicale des ouvriers indépendants : 15 492.
55
s communs qu’on vient d’énumérer n’est proprement
évangélique
. C’est l’ambition théocratique, non l’Agapè, qui hante les doctrinair
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artir de là que les hommes touchés par le message
évangélique
ont découvert le temps irréversible de l’Histoire, et qu’ils ont osé
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s communs qu’on vient d’énumérer n’est proprement
évangélique
. C’est l’ambition théocratique, non l’Agapè, qui hante les doctrinair
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artir de là que les hommes touchés par le message
évangélique
ont découvert le temps irréversible de l’Histoire, et qu’ils ont osé
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sciences, la philosophie — sans renier ses bases
évangéliques
; et de durer sans nul changement profond au travers des régimes les
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ils excluent les critères d’exclusion réputés non
évangéliques
, mais c’est pour rendre encore plus absolus ceux qu’ils maintiennent
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hristianisme, qui les concrétise dans le Sommaire
évangélique
: aimer Dieu et le prochain comme soi-même. Cette définition par les
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re comme leur patrie ». De l’esprit de solidarité
évangélique
— que tous soient un comme les membres variés d’un même corps, partic
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politique, toujours méfiante, et non de confiance
évangélique
. Car, s’il est vrai que l’Évangile demande l’union, ce n’est jamais a
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La notion de l’amour du prochain, et l’injonction
évangélique
d’aimer aussi son ennemi ne sont pas absentes du bouddhisme car l’enn
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chain — celui qu’il faut aider, selon la parabole
évangélique
— ne saurait être à son tour que l’expression de l’esprit en tout hom
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chain — celui qu’il faut aider, selon la parabole
évangélique
— ne saurait être à son tour que l’expression de l’esprit en tout hom
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La notion de l’amour du prochain, et l’injonction
évangélique
d’aimer aussi son ennemi ne sont pas absentes du bouddhisme : car l’e
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Je disais dans mon introduction que les préceptes
évangéliques
sur l’amour, le mariage et la sexualité tiennent en peu de pages. Les
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les riches sont omis. Cette hiérarchie n’a rien d’
évangélique
. II« Croissez et multipliez » Vu sous l’aspect physiologique, l
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oilà qui nous ramène irrésistiblement au paradoxe
évangélique
et paulinien : pour le vrai spirituel, la Loi est abolie, bien que pa
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radition européenne tout ce qui n’est pas grec ou
évangélique
, et notamment la source romaine et la source hébraïque : L’Évangile
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es graines et semences dont parlent les paraboles
évangéliques
, ni les relations de filiation ou de justice égalitaire, ni l’organis
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quel point tout cela vit encore dans les Églises
évangéliques
de nos jours ? Dès les bancs de « l’école du dimanche », tout jeune p
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rigidité d’une morale souvent plus bourgeoise qu’
évangélique
; et d’une manière plus générale, sa tendance à un rationalisme évacu
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accepte du même coup la conception paulinienne ou
évangélique
de la société, la fraternité de tous « soit juifs, soit grecs, soit e
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syndicats chrétiens (cathol.) 79 000 ; syndicats
évangéliques
(prot.) : 15 000 ; syndicats autonomes : 18 000 ; fédérations d’emplo
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ale la plus conforme aux évangiles, l’inspiration
évangélique
d’une éthique. D’autre part, les prétentions de la science occidenta
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un nord et un midi ; dans chaque Église, une aile
évangélique
et une aile ritualiste ; dans chaque personne qui réfléchit une droit
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de vie. Choix qui se ramène peut-être à la parole
évangélique
: « Que servirait à un homme de gagner le monde s’il perdait son âme
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pris par l’Église de Rome. Cependant que l’esprit
évangélique
des premières paroisses autonomes et fédérées, où tout était mis en c
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haque Église, catholique ou protestante, une aile
évangélique
et une aile ritualiste ; dans chaque personne qui réfléchit, une droi
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igions nées de la peur (héritage très précisément
évangélique
). Tout cela représente sans nul doute la part la plus menacée de notr
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s a été dit… mais moi je vous dis… » Cette phrase
évangélique
ne nie pas le passé. Elle s’y réfère, l’englobe, le situe et le dépas
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Tout cela se ramène peut-être au grand dilemme
évangélique
: — Gagner le monde (quitte à détruire la Nature) ou sauver son âme (
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et d’institutions stables (ou État), aux notions
évangéliques
et judaïques, d’amour actif, de liberté, de justice et de vocation, s
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et d’institutions stables (ou État) ; aux notions
évangéliques
et judaïques, d’amour actif, de liberté, de justice et de vocation, s
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-dire du modèle de la personne. À l’anthropologie
évangélique
, paulinienne et conciliaire, Lévi-Strauss avec une belle lucidité — e
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e position du problème. Pour moi, l’anthropologie
évangélique
est tout simplement la christologie — je vais dire pourquoi — d’où pr
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s « la mort tiède de l’univers ». L’anthropologie
évangélique
et paulinienne a été la première à parler de la « mort de l’homme ».
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-action », celui qui peut répondre à l’injonction
évangélique
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même », et qui conduit au mariage
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açant l’épithète Tout-puissant par une définition
évangélique
de Dieu ? Que se passerait-il si l’on ouvrait une constitution par ce
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aissance de cause. Or, en dépit du grand précepte
évangélique
qui nous ordonne d’aimer nos ennemis, dont il est sans conteste le pr
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ropéens — dont je retiens surtout la grecque et l’
évangélique
— mais il faut leur ajouter deux autres sources : la germanique et la