1
p, hurrah ! » 1. Éditions Grasset, Paris. 2. L’
attitude
de M. de Montherlant légitime une telle « simplification ». a. « M.
2
nt sur eux, et d’autres qui tiennent qu’une telle
attitude
est responsable de ces carnages ». Naguère il était des premiers ; il
3
ée ? Point du tout ! Il paraît qu’il est la seule
attitude
littéraire aujourd’hui concevable. Mais par quelles tricheries plus o
4
tres de raisonnements. Plaisante ironie, si cette
attitude
n’était qu’une protestation contre nos poncifs intellectuels. Mais el
5
l pas que rien n’est plus protestant qu’une telle
attitude
? Mais ces réserves sont de peu d’importance si l’on songe au service
6
ire, en haine de toute stabilité, de toute forme.
Attitude
parfaitement folle, mais c’est justement de quoi se glorifient ses te
7
vais point nier la fécondité psychologique d’une
attitude
par ailleurs si proche de certain mysticisme. Mais pousser une vertu
8
fini, il n’y pense plus. On comprend qu’une telle
attitude
agace des gens qui se soucient avant tout de trouver des réponses de
9
e la vie »… Qu’on ne croie pas, d’ailleurs, que l’
attitude
presque constamment critique de M. de Traz diminue l’intérêt vivant d
10
r, volonté de tout conserver en soi ? Ou bien une
attitude
en quelque sorte scientifique, à la fois curieuse et désintéressée, d
11
ables, et non d’après un système préconçu. (Cette
attitude
est plus rare qu’on ne le croit, de nos jours.) M. Esmonin montra ave
12
. Ou une maladie ? Ce n’est pas en l’ignorant par
attitude
que vous la guérirez. Au contraire, il s’agit de l’envisager sans fiè
13
es sécurités. Pourtant, vous voyez bien que votre
attitude
méprisante pour la littérature vous ferait bientôt renier le signe le
14
aurait être autrement tant qu’on se tient à cette
attitude
scientifique, vis-à-vis du phénomène littéraire. La « Promenade » du
15
ue de la philosophie. Il ne peut empêcher que son
attitude
ne porte un nom philosophique : c’est au plus pur, au plus naïf matér
16
mmon », dit l’Écriture. ⁂ Je ne pense pas qu’une
attitude
réactionnaire qui consisterait à vouloir en revenir à la période préi
17
g effort, et les Viennois sont, par nature et par
attitude
, des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un
18
simple humanité vient interrompre une comédie aux
attitudes
convenues et donner l’air bête aux acteurs. Puis Gérard embrassa pate
19
fait opter ces chefs pour l’une ou l’autre de ces
attitudes
. (Elles ne sont pas essentiellement contradictoires : elles représent
20
t-il besoin de déclarer formellement qu’une telle
attitude
n’est en aucune façon tributaire de l’idéologie réactionnaire à la mo
21
de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle
attitude
de l’âme. Ceci revient à dire que seule une grande vague de l’imagina
22
rts resteront vains pour instaurer cette nouvelle
attitude
de l’âme. Mais ces méthodes ne prendraient tout leur sens et toute le
23
t-il besoin de déclarer formellement qu’une telle
attitude
n’est en aucune façon tributaire de l’idéologie réactionnaire à la mo
24
de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle
attitude
de l’âme. Ceci revient à dire que seule une grande vague de l’imagina
25
rts resteront vains pour instaurer cette nouvelle
attitude
de l’âme. Mais ces méthodes ne prendraient tout leur sens et toute le
26
sychologie scientifique » et à ce leurre qu’est l’
attitude
paralléliste. 6. J’exagère probablement, car la sincérité de ce néo-
27
le. C’est le type du livre qui vaut surtout par l’
attitude
qu’il manifeste et commente. Son sujet : le voyage d’un jeune normal
28
rée par la haine ? C’est qu’ils caractérisent une
attitude
de plus en plus fréquente chez les jeunes intellectuels : orgueil de
29
n numéro du 15 février15. M. Marcel analyse trois
attitudes
typiquement sécularistes : la philosophie des lumières, celle de la t
30
bas ; non pas en curieux : en mystique. Pareille
attitude
ne surprendra pas un moderne ; mais elle est unique dans la littératu
31
s troublante que celle qu’impose n’importe quelle
attitude
politique. Aux yeux d’un incroyant, ceci peut sembler vague. Mais le
32
n’est plus loin du protestantisme que dans cette
attitude
sereinement contradictoire, où il voit l’essence de sa « réforme » et
33
t à honneur de compromettre la Réforme avec cette
attitude
, et de prolonger un malentendu qu’ils jugent peut-être flatteur, ou c
34
lisée selon des voies totalement divergentes, une
attitude
humaine qui me paraît commune. Que Goethe ait pratiqué « le devis des
35
ue ce que la nature visible nous en révèle. Cette
attitude
s’accuse de plus en plus à mesure que Goethe avance en âge. Nous voic
36
n’avait trouvé spontanément pareille communauté d’
attitude
essentielle. C’est qu’aucune jamais n’eut à dévisager une menace auss
37
écessaire. Telle est, dans son principe, la seule
attitude
politique que puisse adopter le protestant : la politique du pessimis
38
ion criminelle. ⁂ Mais il existe des êtres que l’
attitude
du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
39
et d’obus. En face des idoles, il n’y a que deux
attitudes
possibles : les adorer ou les fracasser. (Il y avait aussi l’attitude
40
les adorer ou les fracasser. (Il y avait aussi l’
attitude
cynique — faussement appelée esthétique, qui consistait à dire : comm
41
ommune de la jeunesse française, une communauté d’
attitude
essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
42
fs respectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’
attitude
de tous ces groupes un véritable acte de présence à la misère du sièc
43
étonnant de constater combien exactement ces deux
attitudes
de l’esprit sont parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un per
44
g effort, et les Viennois sont, par nature et par
attitude
, des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un
45
peu d’humanité vient interrompre une comédie aux
attitudes
convenues, et donne l’air bête aux acteurs. Puis Gérard embrassa pate
46
même étonnant de constater combien exactement ces
attitudes
de l’esprit sont parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un per
47
s essentiellement chrétienne : « Quelle est votre
attitude
vis-à-vis de votre prochain ? Lui laissez-vous ce qui lui revient, ou
48
e sécularisation de l’Évangile impliqué dans leur
attitude
, et qui les ferait retomber dans les vieilles erreurs du capitalisme
49
s l’impulsion de W. A. Visser ’t Hooft adopte une
attitude
très nettement non conformiste. Elle vient de donner un remarquable f
50
sérieux ne consistera jamais, pour nous, dans une
attitude
d’humilité lugubre. Le sérieux et le respect, en présence d’une quest
51
perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
attitudes
prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
52
e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’
attitude
de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui u
53
être une simple conception philosophique, est une
attitude
devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
54
comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une
attitude
qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’
55
ouveront enfin à qui parler. Le problème de notre
attitude
devant la guerre est subordonné à celui de notre révolution. La guerr
56
» radical, voilà qui ne peut manquer d’évoquer l’
attitude
d’un Kierkegaard et par là même de ses descendants directs, les théol
57
le vertige — qu’à rapporter constamment ces deux
attitudes
l’une à l’autre, la positive et la négative, à expliquer le oui par l
58
apparences actuelles ». Contre ce désordre notre
attitude
est celle d’un refus total. Mais rompre avec ces apparences, ce n’est
59
ge et les dictatures ? Nous trouvons une certaine
attitude
humaine. Cette attitude, qu’on appelle capitaliste, est, en réalité,
60
ous trouvons une certaine attitude humaine. Cette
attitude
, qu’on appelle capitaliste, est, en réalité, pour qui va au fond des
61
é de compte, un ventre ou un électeur. Avec toute
attitude
idéologique qui entraîne la destruction de la personne, il est nécess
62
n sans une sincérité qui fait peine. Car des deux
attitudes
proprement socialistes : vouloir réformer le capitalisme en louchant
63
pour les réaliser. Deux mots toutefois sur notre
attitude
révolutionnaire. Certains s’étonneront peut-être de la voir si peu ro
64
ccable dignité bourgeoise ne cesse d’inspirer les
attitudes
de ses héros, en dépit des carambolages du sort. Il y a donc Toepffer
65
notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre
attitude
pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
66
llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine
attitude
, l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant son destin. Eh
67
xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’
attitude
démissionnaire de l’homme en fuite devant son destin. Eh bien ! la pe
68
! la personne à son tour n’est rien d’autre que l’
attitude
créatrice de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans l’homme et se
69
inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une
attitude
de l’homme, j’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
70
ttitude de l’homme, j’ai essayé de vous montrer l’
attitude
de celui qui se réfugie dans l’Histoire42, qui pense par périodes séc
71
uelles conséquences politiques commande une telle
attitude
et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
72
sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une
attitude
nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
73
« l’homme nouveau » — réalité de foi ? ⁂ Seule, l’
attitude
chrétienne dit « oui » au monde avec une intrépide plénitude. Alors q
74
orains10 n’expriment rien de plus qu’une certaine
attitude
de l’homme, l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa v
75
en de plus qu’une certaine attitude de l’homme, l’
attitude
démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. Les fantômes
76
t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’
attitude
démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
77
culières, — la personne au contraire représente l’
attitude
créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans
78
inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une
attitude
de l’homme. J’ai décrit, à propos des marxistes11, l’attitude de ceux
79
l’homme. J’ai décrit, à propos des marxistes11, l’
attitude
de ceux qui se réfugient dans l’Histoire, qui pensent par périodes de
80
un service nécessaire — voilà peut-être définie l’
attitude
chrétienne en politique : une révolution sans illusions. II. Qu’av
81
t-être nous permettre de situer quelques-unes des
attitudes
les plus tranchées, et par là les plus instructives, qui se soient ma
82
e sommes souvent des implications générales d’une
attitude
particulière. C’est évidemment à propos de l’attitude des objecteurs
83
tude particulière. C’est évidemment à propos de l’
attitude
des objecteurs de conscience qu’il y a lieu de souligner le plus fort
84
tarisme qu’il faudrait sans cela leur adresser. L’
attitude
des objecteurs porte à son acuité extrême le paradoxe défini dans ma
85
rait être mise en symétrie avec aucune des autres
attitudes
que j’ai indiquées. Elle comporte un risque, un engagement concret, u
86
misme actif ». Je voudrais décrire maintenant une
attitude
constructive à laquelle je me suis rallié pour ma part. III. Qu’al
87
es que je proposais tout à l’heure pour définir l’
attitude
chrétienne devant les exigences de César. Elles sont en singulière co
88
lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’
attitude
spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
89
aines des suppositions théologiques qu’implique l’
attitude
de Buchman. Car ce n’est pas assez que de se refuser à parler de théo
90
Le maléfice hégélien, c’est l’objectivité : cette
attitude
de l’homme qui ne veut plus être sujet de son action, qui l’abandonne
91
a l’appel de l’homme, sa volonté déterminée, son
attitude
créatrice. Je dirai donc ce que notre désir invoque. Je vois un grand
92
quent trop bien. En somme, il adopte à peu près l’
attitude
d’un juge d’instruction qui aurait choisi comme prévenus les auteurs
93
ne en permanence dans son esprit : mais c’est une
attitude
« scientifique » nullement sceptique ; c’est même, si l’on veut, une
94
vêtir un vrai visage, un nom et une autorité, une
attitude
d’auteur de son propre destin ? C’est ce que l’on ne voit point. C’es
95
ste, auquel devait logiquement les conduire cette
attitude
, fit voir bientôt l’inanité d’une pareille prétention. Que reste-t-il
96
notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre
attitude
pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
97
llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine
attitude
, l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation, sa
98
xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’
attitude
démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation, sa destinée. L
99
t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’
attitude
démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
100
culières, — la personne au contraire représente l’
attitude
créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans
101
inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une
attitude
de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
102
ttitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’
attitude
de celui qui se réfugie dans l’Histoire15, qui pense par périodes séc
103
uelles conséquences politiques commande une telle
attitude
et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
104
sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une
attitude
nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
105
un service nécessaire — voilà peut-être définie l’
attitude
chrétienne en politique : une révolution sans illusions. 23. Répons
106
nquête de la Revue du christianisme social, sur l’
attitude
des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du t
107
écessaire. Telle est, dans son principe, la seule
attitude
politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme
108
optimi pessima. ⁂ Mais il existe des êtres que l’
attitude
du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
109
urquoi en face des idoles, il n’y a plus que deux
attitudes
: les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est l
110
t trop de compromis pour être compatible avec une
attitude
chrétienne. À l’origine permanente de toute action vraiment évangéliq
111
e perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
attitudes
prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
112
e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’
attitude
de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui u
113
être une simple conception philosophique, est une
attitude
devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
114
comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une
attitude
qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’e
115
nc son temps à essayer une confrontation des deux
attitudes
sur le plan humain. Bien plus : on ne rend pas justice aux desseins q
116
utilisée par les antifascistes va leur dicter une
attitude
politique, et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que
117
e doctrinale les empêchera de remarquer que cette
attitude
politique est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais
118
ommune de la jeunesse française, une communauté d’
attitude
essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
119
ins objectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’
attitude
de tous ces groupes un acte de présence à la misère du siècle, assez
120
utre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une
attitude
spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’économie et de
121
lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’
attitude
spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
122
e. Kierkegaard a personnifié dans les Stadestrois
attitudes
possibles en face de la vie. Le fougueux Victor Erémita symbolise la
123
e étrange confusion que de baptiser ascétisme une
attitude
qui se fonde dans la foi. (Schopenhauer n’est pas un argument. Ou alo
124
notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre
attitude
pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
125
llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine
attitude
, l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. L
126
xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’
attitude
démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. Les fantômes
127
t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’
attitude
démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
128
lières, — la personne, au contraire, représente l’
attitude
créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dan
129
inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une
attitude
de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
130
ttitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’
attitude
de celui qui se réfugie dans l’Histoire10, qui pense par périodes séc
131
uelles conséquences politiques commande une telle
attitude
et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
132
sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une
attitude
nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
133
un service nécessaire — voilà peut-être définie l’
attitude
chrétienne en politique : une révolution sans illusions. 18. Répons
134
nquête de la Revue du christianisme social, sur l’
attitude
des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du t
135
écessaire. Telle est, dans son principe, la seule
attitude
politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme
136
optimi pessima. ⁂ Mais il existe des êtres que l’
attitude
du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
137
urquoi en face des idoles, il n’y a plus que deux
attitudes
: les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est l
138
t trop de compromis pour être compatible avec une
attitude
chrétienne. À l’origine permanente de toute action vraiment évangéliq
139
e perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
attitudes
prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
140
e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’
attitude
de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, doit faire de
141
être une simple conception philosophique, est une
attitude
devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
142
comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une
attitude
qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’e
143
nc son temps à essayer une confrontation des deux
attitudes
sur le plan humain. Bien plus : on ne rend pas justice aux desseins q
144
utilisée par les antifascistes va leur dicter une
attitude
politique, et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que
145
e doctrinale les empêchera de remarquer que cette
attitude
politique est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais
146
ommune de la jeunesse française, une communauté d’
attitude
essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
147
ins objectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’
attitude
de tous ces groupes un acte de présence à la misère du siècle, assez
148
utre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une
attitude
spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’économie et de
149
lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’
attitude
spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
150
és par les masses. Ce sont ces phrases enfin et l’
attitude
intransigeante qu’elles expriment, qui contiennent le secret décisif
151
artisans de l’ouvriérisme intégral et exclusif (l’
attitude
du PC français jusqu’à cette année) Lénine n’a pas cessé de se répand
152
tion pour nous n’est pas une profession, mais une
attitude
pleinement humaine. Elle n’est pas d’abord une prise de pouvoir écono
153
du dessin, des images, du calcul, avait trouvé l’
attitude
centrale à partir de laquelle les entreprises de la connaissance et l
154
olution historique de l’humanité. Ils résultent d’
attitudes
différentes que Dieu adopte en face de l’homme. Ils représentent troi
155
’ardeur messianique, ne sont plus aujourd’hui des
attitudes
chrétiennes ; mais voilà le motif de notre action : nous attestons la
156
le fait historique capital sur lequel se fonde l’
attitude
commune des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes
157
. La seule doctrine, ou pour mieux dire, la seule
attitude
de pensée qui tienne compte de cette crise essentielle révélée par l’
158
’humain, certains pensent que c’est aujourd’hui l’
attitude
personnaliste. Les pages qu’Alexandre Marc consacre à la situation de
159
n’est devenue possible qu’en vertu d’une certaine
attitude
des clercs. Ce ne sont pas les bénéficiaires de cette situation, poli
160
e. Ce qu’on célèbre sous le nom d’esprit, c’est l’
attitude
prétendue spectaculaire, en réalité démissionnaire, de la pensée. La
161
lève chez nos clercs, il traduit bel et bien leur
attitude
de fait devant le monde : s’ils croyaient sérieusement à la justice,
162
e des vertus. Enfin trois importants essais sur l’
attitude
de l’écrivain devant l’action. Arrêtons-nous à cette partie-là qui ex
163
se adverse qu’ils n’aiment la leur.) Quelle est l’
attitude
pratique que Montherlant a cru bon d’adopter ? C’est celle du clerc —
164
me des Éthiopiens. Notons d’abord qu’une pareille
attitude
a le mérite de ne point sacrifier à l’excitation générale. Très haut
165
sent parfois ? Est-ce qu’ils comprennent que leur
attitude
la pose ? Si mes reproches leur paraissent porter à faux et révéler u
166
« fascisme » contre lequel toute la doctrine et l’
attitude
profonde de l’ON se dressent en une opposition irréductible, essentie
167
par convention, presque par accident, une série d’
attitudes
et de causes « morales » à une série parallèle d’attitudes et de fait
168
et de causes « morales » à une série parallèle d’
attitudes
et de faits visibles ; l’accent étant porté sur la causalité, et les
169
plus ou moins déguisé, de pousser à l’absurde les
attitudes
de vie ou de pensée qui ne se fondent pas dans cette vision centrale
170
ir avec rigueur, et d’affirmer la nécessité d’une
attitude
radicalement antipolitique. 4. Mais — la politique est à nos yeux tou
171
t rabaisse le travail. Ce faisant elle adopte une
attitude
nouvelle vis-à-vis de la culture. Elle transforme ce qui était ses ou
172
eux aux réalités économiques est tout d’abord une
attitude
polémique. S’il affirme au nom de la raison utilitaire la précédence
173
même traité (I. VII) caractérise très bien cette
attitude
: c’est, selon Dante, la spécialisation des travaux, nécessitée par l
174
dres de travail, davantage qu’à la création d’une
attitude
centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement insépar
175
la main apparaissent organiquement inséparables… (
Attitude
que j’essaierai de décrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)
176
’ils sont, mais tels que le Parti les définit.
Attitude
philosophique et religieuse. — Il n’est plus nécessaire d’insister su
177
n avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’
attitude
de pensée et d’action, indistinctement, qui nous rapproche de cette v
178
t dire que cette vérité même est indiquée par une
attitude
de notre être, telle que la pensée et l’action s’y confondent indisti
179
it au service de la vérité. Je définirai donc mon
attitude
comme un opportunisme de la vérité. Je ne perds pas de vue nos condit
180
le seul aspect moral de mon sujet : quelle est l’
attitude
de pensée, le parti pris fondamental qui peut nous orienter dès à pré
181
urs par opposition au passé.) 2° En décrivant les
attitudes
ou « vertus » qui me paraissent nécessaires pour affirmer le sens enc
182
te, il est extrêmement curieux de noter que cette
attitude
démissionnaire se trouve masquée, et comme « compensée » en apparence
183
ensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une
attitude
finale. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meil
184
oyen de les préciser — en affirmant directement l’
attitude
dont ils découlaient. Révolution culturelle La décadence de la c
185
carence historique. Tout dépend aujourd’hui de l’
attitude
de quelques pays — France, Angleterre, Suisse, Belgique — qui dispose
186
penser avec les mains, ce sera la description des
attitudes
morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en résultent, et
187
ont même jamais conçu clairement qu’une troisième
attitude
est possible, vis-à-vis de la réalité. Et cela se comprend : il y a s
188
t rabaisse le travail. Ce faisant elle adopte une
attitude
nouvelle vis-à-vis de la culture. Elle transforme ce qui était ses ou
189
eux aux réalités économiques est tout d’abord une
attitude
polémique. S’il affirme au nom de la raison utilitaire la précédence
190
même traité (I, vii) caractérise très bien cette
attitude
: c’est, selon Dante, la spécialisation des travaux, nécessitée par l
191
dres de travail, davantage qu’à la création d’une
attitude
centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement insépar
192
la main apparaissent organiquement inséparables… (
Attitude
que j’essaierai de décrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)
193
’ils sont, mais tels que le Parti les définit.
Attitude
philosophique et religieuse : Il n’est plus nécessaire d’insister sur
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n avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’
attitude
de pensée et d’action, indistinctement, qui nous rapproche de cette v
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t dire que cette vérité même est indiquée par une
attitude
de notre être, telle que la pensée et l’action s’y confondent indisti
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it au service de la vérité. Je définirai donc mon
attitude
comme un opportunisme de la vérité. Je ne perds pas de vue nos condi
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le seul aspect moral de mon sujet : quelle est l’
attitude
de pensée, le parti pris fondamental qui peut nous orienter dès à pré
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trahit ma formule de départ. 2° En décrivant les
attitudes
ou « vertus » qui me paraissent nécessaires pour affirmer le sens enc
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te, il est extrêmement curieux de noter que cette
attitude
démissionnaire se trouve masquée, et comme « compensée » en apparence
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nsée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une
attitude
finale. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meil
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oyen de les préciser — en affirmant directement l’
attitude
dont ils découlaient. Révolution culturelle La décadence de la c
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carence historique. Tout dépend aujourd’hui de l’
attitude
de quelques pays — France, Angleterre, Suisse, Belgique, Hollande — q
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penser avec les mains, ce sera la description des
attitudes
morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en résultent, et
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ont même jamais conçu clairement qu’une troisième
attitude
est possible à l’égard de la réalité. Et cela se comprend : il y a si
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le reflet idéologique de cette même mentalité (ou
attitude
) dont procède, sur le plan économique, le capitalisme, et que nous po
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J’en passe.) 7. D’une philosophie du jeu, et de l’
attitude
du sérieux… Arrêtons-nous à ce chiffre sacré, à ces sept jours qui no