1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 p, hurrah ! » 1. Éditions Grasset, Paris. 2. L’ attitude de M. de Montherlant légitime une telle « simplification ». a. « M.
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
2 nt sur eux, et d’autres qui tiennent qu’une telle attitude est responsable de ces carnages ». Naguère il était des premiers ; il
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
3 ée ? Point du tout ! Il paraît qu’il est la seule attitude littéraire aujourd’hui concevable. Mais par quelles tricheries plus o
4 tres de raisonnements. Plaisante ironie, si cette attitude n’était qu’une protestation contre nos poncifs intellectuels. Mais el
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
5 l pas que rien n’est plus protestant qu’une telle attitude  ? Mais ces réserves sont de peu d’importance si l’on songe au service
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
6 ire, en haine de toute stabilité, de toute forme. Attitude parfaitement folle, mais c’est justement de quoi se glorifient ses te
7 vais point nier la fécondité psychologique d’une attitude par ailleurs si proche de certain mysticisme. Mais pousser une vertu
6 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
8 fini, il n’y pense plus. On comprend qu’une telle attitude agace des gens qui se soucient avant tout de trouver des réponses de
7 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
9 e la vie »… Qu’on ne croie pas, d’ailleurs, que l’ attitude presque constamment critique de M. de Traz diminue l’intérêt vivant d
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
10 r, volonté de tout conserver en soi ? Ou bien une attitude en quelque sorte scientifique, à la fois curieuse et désintéressée, d
9 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
11 ables, et non d’après un système préconçu. (Cette attitude est plus rare qu’on ne le croit, de nos jours.) M. Esmonin montra ave
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
12 . Ou une maladie ? Ce n’est pas en l’ignorant par attitude que vous la guérirez. Au contraire, il s’agit de l’envisager sans fiè
13 es sécurités. Pourtant, vous voyez bien que votre attitude méprisante pour la littérature vous ferait bientôt renier le signe le
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
14 aurait être autrement tant qu’on se tient à cette attitude scientifique, vis-à-vis du phénomène littéraire. La « Promenade » du
12 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
15 ue de la philosophie. Il ne peut empêcher que son attitude ne porte un nom philosophique : c’est au plus pur, au plus naïf matér
16 mmon », dit l’Écriture. ⁂ Je ne pense pas qu’une attitude réactionnaire qui consisterait à vouloir en revenir à la période préi
13 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
17 g effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude , des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un
18 simple humanité vient interrompre une comédie aux attitudes convenues et donner l’air bête aux acteurs. Puis Gérard embrassa pate
14 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
19 fait opter ces chefs pour l’une ou l’autre de ces attitudes . (Elles ne sont pas essentiellement contradictoires : elles représent
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
20 t-il besoin de déclarer formellement qu’une telle attitude n’est en aucune façon tributaire de l’idéologie réactionnaire à la mo
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
21 de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme. Ceci revient à dire que seule une grande vague de l’imagina
22 rts resteront vains pour instaurer cette nouvelle attitude de l’âme. Mais ces méthodes ne prendraient tout leur sens et toute le
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
23 t-il besoin de déclarer formellement qu’une telle attitude n’est en aucune façon tributaire de l’idéologie réactionnaire à la mo
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
24 de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme. Ceci revient à dire que seule une grande vague de l’imagina
25 rts resteront vains pour instaurer cette nouvelle attitude de l’âme. Mais ces méthodes ne prendraient tout leur sens et toute le
19 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
26 sychologie scientifique » et à ce leurre qu’est l’ attitude paralléliste. 6. J’exagère probablement, car la sincérité de ce néo-
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
27 le. C’est le type du livre qui vaut surtout par l’ attitude qu’il manifeste et commente. Son sujet : le voyage d’un jeune normal
28 rée par la haine ? C’est qu’ils caractérisent une attitude de plus en plus fréquente chez les jeunes intellectuels : orgueil de
29 n numéro du 15 février15. M. Marcel analyse trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des lumières, celle de la t
21 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
30 bas ; non pas en curieux : en mystique. Pareille attitude ne surprendra pas un moderne ; mais elle est unique dans la littératu
22 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
31 s troublante que celle qu’impose n’importe quelle attitude politique. Aux yeux d’un incroyant, ceci peut sembler vague. Mais le
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
32 n’est plus loin du protestantisme que dans cette attitude sereinement contradictoire, où il voit l’essence de sa « réforme » et
24 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
33 t à honneur de compromettre la Réforme avec cette attitude , et de prolonger un malentendu qu’ils jugent peut-être flatteur, ou c
25 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
34 lisée selon des voies totalement divergentes, une attitude humaine qui me paraît commune. Que Goethe ait pratiqué « le devis des
26 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
35 ue ce que la nature visible nous en révèle. Cette attitude s’accuse de plus en plus à mesure que Goethe avance en âge. Nous voic
27 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
36 n’avait trouvé spontanément pareille communauté d’ attitude essentielle. C’est qu’aucune jamais n’eut à dévisager une menace auss
28 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
37 écessaire. Telle est, dans son principe, la seule attitude politique que puisse adopter le protestant : la politique du pessimis
38 ion criminelle. ⁂ Mais il existe des êtres que l’ attitude du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
39 et d’obus. En face des idoles, il n’y a que deux attitudes possibles : les adorer ou les fracasser. (Il y avait aussi l’attitude
40 les adorer ou les fracasser. (Il y avait aussi l’ attitude cynique — faussement appelée esthétique, qui consistait à dire : comm
29 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
41 ommune de la jeunesse française, une communauté d’ attitude essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
42 fs respectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’ attitude de tous ces groupes un véritable acte de présence à la misère du sièc
30 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
43 étonnant de constater combien exactement ces deux attitudes de l’esprit sont parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un per
31 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
44 g effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude , des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un
45 peu d’humanité vient interrompre une comédie aux attitudes convenues, et donne l’air bête aux acteurs. Puis Gérard embrassa pate
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
46 même étonnant de constater combien exactement ces attitudes de l’esprit sont parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un per
33 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
47 s essentiellement chrétienne : « Quelle est votre attitude vis-à-vis de votre prochain ? Lui laissez-vous ce qui lui revient, ou
48 e sécularisation de l’Évangile impliqué dans leur attitude , et qui les ferait retomber dans les vieilles erreurs du capitalisme
49 s l’impulsion de W. A. Visser ’t Hooft adopte une attitude très nettement non conformiste. Elle vient de donner un remarquable f
34 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
50 sérieux ne consistera jamais, pour nous, dans une attitude d’humilité lugubre. Le sérieux et le respect, en présence d’une quest
35 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
51 perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
52 e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’ attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui u
53 être une simple conception philosophique, est une attitude devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
54 comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une attitude qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’
36 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
55 ouveront enfin à qui parler. Le problème de notre attitude devant la guerre est subordonné à celui de notre révolution. La guerr
37 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
56  » radical, voilà qui ne peut manquer d’évoquer l’ attitude d’un Kierkegaard et par là même de ses descendants directs, les théol
57 le vertige — qu’à rapporter constamment ces deux attitudes l’une à l’autre, la positive et la négative, à expliquer le oui par l
38 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
58 apparences actuelles ». Contre ce désordre notre attitude est celle d’un refus total. Mais rompre avec ces apparences, ce n’est
59 ge et les dictatures ? Nous trouvons une certaine attitude humaine. Cette attitude, qu’on appelle capitaliste, est, en réalité,
60 ous trouvons une certaine attitude humaine. Cette attitude , qu’on appelle capitaliste, est, en réalité, pour qui va au fond des
61 é de compte, un ventre ou un électeur. Avec toute attitude idéologique qui entraîne la destruction de la personne, il est nécess
39 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)
62 n sans une sincérité qui fait peine. Car des deux attitudes proprement socialistes : vouloir réformer le capitalisme en louchant
40 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
63 pour les réaliser. Deux mots toutefois sur notre attitude révolutionnaire. Certains s’étonneront peut-être de la voir si peu ro
41 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
64 ccable dignité bourgeoise ne cesse d’inspirer les attitudes de ses héros, en dépit des carambolages du sort. Il y a donc Toepffer
42 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
65 notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre attitude pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
66 llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine attitude , l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant son destin. Eh
67 xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’ attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant son destin. Eh bien ! la pe
68 ! la personne à son tour n’est rien d’autre que l’ attitude créatrice de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans l’homme et se
69 inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une attitude de l’homme, j’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
70 ttitude de l’homme, j’ai essayé de vous montrer l’ attitude de celui qui se réfugie dans l’Histoire42, qui pense par périodes séc
71 uelles conséquences politiques commande une telle attitude et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
72 sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
43 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
73 « l’homme nouveau » — réalité de foi ? ⁂ Seule, l’ attitude chrétienne dit « oui » au monde avec une intrépide plénitude. Alors q
44 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
74 orains10 n’expriment rien de plus qu’une certaine attitude de l’homme, l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa v
75 en de plus qu’une certaine attitude de l’homme, l’ attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. Les fantômes
76 t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’ attitude démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
77 culières, — la personne au contraire représente l’ attitude créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans
78 inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une attitude de l’homme. J’ai décrit, à propos des marxistes11, l’attitude de ceux
79 l’homme. J’ai décrit, à propos des marxistes11, l’ attitude de ceux qui se réfugient dans l’Histoire, qui pensent par périodes de
45 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
80 un service nécessaire — voilà peut-être définie l’ attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions. II. Qu’av
81 t-être nous permettre de situer quelques-unes des attitudes les plus tranchées, et par là les plus instructives, qui se soient ma
82 e sommes souvent des implications générales d’une attitude particulière. C’est évidemment à propos de l’attitude des objecteurs
83 tude particulière. C’est évidemment à propos de l’ attitude des objecteurs de conscience qu’il y a lieu de souligner le plus fort
84 tarisme qu’il faudrait sans cela leur adresser. L’ attitude des objecteurs porte à son acuité extrême le paradoxe défini dans ma
85 rait être mise en symétrie avec aucune des autres attitudes que j’ai indiquées. Elle comporte un risque, un engagement concret, u
86 misme actif ». Je voudrais décrire maintenant une attitude constructive à laquelle je me suis rallié pour ma part. III. Qu’al
87 es que je proposais tout à l’heure pour définir l’ attitude chrétienne devant les exigences de César. Elles sont en singulière co
88 lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’ attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
46 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
89 aines des suppositions théologiques qu’implique l’ attitude de Buchman. Car ce n’est pas assez que de se refuser à parler de théo
47 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
90 Le maléfice hégélien, c’est l’objectivité : cette attitude de l’homme qui ne veut plus être sujet de son action, qui l’abandonne
48 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
91 a l’appel de l’homme, sa volonté déterminée, son attitude créatrice. Je dirai donc ce que notre désir invoque. Je vois un grand
49 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
92 quent trop bien. En somme, il adopte à peu près l’ attitude d’un juge d’instruction qui aurait choisi comme prévenus les auteurs
93 ne en permanence dans son esprit : mais c’est une attitude « scientifique » nullement sceptique ; c’est même, si l’on veut, une
50 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
94 vêtir un vrai visage, un nom et une autorité, une attitude d’auteur de son propre destin ? C’est ce que l’on ne voit point. C’es
51 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
95 ste, auquel devait logiquement les conduire cette attitude , fit voir bientôt l’inanité d’une pareille prétention. Que reste-t-il
52 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
96 notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre attitude pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
97 llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine attitude , l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation, sa
98 xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’ attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation, sa destinée. L
99 t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’ attitude démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
100 culières, — la personne au contraire représente l’ attitude créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans
101 inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une attitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
102 ttitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’ attitude de celui qui se réfugie dans l’Histoire15, qui pense par périodes séc
103 uelles conséquences politiques commande une telle attitude et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
104 sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
53 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
105 un service nécessaire — voilà peut-être définie l’ attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions. 23. Répons
106 nquête de la Revue du christianisme social, sur l’ attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du t
54 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
107 écessaire. Telle est, dans son principe, la seule attitude politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme
108 optimi pessima. ⁂ Mais il existe des êtres que l’ attitude du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
109 urquoi en face des idoles, il n’y a plus que deux attitudes  : les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est l
110 t trop de compromis pour être compatible avec une attitude chrétienne. À l’origine permanente de toute action vraiment évangéliq
55 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
111 e perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
112 e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’ attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui u
113 être une simple conception philosophique, est une attitude devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
114 comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une attitude qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’e
56 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
115 nc son temps à essayer une confrontation des deux attitudes sur le plan humain. Bien plus : on ne rend pas justice aux desseins q
57 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
116 utilisée par les antifascistes va leur dicter une attitude politique, et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que
117 e doctrinale les empêchera de remarquer que cette attitude politique est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais
58 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
118 ommune de la jeunesse française, une communauté d’ attitude essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
119 ins objectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’ attitude de tous ces groupes un acte de présence à la misère du siècle, assez
59 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
120 utre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’économie et de
60 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
121 lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’ attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
61 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
122 e. Kierkegaard a personnifié dans les Stadestrois attitudes possibles en face de la vie. Le fougueux Victor Erémita symbolise la
123 e étrange confusion que de baptiser ascétisme une attitude qui se fonde dans la foi. (Schopenhauer n’est pas un argument. Ou alo
62 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
124 notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre attitude pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
125 llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine attitude , l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. L
126 xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’ attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. Les fantômes
127 t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’ attitude démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
128 lières, — la personne, au contraire, représente l’ attitude créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dan
129 inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une attitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
130 ttitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’ attitude de celui qui se réfugie dans l’Histoire10, qui pense par périodes séc
131 uelles conséquences politiques commande une telle attitude et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
132 sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
63 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
133 un service nécessaire — voilà peut-être définie l’ attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions. 18. Répons
134 nquête de la Revue du christianisme social, sur l’ attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du t
64 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
135 écessaire. Telle est, dans son principe, la seule attitude politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme
136 optimi pessima. ⁂ Mais il existe des êtres que l’ attitude du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
137 urquoi en face des idoles, il n’y a plus que deux attitudes  : les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est l
138 t trop de compromis pour être compatible avec une attitude chrétienne. À l’origine permanente de toute action vraiment évangéliq
65 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
139 e perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
140 e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’ attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, doit faire de
141 être une simple conception philosophique, est une attitude devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
142 comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une attitude qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’e
66 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
143 nc son temps à essayer une confrontation des deux attitudes sur le plan humain. Bien plus : on ne rend pas justice aux desseins q
67 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
144 utilisée par les antifascistes va leur dicter une attitude politique, et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que
145 e doctrinale les empêchera de remarquer que cette attitude politique est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais
68 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
146 ommune de la jeunesse française, une communauté d’ attitude essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
147 ins objectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’ attitude de tous ces groupes un acte de présence à la misère du siècle, assez
69 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
148 utre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’économie et de
70 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
149 lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’ attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
71 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
150 és par les masses. Ce sont ces phrases enfin et l’ attitude intransigeante qu’elles expriment, qui contiennent le secret décisif
151 artisans de l’ouvriérisme intégral et exclusif (l’ attitude du PC français jusqu’à cette année) Lénine n’a pas cessé de se répand
152 tion pour nous n’est pas une profession, mais une attitude pleinement humaine. Elle n’est pas d’abord une prise de pouvoir écono
72 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
153 du dessin, des images, du calcul, avait trouvé l’ attitude centrale à partir de laquelle les entreprises de la connaissance et l
73 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
154 olution historique de l’humanité. Ils résultent d’ attitudes différentes que Dieu adopte en face de l’homme. Ils représentent troi
74 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
155 ’ardeur messianique, ne sont plus aujourd’hui des attitudes chrétiennes ; mais voilà le motif de notre action : nous attestons la
75 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
156 le fait historique capital sur lequel se fonde l’ attitude commune des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes
157 . La seule doctrine, ou pour mieux dire, la seule attitude de pensée qui tienne compte de cette crise essentielle révélée par l’
158 ’humain, certains pensent que c’est aujourd’hui l’ attitude personnaliste. Les pages qu’Alexandre Marc consacre à la situation de
76 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
159 n’est devenue possible qu’en vertu d’une certaine attitude des clercs. Ce ne sont pas les bénéficiaires de cette situation, poli
160 e. Ce qu’on célèbre sous le nom d’esprit, c’est l’ attitude prétendue spectaculaire, en réalité démissionnaire, de la pensée. La
161 lève chez nos clercs, il traduit bel et bien leur attitude de fait devant le monde : s’ils croyaient sérieusement à la justice,
77 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
162 e des vertus. Enfin trois importants essais sur l’ attitude de l’écrivain devant l’action. Arrêtons-nous à cette partie-là qui ex
163 se adverse qu’ils n’aiment la leur.) Quelle est l’ attitude pratique que Montherlant a cru bon d’adopter ? C’est celle du clerc —
164 me des Éthiopiens. Notons d’abord qu’une pareille attitude a le mérite de ne point sacrifier à l’excitation générale. Très haut
78 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
165 sent parfois ? Est-ce qu’ils comprennent que leur attitude la pose ? Si mes reproches leur paraissent porter à faux et révéler u
79 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
166 « fascisme » contre lequel toute la doctrine et l’ attitude profonde de l’ON se dressent en une opposition irréductible, essentie
80 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
167 par convention, presque par accident, une série d’ attitudes et de causes « morales » à une série parallèle d’attitudes et de fait
168 et de causes « morales » à une série parallèle d’ attitudes et de faits visibles ; l’accent étant porté sur la causalité, et les
81 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
169 plus ou moins déguisé, de pousser à l’absurde les attitudes de vie ou de pensée qui ne se fondent pas dans cette vision centrale
82 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
170 ir avec rigueur, et d’affirmer la nécessité d’une attitude radicalement antipolitique. 4. Mais — la politique est à nos yeux tou
83 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
171 t rabaisse le travail. Ce faisant elle adopte une attitude nouvelle vis-à-vis de la culture. Elle transforme ce qui était ses ou
84 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
172 eux aux réalités économiques est tout d’abord une attitude polémique. S’il affirme au nom de la raison utilitaire la précédence
85 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
173 même traité (I. VII) caractérise très bien cette attitude  : c’est, selon Dante, la spécialisation des travaux, nécessitée par l
86 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
174 dres de travail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement insépar
175 la main apparaissent organiquement inséparables… ( Attitude que j’essaierai de décrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)  
176 ’ils sont, mais tels que le Parti les définit.   Attitude philosophique et religieuse. — Il n’est plus nécessaire d’insister su
87 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
177 n avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’ attitude de pensée et d’action, indistinctement, qui nous rapproche de cette v
178 t dire que cette vérité même est indiquée par une attitude de notre être, telle que la pensée et l’action s’y confondent indisti
88 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
179 it au service de la vérité. Je définirai donc mon attitude comme un opportunisme de la vérité. Je ne perds pas de vue nos condit
180 le seul aspect moral de mon sujet : quelle est l’ attitude de pensée, le parti pris fondamental qui peut nous orienter dès à pré
181 urs par opposition au passé.) 2° En décrivant les attitudes ou « vertus » qui me paraissent nécessaires pour affirmer le sens enc
89 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
182 te, il est extrêmement curieux de noter que cette attitude démissionnaire se trouve masquée, et comme « compensée » en apparence
90 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
183 ensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude finale. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meil
184 oyen de les préciser — en affirmant directement l’ attitude dont ils découlaient. Révolution culturelle La décadence de la c
185 carence historique. Tout dépend aujourd’hui de l’ attitude de quelques pays — France, Angleterre, Suisse, Belgique — qui dispose
186 penser avec les mains, ce sera la description des attitudes morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en résultent, et
187 ont même jamais conçu clairement qu’une troisième attitude est possible, vis-à-vis de la réalité. Et cela se comprend : il y a s
91 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
188 t rabaisse le travail. Ce faisant elle adopte une attitude nouvelle vis-à-vis de la culture. Elle transforme ce qui était ses ou
92 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
189 eux aux réalités économiques est tout d’abord une attitude polémique. S’il affirme au nom de la raison utilitaire la précédence
93 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
190 même traité (I, vii) caractérise très bien cette attitude  : c’est, selon Dante, la spécialisation des travaux, nécessitée par l
94 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
191 dres de travail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement insépar
192 la main apparaissent organiquement inséparables… ( Attitude que j’essaierai de décrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)  
193 ’ils sont, mais tels que le Parti les définit.   Attitude philosophique et religieuse : Il n’est plus nécessaire d’insister sur
95 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
194 n avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’ attitude de pensée et d’action, indistinctement, qui nous rapproche de cette v
195 t dire que cette vérité même est indiquée par une attitude de notre être, telle que la pensée et l’action s’y confondent indisti
96 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Préambule
196 it au service de la vérité. Je définirai donc mon attitude comme un opportunisme de la vérité. Je ne perds pas de vue nos condi
197 le seul aspect moral de mon sujet : quelle est l’ attitude de pensée, le parti pris fondamental qui peut nous orienter dès à pré
198 trahit ma formule de départ. 2° En décrivant les attitudes ou « vertus » qui me paraissent nécessaires pour affirmer le sens enc
97 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
199 te, il est extrêmement curieux de noter que cette attitude démissionnaire se trouve masquée, et comme « compensée » en apparence
98 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
200 nsée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude finale. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meil
201 oyen de les préciser — en affirmant directement l’ attitude dont ils découlaient. Révolution culturelle La décadence de la c
202 carence historique. Tout dépend aujourd’hui de l’ attitude de quelques pays — France, Angleterre, Suisse, Belgique, Hollande — q
203 penser avec les mains, ce sera la description des attitudes morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en résultent, et
204 ont même jamais conçu clairement qu’une troisième attitude est possible à l’égard de la réalité. Et cela se comprend : il y a si
99 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
205 le reflet idéologique de cette même mentalité (ou attitude ) dont procède, sur le plan économique, le capitalisme, et que nous po
100 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
206 J’en passe.) 7. D’une philosophie du jeu, et de l’ attitude du sérieux… Arrêtons-nous à ce chiffre sacré, à ces sept jours qui no