1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ef et chaud, imagé et réaliste, M. de Montherlant chante cette « violence ordonnée et calme » des « grands corps athlétiques »
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
2 démocratique pendant lequel le philosophe Abauzit chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une main sur l’épaule de Janson,
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 de la vie ne lui échappe pas. Il en parle, il le chante avec pathétique. Mais c’est parce qu’il est poète : le chant fini, il
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 ir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme chante une plainte inouïe de pureté. Deux phrases rapides ondulent dans l’ai
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
5 de la mort. Garçon, un café, un ! » Mais l’étoile chantait dans l’axe de sa vie normale et s’approchait en faisant la roue — cel
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
6 es gens pour qui les limites de l’anarchie sont : chanter l’Internationale dans les rues, faire la noce, écrire un livre de ten
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
7 accords d’une harmonie surnaturelle. Et tout cela chanté dans une langue que je comprends mal. Je me penche vers un voisin pou
8 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
8 h qui parle à son chien en mourant, une fille qui chante et des enfants surtout, dès le début, puis plus tard encore, dans les
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
9 retrouver cette mélodie descendue d’un balcon où chantait la Schumann ; sans avoir pu retrouver le nom de qui l’on a reconduit
10 rileuses dans leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
11 la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent , les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine,
12 e fois. 13. Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la ch
13 nd : ici la mélancolie même est passionnée. Elles chantent avec le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verd
14 le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains plei
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
15 in, c’est un cantique d’adoration spirituelle que chante la poésie anglaise en de véritables « élévations ». Mais tout ce lyri
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
16 e de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une dernière fois la loi, au moment où il reçoit la grâce de lui écha
13 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
17 ers refuges, vastes auberges de la Souabe où l’on chantait les chœurs de Schubert après boire — et les hommes parlaient lentemen
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
18 accords d’une harmonie surnaturelle. Et tout cela chanté dans une langue que je comprends mal. Je me penche vers un voisin pou
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
19 ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presqu
20 regards. Que sont tous ces gestes rythmés ? Anday chante . Ils me voient dans la nudité du rêve, oh ! je les hais de me voir !
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
21 retrouver cette mélodie descendue d’un balcon où chantait la Schumann ; sans avoir pu retrouver le nom de qui l’on a reconduit
22 rileuses dans leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a
23 fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui «  chantent  ». L’après-midi est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que n
24 la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent , les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine,
25 fois. xiii Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la ch
26 nd : ici la mélancolie même est passionnée. Elles chantent avec le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verd
27 le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains plei
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
28 nité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à chanter des choses déchirantes qui peuvent seules exprimer cette euphorie. Qu
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
29 ; le comte en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis, des mélodies de Bach. Apr
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
30 ers refuges, vastes auberges de la Souabe où l’on chantait les chœurs de Schubert après boire — et les hommes parlaient lentemen
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
31 ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presqu
32 regards. Que sont tous ces gestes rythmés ? Anday chante . Ils me voient dans la nudité du rêve, oh ! je les hais de me voir !
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 retrouver cette mélodie descendue d’un balcon où chantait la Schumann ; sans avoir pu retrouver le nom de qui l’on a reconduit
34 rileuses dans leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a
35 fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui «  chantent  ». L’après-midi est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que n
36 la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent , les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine,
37 cette fois. Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la ch
38 nd : ici la mélancolie même est passionnée. Elles chantent avec le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verd
39 le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi —, elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains plei
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
40 ; le comte en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis, des mélodies de Bach. Apr
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
41 nité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à chanter des choses déchirantes qui peuvent seules exprimer cette euphorie. Qu
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
42 Une femme du chœur me dit : « C’est difficile de chanter ça ce soir. Les mots vous restent dans la gorge… » Le drame ne put êt
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
43 t le style. Entendrons-nous un jour quelqu’un qui chante , ou crie, après des siècles où nul n’a prononcé un mot plus haut que
26 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
44 té. La « communion avec la Nature », telle que la chante un lyrique incroyant, n’est rien que l’abandon égoïste, et parfois vo
27 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
45 s les objets, mais néglige d’en choisir aucun. Il chante sa grandeur, mais n’en témoigne pas. Il est plus dangereux que le mat
28 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
46 eurs irrationnels de la vie », etc. Nietzsche l’a chanté , mais comme un bien perdu. g. « Contre Nietzsche », Présence, Lausan
29 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
47 n rouge vif un vert violent pour que l’ensemble «  chante  ». Lui. — Belle composition esthétique ! Je vous dis que vous manque
30 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
48 la tribune, aux accents du Deutschland über alles chanté debout, le bras levé. À huit heures sonnant, les lampes à arc s’éteig
31 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
49 ». Les glaciers ne sont pas « sublimes » comme on chante dans les écoles suisses. Et il est faux de « chanter » la montagne :
50 ante dans les écoles suisses. Et il est faux de «  chanter  » la montagne : les montagnards l’appellent « le mauvais pays ». ⁂ On
32 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
51 ssuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien, on éprouv
33 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
52 ssuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien, on éprouv
34 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
53 ssuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien, on éprouv
35 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
54 l’esprit. (L’esprit seul voit) Le corps et l’âme chantent alors dans l’unisson de la chasteté. L’esprit offensif et joyeux, le
36 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
55 venir à sa rencontre. Un peu plus loin, il entend chanter  : c’est la fille de l’aubergiste, qui a fort mauvaise réputation. Mai
37 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
56 e l’on endure au nom du but dernier. (Le chrétien chante sur son bûcher, le komsomol accepte un salaire de famine s’il faut ce
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
57 future… Dictateur, prophète des masses, je ferais chanter cet hymne par les troupes déferlantes, et ce serait le chant du desti
39 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
58 ’est sûrement pour la même raison qui fait qu’ils chantent faux. Et s’ils chantent faux, c’est parce qu’ils se croiraient déshon
59 me raison qui fait qu’ils chantent faux. Et s’ils chantent faux, c’est parce qu’ils se croiraient déshonorés de chanter juste, c
60 x, c’est parce qu’ils se croiraient déshonorés de chanter juste, comme aussi de marcher au pas. La dignité humaine du petit-bou
61 la Déclaration des droits de l’homme, consiste à chanter faux et à troubler le cortège. Voilà ce qu’illustre cette cacophonie 
40 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
62 -socialisme par ce besoin de marcher ensemble, de chanter ensemble, de boire et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène es
63 ivions des cours de politique et d’économie. Nous chantions ensemble. On nous interrogeait. La plupart des soirées libres, nous l
41 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
64 fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui «  chantent  ». L’après-midi est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que n
42 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
65 D’Amor mou castitaz : d’Amour vient la chasteté, chante Guilhem Montanhagol. Un tel Amour n’admet point le mariage, car il n’
66 de vilains armés chevaliers parce qu’ils savaient chanter l’Amour. Et c’est pourquoi certains auteurs ont pu parler d’une féoda
43 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
67 le barde adresse une requête au roi, il doit lui chanter un poème. S’il s’adresse à un noble, trois poèmes. Si c’est à un vila
68 oèmes. Si c’est à un vilain, il faut que le barde chante jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus… Je répondais à mon ami : — À chacu
44 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 cueillement profond. Il m’a semblé aussi que l’on chantait mieux que naguère, sur un rythme moins alangui. Le pasteur a parlé de
70 -socialisme par ce besoin de marcher ensemble, de chanter ensemble, de boire et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène es
71 ivions des cours de politique et d’économie. Nous chantions ensemble. On nous interrogeait. La plupart des soirées libres, nous l
72 n rouge vif un vert violent pour que l’ensemble «  chante  ». Lui. — Belle composition esthétique ! Je vous dis que vous manque
73 Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier, nous chantions encore avec les étudiants, dans une auberge forestière. Des tyrolienn
45 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
74 un Jean de la Croix, et dont la nuit des songes, chantée par les poètes, n’était que le symbole et le signe physique6. C’est «
46 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
75 récitatifs, — et que je m’étais bien gardé de lui chanter  ! On sait la suite : tout était prêt, quand septembre 1939 vint détru
76 artir de ce jour, le sort même de la paix qu’elle chantait . Je vous ai raconté cette histoire pour apporter un témoignage assez
77 uleuse ! Jusqu’au jour incertain où nous pourrons chanter ce final entonné par tous les chœurs du drame : Éclatez, éclatez en
78 ris de joie ! Oui, tous en chœur, levez-vous et chantez  ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, tous, encor, jubil
47 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
79 e aussi qu’elles l’entretiennent, soit qu’elles «  chantent  » en prose et en vers ce que la religion tient pour un crime, et la L
80 is la musique est savante, vraiment, et elle nous chante immensément le beau secret : c’est lui qui a voulu son destin : Ce t
81 es psychologues. « Élu par moi, perdu par moi ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la chanson du marinier, du haut du mâ
82 ces deux « passions » parlent un même langage, et chantent peut-être dans notre âme la même « vieille et grave mélodie » orchest
48 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
83 renaître en un ciel de Lumière. La « Nuit » qu’il chante , c’est le Jour incréé. Et sa passion, c’est le culte d’Éros, le Désir
84 de Tristan, qu’il ne peut « dire » mais seulement chanter … ⁂ Toute conception dualiste, disons manichéenne, voit dans la vie le
85 é. E d’amor mou castitaz (d’amour vient chasteté) chante le troubadour toulousain Guilhem Montanhagol. L’Amour suppose aussi u
86 s routes ? Et si les cours où ils s’arrêtent pour chanter et offrir leur hommage se trouvent être précisément les cours des sei
87 nt N’a pouvoir ni droit de me plaire tant. Ainsi chante Aimeric de Belenoi47. La « joie vilaine », c’est ce qui le guérirait
49 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
88 esprit… Mais ceux qui sont nés du Saint-Esprit et chantent ses louanges, pratiquent toutes les vertus. Ils connaissent et ils ai
50 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
89 une petite fable la vraie nature de l’Amour qu’il chante , et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un
90 ques, et finalement les « illustres bardes » qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts
91 e son livret, et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de la dissolution des formes et des êtres, la libération du d
92 té exceptionnelle de ne pas entendre ce qu’on lui chante , qui ont facilité l’opération. Ainsi le Tristan de Wagner peut être i
93 le fait le gage de la suprême guérison, celle que chantera Isolde agonisante sur le cadavre de Tristan, dans l’extase de la « jo
94 e l’alcoolisme par rapport à l’ivresse divine que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre d’avant-guerre détient une
95 le ventre vers le mâle dominateur161. Au lieu de chanter la courtoisie, nous chanterons les ruses du désir animal, l’emprise t
96 nateur161. Au lieu de chanter la courtoisie, nous chanterons les ruses du désir animal, l’emprise totale du sexe sur l’esprit. Et
51 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
97 de vilains armés chevaliers parce qu’ils savaient chanter l’Amour. Et c’est pourquoi certains auteurs ont pu parler d’une féoda
52 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
98 Gilson ne saurait se réjouir. c) Les troubadours chantent l’amour malheureux. Mais l’amour divin des cisterciens obtient au con
53 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
99 ! 1. Pendant tous les « récitatifs », le chœur chante à bouche fermée, soutenant la parole du récitant. Seuls les mots impr
54 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
100 he, portant des paniers pleins, deux par deux, et chantent jusqu’à ce qu’ils soient devant la maison. Dorothée est rentrée.) J
101 dans la maison. Dorothée les suit. On les entend chanter .) Scène vii. (La nuit vient. Nicolas est resté seul un instant
102 qui suit, — « Gebetlein » — le chœur continue de chanter à bouche fermée.) Nicolas. —  Mon Seigneur et mon Dieu, ôte de moi
103 raissent dans la maison.) Récitatif. (Le chœur chante à bouche fermée.) Dure est la peine, affreux le sacrifice, noire la n
104 el vous tous ses anges et vous tous ses enfants ! Chante , ô peuple des bergers ! Louez Dieu sur la face des glaciers Louez Die
55 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
105 . Ils ont appris nos mélodies le long des routes. Chanter nous donne du courage, la nuit, dans la forêt horrible et noire !
106 ). —  Et la nuit aussi ! Récitatif. (Le chœur chante à bouche fermée. Seuls les mots en italique sont articulés.) Nicolas
56 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
107 oi, les ambassadeurs et les compagnons boivent et chantent ensemble.) Scène v. (Fanfare. Des soldats entrent par la gauche
108 t, éclairs, bruits d’armes.) (Le chœur continue à chanter sourdement, à bouche fermée. Les assistants, sur la place, se sont to
109 cris de joie ! Oui, tous, en chœur, levez-vous et chantez  ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui tous, encor, jubilez et
57 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
110 be sur le Festspiel en Suisse, dans La Suisse qui chante , 1932). Cette formule me paraît plus collectiviste que communautaire.
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
111 e aussi qu’elles l’entretiennent, soit qu’elles «  chantent  » en prose et en vers ce que la religion tient pour un crime, et la L
112 is la musique est savante, vraiment, et elle nous chante immensément le beau secret : c’est lui qui a voulu son destin : Ce te
113 es psychologues. « Élu par moi, perdu par moi ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la chanson du marinier, du haut du mâ
114 ces deux « passions » parlent un même langage, et chantent peut-être dans notre âme la même « vieille et grave mélodie » orchest
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
115 renaître en un ciel de Lumière. La « Nuit » qu’il chante , c’est le Jour incréé. Et sa passion, c’est le culte d’Éros, le Désir
116 de Tristan, qu’il ne peut « dire » mais seulement chanter … ⁂ Toute conception dualiste, manichéenne, voit dans la vie des corps
117 é. E d’amor mou castitaz (d’amour vient chasteté) chante le troubadour toulousain Guilhem Montanhagol. L’amour suppose aussi u
118 t-il imaginable que les troubadours aient vécu et chanté dans ce monde-là, sans se soucier de ce que pensaient, croyaient et s
119 nt N’a pouvoir ni droit de me plaire tant. Ainsi chante Aimeric de Belenoi. La « joie vilaine », c’est ce qui le guérirait de
120 l s’agit d’une légende, mais tirée des poèmes qui chantent bel et bien « l’amour de loin ». Il y eut aussi des dames « réelles »
121 anchées qu’elles ne le seraient de nos jours. Ils chantaient , pour un public en majorité favorable à l’hérésie, une forme d’amour
122 air depuis deux-cents ans. Dans tous les cas, ils chantaient pour des châtelaines, dont il fallait apaiser par des chansons la mau
123 ration expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté . « Ce n’est plus de l’amour courtois, si on le matérialise ou si la D
124 actions et des drames, et non plus seulement pour chanter ce que l’on pourrait encore tenir, chez les troubadours du Midi, pour
125 remière adolescence. Il ressemble aussi à l’amour chanté par les poètes arabes, homosexuels pour la plupart, comme le furent p
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
126 esprit… Mais ceux qui sont nés du Saint-Esprit et chantent ses louanges, pratiquent toutes les vertus. Ils connaissent et ils ai
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
127 une petite fable la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un r
128 ues, et finalement les « illustres bardes », qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts
129 e son livret, et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de la dissolution des formes et des êtres, la libération du d
130 té exceptionnelle de ne pas entendre ce qu’on lui chante , qui ont facilité l’opération. Ainsi le Tristan de Wagner peut être i
131 le fait le gage de la suprême guérison, celle que chantera Isolde agonisante sur le cadavre de Tristan, dans l’extase de la « jo
132 e l’alcoolisme par rapport à l’ivresse divine que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre d’avant-guerre détient une
133 le ventre vers le mâle dominateur179. Au lieu de chanter la courtoisie, nous chanterons les ruses du désir animal, l’emprise t
134 nateur179. Au lieu de chanter la courtoisie, nous chanterons les ruses du désir animal, l’emprise totale du sexe sur l’esprit. Et
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
135 e aussi qu’elles l’entretiennent, soit qu’elles «  chantent  » en prose et en vers ce que la religion tient pour un crime, et la l
136 is la musique est savante, vraiment, et elle nous chante immensément le beau secret : c’est lui qui a voulu son destin : Ce t
137 es psychologues. « Élu par moi, perdu par moi ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la chanson du marinier, du haut du mâ
138 ces deux « passions » parlent un même langage, et chantent peut-être dans notre âme la même « vieille et grave mélodie » orchest
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
139 renaître en un ciel de Lumière. La « Nuit » qu’il chante , c’est le Jour incréé. Et sa passion, c’est le culte d’Éros, le Désir
140 de Tristan, qu’il ne peut « dire » mais seulement chanter … ⁂ Toute conception dualiste, manichéenne, voit dans la vie des corps
141 é. E d’amor mou castitaz (d’amour vient chasteté) chante le troubadour toulousain Guilhem Montanhagol. L’amour suppose aussi u
142 t-il imaginable que les troubadours aient vécu et chanté dans ce monde-là sans se soucier de ce que pensaient, croyaient et se
143 t N’a pouvoir ni droit de me plaire tant. Ainsi chante Aimeric de Belenoi. La « joie vilaine », c’est ce qui le guérirait de
144 l s’agit d’une légende, mais tirée des poèmes qui chantent bel et bien « l’amour de loin ». Il y eut aussi des dames « réelles »
145 anchées qu’elles ne le seraient de nos jours. Ils chantaient , pour un public en majorité favorable à l’hérésie, une forme d’amour
146 air depuis deux-cents ans. Dans tous les cas, ils chantaient pour des châtelaines, dont il fallait apaiser par des chansons la mau
147 ration expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté . « Ce n’est plus de l’amour courtois, si on le matérialise ou si la D
148 actions et des drames, et non plus seulement pour chanter ce que l’on pourrait encore tenir, chez les troubadours du Midi, pour
149 remière adolescence. Il ressemble aussi à l’amour chanté par les poètes arabes, homosexuels pour la plupart, comme le furent p
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
150 esprit… Mais ceux qui sont nés du Saint-Esprit et chantent ses louanges, pratiquent toutes les vertus. Ils connaissent et ils ai
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
151 une petite fable la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un r
152 ques, et finalement les « illustres bardes » qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts
153 e son livret, et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de la dissolution des formes et des êtres, la libération du d
154 té exceptionnelle de ne pas entendre ce qu’on lui chante , qui ont facilité l’opération. Ainsi le Tristan de Wagner peut être i
155 le fait le gage de la suprême guérison, celle que chantera Isolde agonisante sur le cadavre de Tristan, dans l’extase de la « jo
156 e l’alcoolisme par rapport à l’ivresse divine que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre « parisien » détient une s
157 le ventre vers le mâle dominateur166. Au lieu de chanter la courtoisie, nous chanterons les ruses du désir animal, l’emprise t
158 nateur166. Au lieu de chanter la courtoisie, nous chanterons les ruses du désir animal, l’emprise totale du sexe sur l’esprit. Et
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
159 Gilson ne saurait se réjouir. c) Les troubadours chantent l’amour malheureux. Mais l’amour divin des cisterciens obtient au con
67 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
160 est seul à pouvoir l’exercer dignement. Or, nous chantons nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux deux, et
161 ignement. Or, nous chantons nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux deux, et nous en retirons d’importants
162 s… Ne seraient-ils pas aussi capables que nous de chanter et de gagner de l’argent, si nous étions contraints de leur céder la
68 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
163 ouille). IV. Kyrie (un petit chœur ou l’assemblée chante  : « Seigneur, aie pitié de nous ! Christ, aie pitié de nous !… »). V.
164 râce et absolution collective (l’assemblée debout chante  : « Ô qu’heureux est celui dont la transgression est remise… Mon âme,
165 ntir à cette marque publique d’humiliation ? Nous chantons dans un chant patriotique : « Devant Dieu seul, fléchissons le genou.
166 ever, prier ensemble à haute voix, s’agenouiller, chanter spontanément un répons, ce sont des gestes qui engagent, et par lesqu
69 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
167 lieto, sia ! Di doman non c’è certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à
70 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
168 ivilège, après tout, c’est de le mériter. Or nous chantons nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux cieux, e
169 e mériter. Or nous chantons nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux cieux, et nous en retirons d’importants
170 s… Ne seraient-ils pas aussi capables que nous de chanter et de gagner de l’argent, si nous étions contraints de leur céder la
171  dans son attitude superbe », il ne suffit pas de chanter . Il s’agit d’être moralement « à la hauteur ». Non, ce n’est pas si f
71 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
172 square presque déserté, cette femme du peuple qui chantait à pleine voix le Star-Spangled Banner, avec la ferveur d’une évangéli
72 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
173 e de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une dernière fois la loi, au moment qu’il reçoit la grâce de lui écha
73 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
174  » Les glaciers ne sont pas « sublimes » comme on chante dans les écoles suisses. Et il est faux de « chanter » la montagne :
175 ante dans les écoles suisses. Et il est faux de «  chanter  » la montagne : les montagnards l’appellent « le mauvais pays ». On a
74 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
176 rit Jean de la Croix, et dont la nuit des songes, chantée par les poètes, n’était que le symbole et le signe physique88. C’est
75 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
177 re. N’insistons pas : l’appareil militaire qu’ont chanté les Déroulède de tous les temps, appartient en principe aux musées, d
76 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
178 vêque anglican de New York. Dix mille personnes y chanteront des hymnes avant la procession du chœur et du clergé, précédés de por
77 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
179 a l’impression que les gens sont un peu fous… Ils chantent dans la rue, vous posent les questions les plus indiscrètes, entrent
78 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
180 épendait que de lui d’aller à pied quand cela lui chantait . Mais je m’avise ici d’une contradiction étrange. Il semble bien que
79 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
181 hasard, vers midi. Si vous tombez sur un service chanté , la communion reçue à genoux devant l’autel, vous vous croirez chez l
80 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
182 vêque anglican de New York. Dix mille personnes y chanteront des carols avant la procession du chœur et du clergé, précédée de por
81 1946, Journal des deux mondes. Intermède
183 Une femme du chœur me dit : « C’est difficile de chanter ça ce soir. Les mots nous restent dans la gorge… » Le drame ne put êt
82 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
184 er lieto, sia ! Di doman non c’è certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à
83 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
185 s religieuses, mais là encore, le Credo de Nicée, chanté par un chœur anglican, se voit coupé avant le Saint-Esprit par la pub
186 nt les bougies ; dans chaque rue, des enfants qui chantent des carols ; dans chaque église ou presque, le Messie de Haendel. Et
187 e dis « presque ». ⁂ Les Madrigaux de Monteverde, chantés par un petit ensemble que dirige Nadia Boulanger (il se trouve qu’ell
84 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
188 vêque anglican de New York. Dix mille personnes y chanteront des carols avant la procession du chœur et du clergé, précédée de por
85 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
189 re. N’insistons pas : l’appareil militaire qu’ont chanté les Déroulède de tous les temps, appartient en principe aux musées, d
86 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
190 re. N’insistons pas : l’appareil militaire qu’ont chanté les Déroulèdes de tous les temps, appartient en principe aux musées,
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
191 ers refuges, vastes auberges de la Souabe où l’on chantait des chœurs de Schubert après boire — et les hommes parlaient lentemen
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
192 ; le comte en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis, des mélodies de Bach. Apr
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
193 ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presqu
194 regards. Que sont tous ces gestes rythmés ? Anday chante . Ils me voient dans la nudité du rêve, oh ! je les hais de me voir !
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
195 rileuses dans leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a
196 la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent , les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine,
197 cette fois. Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la ch
198 nd : ici la mélancolie même est passionnée. Elles chantent avec le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verd
199 le corps entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi —, elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains plei
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
200 nité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à chanter des choses déchirantes qui peuvent seules exprimer cette euphorie. Qu
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
201 future… Dictateur, prophète des masses, je ferais chanter cet hymne par les troupes déferlantes, et ce serait le chant du desti
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
202 ’est sûrement pour la même raison qui fait qu’ils chantent faux. Et s’ils chantent faux, c’est parce qu’ils se croiraient déshon
203 me raison qui fait qu’ils chantent faux. Et s’ils chantent faux, c’est parce qu’ils se croiraient déshonorés de chanter juste, c
204 x, c’est parce qu’ils se croiraient déshonorés de chanter juste, comme aussi de marcher au pas. La dignité humaine du petit-bou
205 la Déclaration des droits de l’homme, consiste à chanter faux et à troubler le cortège. Voilà ce qu’illustre cette cacophonie 
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
206 cueillement profond. Il m’a semblé aussi que l’on chantait mieux que naguère, sur un rythme moins alangui. Le pasteur a parlé de
207 -socialisme par ce besoin de marcher ensemble, de chanter ensemble, de boire et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène es
208 ivions des cours de politique et d’économie. Nous chantions ensemble. On nous interrogeait. La plupart des soirées libres, nous l
209 n rouge vif un vert violent pour que l’ensemble «  chante  ». Lui. — Belle composition esthétique ! Je vous dis que vous manque
210 Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier, nous chantions encore avec les étudiants, dans une auberge forestière. Des tyrolienn
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
211 pe-nigaud, et ce n’est pas sans conviction qu’ils chantent , le 1er mai, selon la formule officielle : Communauté, égalité et pai
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
212 Une femme du chœur me dit : « C’est difficile de chanter ça ce soir. Les mots nous restent dans la gorge… » Le drame ne put êt
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
213 er lieto, sia ! Di doman non c’è certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
214 s religieuses, mais là encore, le Credo de Nicée, chanté par un chœur anglican, se voit coupé avant le Saint-Esprit par la pub
215 nt les bougies ; dans chaque rue, des enfants qui chantent des carols ; dans chaque église ou presque, le Messie de Haendel. Et
216 e dis « presque ». ⁂ Les Madrigaux de Monteverdi, chantés par un petit ensemble que dirige Nadia Boulanger (il se trouve qu’ell
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
217 rrière lui. Maritain, auprès duquel je me trouve, chante la Marseillaise de tout cœur, puis il me demande ce que j’ai pensé de
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
218 vêque anglican de New York. Dix mille personnes y chanteront des carols avant la procession du chœur et du clergé, précédée de por