1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 u bon équipier deviennent les qualités du parfait citoyen  : juste vision de la réalité, abnégation, sentiment du devoir de chac
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
2 s j’aperçois là-bas, vautré derrière son bock, le Citoyen conscient et organisé pour la discussion. Il retrousse ses manches. I
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
3 ans ce décor s’écoulent huit années de votre vie, citoyens  ! Et vous pensez que c’est un grand progrès sur la Nature. Quelle peu
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
4 globe la totalité de la science nécessaire à tout citoyen , dans une vue aussi large que simplifiée. Remarquons qu’il suffit pou
5 fournit des moutons aux partis et prédispose les citoyens suisses à prendre au sérieux les innombrables défense de, petites cro
6 n civique sont insuffisantes pour former le petit citoyen  : il faut que l’enseignement tout entier soit occasion de développer
7 Il arrive en effet que nos petits futurs grrrands citoyens ayant accompli de « fortes études primaires et secondaires » (témoign
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
8 e, elle, dévore des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crânes ont été décervelés
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
9 enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen bagnard auquel il est promis. Mais elle tue tout ce qui lui donnerait
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
10 oyen de l’instruction publique, limite l’homme au citoyen . Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout ent
11 l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le citoyen , de retrouver l’homme tout entier. Je distingue dans cette opération
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
12 s j’aperçois là-bas, vautré derrière son bock, le Citoyen conscient et organisé pour la discussion. Il retrousse ses manches. I
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
13 ans ce décor s’écoulent huit années de votre vie, citoyens  ! Et vous pensez que c’est un grand progrès sur la Nature. Quelle peu
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
14 globe la totalité de la science nécessaire à tout citoyen , dans une vue aussi large que simplifiée. Remarquons qu’il suffit pou
15 fournit des moutons aux partis et prédispose les citoyens suisses à prendre au sérieux les innombrables défense de, petites cro
16 n civique sont insuffisantes pour former le petit citoyen  : il faut que l’enseignement tout entier soit occasion de développer
17 . Il arrive en effet que nos petits futurs grands citoyens ayant accompli de « fortes études primaires et secondaires » (témoign
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
18 e, elle, dévore des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crânes ont été décervelés
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
19 enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen bagnard auquel il est promis. Mais elle tue tout ce qui lui donnerait
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
20 oyen de l’instruction publique, limite l’homme au citoyen . Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout ent
21 l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le citoyen , de retrouver l’homme tout entier. Je distingue dans cette opération
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
22 as, par la grâce de Dieu roi de Hongrie. Bonjour, citoyens  ! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tê
15 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
23 solde. Au rayon des idéaux de confection voici le Citoyen du Monde, voici le Bon Européen, voici l’Américain à rendement maximu
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
24 as, par la grâce de Dieu roi de Hongrie. Bonjour, citoyens  ! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tê
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 as, par la grâce de Dieu roi de Hongrie. Bonjour, citoyens  ! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tê
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
26 dans d’autres nations de l’Europe. La plupart des citoyens suisses, qu’ils soient bourgeois, ouvriers ou paysans, pourraient san
27 [Ce dernier] est élu par l’assemblée générale des Citoyens , et demeure six ans en office. La Puissance législative est divisée e
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
28 et les déboires d’un témoignage vigilant ; père, citoyen , pasteur de ses troupeaux, et vibrant défenseur de l’honneur protesta
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
29 critique. Et par exemple, il est de mon devoir de citoyen conscient et responsable d’élever une solennelle protestation contre
21 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
30 ssait parmi les hommes. Ce ne fut que lorsque les citoyens eurent compris que leur égalité purement politique était fictive7 qu’
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
31 luations morales du philosophe et les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute commune mesure. Que se passerait-il si un bea
23 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
32 istes ne la sauveront pas : il faut rééduquer les citoyens . Je citerai ici trois phrases qu’on pourrait croire tirées de nos pro
24 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
33 ieux, qu’un loup dévore notre charogne ou que des citoyens en repaissent leurs yeux et contentent leur rage ? Certes, ni l’un ni
34 n d’ailleurs. Notre part est en Dieu. Nous sommes citoyens des cieux. Louange à Dieu aux siècles des siècles. Le livre de John
25 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
35 pays, s’il est le fruit de la déshumanisation des citoyens  ? Qu’importe une « assurance-vie », si la seule réalité vivante est d
26 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
36 onale1 », plan quinquennal, racisme, mentalité du citoyen moyen. Le fascisme a montré à nu ces prétentions, mais les États bour
27 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
37 nisme de contrainte, mais doit être en chacun des citoyens conscients, fussent-ils, et c’est le cas, une minorité. Il y a peu d’
28 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
38 litique, que les droits de l’État priment ceux du citoyen . Voilà ce qui découle normalement de la définition courante de l’indi
29 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
39 ssait parmi les hommes. Ce ne fut que lorsque les citoyens eurent compris que leur égalité purement politique était fictive62 qu
30 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
40 nisme de contrainte, mais doit être en chacun des citoyens conscients, fussent-ils, et c’est le cas, une minorité. Il y a peu d’
31 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
41 litique, que les droits de l’État priment ceux du citoyen . Voilà ce qui découle normalement de la définition courante de l’indi
32 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
42 ssait parmi les hommes. Ce ne fut que lorsque les citoyens eurent compris que leur égalité purement politique était fictive54 qu
33 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
43 la lutte des partis. Pour un très grand nombre de citoyens , le but à atteindre n’est pas d’abord d’assurer le bon fonctionnement
44 omités électoraux et aux députés, des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomadaires de droite et de gauche, où s’exprime
45 tatiques. En somme, ils donnent à la majorité des citoyens d’excellentes raisons de se désintéresser de la conduite de leur cité
46 aste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de se désintéresser, en pratique, du bien commun. Et l’on admet alors
47 u même coup un but commun aux efforts de tous les citoyens , par-dessus les partis et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-
34 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
48 onflits et refusaient d’être considérés comme des citoyens responsables, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de
35 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
49 e, des ennemis du régime, et contre l’inertie des citoyens et citoyennes qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vot
50 is du régime, et contre l’inertie des citoyens et citoyennes qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vote. Ceci posé,
51 ces d’un simple mortel de faire comprendre à tout citoyen 46 programmes différents, et d’exiger qu’il choisisse en connaissance
52 moyen d’un vote général, demandé par un groupe de citoyens , d’une loi ou un projet de loi. Là où le référendum n’existe pas, com
53 se voit ipso facto repoussée par la majorité des citoyens , fût-elle, dans certains cas, excellente.) La nécessité du plébiscite
36 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
54 ts enfiévrés pour savoir si le clerc doit être un citoyen tout comme les autres, s’il doit « faire de la politique », — ce mala
55 la lutte des partis. Pour un très grand nombre de citoyens , le but à atteindre n’est pas d’abord d’assurer le bon fonctionnement
56 omités électoraux et aux députés, des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomadaires de droite et de gauche, où s’exprime
57 tatiques. En somme, ils donnent à la majorité des citoyens d’excellentes raisons de se désintéresser de la conduite de leur cité
58 aste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de se désintéresser, en pratique, du bien commun. Et l’on admet alors
59 u même coup un but commun aux efforts de tous les citoyens , par-dessus les partis et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-
37 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
60 sommes en train de jouer, écrivains ou lecteurs, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
61 u qui est notre mesure ; lorsque nous agissons en citoyens  : la loi ; lorsque nous agissons en « hommes latins », ce sont alors
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
62 sommes en train de jouer, écrivains ou lecteurs, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
63 ver dans les revendications de cette catégorie de citoyens l’écho de cette mystérieuse et toute mythique « mentalité populaire »
64 lois économiques, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, paralysantes. «
65 liniques d’une maladie de l’esprit et du cœur des citoyens , qui est mortelle. Mais certains hommes, enlevez-leur l’âme, non seul
41 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
66 u qui est notre mesure ; lorsque nous agissons en citoyens  : la loi ; lorsque nous agissons en « hommes latins », ce sont alors
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
67 sommes en train de jouer, écrivains ou lecteurs, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
43 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
68 ver dans les revendications de cette catégorie de citoyens l’écho de cette mystérieuse et toute mythique « mentalité populaire »
69 lois économiques, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, paralysantes. «
70 liniques d’une maladie de l’esprit et du cœur des citoyens , qui est mortelle. Mais certains hommes, enlevez-leur l’âme, non seul
44 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
71 tionnaires : nombre qui égalera presque celui des citoyens au ive siècle ! Dans ce monde issu directement d’un capitalisme de p
72 ntes intrigues du Palatin. L’immense majorité des citoyens , n’ayant plus de vie propre, délègue en quelque sorte à la vie et à l
45 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
73 ne peut laisser indifférente notre conscience de citoyens . Les dictateurs actuels l’ont bien compris. Nous les voyons donner de
46 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
74 lutionnaires du personnalisme, tout de même qu’un citoyen américain peut demander à la Cour suprême des États-Unis de statuer s
75 un Calvin domina Genève, dont il n’était même pas citoyen légal. C’est en vertu d’une autorité purement doctrinale et personnel
47 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
76 es instituteurs qui s’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens , lors de ce congrès, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la p
48 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
77 sentatifs, dans ce pays, de l’opinion moyenne des citoyens , ont retrouvé le sens de notre destinée, et notre chance unique de gr
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
78 es instituteurs qui s’est tenu à Paris, et bien ! citoyens  ! lors de ce congrès, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
79 ion. « J’entends crier de toutes parts au mauvais citoyen . Le capitaliste est l’ennemi public en URSS, le communiste en Europe,
80 haut des Champs-Élysées. Qu’est-ce qu’un mauvais citoyen  ? Tout le monde l’est-il, ou personne ? » — Mais je crains que mes co
51 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
81 isme : c’est que le premier parlait des droits du citoyen , tandis que le second ne parle que de ses devoirs. Serais-je déjà co
52 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
82 ons au temps de l’ascension bourgeoise ; c’est le citoyen responsable de nos démocraties modernes dans la mesure où ces démocra
53 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
83 onflits et refusaient d’être considérés comme des citoyens responsables, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de
54 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
84 r une réponse qui satisfasse aux vrais besoins du citoyen ou du soldat, ou de l’ouvrier, ou de l’aryen blond. C’est par cette s
55 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
85 isme : c’est que le premier parlait des droits du citoyen , tandis que le second ne parle que de ses devoirs. Je ne vois pas de
56 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
86 e, des ennemis du régime, et contre l’inertie des citoyens et citoyennes qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vot
87 is du régime, et contre l’inertie des citoyens et citoyennes qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vote. Ceci posé,
88 forces d’un mortel que de faire comprendre à tout citoyen 46 programmes différents, et d’exiger qu’il choisisse en connaissance
89 suite d’un vote général, demandé par un groupe de citoyens , d’une loi ou d’un projet de loi. Là où le référendum n’existe pas, c
90 um sont ipso facto repoussées par la majorité des citoyens .) La nécessité du plébiscite se confond donc avec celle de l’État-nat
57 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
91 rsécutent les chrétiens. Tous les deux privent le citoyen de ses libertés, etc. Le communiste me refuse le droit d’être objecti
58 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
92 devient la totalisation des lâchetés de tous les citoyens . 19. Tout parti est totalitaire dans son essence, et préfigure l’État
59 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
93 ugénisme triomphe dans la morale qui concerne les citoyens  : et l’eugénisme est la négation rationnelle de toute espèce d’aventu
60 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
94 ar la rigueur inusitée de sa conscience. C’est un citoyen de bon sens et de bon conseil, un solide paysan, les deux pieds sur l
61 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
95 manque pas de se produire lorsque la majorité des citoyens se trouve réduite à l’état de fonctionnaires ou de soldats. C’est l’h
96 cteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le citoyen . Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en faut. Les e
97 du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches. Leur lien n’est pas terrestre : il est dans l’au-delà. Leur c
98 nt responsable au sein de la communauté. Ainsi le citoyen calviniste, qui vit profondément et quotidiennement cette doctrine pe
99 uisse chrétienne », ce serait une Suisse dont les citoyens seraient chrétiens. En attendant, sachons maintenir, et étendons plus
62 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
100 damman ! Le Landamman. —  Cet homme est un bon citoyen . J’en témoigne ! Il a rendu de grands services à sa commune et au can
63 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
101 oudrait l’avoir de son côté ! Ainsi, pour moi, le citoyen de Berne et l’Autrichien qui sont arrivés hier au soir, ce n’est pas
64 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
102 ugénisme triomphe dans la morale qui concerne les citoyens  : et l’eugénisme est la négation rationnelle de toute espèce d’aventu
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
103 ugénisme triomphe dans la morale qui concerne les citoyens  : et l’eugénisme est la négation rationnelle de toute espèce d’aventu
66 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
104 ue notre Confédération ne pourra vivre que si les citoyens les plus conscients de sa mission historique et actuelle trouvent les
67 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
105 e défendre jusqu’à la dernière goutte du sang des citoyens . Assurer les armes à la main l’intégrité du sol de la patrie, voilà q
68 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
106 pays, et qui se trouvent être communes à tous les citoyens , chrétiens ou non. La mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera d
107 itoyens, chrétiens ou non. La mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera de dégager de ces données communes un sens spiritue
108 iste de la vocation. Cette action particulière du citoyen chrétien sera dans l’intérêt de la Suisse, certes. Mais elle sera d’a
109 écrire, ou simplement laisser entendre, qu’un bon citoyen suisse a le devoir d’être chrétien, comme si ce devoir était la consé
69 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
110  discipline de l’opinion ». Dans quelle mesure un citoyen a-t-il le droit, ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vi
70 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
111 laisant… ; cela équivaut à dire que la moitié des citoyens suisses ne s’intéressaient pas aux affaires du pays. Il fallait se hâ
112 Ligue du Gothard” a reçu de nombreuses lettres de citoyens qui s’intéressent à elles et à ses desseins. Nous le croyons volontie
71 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
113 ser » de cette manière notre opinion. En tant que citoyen suisse respectueux des décisions de nos autorités suprêmes, j’ai donc
72 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
114 lut. 4. Il n’y aurait pas de défaitisme si chaque citoyen suisse était pleinement conscient de ce que signifie la Suisse comme
115 ses. 5. Il n’y aurait pas de défaitisme si chaque citoyen suisse voyait la possibilité de travailler positivement aux réformes
73 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IV. La Ligue du Gothard sera-t-elle un parti ?
116 embres des tâches précises. Elle n’a que faire de citoyens dont la seule participation à la vie nationale consiste à se rendre a
74 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
117 nion suisse. Elle a rendu confiance à beaucoup de citoyens , elle a fait naître un grand espoir et dissipé certaines brumes de dé
75 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
118 manque pas de se produire lorsque la majorité des citoyens se trouvent réduits à l’état de fonctionnaires ou de soldats. Telle e
119 cteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le citoyen . Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en faut. Les e
120 du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches. Leur lien n’est pas terrestre : il est dans l’au-delà. Leur c
121 nt responsable au sein de la communauté. Ainsi le citoyen calviniste, qui vit profondément et quotidiennement cette doctrine pe
122 uisse chrétienne », ce serait une Suisse dont les citoyens seraient chrétiens, ou tout au moins accepteraient en bonne conscienc
76 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
123 sentatifs, dans ce pays, de l’opinion moyenne des citoyens , ont retrouvé le sens de notre destinée, et notre chance unique de gr
77 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
124 e défendre jusqu’à la dernière goutte du sang des citoyens . Assurer, les armes à la main, l’intégrité du sol de la patrie, voilà
125 sont celles du pays, qui sont communes à tous les citoyens . Mais la mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera de dégager de
126 à tous les citoyens. Mais la mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera de dégager de ces données communes un sens spiritue
127 iste de la vocation. Cette action particulière du citoyen chrétien sera dans l’intérêt de la Suisse, certes. Mais elle sera d’a
128 anque pas de gens, chez nous, pour dire qu’un bon citoyen suisse a le devoir d’être chrétien, comme si ce devoir était la consé
78 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
129 es soient en même temps celles de la religion des citoyens , de leur culture, de leur honneur, de leur amour… sinon de leur avidi
79 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
130 ser » de cette manière notre opinion. En tant que citoyen suisse respectueux des décisions de nos autorités suprêmes, j’ai donc
80 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
131 « Mission spéciale », Nos libertés : bréviaire du citoyen , Lausanne, F. Rouge, 1940, p. 62-63.
81 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
132 manque pas de se produire lorsque la majorité des citoyens se trouvent réduits à l’état de fonctionnaires ou de soldats. Telle e
133 cteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le citoyen . Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en faut. Les e
134 du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches. Leur lien n’est pas terrestre : il est dans l’au-delà. Leur c
135 nt responsable au sein de la communauté. Ainsi le citoyen calviniste, qui vit profondément et quotidiennement cette doctrine pe
82 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
136 s’explique, il écoute à son tour. N’importe quel citoyen peut critiquer publiquement telle ou telle mesure prise par l’État :
137 ntage moral considérable : un nombre croissant de citoyens qualifiés participent à la vie publique. Celle-ci n’est plus l’affair
138 athétiques. Et ce souci constant de l’humanité du citoyen , qu’il s’agisse des nationaux ou des étrangers… Ainsi informée et for
139 nière d’ailleurs imprévisible. Cette division des citoyens en deux masses à peu près égales, — je serais tenté de dire : en deux
140 ts-Unis sont une démocratie sans partis. Entre le citoyen et les autorités, pas d’autre intermédiaire que l’opinion publique. L
83 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
141 des seigneurs, leur armée a été un groupement de citoyens libres, possédant chacun ses propres armes et portant fièrement son f
142 e qu’ils étaient libres. La possession par chaque citoyen de ses propres armes, montre d’une façon concrète que l’État lui fait
84 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
143 dans son ensemble en 1939 ; presque chacun de ses citoyens se disait sincèrement antinazi, et se croyait parfaitement à l’abri d
85 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
144 ouvoirs peuvent être contrôlés et soutenus par le citoyen , en connaissance de cause et de personnes. Je réponds que ces petites
86 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
145 dans son ensemble en 1939 ; presque chacun de ses citoyens se disait sincèrement antinazi, et se croyait parfaitement à l’abri d
146 ssi bien dans sa vie quotidienne — rouspétance du citoyen  — que dans sa vie proprement politique — farce des partis — et vous o
147 s’y conformer. Que l’État lui refuse ce droit, le citoyen peut librement choisir entre la honte et la révolte. Sa révolte peut
87 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
148 ouvoirs peuvent être contrôlés et soutenus par le citoyen , en connaissance de cause et de personnes. Je réponds que ces petites
88 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
149 dans son ensemble en 1939 ; presque chacun de ses citoyens se disait sincèrement antinazi, et se croyait parfaitement à l’abri d
150 ssi bien dans sa vie quotidienne — rouspétance du citoyen  — que dans sa vie proprement politique — farce des partis — et vous o
151 s’y conformer. Que l’État lui refuse ce droit, le citoyen peut librement choisir entre la honte et la révolte. Sa révolte peut
89 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
152 ouvoirs peuvent être contrôlés et soutenus par le citoyen , en connaissance de cause et de personnes. Je réponds que ces petites
90 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
153 non différencié. Pendant un an ou plus, tous les citoyens travailleraient dans les usines, au lieu de faire une année de casern
91 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
154 lles la remplacent par un ersatz : la fonction du citoyen à l’intérieur de l’État ou du Parti, conformément au décret de l’État
92 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
155 line. Et George Washington était plus libre qu’un citoyen américain qui tourne le bouton de sa radio. Ils combattaient. p. « 
93 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
156 tat. J’admire beaucoup son sens civique. Quand le citoyen est discipliné, il n’a pas pour autant l’amour du règlement comme en
157 e sont, eux, pas très decent, qualité qu’un jeune citoyen de là-bas expliquait en ces termes : « Être decent, c’est tenir sa pa
94 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
158 ts. M. George Gallup vient d’établir que 71 % des citoyens de son pays « refusent de livrer le contrôle de la bombe aux Nations
95 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
159 du parti unique au pouvoir : un jeu truqué où le citoyen perd à tout coup. Nous voici loin de notre définition de la politique
160 s. Quand un parti se sera défini de la sorte, les citoyens seront à même de juger si son action traduit son idéal, ou si au cont
96 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
161 onflits et refusaient d’être considérés comme des citoyens responsables, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de
97 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
162 ple au langage quotidien de l’Amérique. Lorsqu’un citoyen des États-Unis désapprouve une certaine action, une certaine conduite
98 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
163 ouage, la simple fonction dans l’État qu’était le citoyen romain, puisqu’il possède une dignité indépendante de son rôle social
164 e la personne, elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédération. La devise paradoxale du fédéralisme helvétique : « 
165 i lie toutes les régions, il ménage un recours au citoyen contre les abus de pouvoirs locaux. Il cherche la coopération organiq
99 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
166 la discipline de l’opinion. Dans quelle mesure un citoyen a-t-il le droit, ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vi
100 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
167 é ma prospection de textes pour le « Bréviaire du citoyen  ». Des lectures que j’ai faites, je retiens surtout quelques phrases