1
u bon équipier deviennent les qualités du parfait
citoyen
: juste vision de la réalité, abnégation, sentiment du devoir de chac
2
s j’aperçois là-bas, vautré derrière son bock, le
Citoyen
conscient et organisé pour la discussion. Il retrousse ses manches. I
3
ans ce décor s’écoulent huit années de votre vie,
citoyens
! Et vous pensez que c’est un grand progrès sur la Nature. Quelle peu
4
globe la totalité de la science nécessaire à tout
citoyen
, dans une vue aussi large que simplifiée. Remarquons qu’il suffit pou
5
fournit des moutons aux partis et prédispose les
citoyens
suisses à prendre au sérieux les innombrables défense de, petites cro
6
n civique sont insuffisantes pour former le petit
citoyen
: il faut que l’enseignement tout entier soit occasion de développer
7
Il arrive en effet que nos petits futurs grrrands
citoyens
ayant accompli de « fortes études primaires et secondaires » (témoign
8
e, elle, dévore des enfants tout vifs et rend des
citoyens
à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crânes ont été décervelés
9
enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de
citoyen
bagnard auquel il est promis. Mais elle tue tout ce qui lui donnerait
10
oyen de l’instruction publique, limite l’homme au
citoyen
. Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout ent
11
l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le
citoyen
, de retrouver l’homme tout entier. Je distingue dans cette opération
12
s j’aperçois là-bas, vautré derrière son bock, le
Citoyen
conscient et organisé pour la discussion. Il retrousse ses manches. I
13
ans ce décor s’écoulent huit années de votre vie,
citoyens
! Et vous pensez que c’est un grand progrès sur la Nature. Quelle peu
14
globe la totalité de la science nécessaire à tout
citoyen
, dans une vue aussi large que simplifiée. Remarquons qu’il suffit pou
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fournit des moutons aux partis et prédispose les
citoyens
suisses à prendre au sérieux les innombrables défense de, petites cro
16
n civique sont insuffisantes pour former le petit
citoyen
: il faut que l’enseignement tout entier soit occasion de développer
17
. Il arrive en effet que nos petits futurs grands
citoyens
ayant accompli de « fortes études primaires et secondaires » (témoign
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e, elle, dévore des enfants tout vifs et rend des
citoyens
à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crânes ont été décervelés
19
enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de
citoyen
bagnard auquel il est promis. Mais elle tue tout ce qui lui donnerait
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oyen de l’instruction publique, limite l’homme au
citoyen
. Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout ent
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l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le
citoyen
, de retrouver l’homme tout entier. Je distingue dans cette opération
22
as, par la grâce de Dieu roi de Hongrie. Bonjour,
citoyens
! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tê
23
solde. Au rayon des idéaux de confection voici le
Citoyen
du Monde, voici le Bon Européen, voici l’Américain à rendement maximu
24
as, par la grâce de Dieu roi de Hongrie. Bonjour,
citoyens
! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tê
25
as, par la grâce de Dieu roi de Hongrie. Bonjour,
citoyens
! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tê
26
dans d’autres nations de l’Europe. La plupart des
citoyens
suisses, qu’ils soient bourgeois, ouvriers ou paysans, pourraient san
27
[Ce dernier] est élu par l’assemblée générale des
Citoyens
, et demeure six ans en office. La Puissance législative est divisée e
28
et les déboires d’un témoignage vigilant ; père,
citoyen
, pasteur de ses troupeaux, et vibrant défenseur de l’honneur protesta
29
critique. Et par exemple, il est de mon devoir de
citoyen
conscient et responsable d’élever une solennelle protestation contre
30
ssait parmi les hommes. Ce ne fut que lorsque les
citoyens
eurent compris que leur égalité purement politique était fictive7 qu’
31
luations morales du philosophe et les coutumes du
citoyen
moderne ont perdu toute commune mesure. Que se passerait-il si un bea
32
istes ne la sauveront pas : il faut rééduquer les
citoyens
. Je citerai ici trois phrases qu’on pourrait croire tirées de nos pro
33
ieux, qu’un loup dévore notre charogne ou que des
citoyens
en repaissent leurs yeux et contentent leur rage ? Certes, ni l’un ni
34
n d’ailleurs. Notre part est en Dieu. Nous sommes
citoyens
des cieux. Louange à Dieu aux siècles des siècles. Le livre de John
35
pays, s’il est le fruit de la déshumanisation des
citoyens
? Qu’importe une « assurance-vie », si la seule réalité vivante est d
36
onale1 », plan quinquennal, racisme, mentalité du
citoyen
moyen. Le fascisme a montré à nu ces prétentions, mais les États bour
37
nisme de contrainte, mais doit être en chacun des
citoyens
conscients, fussent-ils, et c’est le cas, une minorité. Il y a peu d’
38
litique, que les droits de l’État priment ceux du
citoyen
. Voilà ce qui découle normalement de la définition courante de l’indi
39
ssait parmi les hommes. Ce ne fut que lorsque les
citoyens
eurent compris que leur égalité purement politique était fictive62 qu
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nisme de contrainte, mais doit être en chacun des
citoyens
conscients, fussent-ils, et c’est le cas, une minorité. Il y a peu d’
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litique, que les droits de l’État priment ceux du
citoyen
. Voilà ce qui découle normalement de la définition courante de l’indi
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ssait parmi les hommes. Ce ne fut que lorsque les
citoyens
eurent compris que leur égalité purement politique était fictive54 qu
43
la lutte des partis. Pour un très grand nombre de
citoyens
, le but à atteindre n’est pas d’abord d’assurer le bon fonctionnement
44
omités électoraux et aux députés, des millions de
citoyens
s’excitent sur les hebdomadaires de droite et de gauche, où s’exprime
45
tatiques. En somme, ils donnent à la majorité des
citoyens
d’excellentes raisons de se désintéresser de la conduite de leur cité
46
aste de politiciens, permettant à la majorité des
citoyens
de se désintéresser, en pratique, du bien commun. Et l’on admet alors
47
u même coup un but commun aux efforts de tous les
citoyens
, par-dessus les partis et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-
48
onflits et refusaient d’être considérés comme des
citoyens
responsables, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de
49
e, des ennemis du régime, et contre l’inertie des
citoyens
et citoyennes qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vot
50
is du régime, et contre l’inertie des citoyens et
citoyennes
qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vote. Ceci posé,
51
ces d’un simple mortel de faire comprendre à tout
citoyen
46 programmes différents, et d’exiger qu’il choisisse en connaissance
52
moyen d’un vote général, demandé par un groupe de
citoyens
, d’une loi ou un projet de loi. Là où le référendum n’existe pas, com
53
se voit ipso facto repoussée par la majorité des
citoyens
, fût-elle, dans certains cas, excellente.) La nécessité du plébiscite
54
ts enfiévrés pour savoir si le clerc doit être un
citoyen
tout comme les autres, s’il doit « faire de la politique », — ce mala
55
la lutte des partis. Pour un très grand nombre de
citoyens
, le but à atteindre n’est pas d’abord d’assurer le bon fonctionnement
56
omités électoraux et aux députés, des millions de
citoyens
s’excitent sur les hebdomadaires de droite et de gauche, où s’exprime
57
tatiques. En somme, ils donnent à la majorité des
citoyens
d’excellentes raisons de se désintéresser de la conduite de leur cité
58
aste de politiciens, permettant à la majorité des
citoyens
de se désintéresser, en pratique, du bien commun. Et l’on admet alors
59
u même coup un but commun aux efforts de tous les
citoyens
, par-dessus les partis et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-
60
sommes en train de jouer, écrivains ou lecteurs,
citoyens
ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
61
u qui est notre mesure ; lorsque nous agissons en
citoyens
: la loi ; lorsque nous agissons en « hommes latins », ce sont alors
62
sommes en train de jouer, écrivains ou lecteurs,
citoyens
ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
63
ver dans les revendications de cette catégorie de
citoyens
l’écho de cette mystérieuse et toute mythique « mentalité populaire »
64
lois économiques, qui encombrent la mentalité du
citoyen
moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, paralysantes. «
65
liniques d’une maladie de l’esprit et du cœur des
citoyens
, qui est mortelle. Mais certains hommes, enlevez-leur l’âme, non seul
66
u qui est notre mesure ; lorsque nous agissons en
citoyens
: la loi ; lorsque nous agissons en « hommes latins », ce sont alors
67
sommes en train de jouer, écrivains ou lecteurs,
citoyens
ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
68
ver dans les revendications de cette catégorie de
citoyens
l’écho de cette mystérieuse et toute mythique « mentalité populaire »
69
lois économiques, qui encombrent la mentalité du
citoyen
moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, paralysantes. «
70
liniques d’une maladie de l’esprit et du cœur des
citoyens
, qui est mortelle. Mais certains hommes, enlevez-leur l’âme, non seul
71
tionnaires : nombre qui égalera presque celui des
citoyens
au ive siècle ! Dans ce monde issu directement d’un capitalisme de p
72
ntes intrigues du Palatin. L’immense majorité des
citoyens
, n’ayant plus de vie propre, délègue en quelque sorte à la vie et à l
73
ne peut laisser indifférente notre conscience de
citoyens
. Les dictateurs actuels l’ont bien compris. Nous les voyons donner de
74
lutionnaires du personnalisme, tout de même qu’un
citoyen
américain peut demander à la Cour suprême des États-Unis de statuer s
75
un Calvin domina Genève, dont il n’était même pas
citoyen
légal. C’est en vertu d’une autorité purement doctrinale et personnel
76
es instituteurs qui s’est tenu à Paris. Eh bien !
citoyens
, lors de ce congrès, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la p
77
sentatifs, dans ce pays, de l’opinion moyenne des
citoyens
, ont retrouvé le sens de notre destinée, et notre chance unique de gr
78
es instituteurs qui s’est tenu à Paris, et bien !
citoyens
! lors de ce congrès, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la
79
ion. « J’entends crier de toutes parts au mauvais
citoyen
. Le capitaliste est l’ennemi public en URSS, le communiste en Europe,
80
haut des Champs-Élysées. Qu’est-ce qu’un mauvais
citoyen
? Tout le monde l’est-il, ou personne ? » — Mais je crains que mes co
81
isme : c’est que le premier parlait des droits du
citoyen
, tandis que le second ne parle que de ses devoirs. Serais-je déjà co
82
ons au temps de l’ascension bourgeoise ; c’est le
citoyen
responsable de nos démocraties modernes dans la mesure où ces démocra
83
onflits et refusaient d’être considérés comme des
citoyens
responsables, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de
84
r une réponse qui satisfasse aux vrais besoins du
citoyen
ou du soldat, ou de l’ouvrier, ou de l’aryen blond. C’est par cette s
85
isme : c’est que le premier parlait des droits du
citoyen
, tandis que le second ne parle que de ses devoirs. Je ne vois pas de
86
e, des ennemis du régime, et contre l’inertie des
citoyens
et citoyennes qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vot
87
is du régime, et contre l’inertie des citoyens et
citoyennes
qui eussent négligé de faire usage de leur droit de vote. Ceci posé,
88
forces d’un mortel que de faire comprendre à tout
citoyen
46 programmes différents, et d’exiger qu’il choisisse en connaissance
89
suite d’un vote général, demandé par un groupe de
citoyens
, d’une loi ou d’un projet de loi. Là où le référendum n’existe pas, c
90
um sont ipso facto repoussées par la majorité des
citoyens
.) La nécessité du plébiscite se confond donc avec celle de l’État-nat
91
rsécutent les chrétiens. Tous les deux privent le
citoyen
de ses libertés, etc. Le communiste me refuse le droit d’être objecti
92
devient la totalisation des lâchetés de tous les
citoyens
. 19. Tout parti est totalitaire dans son essence, et préfigure l’État
93
ugénisme triomphe dans la morale qui concerne les
citoyens
: et l’eugénisme est la négation rationnelle de toute espèce d’aventu
94
ar la rigueur inusitée de sa conscience. C’est un
citoyen
de bon sens et de bon conseil, un solide paysan, les deux pieds sur l
95
manque pas de se produire lorsque la majorité des
citoyens
se trouve réduite à l’état de fonctionnaires ou de soldats. C’est l’h
96
cteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le
citoyen
. Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en faut. Les e
97
du rang social : on y trouve des esclaves et des
citoyens
riches. Leur lien n’est pas terrestre : il est dans l’au-delà. Leur c
98
nt responsable au sein de la communauté. Ainsi le
citoyen
calviniste, qui vit profondément et quotidiennement cette doctrine pe
99
uisse chrétienne », ce serait une Suisse dont les
citoyens
seraient chrétiens. En attendant, sachons maintenir, et étendons plus
100
damman ! Le Landamman. — Cet homme est un bon
citoyen
. J’en témoigne ! Il a rendu de grands services à sa commune et au can
101
oudrait l’avoir de son côté ! Ainsi, pour moi, le
citoyen
de Berne et l’Autrichien qui sont arrivés hier au soir, ce n’est pas
102
ugénisme triomphe dans la morale qui concerne les
citoyens
: et l’eugénisme est la négation rationnelle de toute espèce d’aventu
103
ugénisme triomphe dans la morale qui concerne les
citoyens
: et l’eugénisme est la négation rationnelle de toute espèce d’aventu
104
ue notre Confédération ne pourra vivre que si les
citoyens
les plus conscients de sa mission historique et actuelle trouvent les
105
e défendre jusqu’à la dernière goutte du sang des
citoyens
. Assurer les armes à la main l’intégrité du sol de la patrie, voilà q
106
pays, et qui se trouvent être communes à tous les
citoyens
, chrétiens ou non. La mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera d
107
itoyens, chrétiens ou non. La mission spéciale du
citoyen
chrétien, ce sera de dégager de ces données communes un sens spiritue
108
iste de la vocation. Cette action particulière du
citoyen
chrétien sera dans l’intérêt de la Suisse, certes. Mais elle sera d’a
109
écrire, ou simplement laisser entendre, qu’un bon
citoyen
suisse a le devoir d’être chrétien, comme si ce devoir était la consé
110
discipline de l’opinion ». Dans quelle mesure un
citoyen
a-t-il le droit, ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vi
111
laisant… ; cela équivaut à dire que la moitié des
citoyens
suisses ne s’intéressaient pas aux affaires du pays. Il fallait se hâ
112
Ligue du Gothard” a reçu de nombreuses lettres de
citoyens
qui s’intéressent à elles et à ses desseins. Nous le croyons volontie
113
ser » de cette manière notre opinion. En tant que
citoyen
suisse respectueux des décisions de nos autorités suprêmes, j’ai donc
114
lut. 4. Il n’y aurait pas de défaitisme si chaque
citoyen
suisse était pleinement conscient de ce que signifie la Suisse comme
115
ses. 5. Il n’y aurait pas de défaitisme si chaque
citoyen
suisse voyait la possibilité de travailler positivement aux réformes
116
embres des tâches précises. Elle n’a que faire de
citoyens
dont la seule participation à la vie nationale consiste à se rendre a
117
nion suisse. Elle a rendu confiance à beaucoup de
citoyens
, elle a fait naître un grand espoir et dissipé certaines brumes de dé
118
manque pas de se produire lorsque la majorité des
citoyens
se trouvent réduits à l’état de fonctionnaires ou de soldats. Telle e
119
cteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le
citoyen
. Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en faut. Les e
120
du rang social : on y trouve des esclaves et des
citoyens
riches. Leur lien n’est pas terrestre : il est dans l’au-delà. Leur c
121
nt responsable au sein de la communauté. Ainsi le
citoyen
calviniste, qui vit profondément et quotidiennement cette doctrine pe
122
uisse chrétienne », ce serait une Suisse dont les
citoyens
seraient chrétiens, ou tout au moins accepteraient en bonne conscienc
123
sentatifs, dans ce pays, de l’opinion moyenne des
citoyens
, ont retrouvé le sens de notre destinée, et notre chance unique de gr
124
e défendre jusqu’à la dernière goutte du sang des
citoyens
. Assurer, les armes à la main, l’intégrité du sol de la patrie, voilà
125
sont celles du pays, qui sont communes à tous les
citoyens
. Mais la mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera de dégager de
126
à tous les citoyens. Mais la mission spéciale du
citoyen
chrétien, ce sera de dégager de ces données communes un sens spiritue
127
iste de la vocation. Cette action particulière du
citoyen
chrétien sera dans l’intérêt de la Suisse, certes. Mais elle sera d’a
128
anque pas de gens, chez nous, pour dire qu’un bon
citoyen
suisse a le devoir d’être chrétien, comme si ce devoir était la consé
129
es soient en même temps celles de la religion des
citoyens
, de leur culture, de leur honneur, de leur amour… sinon de leur avidi
130
ser » de cette manière notre opinion. En tant que
citoyen
suisse respectueux des décisions de nos autorités suprêmes, j’ai donc
132
manque pas de se produire lorsque la majorité des
citoyens
se trouvent réduits à l’état de fonctionnaires ou de soldats. Telle e
133
cteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le
citoyen
. Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en faut. Les e
134
du rang social : on y trouve des esclaves et des
citoyens
riches. Leur lien n’est pas terrestre : il est dans l’au-delà. Leur c
135
nt responsable au sein de la communauté. Ainsi le
citoyen
calviniste, qui vit profondément et quotidiennement cette doctrine pe
136
s’explique, il écoute à son tour. N’importe quel
citoyen
peut critiquer publiquement telle ou telle mesure prise par l’État :
137
ntage moral considérable : un nombre croissant de
citoyens
qualifiés participent à la vie publique. Celle-ci n’est plus l’affair
138
athétiques. Et ce souci constant de l’humanité du
citoyen
, qu’il s’agisse des nationaux ou des étrangers… Ainsi informée et for
139
nière d’ailleurs imprévisible. Cette division des
citoyens
en deux masses à peu près égales, — je serais tenté de dire : en deux
140
ts-Unis sont une démocratie sans partis. Entre le
citoyen
et les autorités, pas d’autre intermédiaire que l’opinion publique. L
141
des seigneurs, leur armée a été un groupement de
citoyens
libres, possédant chacun ses propres armes et portant fièrement son f
142
e qu’ils étaient libres. La possession par chaque
citoyen
de ses propres armes, montre d’une façon concrète que l’État lui fait
143
dans son ensemble en 1939 ; presque chacun de ses
citoyens
se disait sincèrement antinazi, et se croyait parfaitement à l’abri d
144
ouvoirs peuvent être contrôlés et soutenus par le
citoyen
, en connaissance de cause et de personnes. Je réponds que ces petites
145
dans son ensemble en 1939 ; presque chacun de ses
citoyens
se disait sincèrement antinazi, et se croyait parfaitement à l’abri d
146
ssi bien dans sa vie quotidienne — rouspétance du
citoyen
— que dans sa vie proprement politique — farce des partis — et vous o
147
s’y conformer. Que l’État lui refuse ce droit, le
citoyen
peut librement choisir entre la honte et la révolte. Sa révolte peut
148
ouvoirs peuvent être contrôlés et soutenus par le
citoyen
, en connaissance de cause et de personnes. Je réponds que ces petites
149
dans son ensemble en 1939 ; presque chacun de ses
citoyens
se disait sincèrement antinazi, et se croyait parfaitement à l’abri d
150
ssi bien dans sa vie quotidienne — rouspétance du
citoyen
— que dans sa vie proprement politique — farce des partis — et vous o
151
s’y conformer. Que l’État lui refuse ce droit, le
citoyen
peut librement choisir entre la honte et la révolte. Sa révolte peut
152
ouvoirs peuvent être contrôlés et soutenus par le
citoyen
, en connaissance de cause et de personnes. Je réponds que ces petites
153
non différencié. Pendant un an ou plus, tous les
citoyens
travailleraient dans les usines, au lieu de faire une année de casern
154
lles la remplacent par un ersatz : la fonction du
citoyen
à l’intérieur de l’État ou du Parti, conformément au décret de l’État
155
line. Et George Washington était plus libre qu’un
citoyen
américain qui tourne le bouton de sa radio. Ils combattaient. p. «
156
tat. J’admire beaucoup son sens civique. Quand le
citoyen
est discipliné, il n’a pas pour autant l’amour du règlement comme en
157
e sont, eux, pas très decent, qualité qu’un jeune
citoyen
de là-bas expliquait en ces termes : « Être decent, c’est tenir sa pa
158
ts. M. George Gallup vient d’établir que 71 % des
citoyens
de son pays « refusent de livrer le contrôle de la bombe aux Nations
159
du parti unique au pouvoir : un jeu truqué où le
citoyen
perd à tout coup. Nous voici loin de notre définition de la politique
160
s. Quand un parti se sera défini de la sorte, les
citoyens
seront à même de juger si son action traduit son idéal, ou si au cont
161
onflits et refusaient d’être considérés comme des
citoyens
responsables, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de
162
ple au langage quotidien de l’Amérique. Lorsqu’un
citoyen
des États-Unis désapprouve une certaine action, une certaine conduite
163
ouage, la simple fonction dans l’État qu’était le
citoyen
romain, puisqu’il possède une dignité indépendante de son rôle social
164
e la personne, elle sera normalement celle du bon
citoyen
d’une fédération. La devise paradoxale du fédéralisme helvétique : «
165
i lie toutes les régions, il ménage un recours au
citoyen
contre les abus de pouvoirs locaux. Il cherche la coopération organiq
166
la discipline de l’opinion. Dans quelle mesure un
citoyen
a-t-il le droit, ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vi
167
é ma prospection de textes pour le « Bréviaire du
citoyen
». Des lectures que j’ai faites, je retiens surtout quelques phrases