1 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
1 ité chercherait en vain la moindre nourriture. Le congrès de Francfort9 organisé par Plans a révélé cette unité fondamentale qu
2 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
2 tera quelque temps encore les jeux de société des congrès de mathématiciens et de logisticiens ; et pendant ce temps, c’est à l
3 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
3 aux de l’Ami du Peuple, de « justifications » aux congrès radicaux : voilà qui est pratique, c’est-à-dire électoral. « Vous cri
4 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
4 aux de l’Ami du Peuple, de « justifications » aux congrès radicaux : voilà qui est pratique, c’est-à-dire électoral. « Vous cri
5 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
5 t — donc en laissant de côté les déclarations des congrès  — la moderne féodalité des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de l
6 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
6 à se séparer des populistes et des économistes au congrès de Bruxelles en 1903 (fondation du parti bolchévique, c’est-à-dire ma
7 se séparer de Plekhanov et des vieux marxistes au congrès de Londres en 1905. En d’autres termes, elles conduisent Lénine et se
7 1935, Articles divers (1932-1935). Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)
8 arades marxistes ou fascistes » : je parlais à un congrès d’étudiants et voyais dans la salle des délégués marxistes et hitléri
8 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
9 faire casser la figure. On peut regretter que le Congrès pour la défense de la culture n’ait rien tenté pour débrouiller un pe
9 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
10 d’amphithéâtres pour les conférences et pour les congrès , il sera, pendant la durée de l’Exposition, le centre de ces « journé
11 de cette année ; à ce moment j’ignorais tout du «  congrès pour la défense de la culture », qui se préparait. Le rôle du public
10 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
12 t — donc en laissant de côté les déclarations des congrès —, la moderne féodalité des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de
11 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
13 » de l’après-guerre, et qui trouva lors du fameux congrès de Stockholm sa première réalisation concrète. À ces deux causes illu
12 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
14 évolution s’est trouvée confirmée par les récents congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets. De toutes les conf
15 ou touchantes qui passionnèrent les débats de ces congrès , il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire de première im
16 ns »56. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent tous comme
17 rialistes. 57. Voir les discours de Malraux au «  congrès pour la défense de la culture » de juin 1935. 58. Tels qu’en assuren
13 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
18 évolution s’est trouvée confirmée par les récents congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets. De toutes les conf
19 u touchantes, qui passionnèrent les débats de ces congrès , il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire de première im
20 ns »42. Les écrivains délégués par les soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent tous, comme
21 rialistes. 43. Voir les discours de Malraux au «  Congrès pour la défense de la culture » de juin 1935. 44. Tels qu’en assure
14 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
22 rocrastination perpétuelle. On attend le prochain congrès … Je ne dirai pas de mal de nos outils. Mais je les voudrais utilisab
15 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
23 évolution s’est trouvée confirmée par les récents congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets. De toutes les conf
24 u touchantes, qui passionnèrent les débats de ces congrès , il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire de première im
25 ns »43. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent tous, comme
26 rialistes. 44. Voir les discours de Malraux au «  Congrès pour la défense de la culture » de juin 1935. 45. Tels qu’en assure
16 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
27 rocrastination perpétuelle. On attend le prochain congrès … Je ne dirai pas de mal de nos outils. Mais je les voudrais utilisabl
17 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
28 si les autres sont vides. Ensuite ce n’est pas un congrès qui se tient là ; car il n’y a jamais eu de congrès « à hauteur d’hom
29 ngrès qui se tient là ; car il n’y a jamais eu de congrès « à hauteur d’homme ». C’est une rencontre improvisée, un rendez-vous
18 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
30 nouvelles demandes de « causeries » : l’une à un congrès d’instituteurs, l’autre à un cercle d’études sociales. Les instituteu
31 rlé devant les auditoires les plus hétéroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, « journées sociales », amateurs de littéra
19 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
32 s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens, lors de
33 ’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens, lors de ce congrès , il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particul
20 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
34 ue les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité : on craignait que de
21 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
35 ngile ! 54. Déclaration d’un étudiant chinois au congrès mondial de la Fédération des étudiants chrétiens. (Cf. Student World,
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
36 s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu à Paris, et bien ! citoyens ! lors de
37 est tenu à Paris, et bien ! citoyens ! lors de ce congrès , il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particul
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
38 nouvelles demandes de « causeries » : l’une à un Congrès d’instituteurs, l’autre à un cercle d’études sociales. Les instituteu
39 rlé devant les auditoires les plus hétéroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, « journées sociales », amateurs de littéra
24 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
40 cision des évêques anglicans dite de Lambeth. Les congrès œcuméniques de Stockholm et d’Oxford (toutes les églises non romaines
25 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
41 garder chez soi. Il est donc assez naturel que le congrès de Nuremberg, qui célébra le réarmement du Reich, se soit intitulé :
26 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
42 ique négative. Mon expérience des groupes et des congrès personnalistes m’amène à formuler les thèses suivantes : 1. C’est le
43 é parfois dans le feu de la discussion, lors d’un congrès — de constituer enfin un vrai parti, un parti vrai, dont la doctrine
27 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
44 cision des évêques anglicans dite de Lambeth. Les Congrès œcuméniques de Stockholm et d’Oxford (toutes les Églises non romaines
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
45 cision des évêques anglicans dite de Lambeth. Les Congrès œcuméniques de Stockholm et d’Oxford (toutes les Églises non romaines
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
46 cision des évêques anglicans dite de Lambeth. Les Congrès œcuméniques de Stockholm et d’Oxford (toutes les Églises non romaines
30 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
47 iales données par les deux derniers papes. Et les congrès de Stockholm et d’Oxford ont montré que les autres Églises n’entendai
48 ême pendant les quelques semaines fiévreuses d’un congrès de la paix improvisé dans l’épuisement général. Cela ne se fera que s
31 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
49 iales données par les deux derniers papes. Et les congrès de Stockholm et d’Oxford ont montré que les autres Églises n’entendai
50 ême pendant les quelques semaines fiévreuses d’un congrès de la paix improvisé dans l’épuisement général. Cela ne se fera que s
32 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
51 ue les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité : on craignait que de
33 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
52 les phrases à haute voix avec tous les membres du Congrès , dans une église de la capitale. Cela s’intitulait : « La nation prie
34 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
53 dant un œil sur la gauche naissante, le Sénat, le Congrès , les fonctionnaires et la presse. Mais qui l’a dit au sujet de Truman
35 1946, Combat, articles (1946–1950). Les cochons en uniforme ou le nouveau Déluge (23 mai 1946)
54 ridicule, on place sur les navires les membres du Congrès et du Sénat qui se seront déclarés en faveur de l’expérience de Bikin
36 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
55 nts. Cette communauté ne se révélera pas dans des congrès , mais se manifestera dans une action risquée. De même que nous avons
37 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
56 jeune garde. Les partis, dans les commissions du Congrès et du Sénat, se sont bornés à des échanges d’arguments souvent brutau
38 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
57 ent une armée pour tyranniser toute l’Europe. (Le congrès de Nuremberg célébrant le réarmement du Reich s’intitula « Tag der Fr
39 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
58 ns, et que cependant le Sous-Comité judiciaire du Congrès américain discute encore la question de savoir si la guerre a pris fi
40 1946, Lettres sur la bombe atomique. Paralysie des hommes d’État
59 dant un œil sur la gauche naissante, le Sénat, le Congrès , les fonctionnaires et la presse. Mais qui l’a dit au sujet de Truman
41 1946, Lettres sur la bombe atomique. Appendice. Les cochons en uniforme, ou le nouveau déluge
60 ridicule, on place sur les navires les membres du Congrès et du Sénat qui se seront déclarés en faveur de l’expérience de Bikin
42 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
61 ns, et que cependant le sous-comité judiciaire du Congrès américain discute encore la question de savoir si la guerre a pris fi
43 1946, Lettres sur la bombe atomique. Paralysie des hommes d’État
62 dant un œil sur la gauche naissante, le Sénat, le Congrès , les fonctionnaires et la presse. Mais qui l’a dit au sujet de Truman
44 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les cochons en uniforme ou. Le nouveau déluge
63 ridicule, on place sur les navires les membres du Congrès et du Sénat qui se seront déclarés en faveur du déluge synthétique de
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
64 lle. Je rentre de Francfort où nous avons tenu un congrès des jeunesses européennes. J’y suis allé avec des camarades de petits
65 nt la cause commune de la jeunesse européenne. Le congrès de Francfort, organisé par Plans, a révélé cette unité fondamentale q
66 manifestes européens de la Résistance (1944), du congrès fédéraliste de Montreux (1947) et du Congrès de l’Europe à La Haye (1
67 , du congrès fédéraliste de Montreux (1947) et du Congrès de l’Europe à La Haye (1948). Voici les articles 9 à 13 : « ix. — À l
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
68 s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu à Paris, et bien ! citoyens ! lors de
69 est tenu à Paris, et bien ! citoyens ! lors de ce Congrès , il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particul
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
70 nouvelles demandes de « causeries » : l’une à un congrès d’instituteurs, l’autre à un cercle d’études sociales. Les instituteu
71 rlé devant les auditoires les plus hétéroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, « journées sociales », amateurs de littéra
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
72 rsque nous fûmes, en 1924, à Hambourg, au premier congrès de l’Internationale reconstituée, combien n’en est-il pas qui, sans t
73 garder chez soi. Il est donc assez naturel que le congrès de Nuremberg, qui célébra le réarmement du Reich, se soit intitulé :
74 catholique, à ses cérémonies grandioses, à ses «  congrès eucharistiques ». N’est-il pas significatif que ces grands spectacles
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
75 ent une armée pour tyranniser toute l’Europe. (Le congrès de Nuremberg célébrant le réarmement du Reich s’intitula « Tag der Fr
50 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
76 musulmane se déclare prête à la guerre contre le Congrès , où les hindous détiennent la majorité. Cependant que l’Indochine et
51 1947, Articles divers (1946-1948). Conversation à bâtons rompus avec M. Denis de Rougemont (30-31 août 1947)
77 te profession de foi fédéraliste qu’a entendue le congrès des fédéralistes européens de la bouche de M. Denis de Rougemont a eu
52 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
78 nous nous sommes déclarés responsables au récent congrès de Montreux, qui fédérait tous les fédéralistes, dans la conviction s
79 , p. 49-60. Texte introduit par cette note : « Le congrès de l’Union européenne des fédéralistes, qui s’est tenu à Montreux en
80 : « Texte définitif d’une conférence prononcée au congrès de l’Union européenne des fédéralistes, Montreux, août 1947. »
53 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
81 1947)q J’entends dire tous les jours depuis le congrès de Montreux9 : « Vous y croyez à cette fédération de l’Europe ? » Je
82 ssie ne veut pas la paix de l’Europe. Invités aux congrès fédéralistes, les communistes répondent en tirant le rideau de fer, s
83 cloisons, à reconquérir : notre Europe. 9. Le congrès de l’Union européenne des fédéralistes, qui s’est tenu à Montreux à l
54 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
84 les phrases à haute voix avec tous les membres du Congrès , dans une église de la capitale. Cela s’intitulait : « La nation prie
55 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
85 jeune garde. Les partis, dans les commissions du Congrès et du Sénat, se sont bornés à des échanges d’arguments souvent brutau
56 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
86 et à chaque personne. Au mois d’août dernier, au congrès de l’Union européenne des fédéralistes, qui se tenait à Montreux, j’a
57 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
87 , qui résument les résolutions adoptées par notre Congrès  : 1° Nous voulons une Europe unie, rendue dans toute son étendue à la
88 tous les congressistes, à la séance de clôture du congrès de La Haye. Il donne la note la plus juste sur l’atmosphère de ses dé
58 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
89 e disais à Montreux en septembre dernier, lors du congrès de l’Union européenne des fédéralistes : Si l’Europe doit durer, c’e
90 iciper sur les résolutions auxquelles aboutira ce congrès de l’Europe. Le 19 juin 1789, personne ne prévoyait le serment du Jeu
59 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
91 oyons sérieux : quand il s’agit de voter dans nos congrès contre les « mystifications » qu’ils dénoncent du dehors à juste titr
60 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
92 Mais l’idée fédérale a pris corps. À la veille du congrès de Montreux (27 août 1947) c’était encore une utopie. Aujourd’hui tou
93 à l’autre de ces textes, jusqu’aux résolutions du Congrès de l’Europe, les mêmes idées reviennent, et parfois les mêmes phrases
61 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
94 n an après les Rencontres internationales, par le congrès de l’Union européenne des fédéralistes. Les délégués d’une cinquantai
95 prononcée en guise d’introduction aux travaux du Congrès . On y a joint deux articles destinés à réfuter les objections les plu
96 L’attitude fédéraliste Les organisateurs de ce congrès ont voulu qu’il s’ouvrît par une étude des fondements spirituels du f
97 ocation. Nous n’arriverons à rien de bon, dans ce congrès et dans tous ceux qui doivent le suivre, si nous ne restons pas en ga
98 le temps de rater. Clichés mortels Après le congrès de Montreux, plusieurs personnes me dirent en souriant assez gentimen
99 us avez donc pris part à ces parlotes ? Encore un congrès d’utopistes, de généreux assembleurs de nuées ! L’Europe unie, bien s
62 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
100 III Le congrès de Montreux n’était pas terminé que l’idée naissait, chez les fédéral
101 galement l’intention de provoquer la réunion d’un congrès pour l’Europe unie. Il ne s’agissait pas, dans son esprit, d’une entr
102 e leur rencontre à Montreux, que devait naître le congrès de La Haye. Dès le mois de décembre 1947, un Comité de coordination
103 rsités, etc. C’est à la période de préparation du congrès de La Haye qu’appartient la conférence sur l’Aventure de l’Europe pro
104 disais à Montreux, en septembre dernier, lors du congrès de l’Union européenne des fédéralistes : « Si l’Europe doit durer, c’
105 iciper sur les résolutions auxquelles aboutira ce congrès de l’Europe. Le 19 juin de 1789, personne ne prévoyait le serment du
106 lorsqu’il s’agit du plan Marshall, ou de quelque congrès d’intellectuels. Invités en bonne et due forme, les Russes répondent
107 omériques. Elle se traduit par un fait grave : au congrès de La Haye, la place de nos amis fédéralistes de toute l’Europe de l’
108 u moins autant que pour nous, il est vital que le congrès de La Haye allume un phare visible au loin. Vous venez de le voir : l
109 , que le parti travailliste anglais boycottait le congrès de La Haye. Et certains socialistes continentaux, suivis de certains
110 ré que l’absence des travaillistes donnerait à ce congrès une couleur politique, qui leur interdirait d’y prendre part. Je suis
111 rien, que les travaillistes viendront. Certes, le congrès des partis socialistes s’est prononcé à Londres, dernièrement, contre
112 veut son vrai génie, pour tous les hommes. Le congrès de La Haye ou la voix de l’Europe Cette architecture de grandes po
113 s… Mais je me dis qu’en effet, malgré tout, notre congrès est doublement non conformiste, puisqu’il a su rallier pour une œuvre
114 , hélas, que des « observateurs ». Attendons : le Congrès commence à peine. L’Histoire seule dira le vrai sens de cette cérémon
115 age, je renouvelle in petto l’engagement final du Congrès  : « Nous voulons une Europe unie, rendue dans toute son étendue à la
116 é plus que toute autre chose survenue au cours du Congrès . (La presse y fait peu d’allusions.) Et ce n’était pas un accident, p
117 ent en importance les résolutions adoptées. 1. Le Congrès de l’Europe voulait produire un choc, voulait alerter l’opinion. Il l
118 c’est cela qui compte, et le reste suivra. 2. Le Congrès de l’Europe a permis de mettre en pleine lumière les vraies difficult
119 presse continentale dans son ensemble a parlé du Congrès de l’Europe comme d’un congrès « fédéraliste ». En réalité, les group
120 nsemble a parlé du Congrès de l’Europe comme d’un congrès « fédéraliste ». En réalité, les groupes fédéralistes s’y trouvaient
121 nos divisions. On pouvait donc prévoir, avant le congrès , que l’inconsistance « unioniste » ne jouerait à La Haye que le rôle
122 et qu’on trouve déjà formulées dans le rapport du congrès de Montreux — furent acceptées à l’unanimité. Quant à l’action de la
123 , confusions et manœuvres souterraines, on vit le Congrès rallier progressivement quelque chose dont il refusait le nom ou l’ét
124 4 . Et la plupart des principes généraux posés au congrès de Montreux ont été repris, presque littéralement, dans les résolutio
125 la gravité de l’enjeu, eût sans nul doute mené le congrès beaucoup plus loin — s’il n’y avait eu les Britanniques. Beaucoup pe
126 déralistes, le seul conflit profond qui divisa le congrès fut celui qui opposa sourdement le front commun des Insulaires aux in
127 dans le sens de l’action créatrice à laquelle le congrès devait donner l’impulsion. Pour que l’Europe se fasse, il faut que le
128 cle. J’entendais répéter partout, au lendemain du congrès de La Haye : — Pour nous, Continentaux, c’est l’Europe qui est en jeu
129 opinion de la presse continentale au lendemain du congrès de La Haye. Aux Anglais de la corriger, si elle les choque. Ah ! Mess
130 ter Paul Reynaud. On sait qu’il provoqua, lors du Congrès , ce qu’on appelle une « sensation », en proposant que soit élue dans
131 tanniques firent front contre l’idée, le reste du Congrès contre le projet précis. C’est que les Britanniques n’aiment guère qu
132 ements. Dans les trois commissions, bien avant le Congrès , ils insistaient pour que l’on « rende hommage » aux efforts des Cinq
133 te phrase figure dans la résolution économique du Congrès . 6. Sauf Churchill. 7. Mais il faudrait deux députés au lieu d’un p
63 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
134 nts de La Haye) Lors de la séance plénière du Congrès de l’Europe consacrée aux problèmes de la culture, je terminai mon rô
135 uelques remarques suivantes : Il me semble que ce congrès , tel qu’il s’est déroulé jusqu’ici, se distingue par une double origi
136 e veux dire des institutions. En second lieu, ce congrès se distingue de toutes les autres entreprises internationales par ce
137 rticulière. Il signifie que les initiateurs de ce congrès ont senti la nécessité de considérer la culture comme autre chose qu’
138 tendu pas sérieux. Ceux qui vous ont invités à ce congrès ont donc senti l’urgence de dégager le sens de la grande espérance qu
139 t il me plaît d’invoquer l’ombre tutélaire sur ce Congrès , Paul Valéry, prévoyait le jour où le désir secret de l’Europe serait
140 ul fait de son existence et de son statut dans ce Congrès , a pu servir d’illustration vivante à cette hiérarchie spirituelle, q
141 n projet de résolution, enfin le Message final du Congrès . De nombreuses réunions préparatoires eurent lieu à Paris, à Genève,
142 rientation générale des rapports préparés pour le congrès . On trouvera ci-après les documents qui résultèrent de ce travail. L
143 en plein accord avec le Comité de coordination du congrès . Quant à la Résolution, elle fut mise au point, au terme des débats d
144 r Ernst von Schenk. Rapport culturel soumis au congrès de La Haye (7-11 mai 1948) par le Comité international de coordinatio
145 la fédération mondiale. Résolution proposée au Congrès de l’Europe, le 9 mai 1948, par la commission culturelle Considéra
146 ntions réciproques ou par tous autres moyens ; Le Congrès de l’Europe propose : La création d’un organisme permanent qui aurait
147 ccomplie dans les pays scandinaves ; En outre, le Congrès de l’Europe : Considérant que l’avenir de l’Europe repose sur sa Jeun
148 est indispensable à la garantie des droits ; Le Congrès de l’Europe estime : Que la fédération européenne implique l’existenc
149 , qui résument les résolutions adoptées par notre Congrès  : 1) Nous voulons une Europe unie, rendue dans toute son étendue à la
64 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
150 e les faire prendre une part active à l’un de ces congrès où s’élabore notre fédération européenne. Car c’est précisément quand
151 taine de comptes rendus de nos réunions et de nos congrès , et c’est celle-ci : « Nous ne pouvons que souhaiter bonne chance aux
152 oyons sérieux ; quand il s’agit de voter dans nos congrès contre les « mystifications » qu’ils dénoncent du dehors, à juste tit
65 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
153 nomique. Voici le fait fondamental qu’énonçait au congrès de La Haye le Message aux Européens  : Aucun de nos pays ne peut pr
154 pour le mois d’août 1947, à Montreux, son premier congrès . Qu’étions-nous à l’époque, il y a un an et demi ? Cent-cinquante à d
155 apes du mouvement vers l’Europe unie, à partir du congrès de Montreux jusqu’à ceux de La Haye, de Rome et, tout récemment, de B
156 ent discernable. De Montreux à Bruxelles Le congrès de Montreux n’était pas terminé que l’idée naissait parmi nous d’en é
157 ll, avait également l’intention de convoquer un «  Congrès de l’Europe ». Il ne s’agissait pas, dans son esprit, d’une entrepris
158 e leur rencontre à Montreux, que devait sortir le congrès de La Haye. Dès l’automne 1947, un Comité de coordination des mouveme
159 chevaliers du Parlement néerlandais, s’ouvrait le Congrès de l’Europe. Nous étions cette fois-ci plus de huit-cents délégués, p
160 fut mis au point très rapidement, au lendemain du congrès de La Haye. Par l’intermédiaire de M. Bidault, il fut présenté à la r
161 e des fédéralistes réunissait à Rome son deuxième congrès annuel. À Montreux, nous avions tenu nos séances dans une modeste sal
162 de licteur les grandes lettres du mot Europe. Le congrès fut inauguré en présence de tous les ministres par un discours du pré
163 gente conduite par les fédéralistes. Peu avant le congrès de Rome, le Comité de coordination des groupements militant pour l’un
164 Assemblée au rôle purement consultatif d’un petit Congrès d’experts nommés par les gouvernements. Tout le pouvoir, dans ce cas,
165 ériter l’adjectif de son titre. C’est pourquoi le congrès de La Haye a réclamé l’institution rapide d’un Centre européen de la
66 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
166 tre est la meilleure preuve de l’urgence de notre congrès . Elle dit tout haut ce que pensent des millions. Et elle le dit sans
167 er mot sur les hommes politiques. Ils ont eu leur congrès ailleurs. À Lausanne, ce seront les savants, les poètes et les philos
67 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
168 conscient et agissant. Telle est la tâche dont le congrès de La Haye, il y a un an, proclamait la nécessité. La section culture
169 s idées et des biens ». ( Message aux Européens , congrès de La Haye.) L’Europe est une culture qui est faite de douze cultures
68 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
170 ctuels redoutent non sans raison l’atmosphère des congrès , inconsidérément multipliés de nos jours. Je les comprends, et je com
171 roposées et mises au point par les commissions du congrès . La section culturelle du Mouvement européen6 avait estimé tout d’abo
172 ien entendu, réservés aux débuts de l’ensemble du congrès , siégeant en commission générale. Il nous apparaît qu’il y a lieu de
173 ctuel des choses. Je tiens à rappeler que, dès le congrès de La Haye, avait été demandée la création d’un Centre européen de la
174 furent esquissées par la résolution culturelle du congrès . Au mois de février 1949, le Mouvement européen ouvrait à Genève un B
175 dire vraiment de notre Conférence qu’elle fut le congrès de la conscience européenne. Une conscience malheureuse, il est vrai,
69 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
176 te conférence prononcée par Denis de Rougemont au congrès de La Fédération à Beaune. Nous tenons à remercier M. de Rougemont po
70 1950, Articles divers (1951-1956). Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951)
177 cé à Bruxelles, devant le comité international du Congrès pour la Liberté de la culture, par Denis de Rougemont, directeur du s
178 gemont, directeur du secrétariat international du Congrès . a. « Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture 
71 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
179 nt de ses divisions », déclarait le Manifeste du congrès de La Haye, trois ans après la fin de la guerre. Prise de conscience
72 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
180 neutralisme. Le discours de Denis de Rougemont au congrès de Bombay », Preuves, Paris, n° 3, mai 1951, p. 20-21. Le texte est p
181 ons rendu compte, dans notre précédent numéro, du Congrès indien pour la liberté de la culture qui s’est tenu à Bombay, du 28 a
182 nférence, Denis de Rougemont, qui représentait le Congrès international pour la liberté de la culture, a fait une importante in
73 1951, Articles divers (1951-1956). Défense de nos libertés (octobre 1951)
183 senté par la note suivante : « Nous remercions le Congrès pour la liberté de la culture d’avoir bien voulu nous autoriser à rep
74 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
184 bitants meurent de faim. Montez à la tribune d’un congrès d’écrivains et proclamez « qu’il y a de l’indécence à parler de cultu
75 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
185 nous demande pourquoi nous venons ici. — Pour un congrès . — Quel congrès ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la lib
186 urquoi nous venons ici. — Pour un congrès. — Quel congrès  ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la liberté de la cultu
187 ongrès. — Quel congrès ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la liberté de la culture. — Qui l’organise ? — La revue T
188 qui est publiée à New Dehli. — Alors, pourquoi le Congrès se tient-il à Bombay ? — Parce que M. Nehru le veut ainsi. (Réponse p
189 fonctionnaire que c’est M. Nehru qui patronne le Congrès , alors qu’en vérité, il s’est borné à le déplacer, par un décret, de
190 res à l’éditeur, et commentaires critiques sur le Congrès . Je quitterai l’Inde sans avoir voulu dire ce que j’en pense, qui se
191 étude. J’arrivais à l’instant de Bombay, où notre Congrès s’était clos sur une résolution condamnant le neutralisme. J’avais lu
192 d’abord. (À la première mention que je risque du Congrès , baissant la tête et regardant sa main posée sur un coussin, sans réa
193 nnaissant bien les écrivains qui participèrent au congrès , mais esquivant doucement mes tentatives pour entrer dans le vif du s
194 i dis que Madariaga, dans la séance de clôture du congrès , s’est écrié : « Votre Nehru, c’est l’un des six ou sept qui dirigent
76 1952, Arts, articles (1952-1965). Appel à ceux qui osent être différents (22 mai 1952)
195 , au mieux, un peu plus virulente que la leur. Un congrès d’écrivains, aujourd’hui, ou bien c’est une opération de police d’Éta
77 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
196 inte et non spectaculaire ; il ne s’agit pas d’un congrès , mais d’un séminaire de recherches. b) Les représentants de l’Amériq
78 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-USA (août-septembre 1952)
197 ens) ; — du 26 août au 1er septembre, en marge du congrès mondial de Pax Romana, entretiens entre universitaires américains et
79 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
198 inte et non spectaculaire ; il ne s’agit pas d’un congrès , mais d’un séminaire de recherches. b) Les représentants de l’Amériqu
80 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
199 très directe : Pourquoi parler de culture dans un congrès rassemblant des jeunesses politiques ? Les hommes politiques qui se p
200 emps dans une commission « culturelle » lors d’un congrès des jeunesses (ou des aînesses) politiques. L’intérêt électoral de la
201 ongue haleine. Voilà pourquoi, précisément, votre congrès doit estimer qu’il n’y a pas une minute à perdre avant de s’y mettre.
81 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
202 ublié qu’il présidait la commission économique du Congrès de l’Europe tenu à La Haye en 1948, préparé par la conférence de Mont
82 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
203 era des thèmes des conférences et discussions. Le Congrès pour la liberté de la culture décernera au cours de cette rencontre t
83 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
204 j’en trouve quelques-unes sur l’Europe : sur nos congrès de La Haye et de Bruxelles, sur l’idée de culture en Europe. Il suit
84 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
205 lare. Nous avons pris sur elle six ans d’avance ( congrès de Montreux, 1947). Normalement, nous devons donc gagner, sur ce plan
85 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
206 s voient leur prestige baisser en Europe, et leur Congrès menace de réduire l’aide à certains de nos pays. Quant à notre opinio
207 s autres, tout au plus. Il y a cinq ans, avant le congrès de La Haye, quand un journal de nos pays passait un papier sur l’Euro
86 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
208 e, me demanda d’ouvrir par un discours le premier congrès fédéraliste qui allait se tenir à Montreux. Comme j’hésitais à interv
209 s de 1939 et 1940 : c’est exactement ce que notre congrès attend. » Ainsi fut fait. Mon discours publié en brochures par Fédéra
87 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
210 Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)j Notre tâche est une action mondiale pour la libe
211 i passionnent le grand public. On comprend que le Congrès pour la Liberté de la Culture ait pris l’initiative de convoquer l’as
212 sommes ici. Merci ! j. « Les raisons d’être du Congrès . Allocution inaugurale du Congrès “Science et Liberté” », Preuves, Pa
213 isons d’être du Congrès. Allocution inaugurale du Congrès “Science et Liberté” », Preuves, Paris, n° 30-31, août-septembre 1953
214 . Le texte est précédé du chapeau suivant : « “Ce Congrès est un parlement des intellectuels de nombreux peuples qui ont reconn
215 , Max Brauer, a ouvert, le soir du 23 juillet, le congrès international “Science et Liberté”. Cette rencontre organisée par le
216 nce et Liberté”. Cette rencontre organisée par le Congrès pour la liberté de la culture a réuni plus de cent savants de premier
217 qui avait, elle aussi, accordé son patronage à ce Congrès , le recteur Bruno Snell a déclaré : “Nous autres savants, avons besoi
218 nis de Rougemont, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture. Preuves publiera ultérieurement un c
88 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Perspectives du CEC (juillet octobre 1953)
219 e 1953)n Cinq ans après Cinq ans après le Congrès de l’Europe, à La Haye, un autre congrès vient de se tenir dans la mê
220 après le Congrès de l’Europe, à La Haye, un autre congrès vient de se tenir dans la même ville et la même noble Salle des cheva
221 e ville et la même noble Salle des chevaliers. Le congrès de 1948 avait pour mission de donner le coup de gong du départ à tout
222 égageant, à la fin des débats, le sens général du congrès . La manifestation de cette année, convoquée à La Haye par le Mouvemen
223 contemporains ». Enfin, le ME prépare un nouveau congrès d’économistes, qui doit avoir lieu à Londres au début de 1954. Après
224 elles ? La fonction propre du CEC Le second congrès de La Haye fut donc strictement politique. Son motto semblait être :
225 surtout, plus que dans « les faits ». Il faut des congrès politiques. Il faut des plans économiques. Mais il faut en même temps
226 EC viennent de prendre part aux travaux du second congrès de La Haye. Les hommes politiques, en retour, voudront-ils apporter à
89 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
227 allait entrer dans une longue période de paix. Au congrès de Munster en 1648, elle obtint des puissances la reconnaissance de s
90 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
228 e plus simple, régulièrement proposé par tous les congrès depuis trente ans, c’est la réforme des manuels d’histoire : chacun s
91 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
229 oducteur de culture ou simplement organisateur de congrès , de comités et d’échanges ? — La culture est produite par les personn
92 1954, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Visite à M. Denis de Rougemont, directeur du Centre européen de la culture (septembre 1954)
230  ; Denis de Rougemont est également président du Congrès pour la liberté de la culture et l’auteur de dix-sept ouvrages, dont
93 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
231 s sur des bouts de papier qui sont l’agrément des congrès , mais qui permettent surtout de vérifier rapidement le degré d’accord
94 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
232 euples !) Parlons et dialoguons, non pas dans des congrès où s’affrontent les démagogies, mais par groupes de professionnels ;
95 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
233 mpulsion donnée par le Mouvement européen lors du congrès de La Haye en 1948 nous amène tout près des résultats que celui-ci s’
96 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
234 ue. » 13. Participation « plus facile… aux grands congrès internationaux ». 14. « Instituer… des échanges culturels et sportifs
235 Oui selon cas d’espèce 13. Organisation de congrès de savants, étudiants Oui 14. Échanges de « réalisations » dans
97 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
236 de délégations de savants soviétiques aux grands congrès , tels que la conférence atomique de Genève, ne saurait remplacer le t
98 1955, Articles divers (1951-1956). Une présence (1955)
237 ceux d’une armée et de sa politique. L’action du Congrès pour la liberté de la culture, depuis cinq ans, a démontré la possibi
238 tualité de notre temps. Quels furent les actes du Congrès pendant cinq ans ? On rappelle plus loin nos conférences de savants,
239 urires que prodiguent désormais les césariens, le Congrès va mener plus que jamais l’offensive de la liberté, sa vraie lutte po
240 nq ans de présence (juin 1950-septembre 1955). Le Congrès pour la liberté de la culture, Paris, 1955, p. 5-6.
99 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Après le congrès de Trieste (février 1956)
241 Après le congrès de Trieste (février 1956)ae Cent-vingt professeurs d’université ré
242 Cent-vingt professeurs d’université réunis en congrès à Trieste, en septembre 1955, ont étudié les voies et moyens d’une « 
243 le secrétariat général. Les rapports présentés au congrès par une dizaine de professeurs européens seront publiés prochainement
244 ation européenne de la culture. ae. « Après le congrès de Trieste », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 3
100 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une initiative des sénateurs belges (février 1956)
245 araît être la tâche à laquelle les initiateurs du congrès de Bruxelles pourraient consacrer leur volonté européenne et l’autori