1
t ici encore transparaît un doute, parfois : « On
craint
d’être injuste en décidant si… cette absence de haine ; cette épouvan
2
de doctrines critiques. Dirai-je pourtant que je
crains
qu’il n’ait été incité parfois, et presque inconsciemment, à gauchir
3
et leur effort est de retrouver ces lois ; ils ne
craignent
pas de choisir parmi leurs instincts, ni de les améliorer 10. Tout ce
4
eler en vain le vent du large, parmi des gens qui
craignent
de s’enrhumer. q. « Alix de Watteville : La Folie de l’espace (Dela
5
tômes, sur le public. (Bientôt sur lui-même je le
crains
, pour renaître catholique.) Certes, il bannit le charme et toute grâc
6
évoir l’influence, avant de s’y jeter, et dont on
craint
de ressortir trop différent. Amour de soi, qui nous tourmente obscuré
7
suré que la porte ferme bien sur l’infini. Rien à
craindre
de ce côté. Retournez à vos amours. .................................
8
Baudelaire à Rubens. Il fut un temps où l’on put
craindre
que Charles Humbert ne devînt le chef d’une école du gris-noir neuras
9
ous m’avez assigné à force de m’humilier et de me
craindre
. » ah. « Bernard Lecache : Jacob (NRF, Paris) », Bibliothèque unive
10
Mais au courant d’air s’enrhuma le grand-papa. On
craignit
de le perdre. — « Eh ! quoi, — vinrent lui dire ses amis, — l’orgueil
11
Si cette conception du pratique prévaut, il est à
craindre
que l’école nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour ap
12
au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à
craindre
qu’à la faveur du tumulte l’un ou l’autre proclamant : je sors ! ne t
13
de petits démocrates conscients et organisés. Je
crains
que ce malentendu ne soit décidément trop gros pour échapper plus lon
14
longtemps à MM. les Inspecteurs des Écoles. Je le
crains
, dis-je ; car le monde ne progresse qu’à la faveur de malentendus (si
15
ue. Le cerveau standard du type fédéral ne laisse
craindre
aucun imprévu dans son fonctionnement. Cet avantage inappréciable sur
16
Si cette conception du pratique prévaut, il est à
craindre
que l’école nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour ap
17
au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à
craindre
qu’à la faveur du tumulte l’un ou l’autre proclamant : je sors ! ne t
18
de petits démocrates conscients et organisés. Je
crains
que ce malentendu ne soit décidément trop gros pour échapper plus lon
19
longtemps à MM. les Inspecteurs des Écoles. Je le
crains
, dis-je ; car le monde ne progresse qu’à la faveur de malentendus (si
20
ue. Le cerveau standard du type fédéral ne laisse
craindre
aucun imprévu dans son fonctionnement. Cet avantage inappréciable sur
21
’un poète authentique. Le pittoresque. D’abord je
crains
que la notion n’en soit toute relative aux modes de « vie » bourgeois
22
qui peut-être n’a pas de gros lot, et jamais, je
crains
bien, jamais je ne parviendrai à le regretter… » L’ironie indulgente
23
éjà, disent banale, pour lui ôter sa force, je le
crains
. ⁂ Le puritanisme, expression d’une doctrine héroïque, pouvait provoq
24
censure moraliste est avant tout peureuse. Elle «
craint
» la vérité ; non point au sens de ce verbe qui signifie la révérence
25
ce verbe qui signifie la révérence, mais comme on
craint
le risque, que Jésus n’a jamais craint. Et c’est en quoi elle révèle
26
s comme on craint le risque, que Jésus n’a jamais
craint
. Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa théologie. Car il es
27
a théologie. Car il est certains cas où celui qui
craint
de dire toute la vérité n’exprime par là rien d’autre que sa méfiance
28
volutionnaires.) Et ce n’est pas qu’il ait jamais
craint
de tirer sur ces racines, fortement : mais il a vu qu’elles tenaient
29
ture et dépourvues de coquetteries. À force de se
craindre
dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissa
30
qui peut-être n’a pas de gros lot, et jamais, je
crains
bien, jamais je ne parviendrai à le regretter… » L’ironie indulgente
31
ient en marche, et sont tellement articulés qu’on
craint
à chaque pas que leurs membres ne se déboîtent. On a vu des élans gag
32
’un poète authentique. Le pittoresque. D’abord je
crains
que la notion n’en soit toute relative aux modes de « vie » bourgeois
33
ture et dépourvues de coquetteries. À force de se
craindre
dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissa
34
qui peut-être n’a pas de gros lot, et jamais, je
crains
bien, jamais je ne parviendrai à le regretter… » L’ironie indulgente
35
ient en marche, et sont tellement articulés qu’on
craint
à chaque pas que leurs membres ne se déboîtent. On a vu des élans gag
36
— ni la patience du lecteur à mon endroit, je le
crains
… 1. S’il n’y a pas de vérité absolue, en ce sens que tout jugement te
37
ait. Mais l’individu a vécu, nous dit-on… Il faut
craindre
la mort des mythes : elle n’est jamais qu’une métamorphose. L’individ
38
er 1934)b Le Suisse romand est-il sérieux ? Je
crains
que mes raisons d’en douter n’ébranlent guère la solide réputation de
39
uteurs comiques : il s’agit d’abord de poètes. Je
crains
même de leur faire du tort en écrivant qu’ils sont drôles. (Des gens
40
énergie quand on les traite de matérialistes. Je
crains
que ce soit, chez la plupart d’entre eux, un réflexe de bourgeois plu
41
invective prophétique : Plains-toi, l’Éternel ne
craint
rien, il peut bien se défendre ; mais comment le pourrait-il quand pe
42
, — il faudrait dire : tel qu’on le laisse aller.
Craignons
que ce mépris, toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une co
43
egaard condamne la foule, ce n’est point qu’il la
craigne
, ou qu’il craigne d’y perdre le pauvre moi des psychologues, son repr
44
foule, ce n’est point qu’il la craigne, ou qu’il
craigne
d’y perdre le pauvre moi des psychologues, son reproche à la foule, c
45
ent-ils ? À la galerie plus qu’à eux-mêmes, je le
crains
. Ils criaient, mais restaient dans la salle, où l’on pouvait les appl
46
isations conscientes de leur mission n’ont jamais
craint
d’affirmer leur morale. Elles n’ont jamais pensé qu’une œuvre d’art p
47
le bourgeois s’émerveiller de ce rajeunissement.
Craignons
que le fascisme ne tire bénéfice, avant nous, d’une faim trop facile
48
sance des socialistes vis-à-vis du fascisme. Nous
craignons
donc que Déat ne soit prophète après coup. Déat demande qu’on reconna
49
, voilà qui devrait rassurer M. Thibaudet, lequel
craignait
que ce plan ne fût qu’une œuvre d’intellectuels ! Ce sont des hommes
50
er ne saurait être prise pour une explication. Je
crains
bien que cette modestie ne soit un peu trop ambitieuse. Car l’hypothè
51
neuses pour la foi que beaucoup de croyants ne le
craignent
. Pour deux raisons. La première, qu’il indique lui-même, c’est que, d
52
tout simplement, de s’évader d’une réalité qu’on
craint
. Le ton bien plus modeste (trop modeste) des discours de Breton devan
53
» aussi rigoureusement administré et contrôlé. Je
crains
alors que leur « esprit » ne soit qu’une forme de l’esprit bourgeois,
54
al. Réaction sans doute sympathique, mais dont je
crains
qu’elle soit insuffisante pour combattre le péril éventuel : elle ne
55
isme. On dit à l’homme du peuple : tout ce que tu
crains
, tout ce que tu détestes, ça s’appelle fascisme. Le fascisme, c’est l
56
ue. Et ce n’est pas cette mort-là qu’il nous faut
craindre
, mais bien plutôt que les autres ne meurent bassement de n’en pas mou
57
, — il faudrait dire : tel qu’on le laisse aller.
Craignons
que ce mépris toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une con
58
» aussi rigoureusement administré et contrôlé. Je
crains
alors que leur « esprit » ne soit qu’une forme de l’esprit bourgeois,
59
al. Réaction sans doute sympathique, mais dont je
crains
qu’elle soit insuffisante pour combattre le péril éventuel : elle ne
60
isme. On dit à l’homme du peuple : tout ce que tu
crains
, tout ce que tu détestes, ça s’appelle fascisme. Le fascisme, c’est l
61
ue. Et ce n’est pas cette mort-là qu’il nous faut
craindre
, mais bien plutôt que les autres ne meurent bassement de n’en pas mou
62
bre, et donc non conformiste : or c’est là ce que
craint
l’équipe des fonctionnaires. Seule la grandeur suscite et favorise l
63
jusqu’ici, sur les inconvénients que l’on pouvait
craindre
. Esprit est surtout une enquête. L’Ordre nouveau , surtout une con
64
e Malraux, de s’intituler : la condition humaine.
Craindrait
-on par hasard de parler de chefs-d’œuvre, de rétablir un peu l’échell
65
ns qui ont le sens de la gaffe, et le sort, je le
crains
, a voulu que j’en fusse. Mais Nicodème, par bonheur, « sait vivre » m
66
paroles, — et Mme Nicodème d’autre part, dont je
craignais
qu’elle n’approuvât que trop vivement mes réserves, j’hésitais à parl
67
rler dans ses temples justement parce qu’on ne le
craint
plus ? Et dès lors, à quoi servirait de méditer sur la manière dont c
68
On ne pouvait mieux se moquer de l’intelligence.
Craignons
toutefois que l’intention de nos auteurs n’ait été pure de toute espè
69
ensuite persévérer, malgré les résultats. Mais je
crains
bien qu’une humeur espagnole pousse Montherlant à préférer un peu tro
70
qui scandalisera beaucoup moins que ne paraît le
craindre
Montherlant. « Pourquoi n’y a-t-il pas une École de bonheur ? au lieu
71
graphe final sur mes « convoitises célestes », je
crains
bien que certains n’y voient un trait de cette « volonté de rabaisser
72
moyens de surmonter la séparation originelle. On
craint
au contraire que tout autre moyen, fût-il « déduit » de la Révélation
73
outade, en vérité, mais très « catholique » je le
crains
, si la « prudence » catholique consiste, comme je le montrais plus ha
74
r interpréter les évangiles… 27. Méthode dont je
crains
bien qu’elle ne repose toujours, en fin de compte, sur la méconnaissa
75
uite ait fait voir l’énormité de cette erreur. Je
crains
bien que ce n’ait été qu’au profit d’une erreur plus subtile. 2. Parc
76
hension si totale du réel que notre langue, je le
crains
, n’arrivera pas à la restituer sans bizarreries. Ceci suffit sans dou
77
tat de controverse intérieure et abstraite, où je
crains
bien que la jeunesse d’aujourd’hui ne voie plus qu’une fièvre morbide
78
s’y perd bien souvent, on y apprend beaucoup. On
craint
aussi qu’à la faveur de tant de richesses disparates, le sérieux prop
79
une mentalité petite-bourgeoise. Mais Gide : « Je
crains
que ne se reforme bientôt une nouvelle sorte de bourgeoisie ouvrière
80
e plus réjouissante en France ? Et ne faut-il pas
craindre
que certaines tentatives de restauration culturelle qui s’amorcent ic
81
l’autre : il n’y a plus de fin commune. Elles se
craignent
et elles se méprisent. Elles ne parlent plus la même langue. Et si l’
82
éteint quelques-unes. Mais on aurait bien tort de
craindre
qu’ils se rompent le col à cette gymnastique. Elle reste purement fig
83
ue. Je vois le risque de ce développement ; et je
crains
qu’il n’emporte certaines adhésions, ou ne provoque certains refus do
84
s richesses. Celui qui ne possède rien n’a rien à
craindre
pour sa liberté tant que les moyens politiques ne prétendent pas le c
85
ssant ; et si la dictature, comme il faut bien le
craindre
, est exercée plutôt par la petite bourgeoisie, l’affaire est bonne en
86
bientôt chez nous les conclusions inévitables. Je
crains
ces renaissances toutes corrompues en germe par les vices qu’elles vo
87
tre les tentations du réformisme. Et par exemple,
craignons
les médecins malades, ceux qui feignent de nous comprendre, ceux dont
88
it. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à
craindre
que sous sa forme négative : le collectif. Ramener la question social
89
bien citer Joyce et ses jeunes disciples, mais je
crains
qu’ils ne fassent une erreur importante en négligeant les fins commun
90
e plus réjouissante en France ? Et ne faut-il pas
craindre
que certaines tentatives de restauration culturelle qui s’amorcent ic
91
l’autre : il n’y a plus de fin commune. Elles se
craignent
et elles se méprisent. Elles ne parlent plus la même langue. Et si l’
92
éteint quelques-unes. Mais on aurait bien tort de
craindre
qu’ils ne se rompent le col à cette gymnastique. Elle reste purement
93
ue. Je vois le risque de ce développement ; et je
crains
qu’il n’emporte certaines adhésions, ou ne provoque certains refus do
94
s richesses. Celui qui ne possède rien n’a rien à
craindre
pour sa liberté tant que les moyens politiques ne prétendent pas le c
95
ssant ; et si la dictature, comme il faut bien le
craindre
, est exercée plutôt par la petite bourgeoisie, l’affaire est bonne en
96
bientôt chez nous les conclusions inévitables. Je
crains
ces renaissances toutes corrompues en germe par les vices qu’elles vo
97
tre les tentations du réformisme. Et par exemple,
craignons
les médecins malades, ceux qui feignent de nous comprendre, ceux dont
98
it. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à
craindre
que sous sa forme négative : le collectif. Ramener la question social
99
bien citer Joyce et ses jeunes disciples, mais je
crains
qu’ils ne fassent une erreur importante en négligeant les fins commun
100
raves que celles d’un monopole privé) qu’il est à
craindre
qu’elle ne puisse s’accomplir isolément. Seul le redressement radical
101
les instigateurs devienne rapidement un organisme
craint
et respecté. À l’heure où l’Argent-roi investit complètement la press
102
vant les hommes ; et s’il a honte, c’est qu’il ne
craint
pas Dieu, mais qu’il croit au jugement des incroyants, tout en s’imag
103
ontre les bureaucrates ne sait plus bien ce qu’il
craint
davantage : de la vie qui ne rapporte plus, ou de la mort qui rapport
104
ent distinct de tous les autres. 1er mars Si l’on
craint
d’ordinaire d’avouer sa réalité individuelle et ses superstitions, c’
105
a seule manière d’être en vérité « réaliste ». Je
crains
d’avoir créé certain malentendu en soutenant à plusieurs reprises que
106
and vous aurez compris cela, vous cesserez, je le
crains
, d’envier ma condition… 16 mars 1934 D’un autre « peuple ». — Il fau
107
urs et grands désirs informulés. En finissant, je
craignis
un moment de les avoir trompés, de les avoir rendus jaloux d’une espè
108
a eu un profond silence au lieu des rires que je
craignais
. (On peut donc gouverner sans être un monsieur en haut de forme ? Il
109
colère y jaillit sans rencontrer personne. J’ai à
craindre
qu’elle ne m’attaque par désir famélique de créer du nouveau. Car c’e
110
d’une vision précise de cet état qu’ils rêvent et
craignent
. J’ai pensé plus d’une fois qu’il pourrait être utile de décrire ma p
111
and vous aurez compris cela, vous cesserez, je le
crains
, d’envier ma condition… p. « Extraits de… Journal d’un intellectuel
112
Vienne la reconnaissance de leur neutralité : on
craignait
que de nouvelles guerres franco-allemandes ne dissocient le lien des
113
colère y jaillit sans rencontrer personne. J’ai à
craindre
qu’elle ne m’attaque par désir famélique de créer du nouveau. Car c’e
114
pose la pauvreté est avant tout moral : ce qu’on
craint
le plus, et en premier lieu, sentimentalement, c’est de perdre son ra
115
u’il y aura des bourgeois, il y aura des gens qui
craindront
avant tout de descendre d’un échelon, c’est-à-dire de devenir pauvres
116
and vous aurez compris cela, vous cesserez, je le
crains
, d’envier ma condition… » 16 mars 1934 D’un autre « peuple ». —
117
curs et grands désirs informulés. En finissant je
craignis
un moment de les avoir trompés, de les avoir rendus jaloux d’une espè
118
a eu un profond silence au lieu des rires que je
craignais
. (On peut donc gouverner sans être un monsieur en haut de forme ? Il
119
d’une vision précise de cet état qu’ils rêvent et
craignent
. Il me semble que Proust dit à peu près cela (dans un autre ordre). S
120
vant les hommes ; et s’il a honte, c’est qu’il ne
craint
pas Dieu, mais qu’il croit au jugement des incroyants, tout en s’imag
121
ontre les bureaucrates ne sait plus bien ce qu’il
craint
davantage : de la vie qui ne rapporte plus, ou de la mort qui rapport
122
t de tous les autres. 1er mars 1935 Si l’on
craint
d’ordinaire d’avouer sa réalité individuelle et ses superstitions, c’
123
a seule manière d’être en vérité « réaliste ». Je
crains
d’avoir créé certain malentendu en soutenant à plusieurs reprises que
124
» ni même une valeur de culture « générale », je
crains
que la comparaison qu’introduisent les mots « aussi générale » ne rid
125
me ses modèles à la distance où elle les voit. Je
crains
qu’elle n’intéresse que les bourgeois, tandis que les duchesses de ro
126
Tout le monde l’est-il, ou personne ? » — Mais je
crains
que mes contemporains, tout prêts qu’ils sont à applaudir Diderot, ne
127
s qui auront tout sauf la seule chose nécessaire.
Craignons
qu’ils ne préfèrent un jour les grands malheurs à cette démission con
128
de quoi l’Europe s’est faite. Pierre Beausire ne
craint
pas de proclamer que « si l’on veut parler à des hommes, et non à des
129
s, il faut renoncer à invoquer le Christ ». Je ne
craindrai
pas de lui répondre que ce n’est pas là parler en homme, ni en enfant
130
pour les faibles et les sceptiques, pour ceux qui
craignent
de se perdre en s’engageant, et préfèrent la littérature ; si ce n’es
131
it-il, il poursuivra sa lutte religieuse, mais il
craint
qu’elle ne soit alors affaiblie. Au contraire sa mort donnera de la f
132
son regard, on argumente contre sa souffrance, on
craint
pitié corrosive. Finalement on se rend et il refuse cette capitulatio
133
u qu’on honore, cette union sacrée qu’on invoque,
craignons
qu’à force de l’invoquer l’on finisse par la vouloir et par la faire.
134
onner en français, en attendant une situation. Il
craint
d’ailleurs de n’en point trouver, n’étant pas du Parti. Il a fait bea
135
ictature. Tout le monde le sent, tout le monde le
craint
— et le désire sans se l’avouer. Voilà pourquoi personne ne bouge. C’
136
Romains adoraient leur empereur, les chrétiens ne
craignaient
pas de passer pour athées : ils refusaient le culte de l’idole et s’e
137
r : pour des raisons trop faciles à concevoir, on
craint
d’attaquer le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus
138
issance à la Parole. ⁂ Et qu’aurions-nous alors à
craindre
du désir ? Cela seulement : qu’il nous détourne d’obéir. Mais il perd
139
s encore fixé sur la nature de leur actualité. Il
craignait
de n’avoir décrit que des aspects passagers du régime. Et comme son a
140
r en français, dans l’attente d’une situation. Il
craint
d’ailleurs de n’en point trouver, n’étant pas du Parti. Il a fait bea
141
l’histoire. Le Führer déclarait un jour qu’il ne
craint
pas les Ravaillac, parce que sa mission le protège. Il faut croire un
142
e cette opposition, et sa logique impitoyable. Je
crains
que certains ne se figurent encore qu’elle résulte d’abus de pouvoir
143
tous les journaux en parlent aujourd’hui. Mais je
crains
qu’on n’en parle un peu vite, par image, par ouï-dire, ou par manière
144
l’horreur sacrée. Si l’on n’a pas senti cela, je
crains
qu’on ne comprenne jamais la raison simple des triomphes totalitaires
145
été déjà beaucoup dit. N’importe. Il ne faut pas
craindre
de le répéter, et surtout de le faire bien comprendre. Les nazis, eux
146
a théologie, surtout catholique. Tout cela, je le
crains
, relève d’un malentendu, courant sur le sens du mot « foi ». Je voudr
147
iste ». Je ne pense pas que cela soit décisif. Je
crains
bien qu’au contraire le mouvement ait péché par défaut de radicalisme
148
vité d’ailleurs jamais sévère ; au point que l’on
craindrait
d’en détourner certains lecteurs en remarquant que c’est aussi un ouv
149
’est entretenir une équivoque dont il y a lieu de
craindre
qu’elle soit intéressée. Au contraire, s’exprimer, c’est toujours s’a
150
us le IIIe Reich somnambulique. Nous avons tout à
craindre
des « inspirations » du Führer, mais que pourrait produire un réveil
151
rifier la richesse émouvante du réel ; et moi, je
crains
que l’ambition scolastico-mirandolesque d’assumer tout ce qui existe
152
’il n’est pas assez détaché du désir, c’est qu’il
craint
de quitter son corps par désespoir, « mortel péché », enfin, c’est qu
153
et le frère se trouve guéri, parce qu’il cesse de
craindre
à l’excès. S’il faut parler encore de psychanalyse, reconnaissons que
154
auparavant, il voulait le repos, et maintenant il
craint
le mariage qui lui amènerait le repos… Je la veux offenser pour acqu
155
nt toutes leurs propriétés ; tout ce qu’ils ont à
craindre
, c’est de payer une contribution.170 » Cet art de guerre exprimait da
156
r : pour des raisons trop faciles à concevoir, on
craint
d’attaquer le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus
157
issance à la Parole. ⁂ Et qu’aurions-nous alors à
craindre
du désir ? Cela seulement : qu’il nous détourne d’obéir. Mais il perd
158
vouèrent les hommes du xve siècle. Mais on peut
craindre
aussi que l’essentiel de la personne nous échappe, si nous nous limit
159
été primitive. Ce qu’elle adore, c’est ce qu’elle
craint
, c’est ce qui la terrorise. Une société ainsi formée a pour caractère
160
e chrétien est celui qui n’a pas d’autre ennemi à
craindre
que l’ennemi qu’il porte en lui-même. Car un ennemi visible et extéri
161
s étaient de bons chrétiens, ils n’auraient pas à
craindre
de révoltes. Hélas ! je vois des clercs gras et richement vêtus comme
162
mple de l’avidité, le peuple un jour les imitera.
Craignez
alors les plus grands maux pour la Patrie ! Qui veut être puissant et
163
t l’autre chérissent moins nos libertés qu’ils ne
craignent
le duc d’Occident ! Riche contrée, dit-on, que la Bourgogne ! Vin cha
164
le sang ni la défaite, ce n’est pas là ce que tu
crains
pour ta patrie, mais la victoire, porteuse de discorde ! Toi, notre s
165
’il n’est pas assez détaché du désir, c’est qu’il
craint
de quitter son corps par désespoir, « mortel péché », enfin, c’est qu
166
eprend) sa semence dans son corps, qu’aurait-il à
craindre
de la mort ? » comme le dit un upanishad. Dans le tantrisme, la maith
167
mpense », écrit Daude de Prades, qui cependant ne
craint
pas de donner des précisions sur les gestes érotiques que l’on peut s
168
et le frère se trouve guéri, parce qu’il cesse de
craindre
à l’excès. S’il faut parler encore de psychanalyse, reconnaissons que