1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
1 ! Qu’ils paissent éternellement dans les prairies célestes , pour avoir donné une grande gloire aux jeunes hommes ! » Mais ce jeu
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
2 iera. « Toute plante que n’a pas plantée mon Père céleste sera déracinée. » Et c’est en quoi, du point de vue chrétien, le marx
3 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
3 morale prudente, garantie de bonheur terrestre ou céleste . Car cette rencontre est mortelle à l’homme. Et c’est par là même qu’
4 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
4 beau vide à cause de la foi qu’on avait en la vie céleste de Jésus. L’Histoire est-elle cause ou effet de la foi ? M. Goguel in
5 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
5 écondation permanente par je ne sais quelle radio céleste , pourquoi faudrait-il, en effet, que nous mourrions totalement à nous
6 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
6 ) Quant au paragraphe final sur mes « convoitises célestes  », je crains bien que certains n’y voient un trait de cette « volonté
7 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
7 supérieure de la scène, là où se trouve le chœur céleste . En outre, souvent les chœurs s’expriment comme les chants d’oratorio
8 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
8 inité, et le dernier quart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dern
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
9 le rôle de l’amour naturel dans cette perspective céleste . C’est ce qu’a fait Davanzati, vers la fin du xiiie siècle, expriman
10 les yeux de Laure présente …allumés d’une lueur céleste M’enflamment de façon qu’il me plaît de brûler.126 (Triomphe de l’am
11 onnu : la poésie : Et voici que jaillit, pur feu céleste qui réchauffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable d
10 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
12 t qui s’en va par-delà les nuages jusqu’au cercle céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la maison de verre n’est plus qu’u
11 1939, Nicolas de Flue. [PERSONNAGES]
13 illards. le récitant. grand chœur. chœur céleste . chœur d’enfants. soldats, démons, assistants. PERSONNAGES DU
14 citant. grand chœur. chœur des pèlerins. chœur céleste . pèlerins. soldats suisses, français et autrichiens. PERSONNA
15 Soleure. le récitant. grand chœur. chœur céleste . chœur des compagnons de la Follevie. chœur d’enfants. députés, so
12 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
16 eul sur nos terres et nos âmes Éternel des armées célestes Devant qui seul nous plions le genou Miséricorde et grâce soient offe
13 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
17 t. Il garantit mon pied de toute chute ! Chœur céleste . (Au plan 3, invisible.)  —  Nicolas ! Nicolas ! Nicolas ! (La lumiè
18  ! Chœur céleste. Louons l’Éternel des armées célestes Sur les sommets de l’aurore Réveillez-vous dans l’ombre des vallées R
19 e chœur des enfants. Louons l’Éternel des armées célestes Sur les sommets de l’aurore Réveillez-vous dans l’ombre des vallées É
14 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
20 celui qui n’a rien du tout, celui qui vit du pain céleste , pourra-t-il vous donner un conseil ? (Un temps.) Gardez la justice e
15 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
21 quoi nous rendons grâce à Dieu et à toute la Cour céleste , ainsi qu’à toi dont l’amour de la paix a opéré ces choses, priant No
16 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
22 — le plan de la Solitude — représentera les voix célestes , appelant Nicolas et le réconfortant. La structure même de la scène c
17 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
23 inité, et le dernier quart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dern
24 ra cent fois humilié quand il errera dans la voie céleste . Il a choisi la voie terrienne, il a trahi l’Amour mystique, il n’est
18 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
25 le rôle de l’amour naturel dans cette perspective céleste . C’est ce qu’a fait Davanzati, vers la fin du xiiie siècle, expriman
26 de Laure présente         … allumés d’une lueur céleste M’enflamment de façon qu’il me plaît de brûler144. (Triomphe de l’amo
27 nnu : la poésie : « Et voici que jaillit, pur feu céleste qui réchauffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable d
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
28 inité, et le dernier quart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dern
29 ra cent fois humilié quand il errera dans la voie céleste . Il a choisi la voie terrienne, il a trahi l’Amour mystique, il n’est
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
30 le rôle de l’amour naturel dans cette perspective céleste . C’est ce qu’a fait Davanzati, vers la fin du xiiie siècle, expriman
31 les yeux de Laure présente … allumés d’une lueur céleste M’enflamment de façon qu’il me plaît de brûler.133 (Triomphe de l’am
32 onnu : la poésie : Et voici que jaillit, pur feu céleste qui réchauffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable d
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
33 t qui s’en va par-delà les nuages jusqu’au cercle céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la maison de verre n’est plus qu’u
22 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
34 i qui demandait la tête de Job devant le tribunal céleste . Non content de nous prendre à ses pièges, sitôt qu’il nous a pris il
23 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
35 ake estimait que Milton « peint très mal le parti céleste et très bien les cohortes infernales. C’est qu’il était un vrai poète
24 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
36 mais pour demain. 44. Saint Michel, ou l’ordre céleste , aussi nommé spirituel Le secret de la seule confiance qui ne soit
37 de de l’archange Michel, chef suprême des milices célestes , est la plus grande qui nous fut donnée dans le combat contre Satan.
38 Le nom même de Michel formule et définit l’ordre céleste , le gage inaliénable de toute confiance humaine. L’imagerie populaire
39 e lui oppose les hiérarchies de l’Ordre : l’ordre céleste et le cri de guerre de l’Ange blanc, l’ordre intérieur de la sainteté
25 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
40 i qui demandait la tête de Job devant le tribunal céleste . Non content de nous prendre à ses pièges, sitôt qu’il nous a pris il
26 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
41 son chef terrestre, a voulu s’assurer de son chef céleste afin de garantir l’institution nouvelle contre les risques de l’espri
42 ake estimait que Milton « peint très mal le parti céleste et très bien les cohortes infernales. C’est qu’il était un vrai poète
27 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
43 ais pour demain. 60. Saint Michel, ou l’ordre céleste , aussi nommé spirituel Le secret de la seule confiance qui ne soit
44 de de l’archange Michel, chef suprême des milices célestes , est la plus grande qui nous fut donnée dans le combat contre Satan.
45 Le nom même de Michel formule et définit l’ordre céleste , le gage inaliénable de toute confiance humaine. L’imagerie populaire
46 e lui oppose les hiérarchies de l’Ordre : l’ordre céleste et le cri de guerre de l’Ange blanc, l’ordre intérieur de la sainteté
28 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
47 i qui demandait la tête de Job devant le tribunal céleste . Non content de nous prendre à ses pièges, sitôt qu’il nous a pris il
29 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
48 son chef terrestre, a voulu s’assurer de son chef céleste afin de garantir l’institution nouvelle contre les risques de l’espri
49 ake estimait que Milton « peint très mal le parti céleste et très bien les cohortes infernales. C’est qu’il était un vrai poète
30 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
50 mais pour demain. 60. Saint Michel, ou l’ordre céleste , aussi nommé spirituel Le secret de la seule confiance qui ne soit
51 de de l’archange Michel, chef suprême des milices célestes , est la plus grande qui nous fut donnée dans le combat contre Satan.
52 Le nom même de Michel formule et définit l’ordre céleste , le gage inaliénable de toute confiance humaine. L’imagerie populaire
53 e lui oppose les hiérarchies de l’Ordre : l’ordre céleste et le cri de guerre de l’Ange blanc, l’ordre intérieur de la sainteté
31 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
54 i qui demandait la tête de Job devant le tribunal céleste . Non content de nous prendre à ses pièges, sitôt qu’il nous a pris il
32 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
55 ez grand pour servir de refuge, soit terrestre ou céleste , à leur vie individuelle, — à leur vie contre leur idée ; à leur vie
33 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
56 Muses, les Arts libéraux, les Vertus, le Système céleste . Michel-Ange est supposé avoir inventé un jeu de tarot pour enseigner
57 Ces lettres ont apporté avec elles les signatures célestes . Il y a 7 lettres appelées doubles qui figurent le monde des planètes
34 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
58 re du Royaume », dès maintenant « portant l’image céleste  », « glorifiée », « revêtue de lumière », d’incorruptibilité et d’imm
59 anière plus précise dans l’homologie, ces entités célestes , féminines, que la religion de Zarathoustra nommait les Fravartis, « 
60 e à Ohrmazd) et qui sont à la fois les archétypes célestes des êtres et leurs anges tutélaires. Il y a plus : selon le mazdéisme
61 restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
62 décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre du monde spiritue
63 entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste , jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
64 état déchu. La « rencontre aurorale » avec le moi céleste figure donc une pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les sou
65 ux exigences du vrai moi, qui est notre répondant céleste . Et faut-il qu’il existe et qu’il soit fort, ce moi qu’on répute illu
66 les termes à la fois dans le surnaturel (ou monde céleste ) et dans le sensible terrestre, la structure des relations entre Dieu
67 50. 62. Ibid., p. 131. 63. Henry Corbin, Terre céleste et corps de résurrection, 1960, p. 31. 64. Sur les solutions proposé
68 ment son corps même. » (Cit. par H. Corbin, Terre céleste , p. 161.) 74. Aurore, 517. 75. Henry Corbin, L’Imagination créatri
69 Swedenborg, La Nouvelle Jérusalem et sa doctrine céleste , § 86 à 89. 81. C’est à peu près ce que Freud nomme « narcissisme »,
35 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
70 eux qui le reçoivent « le Fils de Dieu », la part céleste , le répondant de l’Ange qui sera « notre effigie » au cercle de feu q
36 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
71 restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
72 décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre du monde spiritue
73 entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste , jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
74 iner que cette « rencontre aurorale » avec le moi céleste en forme d’ange, et femme, figure la conclusion du mythe de Tristan :
37 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
75 re du Royaume », dès maintenant « portant l’image céleste  », « glorifiée », « revêtue » de lumière, d’incorruptibilité et d’imm
76 anière plus précise dans l’homologie, ces entités célestes , féminines, que la religion de Zarathustra nommait les Fravartis, « c
77 e à Ohrmazd) et qui sont à la fois les archétypes célestes des êtres et leurs anges tutélaires. Il y a plus : selon le mazdéisme
78 restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
79 décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre du monde spiritue
80 entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste , jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
81 état déchu. La « rencontre aurorale » avec le moi céleste figure donc une pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les sou
82 ux exigences du vrai moi, qui est notre répondant céleste . Et faut-il qu’il existe et qu’il soit fort, ce moi qu’on réputé illu
83 les termes à la fois dans le surnaturel (ou monde céleste ) et dans le sensible terrestre, la structure des relations entre Dieu
84 0. 96. Ibid., p. 131. 97. Henry Corbin : Terre céleste et corps de résurrection, 1960, p. 31. 98. Sur les solutions proposé
85 ment son corps même. » (Cit. par H. Corbin, Terre céleste , p. 161.) 108. Aurore, 517. 109. Voir sur ce point les beaux essai
86 Swedenborg : La Nouvelle Jérusalem et sa doctrine céleste , § 86 à 89. 114. C’est à peu près ce que Freud nomme « narcissisme »
38 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
87 eux qui le reçoivent « le Fils de Dieu », la part céleste , le répondant de l’Ange qui sera « notre effigie » au cercle de feu q
39 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — L’amour selon les évangiles
88 une seule fois. Mais constamment, de sa filiation céleste , aussi promise à ceux qui aiment, « car quiconque aime est né de Dieu
40 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
89 e était comme un toit protecteur, comme une voûte céleste qui embrassait tout, et sous l’abri hospitalier de laquelle ces peupl
90 pensées salutaires descendirent donc de la voûte céleste de la foi, non comme un déluge envahissant, mais comme une douce ondé
41 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
91 rrifiant menaçait les mortels du haut des régions célestes , un homme, un Grec, le premier, osa lever ses yeux mortels et se dres
92 tre bien « le royaume et la justice de notre Père céleste  », mais aussi en ce que la misère humaine y est exposée, et cela chez
93 our affronter des situations nouvelles : l’Empire Céleste , avec sa morale millénaire reposant sur l’ordre du monde, modèle de l
42 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
94 es qui ont fait l’Europe, quittons l’observatoire céleste et descendons, par degrés d’amplitude décroissante, de la vision spat
43 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
95 n quelques mois, — « dans des veilles mémorables, célestes  », écrira l’humaniste Ramus — l’un des rares livres qui aient changé
44 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
96 isse dans son œuvre. On y trouve de petits chœurs célestes qui sont ce que l’on a écrit de plus alpestre, aérien et cristallin —
45 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
97 restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
98 décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité »19, au centre du monde spirit
99 entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste , jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
100 iner que cette « rencontre aurorale » avec le moi céleste en forme d’ange, et femme, figure la conclusion du mythe de Tristan :
101 tion de la passion. 19. Cf. Henry Corbin, Terre céleste et Corps de Résurrection, Buchet-Chastel, Paris, 1960. 20. L’adjecti
46 1988, Inédits (extraits de cours). Culture
102 igure visible, et terrestre, du dieu invisible et céleste . On a ainsi vénéré tous les pharaons, Alexandre, les empereurs romain
47 1988, Inédits (extraits de cours). La personne
103 e Moyen Âge ; ce n’est pas un au-delà de la voûte céleste , ce n’est même pas un tout là-haut vers les étoiles, comme le peuple