1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 le génie d’abstraction qui a produit la géométrie grecque . D’autres attribuent cette supériorité au machinisme, et la déplorent
2 écusent lorsqu’il s’agit de conclure. Un écrivain grec , M. Embiricos, a trouvé la formule qui définit ce que les autres ente
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
3 uivante : Mardi dernier a été célébré en l’église grecque de la rue Georges Bizet le mariage de M. Paul Morand avec la princess
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
4 s ouvertes, et pendant des heures récite des odes grecques au murmure de l’eau ; la Princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
5 pour mieux communier avec la divine Nature. Mythe grec , mais devenu, par excellence, germanique ; mythe païen, mais il est b
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
6 coïncide avec celle du pays de Vaud : non pas la grecque , qui est scolaire — pour eux — mais la biblique, qui est vivante. Ain
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
7 s ouvertes, et pendant des heures récite des odes grecques au murmure de l’eau ; la princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
8 s ouvertes, et pendant des heures récite des odes grecques au murmure de l’eau ; la princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
9 s autres, comme les Français, les Hollandais, les Grecs , les Russes. Mais les Allemands aussi, finalement, ont souffert, se s
9 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
10 ant », ce païen calviniste, bien moins romain que grec — hélas d’un hellénisme style Empire — voilà peut-être le seul auteur
10 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
11 iques » que nous quand ils renvoient aux calendes grecques les tâches « spirituelles » et la construction théorique, oublient le
11 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
12 comme il se débat avec son latin de cuisine, son grec allégorique et son allemand mal accordé pour fabriquer ce petit nègre
12 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
13 u’il s’agit de celle du pays de Vaud : non pas la grecque , qui est scolaire — pour eux — mais la biblique, qui est vivante.) Ai
14 « aussi direct que possible ». Goethe sait mal le grec , et connaît les statues par l’estampe. Il lui faut les intermédiaires
15 purement polémique, dirigé contre la religion des Grecs , et justifié par la seule connaissance qu’on a du premier sens. 46.
13 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
16 et organisatrice. Et non pas cette raison que les Grecs savaient mystérieuse, mais au contraire une raison ennemie de tout ce
14 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
17 ra grande dans la mesure où elle sera biblique ou grecque , sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera domin
18 ellement rythmé l’action, et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Point d’arts figuratifs ou imaginatifs. La l
15 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
19 . Ce sera penser à partir de la fin. L’étymologie grecque du mot idée, c’est le verbe voir. Toute idée prend sa source et son é
20 ie. Les Juifs ont eu la Loi et la prophétie ; les Grecs , l’homme dans la cité ; les Romains, l’ordre imposé par l’Empire ; le
16 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
21 et organisatrice. Et non pas cette raison que les Grecs savaient mystérieuse, mais au contraire une raison ennemie de tout ce
17 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
22 ra grande dans la mesure où elle sera biblique ou grecque , sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera domin
23 ellement rythmé l’action, et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Point d’arts figuratifs ou imaginatifs. La l
18 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
24 Ce sera penser à partir de la fin. L’étymologie grecque du mot idée, c’est le verbe voir. Toute idée prend sa source et son é
25 ie. Les Juifs ont eu la Loi et la prophétie ; les Grecs , l’homme dans la cité ; les Romains, l’ordre imposé par l’Empire ; le
19 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
26 tre chaque épisode reparaissent les mêmes éphèbes grecs , porteurs de torches qu’ils se passent avec des gestes lents, halluci
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
27 tre chaque épisode reparaissent les mêmes éphèbes grecs , porteurs de torches qu’ils se passent avec des gestes lents, halluci
21 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
28 ra grande dans la mesure où elle sera biblique ou grecque , sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera domin
29 éellement rythmé l’action et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Point d’arts figuratifs ou imaginatifs. La l
30 si fondamentaux pour l’Occident que la raison des Grecs et l’ordre des Romains. Il m’appartient seulement de préciser en quel
22 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
31 nt que l’Église romaine est infaillible. L’Église grecque lui en sut très mauvais gré et lui en fit de vifs reproches à ses der
23 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
32 e important dans l’action, comme dans la tragédie grecque . C’est un travail tout nouveau pour moi, et très amusant. Avant de qu
24 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
33 ées », dit saint Paul, « il n’y a plus ni Juif ni Grec , et tu es mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance.
34 on à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’esprit. Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères
25 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
35 ’un seul personnage important. Revenir au théâtre grec , avec son chœur mobile prenant part à l’action. C’était évidemment la
26 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
36 de Tristan et d’Iseut. On sait assez que pour les Grecs et les Romains, l’amour est une maladie (Ménandre) dans la mesure où
37 étails les plus vieux mythes celtiques à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et les doctrines de P
38 la survie des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs . Mais toute doctrine de l’immortalité suppose une préoccupation tragi
39 l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens, l’Apollon grec , l’Abellion celtibère. Dieux sombres : le Dyaus Pitar sanskrit, l’Ahr
40 n de l’Amour (c’est la Sophia chez les gnostiques grecs  ; Maria chez les cathares.) L’Église d’Amour, la Santa Gleyzia des ca
41 ien de Troyes, et quelques éléments de mythologie grecque . On a longtemps polémiqué sur l’autonomie relative des deux littératu
27 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
42 n’est nullement l’Agapè chrétienne : c’est l’éros grec , qui est jouissance, et jouissance d’une naturelle et surnaturelle Be
28 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
43 pourtant un Hindou, un Chinois s’en étonnent. Un Grec ressuscité ne s’en étonnerait pas moins. D’où nous viennent donc ce g
29 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
44 s modernes sont presque retournés à la simplicité grecque , le tournoi de la fin du Moyen Âge, avec ses riches ornements et sa m
45 pose une théorie analogue à propos de la tragédie grecque , considérée comme l’Auseinandersetzung (la discussion, la querelle, l
30 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
46 ration des droits de l’homme. C’est une invention grecque , et sa naissance signale la naissance même de l’hellénisme. L’individ
47 nd indistinct des peuplades indo-germaniques, les Grecs sont les premiers à se détacher, à prendre figure, donc à s’individua
48 des origines communes. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec  », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte ni de la race, ni des t
49 par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’individu grec , puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer. Et ce
50 Fils et le Saint-Esprit, les docteurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de persona. C’est ce même terme qui va
51 que cet individualisme est un retour du paganisme grec . Mais il est non moins évident qu’il représente une réaction inévitab
52 tte conséquence-là. Lorsque la religion orthodoxe grecque , par exemple, disparaît en tant qu’Église vivante, il reste dans le p
53 e, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman
31 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
54 de Tristan et d’Iseut. On sait assez que pour les Grecs et les Romains, l’amour est une maladie (Ménandre) dans la mesure où
55 étails les plus vieux mythes celtiques à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et les doctrines de P
56 la survie des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs . Mais toute doctrine de l’immortalité suppose une préoccupation tragi
57 l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens, l’Apollon grec , l’Abellion celtibère. Dieux sombres : le Dyaus Pitar hindou, l’Ahrri
58 homme. C’est ici la grande hérésie docétiste (du grec dokesis, apparence) qui, de Marcion jusqu’à nos jours, traduit notre
59 au-dessus des cieux, » et dont « Noys » — le Noûs grec  — est l’émanation intellectuelle et féminine ? Et d’où viendrait, sin
60 ien de Troyes, et quelques éléments de mythologie grecque . On a longtemps polémisé sur l’autonomie relative des deux littératur
61 à la rhétorique courtoise. 36. Cathare vient du grec catharoi, purs. 37. Liber de duobus principiis, publié par A. Donda
32 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
62 n’est nullement l’Agapè chrétienne : c’est l’Éros grec , qui est jouissance, et jouissance d’une naturelle et surnaturelle Be
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
63 pourtant un Hindou, un Chinois, s’en étonnent. Un Grec ressuscité ne s’en étonnerait pas moins. D’où nous viennent donc ce g
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
64 s modernes sont presque retournés à la simplicité grecque , le tournoi de la fin du Moyen Âge, avec ses riches ornements et sa m
65 pose une théorie analogue à propos de la tragédie grecque , considérée comme l’Auseinandersetzung (la discussion, la querelle, l
35 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
66 es. Plusieurs théologiens de tradition romaine ou grecque m’ont amicalement reproché de contraster l’Éros et l’Agapè d’une mani
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
67 de Tristan et d’Iseut. On sait assez que pour les Grecs et les Romains, l’amour est une maladie (Ménandre) dans la mesure où
68 étails les plus vieux mythes celtiques à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et les doctrines de P
69 mpire romain, — moins les péninsules italienne et grecque . Or les Celtes n’étaient pas une nation. Ils n’avaient pas d’autre « 
70 la survie des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs . Mais toute doctrine de l’immortalité suppose une préoccupation tragi
71 l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens, l’Apollon grec , l’Abellion celtibère. Dieux sombres : le Dyaus Pitar hindou, l’Ahrim
72 homme. C’est ici la grande hérésie docétiste (du grec dokesis, apparence) qui, de Marcion jusqu’à nos jours, traduit notre
73 au-dessus des cieux », et dont « Noys » — de Noûs grec  — est l’émanation intellectuelle et féminine ? Et d’où viendrait, sin
74 ien de Troyes, et quelques éléments de mythologie grecque . On a longtemps polémisé sur l’autonomie relative des deux littératur
75 à la rhétorique courtoise. 29. Cathare vient du grec catharoi, purs. 30. Liber de duobus principiis, publié par A. Donda
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
76 n’est nullement l’Agapè chrétienne ; c’est l’Éros grec , qui est jouissance, et jouissance d’une naturelle et surnaturelle Be
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
77 pourtant un Hindou, un Chinois s’en étonnent. Un Grec ressuscité ne s’en étonnerait pas moins. D’où nous viennent donc ce g
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
78 s modernes sont presque retournés à la simplicité grecque , le tournoi de la fin du Moyen Âge, avec ses riches ornements et sa m
79 pose une théorie analogue à propos de la tragédie grecque , considérée comme l’Auseinandersetzung (la discussion, l’affrontement
40 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
80 les activités d’une société donnée. Dans la cité grecque , par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu raisonnab
41 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
81 ration des droits de l’homme. C’est une invention grecque , et sa naissance signale la naissance même de l’hellénisme. L’individ
82 nd indistinct des peuplades indo-germaniques, les Grecs sont les premiers à se détacher, à prendre figure, donc à s’individua
83 des origines communes. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec  », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte ni de la race, ni des t
84 par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’individu grec , puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer. Et ce
85 Fils et le Saint-Esprit, les docteurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de persona. C’est ce même terme qui va
86 que cet individualisme est un retour du paganisme grec . Mais il est non moins évident qu’il représente une réaction inévitab
87 tte conséquence-là. Lorsque la religion orthodoxe grecque , par exemple, disparaît en tant qu’Église vivante, il reste dans le p
88 e, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman
42 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
89 les activités d’une société donnée. Dans la cité grecque , par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu raisonnab
43 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
90 ration des droits de l’homme. C’est une invention grecque , et sa naissance signale la naissance même de l’hellénisme. L’individ
91 nd indistinct des peuplades indo-germaniques, les Grecs sont les premiers à se détacher, à prendre figure, donc à s’individua
92 des origines communes. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec  », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte ni de la race, ni des t
93 par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’individu grec , puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer. Et ce
94 Fils et le Saint-Esprit, les docteurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de persona. C’est ce même terme qui va
95 que cet individualisme est un retour du paganisme grec . Mais il est non moins évident qu’il représente une réaction inévitab
96 tte conséquence-là. Lorsque la religion orthodoxe grecque , par exemple, disparaît en temps qu’Église vivante, il reste dans le
97 e, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman
44 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
98 don, à partir desquels « il n’y a plus ni juif ni grec  ». Elle ne demande pas « Que crois-tu ? Qu’espères-tu ? », mais elle
99 tions protestantes, les anglicans, les orthodoxes grecs et russes, et les vieilles Églises du Proche-Orient, c’est-à-dire tou
45 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
100 s divines, des messagers, — comme le dit leur nom grec  : angellos ; des serviteurs à la fulgurante volée, dont la vitesse es
101 3, 1.5. 2. Genèse, 3. 6. 3. Diable, diabolos en grec , signifie : le calomniateur.
46 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
102 e, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman
47 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
103 ans une entité collective : Satan, ou diabolos en grec , l’Accusateur, l’ennemi du genre humain, qu’on assimile aussi au serp
104 s divines, des messagers, — comme le dit leur nom grec , agellos ; des serviteurs à la fulgurante volée, dont la vitesse est
48 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
105 e, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman
49 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
106 ans une entité collective : Satan, ou diabolos en grec , l’Accusateur, l’ennemi du genre humain, qu’on assimile aussi au serp
107 s divines, des messagers, — comme le dit leur nom grec , agellos ; des serviteurs à la fulgurante volée, dont la vitesse est
50 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
108 , à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs, ni Grecs . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman
51 1944, Les Personnes du drame. Introduction
109 sable, cette identité scandaleuse. Folie pour les Grecs , dit saint Paul, et scandale pour les israélites. Un jour Jésus deman
52 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
110 u’il s’agit de celle du pays de Vaud : non pas la grecque , qui est scolaire — pour eux — mais la biblique, qui est vivante.) Ai
111 « aussi direct que possible ». Goethe sait mal le grec , et connaît les statues par l’estampe. Il lui faut les intermédiaires
53 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
112 acle nouveau ne tarda pas à le consacrer chez les Grecs  : quiconque parviendrait à le dénouer régnerait sur toute l’Asie. ⁂
54 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
113 ubliés à Paris. Ce sont des essais sur les mythes grecs  : Doctrine fabuleuse  ; un recueil d’articles intitulé Vues sur l’A
55 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
114 e trompette. » Or, savez-vous ce que dit le texte grec , là où le français traduit « en un instant » ? Il dit en atomo — dans
56 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
115 s de Finlande et de Suède, les orthodoxes serbes, grecs , ukrainiens et russes, les vieux-catholiques, les réformés hongrois,
57 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
116 gistre de l’humour profond, reproduit notre fable grecque , mais la conduit à une heureuse fin. L’oncle van der Kabel vient de m
58 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
117 bles de faire image. L’individu est une invention grecque , et sa naissance signale la naissance même de l’hellénisme. C’est l’h
118 divers groupes qui fondent les premières thiases grecques , communautés comparables à la cité moderne, et basées non plus sur le
119 es origines communes : « Il n’y a plus ni Juif ni Grec . » Elles ne se fondent pas sur la classe ou la race, ni sur quelque a
120 Cet homme d’un type nouveau n’est pas l’individu grec , puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer. Il n’e
121 es relations constituant la Trinité, les docteurs grecs avaient adopté le terme latin de persona (rôle social). C’est ce même
59 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
122 ches, ornée de colonnes et d’un fronton de temple grec . Je compte beaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sale. S
60 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
123 ches, ornée de colonnes et d’un fronton de temple grec . Je compte beaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sale. S
61 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
124 s autres, comme les Français, les Hollandais, les Grecs , les Russes. Mais les Allemands aussi, finalement, ont souffert, se s
62 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
125 re trompette. » Or savez-vous ce que dit le texte grec , là où le français traduit « en un instant » ? Il dit en atomo, — dan
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
126 re trompette. » Or savez-vous ce que dit le texte grec , là où le français traduit « en un instant » ? Il dit en atomo — dans
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
127 s ouvertes, et pendant des heures récite des odes grecques au murmure de l’eau ; la princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
128 tre chaque épisode reparaissent les mêmes éphèbes grecs , porteurs de torches qu’ils se passent avec des gestes lents, halluci
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
129 ssées », dit saint Paul, il n’y a plus ni Juif ni Grec , et tu es mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance.
130 on à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’esprit. Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
131 ches, ornée de colonnes et d’un fronton de temple grec . Je compte beaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sale. S
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
132 s autres, comme les Français, les Hollandais, les Grecs , les Russes. Mais les Allemands aussi, finalement, ont souffert, se s
69 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
133 Germains, Slaves et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs , se verraient soumis aux mêmes lois et coutumes, qui ne pourrait sati
70 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
134 acle nouveau ne tarda pas à le consacrer chez les Grecs  : quiconque parviendrait à le dénouer, régnerait sur toute l’Asie. Ca
71 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
135 gistre de l’humour profond, reproduit notre fable grecque , mais la conduit à une heureuse fin. L’oncle van der Kabel vient de m
72 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
136 açonnée par le judéo-christianisme, par la notion grecque d’individu, par le droit romain, par le culte de la vérité objective,
73 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
137 s de Finlande et de Suède, les orthodoxes serbes, grecs , ukrainiens et russes, les vieux-catholiques, les réformés hongrois,
74 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
138 açonnée par le judéo-christianisme, par la notion grecque d’individu, par le droit romain, par le culte de la vérité objective,
75 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
139 Germains, Slaves et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs , se verraient soumis aux mêmes lois et coutumes, qui ne pourrait sati
76 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
140 ement paulinienne, mais combinée avec des notions grecques et romaines de mesure individuelle et d’organisation collective. Ces
141 me des Français, des Allemands, des Danois ou des Grecs , c’est-à-dire comme s’ils n’étaient que quarante millions, soixante m
142 e rassure un Français, un Allemand, un Danois, un Grec , et pour qu’ils en tirent quelque orgueil, encore faut-il qu’ils aien
77 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
143 exemple extrême, qui meurt pour la libération des Grecs , mais n’eût rien fait contre les droits des lords ou des capitalistes
78 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
144 , et si l’on remonte au temps de la prépondérance grecque , puis à l’Empire de Rome, on constate qu’elle avait déjà deux-mille a
79 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
145 efonte de l’Europe ». C’est par la civilisation «  grecque et chrétienne — et Rome n’a fait qu’amplifier et parfois corrompre ce
80 1953, Articles divers (1951-1956). Des conciles à la bombe atomique ou la fin dans le commencement (janvier 1953)
146 . Ces options tracent les résultantes des apports grecs , romains, juifs et chrétiens, bi- et multilatéralement antagonistes.
81 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
147 ère des individus que l’État fait son ciment. Les Grecs ont inventé l’individu mais le christianisme lui a ajouté la vocation
82 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
148 e centrale et les citoyens de Genève qu’entre les Grecs et les Hollandais, les Tchèques et les Portugais. Mais le Zougois et
83 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
149 olitiques est typique de l’Européen, héritier des Grecs , des Romains, de l’Église catholique, et des clubs jacobins. Cette cr
150 econd argument est dû à M. Cotsaridas, publiciste grec  : « Dans les domaines militaire, économique et politique, les organis
84 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
151 econd argument est dû à M. Cotsaridas, publiciste grec  : Dans les domaines militaire, économique et politique, les organisat
85 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
152 une image vivante de ces assises du christianisme grec  : les grands conciles. Qu’on se figure bien moins de savantes réunion
153 et de la Gnose en pleine effervescence, les Pères grecs et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats
154 l’Incarnation, précisée à l’extrême par les Pères grecs , et maintenue par des soins jaloux au plus haut point du paradoxe, a
155 iraient pas encore pour permettre la science. Les Grecs croyaient à l’ordonnance cosmique, mais ils n’en retenaient pour vrai
156 la différence fondamentale qui sépare la science grecque de notre science moderne, laquelle ne pouvait naître, selon lui, que
157 la pensée nietzschéenne Karl Jaspers23 : Si les Grecs , qui fondèrent la science, ont pourtant ignoré la science universelle
158 … Devant l’immensité de l’expérience possible, le Grec s’en tient à des images cosmiques fermées, à la beauté du cosmos tel
159 aussi, et même Descartes cèdent à cette impulsion grecque qui veut à tout prix établir une forme close, paralysant ainsi la sci
160 et dans l’espace — comme l’ont cru les atomistes grecs , puis Nicolas de Cuse et Giordano Bruno, et comme l’affirment aujourd
161 ncile de Nicée porte en effet sur les deux termes grecs homoousios (de même substance) défendu par Athanase, et homoiousios (
162 s. Elles éclatent au milieu du iie siècle, entre Grecs philosophes et juifs fanatiquement monothéistes, puis se poursuivent
163 tiquement monothéistes, puis se poursuivent entre Grecs et Latins d’une part, gnostiques, montanistes, ariens, donatistes, sa
86 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
164 archands scandinaves, étaient appelés Rôs par les Grecs , d’où Russes. 14. Vladimir Weidlé, La Russie absente et présente, Ga
87 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
165 econd argument est dû à M. Cotsaridas, publiciste grec  : « Dans les domaines militaires, économiques et politiques, les orga
88 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
166 que. Car si le soleil se lève à l’Orient pour les Grecs , il en va de même pour les Hindous, et ceux-ci ne figurent pas pour a
167 rmée, pour l’équipement de la campagne contre les Grecs , demande au roi cette faveur : exempter de la guerre un de ses cinq f
168 ieu défileront les armées qui marchent contre les Grecs , et dans ces armées se trouveront les quatre frères et le père du cou
169 du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée grecque de mesure et, en liaison avec elle, l’idée de liberté. Seule l’idée d
89 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
170 las, des considérations sur la tolérance chez les Grecs , les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, des digressions
90 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
171 par une révolte vaine, pure démence à ses yeux de Grec ou d’Oriental, mais par le rêve immense des religions, transformant l
91 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
172 de tous les doutes possibles, les Français et les Grecs , les Anglais et les Suisses, les Suédois et les Castillans sont vus c
173 Français, Insulaires et Continentaux, Suédois et Grecs (pour ne parler que de géographie, d’histoire récente et de modes de
174 oyants que soient les contrastes entre Suédois et Grecs , par exemple, il n’en reste pas moins qu’un Suédois lisant Kazantzaki
175 ste pas moins qu’un Suédois lisant Kazantzaki, un Grec lisant Selma Lagerlöf, un Français et un Allemand lisant ces deux aut
92 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
176 borées aux origines mêmes de l’Europe ; la notion grecque d’individu et la notion chrétienne de personne. La première remonte a
177 C’est de la conjonction séculaire de ces valeurs grecques et chrétiennes que procède l’idée de liberté dans ses différentes acc
93 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
178 que. Car si le soleil se lève à l’Orient pour les Grecs , il en va de même pour les Hindous, et ceux-ci ne figurent pas pour a
179 rmée, pour l’équipement de la campagne contre les Grecs , demande au roi cette faveur : exempter de la guerre un de ses cinq f
180 ieu défileront les armées qui marchent contre les Grecs , et dans ces armées se trouveront les quatre frères et le père du cou
181 du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée grecque de mesure et, en liaison avec elle, l’idée de liberté. Seule l’idée d
94 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
182 me. La foi chrétienne va donc, elle aussi, parler grec . Mais son discours assemble un peuple et suscite une communauté. Cell
183 ine de grâce et de vérité. » Ce scandale pour les Grecs , cette folie pour les Juifs, ce désordre aux yeux des Romains, cet av
184 ignoré de l’Antiquité comme de l’Orient. Car les Grecs n’ont connu que la Chance et ses coups ; et l’Orient, que l’ascèse in
185 curieux, mais non contradictoire, au fond, que le Grec rationaliste ait cru dans le Hasard, tandis que l’Hindou mystique, pa
186 sacré ; si la seconde dimension, inventée par les Grecs , est celle qui fonde en soi l’individu et son mode de relations, la c
187 prochain. Cet homme, mieux libéré que l’individu grec , mieux engagé que le citoyen romain, mais libéré par la foi même qui
188 déjà fortement structuré à la fois par la pensée grecque , les traditions religieuses du Proche-Orient, et l’ordre impérial des
189 idée de personne qui permet la synthèse de l’idée grecque d’individu et de l’idée romaine de citoyen, et maintient au travers d
95 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
190 une image vivante de ces assises du christianisme grec  : les grands conciles. Qu’on se figure bien moins de savantes réunion
191 et de la Gnose en pleine effervescence, les Pères grecs et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats
192 sociétés non moins que de doctrines. Dialectique grecque et juridisme romain, catalysés par l’exigence chrétienne, ont produit
193 te dès l’époque des conciles œcuméniques. Apport grec . — L’homme se détache du corps magique en lequel se mêlaient sans fin
194 Si la dissociation menaçait en permanence la cité grecque , c’est la sclérose collectiviste qui va causer la chute de Rome. C’es
195 té morale qui était celle de l’individu selon les Grecs , et l’honneur de servir, qui était celui du citoyen romain. Il devien
196 celui de l’abandon au sacré collectif — maladie «  grecque  » et maladie « romaine » de la personne. La spire Si dans la Pe
197 e foi capable d’assumer le meilleur de l’héritage grec , et de le sauver de la dissociation bien mieux que n’avait su le fair
198 x pythagoriciens ? Faut-il imaginer que la pensée grecque , hantée par cette forme antinomique de l’entendement, l’aurait transm
199 ncile de Nicée porte en effet sur les deux termes grecs homoousios (de même substance) défendu par Athanase, et homoiousios (
200 s. Elles éclatent au milieu du iie siècle, entre Grecs philosophes et juifs fanatiquement monothéistes, puis se poursuivent
201 tiquement monothéistes, puis se poursuivent entre Grecs et Latins d’une part, gnostiques, montanistes, ariens, donatistes, sa
96 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
202 par une révolte vaine, pure démence à ses yeux de Grec ou d’Oriental, mais par le rêve immense des religions, transformant l
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
203 sent plus séduisantes. Curieux et téméraires, les Grecs nous ont légué le mythe des Argonautes et l’Odyssée. Dans la quête de
204 passion colonisatrice a pu soutenir la passion «  grecque  » ou « judaïque » d’une quête pour l’amour de la Quête. Les raisons h
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
205 l’Incarnation, précisée à l’extrême par les Pères grecs , et maintenue par des soins jaloux au plus haut point du paradoxe, a
206 iraient pas encore pour permettre la science. Les Grecs croyaient à l’ordonnance cosmique, mais ils n’en retenaient pour vrai
207 la différence fondamentale qui sépare la science grecque de notre science moderne, laquelle ne pouvait naître, selon lui, que
208 la pensée nietzschéenne Karl Jaspers59 : Si les Grecs , qui fondèrent la science, ont pourtant ignoré la science universelle
209 … Devant l’immensité de l’expérience possible, le Grec s’en tient à des images cosmiques fermées, à la beauté du cosmos tel
210 aussi, et même Descartes cèdent à cette impulsion grecque qui veut à tout prix établir une forme close, paralysant ainsi la sci
211 et dans l’espace — comme l’ont cru les atomistes grecs , puis Nicolas de Cuse et Giordano Bruno, et comme l’affirment aujourd
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
212 rtées, que la preuve décisive de leur succès. Les Grecs et les Romains ne disposaient pas d’une marge de supériorité incontes
100 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
213 eille culture populaire et de souvenirs antiques ( grecs et romains), mais qui était en voie de dépeuplement, voir si l’on peu