1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 eu la Rochelle. Mais il faudra bien se remettre à manger , tout de même nous avons un corps, et c’est très beau, Breton, de cri
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 dromadaire, d’ailleurs dételé. Les amis affligés mangent les couronnes et suivent à grands sauts lents, solennels. Ils revoien
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
3 t dont le Journal de Genève parlait naguère, tu mangeras avec appétit une poule au riz arrosée d’un savoureux “demi” de Lavaux
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 ma patrie. Ce soir-là, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adresse d’un ogre. C’est tout près parce
5 uite écœurant et prétentieux. Je suis de ceux qui mangent sans faire d’histoires. Je remarque simplement qu’on n’est jamais mie
6 sante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
7 e l’idée du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la mange et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensers, d’un désir ou d’un
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
8 e cadre de Jésus-Sirach, 38, versets 16-24. Qu’on mange et qu’on boive ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la
9 sante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
10 nne du vaste monde. J’étais seul et tranquille, à manger et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
11 se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’inspection des ter
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
12 fantôme ». Ce soir-là, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adresse d’un ogre. C’est tout près parce
13 uite écœurant et prétentieux. Je suis de ceux qui mangent sans faire d’histoires. Je remarque simplement qu’on n’est jamais mie
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
14 se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’inspection des ter
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
15 le cadre de Jésus-Sirach, 38, verset 16-24. Qu’on mange et qu’on boive ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la
16 sante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
17 nne du vaste monde. J’étais seul et tranquille, à manger et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante
11 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
18 : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir 
12 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
19 auvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste e
13 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
20 re. L’action politique nous est nécessaire, comme manger , travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune syn
14 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
21 ous avons vu ce spectacle indécent : le cadavre a mangé ses mouches. Certes, il faut commencer par dénoncer le mal. Mais que
15 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
22 re. L’action politique nous est nécessaire, comme manger , travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune syn
16 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
23 : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir 
17 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
24 auvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste e
18 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
25 re. L’action politique nous est nécessaire, comme manger , travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune syn
19 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
26 : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir 
20 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
27 auvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste e
21 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
28 re : car les uns le méprisent, et les autres — le mangent . Il sera donc mangé, et le drame pourra se poursuivre24. Ceci soit di
29 prisent, et les autres — le mangent. Il sera donc mangé , et le drame pourra se poursuivre24. Ceci soit dit pour situer certai
22 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
30 Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)q Cert
31 onnera l’heure de l’Ordre nouveau. q. « Nous ne mangeons pas de ce pain-là (à propos du 14 juillet) », Bulletin de liaison des
23 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
32 -Christ a mis ensemble, et qu’on donne le corps à manger sans donner en même temps le sang à boire. Étonnez-vous donc aussi de
33 espèces est celle-ci : Jésus a dit : « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle », mais il a dit néa
34 a dit néanmoins (dixit nihilominus) : « Celui qui mange ce pain vivra éternellement » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ose pas deman
24 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
35 teur de catastrophes et de crimes. Les animaux se mangent entre eux, les hommes périssent par accident, la terre tremble : est-
25 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
36 e l’idée du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la mange et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensées, d’un désir ou d’un
26 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
37 e l’idée du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la mange et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensées, d’un désir ou d’un
27 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
38 déjà, plus petites et toujours vertes ; on ne les mange pas). Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline
28 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
39 la maison ? II faut bien continuer à vivre, et à manger , et à laver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur, m
29 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
40 re Dépenses du premier mois dans l’île : ménage, manger et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Re
41 ndant des mois, la croyant trop vieille pour être mangée , sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
42 rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange . Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
43 aut penser à eux quand on juge « le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
44 arettes. Et nous allions nous mettre à table pour manger le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
45 noire et les poulets encore trop jeunes pour être mangés . Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la
30 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
46 nte mère. Le matin je me dis : qu’est-ce qu’on va manger , ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disen
47 ux ou trois jambes. Bon, c’est ce qu’il faut pour manger . Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
48 pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
49 outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en mange pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
50 ’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en manger une grande assiettée, ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut alle
51 élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
52 Dépenses du premier mois dans l’île : Ménage, manger et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un
53 te mère. Le matin, je me dis : qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disent
54 ux ou trois jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour manger . Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
55 pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
56 outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en mange pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
57 ’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en manger une grande assiettée ; ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut all
58 élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
59 ndant des mois, la croyant trop vieille pour être mangée , sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
60 ne seiche énorme, de celles que les gens de l’île mangent (ils les coupent dans la longueur et les conservent pour l’hiver). Vi
61 rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange . Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
62 aut penser à eux quand on juge « le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
63 onnelet. Et nous allions nous mettre à table pour manger le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
64 noire et les poulets encore trop jeunes pour être mangés . Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
65 déjà, plus petites et toujours vertes ; on ne les mange pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline
66 la maison ? Il faut bien continuer à vivre, et à manger , et à laver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur, m
33 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
67 ’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi manger et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appliquer son programme, maintena
34 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
68 —, et d’Alice en particulier. On dit à l’enfant : mange ta soupe et tu deviendras grand. Donc il peut exister des aliments qu
35 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 ’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi manger et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appliquer son programme, maintena
36 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
70 dit à la fin de sa chronique : « Qu’il n’ait rien mangé , je ne puis le croire : les Suisses eux-mêmes ne l’affirment et ne le
37 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
71 vec sa femme s’il était marié 41, à ne tuer ni ne manger nul animal, enfin à tenir sa foi secrète. Un jeûne de quarante jours,
72 éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il mange les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
73 uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
74 tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
75 ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
76 nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
77 vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — « Messire,
78 — « Messire, répond la dame, vous m’avez donné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
79 nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
38 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
80 ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils mangent … » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart avec ceux d’u
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
81 yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement
40 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
82 icolas s’aperçoit soudain qu’il peut se passer de manger  ! Une fois par semaine il s’en va communier dans un des villages vois
41 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
83 lerin. —  Est-il vrai que le frère Claus n’a rien mangé depuis des mois, sauf la très sainte hostie une seule fois par semain
84 alet (aux pèlerins). —  Paraît qu’à force de rien manger , il n’a plus de chaleur naturelle, comme on dit. Tu touches ses mains
85 et. Lui prétend que tu t’es vanté de ne plus rien manger depuis quatre ans. Et moi je dis que ce sont là des racontars. Nous a
86 nt. Notre Seigneur n’a-t-il pas dit : « Celui qui mange ma chair en sera rassasié » ? L’abbé. —  Tu n’éprouves donc aucun
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
87 ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur femme, s’ils
88 éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il mange les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
89 uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
90 tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
91 ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
92 nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
93 vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — » Messire,
94 — » Messire, répond la dame, vous m’avez donné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
95 nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
96 ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils mangent … » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart, avec ceux d’
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
97 yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
98 ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur femme, s’ils
99 éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il mange les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
100 uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
101 tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
102 ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
103 nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
104 vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : « Messire, r
105  : « Messire, répond la dame, vous m’avez donné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
106 nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
107 ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils mangent … » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart avec ceux d’
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
108 yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement
48 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). Neutralité (3 mai 1940)
109  ? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront mangés  ! Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de ne
49 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
110 t ? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront mangés . Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neu
50 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
111 t ? Que ceux qui dont froids ou bouillants seront mangés . Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neu
51 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
112 la femme : — Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
113 s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
114 i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
115 rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez , vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
116 lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à manger cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
117 tentation : La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
118 rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en mangea .2 Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujours
119 it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité. Manger cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
120 nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
52 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
121  : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
122 tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger  ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
123 se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé . Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
124 mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé .10 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les a
125 irement l’inverse de ce qu’ils voulaient. Si vous mangez la pomme vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la mangent, et i
126 me vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la mangent , et ils entrent dans le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
127 ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
128 ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
129 certain manque de nécessité. Il est nécessaire de manger et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
53 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
130 la femme : — Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
131 s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
132 i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
133 rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
134 lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à manger cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
135 entation : « La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
136 rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en mangea . »5 Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujour
137 it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité. Manger cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
138 créer un fruit qui soit « du mal », mais il peut manger un bon fruit d’une manière malfaisante, contre l’Ordre donné. Le mal
139 nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
54 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
140 ais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’importe quoi pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’ose
55 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
141  : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
142 tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger  ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
143 se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé . Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
144 mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé .21 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les a
145 irement l’inverse de ce qu’ils voulaient. Si vous mangez la pomme vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la mangent, et i
146 me vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la mangent , et ils entrent dans le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
147 ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
148 ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
149 certain manque de nécessité. Il est nécessaire de manger et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
56 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
150 la femme : — Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
151 s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
152 i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
153 rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des Dieux, connaissant
154 lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à manger cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
155 tentation : La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
156 rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en mangea .6 Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujours
157 it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité. Manger cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
158 créer un fruit qui soit « du mal », mais il peut manger un bon fruit d’une manière malfaisante, contre l’Ordre donné. Le mal
159 nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
57 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
160 ais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’importe quoi pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’ose
58 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
161  : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
162 tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger  ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
163 se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé . Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
164 mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé .23 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les a
165 irement l’inverse de ce qu’ils voulaient. Si vous mangez la pomme vous ne mourrez pas dit le serpent. Ils la mangent, et ils e
166 pomme vous ne mourrez pas dit le serpent. Ils la mangent , et ils entrent dans le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
167 ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
168 ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
169 certain manque de nécessité. Il est nécessaire de manger et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
59 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
170 nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
60 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
171 ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
172 ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
173 certain manque de nécessité. Il est nécessaire de manger et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
61 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
174 à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
175 s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
176 i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
177 rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez , vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
178 lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à manger cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
179 ntation : « La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
180 rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en mangea . » (Gen. 3:6) Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’es
181 it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité. Manger cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
62 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
182  : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
183 tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger  ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
184 se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé . Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
185 mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé . » (Gen. 3:8-13) Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et qu
63 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
186 ais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’importe quoi pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’ose
64 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
187 s peine dans les actions les plus modestes, comme manger , s’habiller, s’endormir — car pour l’amour, la politique, etc., il ne
65 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
188 is pourtant notables : les Français eussent mieux mangé , en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient été trop occupés dan
66 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
189 r une histoire. « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent des brioches ! » Le siècle est en révolution, l’Europe en ruine, la F
67 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
190 de son territoire à l’Est, qu’il n’a plus de quoi manger et qu’au surplus, loin qu’on le plaigne, on l’accuse formellement de
68 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
191 is pourtant notables : les Français eussent mieux mangé , en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient pas été trop occupés
69 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
192 une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Washington. (C’est une pièce de mus
70 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
193 une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Washington. (C’est une pièce de mus
71 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
194 ientôt s’inquiète : « — Vous êtes pâle et vous ne mangez rien ! Vous sentiriez-vous indisposé ? » Je balbutie n’importe quoi s
195 suis décidé et j’articule : « — Vous n’avez rien mangé au déjeuner, madame. — Vous non plus… » Je poursuis non sans peine :
72 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
196 omis. Mais Hitler, loin de vomir les neutres, les mange . ⁂ C. B. fut reçu en audience par Hitler au moment de la première cri
73 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
197 ient venus parlaient du Noël de la France et nous mangions nos chocolats comme si nous les avions volés… Début de janvier 194
198 art sont des monstres modestes. J’en ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en
74 1946, Journal des deux mondes. Virginie
199 une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de Georges Washington. (C’est une pièce de mu
75 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
200 is pourtant notables : les Français eussent mieux mangé , en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient été trop occupés dan
76 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
201 is pourtant notables : les Français eussent mieux mangé , en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient été trop occupés dan
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
202 se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’inspection des ter
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
203 e cadre de Jésus-Sirach, 38, versets 16-24. Qu’on mange et qu’on boive ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la
204 sante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
205 nne du vaste monde. J’étais seul et tranquille, à manger et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
206 Dépenses du premier mois dans l’île : Ménage, manger et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un
207 te mère. Le matin, je me dis : Qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disent
208 ux ou trois jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour manger . Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
209 pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
210 outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en mange pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
211 ’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en manger une grande assiettée ; ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut all
212 élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
213 ndant des mois, la croyant trop vieille pour être mangée , sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
214 ne seiche énorme, de celles que les gens de l’île mangent (ils les coupent dans la longueur et les conservent pour l’hiver). Vi
215 rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange . Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
216 vés » (Romains 8, 20-24). Fin mai 1934 Nous mangeons les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
217 onnelet. Et nous allions nous mettre à table pour manger le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
218 noire et les poulets encore trop jeunes pour être mangés . Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
219 déjà, plus petites et toujours vertes ; on ne les mange pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline
220 la maison ? Il faut bien continuer à vivre, et à manger , et à laver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, monsieur, m
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
221 ’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi manger et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appliquer son programme, maintena
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
222 demi légendaire — il a passé vingt ans sans rien manger ni boire — est vénéré par mes compatriotes pour avoir prévenu in extr
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
223 omis. Mais Hitler, loin de vomir les neutres, les mange . ⁂ C. B… fut reçu en audience par Hitler au moment de la première cri
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
224 ient venus parlaient du Noël de la France et nous mangions nos chocolats comme si nous les avions volés… Début de janvier 194
225 art sont des monstres modestes. J’en ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
226 une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Washington. (C’est une pièce de mus
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
227 ayer un ou deux pains par jour, on ne peut pas en manger davantage, et il serait inutile d’accumuler des miches puisqu’on ne p
228 ontiers de breakfast, et pense qu’il suffirait de manger une fois par jour — son régime ordinaire — la plupart de nos aliments
229 r les provisions, puis à faire la cuisine, puis à manger , puis à laver la vaisselle, et on recommence… » (Toujours et dans tou
87 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
230 art sont des monstres modestes. J’en ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en
88 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
231 n de l’hôtel prie sa clientèle de ne pas donner à manger aux mouettes. C’était l’été des expériences de Bikini. Dans les seco
89 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
232 bientôt s’inquiète : « Vous êtes pâle et vous ne mangez rien ! Vous sentiriez-vous indisposé ? » Je balbutie n’importe quoi s
233 me suis décidé et j’articule : « Vous n’avez rien mangé au déjeuner, Madame. —  Vous non plus… » Je poursuis non sans peine :
90 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
234 e-qui-sort-de-l’Eau, insatiable, et qui veut tout manger . C’était le Vide, le Monstre fut admis. Et le Monstre leur fit craind
91 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
235 r une histoire. « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent des brioches. » Le siècle est en révolution, l’Europe en ruines, la F
92 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
236 t plus qu’à la richesse, et plus qu’au pain qu’il mange à une notion de l’homme, qu’il ne sait pas toujours formuler, mais po
93 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
237 t bien. Il espère ainsi que le loup au lieu de le manger s’occupera d’abord du berger, ou bien que le berger attaquera le loup
94 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
238 un ermitage, et il y passera vingt ans sans rien manger que l’hostie une fois par semaine. Sa légende se répand très vite che
95 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
239 pportèrent tout ce qu’ils pouvaient trouver, elle mangea tout, et dit qu’elle avait encore faim. N’ayant plus rien à lui donne
240 apporta des quantités énormes de nourriture, elle mangea tout, et dit qu’elle avait encore faim, aussi grand-faim qu’avant et
96 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
241 n lui offre un quartier de la même viande dont on mange . (D’où « l’invention » de la cuisson des aliments ?) Dès lors, il est
97 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
242 n de l’hôtel prie sa clientèle de ne pas donner à manger aux mouettes. C’était l’été des expériences de Bikini. Dans les sec
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
243 n lui offre un quartier de la même viande dont on mange . (D’où « l’invention » de la cuisson des aliments !) Dès lors, il est
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
244 sque des millions d’hommes en Orient n’ont rien à manger , parler d’humanisme et de l’évolution de l’idéal de l’homme n’est qu’
100 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
245 en vit, mais les provinces en meurent70. Nous ne mangerons pas de ce sacré‑là. D’ailleurs, le phénomène est à peu près unique. N