1
eu la Rochelle. Mais il faudra bien se remettre à
manger
, tout de même nous avons un corps, et c’est très beau, Breton, de cri
2
dromadaire, d’ailleurs dételé. Les amis affligés
mangent
les couronnes et suivent à grands sauts lents, solennels. Ils revoien
3
t dont le Journal de Genève parlait naguère, tu
mangeras
avec appétit une poule au riz arrosée d’un savoureux “demi” de Lavaux
4
ma patrie. Ce soir-là, le fantôme ayant envie de
manger
ferme a donné au chauffeur l’adresse d’un ogre. C’est tout près parce
5
uite écœurant et prétentieux. Je suis de ceux qui
mangent
sans faire d’histoires. Je remarque simplement qu’on n’est jamais mie
6
sante, plus traître que nature avec sa large face
mangée
par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
7
e l’idée du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la
mange
et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensers, d’un désir ou d’un
8
e cadre de Jésus-Sirach, 38, versets 16-24. Qu’on
mange
et qu’on boive ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la
9
sante, plus traître que nature avec sa large face
mangée
par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
10
nne du vaste monde. J’étais seul et tranquille, à
manger
et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante
11
se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on
mange
presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’inspection des ter
12
fantôme ». Ce soir-là, le fantôme ayant envie de
manger
ferme a donné au chauffeur l’adresse d’un ogre. C’est tout près parce
13
uite écœurant et prétentieux. Je suis de ceux qui
mangent
sans faire d’histoires. Je remarque simplement qu’on n’est jamais mie
14
se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on
mange
presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’inspection des ter
15
le cadre de Jésus-Sirach, 38, verset 16-24. Qu’on
mange
et qu’on boive ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la
16
sante, plus traître que nature avec sa large face
mangée
par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
17
nne du vaste monde. J’étais seul et tranquille, à
manger
et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante
18
: « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui
mangeaient
ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir
19
auvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste,
mange
du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste e
20
re. L’action politique nous est nécessaire, comme
manger
, travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune syn
21
ous avons vu ce spectacle indécent : le cadavre a
mangé
ses mouches. Certes, il faut commencer par dénoncer le mal. Mais que
22
re. L’action politique nous est nécessaire, comme
manger
, travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune syn
23
: « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui
mangeaient
ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir
24
auvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste,
mange
du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste e
25
re. L’action politique nous est nécessaire, comme
manger
, travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune syn
26
: « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui
mangeaient
ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir
27
auvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste,
mange
du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste e
28
re : car les uns le méprisent, et les autres — le
mangent
. Il sera donc mangé, et le drame pourra se poursuivre24. Ceci soit di
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prisent, et les autres — le mangent. Il sera donc
mangé
, et le drame pourra se poursuivre24. Ceci soit dit pour situer certai
31
onnera l’heure de l’Ordre nouveau. q. « Nous ne
mangeons
pas de ce pain-là (à propos du 14 juillet) », Bulletin de liaison des
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-Christ a mis ensemble, et qu’on donne le corps à
manger
sans donner en même temps le sang à boire. Étonnez-vous donc aussi de
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espèces est celle-ci : Jésus a dit : « Celui qui
mange
ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle », mais il a dit néa
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a dit néanmoins (dixit nihilominus) : « Celui qui
mange
ce pain vivra éternellement » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ose pas deman
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teur de catastrophes et de crimes. Les animaux se
mangent
entre eux, les hommes périssent par accident, la terre tremble : est-
36
e l’idée du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la
mange
et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensées, d’un désir ou d’un
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e l’idée du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la
mange
et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensées, d’un désir ou d’un
38
déjà, plus petites et toujours vertes ; on ne les
mange
pas). Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline
39
la maison ? II faut bien continuer à vivre, et à
manger
, et à laver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur, m
40
re Dépenses du premier mois dans l’île : ménage,
manger
et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Re
41
ndant des mois, la croyant trop vieille pour être
mangée
, sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
42
rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous
mange
. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
43
aut penser à eux quand on juge « le monde »… Nous
mangeons
les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
44
arettes. Et nous allions nous mettre à table pour
manger
le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
45
noire et les poulets encore trop jeunes pour être
mangés
. Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la
46
nte mère. Le matin je me dis : qu’est-ce qu’on va
manger
, ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disen
47
ux ou trois jambes. Bon, c’est ce qu’il faut pour
manger
. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
48
pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et
mangent
la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
49
outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
mange
pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
50
’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en
manger
une grande assiettée, ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut alle
51
élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils
mangent
et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
52
Dépenses du premier mois dans l’île : Ménage,
manger
et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un
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te mère. Le matin, je me dis : qu’est-ce qu’on va
manger
ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disent
54
ux ou trois jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour
manger
. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
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pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et
mangent
la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
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outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
mange
pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
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’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en
manger
une grande assiettée ; ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut all
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élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils
mangent
et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
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ndant des mois, la croyant trop vieille pour être
mangée
, sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
60
ne seiche énorme, de celles que les gens de l’île
mangent
(ils les coupent dans la longueur et les conservent pour l’hiver). Vi
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rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous
mange
. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
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aut penser à eux quand on juge « le monde »… Nous
mangeons
les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
63
onnelet. Et nous allions nous mettre à table pour
manger
le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
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noire et les poulets encore trop jeunes pour être
mangés
. Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la
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déjà, plus petites et toujours vertes ; on ne les
mange
pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline
66
la maison ? Il faut bien continuer à vivre, et à
manger
, et à laver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur, m
67
’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi
manger
et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appliquer son programme, maintena
68
—, et d’Alice en particulier. On dit à l’enfant :
mange
ta soupe et tu deviendras grand. Donc il peut exister des aliments qu
69
’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi
manger
et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appliquer son programme, maintena
70
dit à la fin de sa chronique : « Qu’il n’ait rien
mangé
, je ne puis le croire : les Suisses eux-mêmes ne l’affirment et ne le
71
vec sa femme s’il était marié 41, à ne tuer ni ne
manger
nul animal, enfin à tenir sa foi secrète. Un jeûne de quarante jours,
72
éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il
mange
les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
73
uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à
manger
une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
74
tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le
mange
avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
75
ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour
manger
des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
76
nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne
mange
pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
77
vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le
mange
sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — « Messire,
78
— « Messire, répond la dame, vous m’avez donné à
manger
mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
79
nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne
mangerai
rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
80
ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils
mangent
… » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart avec ceux d’u
81
yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne
mange
que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement
82
icolas s’aperçoit soudain qu’il peut se passer de
manger
! Une fois par semaine il s’en va communier dans un des villages vois
83
lerin. — Est-il vrai que le frère Claus n’a rien
mangé
depuis des mois, sauf la très sainte hostie une seule fois par semain
84
alet (aux pèlerins). — Paraît qu’à force de rien
manger
, il n’a plus de chaleur naturelle, comme on dit. Tu touches ses mains
85
et. Lui prétend que tu t’es vanté de ne plus rien
manger
depuis quatre ans. Et moi je dis que ce sont là des racontars. Nous a
86
nt. Notre Seigneur n’a-t-il pas dit : « Celui qui
mange
ma chair en sera rassasié » ? L’abbé. — Tu n’éprouves donc aucun
87
ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni
manger
nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur femme, s’ils
88
éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il
mange
les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
89
uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à
manger
une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
90
tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le
mange
avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
91
ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour
manger
des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
92
nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne
mange
pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
93
vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le
mange
sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — » Messire,
94
— » Messire, répond la dame, vous m’avez donné à
manger
mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
95
nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne
mangerai
rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
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ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils
mangent
… » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart, avec ceux d’
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yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne
mange
que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement
98
ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni
manger
nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur femme, s’ils
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éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il
mange
les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
100
uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à
manger
une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
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tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le
mange
avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
102
ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour
manger
des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
103
nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne
mange
pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
104
vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le
mange
sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : « Messire, r
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: « Messire, répond la dame, vous m’avez donné à
manger
mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
106
nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne
mangerai
rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
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ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils
mangent
… » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart avec ceux d’
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yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne
mange
que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement
109
? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront
mangés
! Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de ne
110
t ? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront
mangés
. Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neu
111
t ? Que ceux qui dont froids ou bouillants seront
mangés
. Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neu
112
la femme : — Dieu a-t-il réellement dit : vous ne
mangerez
pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
113
s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous
mangeons
du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
114
i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en
mangerez
point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
115
rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en
mangerez
, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
116
lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à
manger
cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
117
tentation : La femme vit que l’arbre était bon à
manger
et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
118
rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en
mangea
.2 Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujours
119
it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité.
Manger
cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
120
nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de
manger
cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
121
: Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as
mangé
de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
122
tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de
manger
? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
123
se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai
mangé
. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
124
mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai
mangé
.10 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les a
125
irement l’inverse de ce qu’ils voulaient. Si vous
mangez
la pomme vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la mangent, et i
126
me vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la
mangent
, et ils entrent dans le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
127
ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit
mangé
par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
128
ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de
manger
une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
129
certain manque de nécessité. Il est nécessaire de
manger
et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
130
la femme : — Dieu a-t-il réellement dit : vous ne
mangerez
pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
131
s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous
mangeons
du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
132
i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en
mangerez
point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
133
rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en
mangerez
vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
134
lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à
manger
cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
135
entation : « La femme vit que l’arbre était bon à
manger
et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
136
rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en
mangea
. »5 Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujour
137
it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité.
Manger
cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
138
créer un fruit qui soit « du mal », mais il peut
manger
un bon fruit d’une manière malfaisante, contre l’Ordre donné. Le mal
139
nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de
manger
cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
140
ais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim
mange
n’importe quoi pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’ose
141
: Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as
mangé
de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
142
tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de
manger
? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
143
se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai
mangé
. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
144
mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai
mangé
.21 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les a
145
irement l’inverse de ce qu’ils voulaient. Si vous
mangez
la pomme vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la mangent, et i
146
me vous ne mourrez pas, disait le serpent. Ils la
mangent
, et ils entrent dans le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
147
ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit
mangé
par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
148
ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de
manger
une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
149
certain manque de nécessité. Il est nécessaire de
manger
et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
150
la femme : — Dieu a-t-il réellement dit : vous ne
mangerez
pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
151
s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous
mangeons
du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
152
i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en
mangerez
point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
153
rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en
mangerez
vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des Dieux, connaissant
154
lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à
manger
cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
155
tentation : La femme vit que l’arbre était bon à
manger
et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
156
rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en
mangea
.6 Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujours
157
it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité.
Manger
cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
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créer un fruit qui soit « du mal », mais il peut
manger
un bon fruit d’une manière malfaisante, contre l’Ordre donné. Le mal
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nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de
manger
cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
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ais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim
mange
n’importe quoi pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’ose
161
: Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as
mangé
de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
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tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de
manger
? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
163
se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai
mangé
. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
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mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai
mangé
.23 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les a
165
irement l’inverse de ce qu’ils voulaient. Si vous
mangez
la pomme vous ne mourrez pas dit le serpent. Ils la mangent, et ils e
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pomme vous ne mourrez pas dit le serpent. Ils la
mangent
, et ils entrent dans le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
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ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit
mangé
par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
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ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de
manger
une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
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certain manque de nécessité. Il est nécessaire de
manger
et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
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nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de
manger
cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
171
ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit
mangé
par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
172
ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de
manger
une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
173
certain manque de nécessité. Il est nécessaire de
manger
et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
174
à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : vous ne
mangerez
pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
175
s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous
mangeons
du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
176
i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en
mangerez
point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
177
rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en
mangerez
, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
178
lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à
manger
cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
179
ntation : « La femme vit que l’arbre était bon à
manger
et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
180
rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en
mangea
. » (Gen. 3:6) Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’es
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it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité.
Manger
cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
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: Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as
mangé
de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
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tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de
manger
? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
184
se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai
mangé
. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
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mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai
mangé
. » (Gen. 3:8-13) Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et qu
186
ais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim
mange
n’importe quoi pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’ose
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s peine dans les actions les plus modestes, comme
manger
, s’habiller, s’endormir — car pour l’amour, la politique, etc., il ne
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is pourtant notables : les Français eussent mieux
mangé
, en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient été trop occupés dan
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r une histoire. « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils
mangent
des brioches ! » Le siècle est en révolution, l’Europe en ruine, la F
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de son territoire à l’Est, qu’il n’a plus de quoi
manger
et qu’au surplus, loin qu’on le plaigne, on l’accuse formellement de
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is pourtant notables : les Français eussent mieux
mangé
, en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient pas été trop occupés
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une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de
manger
les bougies du carrosse de George Washington. (C’est une pièce de mus
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une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de
manger
les bougies du carrosse de George Washington. (C’est une pièce de mus
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ientôt s’inquiète : « — Vous êtes pâle et vous ne
mangez
rien ! Vous sentiriez-vous indisposé ? » Je balbutie n’importe quoi s
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suis décidé et j’articule : « — Vous n’avez rien
mangé
au déjeuner, madame. — Vous non plus… » Je poursuis non sans peine :
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omis. Mais Hitler, loin de vomir les neutres, les
mange
. ⁂ C. B. fut reçu en audience par Hitler au moment de la première cri
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ient venus parlaient du Noël de la France et nous
mangions
nos chocolats comme si nous les avions volés… Début de janvier 194
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art sont des monstres modestes. J’en ai vu un qui
mangeait
un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en
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une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de
manger
les bougies du carrosse de Georges Washington. (C’est une pièce de mu
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is pourtant notables : les Français eussent mieux
mangé
, en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient été trop occupés dan
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is pourtant notables : les Français eussent mieux
mangé
, en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient été trop occupés dan
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se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on
mange
presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’inspection des ter
203
e cadre de Jésus-Sirach, 38, versets 16-24. Qu’on
mange
et qu’on boive ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la
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sante, plus traître que nature avec sa large face
mangée
par une barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme
205
nne du vaste monde. J’étais seul et tranquille, à
manger
et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante
206
Dépenses du premier mois dans l’île : Ménage,
manger
et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un
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te mère. Le matin, je me dis : Qu’est-ce qu’on va
manger
ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disent
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ux ou trois jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour
manger
. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
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pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et
mangent
la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
210
outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
mange
pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
211
’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en
manger
une grande assiettée ; ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut all
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élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils
mangent
et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
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ndant des mois, la croyant trop vieille pour être
mangée
, sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
214
ne seiche énorme, de celles que les gens de l’île
mangent
(ils les coupent dans la longueur et les conservent pour l’hiver). Vi
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rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous
mange
. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
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vés » (Romains 8, 20-24). Fin mai 1934 Nous
mangeons
les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
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onnelet. Et nous allions nous mettre à table pour
manger
le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
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noire et les poulets encore trop jeunes pour être
mangés
. Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la
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déjà, plus petites et toujours vertes ; on ne les
mange
pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline
220
la maison ? Il faut bien continuer à vivre, et à
manger
, et à laver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, monsieur, m
221
’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi
manger
et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appliquer son programme, maintena
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demi légendaire — il a passé vingt ans sans rien
manger
ni boire — est vénéré par mes compatriotes pour avoir prévenu in extr
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omis. Mais Hitler, loin de vomir les neutres, les
mange
. ⁂ C. B… fut reçu en audience par Hitler au moment de la première cri
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ient venus parlaient du Noël de la France et nous
mangions
nos chocolats comme si nous les avions volés… Début de janvier 194
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art sont des monstres modestes. J’en ai vu un qui
mangeait
un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en
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une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de
manger
les bougies du carrosse de George Washington. (C’est une pièce de mus
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ayer un ou deux pains par jour, on ne peut pas en
manger
davantage, et il serait inutile d’accumuler des miches puisqu’on ne p
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ontiers de breakfast, et pense qu’il suffirait de
manger
une fois par jour — son régime ordinaire — la plupart de nos aliments
229
r les provisions, puis à faire la cuisine, puis à
manger
, puis à laver la vaisselle, et on recommence… » (Toujours et dans tou
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art sont des monstres modestes. J’en ai vu un qui
mangeait
un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en
231
n de l’hôtel prie sa clientèle de ne pas donner à
manger
aux mouettes. C’était l’été des expériences de Bikini. Dans les seco
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bientôt s’inquiète : « Vous êtes pâle et vous ne
mangez
rien ! Vous sentiriez-vous indisposé ? » Je balbutie n’importe quoi s
233
me suis décidé et j’articule : « Vous n’avez rien
mangé
au déjeuner, Madame. — Vous non plus… » Je poursuis non sans peine :
234
e-qui-sort-de-l’Eau, insatiable, et qui veut tout
manger
. C’était le Vide, le Monstre fut admis. Et le Monstre leur fit craind
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r une histoire. « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils
mangent
des brioches. » Le siècle est en révolution, l’Europe en ruines, la F
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t plus qu’à la richesse, et plus qu’au pain qu’il
mange
à une notion de l’homme, qu’il ne sait pas toujours formuler, mais po
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t bien. Il espère ainsi que le loup au lieu de le
manger
s’occupera d’abord du berger, ou bien que le berger attaquera le loup
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un ermitage, et il y passera vingt ans sans rien
manger
que l’hostie une fois par semaine. Sa légende se répand très vite che
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pportèrent tout ce qu’ils pouvaient trouver, elle
mangea
tout, et dit qu’elle avait encore faim. N’ayant plus rien à lui donne
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apporta des quantités énormes de nourriture, elle
mangea
tout, et dit qu’elle avait encore faim, aussi grand-faim qu’avant et
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n lui offre un quartier de la même viande dont on
mange
. (D’où « l’invention » de la cuisson des aliments ?) Dès lors, il est
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n de l’hôtel prie sa clientèle de ne pas donner à
manger
aux mouettes. C’était l’été des expériences de Bikini. Dans les sec
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n lui offre un quartier de la même viande dont on
mange
. (D’où « l’invention » de la cuisson des aliments !) Dès lors, il est
244
sque des millions d’hommes en Orient n’ont rien à
manger
, parler d’humanisme et de l’évolution de l’idéal de l’homme n’est qu’
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en vit, mais les provinces en meurent70. Nous ne
mangerons
pas de ce sacré‑là. D’ailleurs, le phénomène est à peu près unique. N