1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 le Tarramagnou est un livre émouvant, d’une saine puissance . Il reste que Lucien Fabre a tenté, et en somme, réussi, une entrepri
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 léry, la supériorité de l’Europe réside dans sa «  puissance de choix », dans le génie d’abstraction qui a produit la géométrie gr
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
3 riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la puissance de Walpole, que l’âme russe — cette âme russe qui pour le Parisien re
4 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 rps et les lois du monde, et comment augmenter ma puissance de jouir, en même temps que ma puissance d’agir. Que tout cela s’agit
5 enter ma puissance de jouir, en même temps que ma puissance d’agir. Que tout cela s’agite sur fond de néant, je le comprends par
5 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
6 , Montherlant impose un tempérament lyrique d’une puissance contagieuse. Il y a là de quoi faire oublier des défauts qui tueraien
7 s athlètes en action, un tel livre communique une puissance physique, un mouvement vers la vie ardente qui peut entraîner l’âme d
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
8 res — perpétuel conflit du réel avec nos rêves de puissance  : notre ambition la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos vil
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
9 ais alors je le fausse, puisque je le prive de la puissance de se délivrer en gestes, en conséquences matérielles. Ce n’est plus
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
10 ion dans les moyens qu’il parvient à une certaine puissance de l’effet, aux dernières pages. Il règne dans la Maladère une étrang
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
11 l’image d’Irène Rezzovitch s’idéalise et gagne la puissance d’une merveilleuse obsession. Il lui écrit de longues lettres, sans l
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
12 au prétexte (avril 1927)j Ah ! je sens qu’une puissance étrangère s’est emparée de mon être et a saisi les cordes les plus se
11 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
13 lourdeur, tout cela communique une impression de puissance domptée et qui semble se faire une volupté de la discipline qu’elle s
14 t rester ample, d’une simplicité non dépourvue de puissance . Une fois de plus l’on peut admirer la salutaire leçon de style donné
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
15  : les caractères se résument dans son avidité de puissance . C’est par l’argent qu’on domine notre âge : il devient grand industr
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
16 ux cette croyance : nommer une chose, c’est avoir puissance sur elle. Images, pensées des autres, je vous ai mis un collier avec
17 ou d’une volonté de l’auteur. 15. Variante : des puissances d’action. 16. J’en vois certains qui arrangent leur vie de telle sor
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
18 -à-dire de démoralisation — qu’on se le dise ! —, puissance de crétinisation lente, standardisation de toutes les mesquineries na
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
19  : je prétends que l’instruction publique est une puissance conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à légitimer par la for
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
20 e tout homme gagnerait à posséder une plus grande puissance intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus aiguisée.
21 mieux que le nombre parce qu’elle le contient en puissance . Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
22 -à-dire de démoralisation — qu’on se le dise ! —,  puissance de crétinisation lente, standardisation de toutes les mesquineries na
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
23  : je prétends que l’instruction publique est une puissance conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à légitimer par la for
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
24 e tout homme gagnerait à posséder une plus grande puissance intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus aiguisée.
25 mieux que le nombre parce qu’elle le contient en puissance . Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien
20 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
26 y Clerc ; des révolutionnaires sans idéal et sans puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au conco
27 on, aucune volonté supérieure de domination et de puissance … On ne se pose plus, en France, de questions qui dépassent un certain
21 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
28 nous les verront, dont l’esprit parviendra par sa puissance d’adoration, à se créer une part angélique. III L’amour, loin de cau
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
29 de la façon dont ils traitaient, au temps de leur puissance , les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
30 ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la puissance . Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
31 e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes puissances d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
24 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
32 our la défense de l’homme et son illustration des puissances de nature inhumaine. Nous pourrons définir un tel humanisme : l’organ
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
33 , personnage énigmatique qui possède une sorte de puissance militaire, sans doute irrégulière, dans le Siam, et auquel l’auteur p
34 s » de la vie sociale, au profit d’une volonté de puissance dont l’objet demeure assez incertain. Ce mystère qui entoure Perken d
35 ’introduction à une série de romans intitulés Les Puissances du désert. 11. Le prix Goncourt, dit-on, eût été décerné à M. Malrau
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
36 ls touchent des problèmes identiques, celui de la puissance de l’homme, celui de la valeur de son action, celui, en somme, de l’i
37 te « constructiviste » répondra qu’il croit en la puissance de l’homme pour se dégager des servitudes provisoires de la technique
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
38  » — « Cependant, le Mont-Blanc luit là-haut ; la Puissance est là, la tranquille et solennelle Puissance aux mille aspects, aux
39 la Puissance est là, la tranquille et solennelle Puissance aux mille aspects, aux mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que ces
40 plus adéquat à la nature alpestre. Il contient en puissance toute une morale de l’effort individuel et désintéressé, un construct
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
41 orale si elle n’a pas connu, ne fût-ce que par sa puissance de sympathie, la misère physique et matérielle du monde où nous vivon
42 des communistes. Et c’est l’un des secrets de sa puissance . ⁂ Mais il est temps de tirer de ce livre une conclusion capitale qui
29 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
43 la fois peureuse et agressive ? Il y faudrait une puissance décuplée, excessive, et qui, par la force des choses, tournerait bien
30 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
44 têtue qu’elle évoque peu à peu on ne sait quelle puissance naturelle, dans sa fascinante et grandiose monotonie. Art dont la mes
45 éalise dans sa vision, cet homme sera toujours en puissance d’aujourd’hui, enraciné profondément dans une permanente actualité.
31 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
46 même ce signe de la main — trahisse son immanente puissance . On voudrait dire — mais ce n’est pas si simple que cela — qu’il faut
32 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
47 ise de conscience plus juste et plus efficace des puissances goethéennes. ⁂ Rimbaud enfant écrit des poèmes « magiques » puis reno
48 e l’initiation. Mais on ne déchaîne pas de telles puissances impunément. « Ma santé fut menacée. La terreur venait… J’étais mûr po
49 ’appliquer à distinguer dans ce vertige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie. Le silence de Goethe n’est pas m
33 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
50 . Que d’autres étalent en des écrits dépourvus de puissance , un goût du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois.
34 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
51 borne son désir à l’immédiat. — À la limite de la puissance , c’est la réaction goethéenne. Goethe en ce sens est bien l’antiallem
35 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
52 de la façon dont ils traitaient, au temps de leur puissance , les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
53 ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la puissance . Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
54 e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes puissances d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
55 goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un rêve. Le vin de
56 e samedi soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche s
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
57 ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa puissance  ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans c
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
58 t borne son désir à l’immédiat. À la limite de la puissance , c’est la réaction goethéenne. Goethe en ce sens est bien l’antiallem
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
59 de la façon dont ils traitaient, au temps de leur puissance , les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
60 ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la puissance . Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
61 e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes puissances d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
62 ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa puissance  ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans c
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
63 goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un rêve. Le vin de
64 e samedi soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche s
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
65 as moins forte. Toutes les sources détiennent une puissance radiante, et c’est ici la source du Rhin, du Rhône, et des deux plus
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
66 ion ordinaire du gouvernement, a l’exercice de la Puissance exécutrice. Ses membres sont à la nomination du Prince… Nulle ordonna
67 le des Citoyens, et demeure six ans en office. La Puissance législative est divisée et répartie d’une manière si compliquée qu’il
44 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
68 nt à l’horizon dans un paysage agité de la grande puissance diluvienne où maintenant descend, suspendue dans le soir et dans la t
45 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
69 us « actuels », plus directement mêlés au jeu des puissances modernes, que les Français ne le furent jusqu’à ces tout derniers tem
46 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
70 u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une puissance à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
71 isme n’est pas une puissance à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
72 celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de puissance et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
47 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
73 es d’avance ! Comme si la foi était une espèce de puissance continuellement disponible entre nos mains incertaines, et que nous p
48 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
74 la signature des vieillards ; elle repose sur la puissance révolutionnaire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nation. Mais la j
75 che : en face de mouvements qui tirent toute leur puissance de nos trahisons, nous avons à restaurer le principe permanent de not
49 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
76 ariat. Il était en droit d’attendre de vous cette puissance libératrice dont la bourgeoisie l’a frustré : l’esprit de création, l
50 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
77 e ses ancêtres consacraient à la création de leur puissance , du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
51 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
78 dialectique ? La métaphore ne tire-t-elle pas sa puissance de la nouveauté paradoxale des rapprochements qu’elle opère ? Ne jail
52 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
79 umises au primat de la masse, à l’anonymat et aux puissances de la matière. Pour nous l’homme est autre chose qu’une unité de comp
80 ste pas enfin à développer jusqu’au monstrueux la puissance abstraite de l’État. Le fondement de notre action est la liberté, le
81 e que pensent les réalistes à l’américaine. (Leur puissance ne reposait que sur l’illusion matérielle, monétaire : on a vu ce qu’
53 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
82 pouvait pas tromper. Il y avait là un homme, une puissance . Le défi de Marx et de Nietzsche était relevé. Le tirage du Römerbrie
83 l des mots d’ordre que l’on va répétant, de cette puissance de sérieux, de prise au sérieux des situations humaines telles qu’ell
84 ui seule permet un humour souvent rude ; de cette puissance critique enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état
54 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
85 iction. L’argent règne sur notre monde, comme une puissance occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
86 rte à lui. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de puissance que la personne. Dans l’homme, le choix peut avoir lieu, effectivemen
55 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
87 ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la puissance , ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
56 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
88 une part, et d’autre part la prise de la main, la puissance de bouleversement concret. Il semblait que Dandieu incarnait cette im
89 n qu’il incarne et qui est aussi le ressort de sa puissance d’imagination concrète, de son acte ? Je me souviens d’avoir été vive
90 echerche humaine. Jamais Dandieu n’y dispersa ses puissances d’évaluation novatrice. On en trouvera des marques dans les notices e
57 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
91 arxistes. Mais ce qu’il décrit avec une véritable puissance , c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique de l’homme.
58 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
92 ent pas à eux-mêmes ; comment croiraient-ils à la puissance de la personne ? C’est le « prolétariat » personnaliste. On s’occuper
93 e réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de puissance que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
59 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
94 a volonté d’être hommes, et sachent s’emparer des puissances libératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les bri
95 est pour lui qu’un mythe, dont il met en doute la puissance de soulèvement. « On comprend qu’un bourgeois risque sa peau pour la
60 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
96 plus fécond et le plus populaire de son pays, une puissance sociale et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un ré
61 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
97 les outrages divers encourus par l’individu, les Puissances anonymes et le Standard seraient en voie de triompher, et ce serait a
98 l’esprit ? « L’esprit, dit Kierkegaard, c’est la puissance que le savoir d’un homme exerce sur sa vie.52 » Ce n’est pas le savoi
99 vie.52 » Ce n’est pas le savoir ; ce n’est pas la puissance , mais la puissance du savoir en exercice. Il y a bien de la différenc
100 as le savoir ; ce n’est pas la puissance, mais la puissance du savoir en exercice. Il y a bien de la différence. Le savoir autono
101 bien de la différence. Le savoir autonome, ou la puissance , font décorer celui qui les détient, mais l’exercice effectif du savo
102 sespoir total. Maintenant, tu vas témoigner de la puissance que ton savoir exerce sur ta vie. Tu te croyais un moi : témoigne que
62 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
103 populaire — n’ait été finalement utilisée par des puissances qu’elle avait négligées ou dont elle s’était faite complice. Nous avo
104 communs. L’Ordre, le Bien Public, la Richesse, la Puissance nationale, l’Honneur, l’Esprit, l’Amour, la Civilisation, — les lieux
105 utre mesure que l’argent, ce symbole unique de la puissance sans visage. Dire que le monde est devenu impensable, c’est avouer qu
106 mains, ou encore à ne rien penser qui n’engage en puissance notre être tout entier, corps et âme sans distinction. Apprenons à pe
63 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
107 ituel des prix Goncourt —, et qui le dit avec une puissance assez austère. ⁂ Six chômeurs allemands, anciens officiers et sous-of
108 atrie, cette image grandit en eux, prend forme et puissance , et c’est en elle qu’ils communient, c’est elle seule qui les soutien
109 ce titre, était loin d’évoquer avec une pareille puissance . J’ai eu l’occasion de dire, ici même, mon admiration pour les livres
64 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
110 tion. » Mais si cet ordre est défini par la seule puissance de l’État, nous crions au « fascisme » et à la contre-révolution. Tou
65 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
111 Peut-être celui de la valence, c’est-à-dire de la puissance de combinaison d’un atome. Mais il nous faut laisser ce modèle mécani
112 matérialisme : il ne nie pas grossièrement notre puissance — ce serait une manière de la mieux provoquer — mais glorifiant le su
66 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
113 dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre puissance . C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définiti
67 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
114 qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la puissance , la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
68 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
115 iction. L’argent règne sur notre monde, comme une puissance occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
116 a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de puissance que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
69 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
117 anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en puissance à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
118 mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une puissance qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
119 cation sera comme une puissance qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
70 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
120 ’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses puissances . Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
71 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
121 u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une puissance à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
122 isme n’est pas une puissance à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
123 celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de puissance et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
72 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
124 xtension, par la force, d’un principe de soi sans puissance  : c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
125 n déploiement plus généreux, plus intégral de ses puissances . Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
73 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
126 ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la puissance , ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
74 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
127 ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les puissances mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
75 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
128 e ses ancêtres consacraient à la création de leur puissance , du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
76 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
129 a volonté d’être hommes, et sachent s’emparer des puissances libératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les bri
77 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
130 dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre puissance . C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définit
78 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
131 qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la puissance , la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
79 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
132 iction. L’argent règne sur notre monde, comme une puissance occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
133 a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de puissance que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
80 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
134 anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en puissance à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
135 mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une puissance qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
136 cation sera comme une puissance qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
81 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
137 ’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses puissances . Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
82 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
138 u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une puissance à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
139 isme n’est pas une puissance à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
140 celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de puissance et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
83 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
141 xtension, par la force, d’un principe de soi sans puissance  : c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
142 n déploiement plus généreux, plus intégral de ses puissances . Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
84 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
143 ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la puissance , ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
85 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
144 ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les puissances mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
86 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
145 e ses ancêtres consacraient à la création de leur puissance , du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
87 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
146 tés et provisoires, de leurs électeurs. Plusieurs puissances pratiquent dans le monde d’aujourd’hui de grandes politiques et même
147 intérieure qui corresponde au rôle que les autres puissances la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui
148 nceptions nouvelles ou rétrogrades que les autres puissances exaltent ? Toutes ces questions sont des questions de vie ou de mort
88 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
149 elle. Car c’est ici d’un chiffre que dépendent la puissance , et la vertu, et l’invention, et l’amour même. Et ce chiffre n’est pa
150 e banquiers. Il est contre nature que l’amour, la puissance , dépendent d’une chose morte, quand leur essence est vie. Or nous voy
151 emporter par trop violemment. C’est à eux que la puissance finira par échoir ; elle leur sera confiée, parce qu’ils n’en useront
89 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
152 âmes s’indignent lorsque Kierkegaard défend avec puissance cette vérité fondamentale. Mais si Nietzsche croit autre chose, s’il
90 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
153 comme sur tout cela, par son regard, il exerce sa puissance et sa conquête… Et le Zarathoustra ! Une œuvre plus concrète a-t-ell
91 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
154 nt en effet les ligueurs ? L’anéantissement de la puissance politique de la Réforme. Et que voulaient les calvinistes ? Le libre
155 le roi : « Tout l’État est en lui, en lui est la puissance , en lui est la volonté de tout le peuple 26. » C’est cette troisième
92 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
156 ques, d’intention manifestement sociale, mais, en puissance , destructrices de tout « génie », du sien d’abord. Dans cet aheurteme
157 omme le héros du monde bourgeois. Il incarne à la puissance infinie le goût du néant — le refus de la vocation — qui caractériser
93 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
158 questions les plus tragiques de l’heure avec une puissance dont on cherche en vain l’équivalent dans notre littérature d’après-g
159 ’étranger, parce qu’elle a perdu son prestige, sa puissance militaire, le droit de parler haut. « Nous avons perdu la guerre, Bel
94 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
160 URSS, SFIO, CGT, NSDAP, un monstrueux complexe de puissances collectives, de masses électorales, de lois économiques. Un jeu secre
161 , il nous faut perdre l’illusion d’exercer aucune puissance . À moins de nous faire journalistes ! L’observation objective du mond
162 auvaise. La forme de ce monde, ce sont toutes les puissances que j’énumérais tout à l’heure et qui dominent la cité. C’est le déso
163 est vivant ! Par lui, la forme de ce monde, et sa puissance dernière, la mort, sont absolument dominées. C’en est fait ! depuis 1
164 lemagne baptisant les Saxons pour leur prouver la puissance de son glaive, et tout accessoirement celle de l’Esprit ; des chevali
165 ès ; voici l’Église puissante et séduisant par sa puissance  ; voici le message de la transformation qui se change en message de l
95 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
166 réalistes nous ont donné jusqu’ici. Il y a là une puissance de réflexion et de synthèse, dont les ouvrages de Breton illustraient
167 yrique (tout au début) il glorifie la révolte des puissances obscures, les crimes gratuits, les enthousiasmes collectifs, l’hystér
96 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
168 mots d’ordre populaires, au nom de mystiques sans puissance contre les menaces réelles, — qui sont la guerre et l’étatisme totali
97 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
169 is de plus, la France va affirmer sa vitalité, sa puissance d’assimilation et de création, le génie de ses ouvriers, de ses artis
170 éconcerte le monde, elle consacre le triomphe des puissances d’audace ordonnée et de mesure, celles de l’intelligence… C’est dire
171 t douter qu’il ne dût consacrer « le triomphe des puissances d’audace ordonnée et de mesure » que le Palais-Bourbon, pour les rais
172 ladite crise ; vu l’existence de la presse et la puissance de la publicité ; vu le chômage des intellectuels et ses suites polit
98 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
173 que l’on attend de l’homme et de son esprit : la puissance de tromper (art inclus) pour jouir, ou la puissance de fixer le vrai
174 issance de tromper (art inclus) pour jouir, ou la puissance de fixer le vrai par convention ou décret scientifique, pour agir. (I
175 n de l’homme au temporel. La foi réelle, c’est la puissance active de l’Éternel dans ce temps. Cette définition condamne tout mys
99 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
176 sespoir, qui consiste à s’imaginer que l’acte est puissance de l’homme : d’où l’impossibilité de l’oser. Celui que la foi vint sa
177 l y a tout ce romantisme qui veut que l’acte soit puissance et jouissance, il y a ce moi de désir qui veut que l’acte — l’instant
100 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
178 un seul élan. Je me souviens aussi de cela : « La puissance de gouverner, je l’ai. Mais ce que je cherche, c’est la communion du