1
le Tarramagnou est un livre émouvant, d’une saine
puissance
. Il reste que Lucien Fabre a tenté, et en somme, réussi, une entrepri
2
léry, la supériorité de l’Europe réside dans sa «
puissance
de choix », dans le génie d’abstraction qui a produit la géométrie gr
3
riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la
puissance
de Walpole, que l’âme russe — cette âme russe qui pour le Parisien re
4
rps et les lois du monde, et comment augmenter ma
puissance
de jouir, en même temps que ma puissance d’agir. Que tout cela s’agit
5
enter ma puissance de jouir, en même temps que ma
puissance
d’agir. Que tout cela s’agite sur fond de néant, je le comprends par
6
, Montherlant impose un tempérament lyrique d’une
puissance
contagieuse. Il y a là de quoi faire oublier des défauts qui tueraien
7
s athlètes en action, un tel livre communique une
puissance
physique, un mouvement vers la vie ardente qui peut entraîner l’âme d
8
res — perpétuel conflit du réel avec nos rêves de
puissance
: notre ambition la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos vil
9
ais alors je le fausse, puisque je le prive de la
puissance
de se délivrer en gestes, en conséquences matérielles. Ce n’est plus
10
ion dans les moyens qu’il parvient à une certaine
puissance
de l’effet, aux dernières pages. Il règne dans la Maladère une étrang
11
l’image d’Irène Rezzovitch s’idéalise et gagne la
puissance
d’une merveilleuse obsession. Il lui écrit de longues lettres, sans l
12
au prétexte (avril 1927)j Ah ! je sens qu’une
puissance
étrangère s’est emparée de mon être et a saisi les cordes les plus se
13
lourdeur, tout cela communique une impression de
puissance
domptée et qui semble se faire une volupté de la discipline qu’elle s
14
t rester ample, d’une simplicité non dépourvue de
puissance
. Une fois de plus l’on peut admirer la salutaire leçon de style donné
15
: les caractères se résument dans son avidité de
puissance
. C’est par l’argent qu’on domine notre âge : il devient grand industr
16
ux cette croyance : nommer une chose, c’est avoir
puissance
sur elle. Images, pensées des autres, je vous ai mis un collier avec
17
ou d’une volonté de l’auteur. 15. Variante : des
puissances
d’action. 16. J’en vois certains qui arrangent leur vie de telle sor
18
-à-dire de démoralisation — qu’on se le dise ! —,
puissance
de crétinisation lente, standardisation de toutes les mesquineries na
19
: je prétends que l’instruction publique est une
puissance
conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à légitimer par la for
20
e tout homme gagnerait à posséder une plus grande
puissance
intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus aiguisée.
21
mieux que le nombre parce qu’elle le contient en
puissance
. Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien
22
-à-dire de démoralisation — qu’on se le dise ! —,
puissance
de crétinisation lente, standardisation de toutes les mesquineries na
23
: je prétends que l’instruction publique est une
puissance
conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à légitimer par la for
24
e tout homme gagnerait à posséder une plus grande
puissance
intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus aiguisée.
25
mieux que le nombre parce qu’elle le contient en
puissance
. Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien
26
y Clerc ; des révolutionnaires sans idéal et sans
puissances
de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au conco
27
on, aucune volonté supérieure de domination et de
puissance
… On ne se pose plus, en France, de questions qui dépassent un certain
28
nous les verront, dont l’esprit parviendra par sa
puissance
d’adoration, à se créer une part angélique. III L’amour, loin de cau
29
de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
puissance
, les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
30
ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la
puissance
. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
31
e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes
puissances
d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
32
our la défense de l’homme et son illustration des
puissances
de nature inhumaine. Nous pourrons définir un tel humanisme : l’organ
33
, personnage énigmatique qui possède une sorte de
puissance
militaire, sans doute irrégulière, dans le Siam, et auquel l’auteur p
34
s » de la vie sociale, au profit d’une volonté de
puissance
dont l’objet demeure assez incertain. Ce mystère qui entoure Perken d
35
’introduction à une série de romans intitulés Les
Puissances
du désert. 11. Le prix Goncourt, dit-on, eût été décerné à M. Malrau
36
ls touchent des problèmes identiques, celui de la
puissance
de l’homme, celui de la valeur de son action, celui, en somme, de l’i
37
te « constructiviste » répondra qu’il croit en la
puissance
de l’homme pour se dégager des servitudes provisoires de la technique
38
» — « Cependant, le Mont-Blanc luit là-haut ; la
Puissance
est là, la tranquille et solennelle Puissance aux mille aspects, aux
39
la Puissance est là, la tranquille et solennelle
Puissance
aux mille aspects, aux mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que ces
40
plus adéquat à la nature alpestre. Il contient en
puissance
toute une morale de l’effort individuel et désintéressé, un construct
41
orale si elle n’a pas connu, ne fût-ce que par sa
puissance
de sympathie, la misère physique et matérielle du monde où nous vivon
42
des communistes. Et c’est l’un des secrets de sa
puissance
. ⁂ Mais il est temps de tirer de ce livre une conclusion capitale qui
43
la fois peureuse et agressive ? Il y faudrait une
puissance
décuplée, excessive, et qui, par la force des choses, tournerait bien
44
têtue qu’elle évoque peu à peu on ne sait quelle
puissance
naturelle, dans sa fascinante et grandiose monotonie. Art dont la mes
45
éalise dans sa vision, cet homme sera toujours en
puissance
d’aujourd’hui, enraciné profondément dans une permanente actualité.
46
même ce signe de la main — trahisse son immanente
puissance
. On voudrait dire — mais ce n’est pas si simple que cela — qu’il faut
47
ise de conscience plus juste et plus efficace des
puissances
goethéennes. ⁂ Rimbaud enfant écrit des poèmes « magiques » puis reno
48
e l’initiation. Mais on ne déchaîne pas de telles
puissances
impunément. « Ma santé fut menacée. La terreur venait… J’étais mûr po
49
’appliquer à distinguer dans ce vertige la réelle
puissance
d’une voix volontairement assourdie. Le silence de Goethe n’est pas m
50
. Que d’autres étalent en des écrits dépourvus de
puissance
, un goût du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois.
51
borne son désir à l’immédiat. — À la limite de la
puissance
, c’est la réaction goethéenne. Goethe en ce sens est bien l’antiallem
52
de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
puissance
, les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
53
ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la
puissance
. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
54
e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes
puissances
d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
55
goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine
puissance
de l’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un rêve. Le vin de
56
e samedi soir n’est plus cet infini repos dans la
puissance
et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche s
57
? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa
puissance
? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans c
58
t borne son désir à l’immédiat. À la limite de la
puissance
, c’est la réaction goethéenne. Goethe en ce sens est bien l’antiallem
59
de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
puissance
, les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
60
ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la
puissance
. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
61
e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes
puissances
d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
62
? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa
puissance
? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans c
63
goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine
puissance
de l’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un rêve. Le vin de
64
e samedi soir n’est plus cet infini repos dans la
puissance
et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche s
65
as moins forte. Toutes les sources détiennent une
puissance
radiante, et c’est ici la source du Rhin, du Rhône, et des deux plus
66
ion ordinaire du gouvernement, a l’exercice de la
Puissance
exécutrice. Ses membres sont à la nomination du Prince… Nulle ordonna
67
le des Citoyens, et demeure six ans en office. La
Puissance
législative est divisée et répartie d’une manière si compliquée qu’il
68
nt à l’horizon dans un paysage agité de la grande
puissance
diluvienne où maintenant descend, suspendue dans le soir et dans la t
69
us « actuels », plus directement mêlés au jeu des
puissances
modernes, que les Français ne le furent jusqu’à ces tout derniers tem
70
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
71
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
72
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
73
es d’avance ! Comme si la foi était une espèce de
puissance
continuellement disponible entre nos mains incertaines, et que nous p
74
la signature des vieillards ; elle repose sur la
puissance
révolutionnaire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nation. Mais la j
75
che : en face de mouvements qui tirent toute leur
puissance
de nos trahisons, nous avons à restaurer le principe permanent de not
76
ariat. Il était en droit d’attendre de vous cette
puissance
libératrice dont la bourgeoisie l’a frustré : l’esprit de création, l
77
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
78
dialectique ? La métaphore ne tire-t-elle pas sa
puissance
de la nouveauté paradoxale des rapprochements qu’elle opère ? Ne jail
79
umises au primat de la masse, à l’anonymat et aux
puissances
de la matière. Pour nous l’homme est autre chose qu’une unité de comp
80
ste pas enfin à développer jusqu’au monstrueux la
puissance
abstraite de l’État. Le fondement de notre action est la liberté, le
81
e que pensent les réalistes à l’américaine. (Leur
puissance
ne reposait que sur l’illusion matérielle, monétaire : on a vu ce qu’
82
pouvait pas tromper. Il y avait là un homme, une
puissance
. Le défi de Marx et de Nietzsche était relevé. Le tirage du Römerbrie
83
l des mots d’ordre que l’on va répétant, de cette
puissance
de sérieux, de prise au sérieux des situations humaines telles qu’ell
84
ui seule permet un humour souvent rude ; de cette
puissance
critique enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état
85
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
86
rte à lui. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Dans l’homme, le choix peut avoir lieu, effectivemen
87
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
88
une part, et d’autre part la prise de la main, la
puissance
de bouleversement concret. Il semblait que Dandieu incarnait cette im
89
n qu’il incarne et qui est aussi le ressort de sa
puissance
d’imagination concrète, de son acte ? Je me souviens d’avoir été vive
90
echerche humaine. Jamais Dandieu n’y dispersa ses
puissances
d’évaluation novatrice. On en trouvera des marques dans les notices e
91
arxistes. Mais ce qu’il décrit avec une véritable
puissance
, c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique de l’homme.
92
ent pas à eux-mêmes ; comment croiraient-ils à la
puissance
de la personne ? C’est le « prolétariat » personnaliste. On s’occuper
93
e réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
94
a volonté d’être hommes, et sachent s’emparer des
puissances
libératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les bri
95
est pour lui qu’un mythe, dont il met en doute la
puissance
de soulèvement. « On comprend qu’un bourgeois risque sa peau pour la
96
plus fécond et le plus populaire de son pays, une
puissance
sociale et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un ré
97
les outrages divers encourus par l’individu, les
Puissances
anonymes et le Standard seraient en voie de triompher, et ce serait a
98
l’esprit ? « L’esprit, dit Kierkegaard, c’est la
puissance
que le savoir d’un homme exerce sur sa vie.52 » Ce n’est pas le savoi
99
vie.52 » Ce n’est pas le savoir ; ce n’est pas la
puissance
, mais la puissance du savoir en exercice. Il y a bien de la différenc
100
as le savoir ; ce n’est pas la puissance, mais la
puissance
du savoir en exercice. Il y a bien de la différence. Le savoir autono
101
bien de la différence. Le savoir autonome, ou la
puissance
, font décorer celui qui les détient, mais l’exercice effectif du savo
102
sespoir total. Maintenant, tu vas témoigner de la
puissance
que ton savoir exerce sur ta vie. Tu te croyais un moi : témoigne que
103
populaire — n’ait été finalement utilisée par des
puissances
qu’elle avait négligées ou dont elle s’était faite complice. Nous avo
104
communs. L’Ordre, le Bien Public, la Richesse, la
Puissance
nationale, l’Honneur, l’Esprit, l’Amour, la Civilisation, — les lieux
105
utre mesure que l’argent, ce symbole unique de la
puissance
sans visage. Dire que le monde est devenu impensable, c’est avouer qu
106
mains, ou encore à ne rien penser qui n’engage en
puissance
notre être tout entier, corps et âme sans distinction. Apprenons à pe
107
ituel des prix Goncourt —, et qui le dit avec une
puissance
assez austère. ⁂ Six chômeurs allemands, anciens officiers et sous-of
108
atrie, cette image grandit en eux, prend forme et
puissance
, et c’est en elle qu’ils communient, c’est elle seule qui les soutien
109
ce titre, était loin d’évoquer avec une pareille
puissance
. J’ai eu l’occasion de dire, ici même, mon admiration pour les livres
110
tion. » Mais si cet ordre est défini par la seule
puissance
de l’État, nous crions au « fascisme » et à la contre-révolution. Tou
111
Peut-être celui de la valence, c’est-à-dire de la
puissance
de combinaison d’un atome. Mais il nous faut laisser ce modèle mécani
112
matérialisme : il ne nie pas grossièrement notre
puissance
— ce serait une manière de la mieux provoquer — mais glorifiant le su
113
dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre
puissance
. C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définiti
114
qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la
puissance
, la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
115
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
116
a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
117
anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en
puissance
à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
118
mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une
puissance
qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
119
cation sera comme une puissance qui fond sur lui,
puissance
trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
120
’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses
puissances
. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
121
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
122
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
123
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
124
xtension, par la force, d’un principe de soi sans
puissance
: c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
125
n déploiement plus généreux, plus intégral de ses
puissances
. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
126
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
127
ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les
puissances
mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
128
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
129
a volonté d’être hommes, et sachent s’emparer des
puissances
libératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les bri
130
dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre
puissance
. C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définit
131
qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la
puissance
, la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
132
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
133
a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
134
anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en
puissance
à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
135
mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une
puissance
qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
136
cation sera comme une puissance qui fond sur lui,
puissance
trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
137
’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses
puissances
. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
138
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
139
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
140
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
141
xtension, par la force, d’un principe de soi sans
puissance
: c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
142
n déploiement plus généreux, plus intégral de ses
puissances
. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
143
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
144
ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les
puissances
mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
145
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
146
tés et provisoires, de leurs électeurs. Plusieurs
puissances
pratiquent dans le monde d’aujourd’hui de grandes politiques et même
147
intérieure qui corresponde au rôle que les autres
puissances
la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui
148
nceptions nouvelles ou rétrogrades que les autres
puissances
exaltent ? Toutes ces questions sont des questions de vie ou de mort
149
elle. Car c’est ici d’un chiffre que dépendent la
puissance
, et la vertu, et l’invention, et l’amour même. Et ce chiffre n’est pa
150
e banquiers. Il est contre nature que l’amour, la
puissance
, dépendent d’une chose morte, quand leur essence est vie. Or nous voy
151
emporter par trop violemment. C’est à eux que la
puissance
finira par échoir ; elle leur sera confiée, parce qu’ils n’en useront
152
âmes s’indignent lorsque Kierkegaard défend avec
puissance
cette vérité fondamentale. Mais si Nietzsche croit autre chose, s’il
153
comme sur tout cela, par son regard, il exerce sa
puissance
et sa conquête… Et le Zarathoustra ! Une œuvre plus concrète a-t-ell
154
nt en effet les ligueurs ? L’anéantissement de la
puissance
politique de la Réforme. Et que voulaient les calvinistes ? Le libre
155
le roi : « Tout l’État est en lui, en lui est la
puissance
, en lui est la volonté de tout le peuple 26. » C’est cette troisième
156
ques, d’intention manifestement sociale, mais, en
puissance
, destructrices de tout « génie », du sien d’abord. Dans cet aheurteme
157
omme le héros du monde bourgeois. Il incarne à la
puissance
infinie le goût du néant — le refus de la vocation — qui caractériser
158
questions les plus tragiques de l’heure avec une
puissance
dont on cherche en vain l’équivalent dans notre littérature d’après-g
159
’étranger, parce qu’elle a perdu son prestige, sa
puissance
militaire, le droit de parler haut. « Nous avons perdu la guerre, Bel
160
URSS, SFIO, CGT, NSDAP, un monstrueux complexe de
puissances
collectives, de masses électorales, de lois économiques. Un jeu secre
161
, il nous faut perdre l’illusion d’exercer aucune
puissance
. À moins de nous faire journalistes ! L’observation objective du mond
162
auvaise. La forme de ce monde, ce sont toutes les
puissances
que j’énumérais tout à l’heure et qui dominent la cité. C’est le déso
163
est vivant ! Par lui, la forme de ce monde, et sa
puissance
dernière, la mort, sont absolument dominées. C’en est fait ! depuis 1
164
lemagne baptisant les Saxons pour leur prouver la
puissance
de son glaive, et tout accessoirement celle de l’Esprit ; des chevali
165
ès ; voici l’Église puissante et séduisant par sa
puissance
; voici le message de la transformation qui se change en message de l
166
réalistes nous ont donné jusqu’ici. Il y a là une
puissance
de réflexion et de synthèse, dont les ouvrages de Breton illustraient
167
yrique (tout au début) il glorifie la révolte des
puissances
obscures, les crimes gratuits, les enthousiasmes collectifs, l’hystér
168
mots d’ordre populaires, au nom de mystiques sans
puissance
contre les menaces réelles, — qui sont la guerre et l’étatisme totali
169
is de plus, la France va affirmer sa vitalité, sa
puissance
d’assimilation et de création, le génie de ses ouvriers, de ses artis
170
éconcerte le monde, elle consacre le triomphe des
puissances
d’audace ordonnée et de mesure, celles de l’intelligence… C’est dire
171
t douter qu’il ne dût consacrer « le triomphe des
puissances
d’audace ordonnée et de mesure » que le Palais-Bourbon, pour les rais
172
ladite crise ; vu l’existence de la presse et la
puissance
de la publicité ; vu le chômage des intellectuels et ses suites polit
173
que l’on attend de l’homme et de son esprit : la
puissance
de tromper (art inclus) pour jouir, ou la puissance de fixer le vrai
174
issance de tromper (art inclus) pour jouir, ou la
puissance
de fixer le vrai par convention ou décret scientifique, pour agir. (I
175
n de l’homme au temporel. La foi réelle, c’est la
puissance
active de l’Éternel dans ce temps. Cette définition condamne tout mys
176
sespoir, qui consiste à s’imaginer que l’acte est
puissance
de l’homme : d’où l’impossibilité de l’oser. Celui que la foi vint sa
177
l y a tout ce romantisme qui veut que l’acte soit
puissance
et jouissance, il y a ce moi de désir qui veut que l’acte — l’instant
178
un seul élan. Je me souviens aussi de cela : « La
puissance
de gouverner, je l’ai. Mais ce que je cherche, c’est la communion du