1
t d’autres qui tiennent qu’une telle attitude est
responsable
de ces carnages ». Naguère il était des premiers ; il s’affirme aujou
2
qua dans un de ses derniers articles2. Il rendait
responsable
de tout le « mal », le romantisme — et c’est plus que probable. Mais
3
a caractéristique de notre époque. Mais Gide est
responsable
d’une autre méthode de culture de soi, « d’intensification de la vie
4
». Vous reconnaissez que Pierre Girard est un peu
responsable
de cette douceur de vivre. Déjà vous ne niez plus sa drôlerie, son ai
5
i fallait-il accuser de cette duperie, qui rendre
responsable
de ma déception, sinon moi-même, me dis-je bientôt. Car je professe q
6
’esprit et ces mythes stériles, que je les rendis
responsables
de ma perte de contact avec les réalités les plus élémentaires de la
7
ière. Ils ont conscience d’appartenir à une élite
responsable
, cela se voit de loin. Il faut dire que ce ridicule n’échappe pas à c
8
journées… Monsieur, répondent les fonctionnaires
responsables
, vous savez par expérience que nous ne comprenons pas la plaisanterie
9
’esprit et ces mythes stériles, que je les rendis
responsables
de ma perte de contact avec les réalités les plus élémentaires de la
10
ière. Ils ont conscience d’appartenir à une élite
responsable
, cela se voit de loin. Il faut dire que ce ridicule n’échappe pas à c
11
journées… Monsieur, répondent les fonctionnaires
responsables
, vous savez par expérience que nous ne comprenons pas la plaisanterie
12
de ses aspirations et de ses actes ; dans une âme
responsable
de ses contradictions. Sans doute, la psychologie moderne a-t-elle mo
13
ension publique dont nous sommes en grande partie
responsables
? Nous montrons-nous assez soucieux de nous désolidariser de certaine
14
able calvinisme. Or nous n’hésitons plus à rendre
responsable
de cette carence de la poésie et du rayonnement spirituel notre fameu
15
vers les systèmes. La philosophie n’est pas seule
responsable
d’un divorce que la nature humaine désirait de toute sa lâcheté. Mais
16
on optimiste. Ceux donc qui rendent le calvinisme
responsable
du capitalisme commettent une erreur pire que celle qui consisterait
17
i fallait-il accuser de cette duperie, qui rendre
responsable
de ma déception, sinon moi-même, me dis-je bientôt. Car je professe q
18
ente la voient en lui d’abord, l’en tiennent pour
responsable
, et par l’erreur la plus commune, l’en nomment si bien le représentan
19
ple, il est de mon devoir de citoyen conscient et
responsable
d’élever une solennelle protestation contre l’accent de mes compatrio
20
ou de leur quiétude naturelles, et les rend enfin
responsables
dans l’obéissance à la seule force nécessaire ; tout ce qui leur fich
21
illée par une brutalité dont elle est entièrement
responsable
. Droit au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauc
22
« action ». Nous réapprendrons à penser en hommes
responsables
, à penser dans le risque total de l’être, qui est l’acte. Nous penser
23
e, synthèse eudémonique à l’usage d’une masse non
responsable
. Une dialectique sans « médiation » et comportant par suite le risque
24
nonyme sur le personnel, à l’irresponsable sur le
responsable
, à la masse et à l’individu abstrait sur la personne concrète. Machin
25
r, d’autre part, que l’individualisme libéral est
responsable
de l’essor anarchique d’une économie devenue inhumaine, et cela non p
26
tre les hommes, c’est la communauté des personnes
responsables
. Mais la communauté n’est rien de plus que les personnes : elle n’est
27
sure où nous démissionnons de notre rôle d’hommes
responsables
et créateurs. Leur rigueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
28
i historique ou acte personnel ? Irresponsable ou
responsable
? Telle est, je crois, en définitive, la question simple que nous pos
29
tâche qui lui est propre et pour laquelle il est
responsable
. Alors que « l’individu » se balade au gré des théories dans le monde
30
er ce risque. La dignité de l’homme, c’est d’être
responsable
. Le monde actuel est peuplé d’irresponsables. Le « prolétaire » tel q
31
hommes humains. On ne refait un monde qu’avec des
responsables
. 7. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme et les inégalités soci
32
eil romantique. On a coutume d’en rendre Rousseau
responsable
. Mais c’est à ses disciples qu’il faudrait s’en prendre. Rousseau n’a
33
lement ceci : nous voulons que l’homme redevienne
responsable
de son destin particulier. Avoir un destin propre, une vocation, c’es
34
mesure fondamentale cette réalité de la personne
responsable
. Tout notre système en découle, toutes nos revendications s’y rapport
35
ie ; contre l’histoire, il pose l’acte de l’homme
responsable
de son destin. Mais tout cela va au martyre, dans le monde qu’on nous
36
Kierkegaard s’adresse au chrétien, comme au seul
responsable
parmi nous. Il sait bien qu’en tous temps, le malheur de l’époque ne
37
n risque ! D’autant plus personnel, d’autant plus
responsable
, — et d’autant plus profondément enraciné dans la commune condition h
38
distinction. Apprenons à penser comme des hommes
responsables
, non plus comme des amuseurs de salon. Il y aurait quelque chose de n
39
our l’incroyant, c’est la mission dont il se sent
responsable
envers lui-même. f. « Préface à une littérature », Esprit, Paris, n°
40
peu. C’est le surréalisme, en somme, qui demeure
responsable
des premières graves confusions commises depuis la guerre sur le mot
41
et de créer, j’entends, de se poser comme auteur
responsable
de son acte ? Alors qu’elle ne repose que sur l’espoir du faible : qu
42
s question de pensée libre, j’entends : de pensée
responsable
. Mais si l’intelligence, passant outre à son dégoût, accepte le comba
43
morale, empêcheront qu’on les juge trop durement
responsables
. Mais prenons garde de borner notre vision aux proportions du spectac
44
sure où nous démissionnons de notre rôle d’hommes
responsables
et créateurs. Leur rigueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
45
i historique ou acte personnel ? Irresponsable ou
responsable
? Telle est, je crois, en définitive, la question simple que nous pos
46
lle est aux ordres de sa vocation, elle est seule
responsable
de son risque ; surtout, elle se sait plus réelle que toute réalité c
47
tâche qui lui est propre et pour laquelle il est
responsable
. Alors que « l’individu » se balade au gré des théories dans le monde
48
er ce risque. La dignité de l’homme, c’est d’être
responsable
. Le monde actuel est peuplé d’irresponsables. Le « prolétaire » tel q
49
humains. On ne refait un monde qu’avec des hommes
responsables
. 61. Cet article parut d’abord dans L’Ordre nouveau, et l’allusion
50
nos « utopies ». Ou sinon je devrais vous rendre
responsables
de la crise actuelle ? Mais tranquillisez-vous, je n’y songe pas. La
51
is les plus dignes d’être revendiqués par l’homme
responsable
de son activité : ce sont les intérêts de son métier, de son ménage,
52
sses consiste à dissocier ces masses en personnes
responsables
, chacune pour son compte, de postes définis.) Le combat singulier
53
illée par une brutalité dont elle est entièrement
responsable
. Droit au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauc
54
« action ». Nous réapprendrons à penser en hommes
responsables
, à penser dans le risque total de l’être, qui est l’acte. Nous penser
55
s question de pensée libre, j’entends : de pensée
responsable
. Mais si l’intelligence, passant outre à son dégoût, accepte le comba
56
morale, empêcheront qu’on les juge trop durement
responsables
. Mais prenons garde de borner notre vision aux proportions du spectac
57
sure où nous démissionnons de notre rôle d’hommes
responsables
et créateurs. Leur rigueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
58
i historique ou acte personnel ? Irresponsable ou
responsable
? Telle est, je crois, en définitive, la question simple que nous pos
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lle est aux ordres de sa vocation, elle est seule
responsable
de son risque ; surtout, elle se sait plus réelle que toute réalité c
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tâche qui lui est propre et pour laquelle il est
responsable
. Alors que « l’individu » se balade au gré des théories dans le monde
61
er ce risque. La dignité de l’homme, c’est d’être
responsable
. Le monde actuel est peuplé d’irresponsables. Le « prolétaire » tel q
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humains. On ne refait un monde qu’avec des hommes
responsables
. 53. Cet article parut d’abord dans L’Ordre nouveau et l’allusio
63
nos « utopies ». Ou sinon je devrais vous rendre
responsables
de la crise actuelle ? Mais tranquillisez-vous, je n’y songe pas. La
64
is les plus dignes d’être revendiqués par l’homme
responsable
de son activité : ce sont les intérêts de son métier, de son ménage,
65
sses consiste à dissocier ces masses en personnes
responsables
, chacune pour son compte, de postes définis.) Le combat singulier
66
illée par une brutalité dont elle est entièrement
responsable
. Droit au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauc
67
« action ». Nous réapprendrons à penser en hommes
responsables
, à penser dans le risque total de l’être, qui est l’acte. Nous penser
68
e, du moins sait-on que la dictature en est seule
responsable
. La honte n’en retombe pas sur des hommes « libres » !) À lire les re
69
ans l’homme, en tant qu’il est actif, créateur et
responsable
vis-à-vis de la communauté. Elle n’est pas une obligation imposée par
70
t refusaient d’être considérés comme des citoyens
responsables
, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de l’époque : i
71
ose de défendre, c’est elle, précisément, qui est
responsable
de la brutalité totalitaire. On nous propose donc de défendre une mal
72
ale, irresponsable, ne devient pas libératrice et
responsable
du seul fait qu’elle se met « au service » d’une doctrine de lutte po
73
festement trahies par le fascisme stalinien, vrai
responsable
de l’état présent de la Russie. Ensuite, nous ferons observer que Lén
74
onnes assujetties aux ordres de leur vocation, et
responsables
de son exercice, peut sauvegarder naturellement la possibilité, toujo
75
t transmise par des hommes qui refusent de rester
responsables
personnellement de leur activité constitue un obstacle et un principe
76
lée n’est pas une vraie culture ; elle n’est plus
responsable
de son action concrète. Dans un monde de « masses » — soviétiste ou f
77
: sachant à Qui elle obéit ; envers Qui elle est
responsable
. Si l’homme vient en aide à son voisin par son action, par sa pensée
78
nt pénétrante de l’amour. Il ne parvient à rendre
responsables
du prochain ni son amour, ni sa haine, ni sa peur, ni sa joie, ni ses
79
ation française c’est la communauté des personnes
responsables
, conscientes de la mission libératrice de la France. Nous pouvons nou
80
sens et sa portée. Je répugne à rendre Descartes
responsable
de tout le mal qu’ont répandu les cartésiens. Et je sais bien que de
81
’entend, c’est nier en principe que l’esprit soit
responsable
de ce qui se passe dans le monde. C’est affirmer que l’esprit n’est p
82
ationaliste dont la culture du dernier siècle est
responsable
; vu l’intérêt que présenterait pour l’humanité d’aujourd’hui, sans d
83
problème central de notre temps, la culture étant
responsable
de concentrer, d’humaniser et de transmettre les doctrines des clercs
84
dire, qui les dépasse, et personnes parfaitement
responsables
de ce qu’elles ont à donner, qui est à tous. 24. « Pour un Palais
85
ce qui exige une décision prise par une personne
responsable
. 34. « Nous éprouvons une sorte de honte à poser les questions philo
86
t déconcerté. Ce préjugé consiste à rendre Luther
responsable
d’une scission dans la culture et la spiritualité allemandes, scissio
87
isme démodé » de l’instituteur d’Alice, tenu pour
responsable
du cliché. On blâme cet instituteur. Qui va se plaindre à son député.
88
u juste milieu et de la scrupuleuse impartialité,
responsable
à mon sens de tout ce mal qu’on attribue absurdement au calvinisme ?
89
ystématique et inhumaine, qui sont les véritables
responsables
de notre décadence culturelle, — si toutefois l’on n’en considère que
90
’exercice de l’autorité sur place, par des hommes
responsables
et qui savent ce qu’ils font, dans un cadre qui soit à mesure d’homme
91
e, du moins sait-on que la dictature en est seule
responsable
. La honte n’en retombe pas sur des hommes « libres » !) À lire les re
92
ans l’homme, en tant qu’il est actif, créateur et
responsable
vis-à-vis de la communauté. Elle n’est pas une obligation imposée par
93
; enfin que c’est le système capitaliste qui est
responsable
de la crise, et non pas le machinisme et l’électricité. Tous nos lect
94
orales, dont les « intellectuels » m’apparaissent
responsables
pour une part qui n’est pas la moindre : j’essaierai de la mesurer. L
95
est contesté, qui veut que l’esprit soit toujours
responsable
de l’action ; ou sinon tous deux se corrompent. La destruction des li
96
nature et de la société dans les mains de l’homme
responsable
, et dont l’esprit connaît un but auquel il dédie toutes ses œuvres, l
97
bien assez de notre sort pour en être aujourd’hui
responsables
. À la question que je posais tout à l’heure : où trouver le fondement
98
e à une certaine confusion du travailleur réel et
responsable
avec le prolétaire mécanisé, la crise de la pensée, moins visible et
99
vers les systèmes. La philosophie n’est pas seule
responsable
d’un divorce que la nature humaine désire en permanence de toute sa l
100
ce morale, dans tel refus précis dont nous sommes
responsables
aujourd’hui ? L’implication éthique de la serve pensée est seule pass
101
elle, irritante et peut-être féconde. Où sont les
responsables
? Ce ne sont pas des partis, ce ne sont pas des classes, ni des gouve
102
pas de l’esprit créateur, incarné par des hommes
responsables
. La pensée prolétarisée nous a donc menés à ce point — il n’est quest
103
plus humain dans l’homme, la personne libre mais
responsable
…) Un style soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux prudences que l’
104
ersonne. Privation du pouvoir d’être une personne
responsable
, tel est le secret de l’angoisse individuelle et de la révolte des ma
105
tre les hommes, c’est la communauté des personnes
responsables
. Mais la communauté n’est rien de plus que les personnes : elle n’est
106
ui le questionne99. Face à face avec le prochain,
responsable
vis-à-vis de cette apparition concrète, et élémentaire de la communau
107
orales, dont les « intellectuels » m’apparaissent
responsables
pour une part qui n’est pas la moindre : j’essaierai de la mesurer. L
108
ipe même est contesté, qui veut que l’esprit soit
responsable
de l’action ; ou sinon tous deux se corrompent. La destruction des l
109
nature et de la société dans les mains de l’homme
responsable
, et dont l’esprit connaît un but auquel il dédie toutes ses œuvres, o
110
bien assez de notre sort pour en être aujourd’hui
responsables
. À la question que je posais tout à l’heure : où trouver le fondement
111
e à une certaine confusion du travailleur réel et
responsable
avec le prolétaire mécanisé, la crise de la pensée, moins visible et
112
vers les systèmes. La philosophie n’est pas seule
responsable
d’un divorce que la nature humaine désire en permanence de toute sa l
113
ce morale, dans tel refus précis dont nous sommes
responsables
aujourd’hui ? L’implication éthique de la serve pensée est seule pass
114
elle, irritante et peut-être féconde. Où sont les
responsables
? Ce ne sont pas des partis, ce ne sont pas des classes, ni des gouve
115
pas de l’esprit créateur, incarné par des hommes
responsables
. La pensée prolétarisée nous a donc menés à ce point — il n’est quest
116
plus humain dans l’homme, la personne libre mais
responsable
…) Un style soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux prudences que l’
117
ersonne. Privation du pouvoir d’être une personne
responsable
, tel est le secret de l’angoisse individuelle et de la révolte des ma
118
tre les hommes, c’est la communauté des personnes
responsables
. Mais la communauté n’est rien de plus que les personnes : elle n’est
119
i le questionne102. Face à face avec le prochain,
responsable
vis-à-vis de cette apparition concrète et élémentaire de la communaut
120
ersonnellement et confidentiellement au président
responsable
de chaque club qui le communique à ses adhérents. Ceux-ci ne sont pas
121
ratie européenne qu’une telle classe est la vraie
responsable
du cafouillage de 1914. Le héros principal — il y a bien une centaine
122
sol, des exploiteurs, et non plus des protecteurs
responsables
. Sans doute l’évolution générale des conditions de vie tendait-elle à
123
priété abstrait et anonyme à un mode personnel et
responsable
, ou encore, d’un mode matérialiste et tyrannique à un mode spirituel,
124
x écrivains ? On objectera sans doute que le vrai
responsable
, c’est la paresse intellectuelle qui sévit dans toutes les classes et
125
e morale et parfois matérielle, quelqu’un qui est
responsable
de connaître ces gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes, quelq
126
en, en docteur de l’Église fidèle, en prédicateur
responsable
, non plus en philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le libre
127
é son dynamisme créateur : l’opposition du témoin
responsable
et du spectateur détaché. Le point de vue du « clerc pur », celui d’É
128
et moi — écrit-il en 1890 — nous sommes peut-être
responsables
de ce que parfois nos disciples ont insisté plus qu’il ne convenait s
129
(Il n’en fut pas conscient, et pourtant il en est
responsable
, nous reviendrons plus tard sur ce point.) Le peuple — et la bourgeoi
130
rtait de sa voie. Mais il se connaît du même coup
responsable
à l’endroit du monde. Car si le monde s’est livré à l’injustice et au
131
ur sauver quelque bien, mais parce que je me sais
responsable
personnellement du désordre établi. J’agirai par reconnaissance enver
132
nt donc la conception chrétienne de l’homme, seul
responsable
du mal qui est dans le monde, on comprendra que l’état d’esprit marxi
133
un meuble, se fâche contre les choses et les rend
responsables
. Il croit que c’est elles qu’il faut changer. Il bat la table, comme
134
le malheur dont en vérité le péché de chacun est
responsable
. L’observation est juste ; elle est insuffisante. Ce qui explique en
135
nsidèrent comme tel. Les chrétiens sont bien plus
responsables
des succès de Marx auprès des foules, que le marxisme n’est responsab
136
de Marx auprès des foules, que le marxisme n’est
responsable
du déclin des Églises dans le monde moderne. C’est pourquoi les repro
137
ement personnel, un « charisme » dont nous sommes
responsables
. Nous ne pouvons donc pas approuver une forme d’État qui, par définit
138
nnique, il faut qu’elles sachent qu’elles en sont
responsables
, dans la mesure où elles cédèrent, jadis, aux tentations théocratique
139
ialistes », il faut savoir que nous en sommes les
responsables
, dans la mesure où nous cultivons un esprit détaché du réel, une libe
140
spèce dont ils se sentent peut-être, obscurément,
responsables
de par leur prospérité même. (Double « censure » opérée par les passi
141
e morale et parfois matérielle, quelqu’un qui est
responsable
de connaître ces gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes, quelq
142
ature et de la société dans les, mains de l’homme
responsable
, et dont l’esprit connaît un but auquel il dédie toutes ses œuvres, l
143
Bien entendu, il serait absurde de rendre Israël
responsable
de ce qui n’est que « profanations » de la notion de mesure totalitai
144
en, en docteur de l’Église fidèle, en prédicateur
responsable
, non pas en philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le libre a
145
ute seule », que rien ne dépend plus de personnes
responsables
, mais que tout le monde se trouve secrètement impliqué dans une atroc
146
cières avec le Parlement et l’exécutif, collusion
responsable
de la mauvaise marche des administrations publiques, et de cette erre
147
emps de l’ascension bourgeoise ; c’est le citoyen
responsable
de nos démocraties modernes dans la mesure où ces démocraties mériten
148
en Occident fut l’œuvre de ces hommes doublement
responsables
devant leur foi et devant leurs prochains. Cette attitude « personnal
149
t refusaient d’être considérés comme des citoyens
responsables
, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de l’époque : i
150
ose de défendre, c’est elle, précisément, qui est
responsable
de la brutalité totalitaire. On nous propose donc de défendre une mal
151
ale, irresponsable, ne devient pas libératrice et
responsable
du seul fait qu’elle se met « au service » d’une doctrine de lutte po
152
as » brutale qui nous dispense de nous sentir les
responsables
de la cité et de l’État. D’autre part, il nous tente par la promesse
153
mais d’une mission bien définie dont nous sommes
responsables
devant l’Europe. ⁂ Et alors, va-t-on dire, vous êtes contre l’armée ?
154
que nous pourrons devenir des personnes libres et
responsables
. Libres pour obéir à ce qu’elles ont accepté pour vocation, et respon
155
obéir à ce qu’elles ont accepté pour vocation, et
responsables
de cette vocation devant la cité qui les protège. Je ne vous appeller
156
— comme le répètent tant de publicistes — qui est
responsable
de la catastrophe. L’esprit catastrophique de l’Occident n’est pas ch
157
bain tiède où se dissout le moi jadis pécheur et
responsable
. Liquidons Dieu et gardons le fanatisme : voilà ce qu’il faut pour un
158
i qui consiste à reconnaître que nous sommes tous
responsables
de tout ; et que la question sérieuse n’est pas de savoir qui l’est l
159
récit de plusieurs entrevues prolongées avec les
responsables
, qui essaient de les persuader non de la vérité en soi de leur point
160
’exercice de l’autorité sur place, par des hommes
responsables
et qui savent ce qu’ils font, dans un cadre qui soit à mesure d’homme
161
er, c’est toujours s’avouer, c’est se donner pour
responsable
de sa pensée et de ses actes. Mais voilà justement ce qui répugne aux
162
urants. La personne est en nous l’être spirituel,
responsable
d’une vocation, et trouvant là son unité en dépit des contradictions
163
antique voulait s’en évader. Elle nous rend enfin
responsables
vis-à-vis de notre prochain, et c’est à quoi l’on peut reconnaître la
164
, c’est pour exécuter la mission dont nous sommes
responsables
, depuis des siècles, devant l’Europe. D’autres se sont chargés d’arrê
165
ne peuvent s’en repentir, puisqu’ils ne sont pas
responsables
; ils se confessent, mais ne veulent pas guérir, ni même implorer leu
166
ourt de bonnes raisons pour démontrer qu’il n’est
responsable
de rien… Imaginons maintenant le problème qui se posait à l’auteur du
167
prépondérance du destin sur la personne libre et
responsable
. Aimer l’amour plus que l’objet de l’amour, aimer la passion pour ell
168
te. Inférieur en ceci à Béroul il sera le premier
responsable
de la dégradation du mythe. 15. Dans le drame de Wagner, quand le ro