1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 2 février 1926)c M. René Guisan, professeur de théologie à Lausanne et directeur de la Revue de théologie et de philosophie, i
2 théologie à Lausanne et directeur de la Revue de théologie et de philosophie, inaugura lundi soir à l’aula, devant un très nombr
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
3 ui de l’action. M. Cadier montra le conflit de la théologie moderne avec l’action religieuse en s’appuyant sur des expériences fa
4 de la conférence. Puis M. A. Brémond, étudiant en théologie , présenta deux ouvriers de Paris, Clerville et Janson, dont il a eu l
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
5 ralisme, traître à ses origines, et vidé de toute théologie efficace. Peut-être vaut-il la peine de préciser ici et de pousser da
6 fondes : Milton. Mais le moralisme détendu que la théologie libérale prétendit conserver, fut bientôt réduit au rôle d’une censur
7 . Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa théologie . Car il est certains cas où celui qui craint de dire toute la vérité
8 alisme se développer précisément à l’époque où la théologie de Calvin, pessimiste quant à l’homme, mais confiante dans la grâce,
9 l est permis d’attendre de la violence même d’une théologie du Dieu Tout-Puissant qu’elle suscite de nouveaux psaumes36, qu’elle
4 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
10 remarquer « que l’on n’est pas ici pour parler de théologie et de subtile philosophie ». André Philip, défenseur de Martin, lui r
11 sans violence : « C’est faux ! Vous faites de la théologie , et vous ne faites même que cela ; c’est une tout autre théologie que
12 us ne faites même que cela ; c’est une tout autre théologie que la chrétienne, simplement. C’est la théologie païenne par excelle
13 théologie que la chrétienne, simplement. C’est la théologie païenne par excellence, celle de l’État-Dieu, qui veut l’obéissance a
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
14 eur riche.) Suivent mon grand-père, professeur de théologie , et mon père, pasteur. Cela fait, au début et à la fin, pas mal de ro
15 de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie qui furent traduits dans toute l’Europe, et qui le firent appeler par
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
16 n’est plus enseignée ni connue. L’histoire et la théologie fuient le discours, ignorent le style. Entendrons-nous un jour quelqu
7 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
17 ches de possibilité. On a souvent reproché à la «  théologie dialectique » de Karl Barth et de ses amis de justifier une sorte de
18 e Gogarten, de Brunner et de de Quervain sur la «  théologie politique » fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus
19 trouvera guère d’écho à l’effort critique de la «  théologie politique » allemande que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nu
8 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
20 aient à César. Entraînée dans cette politique, la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
21 conversion. 1. L’Église « corps du Christ », en théologie  ; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
9 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
22 istentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de la philosophie allemande contemporaines1 ? L’une des caractéris
10 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
23 cielles appréciations portées ici ou là contre la théologie dialectique incriminée de pessimisme romantique, de recours abusif au
24 it que ce brave homme s’effare, et vitupère une «  théologie  » pareillement inconfortable, dont, au surplus, il n’est plus possibl
25 avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ici d’opération réelle que
11 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
26 s de le définir, et le Saint-Esprit dont parle la théologie , réalité qui, pour le chrétien, reste d’un ordre radicalement hétérog
12 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
27 humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)a La théologie chrétienne a-t-elle pour tâche de rendre acceptable le message de l’É
28 aient, dans tout cela, les belles synthèses de la théologie libérale ? L’arrière-plan de bourgeoisie et d’optimisme culturel sur
29 une pensée à ce point hostile à tout système. La théologie de Barth se donne en effet pour une simple « note marginale » à tous
30 l’a nommée, avec une sobriété peu rassurante, une théologie du correctif. Disons tout de suite que les corrections qu’elle apport
31 ut. On a coutume de nommer la pensée de Barth une théologie de la crise, une théologie dialectique. Elle est surtout et avant tou
32 la pensée de Barth une théologie de la crise, une théologie dialectique. Elle est surtout et avant tout cela une théologie de la
33 lectique. Elle est surtout et avant tout cela une théologie de la parole de Dieu. Insuffisance radicale de l’humanisme, du piétis
34 desquels s’organisent ces essais. Est-ce là de la théologie  ? C’est plutôt une réflexion puissante et intrépide sur les possibili
35 héologique. Barth compare à plusieurs reprises la théologie à cette étrange main de Jean Baptiste dans la Crucifixion de Grünewal
36 te main énorme qui désigne le Christ en croix. La théologie n’est pas la parole. Elle ne peut que l’indiquer au-delà d’elle-même.
37 ivait-on à ce propos dans un récent article1 — la théologie dialectique de Barth à laquelle on reproche (comme à ceux de Port-Roy
13 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
38 de logisticiens ; et pendant ce temps, c’est à la théologie que nous irons demander de la pensée, c’est-à-dire de la pensée créat
39 nant aux siècles passés » (p. 14), à propos d’une théologie dont le travail systématique consiste précisément à rejeter toutes le
40 et meurtrière. 4. Il me semble que la tâche de la théologie protestante à l’heure actuelle est de dégager, dans un esprit de libr
14 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
41 t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie , scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
42 Nous trouverons les meilleurs exemples de cette théologie dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
15 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
43 qui est l’angoisse même. Est-ce pur hasard si la théologie chrétienne rend compte de presque toutes les situations de ce livre ?
16 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
44 estante ». Je croirais davantage à la vertu d’une théologie fidèle à la Réforme. Mais, justement, cette théologie nous ordonne d’
45 logie fidèle à la Réforme. Mais, justement, cette théologie nous ordonne d’agir, et de nous engager. N’attendons pas que d’autres
17 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
46 e reconstituer l’« appareil » dogmatique dont une théologie ou une absence de théologie également orgueilleuses ont cruellement p
47 » dogmatique dont une théologie ou une absence de théologie également orgueilleuses ont cruellement privé tant de chrétiens de bo
18 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
48 n’étonna personne. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie , ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il
49 ce n’est pas assez que de se refuser à parler de théologie sous prétexte que c’est abstrait : encore faudrait-il se garder de vi
50 trait : encore faudrait-il se garder de vivre une théologie équivoque. À quoi les membres du Mouvement des Groupes peuvent répond
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
51 ist de l’Évangile. Il avait terminé les études de théologie , mais il ne fut jamais pasteur. Il lui arriva pourtant de prêcher, et
52 ers, procède de sa philosophie de l’existence. La théologie barthienne se réclame de sa thèse principale : « Il y a une différenc
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
53 s ou sociologiques sont comme une inversion de la théologie , sont une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et
54 ont comme une inversion de la théologie, sont une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel59 trouve i
55 Hegel domine le marxisme et les fascismes, et la théologie des sociologues, des historiens, des clercs bourgeois. Comment lui éc
21 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
56 histoire d’une religion dans la perspective de sa théologie  ; le rappel constant du dogme suffirait, dans le cas de l’Église prot
57 de Calvin. John Viénot, pasteur et professeur de théologie , a réussi le tour de force de parler de la Réforme d’une manière si o
22 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
58 t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie , scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
59 . Nous trouverons les meilleurs exemples de cette théologie dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
23 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
60 x seules lois que lui révèle la science, nouvelle théologie . Elle tend à rendre les hommes interchangeables, parce que sans vocat
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
61 aient à César. Entraînée dans cette politique, la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
62 v et Dulot. 31. L’Église « corps du Christ », en théologie  ; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
25 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
63 istentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de la philosophie allemandes contemporaines ?40 L’une des caracté
26 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
64 prophétique. Il existe, dira Karl Barth, dont la théologie procède ici de Kierkegaard, « une différence qualitative infinie » en
27 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
65 t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie , scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
66 . Nous trouverons les meilleurs exemples de cette théologie dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
28 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
67 x seules lois que lui révèle la science, nouvelle théologie . Elle tend à rendre les hommes interchangeables, parce que sans vocat
29 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
68 aient à César. Entraînée dans cette politique, la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
69 v et Dulot. 24. L’Église « corps du Christ », en théologie  ; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
30 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
70 istentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de la philosophie allemandes contemporaines ?33 L’une des caracté
31 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
71 e à la cité en faisant de la philosophie et de la théologie pures. 4. Mais — la politique est à nos yeux toute autre chose que c
32 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
72 n de M. Bolle. ⁂ Le sens historique n’est qu’une théologie masquée : “nous atteindrons un jour des buts magnifiques”. Un but fin
73 ients de ce paganisme nouveau ont adopté sa vraie théologie  : la dialectique historique de Karl Marx. En vertu de cet acte de foi
74 moral » qui empêche, en particulier, une certaine théologie libérale de reconnaître que le Dieu de la Bible — ancien et nouveau T
33 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
75 ion et l’entendement. La Parole est l’objet de la théologie , la vision est le monde de la physionomie23. Je crois bien que le psy
76 de la vision. Comment expliquer autrement que la théologie des scolastiques ait pu s’attarder à débattre des questions aussi vai
34 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
77 dessus le temps, avec ce Jésus-homme si cher à la théologie moderniste (de Lessing à Fosdick), si cher aux historiens, aux psycho
78 ssible, dès que la vigilance critique d’une sobre théologie se relâche. ⁂ Nous ne sortirons jamais une fois pour toutes d’une tel
79 nsacre à ce problème. Mais faut-il le redire ? La théologie n’est pas là pour résoudre concrètement nos problèmes. Elle a pour bu
35 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
80 l’ignorez pas — c’est cet illustre professeur de théologie dogmatique dont l’esprit de répartie et la finesse à distinguer chez
81 égarée vers la politique, au dessert, revint à la théologie avec les premières tasses de café. Un étudiant feuilletait un gros ou
82 qui exigez cette expérience unique, au nom d’une théologie … Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous reproche de dire sans n
83 it bien su les reconnaître. C’était conforme à sa théologie , on pouvait se risquer à discuter avec cet homme de nuit, quand il ne
84 d nous condamnons Nicodème au nom d’une meilleure théologie , faisons-nous autre chose que lui ? Sommes-nous contemporains du Chri
36 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
85 ul, éclairé par l’Esprit, reste la norme de toute théologie , fût-elle la plus orthodoxe. Barth, on le sait, ne se lasse pas de co
37 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
86 ne pourra l’ignorer longtemps, l’astrologie et la théologie . Un grand souci paraît dans toute son œuvre : il veut être clair, et
38 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
87 me à la probité historique et plus fécond pour la théologie de mettre en regard du catholicisme romain le protestantisme tout ent
88 l’effort perpétuel et d’ailleurs émouvant de leur théologie est de combler tant bien que mal tous les abîmes : ceux qui séparent
89 ort écouté, dont les travaux marient avec aisance théologie et humanisme, il me répondit simplement : « Bossuet ne saurait être t
39 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
90 tée de tous, sans l’affaiblir ni la fausser, la «  théologie  » chrétienne la plus authentique. Le style est direct, l’emploi de la
40 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
91 iques ». S’il m’est permis de faire ici un peu de théologie et un peu de logique, je demanderai à M. Benda : 1° si les « docteurs
92 ansformer en vérité. Mission que l’Évangile et la théologie résument par le seul mot de Rédemption, et que certains antichrétiens
41 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
93 nous a retraduit quelques passages — où toute une théologie s’exprime entièrement par des choses (s’agît-il du profond mystère de
42 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
94 e à la cité en faisant de la philosophie et de la théologie pures. En résumé : si la politique n’est que ce qu’elle est actuellem
43 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
95 ’école de Barth, tout au contraire, le rôle de la théologie sera purement et simplement de critiquer, au sein de l’Église, la pré
44 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
96 , et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la théologie , qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
45 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
97 , une philosophie, et la recherche au moins d’une théologie . Tout cela, qui n’est pas exprimé mais voilé et seulement trahi par c
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
98 evenue propriétaire, ce qu’il lui faut, c’est une théologie qui légitime devant l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la
47 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
99 du Moyen Âge ait jamais été dominé par une seule théologie . Les doctrines de Thomas d’Aquin, à l’apogée du xiiie siècle, sont c
100 ance. Et pourtant, ce que l’on ne peut dire d’une théologie catholique, on peut et on doit l’affirmer de la théologie en général.
101 e catholique, on peut et on doit l’affirmer de la théologie en général. Elle fut bien le sous-entendu que les clercs et le siècle
48 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
102 ) et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la théologie , qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
49 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
103 anentisme déclaré ou confus qui caractérise cette théologie . Le cas de la science est évident : il n’est de science « moderne » q
104 icalement à l’esprit des grandes métaphysiques et théologies traditionnelles, jusqu’à Kant non compris, qui cherchaient, elles, à
105 de l’abandon de toute liberté créatrice. 74. La théologie chrétienne du xixe siècle, surtout la protestante, ne reste pas à l’
50 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
106 evenue propriétaire, ce qu’il lui faut, c’est une théologie qui légitime devant l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la
51 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
107 du Moyen Âge ait jamais été dominé par une seule théologie . Les doctrines de Thomas d’Aquin, à l’apogée du xiiie siècle, sont c
108 ance. Et pourtant, ce que l’on ne peut dire d’une théologie catholique, on peut et on doit l’affirmer de la théologie en général.
109 e catholique, on peut et on doit l’affirmer de la théologie en général. Elle fut bien le sous-entendu que les clercs et le siècle
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
110 ) et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la théologie , qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
53 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
111 anentisme déclaré ou confus qui caractérise cette théologie . Le cas de la science est évident : il n’est de science « moderne » q
112 icalement à l’esprit des grandes métaphysiques et théologies traditionnelles, jusqu’à Kant, qui cherchaient, elles, à voir quelque
113 de l’abandon de toute liberté créatrice. 76. La théologie chrétienne du xixe siècle, surtout la protestante, ne reste pas à l’
54 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
114 s, l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, la théologie  ; le siècle de Louis XIV, la raison d’État incarnée par le roi ; et n
55 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
115 de l’Église dans les trois Facultés françaises de théologie protestante. Il n’en reste pas moins que l’ignorance ou la méconnaiss
56 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
116 me ne peut être écarté comme relevant de la seule théologie . Il est au cœur de la pensée humaine. Tout homme qui veut penser son
57 1937, Articles divers (1936-1938). « Subjectivité et transcendance », Lettre de M. Denis de Rougemont (décembre 1937)
117 ou veulent-ils — que la philosophie se purifie de théologie  ? La théologie vaut bien la science. C’est même une science bien moin
118 — que la philosophie se purifie de théologie ? La théologie vaut bien la science. C’est même une science bien moins variable que
58 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
119 ue chrétienne, déduite une fois pour toutes de la théologie . Mais je crois que le christianisme, aussitôt qu’il se manifeste en v
120 a Personne vivante de Jésus-Christ, et non pas la théologie , simple autocritique de l’Église et du message que l’on prêche dans l
59 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
121 iste, l’exemple d’Israël et de sa chute. Toute la théologie éthique de Calvin est centrée sur la vocation : vocation du « petit t
122 e la Révélation. C’est un grand lieu commun de la théologie réformée que de voir dans l’Ancien Testament l’histoire du Christ ava
60 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
123 de l’Église dans les trois facultés françaises de théologie protestante. Il n’en reste pas moins que l’ignorance ou la méconnaiss
61 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
124 ns généreux. À 27 ans, il terminait ses études de théologie , et se fiançait avec une jeune fille de 18 ans, Régine Olsen. Tout le
62 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
125 onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la théologie en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
63 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
126 e confession de foi inspirée par Karl Barth et la théologie dialectique, l’ensemble des chrétiens luthériens et calvinistes qui r
64 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
127 s’il est vrai qu’il encombre une bonne part de la théologie , surtout catholique. Tout cela, je le crains, relève d’un malentendu,
65 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
128 la géographie à l’acuponcture, de la musique à la théologie , à l’agriculture, à l’obstétrique, à la vénerie, à l’orfèvrerie, à la
66 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
129 bien plutôt, s’il faut une étiquette, un livre de théologie morale, et c’est sur ce terrain que je puis le défendre. Malgré toute
67 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
130 élard répondit assez mal à cette passion. Mais sa théologie , fort hérétique, se rapproche sur des points essentiels de la doctrin
68 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
131 onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la théologie en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
69 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
132 tois Dans un appendice à son beau livre sur la Théologie mystique de saint Bernard (Paris, 1934, p. 193 à 216), M. Étienne Gil
70 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
133 inie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notre histoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur va
134 à, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la théologie réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine réformée de
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
135 dours, sa morale de l’hommage et du service, sa «  théologie  » et ses disputes théologiques, ses « initiés », les troubadours, et
136 ière enfin, où les passions « religieuses » et la théologie n’occupaient tout de même pas le plus clair de la vie, et n’avaient t
72 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
137 élard répondit assez mal à cette passion. Mais sa théologie , fort hérétique, se rapproche sur des points essentiels de la doctrin
73 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
138 onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la théologie en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
139 dours, sa morale de l’hommage et du service, sa «  théologie  » et ses disputes théologiques, ses « initiés », les troubadours, et
140 ière enfin, où les passions « religieuses » et la théologie n’occupaient tout de même pas le plus clair de la vie, et n’avaient t
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
141 élard répondit assez mal à cette passion. Mais sa théologie , fort hérétique, se rapproche sur des points essentiels de la doctrin
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
142 onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la théologie en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
143 tois Dans un appendice à son beau livre sur la Théologie mystique de saint Bernard (Paris, 1934, p. 193 à 216), M. Étienne Gil
78 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
144 dans ses plus minutieux détails. Au Moyen Âge, la théologie . Dans toutes ces civilisations, l’action obéissait spontanément aux m
145 aujourd’hui que la Loi des Juifs, le droit et la théologie sont méprisés ou ignorés, maintenant que tout, dans le monde, échappe
146 , mais pour certains, c’est le Saint-Esprit de la théologie , pour d’autres, c’est la raison humaine ou l’ensemble de la culture.
147 ots ? En d’autres temps, c’étaient l’Église et la théologie qui s’en chargeaient. Puis ce furent les écrivains. Mais que peuvent-
148 es pourvoyeuses de lieux communs pour la cité. La théologie médiévale, par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à
79 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
149 t quelques variantes personnelles, au gré de leur théologie ou de leur conception du style. Or justement, la valeur liturgique d’
80 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
150 inie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notre histoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur va
151 à, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la théologie réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine réformée de
81 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
152 dans ses plus minutieux détails. Au Moyen âge, la théologie . Dans toutes ces civilisations, l’action obéissait spontanément aux m
153 aujourd’hui que la Loi des Juifs, le droit et la théologie sont méprisés ou ignorés, maintenant que tout, dans le monde, échappe
154 , mais pour certains, c’est le Saint-Esprit de la théologie , pour d’autres, c’est la raison humaine, ou l’ensemble de la culture.
155 ots ? En d’autres temps, c’étaient l’Église et la théologie qui s’en chargeaient. Puis ce furent les écrivains. Mais que peuvent-
156 es pourvoyeuses de lieux communs pour la cité. La théologie médiévale, par les sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à
82 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
157 inie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notre histoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur va
158 à, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la théologie réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine réformée de
83 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
159 s à une soirée chez un professeur du Séminaire de théologie protestante de New York : j’y trouve d’autres professeurs et des étud
160 crivains d’« avant-garde »… Et ces professeurs de théologie n’hésitent pas à collaborer aux magazines politiques à gros tirages q
84 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
161 est-il devenu souffrance ? Dans le langage de la théologie , il est aisé de définir le point : c’est à l’instant où la passion tr
85 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
162 gien Mais tout cela, pensera-t-on, c’est de la théologie . Je connais peu d’occupations plus décriées dans notre siècle, peu de
163 , des prises de position théologiques. Ignorer la théologie , c’est rompre avec la tradition la plus féconde de la culture occiden
164 , par exemple. Mais un peu plus de belle et bonne théologie nous sauvait bientôt du sophisme, tandis qu’à coup sûr nous sommes pr
165 exemple, et les doctrines qu’on pourrait baptiser théologies de l’eritis sicut dii, créées par quelques-uns des mystiques les plus
166 réjugé de l’homme moderne, qui ne sait rien de la théologie , croit pouvoir s’en passer, mais ne se prive point d’en faire sans le
167 est-il devenu souffrance ? Dans le langage de la théologie , il est aisé de définir le point : c’est à l’instant où la passion tr
86 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
168 ologien Mais tout cela, dira-t-on, c’est de la théologie . Je connais peu d’occupations plus décriées dans notre siècle, peu de
169 , des prises de position théologiques. Ignorer la théologie , c’est rompre avec la tradition la plus féconde de la culture occiden
170 , par exemple. Mais un peu plus de belle et bonne théologie nous sauvait bientôt du sophisme, tandis qu’à coup sûr nous sommes pr
171 exemple, et les doctrines qu’on pourrait baptiser théologies de l’eritis sicut dii, créées par quelques-uns des mystiques les plus
172 réjugé de l’homme moderne, qui ne sait rien de la théologie , croit pouvoir s’en passer, mais ne se prive point d’en faire sans le
173 est-il devenu souffrance ? Dans le langage de la théologie , il est aisé de définir le point : c’est à l’instant où la passion tr
87 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
174 rd’hui un des meilleurs interprètes laïques d’une théologie protestante constructive. Sous le titre “Les tours du diable”, nous s
88 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
175 ist de l’Évangile. Il avait terminé ses études de théologie , mais il ne fut jamais pasteur. Il lui arriva pourtant de prêcher, et
176 , procède de sa définition de l’« existence ». La théologie barthienne se réclame de sa thèse principale : l’affirmation d’une « 
177 ou sociologiques, sont comme une inversion de la théologie , — une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de
178 , sont comme une inversion de la théologie, — une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel trouve ici
89 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
179 tions religieuses, et la recherche au moins d’une théologie . Tout cela, non pas exprimé, mais voilé et seulement trahi par certai
180 poser cette question : — Est-ce pur hasard si la théologie chrétienne rend compte de presque toutes les situations de ce livre ?
90 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
181 z nous a traduit quelques passages — où toute une théologie s’exprime entièrement par des choses, s’agît-il même du profond mystè
91 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
182 souligner, précisément à propos de Claudel que sa théologie thomiste entraîne parfois dans de graves équivoques. Nulle magie, nul
92 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
183 doit être fondée sur une doctrine ferme, sur une théologie qui soit en même temps rigoureuse et vitale à l’intérieur de l’Église
184 ale à l’intérieur de l’Église. Une Église dont la théologie est vague n’a plus rien à dire dans le domaine de la culture. Une tel
185 e la Charte de l’Atlantique qui n’émane pas d’une théologie , ni même directement du christianisme. Elle peut se rallier à une att
186 ra de poids que si elle parle au nom de sa propre théologie , et en rattachant ce qu’elle dit de la façon la plus directe à cette
187 e qu’elle dit de la façon la plus directe à cette théologie . C’est ainsi que l’Église catholique romaine fut à la tête du mouveme
188 vaste mouvement culturel. Plus tard, lorsque les théologies romaines et réformées s’atrophièrent, elles n’osèrent plus, ni ne pur
189 cela était compatible avec sa foi. Car en fait la théologie avait cessé d’être vivante, précise et exigeante, et donc source d’in
190 s. Car toute la culture occidentale est née de la théologie et de la liturgie chrétienne ; soit en se soumettant au code chrétien
191 souci de rattacher tout travail de culture à une théologie stricte a entièrement disparu — en raison du manque de stricte théolo
192 ièrement disparu — en raison du manque de stricte théologie . L’Église romaine a mieux retenu les forces de création intellectuell
193 la mesure où elles interviendront au nom de leur théologie . Elles auront autorité si elles se montrent exigeantes au lieu de se
194 on : le principe fondamental Pour passer de la théologie d’une Église à des applications sociales, culturelles, politiques ou
195 tains principes ou stades intermédiaires entre la théologie et les éthiques. La catégorie intermédiaire qui paraît la plus fécond
196 on. Elle condamnera, par conséquent, au nom de la théologie , les grandes machines bureaucratiques dans lesquelles les individus s
93 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
197 écente »… Sur quoi, l’Européen frotté d’un peu de théologie va s’écrier que dans cet idéal, il ne voit rien de chrétien que l’éti
94 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
198 re hiérarchie. Notre thèse étant la suivante : La théologie de l’œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’applic
199 pplication est une politique du fédéralisme. 1. Théologie de l’œcuménisme Écartons d’abord le malentendu que pourrait suggér
200 rer ce titre : nous ne voulons pas parler d’une «  théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrin
201 e « théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrine nouvelle qui risquerait de n’être compatible
202 i risquerait de n’être compatible avec aucune des théologies existantes. Ce qui nous intéresse ici, c’est la doctrine concernant l
203 notre entreprise. Le principal est celui-ci : la théologie de l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’union des chréti
204 i ce que nous devons affirmer dès maintenant : la théologie de l’œcuménisme considère que la diversité des vocations divines n’es
205 e d’ailleurs, doit être au moins rappelé ici : la théologie de l’œcuménisme ne vise pas à démanteler les orthodoxies existantes,
206 du tout et les droits des parties. De même que la théologie de l’œcuménisme prévient d’une part l’orthodoxie fermée, d’autre part
207 r maintenant les implications politiques de cette théologie et de cette philosophie. 3. Politique du fédéralisme Nous en av
208 cessairement tout effort fédératif sérieux. 2. La théologie de l’œcuménisme, et la philosophie de la personne qu’elle implique, s
209 l’on se propose de combattre !) D’autre part, la théologie de l’œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules base
210 antinomie individu isolé-masse militarisée. 5. La théologie de l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du féd
211 ns idéologie. Mais point d’idéologie valable sans théologie . Et point de théologie efficace sans le soutien d’une catholicité rée
212 t d’idéologie valable sans théologie. Et point de théologie efficace sans le soutien d’une catholicité réelle, d’une communauté h
95 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
213 Théologie et littérature (1946)b 1. Il faut tenir la théologie chrétienne po
214 gie et littérature (1946)b 1. Il faut tenir la théologie chrétienne pour la mère de la pensée occidentale, de même que l’Églis
215 e filiation entre nos disciplines de pensée et la théologie , pour être moins généralement reconnu, n’en est pas moins étroit ni m
216 s où la philosophie n’était que la servante de la théologie , ses efforts d’émancipation les plus violents, et même couronnés de s
217 l’ignorer comme Dewey. 3. Les rapports entre la théologie et la littérature ne sont pas aussi clairs, ni aussi facilement défin
218 et pour l’élite en général ? Il est clair que la théologie n’a pas besoin de la littérature et peut s’en désintéresser sans gran
219 la littérature puisse se passer impunément de la théologie . Et il est bien certain que lorsqu’elle s’en passe, les effets s’en f
220 ù sont les écrivains modernes des rudiments de la théologie a pour conséquence immédiate qu’ils se condamnent à découvrir, tous l
221 oi de la nécessité de rétablir des ponts entre la théologie et les lettres vivantes, je soumets à titre d’exemples et sans nul or
222 lite active et les « milieux d’Église » ? 7. Une théologie orthodoxe (je ne dis pas sclérosée) favorise, soutient et nourrit des
223 rrit des œuvres de style classique, tandis qu’une théologie libérale se lie aux mouvements romantiques. C’est que l’écrivain rom
224 soupçonne les romantiques d’avoir cherché dans la théologie de leur époque et sous le nom de liberté, de coûteuses licences intel
225 ire, si profane qu’en soit le sujet, implique une théologie (fût-ce à l’insu de son auteur), et qu’elle l’exprime par les mouveme
226 nante que par son argumentation. Expliciter cette théologie serait rendre un service important aux auteurs non moins qu’au public
227 omaine que j’espérais simplement désigner. b. «  Théologie et littérature », Hommage et reconnaissance : recueil de travaux publ
96 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
228 l’une des meilleures têtes du pays. Professeur de théologie , socialiste militant, polémiste sérieux et sarcastique, il mène campa
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
229 tudes quelque peu provocantes d’un néophyte de la théologie dialectique, connue en France par de rares initiés. (De l’un d’eux, P
230 ts d’une doctrine que ma récente découverte de la théologie barthienne me préparait à accueillir comme une expression adéquate de
231 consacrés à la défense et à l’illustration d’une théologie dialectique et d’une philosophie existentielle dans la lignée de Kier
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
232 e confession de foi inspirée par Karl Barth et la théologie dialectique, l’ensemble des chrétiens luthériens et calvinistes qui r
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
233 l’une des meilleures têtes du pays. Professeur de théologie , socialiste militant, polémiste sérieux et sarcastique, il mène campa
234 catholique pour la liturgie et protestant par sa théologie fortement inspirée de Kierkegaard. Il m’a proposé ce soir de fonder a
100 1947, Carrefour, articles (1945–1947). L’art dirigé [Réponse à une enquête] (23 janvier 1947)
235 une « idéologie » ou pour mieux dire exprime une théologie et une métaphysique, qu’on le veuille et le sache, ou non. Je pense q
236 ssi stériles pour l’artiste que fureur féconde la théologie au Moyen Âge, la métaphysique au temps du romantisme allemand. En fai