1
2 février 1926)c M. René Guisan, professeur de
théologie
à Lausanne et directeur de la Revue de théologie et de philosophie, i
2
théologie à Lausanne et directeur de la Revue de
théologie
et de philosophie, inaugura lundi soir à l’aula, devant un très nombr
3
ui de l’action. M. Cadier montra le conflit de la
théologie
moderne avec l’action religieuse en s’appuyant sur des expériences fa
4
de la conférence. Puis M. A. Brémond, étudiant en
théologie
, présenta deux ouvriers de Paris, Clerville et Janson, dont il a eu l
5
ralisme, traître à ses origines, et vidé de toute
théologie
efficace. Peut-être vaut-il la peine de préciser ici et de pousser da
6
fondes : Milton. Mais le moralisme détendu que la
théologie
libérale prétendit conserver, fut bientôt réduit au rôle d’une censur
7
. Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa
théologie
. Car il est certains cas où celui qui craint de dire toute la vérité
8
alisme se développer précisément à l’époque où la
théologie
de Calvin, pessimiste quant à l’homme, mais confiante dans la grâce,
9
l est permis d’attendre de la violence même d’une
théologie
du Dieu Tout-Puissant qu’elle suscite de nouveaux psaumes36, qu’elle
10
remarquer « que l’on n’est pas ici pour parler de
théologie
et de subtile philosophie ». André Philip, défenseur de Martin, lui r
11
sans violence : « C’est faux ! Vous faites de la
théologie
, et vous ne faites même que cela ; c’est une tout autre théologie que
12
us ne faites même que cela ; c’est une tout autre
théologie
que la chrétienne, simplement. C’est la théologie païenne par excelle
13
théologie que la chrétienne, simplement. C’est la
théologie
païenne par excellence, celle de l’État-Dieu, qui veut l’obéissance a
14
eur riche.) Suivent mon grand-père, professeur de
théologie
, et mon père, pasteur. Cela fait, au début et à la fin, pas mal de ro
15
de vingt traités sur la morale, la liturgie et la
théologie
qui furent traduits dans toute l’Europe, et qui le firent appeler par
16
n’est plus enseignée ni connue. L’histoire et la
théologie
fuient le discours, ignorent le style. Entendrons-nous un jour quelqu
17
ches de possibilité. On a souvent reproché à la «
théologie
dialectique » de Karl Barth et de ses amis de justifier une sorte de
18
e Gogarten, de Brunner et de de Quervain sur la «
théologie
politique » fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus
19
trouvera guère d’écho à l’effort critique de la «
théologie
politique » allemande que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nu
20
aient à César. Entraînée dans cette politique, la
théologie
se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
21
conversion. 1. L’Église « corps du Christ », en
théologie
; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
22
istentielle — pour employer un terme favori de la
théologie
et de la philosophie allemande contemporaines1 ? L’une des caractéris
23
cielles appréciations portées ici ou là contre la
théologie
dialectique incriminée de pessimisme romantique, de recours abusif au
24
it que ce brave homme s’effare, et vitupère une «
théologie
» pareillement inconfortable, dont, au surplus, il n’est plus possibl
25
avec l’acte, le risque et le choix dont parle la
théologie
dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ici d’opération réelle que
26
s de le définir, et le Saint-Esprit dont parle la
théologie
, réalité qui, pour le chrétien, reste d’un ordre radicalement hétérog
27
humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)a La
théologie
chrétienne a-t-elle pour tâche de rendre acceptable le message de l’É
28
aient, dans tout cela, les belles synthèses de la
théologie
libérale ? L’arrière-plan de bourgeoisie et d’optimisme culturel sur
29
une pensée à ce point hostile à tout système. La
théologie
de Barth se donne en effet pour une simple « note marginale » à tous
30
l’a nommée, avec une sobriété peu rassurante, une
théologie
du correctif. Disons tout de suite que les corrections qu’elle apport
31
ut. On a coutume de nommer la pensée de Barth une
théologie
de la crise, une théologie dialectique. Elle est surtout et avant tou
32
la pensée de Barth une théologie de la crise, une
théologie
dialectique. Elle est surtout et avant tout cela une théologie de la
33
lectique. Elle est surtout et avant tout cela une
théologie
de la parole de Dieu. Insuffisance radicale de l’humanisme, du piétis
34
desquels s’organisent ces essais. Est-ce là de la
théologie
? C’est plutôt une réflexion puissante et intrépide sur les possibili
35
héologique. Barth compare à plusieurs reprises la
théologie
à cette étrange main de Jean Baptiste dans la Crucifixion de Grünewal
36
te main énorme qui désigne le Christ en croix. La
théologie
n’est pas la parole. Elle ne peut que l’indiquer au-delà d’elle-même.
37
ivait-on à ce propos dans un récent article1 — la
théologie
dialectique de Barth à laquelle on reproche (comme à ceux de Port-Roy
38
de logisticiens ; et pendant ce temps, c’est à la
théologie
que nous irons demander de la pensée, c’est-à-dire de la pensée créat
39
nant aux siècles passés » (p. 14), à propos d’une
théologie
dont le travail systématique consiste précisément à rejeter toutes le
40
et meurtrière. 4. Il me semble que la tâche de la
théologie
protestante à l’heure actuelle est de dégager, dans un esprit de libr
41
t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur
théologie
, scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
42
Nous trouverons les meilleurs exemples de cette
théologie
dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
43
qui est l’angoisse même. Est-ce pur hasard si la
théologie
chrétienne rend compte de presque toutes les situations de ce livre ?
44
estante ». Je croirais davantage à la vertu d’une
théologie
fidèle à la Réforme. Mais, justement, cette théologie nous ordonne d’
45
logie fidèle à la Réforme. Mais, justement, cette
théologie
nous ordonne d’agir, et de nous engager. N’attendons pas que d’autres
46
e reconstituer l’« appareil » dogmatique dont une
théologie
ou une absence de théologie également orgueilleuses ont cruellement p
47
» dogmatique dont une théologie ou une absence de
théologie
également orgueilleuses ont cruellement privé tant de chrétiens de bo
48
n’étonna personne. De quoi s’agissait-il ? Ni de
théologie
, ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il
49
ce n’est pas assez que de se refuser à parler de
théologie
sous prétexte que c’est abstrait : encore faudrait-il se garder de vi
50
trait : encore faudrait-il se garder de vivre une
théologie
équivoque. À quoi les membres du Mouvement des Groupes peuvent répond
51
ist de l’Évangile. Il avait terminé les études de
théologie
, mais il ne fut jamais pasteur. Il lui arriva pourtant de prêcher, et
52
ers, procède de sa philosophie de l’existence. La
théologie
barthienne se réclame de sa thèse principale : « Il y a une différenc
53
s ou sociologiques sont comme une inversion de la
théologie
, sont une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et
54
ont comme une inversion de la théologie, sont une
théologie
de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel59 trouve i
55
Hegel domine le marxisme et les fascismes, et la
théologie
des sociologues, des historiens, des clercs bourgeois. Comment lui éc
56
histoire d’une religion dans la perspective de sa
théologie
; le rappel constant du dogme suffirait, dans le cas de l’Église prot
57
de Calvin. John Viénot, pasteur et professeur de
théologie
, a réussi le tour de force de parler de la Réforme d’une manière si o
58
t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur
théologie
, scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
59
. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette
théologie
dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
60
x seules lois que lui révèle la science, nouvelle
théologie
. Elle tend à rendre les hommes interchangeables, parce que sans vocat
61
aient à César. Entraînée dans cette politique, la
théologie
se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
62
v et Dulot. 31. L’Église « corps du Christ », en
théologie
; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
63
istentielle — pour employer un terme favori de la
théologie
et de la philosophie allemandes contemporaines ?40 L’une des caracté
64
prophétique. Il existe, dira Karl Barth, dont la
théologie
procède ici de Kierkegaard, « une différence qualitative infinie » en
65
t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur
théologie
, scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
66
. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette
théologie
dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
67
x seules lois que lui révèle la science, nouvelle
théologie
. Elle tend à rendre les hommes interchangeables, parce que sans vocat
68
aient à César. Entraînée dans cette politique, la
théologie
se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
69
v et Dulot. 24. L’Église « corps du Christ », en
théologie
; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
70
istentielle — pour employer un terme favori de la
théologie
et de la philosophie allemandes contemporaines ?33 L’une des caracté
71
e à la cité en faisant de la philosophie et de la
théologie
pures. 4. Mais — la politique est à nos yeux toute autre chose que c
72
n de M. Bolle. ⁂ Le sens historique n’est qu’une
théologie
masquée : “nous atteindrons un jour des buts magnifiques”. Un but fin
73
ients de ce paganisme nouveau ont adopté sa vraie
théologie
: la dialectique historique de Karl Marx. En vertu de cet acte de foi
74
moral » qui empêche, en particulier, une certaine
théologie
libérale de reconnaître que le Dieu de la Bible — ancien et nouveau T
75
ion et l’entendement. La Parole est l’objet de la
théologie
, la vision est le monde de la physionomie23. Je crois bien que le psy
76
de la vision. Comment expliquer autrement que la
théologie
des scolastiques ait pu s’attarder à débattre des questions aussi vai
77
dessus le temps, avec ce Jésus-homme si cher à la
théologie
moderniste (de Lessing à Fosdick), si cher aux historiens, aux psycho
78
ssible, dès que la vigilance critique d’une sobre
théologie
se relâche. ⁂ Nous ne sortirons jamais une fois pour toutes d’une tel
79
nsacre à ce problème. Mais faut-il le redire ? La
théologie
n’est pas là pour résoudre concrètement nos problèmes. Elle a pour bu
80
l’ignorez pas — c’est cet illustre professeur de
théologie
dogmatique dont l’esprit de répartie et la finesse à distinguer chez
81
égarée vers la politique, au dessert, revint à la
théologie
avec les premières tasses de café. Un étudiant feuilletait un gros ou
82
qui exigez cette expérience unique, au nom d’une
théologie
… Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous reproche de dire sans n
83
it bien su les reconnaître. C’était conforme à sa
théologie
, on pouvait se risquer à discuter avec cet homme de nuit, quand il ne
84
d nous condamnons Nicodème au nom d’une meilleure
théologie
, faisons-nous autre chose que lui ? Sommes-nous contemporains du Chri
85
ul, éclairé par l’Esprit, reste la norme de toute
théologie
, fût-elle la plus orthodoxe. Barth, on le sait, ne se lasse pas de co
86
ne pourra l’ignorer longtemps, l’astrologie et la
théologie
. Un grand souci paraît dans toute son œuvre : il veut être clair, et
87
me à la probité historique et plus fécond pour la
théologie
de mettre en regard du catholicisme romain le protestantisme tout ent
88
l’effort perpétuel et d’ailleurs émouvant de leur
théologie
est de combler tant bien que mal tous les abîmes : ceux qui séparent
89
ort écouté, dont les travaux marient avec aisance
théologie
et humanisme, il me répondit simplement : « Bossuet ne saurait être t
90
tée de tous, sans l’affaiblir ni la fausser, la «
théologie
» chrétienne la plus authentique. Le style est direct, l’emploi de la
91
iques ». S’il m’est permis de faire ici un peu de
théologie
et un peu de logique, je demanderai à M. Benda : 1° si les « docteurs
92
ansformer en vérité. Mission que l’Évangile et la
théologie
résument par le seul mot de Rédemption, et que certains antichrétiens
93
nous a retraduit quelques passages — où toute une
théologie
s’exprime entièrement par des choses (s’agît-il du profond mystère de
94
e à la cité en faisant de la philosophie et de la
théologie
pures. En résumé : si la politique n’est que ce qu’elle est actuellem
95
’école de Barth, tout au contraire, le rôle de la
théologie
sera purement et simplement de critiquer, au sein de l’Église, la pré
96
, et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la
théologie
, qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
97
, une philosophie, et la recherche au moins d’une
théologie
. Tout cela, qui n’est pas exprimé mais voilé et seulement trahi par c
98
evenue propriétaire, ce qu’il lui faut, c’est une
théologie
qui légitime devant l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la
99
du Moyen Âge ait jamais été dominé par une seule
théologie
. Les doctrines de Thomas d’Aquin, à l’apogée du xiiie siècle, sont c
100
ance. Et pourtant, ce que l’on ne peut dire d’une
théologie
catholique, on peut et on doit l’affirmer de la théologie en général.
101
e catholique, on peut et on doit l’affirmer de la
théologie
en général. Elle fut bien le sous-entendu que les clercs et le siècle
102
) et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la
théologie
, qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
103
anentisme déclaré ou confus qui caractérise cette
théologie
. Le cas de la science est évident : il n’est de science « moderne » q
104
icalement à l’esprit des grandes métaphysiques et
théologies
traditionnelles, jusqu’à Kant non compris, qui cherchaient, elles, à
105
de l’abandon de toute liberté créatrice. 74. La
théologie
chrétienne du xixe siècle, surtout la protestante, ne reste pas à l’
106
evenue propriétaire, ce qu’il lui faut, c’est une
théologie
qui légitime devant l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la
107
du Moyen Âge ait jamais été dominé par une seule
théologie
. Les doctrines de Thomas d’Aquin, à l’apogée du xiiie siècle, sont c
108
ance. Et pourtant, ce que l’on ne peut dire d’une
théologie
catholique, on peut et on doit l’affirmer de la théologie en général.
109
e catholique, on peut et on doit l’affirmer de la
théologie
en général. Elle fut bien le sous-entendu que les clercs et le siècle
110
) et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la
théologie
, qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
111
anentisme déclaré ou confus qui caractérise cette
théologie
. Le cas de la science est évident : il n’est de science « moderne » q
112
icalement à l’esprit des grandes métaphysiques et
théologies
traditionnelles, jusqu’à Kant, qui cherchaient, elles, à voir quelque
113
de l’abandon de toute liberté créatrice. 76. La
théologie
chrétienne du xixe siècle, surtout la protestante, ne reste pas à l’
114
s, l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, la
théologie
; le siècle de Louis XIV, la raison d’État incarnée par le roi ; et n
115
de l’Église dans les trois Facultés françaises de
théologie
protestante. Il n’en reste pas moins que l’ignorance ou la méconnaiss
116
me ne peut être écarté comme relevant de la seule
théologie
. Il est au cœur de la pensée humaine. Tout homme qui veut penser son
117
ou veulent-ils — que la philosophie se purifie de
théologie
? La théologie vaut bien la science. C’est même une science bien moin
118
— que la philosophie se purifie de théologie ? La
théologie
vaut bien la science. C’est même une science bien moins variable que
119
ue chrétienne, déduite une fois pour toutes de la
théologie
. Mais je crois que le christianisme, aussitôt qu’il se manifeste en v
120
a Personne vivante de Jésus-Christ, et non pas la
théologie
, simple autocritique de l’Église et du message que l’on prêche dans l
121
iste, l’exemple d’Israël et de sa chute. Toute la
théologie
éthique de Calvin est centrée sur la vocation : vocation du « petit t
122
e la Révélation. C’est un grand lieu commun de la
théologie
réformée que de voir dans l’Ancien Testament l’histoire du Christ ava
123
de l’Église dans les trois facultés françaises de
théologie
protestante. Il n’en reste pas moins que l’ignorance ou la méconnaiss
124
ns généreux. À 27 ans, il terminait ses études de
théologie
, et se fiançait avec une jeune fille de 18 ans, Régine Olsen. Tout le
125
onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la
théologie
en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
126
e confession de foi inspirée par Karl Barth et la
théologie
dialectique, l’ensemble des chrétiens luthériens et calvinistes qui r
127
s’il est vrai qu’il encombre une bonne part de la
théologie
, surtout catholique. Tout cela, je le crains, relève d’un malentendu,
128
la géographie à l’acuponcture, de la musique à la
théologie
, à l’agriculture, à l’obstétrique, à la vénerie, à l’orfèvrerie, à la
129
bien plutôt, s’il faut une étiquette, un livre de
théologie
morale, et c’est sur ce terrain que je puis le défendre. Malgré toute
130
élard répondit assez mal à cette passion. Mais sa
théologie
, fort hérétique, se rapproche sur des points essentiels de la doctrin
131
onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la
théologie
en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
132
tois Dans un appendice à son beau livre sur la
Théologie
mystique de saint Bernard (Paris, 1934, p. 193 à 216), M. Étienne Gil
133
inie de la personnalité ? Comment passer de notre
théologie
à notre histoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur va
134
à, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la
théologie
réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine réformée de
135
dours, sa morale de l’hommage et du service, sa «
théologie
» et ses disputes théologiques, ses « initiés », les troubadours, et
136
ière enfin, où les passions « religieuses » et la
théologie
n’occupaient tout de même pas le plus clair de la vie, et n’avaient t
137
élard répondit assez mal à cette passion. Mais sa
théologie
, fort hérétique, se rapproche sur des points essentiels de la doctrin
138
onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la
théologie
en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
139
dours, sa morale de l’hommage et du service, sa «
théologie
» et ses disputes théologiques, ses « initiés », les troubadours, et
140
ière enfin, où les passions « religieuses » et la
théologie
n’occupaient tout de même pas le plus clair de la vie, et n’avaient t
141
élard répondit assez mal à cette passion. Mais sa
théologie
, fort hérétique, se rapproche sur des points essentiels de la doctrin
142
onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la
théologie
en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
143
tois Dans un appendice à son beau livre sur la
Théologie
mystique de saint Bernard (Paris, 1934, p. 193 à 216), M. Étienne Gil
144
dans ses plus minutieux détails. Au Moyen Âge, la
théologie
. Dans toutes ces civilisations, l’action obéissait spontanément aux m
145
aujourd’hui que la Loi des Juifs, le droit et la
théologie
sont méprisés ou ignorés, maintenant que tout, dans le monde, échappe
146
, mais pour certains, c’est le Saint-Esprit de la
théologie
, pour d’autres, c’est la raison humaine ou l’ensemble de la culture.
147
ots ? En d’autres temps, c’étaient l’Église et la
théologie
qui s’en chargeaient. Puis ce furent les écrivains. Mais que peuvent-
148
es pourvoyeuses de lieux communs pour la cité. La
théologie
médiévale, par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à
149
t quelques variantes personnelles, au gré de leur
théologie
ou de leur conception du style. Or justement, la valeur liturgique d’
150
inie de la personnalité ? Comment passer de notre
théologie
à notre histoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur va
151
à, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la
théologie
réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine réformée de
152
dans ses plus minutieux détails. Au Moyen âge, la
théologie
. Dans toutes ces civilisations, l’action obéissait spontanément aux m
153
aujourd’hui que la Loi des Juifs, le droit et la
théologie
sont méprisés ou ignorés, maintenant que tout, dans le monde, échappe
154
, mais pour certains, c’est le Saint-Esprit de la
théologie
, pour d’autres, c’est la raison humaine, ou l’ensemble de la culture.
155
ots ? En d’autres temps, c’étaient l’Église et la
théologie
qui s’en chargeaient. Puis ce furent les écrivains. Mais que peuvent-
156
es pourvoyeuses de lieux communs pour la cité. La
théologie
médiévale, par les sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à
157
inie de la personnalité ? Comment passer de notre
théologie
à notre histoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur va
158
à, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la
théologie
réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine réformée de
159
s à une soirée chez un professeur du Séminaire de
théologie
protestante de New York : j’y trouve d’autres professeurs et des étud
160
crivains d’« avant-garde »… Et ces professeurs de
théologie
n’hésitent pas à collaborer aux magazines politiques à gros tirages q
161
est-il devenu souffrance ? Dans le langage de la
théologie
, il est aisé de définir le point : c’est à l’instant où la passion tr
162
gien Mais tout cela, pensera-t-on, c’est de la
théologie
. Je connais peu d’occupations plus décriées dans notre siècle, peu de
163
, des prises de position théologiques. Ignorer la
théologie
, c’est rompre avec la tradition la plus féconde de la culture occiden
164
, par exemple. Mais un peu plus de belle et bonne
théologie
nous sauvait bientôt du sophisme, tandis qu’à coup sûr nous sommes pr
165
exemple, et les doctrines qu’on pourrait baptiser
théologies
de l’eritis sicut dii, créées par quelques-uns des mystiques les plus
166
réjugé de l’homme moderne, qui ne sait rien de la
théologie
, croit pouvoir s’en passer, mais ne se prive point d’en faire sans le
167
est-il devenu souffrance ? Dans le langage de la
théologie
, il est aisé de définir le point : c’est à l’instant où la passion tr
168
ologien Mais tout cela, dira-t-on, c’est de la
théologie
. Je connais peu d’occupations plus décriées dans notre siècle, peu de
169
, des prises de position théologiques. Ignorer la
théologie
, c’est rompre avec la tradition la plus féconde de la culture occiden
170
, par exemple. Mais un peu plus de belle et bonne
théologie
nous sauvait bientôt du sophisme, tandis qu’à coup sûr nous sommes pr
171
exemple, et les doctrines qu’on pourrait baptiser
théologies
de l’eritis sicut dii, créées par quelques-uns des mystiques les plus
172
réjugé de l’homme moderne, qui ne sait rien de la
théologie
, croit pouvoir s’en passer, mais ne se prive point d’en faire sans le
173
est-il devenu souffrance ? Dans le langage de la
théologie
, il est aisé de définir le point : c’est à l’instant où la passion tr
174
rd’hui un des meilleurs interprètes laïques d’une
théologie
protestante constructive. Sous le titre “Les tours du diable”, nous s
175
ist de l’Évangile. Il avait terminé ses études de
théologie
, mais il ne fut jamais pasteur. Il lui arriva pourtant de prêcher, et
176
, procède de sa définition de l’« existence ». La
théologie
barthienne se réclame de sa thèse principale : l’affirmation d’une «
177
ou sociologiques, sont comme une inversion de la
théologie
, — une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de
178
, sont comme une inversion de la théologie, — une
théologie
de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel trouve ici
179
tions religieuses, et la recherche au moins d’une
théologie
. Tout cela, non pas exprimé, mais voilé et seulement trahi par certai
180
poser cette question : — Est-ce pur hasard si la
théologie
chrétienne rend compte de presque toutes les situations de ce livre ?
181
z nous a traduit quelques passages — où toute une
théologie
s’exprime entièrement par des choses, s’agît-il même du profond mystè
182
souligner, précisément à propos de Claudel que sa
théologie
thomiste entraîne parfois dans de graves équivoques. Nulle magie, nul
183
doit être fondée sur une doctrine ferme, sur une
théologie
qui soit en même temps rigoureuse et vitale à l’intérieur de l’Église
184
ale à l’intérieur de l’Église. Une Église dont la
théologie
est vague n’a plus rien à dire dans le domaine de la culture. Une tel
185
e la Charte de l’Atlantique qui n’émane pas d’une
théologie
, ni même directement du christianisme. Elle peut se rallier à une att
186
ra de poids que si elle parle au nom de sa propre
théologie
, et en rattachant ce qu’elle dit de la façon la plus directe à cette
187
e qu’elle dit de la façon la plus directe à cette
théologie
. C’est ainsi que l’Église catholique romaine fut à la tête du mouveme
188
vaste mouvement culturel. Plus tard, lorsque les
théologies
romaines et réformées s’atrophièrent, elles n’osèrent plus, ni ne pur
189
cela était compatible avec sa foi. Car en fait la
théologie
avait cessé d’être vivante, précise et exigeante, et donc source d’in
190
s. Car toute la culture occidentale est née de la
théologie
et de la liturgie chrétienne ; soit en se soumettant au code chrétien
191
souci de rattacher tout travail de culture à une
théologie
stricte a entièrement disparu — en raison du manque de stricte théolo
192
ièrement disparu — en raison du manque de stricte
théologie
. L’Église romaine a mieux retenu les forces de création intellectuell
193
la mesure où elles interviendront au nom de leur
théologie
. Elles auront autorité si elles se montrent exigeantes au lieu de se
194
on : le principe fondamental Pour passer de la
théologie
d’une Église à des applications sociales, culturelles, politiques ou
195
tains principes ou stades intermédiaires entre la
théologie
et les éthiques. La catégorie intermédiaire qui paraît la plus fécond
196
on. Elle condamnera, par conséquent, au nom de la
théologie
, les grandes machines bureaucratiques dans lesquelles les individus s
197
écente »… Sur quoi, l’Européen frotté d’un peu de
théologie
va s’écrier que dans cet idéal, il ne voit rien de chrétien que l’éti
198
re hiérarchie. Notre thèse étant la suivante : La
théologie
de l’œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’applic
199
pplication est une politique du fédéralisme. 1.
Théologie
de l’œcuménisme Écartons d’abord le malentendu que pourrait suggér
200
rer ce titre : nous ne voulons pas parler d’une «
théologie
œcuménique », synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrin
201
e « théologie œcuménique », synthèse utopique des
théologies
existantes, ou doctrine nouvelle qui risquerait de n’être compatible
202
i risquerait de n’être compatible avec aucune des
théologies
existantes. Ce qui nous intéresse ici, c’est la doctrine concernant l
203
notre entreprise. Le principal est celui-ci : la
théologie
de l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’union des chréti
204
i ce que nous devons affirmer dès maintenant : la
théologie
de l’œcuménisme considère que la diversité des vocations divines n’es
205
e d’ailleurs, doit être au moins rappelé ici : la
théologie
de l’œcuménisme ne vise pas à démanteler les orthodoxies existantes,
206
du tout et les droits des parties. De même que la
théologie
de l’œcuménisme prévient d’une part l’orthodoxie fermée, d’autre part
207
r maintenant les implications politiques de cette
théologie
et de cette philosophie. 3. Politique du fédéralisme Nous en av
208
cessairement tout effort fédératif sérieux. 2. La
théologie
de l’œcuménisme, et la philosophie de la personne qu’elle implique, s
209
l’on se propose de combattre !) D’autre part, la
théologie
de l’œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules base
210
antinomie individu isolé-masse militarisée. 5. La
théologie
de l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du féd
211
ns idéologie. Mais point d’idéologie valable sans
théologie
. Et point de théologie efficace sans le soutien d’une catholicité rée
212
t d’idéologie valable sans théologie. Et point de
théologie
efficace sans le soutien d’une catholicité réelle, d’une communauté h
213
Théologie
et littérature (1946)b 1. Il faut tenir la théologie chrétienne po
214
gie et littérature (1946)b 1. Il faut tenir la
théologie
chrétienne pour la mère de la pensée occidentale, de même que l’Églis
215
e filiation entre nos disciplines de pensée et la
théologie
, pour être moins généralement reconnu, n’en est pas moins étroit ni m
216
s où la philosophie n’était que la servante de la
théologie
, ses efforts d’émancipation les plus violents, et même couronnés de s
217
l’ignorer comme Dewey. 3. Les rapports entre la
théologie
et la littérature ne sont pas aussi clairs, ni aussi facilement défin
218
et pour l’élite en général ? Il est clair que la
théologie
n’a pas besoin de la littérature et peut s’en désintéresser sans gran
219
la littérature puisse se passer impunément de la
théologie
. Et il est bien certain que lorsqu’elle s’en passe, les effets s’en f
220
ù sont les écrivains modernes des rudiments de la
théologie
a pour conséquence immédiate qu’ils se condamnent à découvrir, tous l
221
oi de la nécessité de rétablir des ponts entre la
théologie
et les lettres vivantes, je soumets à titre d’exemples et sans nul or
222
lite active et les « milieux d’Église » ? 7. Une
théologie
orthodoxe (je ne dis pas sclérosée) favorise, soutient et nourrit des
223
rrit des œuvres de style classique, tandis qu’une
théologie
libérale se lie aux mouvements romantiques. C’est que l’écrivain rom
224
soupçonne les romantiques d’avoir cherché dans la
théologie
de leur époque et sous le nom de liberté, de coûteuses licences intel
225
ire, si profane qu’en soit le sujet, implique une
théologie
(fût-ce à l’insu de son auteur), et qu’elle l’exprime par les mouveme
226
nante que par son argumentation. Expliciter cette
théologie
serait rendre un service important aux auteurs non moins qu’au public
227
omaine que j’espérais simplement désigner. b. «
Théologie
et littérature », Hommage et reconnaissance : recueil de travaux publ
228
l’une des meilleures têtes du pays. Professeur de
théologie
, socialiste militant, polémiste sérieux et sarcastique, il mène campa
229
tudes quelque peu provocantes d’un néophyte de la
théologie
dialectique, connue en France par de rares initiés. (De l’un d’eux, P
230
ts d’une doctrine que ma récente découverte de la
théologie
barthienne me préparait à accueillir comme une expression adéquate de
231
consacrés à la défense et à l’illustration d’une
théologie
dialectique et d’une philosophie existentielle dans la lignée de Kier
232
e confession de foi inspirée par Karl Barth et la
théologie
dialectique, l’ensemble des chrétiens luthériens et calvinistes qui r
233
l’une des meilleures têtes du pays. Professeur de
théologie
, socialiste militant, polémiste sérieux et sarcastique, il mène campa
234
catholique pour la liturgie et protestant par sa
théologie
fortement inspirée de Kierkegaard. Il m’a proposé ce soir de fonder a
235
une « idéologie » ou pour mieux dire exprime une
théologie
et une métaphysique, qu’on le veuille et le sache, ou non. Je pense q
236
ssi stériles pour l’artiste que fureur féconde la
théologie
au Moyen Âge, la métaphysique au temps du romantisme allemand. En fai