1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 sse, Emil Brunner (Der Mensch im Widerspruch), et Gonzague de Reynold (Conscience de la Suisse). 5. À partir de la fin du xiie siècle sur
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
2 ommes seulement administrés », répète avec raison G. de Reynold . — À propos de cet écrivain : on me demande sans cesse en quoi et pou
3 ions diffèrent des siennes. Je répondrai : 1° que Reynold est catholique, et je suis calviniste ; 2° que lorsqu’il écrit : « Fa
3 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
4 s que MM. Massis, Henry Bordeaux, Edmond Vermeil, G. de Reynold , d’autres encore, nous affirment que l’hitlérisme sort de Luther. Cer
4 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
5 ommes seulement administrés », répète avec raison G. de Reynold . am. Rougemont Denis de, « Autocritique de la Suisse », Schweizeris
5 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
6 isse, Emil Brunner (Der Mensch im Widerspruch) et Gonzague de Reynold (Conscience de la Suisse). 65. À partir de la fin du xiie siècle su
6 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
7 Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)a Le grand service que nous aura re
8 ître les démons et déjouer à temps leurs calculs. Reynold a le courage d’envisager — de regarder en plein visage — ce qui nous
9 e par dire la vérité dans son patois, et celui de Reynold est « de droite ». Le mien passa souvent pour être de « gauche », com
10 tion de la Hollande. a. Rougemont Denis de, «  Reynold et l’avenir de la Suisse », Hommage à Gonzague de Reynold, Fribourg,
11 , « Reynold et l’avenir de la Suisse », Hommage à Gonzague de Reynold , Fribourg, Librairie de l’Université, 1941, p. 123-125.
7 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
12 êmes traits. Je m’amuse à juxtaposer Numa Droz et Gonzague de Reynold , quitte à glisser ensuite entre les deux une remarque de Napoléon sur
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
13 raves, et personne n’a crié au fou. ⁂ L’historien Gonzague de Reynold vient d’être reçu au palais de Venise et me raconte sa visite. Il pén
14 s Groupes d’Oxford, la Migros, les Anglais, voire Gonzague de Reynold , dont on annonce par ailleurs la démission de notre directoire ; or,
9 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Dernière chronique (12 mars 1951)
15 la brochure récente d’un conservateur catholique, Gonzague de Reynold , qui se trouve soutenir les mêmes thèses que moi, exactement. Aux att
10 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
16 La Suisse, démocratie-témoin, 1948, p. 154. 20. Gonzague de Reynold ,Conscience de la Suisse, 1938.
11 1953, La Confédération helvétique. Chapitre V. La vie religieuse
17 ustrée par les œuvres de A.-Ph. de Segesser et de Gonzague de Reynold  : elle rejoint d’ailleurs sur bien des points essentiels la pensée ét
12 1955, Articles divers (1951-1956). Reynold et l’Europe (1955)
18 Reynold et l’Europe (1955)ac Il y a quinze ans j’osais louer Reynold de n’
19 urope (1955)ac Il y a quinze ans j’osais louer Reynold de n’avoir pas craint de porter un jugement pessimiste sur l’avenir i
20 minime mais qui est la part de l’homme, parce que Reynold a eu raison et parce qu’il a su se faire entendre. Cités et pays suis
21 s nous sommes au-delà, devant d’autres périls. Et Reynold ne s’est pas arrêté à l’éloge des vertus qui tiennent un peuple ensem
22 i ait autant besoin que le nôtre d’exercer ce que Reynold appelle « l’imagination historique ». On sait quels préjugés déguisés
23 thèse de l’un et du multiple » : ces formules que Reynold a tirées de l’étude d’une Europe romano-germanique, n’est-il pas frap
24 systole et de diastole animent l’œuvre entière de Reynold et lui donnent sa valeur exemplaire : je n’en connais pas de plus « s
25 ucteurs de l’Europe. ac. Rougemont Denis de, «  Reynold et l’Europe », Gonzague de Reynold et son œuvre, Fribourg, Éditions u
26 ac. Rougemont Denis de, « Reynold et l’Europe », Gonzague de Reynold et son œuvre, Fribourg, Éditions universitaires, 1955, p. 313-314.
13 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
27 ui contient de fort belles pages sur l’Europe par Gonzague de Reynold . M. l’abbé Pfulg a demandé à notre directeur de bien vouloir écrire l
14 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
28 lliam Martin, Histoire de la Suisse, Paris 1930 ; Gonzague de Reynold , Conscience de la Suisse, Neuchâtel, 1938 ; Denis de Rougemont, La C
15 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. Introduction
29 en, du point de vue qui intéresse notre enquête. Gonzague de Reynold , par le premier tome de sa très belle histoire de la Formation de l’E
16 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
30 toire. Un de nos grands historiens contemporains, G. de Reynold , nous y aidera mieux que personne : Europe nous est venue d’Asie, mè
31 . W. Technau, Die Göttin auf dem Stier, cité par G. de Reynold , Formation de l’Europe, tome I, LUF, Fribourg, 1944, et par Jürgen Fi
32 oi, Europe ; ce pouvaient être des Crétois. » 7. Gonzague de Reynold ,La Formation de l’Europe, I, p. 112, 110, 111.
17 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
33 Europe du celtique wrab, qui veut dire occident. Reynold , qui les cite, ajoute : Leur excuse est qu’ils vivaient en un temps
18 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
34 puis des siècles. Citons-en quelques-uns, d’après Gonzague de Reynold  : L’Europe est une grande presqu’île.17 Cette étroite presqu’île qu
35 us avons pris pour guide dans ce dédale crétois : Gonzague de Reynold  : Physiquement, l’Europe, qui est le seul continent articulé, semble
19 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
36 d’être replacé dans sa plus juste perspective par G. de Reynold  ; et il distingue plus soigneusement que d’autres l’héritage hébraïqu
37 cifiquement européenne. Brugmans, comme Dawson et G. de Reynold , s’attache à cette période pour mieux mettre en lumière la « maturité
38 urope fut une création du haut Moyen Âge ». Enfin Reynold appelle chrétienté, c’est-à-dire Europe, les xie , xiie et xiiie si
20 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Heinz Gollwitzer, Europabild und Europagedanke (septembre 1959)
39 lus de siècles, Diez del Corral plus d’actualité, Reynold et Friedrich Heer sont plus personnels, mais nul n’est plus solide, p
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Avant-propos
40 ont inspiré, il me plaît de citer au premier rang Gonzague de Reynold et son monumental ouvrage en 8 volumes sur la Formation de l’Europe.
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
41 toire. Un de nos grands historiens contemporains, G. de Reynold , nous y aidera mieux que personne : Europe nous est venue d’Asie, mè
42 Europe du celtique wrab, qui veut dire occident. Reynold , qui les cite, ajoute : « Leur excuse est qu’ils vivaient en un temps
43 magReB euRoPe paraît donc hautement plausible. G. de Reynold , qui tient pour l’étymologie grecque, nous signale toutefois une rais
44 puis des siècles. Citons-en quelques-uns, d’après G. de Reynold  : L’Europe est une grande presqu’île.26 Cette étroite presqu’île qu
45 ous avons pris pour guide dans ce dédale crétois, Gonzague de Reynold  : Physiquement, l’Europe, qui est le seul continent articulé, semble
46 t W. Technau : Die Göttin auf dem Stier, cité par G. de Reynold , Formation de l’Europe, t. I, LUF Fribourg, 1944 et Plon, Paris ; et
47 roi, Europe ; ce pouvaient être des Crétois. 10. Gonzague de Reynold , La formation de l’Europe, I, p. 112, 110, 111. 11. Nous suivons ici
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 1. Sur plusieurs siècles de silence « européen »
48 Calmette, de Louis Halphen, de Friedrich Heer, de G. de Reynold et de H. Brugmans. 54. Paris, 1941. La date et le lieu sont à noter
24 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
49 is et vivant aux lisières du domaine alémanique : Gonzague de Reynold . L’un des huit volumes de son œuvre maîtresse, La Formation de l’Euro
50 ux Germains, des origines jusqu’aux Carolingiens. Reynold y décrit largement cette « fusion du Barbaricum et de la Romania, sou
51 ces du fédéralisme européen, l’autre étant, selon Reynold , la doctrine trinitaire des premiers conciles : L’organisation polit
52 Dawson à Heer en passant par Halphen, Marc Bloch, Reynold , Denys Hay et Jürgen Fischer — ont centré leurs travaux sur la « form
25 1962, Articles divers (1957-1962). La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)
53 s Groupes d’Oxford, la Migros, les Anglais, voire Gonzague de Reynold , dont on annonce par ailleurs la démission de notre Directoire : or i
26 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
54 os jours, Robert de Traz, Charles-Albert Cingria, Gonzague de Reynold . Européens en ce sens qu’ils n’ont pas hésité à puiser aux sources le
27 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
55 os aînés, Robert de Traz, Charles-Albert Cingria, Gonzague de Reynold . Européens en ce sens qu’ils n’ont pas hésité à puiser aux sources le
28 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
56 , Robert de Traz auteur de l’Esprit de Genève, et Gonzague de Reynold auteur de Formation de l’Europe, méritent une place de choix dans tou
29 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
57 Robert de Traz, auteur de L’Esprit de Genève, et Gonzague de Reynold , auteur de Formation de l’Europe, méritent une place de choix dans to
30 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
58 tait un chef-d’œuvre : Cités et Pays suisses, par Gonzague de Reynold . Les hommes de ma génération et de celle qui l’a précédée doivent à R
59 génération et de celle qui l’a précédée doivent à Reynold la découverte du vrai passé de leur patrie et d’une dimension nouvell
60 s documents de seconde main — c’est tout cela que Reynold sut nous apprendre à voir, rajeunissant notre regard et balayant un s
61 itiques —, il nous faut chercher d’autres guides. Reynold nous a montré comment ce petit pays avait pu tenir le rôle moral d’un
31 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « La Suisse est née de la révolte de pâtres libertaires contre le despote autrichien »
62 norité de dolichocéphales alamano-burgondes. 9. G. de Reynold , Conscience de la Suisse, 1939, p. 191-193. 10. Ce n’est guère que d
32 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
63 losophie générale : j’ai dit ce que nous devons à Gonzague de Reynold . Enfin, avec les groupes personnalistes (où militent des disciples de
64 upes personnalistes (où militent des disciples de Reynold côte à côte avec des dirigeants de syndicats, des socialistes et des
33 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
65 ) ont été nos meilleurs Européens ; de Rousseau à Gonzague de Reynold , en passant par le groupe de Coppet dans le passé, et de nos jours pa
66 des historiens, et à des critiques romands, tels Gonzague de Reynold ou Albert Béguin que la France devra de connaître, traduits non seule
67 oderne par les œuvres de A.-Ph. de Segesser et de Gonzague de Reynold  : elle rejoint sur des points essentiels la pensée éthico-politique d
34 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
68 t, Robert de Traz auteur de L’Esprit de Genève et Gonzague de Reynold auteur de Formation de l’Europe méritent une place de choix dans tout
69 mes Vingt-huit siècles d’Europe (Paris, 1961) : Reynold est largement cité dans le premier chapitre, tandis qu’une page de R.
35 1970, Articles divers (1970-1973). « S’unir, au-delà de nos fausses souverainetés, pour préserver nos vraies diversités » (mai-juin 1970)
70 de choix à Rousseau, Constant, Robert de Traz et Gonzague de Reynold , pour ne vous citer qu’eux. Mais que pensez-vous de la réserve mise p
36 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
71 amin Constant, Amiel, C. F. Ramuz, C.-A. Cingria, G. de Reynold , pour ne pas parler des vivants, ce n’est pas rien ! Plus modestement
37 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
72 sque dans les écrits d’auteurs fribourgeois comme Reynold ) et qui différencie la culture romande de celle de la France une et i