1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 nces que nous promet le groupe neuchâtelois des «  Amis de la pensée protestante ». M. Guisan avait choisi un sujet qui perme
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 rs, ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des amis , ce tic. Mais encore, tant d’autres forces et tant d’autres faiblesse
3 faudrait choisir. Vous me direz qui je suis, mes amis  ; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à p
4 éer, ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon amie , — et vous, ma vie ? Certes, mais je vous aime moins que je ne vous d
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
5 ri de Closain, quitter le domaine enchanté où des amis très fins, précieux poètes, dissertent sur leurs fantaisies ? Ç’aurai
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 sur la voie qu’elle m’ouvrait, avec tant de rires amis , vers tout ce que momentanément je choisissais de laisser — et des ba
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
7 sser, après tant d’autres, avant tant d’autres. «  Amis , ce sont les jeunes qui passent… » Pas question de les saluer ni d’em
6 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
8 seur de Grenoble. i. « Troisième conférence des Amis de la pensée protestante : La révocation de l’édit de Nantes », Feuil
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
9 vant-hier, à ce bal. J’avais demandé à un de mes amis , qui vous connaît4, de me présenter. Il m’en avait donné la promesse.
10 e s’arrêta, je me trouvais tout près de vous. Mon ami me fit un signe discret, et déjà il se préparait à vous rendre attent
11 es. Déjà la foule des danseurs nous séparait, mon ami se détournait, un peu vexé ; vous disparaissiez au milieu d’un cortèg
12 nes douleurs. Même, je fus obligé de confier à un ami que j’en avais repris … Les archets jouaient sur mes nerfs. Le jazz m
13 ous trouver peut-être assise en face de votre bel ami laqué, souriante… Enfin, un peu après 6 heures, je suis sorti. Il y a
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
14 de et délicieuse, gagnera à son auteur beaucoup d’ amis inconnus. af. « Edmond Jaloux : Ô toi que j’eusse aimée… (Plon, Par
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
15 traîné par un dromadaire, d’ailleurs dételé. Les amis affligés mangent les couronnes et suivent à grands sauts lents, solen
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
16 is avec ceux qui traitent Aragon, Breton et leurs amis alternativement de dévoyés, de farceurs, de chacals, de déments. Et p
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
17 ié. Pourtant je suis seul dès cette heure, et mes amis fuiront un lâche. Parce que je reviens seul. Mais moi, qui regarde co
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
18 nant. » Je songeais justement à un sourire de mon amie quand il voulut m’adresser la parole après un silence vertigineux. Il
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
19 uise de métaphore, avec une pensée tendre pour un ami poète. « L’autre jour au Grand Écart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’
20 t rien de plus. » Chercher des hommes ! Ah ! cher ami , nous ne sommes pas tant, n’est-ce pas, à poursuivre une quête de l’e
21 i cela peut servir, une citation.) Mais non, cher ami , voici qu’une envie me prend de vous conter un peu cette histoire. Se
14 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
22 t pu être… Un homme médite à côté du corps de son ami suicidé pour une femme qu’ils ont aimé tous deux (L’Amie du Mort.) Ou
23 icidé pour une femme qu’ils ont aimé tous deux (L’ Amie du Mort.) Ou bien c’est le récit d’un été de vacances, quand les prem
15 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
24 Un jeune auteur raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit, sur commande, une Promenade dans le Midi. Récit a
16 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
25 lait dans la banlieue printanière ; des soupers d’ amis dans notre modeste salle à manger ; des jaquettes de couleur pour ma
17 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
26 t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
27 nommaient « biondo et grassotto », et qu’avec mes amis nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers »10.
18 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
28 ais reçoit une lettre trouvée sur le corps de son ami suicidé, pathétique confession qui doit expliquer sa mort et qui est
19 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
29 s et un échange de pensées au même titre avec une amie d’une beauté de plus en plus frappante, il croit saisir dans un regar
20 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
30 le perdre. — « Eh ! quoi, — vinrent lui dire ses amis , — l’orgueil t’aveugle-t-il ? Veux-tu conserver, ô cruel, des ailes q
31 une réponse : « Vous avez commis une erreur, cher ami , mais bien excusable de la part d’un poète en état, sans doute, d’ins
32 veront réunis. Avec ma bénédiction, je suis votre amie Joséphine. » — Le poète reprit son manuscrit et conclut : « L’inspira
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
33 os, amenez-lui le Guguss, des bretzels, sa petite amie , au secours ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élè
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
34 , amenez-lui le Guguss 2, des bretzels, sa petite amie , au secours ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élè
23 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
35 iné, l’on interdit l’entrée du palais à nos trois amis (qui pourtant n’eussent pas demandé mieux que de reconnaître, etc.) A
24 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
36 phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes amies , je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad
25 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
37 se dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
38 ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis . Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
39 ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le voir à Esztergóm, où il passe ses étés. Esztergóm est l
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
40 g exprime ce troisième sujet par deux vers de son ami Hilaire Belloc dont voici la traduction : L’amour de Dieu qui mène au
41 lisez-la, et si vous la lisez, ne dites pas à vos amis ce qui arrive avant qu’ils n’aient lu eux-mêmes le livre. J’espère qu
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
42 Kierkegaard lui-même avait aimé et honoré, comme ami de son père. Martensen, le successeur présumé de Mynster, prononçant
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
43 peur que son feu ne le consume », écrit un de ses amis , vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de ré
29 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
44 rt et me voilà libre à nouveau, écrit Goethe à un ami en 1768, au sortir d’une grave maladie — ; cette calcination a été tr
30 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
45 de Réalité. (Et je ne parle ici à peu près que d’ amis , parisiens au surplus.) Jamais, peut-être, une génération n’avait tro
31 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
46 grossir les rangs de ceux que les rédacteurs de l’ Ami du Peuple appellent des révolutionnaires en peau de lapin, comme si c
32 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
47 pour l’amour du laurier, mais pour l’amour de son ami Clitus, poète abstrait à la mode de 1920, qu’Alexandre a conquis le m
33 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
48 t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
49 nommaient « biondo e grassotto », et qu’avec mes amis nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers6 ». H
34 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
50 fous, mais il y a la manière. J’ai l’ennui de mon ami Gérard de Nerval, je bois une menthe à son souvenir. Si je buvais ass
35 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
51 se dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
52 ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis . Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
53 ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
54 « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie , vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
55 ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque amie de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
56 tes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
57 phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes amies , je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
58 se dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
59 ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis . Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
60 ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
61 « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie , vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
62 es du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui mentionne en passant la mort de sa belle-mère, survenue il y
63 ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque amie de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
64 tes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
65 . Secundo, j’ai envoyé à un certain nombre de mes amis la phrase suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par
66 de l’être. Comment lui résisterait-on ? C’est un ami . Il vous a reçus d’abord et vous a proposé ses façons et usages qu’il
67 us rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des amis intacts, et dont l’amitié seule avait mûri comme un bon vin. Et j’ai
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
68 nte des vignes vers le lac. Je pouvais dire à mes amis  : là, dans ces arbres, au pied de cette colline, j’ai passé mon adole
42 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
69 « théologie dialectique » de Karl Barth et de ses amis de justifier une sorte de désintéressement radical à l’endroit des pr
43 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
70 voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé
44 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
71 s arrachée en fin de séance par un député obscur, ami du colonial, du fonctionnaire ou du banquier, après la grande lutte l
45 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
72 ’écris à ceux qui ont des oreilles pour entendre, amis que ma parole n’atteindrait pas, mais ce message. J’écris pour ceux q
46 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
73 philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis  : « Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concern
47 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
74 sanctification par les œuvres. Karl Barth et ses amis n’ont pas manqué de critiquer vivement certaines des suppositions thé
48 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
75 s’en ira mourir à l’hôpital, en disant à son seul ami  : « Salue tous les hommes ! Je les aimais bien tous… » Cela se passa
49 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
76 sent confus et mauvais, qu’allons-nous tirer, mes amis , sinon la négation d’un mal, et ce n’est pas encore le bien sauveur !
50 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
77 philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis  : Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concerna
51 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
78 voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé
52 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
79 termes d’affiches électorales, d’éditoriaux de l’ Ami du Peuple, de « justifications » aux congrès radicaux : voilà qui est
53 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
80 philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis  : Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concerna
54 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
81 voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé
55 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
82 termes d’affiches électorales, d’éditoriaux de l’ Ami du Peuple, de « justifications » aux congrès radicaux : voilà qui est
56 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
83 uré dans son nouveau parti, il voyait ses anciens amis l’abandonner. L’homme qui venait d’« apaiser » par une boutade le con
57 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
84 ns — de nous représenter un « Jésus-homme », un «  ami suprême », présent parmi nous, ramené à nos proportions idéalisées. C
58 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
85 nod, m’écriai-je, n’est-ce pas celui qu’un de mes amis , effrayé de son humanisme, a baptisé l’homme qui ne veut pas mourir ?
86 sobligeant, dis-je, pour l’un de mes collègues et amis les plus chers. Je serais fort curieux de savoir sur quoi vous appuye
87 effet, très exactement, mon point de vue, que mon ami Monod exprime ici. Le terrain du bon sens, eh oui ! c’est bien cela !
88 s coups de coude significatifs.) Enfin, mes chers amis , si le christianisme n’est pas une expérience, et je dis bien une exp
89 ince du paradoxe, comme l’appelle si joliment mon ami Monod. » Selon Nicodème, le terme d’existentiel n’était qu’une locuti
90 : « En vérité, en vérité, je te le dis ! »… Ô mes amis , qui d’entre vous a fait une telle expérience ? N’est-ce pas assez « 
91 c’était justement l’accent de controverse de mes amis qui me jetait dans une sorte de honte… La confession de Nicodème m’av
59 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
92 e des salutistes, — pour ne rien dire de ces deux amis auxquels nous pensons tous ce soir et qui, du fond de leur prison, to
60 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
93 ngénieurs ou économistes — et de l’espèce la plus amie des abstractions, des solutions mathématiques, des statistiques et de
61 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
94 rue. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis français ! p. « Conversation avec un SA », L’Ordre nouveau, Paris, n
95  », est précédé de la note suivante : « Un de nos amis , retour d’Allemagne, nous communique des notes sur ses entretiens ave
62 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
96 adition et Révélation) (janvier 1936)k Que nos amis catholiques nous permettent de relever tout d’abord un défaut très co
63 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
97 A D. de Rougemont nous écrit d’Allemagne : « L’ ami XXX n’a pas dû lire Mein Kampf. Ce n’est pas une “autobiographie” mai
64 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
98 , 16 mars 1936 (avril 1936)q Un témoin de nos amis nous envoie ces notes. Nous les publions à titre documentaire. Il fau
99 ührer est venu incarner, lui le pur, le simple, l’ ami et le libérateur invincible… « Une ère nouvelle commence ici. » ⁂ Chr
65 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
100 ie conquérante. Ce n’est point par hasard que ces amis de l’URSS citent souvent Diderot, Helvétius et Voltaire, à l’appui de
66 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
101 ’une profession. Henri Petit voudrait avoir été l’ ami d’Ulysse. Le bref chapitre où il nous livre cet aveu éclaire une bonn
67 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
102 — pour les fascismes étrangers. Le Colonel et son ami Doriot viennent fermer ce cercle vicieux. Trouvera-t-on le moyen d’en
68 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
103 fice gratuit. Vieux Pragoislui aussi, Brod fut l’ ami le plus intime de Franz Kafka. C’est lui qui s’est chargé de publier
104 piété même que voue Max Brod à la mémoire de son ami le retint d’entreprendre au lendemain de la mort de Kafka sa biograph
105 cupations sociales, les lectures qu’il fait à son ami , la brève idylle de Weimar… tout cela compose une description exacte
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
106 ie conquérante. Ce n’est point par hasard que ces amis de l’URSS citent souvent Diderot, Voltaire, à l’appui de leur foi nou
70 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
107 ie conquérante. Ce n’est point par hasard que ces amis de l’URSS citent souvent Diderot, Voltaire, à l’appui de leur foi nou
71 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
108 Nous faisons un appel pressant auprès de tous nos amis , frontistes ou non frontistes, pour qu’ils comprennent l’intérêt exce
72 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
109 umiliante évidence : sans auto, sans argent, sans amis proches, la solitude devient un isolement. Il y a « les gens », bien
73 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
110 e doctrine politique66. Mais pour Bataille et ses amis , l’« acéphalité » est aussi une doctrine métaphysique antichrétienne
74 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
111 : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis  ! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui m’ont fait c
112 qu’ils trouvent en dépôt chez la mère Renaud : l’ Ami du Peuple ou la France de Bordeaux, la feuille locale des curés ou ce
113 uverte et sérieuse. « Eh bien, messieurs et chers amis , nous allons procéder, selon votre coutume, à l’élection du bureau, p
114 ez les Juifs est presque communiste ! Jésus est l’ ami des pauvres, des péagers. Malheureusement il y a le cléricalisme. C’e
115 sque toute la place. Abîme entre la politique des amis du peuple et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sensible que
75 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
116 ine à écrire. La mère Renaud, qui est une vieille amie des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir
76 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
117 ue argent à venir, j’ai accepté l’invitation d’un ami qui nous offre de passer trois semaines chez lui. Il habite à une pet
77 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
118 Barrès. La jeunesse personnaliste, déclara notre ami , repousse l’une et l’autre de ces trahisons, et affirme que la pensée
78 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
119 e ne fut guère qu’à la fin de sa carrière que son ami Engels en découvrit le danger. « Marx et moi — écrit-il en 1890 — nou
79 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
120 e Renaud (Renaud-de-la-Cure), qui est une vieille amie des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir
121 : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis  ! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui m’ont fait c
122 qu’ils trouvent en dépôt chez la mère Renaud : l’ Ami du Peuple ou la France de Bordeaux, la feuille locale des curés ou ce
123 J’en suis bien curieux. 13 décembre 1933 Un ami auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en
124 uverte et sérieuse. « Eh bien, Messieurs et chers amis , nous allons procéder, selon votre coutume, à l’élection du bureau, p
125 ez les Juifs est presque communiste ! Jésus est l’ ami des pauvres, des péagers. Malheureusement il y a le cléricalisme. C’e
126 ue argent à venir, j’ai accepté l’invitation d’un ami qui nous offre de passer trois semaines chez lui. Il habite à une pet
127 vagabondage. Janvier 1934. (En séjour chez un ami près de Taillefer.) J’ai interrompu mes notes depuis quinze jours.
128 Nos conversations de ces jours derniers avec nos amis , et les précisions que j’ai dû fournir à des personnes curieuses de m
129 sque toute la place. Abîme entre la politique des amis du peuple, et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sensible qu
130 fle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie , d’une maison pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une
131 ation à passer quinze jours dans un camp avec des amis en juillet. Tout cela probablement parce que j’étais à bout de ressou
80 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
132 à cette humiliante évidence : sans argent et sans amis proches, la solitude, ici, devient un isolement. Il y a « les gens »
81 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
133 esseur, écrivain, traducteur d’ouvrages français, ami de la France, séjournant en France, Aladár Kuncz, sujet hongrois, se
82 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
134 al où il mourut paisiblement en disant à son seul ami , le pasteur Boesen : « Salue tous les hommes de tua part, je les aima
83 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
135 geois inquiets, opposants complices. Et seuls mes amis juifs me donnaient du régime une interprétation étonnamment conforme
84 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
136 n même temps le plus européen par la culture. Des amis me proposèrent de l’aller voir à Esztergom, où il passe les étés. J’e
85 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
137 l’Église. À quoi je réponds : Croyez-vous, chers amis , que vous n’en parlez pas vous-mêmes ? Les chrétiens qui se lancent d
138 ion : « Nous sommes heureux de compter, parmi les amis et collaborateurs de la Vie protestante, M. Denis de Rougemont, le je
86 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
139 u’à ce qu’il n’en puisse plus… Je répondais à mon ami  : — À chacun selon sa faim. Heureux ceux qui ont une grande faim, c’e
87 1938, Esprit, articles (1932–1962). Suite à « La passion contre le mariage » (décembre 1938)
140 eur de montage a fait sauter la seconde (où notre ami Miatlev protestait de ne pas lire le nom de Lawrence parmi les premie
88 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
141 Journal (1935-1936) Fin d’octobre 1935 Des amis se sont étonnés de me voir accepter ce poste, offert par le hasard d’
142 aujourd’hui ma cotisation à la SA. Car je suis un ami de l’ordre. — Amen. Dans un autre numéro, l’article de tête est inti
143 au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l’ ami et le libérateur invincible…   J’ai envoyé un récit du discours à des
144 incible…   J’ai envoyé un récit du discours à des amis de France : copie des notes de ce journal. Je n’ai ajouté que ceci, e
145 geois inquiets, opposants complices. Et seuls mes amis juifs me donnaient du régime une interprétation étonnamment conforme
146 sse, un jeune Allemand, vous sentirez, mes jeunes amis Français, la vanité d’avoir seulement raison. Hélas, on n’a jamais ra
89 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
147 devant la menace hitlérienne, un écrivain de nos amis se sentit pressé de parler, non point pour appeler les démocrates aux
90 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
148 st un grand effort moral. Quand j’ai envoyé à des amis de France le récit de la journée où j’ai vu Hitler en communion avec
91 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
149 de Nicolas sont dues à la plume de disciples ou d’ amis des réformateurs : Myconius, de Zurich ; Ritter, de Saint-Gall ; Vale
92 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
150 r éternel. ⁂ Comme je parlais de ces choses à une amie  : « J’ai connu, me dit-elle, un homme marié avec lequel ayant été coq
93 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
151 ique, qui est celle de Jean-Paul à la mort de ses amis , de Novalis perdant Sophie von Kühn ou de Nerval poursuivant l’image
94 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
152 e l’après-midi, je fus appelé au téléphone par un ami . Était-ce la guerre qu’on attendait d’une heure à l’autre ? C’était M
95 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
153 lle mission, veut rejoindre une dernière fois son amie , pendant la nuit qui précède son départ. Il franchit d’un saut l’espa
154 rmi les barons de son oncle. Il songe aussi à son amie , — pour la première fois semble-t-il ! Il songe que dans cette aventu
155 ristan, quel departie ! Mot est dolenz qui pert s’ amie … C’est sur sa propre peine qu’il s’apitoie. Il n’a pas une pensée po
156 e qu’il s’apitoie. Il n’a pas une pensée pour « s’ amie  ». Quant à elle, on sent bien qu’elle se trouve plus heureuse auprès
157 ouve plus heureuse auprès du roi qu’auprès de son ami  ; plus heureuse dans le malheur d’amour que dans leur vie commune du
158 médiable et désirée ! « Mot est dolenz qui pert s’ amie  » soupire Tristan. Pourtant il sent déjà, au fond de la nuit qui vien
159 ue, le frère d’Iseut aux blanches mains croit son ami amoureux de sa sœur. Cette erreur — provoquée par le nom des deux fem
96 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
160 ger, sous une loge d’aubépine, la dame a tenu son ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié : « Dieu ! c’est l’
161 r d’Aquitaine eut pour fils Richard Cœur de Lion, ami des troubadours gascons et troubadour lui-même, excommunié par Rome ;
97 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
162 z tenté de le croire, lorsqu’on voit Dante et son ami Cavalcanti s’élever contre leur maître Guittone d’Arezzo, et railler
163 ne l’ont jamais dit. C’est parce que Dante et ses amis sont amenés à définir leur art, qu’on surprend mieux qu’ailleurs chez
164 ut faire en sorte que sa maîtresse se donne à son ami Cléandre. D’où l’on conclut généralement que Corneille est le premier
165 la « religion nouvelle » rêvée par Novalis et ses amis  : Elle aussi, l’ère du Christ, que Dieu nous voile, Passera, la Nouv
98 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
166 de consolation du vassal (ici avec la sœur de son amie , là avec son homonyme) — enfin dans les deux légendes, l’amour courto
167 fut autorisé et cessa de sentir pour sa première amie la tendresse qu’il lui avait portée d’abord. Après un mois, il revien
168 néglige. Ce n’est point tant la constance de son amie que la sienne propre qu’il veut mettre à l’épreuve. À cette variante
99 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
169 sujet n’a pas été sans surprendre certains de mes amis protestants, et — pour d’autres raisons sans doute — certains catholi
170 ique. Nous savons que par sa mère et par certains amis de celle-ci, tel le curé Matthias Hattinger, le jeune Nicolas avait s
171 subi l’influence très profonde du mouvement des «  Amis de Dieu ». Initié en Alsace par le marchand Rulman Merswin, au xive
172 el, et des contacts qu’il dut avoir avec certains Amis de Dieu. Lorsqu’il quitta sa femme et ses enfants, son idée n’était-
173 dre en Alsace, pour y rejoindre des communautés d’ Amis de Dieu dont Hattinger lui avait parlé ? Et la première visite qu’il
174 ne fut-elle pas précisément celle d’un pèlerin «  ami de Dieu », peut-être délégué par le mouvement ? Les plus récents hist
175 ieure au formalisme romain, qu’ont représenté les Amis de Dieu. Et l’on conçoit que ce mouvement, rectifié et rendu plus sob
176 demande de Zwingli et de Vadian. C’est encore un ami de Vadian, Hermann Miles (ou Ritter) de Saint-Gall, qui mentionne le
100 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
177 èlerins.) Chant des pèlerins. 1. Loin du Pays Amis de Dieu Nous marchons dans la nuit Amis de Dieu Sans feu ni lieu Au s
178 n du Pays Amis de Dieu Nous marchons dans la nuit Amis de Dieu Sans feu ni lieu Au souffle de l’esprit. Les chiens aboient
179 rins ? Un des pèlerins. —  On nous appelle les Amis de Dieu, ou les Sauvages. Nous sommes venus d’Alsace, pour voir le fr
180 e chef ! Nicolas. —  Si Jésus-Christ est votre ami , pourquoi faut-il encore un autre chef ? Le pèlerin. —  Écoute ! N