1
nces que nous promet le groupe neuchâtelois des «
Amis
de la pensée protestante ». M. Guisan avait choisi un sujet qui perme
2
rs, ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des
amis
, ce tic. Mais encore, tant d’autres forces et tant d’autres faiblesse
3
faudrait choisir. Vous me direz qui je suis, mes
amis
; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à p
4
éer, ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon
amie
, — et vous, ma vie ? Certes, mais je vous aime moins que je ne vous d
5
ri de Closain, quitter le domaine enchanté où des
amis
très fins, précieux poètes, dissertent sur leurs fantaisies ? Ç’aurai
6
sur la voie qu’elle m’ouvrait, avec tant de rires
amis
, vers tout ce que momentanément je choisissais de laisser — et des ba
7
sser, après tant d’autres, avant tant d’autres. «
Amis
, ce sont les jeunes qui passent… » Pas question de les saluer ni d’em
8
seur de Grenoble. i. « Troisième conférence des
Amis
de la pensée protestante : La révocation de l’édit de Nantes », Feuil
9
vant-hier, à ce bal. J’avais demandé à un de mes
amis
, qui vous connaît4, de me présenter. Il m’en avait donné la promesse.
10
e s’arrêta, je me trouvais tout près de vous. Mon
ami
me fit un signe discret, et déjà il se préparait à vous rendre attent
11
es. Déjà la foule des danseurs nous séparait, mon
ami
se détournait, un peu vexé ; vous disparaissiez au milieu d’un cortèg
12
nes douleurs. Même, je fus obligé de confier à un
ami
que j’en avais repris … Les archets jouaient sur mes nerfs. Le jazz m
13
ous trouver peut-être assise en face de votre bel
ami
laqué, souriante… Enfin, un peu après 6 heures, je suis sorti. Il y a
14
de et délicieuse, gagnera à son auteur beaucoup d’
amis
inconnus. af. « Edmond Jaloux : Ô toi que j’eusse aimée… (Plon, Par
15
traîné par un dromadaire, d’ailleurs dételé. Les
amis
affligés mangent les couronnes et suivent à grands sauts lents, solen
16
is avec ceux qui traitent Aragon, Breton et leurs
amis
alternativement de dévoyés, de farceurs, de chacals, de déments. Et p
17
ié. Pourtant je suis seul dès cette heure, et mes
amis
fuiront un lâche. Parce que je reviens seul. Mais moi, qui regarde co
18
nant. » Je songeais justement à un sourire de mon
amie
quand il voulut m’adresser la parole après un silence vertigineux. Il
19
uise de métaphore, avec une pensée tendre pour un
ami
poète. « L’autre jour au Grand Écart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’
20
t rien de plus. » Chercher des hommes ! Ah ! cher
ami
, nous ne sommes pas tant, n’est-ce pas, à poursuivre une quête de l’e
21
i cela peut servir, une citation.) Mais non, cher
ami
, voici qu’une envie me prend de vous conter un peu cette histoire. Se
22
t pu être… Un homme médite à côté du corps de son
ami
suicidé pour une femme qu’ils ont aimé tous deux (L’Amie du Mort.) Ou
23
icidé pour une femme qu’ils ont aimé tous deux (L’
Amie
du Mort.) Ou bien c’est le récit d’un été de vacances, quand les prem
24
Un jeune auteur raconte dans une lettre à une
amie
comment il a écrit, sur commande, une Promenade dans le Midi. Récit a
25
lait dans la banlieue printanière ; des soupers d’
amis
dans notre modeste salle à manger ; des jaquettes de couleur pour ma
26
t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des
amis
qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
27
nommaient « biondo et grassotto », et qu’avec mes
amis
nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers »10.
28
ais reçoit une lettre trouvée sur le corps de son
ami
suicidé, pathétique confession qui doit expliquer sa mort et qui est
29
s et un échange de pensées au même titre avec une
amie
d’une beauté de plus en plus frappante, il croit saisir dans un regar
30
le perdre. — « Eh ! quoi, — vinrent lui dire ses
amis
, — l’orgueil t’aveugle-t-il ? Veux-tu conserver, ô cruel, des ailes q
31
une réponse : « Vous avez commis une erreur, cher
ami
, mais bien excusable de la part d’un poète en état, sans doute, d’ins
32
veront réunis. Avec ma bénédiction, je suis votre
amie
Joséphine. » — Le poète reprit son manuscrit et conclut : « L’inspira
33
os, amenez-lui le Guguss, des bretzels, sa petite
amie
, au secours ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élè
34
, amenez-lui le Guguss 2, des bretzels, sa petite
amie
, au secours ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élè
35
iné, l’on interdit l’entrée du palais à nos trois
amis
(qui pourtant n’eussent pas demandé mieux que de reconnaître, etc.) A
36
phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes
amies
, je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad
37
se dans cette foule et ces musiques, deux visages
amis
me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
38
ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes
amis
. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
39
ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des
amis
m’emmènent le voir à Esztergóm, où il passe ses étés. Esztergóm est l
40
g exprime ce troisième sujet par deux vers de son
ami
Hilaire Belloc dont voici la traduction : L’amour de Dieu qui mène au
41
lisez-la, et si vous la lisez, ne dites pas à vos
amis
ce qui arrive avant qu’ils n’aient lu eux-mêmes le livre. J’espère qu
42
Kierkegaard lui-même avait aimé et honoré, comme
ami
de son père. Martensen, le successeur présumé de Mynster, prononçant
43
peur que son feu ne le consume », écrit un de ses
amis
, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de ré
44
rt et me voilà libre à nouveau, écrit Goethe à un
ami
en 1768, au sortir d’une grave maladie — ; cette calcination a été tr
45
de Réalité. (Et je ne parle ici à peu près que d’
amis
, parisiens au surplus.) Jamais, peut-être, une génération n’avait tro
46
grossir les rangs de ceux que les rédacteurs de l’
Ami
du Peuple appellent des révolutionnaires en peau de lapin, comme si c
47
pour l’amour du laurier, mais pour l’amour de son
ami
Clitus, poète abstrait à la mode de 1920, qu’Alexandre a conquis le m
48
t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des
amis
qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
49
nommaient « biondo e grassotto », et qu’avec mes
amis
nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers6 ». H
50
fous, mais il y a la manière. J’ai l’ennui de mon
ami
Gérard de Nerval, je bois une menthe à son souvenir. Si je buvais ass
51
se dans cette foule et ces musiques, deux visages
amis
me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
52
ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes
amis
. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
53
ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des
amis
m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
54
« Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon
amie
, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
55
ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque
amie
de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
56
tes que celle-ci : se promener dans les campagnes
amies
en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
57
phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes
amies
, je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad
58
se dans cette foule et ces musiques, deux visages
amis
me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
59
ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes
amis
. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
60
ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des
amis
m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
61
« Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon
amie
, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
62
es du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un
ami
aîné qui mentionne en passant la mort de sa belle-mère, survenue il y
63
ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque
amie
de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
64
tes que celle-ci : se promener dans les campagnes
amies
en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
65
. Secundo, j’ai envoyé à un certain nombre de mes
amis
la phrase suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par
66
de l’être. Comment lui résisterait-on ? C’est un
ami
. Il vous a reçus d’abord et vous a proposé ses façons et usages qu’il
67
us rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des
amis
intacts, et dont l’amitié seule avait mûri comme un bon vin. Et j’ai
68
nte des vignes vers le lac. Je pouvais dire à mes
amis
: là, dans ces arbres, au pied de cette colline, j’ai passé mon adole
69
« théologie dialectique » de Karl Barth et de ses
amis
de justifier une sorte de désintéressement radical à l’endroit des pr
70
voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes
amis
t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé
71
s arrachée en fin de séance par un député obscur,
ami
du colonial, du fonctionnaire ou du banquier, après la grande lutte l
72
’écris à ceux qui ont des oreilles pour entendre,
amis
que ma parole n’atteindrait pas, mais ce message. J’écris pour ceux q
73
philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques
amis
: « Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concern
74
sanctification par les œuvres. Karl Barth et ses
amis
n’ont pas manqué de critiquer vivement certaines des suppositions thé
75
s’en ira mourir à l’hôpital, en disant à son seul
ami
: « Salue tous les hommes ! Je les aimais bien tous… » Cela se passa
76
sent confus et mauvais, qu’allons-nous tirer, mes
amis
, sinon la négation d’un mal, et ce n’est pas encore le bien sauveur !
77
philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques
amis
: Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concerna
78
voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes
amis
t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé
79
termes d’affiches électorales, d’éditoriaux de l’
Ami
du Peuple, de « justifications » aux congrès radicaux : voilà qui est
80
philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques
amis
: Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concerna
81
voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes
amis
t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton pain t’ont dressé
82
termes d’affiches électorales, d’éditoriaux de l’
Ami
du Peuple, de « justifications » aux congrès radicaux : voilà qui est
83
uré dans son nouveau parti, il voyait ses anciens
amis
l’abandonner. L’homme qui venait d’« apaiser » par une boutade le con
84
ns — de nous représenter un « Jésus-homme », un «
ami
suprême », présent parmi nous, ramené à nos proportions idéalisées. C
85
nod, m’écriai-je, n’est-ce pas celui qu’un de mes
amis
, effrayé de son humanisme, a baptisé l’homme qui ne veut pas mourir ?
86
sobligeant, dis-je, pour l’un de mes collègues et
amis
les plus chers. Je serais fort curieux de savoir sur quoi vous appuye
87
effet, très exactement, mon point de vue, que mon
ami
Monod exprime ici. Le terrain du bon sens, eh oui ! c’est bien cela !
88
s coups de coude significatifs.) Enfin, mes chers
amis
, si le christianisme n’est pas une expérience, et je dis bien une exp
89
ince du paradoxe, comme l’appelle si joliment mon
ami
Monod. » Selon Nicodème, le terme d’existentiel n’était qu’une locuti
90
: « En vérité, en vérité, je te le dis ! »… Ô mes
amis
, qui d’entre vous a fait une telle expérience ? N’est-ce pas assez «
91
c’était justement l’accent de controverse de mes
amis
qui me jetait dans une sorte de honte… La confession de Nicodème m’av
92
e des salutistes, — pour ne rien dire de ces deux
amis
auxquels nous pensons tous ce soir et qui, du fond de leur prison, to
93
ngénieurs ou économistes — et de l’espèce la plus
amie
des abstractions, des solutions mathématiques, des statistiques et de
94
rue. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes
amis
français ! p. « Conversation avec un SA », L’Ordre nouveau, Paris, n
95
», est précédé de la note suivante : « Un de nos
amis
, retour d’Allemagne, nous communique des notes sur ses entretiens ave
96
adition et Révélation) (janvier 1936)k Que nos
amis
catholiques nous permettent de relever tout d’abord un défaut très co
97
A D. de Rougemont nous écrit d’Allemagne : « L’
ami
XXX n’a pas dû lire Mein Kampf. Ce n’est pas une “autobiographie” mai
98
, 16 mars 1936 (avril 1936)q Un témoin de nos
amis
nous envoie ces notes. Nous les publions à titre documentaire. Il fau
99
ührer est venu incarner, lui le pur, le simple, l’
ami
et le libérateur invincible… « Une ère nouvelle commence ici. » ⁂ Chr
100
ie conquérante. Ce n’est point par hasard que ces
amis
de l’URSS citent souvent Diderot, Helvétius et Voltaire, à l’appui de
101
’une profession. Henri Petit voudrait avoir été l’
ami
d’Ulysse. Le bref chapitre où il nous livre cet aveu éclaire une bonn
102
— pour les fascismes étrangers. Le Colonel et son
ami
Doriot viennent fermer ce cercle vicieux. Trouvera-t-on le moyen d’en
103
fice gratuit. Vieux Pragoislui aussi, Brod fut l’
ami
le plus intime de Franz Kafka. C’est lui qui s’est chargé de publier
104
piété même que voue Max Brod à la mémoire de son
ami
le retint d’entreprendre au lendemain de la mort de Kafka sa biograph
105
cupations sociales, les lectures qu’il fait à son
ami
, la brève idylle de Weimar… tout cela compose une description exacte
106
ie conquérante. Ce n’est point par hasard que ces
amis
de l’URSS citent souvent Diderot, Voltaire, à l’appui de leur foi nou
107
ie conquérante. Ce n’est point par hasard que ces
amis
de l’URSS citent souvent Diderot, Voltaire, à l’appui de leur foi nou
108
Nous faisons un appel pressant auprès de tous nos
amis
, frontistes ou non frontistes, pour qu’ils comprennent l’intérêt exce
109
umiliante évidence : sans auto, sans argent, sans
amis
proches, la solitude devient un isolement. Il y a « les gens », bien
110
e doctrine politique66. Mais pour Bataille et ses
amis
, l’« acéphalité » est aussi une doctrine métaphysique antichrétienne
111
: Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers
amis
! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui m’ont fait c
112
qu’ils trouvent en dépôt chez la mère Renaud : l’
Ami
du Peuple ou la France de Bordeaux, la feuille locale des curés ou ce
113
uverte et sérieuse. « Eh bien, messieurs et chers
amis
, nous allons procéder, selon votre coutume, à l’élection du bureau, p
114
ez les Juifs est presque communiste ! Jésus est l’
ami
des pauvres, des péagers. Malheureusement il y a le cléricalisme. C’e
115
sque toute la place. Abîme entre la politique des
amis
du peuple et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sensible que
116
ine à écrire. La mère Renaud, qui est une vieille
amie
des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir
117
ue argent à venir, j’ai accepté l’invitation d’un
ami
qui nous offre de passer trois semaines chez lui. Il habite à une pet
118
Barrès. La jeunesse personnaliste, déclara notre
ami
, repousse l’une et l’autre de ces trahisons, et affirme que la pensée
119
e ne fut guère qu’à la fin de sa carrière que son
ami
Engels en découvrit le danger. « Marx et moi — écrit-il en 1890 — nou
120
e Renaud (Renaud-de-la-Cure), qui est une vieille
amie
des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir
121
: Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers
amis
! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui m’ont fait c
122
qu’ils trouvent en dépôt chez la mère Renaud : l’
Ami
du Peuple ou la France de Bordeaux, la feuille locale des curés ou ce
123
J’en suis bien curieux. 13 décembre 1933 Un
ami
auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en
124
uverte et sérieuse. « Eh bien, Messieurs et chers
amis
, nous allons procéder, selon votre coutume, à l’élection du bureau, p
125
ez les Juifs est presque communiste ! Jésus est l’
ami
des pauvres, des péagers. Malheureusement il y a le cléricalisme. C’e
126
ue argent à venir, j’ai accepté l’invitation d’un
ami
qui nous offre de passer trois semaines chez lui. Il habite à une pet
127
vagabondage. Janvier 1934. (En séjour chez un
ami
près de Taillefer.) J’ai interrompu mes notes depuis quinze jours.
128
Nos conversations de ces jours derniers avec nos
amis
, et les précisions que j’ai dû fournir à des personnes curieuses de m
129
sque toute la place. Abîme entre la politique des
amis
du peuple, et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sensible qu
130
fle encore : au courrier de midi, l’offre par une
amie
, d’une maison pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une
131
ation à passer quinze jours dans un camp avec des
amis
en juillet. Tout cela probablement parce que j’étais à bout de ressou
132
à cette humiliante évidence : sans argent et sans
amis
proches, la solitude, ici, devient un isolement. Il y a « les gens »
133
esseur, écrivain, traducteur d’ouvrages français,
ami
de la France, séjournant en France, Aladár Kuncz, sujet hongrois, se
134
al où il mourut paisiblement en disant à son seul
ami
, le pasteur Boesen : « Salue tous les hommes de tua part, je les aima
135
geois inquiets, opposants complices. Et seuls mes
amis
juifs me donnaient du régime une interprétation étonnamment conforme
136
n même temps le plus européen par la culture. Des
amis
me proposèrent de l’aller voir à Esztergom, où il passe les étés. J’e
137
l’Église. À quoi je réponds : Croyez-vous, chers
amis
, que vous n’en parlez pas vous-mêmes ? Les chrétiens qui se lancent d
138
ion : « Nous sommes heureux de compter, parmi les
amis
et collaborateurs de la Vie protestante, M. Denis de Rougemont, le je
139
u’à ce qu’il n’en puisse plus… Je répondais à mon
ami
: — À chacun selon sa faim. Heureux ceux qui ont une grande faim, c’e
140
eur de montage a fait sauter la seconde (où notre
ami
Miatlev protestait de ne pas lire le nom de Lawrence parmi les premie
141
Journal (1935-1936) Fin d’octobre 1935 Des
amis
se sont étonnés de me voir accepter ce poste, offert par le hasard d’
142
aujourd’hui ma cotisation à la SA. Car je suis un
ami
de l’ordre. — Amen. Dans un autre numéro, l’article de tête est inti
143
au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l’
ami
et le libérateur invincible… J’ai envoyé un récit du discours à des
144
incible… J’ai envoyé un récit du discours à des
amis
de France : copie des notes de ce journal. Je n’ai ajouté que ceci, e
145
geois inquiets, opposants complices. Et seuls mes
amis
juifs me donnaient du régime une interprétation étonnamment conforme
146
sse, un jeune Allemand, vous sentirez, mes jeunes
amis
Français, la vanité d’avoir seulement raison. Hélas, on n’a jamais ra
147
devant la menace hitlérienne, un écrivain de nos
amis
se sentit pressé de parler, non point pour appeler les démocrates aux
148
st un grand effort moral. Quand j’ai envoyé à des
amis
de France le récit de la journée où j’ai vu Hitler en communion avec
149
de Nicolas sont dues à la plume de disciples ou d’
amis
des réformateurs : Myconius, de Zurich ; Ritter, de Saint-Gall ; Vale
150
r éternel. ⁂ Comme je parlais de ces choses à une
amie
: « J’ai connu, me dit-elle, un homme marié avec lequel ayant été coq
151
ique, qui est celle de Jean-Paul à la mort de ses
amis
, de Novalis perdant Sophie von Kühn ou de Nerval poursuivant l’image
152
e l’après-midi, je fus appelé au téléphone par un
ami
. Était-ce la guerre qu’on attendait d’une heure à l’autre ? C’était M
153
lle mission, veut rejoindre une dernière fois son
amie
, pendant la nuit qui précède son départ. Il franchit d’un saut l’espa
154
rmi les barons de son oncle. Il songe aussi à son
amie
, — pour la première fois semble-t-il ! Il songe que dans cette aventu
155
ristan, quel departie ! Mot est dolenz qui pert s’
amie
… C’est sur sa propre peine qu’il s’apitoie. Il n’a pas une pensée po
156
e qu’il s’apitoie. Il n’a pas une pensée pour « s’
amie
». Quant à elle, on sent bien qu’elle se trouve plus heureuse auprès
157
ouve plus heureuse auprès du roi qu’auprès de son
ami
; plus heureuse dans le malheur d’amour que dans leur vie commune du
158
médiable et désirée ! « Mot est dolenz qui pert s’
amie
» soupire Tristan. Pourtant il sent déjà, au fond de la nuit qui vien
159
ue, le frère d’Iseut aux blanches mains croit son
ami
amoureux de sa sœur. Cette erreur — provoquée par le nom des deux fem
160
ger, sous une loge d’aubépine, la dame a tenu son
ami
dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié : « Dieu ! c’est l’
161
r d’Aquitaine eut pour fils Richard Cœur de Lion,
ami
des troubadours gascons et troubadour lui-même, excommunié par Rome ;
162
z tenté de le croire, lorsqu’on voit Dante et son
ami
Cavalcanti s’élever contre leur maître Guittone d’Arezzo, et railler
163
ne l’ont jamais dit. C’est parce que Dante et ses
amis
sont amenés à définir leur art, qu’on surprend mieux qu’ailleurs chez
164
ut faire en sorte que sa maîtresse se donne à son
ami
Cléandre. D’où l’on conclut généralement que Corneille est le premier
165
la « religion nouvelle » rêvée par Novalis et ses
amis
: Elle aussi, l’ère du Christ, que Dieu nous voile, Passera, la Nouv
166
de consolation du vassal (ici avec la sœur de son
amie
, là avec son homonyme) — enfin dans les deux légendes, l’amour courto
167
fut autorisé et cessa de sentir pour sa première
amie
la tendresse qu’il lui avait portée d’abord. Après un mois, il revien
168
néglige. Ce n’est point tant la constance de son
amie
que la sienne propre qu’il veut mettre à l’épreuve. À cette variante
169
sujet n’a pas été sans surprendre certains de mes
amis
protestants, et — pour d’autres raisons sans doute — certains catholi
170
ique. Nous savons que par sa mère et par certains
amis
de celle-ci, tel le curé Matthias Hattinger, le jeune Nicolas avait s
171
subi l’influence très profonde du mouvement des «
Amis
de Dieu ». Initié en Alsace par le marchand Rulman Merswin, au xive
172
el, et des contacts qu’il dut avoir avec certains
Amis
de Dieu. Lorsqu’il quitta sa femme et ses enfants, son idée n’était-
173
dre en Alsace, pour y rejoindre des communautés d’
Amis
de Dieu dont Hattinger lui avait parlé ? Et la première visite qu’il
174
ne fut-elle pas précisément celle d’un pèlerin «
ami
de Dieu », peut-être délégué par le mouvement ? Les plus récents hist
175
ieure au formalisme romain, qu’ont représenté les
Amis
de Dieu. Et l’on conçoit que ce mouvement, rectifié et rendu plus sob
176
demande de Zwingli et de Vadian. C’est encore un
ami
de Vadian, Hermann Miles (ou Ritter) de Saint-Gall, qui mentionne le
177
èlerins.) Chant des pèlerins. 1. Loin du Pays
Amis
de Dieu Nous marchons dans la nuit Amis de Dieu Sans feu ni lieu Au s
178
n du Pays Amis de Dieu Nous marchons dans la nuit
Amis
de Dieu Sans feu ni lieu Au souffle de l’esprit. Les chiens aboient
179
rins ? Un des pèlerins. — On nous appelle les
Amis
de Dieu, ou les Sauvages. Nous sommes venus d’Alsace, pour voir le fr
180
e chef ! Nicolas. — Si Jésus-Christ est votre
ami
, pourquoi faut-il encore un autre chef ? Le pèlerin. — Écoute ! N