1
c l’odeur du limon. Nous marchions vers ces hauts
arbres
clairs, au tournant du fleuve, parmi les dissonances mélancoliques de
2
t. San Miniato sur sa colline. Derrière nous, les
arbres
se brouillent dans une buée sans couleurs, nous quittons un mystère à
3
et fraîche dans le vent. Et dans la Maladère, un
arbre
coupé découvrant le manoir perdu, des fumées sur un paysage d’hiver e
4
spects du paysage urbain vu par les poursuivants,
arbres
au ciel renversé, maisons obliques, montagnes russes. (J’ai regretté
5
t sans importance, car voici « l’heure des petits
arbres
pourpres, l’heure où dans les bibliothèques désertes glisse un grand
6
rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs,
arbres
et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
7
e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques
arbres
devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
8
e table et nous voyons, au milieu de la salle, un
arbre
de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
9
au de Gül Baba est symboliquement vide. Quant à l’
arbre
de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’étrangeté de son
10
aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
arbres
, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambr
11
e des collines basses grattées par les vents, aux
arbres
rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
12
s de ces terrains de sable noir, piqués de petits
arbres
et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
13
sur les collines derrière Nunobiki, au milieu des
arbres
, à côté d’un ruisseau, il passa trois heures et demie à lire tout l’É
14
s de surfaces et temporaires. (Les animaux et les
arbres
ne sont pas révolutionnaires.) Et ce n’est pas qu’il ait jamais crain
15
rulence. Mais Stuttgart, plus moderne, plante des
arbres
, espace des villas sur ses collines, s’aère et redevient une ville à
16
rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs,
arbres
et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
17
e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques
arbres
devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
18
e table et nous voyons, au milieu de la salle, un
arbre
de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
19
au de Gül Baba est symboliquement vide. Quant à l’
arbre
de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’étrangeté de son
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aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
arbres
, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Tr
21
e des collines basses grattées par les vents, aux
arbres
rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
22
s de ces terrains de sable noir, piqués de petits
arbres
et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
23
’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’
arbres
; plus près encore, des nuages troués de petits poissons. À gauche je
24
s bien perdu. La lumière montait vers la cime des
arbres
, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages e
25
s de son activité. En même temps elle se peuple d’
arbres
, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
26
es gens d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces
arbres
. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fa
27
sirai une maison isolée, la plus secrète dans les
arbres
de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… To
28
douce que toutes choses est la rencontre sous un
arbre
noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la
29
moi dans son véritable silence, les yeux clos. L’
arbre
, en sa nuit vivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regard
30
cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un
arbre
, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chau
31
abes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des
arbres
désirables, que ne vous ai-je donné ma vie ! Encore un peu, qu’on me
32
’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un
arbre
immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie
33
sse des cylindres. On voit paraître de plus hauts
arbres
et bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de grands cerfs de
34
u’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux
arbres
. Pour le capturer, les indigènes scient à moitié les troncs, et lorsq
35
moitié les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’
arbre
cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan.
36
tombée de la nuit dans les clairières, comme des
arbres
qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint
37
s dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes
arbres
de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la
38
rulence. Mais Stuttgart, plus moderne, plante des
arbres
, espace des villas sur ses collines, s’aère et redevient une ville à
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rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs,
arbres
et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
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e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques
arbres
devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
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e table et nous voyons, au milieu de la salle, un
arbre
de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
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aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
arbres
, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Tr
43
e des collines basses grattées par les vents, aux
arbres
rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
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s de ces terrains de sable noir, piqués de petits
arbres
et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
45
sse des cylindres. On voit paraître de plus hauts
arbres
et bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de grands cerfs de
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u’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux
arbres
. Pour le capturer, les indigènes scient à moitié les troncs, et lorsq
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moitié les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’
arbre
cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan.
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tombée de la nuit dans les clairières, comme des
arbres
qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint
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s dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes
arbres
de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la
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’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’
arbres
; plus près encore, des nuages troués de petits poissons. À gauche je
51
s bien perdu. La lumière montait vers la cime des
arbres
, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages e
52
s de son activité. En même temps elle se peuple d’
arbres
, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
53
es gens d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces
arbres
. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fa
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sirai une maison isolée, la plus secrète dans les
arbres
de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… To
55
douce que toutes choses est la rencontre sous un
arbre
noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la
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moi dans son véritable silence, les yeux clos. L’
arbre
, en sa nuit vivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regard
57
cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un
arbre
, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chau
58
abes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des
arbres
désirables, que ne vous ai-je donné ma vie ! Encore un peu, qu’on me
59
’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un
arbre
immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie
60
qui tournaient doucement vers une place plantée d’
arbres
et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
61
ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil
arbre
— il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
62
ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil
arbre
tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
63
le lac. Je pouvais dire à mes amis : là, dans ces
arbres
, au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce
64
duire l’orgueil humain en plaçant aux racines des
arbres
les plus nobles, au lieu d’un demi-dieu, d’un héros ou d’un saint, un
65
ses messages au fiancé suisse dans l’écorce d’un
arbre
, au fond du parc, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces page
66
orte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’
arbre
de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux
67
pas l’ordre. Elle peut tuer les bêtes, couper les
arbres
et peupler les déserts ; sur le principe animateur des choses, elle e
68
pres créatures. Alors il faut refaire un monde. L’
arbre
devient colonne et ne pose plus de question. Enfermé maintenant dans
69
orte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’
arbre
de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux
70
orte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’
arbre
de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux
71
même patine de crépuscule réunit les champs, les
arbres
, les maisons. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je deman
72
a Louisiane veulent avoir du fruit, ils coupent l’
arbre
au pied et cueillent le fruit. Voilà le gouvernement despotique. »
73
’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces
arbres
moirés et allègres. Tout est vu du premier regard, doucement compris,
74
aune, les habitants plantèrent à la Révolution un
arbre
de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplair
75
iment disposées, une photo de bateau, et un vieil
arbre
généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigou
76
aune, les habitants plantèrent à la Révolution un
arbre
de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux exemplaire
77
er à toit plat, et des fragments de silhouettes d’
arbres
devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’e
78
aune, les habitants plantèrent à la Révolution un
arbre
de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplair
79
Un stère de bois, 50 francs ; (il y a très peu d’
arbres
sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairag
80
iment disposées, une photo de bateau, et un vieil
arbre
généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigou
81
rement les hommes que j’y vois que j’y ferais des
arbres
qui se rencontrent dans vos forêts ou les animaux qui y paissent » (L
82
même patine de crépuscule roussit les champs, les
arbres
, les maisons. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je deman
83
’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces
arbres
moirés et allègres. Tout est vu du premier regard, doucement compris,
84
ent l’une l’autre. Zone : mélange de pylônes et d’
arbres
maigres, de champs pelés et de grands murs de briques interrompus ; t
85
enses, des enfants jouent pieds nus, heureux. Les
arbres
du boulevard sont encore verts, ici ; il y a de l’espace. Les masses
86
er à toit plat, et des fragments de silhouettes d’
arbres
devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’e
87
Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un
arbre
dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération)
88
ux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans
arbres
, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Tr
89
Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un
arbre
dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération)
90
campagnes, mais une nuit sans clair de lune, sans
arbres
et sans abois lointains. On y rôde en frôlant les murs, heurtant des
91
e. — Tristan banni de la cour. Rendez-vous sous l’
arbre
. — Tristan revient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont séparés
92
es qui gouvernent le tournoi et la chasse167 ». L’
Arbre
des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où
93
re et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’
Arbre
Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or.
94
ction d’environ 500 termes, comme par exemple : «
Arbres
morts ». — Les catholiques. Les troubadours traitaient les membres du
95
urs traitaient les membres du clergé catholique d’
arbres
automnals morts. « Albigéisme, albigeois ». — Mots introuvables dans
96
e. — Tristan banni de la cour. Rendez-vous sous l’
arbre
. — Tristan revient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont séparés
97
es qui gouvernent le tournoi et la chasse185 ». L’
Arbre
des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où
98
re et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’
Arbre
Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or.
99
e. — Tristan banni de la cour. Rendez-vous sous l’
arbre
. — Tristan revient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont séparés
100
elles qui gouvernent le tournoi et la chasse. » L’
Arbre
des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où
101
re et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’
Arbre
Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or.
102
ction d’environ 500 termes, comme par exemple : «
Arbres
morts ». — Les catholiques. Les troubadours traitaient les membres du
103
urs traitaient les membres du clergé catholique d’
arbres
automnals morts. « Albigéisme, albigeois ». — Mots introuvables dans
104
on s’est ingénié à conserver, ici ou là, un grand
arbre
isolé, témoin de la Prairie. Trois pistes blanches délimitées par des
105
réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les
arbres
du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
106
répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
arbres
du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
107
it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’
arbre
qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
108
xième temps de la tentation : La femme vit que l’
arbre
était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
109
loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des
arbres
du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
110
appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’
arbre
dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
111
femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’
arbre
, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
112
t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les
arbres
, dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
113
sponsable, soit que l’on court se cacher dans les
arbres
avec le sot espoir que Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans l
114
des nuées sans eau, poussées par les vents ; des
arbres
d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des vagues furieu
115
réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les
arbres
du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
116
répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
arbres
du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
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it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’
arbre
qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
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ième temps de la tentation : « La femme vit que l’
arbre
était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
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loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des
arbres
du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
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appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’
arbre
dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
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femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’
arbre
, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
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t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les
arbres
, dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
123
ponsable, soit que l’on courre se cacher dans les
arbres
avec le sot espoir que Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans l
124
des nuées sans eau, poussées par les vents ; des
arbres
d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des vagues furieu
125
réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les
arbres
du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
126
répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
arbres
du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
127
it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’
arbre
qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
128
uxième temps de la tentation : La femme vit que l’
arbre
était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
129
loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des
arbres
du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
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appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’
arbre
dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
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femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’
arbre
, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
132
t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les
arbres
, dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
133
ponsable, soit que l’on courre se cacher dans les
arbres
avec le sot espoir que Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans l
134
des nuées sans eau, poussées par les vents ; des
arbres
d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des vagues furieu
135
qui tournaient doucement vers une place plantée d’
arbres
et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
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ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil
arbre
— il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
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ce était mémoire et allusion, elle était ce vieil
arbre
tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
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réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les
arbres
du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
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répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
arbres
du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
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it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’
arbre
qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
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ème temps de la tentation : « La femme vit que l’
arbre
était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
142
loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des
arbres
du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
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appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’
arbre
dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
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femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’
arbre
, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
145
t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les
arbres
, dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
146
e l’a su. Mais quand nous contemplons de loin cet
arbre
vénérable, aux basses branches parfois bizarrement tordues, mais qui
147
télaire (peut-être un peu commun), mais un de ces
arbres
étranges qui poussent d’un jet, donnent une fleur unique, puis meuren
148
spérée, contre la torpeur écrasante qui tombe des
arbres
et du ciel. Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétue
149
les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’
arbre
immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
150
qui tournaient doucement vers une place plantée d’
arbres
et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
151
ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil
arbre
— il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
152
ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil
arbre
tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
153
nger, mais plus étrangement accueillant. Tous ces
arbres
si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacée
154
. Hors-série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’
arbres
, de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
155
les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’
arbre
immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
156
anades, aux terrains vagues envahis d’herbes. Les
arbres
cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière
157
. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’
arbres
, de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
158
sée par leur adresse — allument des feux avec des
arbres
de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’immenses cartonnages goud
159
on s’est ingénié à conserver, ici ou là, un grand
arbre
isolé, témoin de la prairie. Trois pistes blanches délimitées par des
160
campagnes. Mais une nuit sans clair de lune, sans
arbres
et sans abois dans le lointain. On y rôde en frôlant les murs, heurta
161
nger, mais plus étrangement accueillant. Tous ces
arbres
si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacée
162
éparées par une large bande gazonnée et plantée d’
arbres
, c’est une ivresse que de s’y laisser porter à cent-dix à l’heure en
163
anades, aux terrains vagues envahis d’herbes. Les
arbres
cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière
164
dans chaque maison, près de la fenêtre, un petit
arbre
où des lampes électriques multicolores remplacent les bougies ; dans
165
spérée, contre la torpeur écrasante qui tombe des
arbres
et du ciel. Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétue
166
tée : c’est immense, sur un promontoire emplumé d’
arbres
échevelés par les tempêtes, mais doucement entouré de trois côtés par
167
. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’
arbres
, de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
168
qui tournaient doucement vers une place plantée d’
arbres
et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
169
ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil
arbre
— il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
170
ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil
arbre
tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
171
sée par leur adresse — allument des feux avec des
arbres
de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’immenses cartonnages goud
172
les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’
arbre
immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
173
rulence. Mais Stuttgart, plus moderne, plante des
arbres
, espace des villas sur ses collines, s’aère et redevient une ville à
174
sse des cylindres. On voit paraître de plus hauts
arbres
et bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de grands cerfs de
175
u’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux
arbres
. Pour le capturer, les indigènes scient à moitié les troncs, et lorsq
176
moitié les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’
arbre
cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan.
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tombée de la nuit dans les clairières, comme des
arbres
qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint
178
s dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes
arbres
de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la
179
rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs,
arbres
et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
180
e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques
arbres
devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
181
e table et nous voyons, au milieu de la salle, un
arbre
de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
182
aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
arbres
, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambr
183
e des collines basses grattées par les vents, aux
arbres
rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
184
s de ces terrains de sable noir, piqués de petits
arbres
et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
185
’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’
arbres
; plus près encore, des nuages troués de petits poissons. À gauche je
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s bien perdu. La lumière montait vers la cime des
arbres
, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages e
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s de son activité. En même temps elle se peuple d’
arbres
, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
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es gens d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces
arbres
. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fa
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sirai une maison isolée, la plus secrète dans les
arbres
de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… To
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douce que toutes choses est la rencontre sous un
arbre
noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la
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moi dans son véritable silence, les yeux clos. L’
arbre
, en sa nuit vivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regard
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cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un
arbre
, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chau
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abes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des
arbres
désirables, que ne vous ai-je donné ma vie ! Encore un peu, qu’on me
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’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un
arbre
immense, ni des femmes, mais de soi-même sourdement, dans l’insomnie
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aune, les habitants plantèrent à la Révolution un
arbre
de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplair
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Un stère de bois, 50 francs ; (il y a très peu d’
arbres
sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairag
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iment disposées, une photo de bateau, et un vieil
arbre
généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigou
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rement les hommes que j’y vois que j’y ferais des
arbres
qui se rencontrent dans vos forêts ou les animaux qui y paissent » (L
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er à toit plat, et des fragments de silhouettes d’
arbres
devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’e
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même patine de crépuscule roussit les champs, les
arbres
, les maisons. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je deman
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’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces
arbres
moirés et allègres. Tout est vu du premier regard, doucement compris,
202
ent l’une l’autre. Zone : mélange de pylônes et d’
arbres
maigres, de champs pelés et de grands murs de briques interrompus ; t
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enses, des enfants jouent pieds nus, heureux. Les
arbres
du boulevard sont encore verts, ici : il y a de l’espace. Les masses
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Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un
arbre
dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération)
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campagnes. Mais une nuit sans clair de lune, sans
arbres
et sans abois dans le lointain. On y rôde en frôlant les murs, heurta
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nger, mais plus étrangement accueillant. Tous ces
arbres
si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacée
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éparées par une large bande gazonnée et plantée d’
arbres
, c’est une ivresse que de s’y laisser porter à cent-dix à l’heure en
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anades, aux terrains vagues envahis d’herbes. Les
arbres
cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière
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dans chaque maison, près de la fenêtre, un petit
arbre
où des lampes électriques multicolores remplacent les bougies ; dans
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vent en criant. Milliers, centaines de milliers d’
arbres
(deux millions à la Armonia) et qui furent plantés un à un dans la pa
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spérée, contre la torpeur écrasante qui tombe des
arbres
et du ciel. Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétue
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tée : c’est immense, sur un promontoire emplumé d’
arbres
échevelés par les tempêtes, mais doucement entouré de trois côtés par
213
. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’
arbres
, de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
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qui tournaient doucement vers une place plantée d’
arbres
et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
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ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil
arbre
— il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
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ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil
arbre
tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
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les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’
arbre
immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
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sée par leur adresse — allument des feux avec des
arbres
de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’immenses cartonnages goud
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aine. C’est immense, sur un promontoire emplumé d’
arbres
échevelés par les tempêtes, mais doucement entouré de trois côtés par
220
n de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’
arbres
pleins d’oiseaux. C’est d’ici que partit, en 1939, la fameuse lettre
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vait demandé qu’on plante devant sa résidence une
arbre
d’une espèce rare ; et comme le jardinier lui objectait que ces arbre
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are ; et comme le jardinier lui objectait que ces
arbres
-là prennent plus d’un siècle à se développer : « Vous voyez, riposta
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urs tout nu, je mords les feuilles, je griffe les
arbres
, j’embrasse la terre, je dors par terre, et quand je me réveille couv
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on s’est ingénié à conserver, ici et là, un grand
arbre
isolé, témoin de la Prairie. Trois pistes blanches délimitées par des
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n de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’
arbres
pleins d’oiseaux. Il s’avança vers moi, souriant de ses gros yeux ble
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générale sont à peu près celles de la graine à l’
arbre
. Qu’est-ce qu’une graine ? C’est un objet hautement organisé, achevé
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oids minime d’humus, les autres donnent un nouvel
arbre
. Notre État fédéral mourra, certes, lui aussi, ainsi que meurent tous
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le lac. Je pouvais dire à mes amis : là, dans ces
arbres
, au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce
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duire l’orgueil humain en plaçant aux racines des
arbres
les plus nobles, au lieu d’un demi-dieu, d’un héros ou d’un saint, un
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ses messages au fiancé suisse dans l’écorce d’un
arbre
, au fond du parc, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces page