1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 c l’odeur du limon. Nous marchions vers ces hauts arbres clairs, au tournant du fleuve, parmi les dissonances mélancoliques de
2 t. San Miniato sur sa colline. Derrière nous, les arbres se brouillent dans une buée sans couleurs, nous quittons un mystère à
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
3 et fraîche dans le vent. Et dans la Maladère, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des fumées sur un paysage d’hiver e
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 spects du paysage urbain vu par les poursuivants, arbres au ciel renversé, maisons obliques, montagnes russes. (J’ai regretté
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
5 t sans importance, car voici « l’heure des petits arbres pourpres, l’heure où dans les bibliothèques désertes glisse un grand
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
6 rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
7 e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
8 e table et nous voyons, au milieu de la salle, un arbre de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
9 au de Gül Baba est symboliquement vide. Quant à l’ arbre de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’étrangeté de son
10 aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres , et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambr
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
11 e des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
12 s de ces terrains de sable noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
13 sur les collines derrière Nunobiki, au milieu des arbres , à côté d’un ruisseau, il passa trois heures et demie à lire tout l’É
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
14 s de surfaces et temporaires. (Les animaux et les arbres ne sont pas révolutionnaires.) Et ce n’est pas qu’il ait jamais crain
9 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
15 rulence. Mais Stuttgart, plus moderne, plante des arbres , espace des villas sur ses collines, s’aère et redevient une ville à
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
17 e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
18 e table et nous voyons, au milieu de la salle, un arbre de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
19 au de Gül Baba est symboliquement vide. Quant à l’ arbre de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’étrangeté de son
20 aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres , et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Tr
21 e des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
22 s de ces terrains de sable noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 ’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’ arbres  ; plus près encore, des nuages troués de petits poissons. À gauche je
24 s bien perdu. La lumière montait vers la cime des arbres , aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages e
25 s de son activité. En même temps elle se peuple d’ arbres , de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
26 es gens d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces arbres . 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fa
27 sirai une maison isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… To
28 douce que toutes choses est la rencontre sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la
29 moi dans son véritable silence, les yeux clos. L’ arbre , en sa nuit vivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regard
30 cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un arbre , ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chau
31 abes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirables, que ne vous ai-je donné ma vie ! Encore un peu, qu’on me
32 ’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
33 sse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de grands cerfs de
34 u’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres . Pour le capturer, les indigènes scient à moitié les troncs, et lorsq
35 moitié les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’ arbre cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan.
36 tombée de la nuit dans les clairières, comme des arbres qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint
37 s dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
38 rulence. Mais Stuttgart, plus moderne, plante des arbres , espace des villas sur ses collines, s’aère et redevient une ville à
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
39 rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
40 e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
41 e table et nous voyons, au milieu de la salle, un arbre de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
42 aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres , et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Tr
43 e des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
44 s de ces terrains de sable noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
45 sse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de grands cerfs de
46 u’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres . Pour le capturer, les indigènes scient à moitié les troncs, et lorsq
47 moitié les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’ arbre cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan.
48 tombée de la nuit dans les clairières, comme des arbres qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint
49 s dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
50 ’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’ arbres  ; plus près encore, des nuages troués de petits poissons. À gauche je
51 s bien perdu. La lumière montait vers la cime des arbres , aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages e
52 s de son activité. En même temps elle se peuple d’ arbres , de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
53 es gens d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces arbres . 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fa
54 sirai une maison isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… To
55 douce que toutes choses est la rencontre sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la
56 moi dans son véritable silence, les yeux clos. L’ arbre , en sa nuit vivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regard
57 cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un arbre , ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chau
58 abes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirables, que ne vous ai-je donné ma vie ! Encore un peu, qu’on me
59 ’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
60 qui tournaient doucement vers une place plantée d’ arbres et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
61 ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
62 ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil arbre tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
63 le lac. Je pouvais dire à mes amis : là, dans ces arbres , au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
64 duire l’orgueil humain en plaçant aux racines des arbres les plus nobles, au lieu d’un demi-dieu, d’un héros ou d’un saint, un
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
65 ses messages au fiancé suisse dans l’écorce d’un arbre , au fond du parc, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces page
21 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
66 orte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’ arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux
22 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
67 pas l’ordre. Elle peut tuer les bêtes, couper les arbres et peupler les déserts ; sur le principe animateur des choses, elle e
68 pres créatures. Alors il faut refaire un monde. L’ arbre devient colonne et ne pose plus de question. Enfermé maintenant dans
23 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
69 orte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’ arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux
24 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
70 orte un jugement d’humaniste, mange du fruit de l’ arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux
25 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
71 même patine de crépuscule réunit les champs, les arbres , les maisons. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je deman
26 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
72 a Louisiane veulent avoir du fruit, ils coupent l’ arbre au pied et cueillent le fruit. Voilà le gouvernement despotique. »
27 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
73 ’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard, doucement compris,
28 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
74 aune, les habitants plantèrent à la Révolution un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplair
75 iment disposées, une photo de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigou
29 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
76 aune, les habitants plantèrent à la Révolution un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux exemplaire
30 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
77 er à toit plat, et des fragments de silhouettes d’ arbres devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’e
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
78 aune, les habitants plantèrent à la Révolution un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplair
79 Un stère de bois, 50 francs ; (il y a très peu d’ arbres sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairag
80 iment disposées, une photo de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigou
81 rement les hommes que j’y vois que j’y ferais des arbres qui se rencontrent dans vos forêts ou les animaux qui y paissent » (L
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
82 même patine de crépuscule roussit les champs, les arbres , les maisons. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je deman
83 ’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard, doucement compris,
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
84 ent l’une l’autre. Zone : mélange de pylônes et d’ arbres maigres, de champs pelés et de grands murs de briques interrompus ; t
85 enses, des enfants jouent pieds nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts, ici ; il y a de l’espace. Les masses
34 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
86 er à toit plat, et des fragments de silhouettes d’ arbres devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’e
35 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
87 Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération)
36 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
88 ux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans arbres , et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Tr
37 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
89 Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération)
38 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
90 campagnes, mais une nuit sans clair de lune, sans arbres et sans abois lointains. On y rôde en frôlant les murs, heurtant des
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
91 e. — Tristan banni de la cour. Rendez-vous sous l’ arbre . — Tristan revient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont séparés
40 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
92 es qui gouvernent le tournoi et la chasse167 ». L’ Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où
93 re et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’ Arbre Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. 
41 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
94 ction d’environ 500 termes, comme par exemple : «  Arbres morts ». — Les catholiques. Les troubadours traitaient les membres du
95 urs traitaient les membres du clergé catholique d’ arbres automnals morts. « Albigéisme, albigeois ». — Mots introuvables dans
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
96 e. — Tristan banni de la cour. Rendez-vous sous l’ arbre . — Tristan revient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont séparés
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
97 es qui gouvernent le tournoi et la chasse185 ». L’ Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où
98 re et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’ Arbre Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. 
44 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
99 e. — Tristan banni de la cour. Rendez-vous sous l’ arbre . — Tristan revient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont séparés
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
100 elles qui gouvernent le tournoi et la chasse. » L’ Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où
101 re et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’ Arbre Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. 
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
102 ction d’environ 500 termes, comme par exemple : «  Arbres morts ». — Les catholiques. Les troubadours traitaient les membres du
103 urs traitaient les membres du clergé catholique d’ arbres automnals morts. « Albigéisme, albigeois ». — Mots introuvables dans
47 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
104 on s’est ingénié à conserver, ici ou là, un grand arbre isolé, témoin de la Prairie. Trois pistes blanches délimitées par des
48 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
105 réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
106 répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
107 it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’ arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
108 xième temps de la tentation : La femme vit que l’ arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
49 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
109 loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
110 appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’ arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
111 femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’ arbre , et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
112 t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les arbres , dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
113 sponsable, soit que l’on court se cacher dans les arbres avec le sot espoir que Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans l
50 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
114 des nuées sans eau, poussées par les vents ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des vagues furieu
51 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
115 réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
116 répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
117 it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’ arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
118 ième temps de la tentation : « La femme vit que l’ arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
52 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
119 loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
120 appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’ arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
121 femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’ arbre , et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
122 t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les arbres , dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
123 ponsable, soit que l’on courre se cacher dans les arbres avec le sot espoir que Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans l
53 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
124 des nuées sans eau, poussées par les vents ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des vagues furieu
54 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
125 réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
126 répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
127 it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’ arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
128 uxième temps de la tentation : La femme vit que l’ arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
55 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
129 loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
130 appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’ arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
131 femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’ arbre , et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
132 t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les arbres , dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
133 ponsable, soit que l’on courre se cacher dans les arbres avec le sot espoir que Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans l
56 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
134 des nuées sans eau, poussées par les vents ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des vagues furieu
57 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
135 qui tournaient doucement vers une place plantée d’ arbres et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
136 ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
137 ce était mémoire et allusion, elle était ce vieil arbre tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
58 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
138 réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des
139 répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin
140 it des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’ arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et
141 ème temps de la tentation : « La femme vit que l’ arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour
59 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
142 loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?
143 appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’ arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que t
144 femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’ arbre , et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
145 t l’aveu de leurs fautes, vont se cacher dans les arbres , dans la foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence où l’on peut
60 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
146 e l’a su. Mais quand nous contemplons de loin cet arbre vénérable, aux basses branches parfois bizarrement tordues, mais qui
147 télaire (peut-être un peu commun), mais un de ces arbres étranges qui poussent d’un jet, donnent une fleur unique, puis meuren
61 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
148 spérée, contre la torpeur écrasante qui tombe des arbres et du ciel. Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétue
62 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
149 les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’ arbre immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
63 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
150 qui tournaient doucement vers une place plantée d’ arbres et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
151 ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
152 ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil arbre tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
64 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
153 nger, mais plus étrangement accueillant. Tous ces arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacée
65 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
154 . Hors-série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’ arbres , de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
66 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
155 les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’ arbre immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
67 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
156 anades, aux terrains vagues envahis d’herbes. Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière
157 . Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’ arbres , de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
158 sée par leur adresse — allument des feux avec des arbres de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’immenses cartonnages goud
159 on s’est ingénié à conserver, ici ou là, un grand arbre isolé, témoin de la prairie. Trois pistes blanches délimitées par des
68 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
160 campagnes. Mais une nuit sans clair de lune, sans arbres et sans abois dans le lointain. On y rôde en frôlant les murs, heurta
69 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
161 nger, mais plus étrangement accueillant. Tous ces arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacée
70 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
162 éparées par une large bande gazonnée et plantée d’ arbres , c’est une ivresse que de s’y laisser porter à cent-dix à l’heure en
163 anades, aux terrains vagues envahis d’herbes. Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière
164 dans chaque maison, près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multicolores remplacent les bougies ; dans
71 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
165 spérée, contre la torpeur écrasante qui tombe des arbres et du ciel. Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétue
166 tée : c’est immense, sur un promontoire emplumé d’ arbres échevelés par les tempêtes, mais doucement entouré de trois côtés par
72 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
167 . Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’ arbres , de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
73 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
168 qui tournaient doucement vers une place plantée d’ arbres et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
169 ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
170 ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil arbre tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
74 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
171 sée par leur adresse — allument des feux avec des arbres de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’immenses cartonnages goud
172 les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’ arbre immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
173 rulence. Mais Stuttgart, plus moderne, plante des arbres , espace des villas sur ses collines, s’aère et redevient une ville à
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
174 sse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de grands cerfs de
175 u’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres . Pour le capturer, les indigènes scient à moitié les troncs, et lorsq
176 moitié les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’ arbre cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan.
177 tombée de la nuit dans les clairières, comme des arbres qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint
178 s dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
179 rs cinq heures à travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal,
180 e seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu élevée, à demi recouverte de rosiers, et
181 e table et nous voyons, au milieu de la salle, un arbre de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures,
182 aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres , et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambr
183 e des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette heure on sent
184 s de ces terrains de sable noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debr
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
185 ’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’ arbres  ; plus près encore, des nuages troués de petits poissons. À gauche je
186 s bien perdu. La lumière montait vers la cime des arbres , aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages e
187 s de son activité. En même temps elle se peuple d’ arbres , de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
188 es gens d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces arbres . 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fa
189 sirai une maison isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… To
190 douce que toutes choses est la rencontre sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la
191 moi dans son véritable silence, les yeux clos. L’ arbre , en sa nuit vivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regard
192 cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un arbre , ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chau
193 abes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirables, que ne vous ai-je donné ma vie ! Encore un peu, qu’on me
194 ’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même sourdement, dans l’insomnie
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
195 aune, les habitants plantèrent à la Révolution un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplair
196 Un stère de bois, 50 francs ; (il y a très peu d’ arbres sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairag
197 iment disposées, une photo de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigou
198 rement les hommes que j’y vois que j’y ferais des arbres qui se rencontrent dans vos forêts ou les animaux qui y paissent » (L
199 er à toit plat, et des fragments de silhouettes d’ arbres devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’e
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
200 même patine de crépuscule roussit les champs, les arbres , les maisons. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je deman
201 ’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard, doucement compris,
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
202 ent l’une l’autre. Zone : mélange de pylônes et d’ arbres maigres, de champs pelés et de grands murs de briques interrompus ; t
203 enses, des enfants jouent pieds nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts, ici : il y a de l’espace. Les masses
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
204 Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération)
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
205 campagnes. Mais une nuit sans clair de lune, sans arbres et sans abois dans le lointain. On y rôde en frôlant les murs, heurta
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
206 nger, mais plus étrangement accueillant. Tous ces arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacée
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
207 éparées par une large bande gazonnée et plantée d’ arbres , c’est une ivresse que de s’y laisser porter à cent-dix à l’heure en
208 anades, aux terrains vagues envahis d’herbes. Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière
209 dans chaque maison, près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multicolores remplacent les bougies ; dans
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
210 vent en criant. Milliers, centaines de milliers d’ arbres (deux millions à la Armonia) et qui furent plantés un à un dans la pa
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
211 spérée, contre la torpeur écrasante qui tombe des arbres et du ciel. Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétue
212 tée : c’est immense, sur un promontoire emplumé d’ arbres échevelés par les tempêtes, mais doucement entouré de trois côtés par
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
213 . Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’ arbres , de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
214 qui tournaient doucement vers une place plantée d’ arbres et déserte, aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime.
215 ou bien dans la contemplation jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance, et notre possession
216 ce était mémoire et allusion. Elle était ce vieil arbre tenace. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux, ou la g
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
217 les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’ arbre immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un
91 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
218 sée par leur adresse — allument des feux avec des arbres de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’immenses cartonnages goud
92 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
219 aine. C’est immense, sur un promontoire emplumé d’ arbres échevelés par les tempêtes, mais doucement entouré de trois côtés par
93 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
220 n de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’ arbres pleins d’oiseaux. C’est d’ici que partit, en 1939, la fameuse lettre
221 vait demandé qu’on plante devant sa résidence une arbre d’une espèce rare ; et comme le jardinier lui objectait que ces arbre
222 are ; et comme le jardinier lui objectait que ces arbres -là prennent plus d’un siècle à se développer : « Vous voyez, riposta
94 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
223 urs tout nu, je mords les feuilles, je griffe les arbres , j’embrasse la terre, je dors par terre, et quand je me réveille couv
95 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
224 on s’est ingénié à conserver, ici et là, un grand arbre isolé, témoin de la Prairie. Trois pistes blanches délimitées par des
96 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
225 n de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’ arbres pleins d’oiseaux. Il s’avança vers moi, souriant de ses gros yeux ble
97 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
226 générale sont à peu près celles de la graine à l’ arbre . Qu’est-ce qu’une graine ? C’est un objet hautement organisé, achevé
227 oids minime d’humus, les autres donnent un nouvel arbre . Notre État fédéral mourra, certes, lui aussi, ainsi que meurent tous
98 1948, Suite neuchâteloise. I
228 le lac. Je pouvais dire à mes amis : là, dans ces arbres , au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce
99 1948, Suite neuchâteloise. IV
229 duire l’orgueil humain en plaçant aux racines des arbres les plus nobles, au lieu d’un demi-dieu, d’un héros ou d’un saint, un
100 1948, Suite neuchâteloise. V
230 ses messages au fiancé suisse dans l’écorce d’un arbre , au fond du parc, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces page