1
Société ; ils savent que pour lutter il faut des
armes
et ne méprisent pas la culture ; sans autre parti pris que celui de v
2
uisante et tournante. L’esprit de Cocteau est une
arme
admirable de précision, d’élégance mécanique et de rapidité. Il lasse
3
ocratique, égalité, légalité, sont les meilleures
armes
de la bassesse contre toute valeur réelle, absolue.
4
ocratique, égalité, légalité, sont les meilleures
armes
de la bassesse contre toute valeur réelle, absolue.
5
l’entrée du Palais par les gardes présentant les
armes
. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent
6
sera le silence à personne, mais fera prendre les
armes
à quelques-uns. Phrase cardinale, au seuil de l’ère révolutionnaire —
7
casquettes. La cour fait son entrée — maniement d’
armes
— dépose sur la table sabres et képis, s’assied pour écouter : tout e
8
se, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une
arme
normale. La brutalité du moins est loyale jusque dans ses excès. L’ha
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l’entrée du Palais par les gardes présentant les
armes
. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent
10
s les forêts de chasse : on allait deux à deux, l’
arme
en ballant, durant des heures sans dire un mot, — car il ne fallait p
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se, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une
arme
normale. La brutalité du moins est loyale jusque dans ses excès. L’ha
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l’entrée du Palais par les gardes présentant les
armes
. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent
13
onnées interminables dans les forêts de chasse, l’
arme
en ballant, durant des heures sans dire un mot, — car il ne faut pas
14
ur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’
armes
martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable — que dis-
15
os ou d’un saint, un singe au naturel, en guise d’
armes
parlantes du beau mythe de l’Égalité… Et pourtant si le « grand Oster
16
pirituelle fasse défaut, l’armée ne sera plus une
arme
entre ses mains déficientes. On pourra peut-être payer encore la trou
17
eut-être, s’il allait au-devant de ces voix, sans
armes
, les mains nues, au risque de sa vie, peut-être alors le secret du gr
18
lir, à douter de lui-même, l’armée n’est plus une
arme
entre les mains des gouvernants. Tout régime, si bien armé qu’il soit
19
n provoqué lui-même l’insurrection. La première
arme
d’une révolution véritable, c’est la doctrine de l’ordre qu’elle ente
20
is livré au sadisme des fonctionnaires, comme une
arme
nouvelle pour opprimer la région ou la profession dans laquelle se po
21
lir, à douter de lui-même, l’armée n’est plus une
arme
entre les mains des gouvernants. Tout régime, si bien armé qu’il soit
22
non provoqué lui-même l’insurrection. La première
arme
d’une révolution véritable, c’est la doctrine de l’ordre qu’elle ente
23
n : il a su prendre à l’adversaire ses meilleures
armes
. Au sujet de ce style, dont l’exemple n’est pas l’un des plus néglige
24
hacun de notre côté. 31. Wehrsport : sport des
armes
. Exercices de marche en campagne auxquels se livrent une fois par sem
25
uand l’autorité disparaît, l’armée n’est plus une
arme
entre les mains déficientes du chef. Car les insignes du pouvoir n’on
26
matériellement », la mitrailleuse n’étant qu’une
arme
« dialectique » lorsqu’elle est maniée par un vrai marxiste, au servi
27
des ». Puis c’est Hitler qui prend ses meilleures
armes
au socialisme. Enfin, pour liquider les derniers bolchevistes — avec
28
el. Et les bons écrivains, qui n’ont pas d’autres
armes
, se voient privés de tous moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus,
29
rgeois libérait. Le bourgeois désormais possède l’
arme
morale qui lui permettra de construire. À ce moment, la culture est t
30
iété bourgeoise, son lieu commun fondamental, son
arme
défensive et offensive, enfin sa norme de vérité et d’action, il me s
31
e ou de Moscou) s’accorderont à reconnaître que l’
arme
de la bourgeoisie, dans ses luttes sociales et morales, scientifiques
32
e à mi-chemin de ses ambitions, Marx a repris les
armes
de l’Encyclopédie : son rappel vigoureux aux réalités économiques est
33
el. Et les bons écrivains, qui n’ont pas d’autres
armes
, se voient privés de tous moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus,
34
forte demande à la radio. On préfère l’appel aux
armes
à un appel à l’existence. On préfère l’idée d’un massacre à l’incarna
35
e cette force disparaisse, l’armée n’est plus une
arme
, entre les mains de l’État ou du chef, car les insignes du pouvoir ne
36
r aux origines n’est qu’un moyen de retremper nos
armes
pour un combat dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le but,
37
rgeois libérait. Le bourgeois désormais possède l’
arme
morale qui lui permettra de construire. À ce moment, la culture est t
38
iété bourgeoise, son lieu commun fondamental, son
arme
défensive et offensive, enfin sa norme de vérité et d’action, il me s
39
e ou de Moscou) s’accorderont à reconnaître que l’
arme
de la bourgeoisie, dans ses luttes sociales et morales, scientifiques
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e à mi-chemin de ses ambitions, Marx a repris les
armes
de l’Encyclopédie : son rappel vigoureux aux réalités économiques est
41
el. Et les bons écrivains, qui n’ont pas d’autres
armes
, se voient privés de tous moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus,
42
rte demande sur les ondes. On préfère l’appel aux
armes
à un appel à l’existence. On préfère l’idée d’un massacre à l’incarna
43
e cette force disparaisse, l’armée n’est plus une
arme
, entre les mains de l’État ou du chef, car les insignes du pouvoir ne
44
r aux origines n’est qu’un moyen de retremper nos
armes
pour un combat dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le but,
45
sur ce terrain, où elles disposent des meilleures
armes
? Je persiste à croire, malgré tout, que c’est elles qui résoudront l
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qu’elle institue, c’est se priver des meilleures
armes
dont nous disposions contre la brutalité. La vraie violence est en dé
47
on rose. J’ai toujours pensé que c’étaient là les
armes
de l’esprit contre le commerce. Deux-mille pages ou un feuillet, mais
48
qui la défend. Je ne crois pas d’ailleurs que les
armes
matérielles soient pour nous une défense suffisante. Je vois bien qu’
49
entier, avec ses classes et ses institutions, ses
armes
, ses charrues et ses machines, ses légendes, son histoire, sa morale
50
e47. Or cette critique philosophique est la seule
arme
dont il disposerait sur le plan de l’« esprit », car il est incroyant
51
ique ne peut évidemment remplacer la critique des
armes
» (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en user, cer
52
ent un dernier retour, guerriers qui déposent les
armes
avant la décision mortelle. Concession, la raison de Pascal, et lors
53
ouvrière s’est effondrée sans faire usage de ses
armes
. Le capital est en bonne voie d’étatisation sans douleur. Idéalisme e
54
vie normale. Il s’agira maintenant d’utiliser les
armes
. Nul n’ignore que la guerre moderne est devenue la guerre totale. C’e
55
rifice qu’on met ordinairement dans le métier des
armes
, il est certain qu’on obtiendrait des résultats considérables. Il fau
56
lisme religieux, ou sacral. Il exigea d’entrer en
armes
et sur le champ dans les territoires sudètes. Une cession purement di
57
. Les autres pensaient que l’exigence d’entrer en
armes
était une « querelle d’Allemands », une rodomontade gratuite, puisqu’
58
e libre était attestée par le droit de porter une
arme
à la guerre et de la conserver à son foyer en temps de paix. La ville
59
inaire affectivité qui s’attache dans ce pays aux
armes
, à la chose guerrière. Je ne puis m’empêcher de trouver vaguement obs
60
bien mieux en esprit. 12. Wehrsport : sport des
armes
. Exercices de marche en campagne auxquels se livrent une fois par sem
61
ouvrière s’est effondrée sans faire usage de ses
armes
. Le capital est en bonne voie d’étatisation sans douleur. Idéalisme e
62
parler, non point pour appeler les démocrates aux
armes
, mais simplement pour leur montrer, dans la mesure de ses moyens, que
63
scisme lui-même. Car je prétends que ma meilleure
arme
contre lui est justement ma faculté de distinguer ses forces et ses f
64
sses « objectivement »4. Si vous me retirez cette
arme
, vous me transformez en un fasciste honteux, qui sera certainement ba
65
it pour les vieux Germains le droit de porter une
arme
et de la garder chez soi. Il est donc assez naturel que le congrès de
66
onds, dirigées par M. Charles Taller, Fanfare des
Armes
réunies, dirigée par M. Piéron, régie de M. Jean Kiehl.) Beaucoup d’e
67
les amants, l’on se rappelle qu’il substitue son
arme
à celle de son rival. Cela signifie qu’à l’obstacle désiré et libreme
68
des hommes et d’abattre des champions par force d’
armes
: il s’agit des choses spirituelles. Et vous y prîtes la couronne d’o
70
s significative. Et plus tard, l’introduction des
armes
à feu devait donner lieu à d’innombrables plaisanteries à double sens
71
evaliers en reconnaissance abandonnent la cotte d’
armes
afin de ne pas être, en revenant, obligés de reculer en vêtements gue
72
ments guerriers. Maintenant, revêtu de sa cotte d’
armes
, il ne peut donc revenir sur ses pas ; il passe la nuit dans l’endroi
73
e la Table ronde. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’
Armes
dit de la Fontaine des Pleurs est basé sur une aventure romanesque im
74
onditions décrites par les « chapitres » du pas d’
armes
. C’est à cheval qu’il faut toucher les boucliers : les chevaliers tro
75
et s’appelle le chevalier au cygne, ou porte les
armes
de Lancelot, de Tristan ou de Palamedes… Le plus souvent, un voile de
76
e militaire (jeûnes prolongés avant l’épreuve des
armes
) ; les conventions permettant de déterminer le vainqueur (c’est par e
77
danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’
armes
et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus
78
he d’une personnalité). On réprouvait l’usage des
armes
à feu comme contraire à la dignité de l’individu. (Le condottiere Pao
79
ent encore les invectives de l’Arioste contre les
armes
à feu. Au surplus, dit Guichardin, « les Français avaient une artille
80
milice des condottieri « la plupart des hommes d’
armes
étaient ou paysans ou de la lie du peuple, presque toujours sujets d’
81
ésentait comme une armée nationale : « Les gens d’
armes
étaient presque tous sujets du Roi et gentilshommes » ce qui les empê
82
re guerre injuste, et je ne reprendrai jamais les
armes
— que s’il faut défendre ma terre ! (Il s’en va lentement vers la co
83
s l’ont payée, de leur famine. Si vous prenez les
armes
, on vous écrasera, et vous perdrez votre seule force, la justice !
84
rde, frère Claus ! Le Téméraire vous guette, il s’
arme
! Que pourrez-vous, seuls contre lui ? Nicolas. — Tu l’avoues don
85
’entends ! Il crie : Alerte ! Diesbach. — Aux
armes
, les Suisses ! L’armée du duc a franchi nos frontières ! Défendons-no
86
est pas nous, c’est le Destin qui l’a voulu ! Aux
armes
! (Le ciel devient rouge.) Chœur des suisses. (Il font un pas lou
87
hallebardes avec un mugissement bas et bref.) Aux
armes
! Chœur des puissances. Nuit de colère et de vengeance ! Incendi
88
la malice des temps, mais aussi la valeur de nos
armes
(se tournant vers les ambassadeurs) — qu’on se le dise ! — considéran
89
z aujourd’hui être forts. Nos pères prenaient les
armes
pour défendre leur droit : Vous parlez aujourd’hui de conquêtes. Quan
90
r nous ! Nuit lugubre et sans sommeil — rythmée d’
armes
martelées — Ha ! ha ! — Meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparabl
91
Pitié pour nous ! Le chœur (parlé). Veillée d’
armes
! Qu’entends-tu ? — Minuit sonne ! (Douze coups.) D’où nous viendra l
92
au sang jeune et violent tendent la main vers les
armes
luisantes, il est trop tard pour avertir. Vous n’avez plus besoin de
93
! Tout s’apprête pour la guerre ! Soldats rangés,
armes
fourbies, regards de haine, sans un mot ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Souti
94
la terre s’épouvante ! (Nuit, éclairs, bruits d’
armes
.) (Le chœur continue à chanter sourdement, à bouche fermée. Les assis
95
les amants, l’on se rappelle qu’il substitue son
arme
à celle de son rival. Cela signifie qu’à l’obstacle désiré et libreme
96
es hommes et d’abattre des champions par forces d’
armes
: il s’agit des choses spirituelles. Et vous y prîtes la couronne d’o
98
s significative. Et plus tard, l’introduction des
armes
à feu devait donner lieu à d’innombrables plaisanteries à double sens
99
evaliers en reconnaissance abandonnent la cotte d’
armes
afin de ne pas être, en revenant, obligés de reculer en vêtements gue
100
ments guerriers. Maintenant, revêtu de sa cotte d’
armes
, il ne peut donc revenir sur ses pas ; il passe la nuit dans l’endroi
101
e la Table ronde. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’
Armes
dit de la Fontaine des Pleurs est basé sur une aventure romanesque im
102
es conditions décrites par les chapitres du pas d’
armes
. C’est à cheval qu’il faut toucher les boucliers : les chevaliers tro
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et s’appelle le chevalier au cygne, ou porte les
armes
de Lancelot, de Tristan ou de Palamedes… Le plus souvent, un voile de
104
e militaire (jeûnes prolongés avant l’épreuve des
armes
) ; les conventions permettant de déterminer le vainqueur (c’est par e
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danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’
armes
et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus
106
he d’une personnalité.) On réprouvait l’usage des
armes
à feu comme contraire à la dignité de l’individu. (Le condottiere Pao
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ent encore les invectives de l’Arioste contre les
armes
à feu. Au surplus, dit Guichardin, « les Français avaient une artille
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milice des condottieri « la plupart des hommes d’
armes
étaient ou paysans ou de la lie du peuple, presque toujours sujets d’
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ésentait comme une armée nationale : « Les gens d’
armes
étaient presque tous sujets du Roi et gentilshommes » ce qui les empê
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les amants, l’on se rappelle qu’il substitue son
arme
à celle de son rival. Cela signifie qu’à l’obstacle désiré et libreme
111
des hommes et d’abattre des champions par force d’
armes
: il s’agit des choses spirituelles. Et vous y prîtes la couronne d’o
113
s significative. Et plus tard, l’introduction des
armes
à feu devait donner lieu à d’innombrables plaisanteries à double sens
114
evaliers en reconnaissance abandonnent la cotte d’
armes
afin de ne pas être, en revenant, obligés de reculer en vêtements gue
115
ments guerriers. Maintenant, revêtu de sa cotte d’
armes
, il ne peut donc revenir sur ses pas ; il passe la nuit dans l’endroi
116
e la Table ronde. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’
Armes
dit de la Fontaine des Pleurs est basé sur une aventure romanesque im
117
onditions décrites par les « chapitres » du pas d’
armes
. C’est à cheval qu’il faut toucher les boucliers : les chevaliers tro
118
n et s’appelle le chevalier au cygne ou porte les
armes
de Lancelot, de Tristan ou de Palamedes… Le plus souvent, un voile de
119
e militaire (jeûnes prolongés avant l’épreuve des
armes
) ; les conventions permettant de déterminer le vainqueur (c’est par e
120
danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’
armes
et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus
121
he d’une personnalité). On réprouvait l’usage des
armes
à feu comme contraire à la dignité de l’individu. (Le condottiere Pao
122
ent encore les invectives de l’Arioste contre les
armes
à feu. Au surplus, « les Français avaient une artillerie plus légère,
123
milice des condottieri « la plupart des hommes d’
armes
étaient ou paysans ou de la lie du peuple, presque toujours sujets d’
124
ésentait comme une armée nationale : « Les gens d’
armes
étaient presque tous sujets du Roi et gentilshommes » ce qui les empê
125
pour chaturanga, qui signifie les quatre angas ou
armes
: les fantassins, les cavaliers, les chars et les éléphants) la pièce
126
ses juges, qu’il leur rend par avance toutes ses
armes
? Mais ce serait un mauvais calcul. Aux yeux d’un lecteur prévenu, ta
127
ppel. Alors les écrivains, qui n’ont pas d’autres
armes
que les mots, se voient privés de tout moyen d’agir. Leurs conseils,
128
dernière goutte du sang des citoyens. Assurer les
armes
à la main l’intégrité du sol de la patrie, voilà qui ne faisait pas d
129
ilieux où cette erreur est professée y voient une
arme
non pas contre l’Allemagne, mais d’abord contre la Réforme : l’assimi
130
t attaquer avec succès que si l’on est sûr de ses
armes
, et solidement appuyé par l’arrière. Quand on parle d’une vocation de
131
u mortel, quand les canons détruisaient l’art des
armes
, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un ch
132
, enguirlandé au coin de ses tableaux ; ce sera l’
arme
réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libertés ; et maintenan
133
a pensée qui anime tous ces essais. L’épreuve des
armes
nous attend peut-être ; mais nous courons déjà l’épreuve des âmes. Or
134
appel. Alors les écrivains qui n’ont pas d’autres
armes
que les mots se voient privés de tout moyen d’agir. Leurs conseils, l
135
qui la défend. Je ne crois pas d’ailleurs que les
armes
matérielles soient pour nous une défense suffisante27. Je vois bien q
136
ernière goutte du sang des citoyens. Assurer, les
armes
à la main, l’intégrité du sol de la patrie, voilà qui ne faisait pas
137
t attaquer avec succès que si l’on est sûr de ses
armes
, et solidement appuyé par l’arrière. Il en va de même dans la vie spi
138
pas tort, mais ils sont certainement battus. L’«
arme
secrète » dont on parle souvent, c’est simplement la propagande. Tout
139
de citoyens libres, possédant chacun ses propres
armes
et portant fièrement son fusil, ses munitions et son équipement milit
140
ait par ce fait : il avait le droit de porter des
armes
. Les Suisses considèrent leurs armes comme un symbole de leur liberté
141
e porter des armes. Les Suisses considèrent leurs
armes
comme un symbole de leur liberté. Les libertés civiques et l’esprit m
142
. La possession par chaque citoyen de ses propres
armes
, montre d’une façon concrète que l’État lui fait confiance. Imaginez
143
ilisés avaient le droit d’emporter chez eux leurs
armes
et leurs munitions ! En France, après l’Armistice, on offrit cent-mil
144
écoratif. La possession par chacun de ses propres
armes
a également une importance technique qui n’est nullement à négliger.
145
lligence froide, et en même temps, par toutes les
armes
de la foi, de l’espérance et de la charité, dont il ignore la puissan
146
n du diable, en me servant parfois de ses propres
armes
. Et pendant que j’écris, la Russie oppose à Hitler masse pour masse,
147
cines, mais aussi l’art de se farder et l’art des
armes
. C’était apprendre aux hommes à se faire plus beaux ou plus puissants
148
lligence froide, et en même temps, par toutes les
armes
de la foi, de l’espérance et de la charité, dont il ignore la puissan
149
n du diable, en me servant parfois de ses propres
armes
. Et pendant que j’écris, la Russie oppose au fascisme masse pour mass
150
cines, mais aussi l’art de se farder et l’art des
armes
. C’était apprendre aux hommes à se faire plus beaux et plus puissants
151
lligence froide, et en même temps, par toutes les
armes
de la foi, de l’espérance et de la charité, dont il ignore la puissan
152
n du diable, en me servant parfois de ses propres
armes
. Et pendant que j’écris, la Russie oppose au fascisme masse pour mass
153
rd vif s’est révélé face au danger. Il manquait d’
armes
, il lutte avec sa dignité impénétrable aux tentations de la Brute. On
154
uyé par une interdiction absolue de fabriquer des
armes
et d’enseigner à s’en servir ? Je ne sais pas mieux que la plupart ce
155
ent un dernier retour, guerriers qui déposent les
armes
avant la décision mortelle. Concession, la raison de Pascal, et lors
156
ses juges, qu’il leur rend par avance toutes ses
armes
? Mais ce serait un mauvais calcul. Aux yeux d’un lecteur prévenu, ta
157
y consacrer son ingéniosité à faire des arts, des
armes
et des lois, de la politique, des robes et une littérature, plus quel
158
traire. Le triomphe d’un régime. Une idée. Et une
arme
. (Je n’ai guère parlé que de ces trois sujets dans mes chroniques pré
159
lobale », comme disent les Anglo-Saxons. Et cette
arme
, c’est la bombe atomique. Or, remarquez que la démocratie triomphante
160
triomphante (en théorie), l’idée planétaire, et l’
arme
vingt mille fois plus puissante que toutes les autres jouent dans le
161
ombe atomique, il se voit doté du même coup d’une
arme
proportionnée à l’ampleur de sa tâche, qui est de faire la police des
162
qui est de faire la police des nations, et d’une
arme
qui, par nature, serait démesurée pour un seul peuple, tandis qu’elle
163
séquences, que si vous tirez devant vous avec une
arme
assez puissante, vous recevrez le projectile dans le dos, au prochain
164
paraissent pouvoir être mesurées à la portée des
armes
connues dans cette époque. (Vous avez ici les prémices d’une théorie
165
s d’une théorie sociologique flambant neuve.) À l’
arme
planétaire correspond donc une communauté universelle, qui relègue le
166
is leur objectif principal, ou si l’on veut, leur
arme
favorite, reste l’information toute nue, ou presque. Sur trente-deux
167
prospère d’autant mieux qu’elle sera dotée d’une
arme
de plus. Admettons que l’on invente une parade à la Bombe, selon l’ax
168
uvaient riposter, et la valeur militaire de cette
arme
était loin de compenser, même à ses yeux, le risque moral qu’il eût c
169
de ce siècle. Je vais les caractériser par leurs
armes
ou leurs méthodes favorites. Le livre s’intitulera donc Crémation, li
170
uccédant aux ténèbres du Moyen Âge. Car ces trois
armes
bien modernes correspondent à trois conceptions grandioses de la vie.
171
uvaient riposter, et la valeur militaire de cette
arme
était loin de compenser, même à ses yeux, le risque moral qu’il eût c
172
séquences, que si vous tirez devant vous avec une
arme
assez puissante vous recevrez le projectile dans le dos, au prochain
173
paraissent pouvoir être mesurées à la portée des
armes
connues dans cette époque. (Vous avez ici les prémices d’une théorie
174
d’une théorie sociologique flambant neuve !) À l’
arme
planétaire correspond donc une communauté universelle, qui relègue le
175
r le coup ; et, de plus, elle l’a gagnée avec une
arme
qu’elle se trouve seule à posséder pour le moment. Voilà bien des rai
176
et qu’au surplus, on en faisait autant, avec des
armes
fournies par certains ministères. Si j’en crois ces deux ex-adversair
177
sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’
armes
martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable — que dis-