1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
1 omplets rigides contenant des Anglais fragiles. L’ aube tire un écran de pluies sur le paysage commercial. Terminus : Morand,
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 la seule vue d’un liquide me soulevait le cœur. L’ aube parut. On éteignit toutes les lampes, et les couples charlestonnaient
3 es s’éloignent de moi vertigineusement, par cette aube incolore. Il y a vingt-quatre heures donc, j’étais encore au bal. Cet
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 je venais de régler le sort, puisque demain dès l’ aube , j’irai tenter la misère aux yeux las pleins de rêves, la misère qui
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
5 des anges parmi les formes de l’ombre C’était l’ aube et le sourire adorable de savoir la dansante liberté d’un désir à sa
5 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
6 ntenant je suis seul à redescendre au jour dans l’ aube sans refuges… VI Prisonnier de la nuit mais plus libre qu’un ange p
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 s loisirs obsédés du jaloux, le travail jusqu’à l’ aube , la naissance d’un visage dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 trôleur a dû jouer un rôle dans mes cauchemars. L’ aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre, pantal
8 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
9 ur de toi déroule ses lents drapeaux dans une aube sans frontières nos corps sont dans l’autre nuit mais c’est ici
9 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
10 temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’ aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
11 din monte sans fin dans le frisson désespéré de l’ aube , — et nous, au bord du péristyle arrêtés, au bord de la nuit qui nous
12 it de très près, entre la nuit qui s’évapore et l’ aube encore vacillante, le vide absurde où s’en vont nos plaisirs et d’où
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 trôleur a dû jouer un rôle dans mes cauchemars. L’ aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre, pantal
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
14 s loisirs obsédés du jaloux, le travail jusqu’à l’ aube , la naissance d’un visage dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux
13 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
15 iré tu les aimes ; mais tu sais qu’au soleil de l’ aube aussi d’autres fois tu l’as possédé. Tu comprends maintenant qu’il ne
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
16 temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’ aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
17 din monte sans fin dans le frisson désespéré de l’ aube , — et nous, au bord du péristyle arrêtés, au bord de la nuit qui nous
18 it de très près, entre la nuit qui s’évapore et l’ aube encore vacillante, le vide absurde où s’en vont nos plaisirs et d’où
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 trôleur a dû jouer un rôle dans mes cauchemars. L’ aube m’éveille dans le faubourg de Budapest, cheveux en désordre, pantalon
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
20 tre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l’ aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour américain !
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
21 uit, heure où le crépuscule enfin se meurt dans l’ aube , à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac sombre au fond
19 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
22 f. Comme l’indique la note, il s’agit d’Avant l’ aube (Éditions « Je sers ») dont Rougemont donne une recension dans Foi et
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
23 ande partie de la nuit. Il aimait se promener à l’ aube . Puis il se remettait à écrire. Vers midi, on le voyait parcourir la
21 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
24 u’on a traduite en France sous ce titre : Avant l’ aube e. Voilà bien le chrétien dans la cité : l’homme au service des homme
22 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
25 dans un chaos brillant d’où montent des vapeurs d’ aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me crie Simard. ⁂ Hier il pleuv
23 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
26 utôt de la quitter quand on le peut. Si par cette aube de novembre, sur les grands quais de ce port atlantique, j’en étais à
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
27 out près. La tempête est venue brusquement avec l’ aube . Depuis une heure nous battions la semelle sur les quais déserts de c
28 tôt de la quitter quand on le peut. Si, par cette aube de novembre, sur les grands quais de ce port atlantique, j’en étais à
25 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
29 s humides. Rien de plus lugubre que l’île avant l’ aube . On n’a pas l’impression qu’elle dort, mais qu’elle est morte. L’auto
26 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
30 dans un chaos brillant d’où montent des vapeurs d’ aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me crie Simard. ⁂ Hier il pleuv
27 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
31 es qu’il venait de composer tout en marchant. À l’ aube , il s’accordait quelque répit, errait sur les quais déserts du port,
28 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
32 ù Brangaine du haut de la tour jette le cri des «  aubes  » mystiques : « Prenez garde ! prenez garde ! Voici que la nuit cède
29 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
33 Je n’ai pas vu les troupes : elles ont passé à l’ aube , en direction du Rhin. — Est-ce la guerre ? m’a demandé le vendeur du
30 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
34 attend dans la nuit désertique des hauteurs. Une aube vient. C’est encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est
35 ique des hauteurs. Une aube vient. C’est encore l’ aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de c
31 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
36 tain la mort du père fut annoncée au fils. Dans l’ aube sinistre, tu me cherchais, de plus en plus inquiète, lorsque le fils
32 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
37 nheil qui prie la vraie 49 Lumière en attendant l’ aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir à son « copain » de
38 ère en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir à son « copain » de route, et donc d’épreuves dans
39 us revu depuis la nuit venue Et bientôt viendra l’ aube . Mais à la fin de la chanson, le troubadour a-t-il trahi ses vœux ?
40 riche est ce séjour Que ne veux jamais plus voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de mère naquit La tiens dedans me
41 es bras, donc plus ne me soucie Ni de jaloux ni d’ aube . Ce rossignol allègrement vient de lancer le trille dont Wagner, au
42 ation de son esprit, et qu’elle s’évanouit avec l’ aube . Ailleurs, c’est la « princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependa
43 orrection significative pour l’initié. 50. Les «  aubes  » étaient un genre régulier. On conçoit sa nécessité dans une vision
44 Jour et de la Nuit. Voici le début d’une autre «  aube  » anonyme : « En un verger, sous une loge d’aubépine, la dame a tenu
45 ’à ce que le guetteur ait crié : « Dieu ! c’est l’ aube . Qu’elle vient donc vite ! » Dans le Tristan de Wagner, le guetteur,
33 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
46 ariage qu’ait jamais pu vouloir l’Éros. Voici « l’ aube  » profane, encore une fois, le monde encore une fois qui recommence,
47 upplie que le matin ne renaisse plus (thème des «  aubes  ») : Que ton feu spirituel dévore mon corps, qu’en une étreinte aéri
48 r de la passion de la Nuit. Mais il n’est point d’ aube mystique à l’horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au somme
49 clairage annonce que le jour meurt, et que déjà l’ aube n’est plus qu’un crépuscule vainement exalté. ⁂ Un second lieu commun
34 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
50 tent les documents les plus formels, c’est qu’à l’ aube , le curé redescendu à Stans parvint à réunir les députés, et leur tra
35 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
51 oral ii.) 4. Librement inspiré d’une Chanson d’ aube du troubadour Folquet de Marseille.
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
52 tain la mort du père fut annoncée au fils. Dans l’ aube sinistre, tu me cherchais, de plus en plus inquiète, lorsque le fils
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
53 joyeux et fous, chantant l’amour, le printemps, l’ aube , les vergers fleuris et la Dame ? Tout notre rationalisme moderne app
54 nheil qui prie la vraie 49 lumière en attendant l’ aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir à son « copain » de
55 ère en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir à son « copain » de route, et donc d’épreuves dans
56 depuis la nuit venue         Et bientôt viendra l’ aube . Mais à la fin de la chanson, le troubadour a-t-il trahi ses vœux ?
57 riche est ce séjour Que ne veux jamais plus voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de mère naquit La tient dedans me
58 donc plus ne me soucie         Ni de jaloux ni d’ aube . Ce rossignol allègrement vient de lancer le trille dont Wagner au d
59 eloppe ! » Tout comme dans ce début d’une autre «  aube  »50 anonyme : En un verger, sous une loge d’aubépine, la dame a tenu
60 qu’à ce que le guetteur ait crié : Dieu ! c’est l’ aube . Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrais, mon Dieu, que la nu
61 t que jamais le guetteur n’annonçât le lever de l’ aube  ! Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! » Mais cette « belle
62 ur n’annonçât le lever de l’aube ! Dieu ! c’est l’ aube . Qu’elle vient donc vite ! » Mais cette « belle qui toujours dit non 
63 ation de son esprit, et qu’elle s’évanouit avec l’ aube . Ailleurs, c’est la « princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependa
64 orrection significative pour l’initié. 50. Les «  aubes  » étaient un genre régulier. On conçoit sa nécessité dans une vision
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
65 ariage qu’ait jamais pu vouloir l’Éros. Voici « l’ aube  » profane, encore une fois, le monde encore une fois qui recommence,
66 upplie que le matin ne renaisse plus (thème des «  aubes  ») : Que ton feu spirituel dévore mon corps, qu’en une étreinte aéri
67 r de la passion de la Nuit. Mais il n’est point d’ aube mystique à l’horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au somme
68 clairage annonce que le jour meurt, et que déjà l’ aube n’est plus qu’un crépuscule vainement exalté. ⁂ Un second lieu commun
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
69 tain la mort du père fut annoncée au fils. Dans l’ aube sinistre, tu me cherchais, de plus en plus inquiète, lorsque le fils
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
70 t fous, dit-on, chantant l’amour, le printemps, l’ aube , les vergers fleuris et la Dame ? Tout notre rationalisme moderne app
71 nheil qui prie la vraie 42 lumière en attendant l’ aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir à son « copain » de
72 ère en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir à son « copain » de route, et donc d’épreuves dans
73 us revu depuis la nuit venue Et bientôt viendra l’ aube . Mais à la fin de la chanson, le troubadour a-t-il trahi ses vœux ?
74 riche est ce séjour Que ne veux jamais plus voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de mère naquit La tient dedans me
75 es bras, donc plus ne me soucie Ni de jaloux ni d’ aube . Ce rossignol allègrement vient de lancer le trille dont Wagner, au
76 eloppe ! » Tout comme dans ce début d’une autre «  aube  »43 anonyme : En un verger, sous une loge d’aubépine, la dame a tenu
77 qu’à ce que le guetteur ait crié : Dieu ! c’est l’ aube . Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrais, mon Dieu, que la nu
78 t que jamais le guetteur n’annonçât le lever de l’ aube  ! Dieu ! c’est l’aube. Quelle vient donc vite ! Mais cette « belle
79 ur n’annonçât le lever de l’aube ! Dieu ! c’est l’ aube . Quelle vient donc vite ! Mais cette « belle qui toujours dit non »
80 ation de son esprit, et qu’elle s’évanouit avec l’ aube . Ailleurs, c’est la « princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependa
81 orrection significative pour l’initié. 43. Les «  aubes  » étaient un genre régulier. On conçoit sa nécessité dans une vision
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
82 ariage qu’ait jamais pu vouloir l’Éros. Voici « l’ aube  » profane, encore une fois, le monde encore une fois qui recommence,
83 upplie que le matin ne renaisse plus (thème des «  aubes  ») : Que ton feu spirituel dévore mon corps, qu’en une étreinte aéri
84 r de la passion de la Nuit. Mais il n’est point d’ aube mystique à l’horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au somme
85 clairage annonce que le jour meurt, et que déjà l’ aube n’est plus qu’un crépuscule vainement exalté. ⁂ Un second lieu commun
42 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
86 ns dans mes bras, ma fille. II. Le marché de l’ aube — Choisis la pierre de tes vœux, lui disait le petit marchand à la
87 ie. Pour la deuxième fois, il alla au marché de l’ aube . — Choisis la pierre de tes vœux, lui dit l’homme à barbiche de prêtr
88 isième fois, il se leva pour aller au marché de l’ aube . — Tu n’as plus rien, lui dit le petit vieillard, je ne te vendrai ri
89 paraboles : À la porte du jardin, Le marché de l’ aube , Le coup de pistolet », Lettres françaises, Buenos Aires, n° 2, 1er o
43 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
90 elles réfutent les sophismes de l’Abîme comme une aube d’été évapore les brumes ! On dit que le démon aime l’heure de minuit
44 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
91 elles réfutent les sophismes de l’Abîme comme une aube d’été évapore les brumes ! On dit que le démon aime l’heure de minuit
45 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
92 elles réfutent les sophismes de l’Abîme comme une aube d’été évapore les brumes ! On dit que le démon aime l’heure de minuit
46 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
93 e perdre dans des yeux. (Certaines heures, soirs, aubes , passages.) L’ivresse naissante des amants, c’est le silence qui s’ét
94 en ses ombres. Ainsi passent les heures d’avant l’ aube , dans le dépaysement de l’âme et les métamorphoses indicibles. Lui s’
95 aginaire et désespérément consciente de l’Être. L’ aube point. L’esprit se tourne vers les choses et les dénomme d’un regard.
47 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
96 s passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’ aube … Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fi
48 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
97 les phrases qu’il composait tout en marchant. À l’ aube , il s’accordait quelque répit, errait sur les quais déserts du port,
49 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
98 nvention « qui signifie la fin de l’humanité ou l’ aube d’un âge d’or » à votre choix. Déjà, le syndicat des ouvriers de l’in
50 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
99 ger proche, — ce crépuscule qui est peut-être une aube , et la frange de cet éclat qui doit consumer toute chair. Dans cette
100 s les jours. Comme il parlait encore, une lueur d’ aube apparut et grandit autour d’eux. Toutes choses replongées dans la stu
51 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
101 tre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l’ aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour américain !
52 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
102 nvention « qui signifie la fin de l’humanité ou l’ aube d’un âge d’or » à votre choix. Déjà, le Syndicat des ouvriers de l’in
53 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
103 tre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l’ aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour américain !
54 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
104 s passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’ aube … Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fi
55 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
105 de plus facile. Sa voiture viendra me prendre à l’ aube , pour me conduire à 300 km seulement de la ville. J’aurai deux chevau
56 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
106 inis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’ aube froide, quelques bonnes femmes et un jeune homme devant le vieux prêt
57 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
107 tre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l’ aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour américain !
58 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
108 nvention « qui signifie la fin de l’humanité ou l’ aube d’un âge d’or » à votre choix. Déjà, le syndicat des ouvriers de l’in
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
109 temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’ aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
110 din monte sans fin dans le frisson désespéré de l’ aube , — et nous, au bord du péristyle arrêtés, au bord de la nuit qui nous
111 it de très près, entre la nuit qui s’évapore et l’ aube encore vacillante, le vide absurde où s’en vont nos plaisirs et d’où
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
112 trôleur a dû jouer un rôle dans mes cauchemars. L’ aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre, pantal
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
113 out près. La tempête est venue brusquement avec l’ aube . Depuis une heure nous battions la semelle sur les quais déserts de c
114 tôt de la quitter quand on le peut. Si, par cette aube de novembre, sur les grands quais de ce port atlantique, j’en étais à
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
115 s humides. Rien de plus lugubre que l’île avant l’ aube . On n’a pas l’impression qu’elle dort, mais qu’elle est morte. L’auto
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
116 dans un chaos brillant d’où montent des vapeurs d’ aube d’été. — Un vrai temps de Pâques ! me crie Simard. ⁂ Hier il pleuvait
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
117 Je n’ai pas vu les troupes : elles ont passé à l’ aube , en direction du Rhin. « Est-ce la guerre ? m’a demandé le vendeur du
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
118 s passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’ aube … Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fi
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
119 de plus facile. Sa voiture viendra me prendre à l’ aube , pour me conduire à trois-cents kilomètres seulement de la ville. J’a
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
120 inis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’ aube froide, quelques bonnes femmes et un jeune homme devant le vieux prêt
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
121 tre jour, le même amour, mais le cour s’ouvre — l’ aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour américain !
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
122 nvention « qui signifie la fin de l’humanité ou l’ aube d’un âge d’or » à votre choix. Déjà, le syndicat des ouvriers de l’in
71 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
123 inis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’ aube froide, quelques bonnes femmes et un jeune homme devant le vieux prêt
72 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
124 ien » désiré je les aime. Pourtant je sais qu’à l’ aube aussi, d’autres fois, je l’ai possédé… Maintenant, je n’ai plus à cho
73 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
125 e perdre dans des yeux. (Certaines heures, soirs, aubes , passages.) L’ivresse naissante des amants, c’est le silence qui s’ét
126 en ses ombres. Ainsi passent les heures d’avant l’ aube , dans le dépaysement de l’âme et les métamorphoses indicibles. Lui s’
127 aginaire et désespérément consciente de l’Être. L’ aube point. L’esprit se tourne vers les choses et les dénomme d’un regard.
74 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
128 attend dans la nuit désertique des hauteurs. Une aube vient. C’est encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est
129 ique des hauteurs. Une aube vient. C’est encore l’ aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de c
75 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
130 anger proche, ce crépuscule qui est peut-être une aube , et la frange de cet éclat qui doit consumer toute chair. Dans cette
131 les jours. » Comme il parlait encore, une lueur d’ aube apparut et grandit autour d’eux. Toutes choses replongées dans la stu
76 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
132 uit, heure où le crépuscule enfin se meurt dans l’ aube , à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac sombre au fond
77 1948, Suite neuchâteloise. VII
133 uit, heure où le crépuscule enfin se meurt dans l’ aube , à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac sombre au fond
78 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
134 consécutive à la Renaissance, et consommée dès l’ aube de l’ère technique, qui a donné libre cours à l’extrémisme occidental
79 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
135 isme français de Proudhon.) Nouvelle étape, dès l’ aube du xix e siècle. Du fait des guerres napoléoniennes, la Russie va se
80 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
136 auvaise formule d’union, qui ne peut survivre à l’ aube  ! Si l’Orient et l’Occident doivent un jour converger au lieu de s’ig
81 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
137 ell 1984. Il y eut d’abord ce titre subversif à l’ aube du siècle : Les Illusions du progrès, de Georges Sorel. Puis on se mi
82 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
138 auvaise formule d’union, qui ne peut survivre à l’ aube . Si l’Orient et l’Occident doivent un jour converger au lieu de s’ign
83 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
139 consécutive à la Renaissance, et consommée dès l’ aube de l’ère technique, qui a donné libre cours à l’extrémisme occidental
84 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
140 pparaît qu’au crépuscule du xviiie siècle et à l’ aube du xixe siècle, en même temps que le capitalisme et les institutions
85 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
141 a TV qui avaient besoin de la pleine lumière de l’ aube . » Le résultat n’est pas mauvais, si l’on en juge par les photos extr
86 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
142 la jeunesse de Pékin, le 27 septembre 1958 : À l’ aube des trompettes sonnèrent et des sifflets retentirent pour le rassembl
87 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
143 me de la personne ainsi constituée se produit à l’ aube de la troisième nuit qui suit la mort terrestre : c’est la rencontre
88 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
144 rquoi l’impératrice Théodora faisait tuer avant l’ aube ses amants d’une nuit. Tristan veut au contraire l’éternité, car il v
89 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
145 me de la personne ainsi constituée se produit à l’ aube de la troisième nuit qui suit la mort terrestre : c’est la rencontre
90 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
146 attend dans la nuit désertique des hauteurs. Une aube vient. C’est encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est
147 ique des hauteurs. Une aube vient. C’est encore l’ aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de c
91 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
148 rquoi l’impératrice Théodora faisait tuer avant l’ aube ses amants d’une nuit. Tristan veut au contraire l’éternité, car il v
92 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
149 me de la personne ainsi constituée se produit à l’ aube de la troisième nuit qui suit la mort terrestre : c’est la rencontre
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
150 ienté de fait. Chose curieuse, c’est un pape, à l’ aube de la Renaissance, qui sera le premier à désigner de nouveau par son
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
151 nt le crépuscule d’une nuit qui prépare une autre aube  ? Surgissons-nous précisément pour envahir cette terre historique du
95 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
152 le baron Grimm, gazetier littéraire de Paris, à l’ aube de la Révolution : Deux empires se partageront [le monde] : la Russi
96 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
153 ell 1984. Il y eut d’abord ce titre subversif à l’ aube du siècle : Les Illusions du progrès, de Georges Sorel. Puis on se mi
97 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
154 plus général de ce qui divise les hommes depuis l’ aube des temps : les langues certes, mais aussi les distances, les races,
155 nt que 85 % des scientifiques ayant vécu depuis l’ aube de l’histoire, sont vivants aujourd’hui. Et Louis Armand me disait un
98 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
156 plus général de ce qui divise les hommes depuis l’ aube des temps : les langues certes, mais aussi les distances, les races,
157 nt que 85 % des scientifiques ayant vécu depuis l’ aube de l’histoire, sont vivants aujourd’hui. Et Louis Armand me disait un
99 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
158 la nuit, par un col escarpé dans les rochers ; l’ aube se lèverait sur le Valais, et ce serait la dernière étape, une longue
159 ns ses bandes molletières grises. L’air vif d’une aube automnale nous grisait, mal réveillés encore, et parlant peu. Les heu
100 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
160 u Grütli comme un point de départ absolu. C’est l’ aube des temps, tout ce qui précède n’est que ténèbres. Le Suisse moyen o