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itiques, mais on a si souvent l’impression qu’ils
battent
la mesure devant un orchestre qui, sans eux, jouerait aussi bien, aus
2
iberté est de les porter plus loin sans cesse, de
battre
mes propres records. De ce lent effort naît une modestie que je m’eno
3
uis enfin la marée de mes désirs. Qu’ils viennent
battre
ce corps triste, qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes joie
4
omination de la langue. Et parmi les modernes, il
bat
tous les records de l’image, ce qui nous vaut avec des bizarreries fa
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ne colombe. Chasse. Mais un papillon éclatant qui
battait
de l’aile un dixième de seconde, par intermittences, se pose enfin su
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rs voix pour les rendre plus touchantes. Celui-ci
bat
sa coulpe avec une saine rudesse. « Il s’examine jusqu’au ventre de s
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’a d’importance véritable. Alors, cessons de nous
battre
contre des moulins à vent. La littérature, considérée du point de vue
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toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres
battaient
. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regar
9
idèrent comme tels. Et je ne me tiendrai pas pour
battu
quand on m’aura fait remarquer que la plupart des intellectuels sont
10
idèrent comme tels. Et je ne me tiendrai pas pour
battu
quand on m’aura fait remarquer que la plupart des intellectuels se so
11
ains au vent captif délivre un souffle tes lèvres
battent
doucement écoute-les. IV Tends moi la main à travers cette ombre
12
isissable, déjà perdue (comme le rêve pendant que
bat
la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil) — et m
13
vait un air étrange, quelque chose comme un océan
battu
par la tempête. Tandis que le train longeait les bords de la rivière
14
coûter cher à ses producteurs, de la haine qui se
bat
les flancs. a. « À l’index (Première liste) », Esprit, Paris, n° 1,
15
lus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous
battre
pour un « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proch
16
ent devant le porche grand ouvert. Les chauffeurs
battaient
la semelle dans la neige fraîche ou s’accoudaient à la banquette d’un
17
isissable, déjà perdue (comme le rêve pendant que
bat
la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil) — et m
18
a mèche se consume. Bois du lait, perds du temps,
bats
les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps da
19
s cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et
battirent
de leurs grandes ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la prince
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isissable, déjà perdue (comme le rêve pendant que
bat
la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil) — et m
21
a mèche se consume. Bois du lait, perds du temps,
bats
les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps da
22
s cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et
battirent
de leurs grandes ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la prince
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du « Service étranger ». Ceux qui ont envie de se
battre
avec la vie s’en vont ailleurs brasser leur sang, plutôt que de troub
24
ma mort, n’est-ce pas pour cette seule raison, où
bat
le cœur du paradoxe le plus fou, que l’Évangile nous dit : « Aimez vo
25
it un système fondé sur l’homme-en-général. On se
battit
pour ce système et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leu
26
isait-il en ces derniers moments, tandis qu’il se
battait
encore, jugeait, voyait enfin… Il savait aussi que son œuvre se pours
27
se promenant sur les rives de la mer que viennent
battre
les vagues, ou levant les yeux vers le firmament parsemé d’étoiles, n
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jamais risqué sa peau pour des intérêts. On ne se
bat
et on ne meurt que pour des « folies » qualifiées. Celle que l’Ordre
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stater que l’Allemagne, pour laquelle ils se sont
battus
, n’a plus la force d’utiliser leurs énergies, leurs vocations humaine
30
ustes, inertes, soudain féroces. Ils veulent être
battus
et en gémir. Ils n’ont un peu de vie que dans le désespoir de la révo
31
lus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous
battre
pour un « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proch
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it un système fondé sur l’homme-en-général. On se
battit
pour ce système et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leu
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ustes, inertes, soudain féroces. Ils veulent être
battus
et en gémir. Ils n’ont un peu de vie que dans le désespoir de la révo
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lus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous
battre
pour un « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proch
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it un système fondé sur l’homme-en-général. On se
battit
pour ce système et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leu
36
urtout que cette patrie pour laquelle ils se sont
battus
et qui n’a plus la force d’utiliser leurs énergies, est incapable de
37
: l’homme au service des hommes, bafoué, injurié,
battu
, exploité sans vergogne par tous les matamores et souteneurs qu’il a
38
ion de la Révolution et des Soviets. Nous ne nous
battrons
ni pour les Forges, ni pour les agents de Moscou : les uns et les aut
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— par-dessus la tête de leurs troupes. Nous nous
battrons
le jour où le peuple français aura compris que l’adversaire unique es
40
accord par une agression hitlérienne, irait-on se
battre
au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Fl
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du 14 juillet (juillet-août 1935)n … Nous nous
battrons
le jour où le peuple français aura compris que l’adversaire unique es
42
expliquer… et peut-être aussi à faire. J’ai à me
battre
aussi, contre un régime économique et culturel, contre une masse de p
43
jusqu’à ces dernières années, l’écrivain doit se
battre
sur deux fronts : il doit gagner son pain, et il doit triompher des c
44
ne illusion, une démesure ou une mesure qui fasse
battre
pendant cinq ans le cœur d’un peuple. Cela suffira sans doute à rendr
45
imes étrangers, pour lesquels ils sont prêts à se
battre
, c’est accepter la guerre civile la plus absurde de l’histoire ; c’es
46
ne illusion, une démesure ou une mesure qui fasse
battre
pendant cinq ans le cœur d’un peuple. Cela suffira sans doute à rendr
47
ler. C’est parce qu’Hitler a compris cela qu’il a
battu
tous les partis adverses, et sept millions d’électeurs communistes. I
48
ne illusion, une démesure ou une mesure qui fasse
battre
pendant cinq ans le cœur d’un peuple. Cela suffira sans doute à rendr
49
ler. C’est parce qu’Hitler a compris cela qu’il a
battu
tous les partis adverses, et sept millions d’électeurs communistes. I
50
urquoi donc nos démocraties se laisseraient-elles
battre
sur ce terrain, où elles disposent des meilleures armes ? Je persiste
51
ins. Ils votent radical ou socialiste, et se font
battre
à plate couture, régulièrement. Mais faut-il donc penser que les comm
52
clare avoir perdu son ombre. Le second romantisme
bat
son plein. On a vu bien des fous Chez Tieck et chez Fouqué. Celui-ci
53
cela prend les chiens. Toute la nuit, ils se sont
battus
dans la remise qui est juste au-dessous de notre chambre, et dans la
54
. Il croit que c’est elles qu’il faut changer. Il
bat
la table, comme Xerxès faisait battre l’Hellespont. C’est ce préjugé
55
ut changer. Il bat la table, comme Xerxès faisait
battre
l’Hellespont. C’est ce préjugé infantile que le marxisme devait conso
56
ue brusquement avec l’aube. Depuis une heure nous
battions
la semelle sur les quais déserts de ce port fantomatique, sans ville
57
out d’un coup cet orage de novembre qui crible et
bat
les flots durant la courte traversée, puis s’apaise non moins subitem
58
ins. Ils votent radical ou socialiste, et se font
battre
à plates coutures, régulièrement. Mais faut-il donc penser que les co
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cela prend les chiens. Toute la nuit, ils se sont
battus
dans la remise qui est juste au-dessous de notre chambre, et dans la
60
ètres le long des avenues. Et le tambour se mit à
battre
— deux coups lents, trois coups rapprochés — on l’entendait encore au
61
ssurance. Représentons-nous cela : deux hommes se
battent
. Ils sont apparemment en divergence absolue ; en réalité, ils se batt
62
emment en divergence absolue ; en réalité, ils se
battent
sur la base d’un accord fondamental : la croyance à la validité de la
63
ô sainte nuit d’intimité, où de nouveau j’entends
battre
le cœur de mon ancienne « Germanie aimée »… 2 janvier 1936 Le f
64
expliquer… et peut-être aussi à faire. J’ai à me
battre
, aussi, contre un régime économique et culturel, contre une masse de
65
couverture. Il lance le livre sur la banquette et
bat
en retraite. — Phrases souvent entendues chez des bourgeois de l’es
66
coups lents, trois coups rapprochés, n’a cessé de
battre
hier par toute la ville. Il est trois heures du matin : j’ai été réve
67
arvient par les baies ouvertes, cent-mille hommes
battent
les murs de la halle. Quelques femmes s’évanouissent, on les emporte,
68
t satisfaits, je me dis parfois : ils aiment être
battus
; ils ont, au fond, ce qu’ils méritent. Mais attention : nous autres
69
mez en un fasciste honteux, qui sera certainement
battu
par le fasciste glorieux. ⁂ Je conçois très bien qu’un communiste n’a
70
lui importaient les raisons pour lesquelles il se
battait
. La guerre constituait une espèce de jeu avec des règles, un commence
71
us envoie Oui, tous, encor, jubilez et riez !
Battez
des mains, peuple, pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfare
72
élèbre la Sagesse d’amour : c’est là vraiment que
bat
son cœur. Et Dante n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Phil
73
rer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se
battre
après les repas ou à jeun ? — Dans quels cas peut-on s’évader de capt
74
c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à
battre
l’adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ens
75
es. D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de
battre
en Italie : « Il n’est pas possible de méconnaître, comme ce Bonapart
76
ationale À partir de la Révolution, l’on va se
battre
« avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une façon « farouche et t
77
que des ouvrages traduits en français). On va se
battre
pour le plaisir, ou plutôt pour le désespoir, contre n’importe qui. P
78
iculière soit interdite, et que les Suisses ne se
battent
plus jamais que sous notre commun drapeau ! J’ai dit. Le président
79
nous envoie Oui tous, encor, jubilez et riez !
Battez
des mains, peuple, pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfares
80
élèbre la Sagesse d’amour : c’est là vraiment que
bat
son cœur. Et Dante n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Phil
81
rer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se
battre
après les repas ou à jeun ? — Dans quels cas peut-on s’évader de capt
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c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à
battre
l’adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ens
83
es. D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de
battre
en Italie : « Il n’est pas possible de méconnaître, comme ce Bonapart
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ationale À partir de la Révolution, l’on va se
battre
« avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une façon « farouche et t
85
r et les Réprouvés d’Ernst von Salomon). On va se
battre
pour le plaisir, ou plutôt pour le désespoir, contre n’importe qui. P
86
élèbre la Sagesse d’amour : c’est là vraiment que
bat
son cœur. Et Dante n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Phil
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rer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se
battre
après les repas ou à jeun ? — Dans quels cas peut-on s’évader de capt
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c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à
battre
l’adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ens
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es. D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de
battre
en Italie : « Il n’est pas possible de méconnaître, comme ce Bonapart
90
ationale À partir de la Révolution, l’on va se
battre
« avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une façon « farouche et t
91
r et Les Réprouvés d’Ernst von Salomon). On va se
battre
pour le plaisir, ou plutôt pour le désespoir, contre n’importe qui. P
92
n… Nous faisons tous comme les petits enfants qui
battent
la table à laquelle ils se sont heurtés. Il est facile et rassurant d
93
n. Et non pas les distractions. Les hommes qui se
battent
, par exemple, sont moralement en meilleure forme que ceux qui, à l’ar
94
n… Nous faisons tous comme les petits enfants qui
battent
la table à laquelle ils se sont heurtés. Il est facile et rassurant d
95
nt peut-être pas tort, mais ils sont certainement
battus
. L’« arme secrète » dont on parle souvent, c’est simplement la propag
96
ait tenu le coup, personne ne se sentait vraiment
battu
. On peut dire aujourd’hui sans exagération que la réélection de Roose
97
es du monde pour les tromper et pour les faire se
battre
sans raison alléguée, et finalement flamboyé par le feu du ciel et pr
98
magique. Comme de petits enfants en colère, nous
battons
la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
99
ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous
battre
contre Hitler. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous e
100
n s’aimer autant ? Un beau soir, elle se mit à le
battre
, et le laissa pour mort sur la descente de lit. Puis elle s’endormit,
101
e lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je
battu
? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pas, c’est que tu m’aimes bien mal.
102
ait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le
battit
encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Pourquoi me tortur
103
grandissent. Dis-moi maintenant pourquoi je t’ai
battu
? Comme il ouvrait la bouche pour répondre, elle le frappa si fort qu
104
, il est presque aveugle. — Pourquoi donc t’ai-je
battu
? lui dit-elle chaque matin. Je ne suis pas méchante, et je t’aimais.
105
is pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai
battu
, je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Ma
106
te, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je te
battrai
encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense da
107
attrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te
battre
? Mais lui pense dans sa tristesse : — Si je lui dis qu’elle ne m’aim
108
urquoi elle est méchante. Or je l’ignore. Elle me
battra
de nouveau. Quand elle m’aura tué, elle sera désespérée et je ne veux
109
et homme ne m’aime pas, pense la femme. Allons en
battre
un autre. Moralité. S’il l’avait battue le premier… 40. Situati
110
ntretue pour ces mots. Il semble même que l’on se
batte
pour eux avec d’autant plus de passion que l’on sait moins clairement
111
» de leur ordre contre le bolchévisme ? Vous vous
battez
au nom de votre liberté contre un tyran qui mène sa guerre au nom de
112
es du monde pour les tromper et pour les faire se
battre
sans raison alléguée, finalement flamboyé par le feu de ciel et préci
113
Et c’est la chance du diable pour demain. Hitler
battu
, nous n’aurons plus d’Ennemi 10. Une dimension de la vie nous fera dé
114
Hitler, nous sommes du bon côté ? C’est un ennemi
battu
, nous sommes donc quittes ? Le diable n’en demandait pas plus : il ad
115
magique. Comme de petits enfants en colère, nous
battons
la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
116
ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous
battre
contre Hitler. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous e
117
n s’aimer autant ? Un beau soir, elle se mit à le
battre
, et le laissa pour mort sur la descente de lit. Puis elle s’endormit,
118
e lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je
battu
? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pas, c’est que tu m’aimes bien mal.
119
ait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le
battit
encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Pourquoi me tortur
120
grandissent. Dis-moi maintenant pourquoi je t’ai
battu
? Comme il ouvrait la bouche pour répondre, elle le frappa si fort qu
121
, il est presque aveugle. — Pourquoi donc t’ai-je
battu
? lui dit-elle chaque matin. Je ne suis pas méchante, et je t’aimais.
122
is pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai
battu
, je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Ma
123
te, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je te
battrai
encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense da
124
attrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te
battre
? Mais lui pense dans sa tristesse : — Si je lui dis qu’elle ne m’aim
125
urquoi elle est méchante. Or je l’ignore. Elle me
battra
de nouveau. Quand elle m’aura tué, elle sera désespérée et je ne veux
126
et homme ne m’aime pas, pense la femme. Allons en
battre
un autre. Moralité. S’il l’avait battue le premier… 56. Situation
127
ntretue pour ces mots. Il semble même que l’on se
batte
pour eux avec d’autant plus de passion que l’on sait moins clairement
128
de leur ordre contre le bolchévisme ? D’autres se
battaient
au nom de leur liberté contre un tyran qui menait sa guerre au nom de
129
es du monde pour les tromper et pour les faire se
battre
sans raison alléguée, finalement flamboyé par le feu de ciel et préci
130
Et c’est la chance du diable pour demain. Hitler
battu
, nous n’aurons plus d’Ennemi 12. Une dimension de la vie nous fera dé
131
Hitler, nous sommes du bon côté ? C’est un ennemi
battu
, nous sommes donc quittes ? Le diable n’en demandait pas plus ; il ad
132
magique. Comme de petits enfants en colère, nous
battons
la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
133
ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous
battre
contre Hitler. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous e
134
n s’aimer autant ? Un beau soir, elle se mit à le
battre
, et le laissa pour mort sur la descente de lit. Puis elle s’endormit,
135
e lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je
battu
? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pas, c’est que tu m’aimes bien mal.
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ait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le
battit
encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Pourquoi me tortur
137
grandissent. Dis-moi maintenant pourquoi je t’ai
battu
? Comme il ouvrait la bouche pour répondre, elle le frappa si fort qu
138
t il est presque aveugle. — Pourquoi donc t’ai-je
battu
? lui dit-elle chaque matin. Je ne suis pas méchante, et je t’aimais.
139
is pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai
battu
, je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Ma
140
te, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je te
battrai
encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense da
141
attrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te
battre
? Mais lui pense dans, sa tristesse : — Si je lui dis qu’elle ne m’ai
142
urquoi elle est méchante. Or je l’ignore. Elle me
battra
de nouveau. Quand elle m’aura tué, elle sera désespérée et je ne veux
143
et homme ne m’aime pas, pense la femme. Allons en
battre
un autre. » Moralité : S’il l’avait battue le premier… 56. Situat
144
ntretue pour ces mots. Il semble même que l’on se
batte
pour eux avec d’autant plus de passion que l’on sait moins clairement
145
de leur ordre contre le bolchévisme ? D’autres se
battaient
au nom de leur liberté contre un tyran qui menait sa guerre au nom de
146
es du monde pour les tromper et pour les faire se
battre
sans raison alléguée, et finalement flamboyé par le feu du ciel et pr
147
magique. Comme de petits enfants en colère, nous
battons
la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
148
ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous
battre
contre celui que nous tenons pour un coupable. » — Nous sommes tous c
149
rage panique ; ils continuent, mais ils se savent
battus
. Depuis qu’ils ont rencontré ce regard… j. « Un peuple se révèle da
150
ns une manufacture de brosses à dents, l’un d’eux
battit
le record de production de l’atelier. Il était éditeur de son métier,
151
sion, alors que les masses, en tant que masses se
battent
dans la confusion18. C’est pourquoi notre tâche — que Goethe eût appr
152
ots. Responsable est celui qui a tiré le premier.
Battu
, celui qui touche des deux épaules et se met à faire le bon apôtre. N
153
erre. Les deux fils, officiers de marine, se sont
battus
dans le Pacifique. Les disputes politiques, à la table des T…, semble
154
ailleurs — la discussion sur l’avenir de la Bombe
bat
son plein. Bien entendu, l’opinion des savants domine tout. Leur mauv
155
es mouvements délirants de l’Inconscient moderne.
Battus
comme plâtre, et toujours Tartarins, cupides ou entravés comme les fi
156
es. Aucun d’eux ne donnait l’impression de s’être
battu
pour l’idéal démocratique. Ils m’ont demandé le résultat du dernier m
157
capables de les énumérer. Il semble qu’on se soit
battu
« pour » quelque chose qui n’était pas trop clair, ni bien facile à r
158
senti, sous le drapé d’un français riche et pur,
battre
le pouls mesuré de l’Asie, le cœur violent des Amériques. Vous alliez
159
d’ordre. Admettons qu’elles arrivent encore à se
battre
. Admettons que la Bombe soit moins puissante que les savants autorisé
160
ur certains autres (par exemple, la manie de nous
battre
). À côté d’eux, nous sommes un peu « névrosés ». Ils sont évidemment
161
e quelque part. Je ne cesse personnellement de me
battre
contre cette affirmation européenne selon laquelle tout est pareil au
162
rutent des employés, font des statistiques, et se
battent
entre eux. Depuis douze ans, les chambres ont nommé neuf comités succ