1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
1 , de sortir la nuit, et qui lui fait jurer sur la Bible de ne pas entrer dans les cafés. Et puis, c’est égal, ce soir, tout c
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
2 le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la Bible d’Ostervald, le chocolat Suchard, les montres, et le séjour de Rousse
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
3 te-fille du « Grand Ostervald », traducteur de la Bible admiré par Fénelon, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgi
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
4 rien produit qui marque dans la langue, à part la Bible d’Ostervald. Les ouvrages distingués ne manquent pas. Mais les seuls
5 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
5 , et leur parler du message non moins inouï de la Bible , de cette Bible qui se pose comme une nouvelle énigme en face des con
6 du message non moins inouï de la Bible, de cette Bible qui se pose comme une nouvelle énigme en face des contradictions de l
7 la vie. Souvent ces deux grandeurs, la vie et la Bible , m’ont fait l’effet — ne me le font-elles pas encore ? — d’être Chary
8 èvent de toutes parts de troublants paradoxes. La Bible nous parle-t-elle de religion ? Ne nous montre-t-elle pas plutôt, ave
9 re le monde qui vit sans Dieu, la polémique de la Bible au contraire, vise le monde religieux, qu’il soit placé sous le signe
10 oit placé sous le signe de Baal ou de Yaveh. » La Bible nous parle-t-elle de ces « expériences religieuses » sur lesquelles l
11 son nom l’indique. De quel Dieu ? De celui que la Bible nomme l’Éternel, alors que nous sommes tout entiers temporels. De cel
6 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
12 il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela, par la Bible . Nous ne l’aurions pas trouvé par nos observations. En fait, l’homme
7 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
13 il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela, par la Bible . Nous ne l’aurions pas trouvé par nos observations. En fait, l’homme
8 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
14 implicitement. Il réduit tout au général. Mais la Bible , que nous dit-elle ? Elle ne fait pas une théorie, elle répond par l’
9 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
15 piternité. Mais n’est-ce point là ce que toute la Bible nous désigne comme l’enfer même : ne plus pouvoir échapper au temps,
10 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
16 temps. Et de même, le témoignage des apôtres, la Bible , est le vis-à-vis absolu de l’Église dans notre temps. Il dépend de D
17 ification19. Quand nous parlons des témoins de la Bible , nous n’avons pas à nous préoccuper outre mesure d’exactitude histori
18 ous avons voulu confronter avec les témoins de la Bible , les « problèmes » — le mot est bien faible — qui se posent au chréti
11 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
19 e proposai de lire l’Évangile. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait posée sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la
12 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
20 e » de la Révélation, la première source étant la Bible (fons revelationis alter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvon
21 ppuiera le protestant, avec, pour tout guide, une Bible … ou le témoignage intérieur du Saint-Esprit, qu’il sera bien incapabl
22 l’homme « subjectif ». Et tout en mentionnant la Bible pour mémoire — « ces pâles écrits », dira le père Pinard de la Boulla
23 ats, de leur époque et de leur formation ? Par la Bible  ? En principe, oui. Mais le principe a beau être affirmé en droit, il
24 à nous qui reconnaissons un critère objectif, la Bible , alors qu’ils ont tout fait de leur côté pour évincer ou, en tout cas
25 lise de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la Bible , une autre source. Tout l’effort dogmatique des conciles consiste à a
13 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
26 la pensée et la foi de l’auteur informées par la Bible , et dominées par elle. Pour Brunner, « la foi chrétienne est une foi
27 , « la foi chrétienne est une foi biblique » ; la Bible est la Parole de Dieu, et nous ne pouvons rien savoir de Dieu que par
14 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
28 nception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
15 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
29 nception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
16 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
30 du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la Bible , et constituant la véritable « action » de l’homme entre les mains de
31 e question que nous posent toutes les pages de la Bible . Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que les reflets, d
32 a raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit qu’elle est la Vie, et que notre vie n’est qu’une mort à ses
17 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
33 aussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des bibles , nous serions camisés de rouge, et l’on irait de temps à autre arrais
18 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
34 nonce d’une conférence contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la conférence d
35 chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la Bible dit des travailleurs : Jérémie exigeait que le roi payât les ouvriers
36 éricalisme. C’est lui qui est mauvais, non pas la Bible . Être chrétien, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si to
37 mande « s’il n’y a pas des contradictions dans la Bible  ». Suit une petite discussion tout à fait confuse et sans aucun rappo
38 aire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible , il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discu
39 mander « si ce serait possible de se procurer une Bible pour étudier un peu tout ça. On sent bien que c’est important de s’y
40 s bien si ce curé lui a interdit la lecture de la Bible , ou si, au contraire, il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en so
19 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
41 a population. Conférences, visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire que tout ce travail épuisant d
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
42 nonce d’une conférence contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs ». C’est sans doute une réponse à la conférence d
43 chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la Bible dit des travailleurs : Jérémie exigeait que le roi payât les ouvriers
44 éricalisme. C’est lui qui est mauvais, non pas la Bible . Être chrétien, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si to
45 mande « s’il n’y a pas des contradictions dans la Bible  ». Suit une petite discussion tout à fait confuse et sans aucun rappo
46 aire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible , il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discu
47 mander « si ce serait possible de se procurer une Bible pour étudier un peu tout ça. On sent bien que c’est important de s’y
48 s bien si ce curé lui a interdit la lecture de la Bible , ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit
49 a population. Conférences, visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire que tout ce travail épuisant d
21 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
50 aussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des bibles , nous serions camisés de rouge, et l’on irait de temps à autre arrais
22 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
51 remarque : le seul détail précis que rapporte la Bible à son sujet, c’est cette difficulté à s’exprimer. Non seulement rien
52 nception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
53 Apôtres, des Prophètes après le Christ. Ainsi la Bible n’a pas d’autre sens que de désigner l’Incarnation qui est son centre
23 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
54 du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la Bible , et constituant la véritable « action » de l’homme entre les mains de
55 e question que nous posent toutes les pages de la Bible . Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que les reflets, d
56 a raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit qu’elle est la Vie, et que notre vie n’est qu’une mort à ses
24 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
57 ieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible  — c’est à peine si je trouve une place assise. Je note la proportion
25 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
58 xigeantes, privées de tout contact direct avec la Bible . 2° Dans son ermitage du Ranft, Nicolas ne s’est pas abandonné aux « 
59 i permit de jouer. Nicolas ne pouvait pas lire la Bible , mais il aimait à en citer les versets qu’on lui avait enseignés. Je
26 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
60 r démiurge. (Telle est du moins la doctrine de la Bible .) Refusant que le Jour les enseigne dans cette vie et par le moyen de
27 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
61 s traditionnelles qui ne trouvaient point dans la Bible leur fondement.134 » Mettons à part ce dernier trait, qui malgré tout
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
62 r démiurge. (Telle est du moins la doctrine de la Bible .) Refusant que le Jour les enseigne dans cette vie et par le moyen de
29 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
63 s traditionnelles qui ne trouvaient point dans la Bible leur fondement152 ». Mettons à part ce dernier trait, qui malgré tout
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
64 r démiurge. (Telle est du moins la doctrine de la Bible .) Refusant que le Jour les enseigne dans cette vie et par le moyen de
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
65 s traditionnelles qui ne trouvaient point dans la Bible leur fondement141 ». Mettons à part ce dernier trait, qui malgré tout
32 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
66 Elle demande des vérités sûres, les vérités de la Bible , qui sont toujours les plus actuelles, et qui sont seules à la hauteu
67 rmon, et le pasteur disait : « Laissons parler la Bible seule, car nous, nous ne sommes pas convaincants. » Parole profonde,
68 pprocher assez de la simplicité des paroles de la Bible . « Nous ne sommes pas convaincants », disait le pasteur que je viens
69 olitique, si elle le fait sur la seule base de la Bible  ? On ne lui demande pas une théorie originale, surtout pas ! On lui d
70 l cite, mais du seul et unique point de vue de la Bible . En résumé, la deuxième condition indispensable pour que l’Église res
71 e parle uniquement et simplement le langage de la Bible , qui appartient à tous, qui est frappant pour tous, et dans lequel to
72 neur et Roi des rois, à toutes les pages de notre Bible . Le fait est que nous manquons d’un certain respect religieux, de mêm
33 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
73 e vivre pour lui-même ? C’est parce qu’il a lu la Bible par exemple, et que l’Esprit a parlé à travers elle, c’est donc en ve
34 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
74 nbons Johnson… Ici, trois tués par jour… Lisez la Bible … Cabines de touristes à 100 yards… Ferry-boat du Delaware en grève… F
35 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
75 , le président jura, la main posée sur sa vieille Bible de famille, en langue hollandaise, qu’il avait choisi d’ouvrir au cha
36 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
76 as-tu trembler devant l’inexistant ? Cependant la Bible dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
77 tourmenté nuit et jour, au siècle des siècles. La Bible , notez-le, parle beaucoup moins du « mal » en général que du Malin pe
78 extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la Bible , il est impossible de douter un seul instant de la réalité objective
79 de la réalité objective du diable. D’ailleurs, la Bible donne de Satan une quantité de noms éminemment révélateurs, et qui po
80 n tomber du ciel comme un éclair. Luc 10.18. La Bible nous apprend que Lucifer est un ange tombé du ciel. Les anges sont de
81 me un lion rugissant en quête de sa proie, dit la Bible . Il rôde autour de nous comme un gangster obsédé par le kidnapping. S
82 e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
83 ensonge d’aucune vérité. 8. Légion Enfin la Bible appelle le diable : Légion. Ici nous n’en finirions pas de commenter,
37 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
84 dès que l’Esprit nous parle, par une phrase de la Bible ou de nos liturgies, par un mot que dit un passant, par une prière né
38 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
85 ire imperceptible aux gens pressés. Cependant, la Bible dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
86 ourmenté nuit et jour aux siècles des siècles. La Bible , — c’est un fait trop peu connu — parle beaucoup moins du mal en géné
87 extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la Bible , il est impossible de douter un seul instant de la réalité du diable.
88 la réalité du diable. Mais qui croit encore à la Bible , sérieusement, dans un monde où l’on croit aux journaux ? C’est un fa
89 tomber du ciel comme un éclair. Luc 10, 18. La Bible nous apprend que Lucifer est un ange tombé du ciel. Les anges sont de
90 me un lion rugissant en quête de sa proie, dit la Bible . Il rôde autour de nous comme un gangster obsédé par le kidnapping. S
91 ette illusion magique, reportons-nous à ce que la Bible vient de nous apprendre au sujet de Satan. Lucifer est tombé du Ciel
92 e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
93 adique de la révolte. 11. Légion Enfin, la Bible appelle le diable : Légion. Ici nous n’en finirions pas de commenter,
94 les rôles principaux que le diable revêt dans la Bible  : ils sont tous, en quelque manière, des déguisements de son malheur
39 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
95 n’est pas mauvaise en soi, bien au contraire. La Bible la condamne dans ses abus, comme elle condamne la prostitution tout e
40 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
96 dès que l’Esprit nous parle, par une phrase de la Bible ou de nos liturgies, par un mot que dit un passant, par une prière né
41 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
97 ire imperceptible aux gens pressés. Cependant, la Bible dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
98 ourmenté nuit et jour aux siècles des siècles. La Bible — c’est un fait trop peu connu — parle beaucoup moins du mal en génér
99 extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la Bible , il est impossible de douter un seul instant de la réalité du diable.
100 la réalité du diable. Mais qui croit encore à la Bible , sérieusement, dans un monde où l’on croit aux journaux ? C’est un fa
101 tomber du ciel comme un éclair. Luc 10, 18. La Bible nous apprend que Lucifer est un ange tombé du ciel. Les anges sont de
102 me un lion rugissant en quête de sa proie, dit la Bible . Il rôde autour de nous comme un gangster obsédé par le kidnapping. S
103 ette illusion magique, reportons-nous à ce que la Bible vient de nous apprendre au sujet de Satan. Lucifer est tombé du Ciel
104 e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
105 sadique de la révolte. 11. Légion Enfin, la Bible appelle le diable : Légion. Ici nous n’en finirions pas de commenter,
106 les rôles principaux que le diable revêt dans la Bible  : ils sont tous, en quelque manière, des déguisements de son malheur
42 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
107 n’est pas mauvaise en soi, bien au contraire. La Bible la condamne dans ses abus, comme elle condamne la prostitution tout e
43 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
108 dès que l’Esprit nous parle, par une phrase de la Bible ou de nos liturgies, par un mot que dit un passant, par une prière né
44 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
109 t tirée des contes de bonnes femmes. Cependant la Bible dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
110 tourmenté nuit et jour, au siècle des siècles. La Bible , notez-le, parle beaucoup moins du « mal » en général que du Malin pe
111 extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la Bible , il est impossible de douter un seul instant de la réalité objective
45 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
112 e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
46 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
113 ous les caractères de cet autre message qu’est la Bible , selon Kierkegaard : il sera toujours loisible de douter de leur auth
114 e ce que Kierkegaard dit les contradictions de la Bible  : nécessaires pour ménager la liberté de l’acte de foi, et par là mêm
115 d est revenu maintes fois sur cette idée : que la Bible doit être lue comme une lettre qui nous est personnellement adressée,
47 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
116 du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la Bible , et constituant la véritable « action » de l’homme « entre les mains
117 e question que nous posent toutes les pages de la Bible . Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que les reflets di
118 a raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit qu’elle est la Vie, et notre vie présente n’est qu’une mort
48 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
119 it l’art de Ramuz. Voici Caille, le colporteur de bibles , qui s’avance dès le matin à travers le pays, et offre à tous la Paro
49 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
120 n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la Bible vous irritent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dang
50 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
121 n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la Bible vous irritent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dang
51 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
122 l, leurs stalles de chœur et leur pupitre pour la Bible , d’où pend un ruban large à la couleur de la saison ou de la fête lit
52 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
123 e ou des pasteurs, plus dynamiques au nom de leur Bible qu’un démagogue au nom des droits du peuple. Pendant trois siècles, l
53 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
124 nbons Johnson… Ici, trois tués par jour… Lisez la Bible … Cabines de touristes à cent yards… Ferryboat du Delaware en grève… F
54 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
125 n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la Bible vous irritent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dang
55 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
126 n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la Bible vous irritent. Et vous me direz : « Que fait Dieu dans tout cela ? »
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
127 nonce d’une conférence contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la conférence d
128 chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la Bible dit des travailleurs : Jérémie exigeait que le roi payât les ouvriers
129 éricalisme. C’est lui qui est mauvais, non pas la Bible . Être chrétien, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si to
130 mande « s’il n’y a pas des contradictions dans la Bible  ». Suit une petite discussion tout à fait confuse et sans aucun rappo
131 aire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible , il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discu
132 mander « si ce serait possible de se procurer une Bible pour étudier un peu tout ça. On sent bien que c’est important de s’y
133 s bien si ce curé lui a interdit la lecture de la Bible , ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit
134 a population. Conférences, visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire que tout ce travail épuisant d
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
135 aussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des bibles , nous serions camisés de rouge, et l’on irait de temps à autre arrais
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
136 ieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible  — c’est à peine si je trouve une place assise. Je note la proportion
59 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
137 l, leurs stalles de chœur et leur pupitre pour la Bible , d’où pend un ruban large à la couleur de la saison ou de la fête lit
138 , le président jura, la main posée sur sa vieille Bible de famille, en langue hollandaise, qu’il avait choisi d’ouvrir au cha
139 e ou des pasteurs, plus dynamiques au nom de leur Bible qu’un démagogue au nom des droits du peuple. Pendant trois siècles, l
60 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
140 nbons Johnson… Ici, trois tués par jour… Lisez la Bible … Cabines de touristes à 100 yards… Ferry-boat du Delaware en grève… F
61 1948, Suite neuchâteloise. I
141 le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la Bible d’Ostervald, le chocolat Suchard, les montres, et le séjour de Rousse
62 1948, Suite neuchâteloise. IV
142 te-fille du « grand Ostervald », traducteur de la Bible admiré par Fénelon, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgi
63 1948, Suite neuchâteloise. VI
143 rien produit qui marque dans la langue, à part la Bible d’Ostervald. Les ouvrages distingués ne manquent pas. Mais les seuls
64 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
144 sur les documents originaux de la Révélation, la Bible et les évangiles. Calvin ne publiera son Institution qu’en 1536, et n
65 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
145 urs de communautés, ou scientifiques, tels que la Bible , le Coran, les Vedas ; ou Aristote, saint Thomas, Calvin, Marx, ou De
146 nales. (Il faudrait ajouter les traductions de la Bible en Angleterre et en Allemagne.) Pour les autres, je propose les disti
66 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
147 n revanche, l’Orient ne connaît pas d’Églises. La Bible et les Vedas n’ont vraiment rien de commun, et l’usage qu’on en fait
67 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
148 n revanche, l’Orient ne connaît pas d’Églises. La Bible et les Vedas n’ont vraiment rien de commun, et l’usage qu’on en fait
68 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
149 cadre de nos existences n’empêchent nullement la Bible et l’Odyssée, la Divine Comédie, Shakespeare et Baudelaire d’agir sur
69 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
150 : point de prières publiques ni de serment sur la Bible . Ceci tient à la persistance du complexe anticlérical, survivant aux
70 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
151 ndes régions de l’univers alors connu. C’est à la Bible , interprétée par les premiers Pères de l’Église, qu’entend remonter,
71 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
152 sont convaincus que l’Église catholique ignore la Bible , que sa piété se réduit au culte de la Vierge, sa morale au décompte
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
153 itue dans un complexe assyrio-hébraïque auquel la Bible fait de fréquentes et très précises allusions et au centre duquel se
154 travaux de Bérard sur les poèmes homériques et la Bible et sur les origines sémitiques de tant de noms de dieux et de lieux g
155 ndes régions de l’univers alors connu. C’est à la Bible , interprétée par les premiers Pères de l’Église, qu’entend remonter,
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
156 à la foi catholique devint peu à peu haine de la Bible , de la foi chrétienne et finalement de la religion. Bien plus : cette
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
157  — et c’est un fait patent qu’elle demeure par la Bible la plus présente et agissante des trois, dans des millions de vies in
158 omane et des fresques d’églises. La lecture de la Bible est interdite aux fidèles dès le synode de Toulouse en 1229, rappelle
159 synode de Toulouse en 1229, rappelle F. Heer. La Bible en langue vulgaire est même mise à l’Index par Paul IV en 1559. « Cha
160 racine dans ses traditions les plus reculées : la Bible , ce fondement de la vie européenne, cache déjà en elle, d’une façon u
161 tous ceux qui en seront dignes ? La justice de la Bible , la vieille liberté des cités, qui les a imposées au monde ? Mais la
75 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
162 is que paraissent trois grandes traductions de la Bible (en Allemagne, celle de Luther, en Angleterre, celle de Tyndale, en S
76 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
163 cartes, Ansermet ne se fonde sur le dogme, sur la Bible et la Tradition, ni sur quelque apologétique confessionnelle. Pour dé
77 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
164 fluents recommandent aux fidèles la lecture de la Bible . Dans plusieurs séminaires — aux dires des jeunes prêtres qui viennen
165 donné dans notre civilisation occidentale par la Bible . Et la liturgie fait vivre ces mots dans leur contexte biblique, les
166 , de proverbes et dictons populaires, issus de la Bible , transmis par des liturgies, et qui forment une partie importante de
167 ne partie importante de nos littératures. Ôtez la Bible et supprimez les liturgies nationales : vous rendrez incompréhensible
78 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
168 remarque : le seul détail précis que rapporte la Bible à son sujet, c’est cette difficulté à s’exprimer. Non seulement rien
169 nception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
170 Apôtres, des Prophètes après le Christ. Ainsi la Bible n’a pas d’autre sens que de désigner l’Incarnation qui est son centre
79 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
171 uté n’est pas une notion ni un terne biblique. La Bible nous parle de vérité, de justice, de liberté, et d’amour, mais peu ou
172 nser, comme on l’a écrit, qu’il s’agit là dans la Bible , d’une « lacune terrible » ? Lacune que l’idéal grec serait venu comb
173 ce n’est donc pas renier l’art. Constater que la Bible ne parle guère de beauté, ce n’est pas dire un seul instant que la Bi
174 beauté, ce n’est pas dire un seul instant que la Bible exclut l’art ; et de même, constater que les artistes modernes ne che
80 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
175 u goût de se lever tôt pour travailler, il y a la Bible autant que la coutume paysanne et bien plus que l’utilitarisme. Il y
176 ement « canonique » dans son interprétation de la Bible , mais Jung se réfère aux livres apocryphes, non moins qu’à la « shakt
81 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
177 à la terre des Pays-Bas, et bien plus encore à la Bible et aux dissidents calvinistes, dans le cas typique de Rembrandt. Ce n
178 , qu’on ne lit plus, merveilleux traducteur de la Bible , et que Newton qualifiait de vir omnium christianissimus, homme le pl
82 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
179 u goût de se lever tôt pour travailler, il y a la Bible autant que la coutume paysanne et bien plus que l’utilitarisme. Il y
180 n était biblique, mais très suisse en cela que la Bible est notre véritable Antiquité, comme l’a bien vu Ramuz. Avec « La Bel
181 ement « canonique » dans son interprétation de la Bible , mais Jung se réfère aux livres apocryphes, non moins qu’à la « shakt
182 sur les documents originaux de la Révélation, la Bible et les évangiles. Calvin ne publiera son Institution qu’en 1536, et n
183 rdite aux fidèles romains, la libre lecture de la Bible leur est dorénavant recommandée, et la messe est de plus en plus comm
83 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
184 i les siens, « réuni à son peuple », comme dit la Bible . C’est là que je l’avais surpris un jour en plein travail — on ne dev
84 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
185 artie de ces articles forment des chapitres de la bible marxiste, Das Kapital. Plusieurs d’entre eux, attaquant violemment la
85 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
186 és sur l’amour », de « fragile autorité » et de «  bible du genre », il n’a cessé d’influencer durant les trois dernières déce
86 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
187 prochain comme soi-même est un commandement de la Bible . Puisque les sentiments ne se commandent pas, aimer le prochain comme
87 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
188 prochain comme soi-même est un commandement de la Bible . Puisque les sentiments ne se commandent pas, aimer le prochain comme
88 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
189 le diable dresse au désert devant Jésus. Toute la Bible exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu ». Si l’on exclut
89 1977, Articles divers (1974-1977). « Je suis un pessimiste actif » (17 octobre 1977)
190  : L’Avenir est notre affaire . Il va devenir la bible des écologistes, des régionalistes et de tous les autres, espérons-le
90 1977, Articles divers (1974-1977). La fonction et la structure de la ville future (décembre 1977)
191 e. La conclusion de l’aventure est décrite par la Bible , non comme un retour au jardin primitif, mais (après la chute de « Ba
91 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
192 nt de la nature des choses. » Dict. Encycl. de la Bible , Paris, 1932, T. I, art. Charisme. 145. Paraphrase d’un texte d’Iva
92 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
193 le diable dresse au désert devant Jésus. Toute la Bible exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu ». Si l’on exclut
93 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
194 propositions théologiques avec les énoncés de la Bible , mais de juger si c’est la Parole de Dieu, donc Dieu, qui est le suje
94 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
195 et qui est bien différente de l’Apocalypse de la Bible , révélation d’une fin dernière de l’humanité. Alors, dans ce cas, oui
95 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
196 se du village, ni leurs pasteurs. Mais on sent la Bible présente dans leur langage et dans leur vision même. La Bible, vérita
197 te dans leur langage et dans leur vision même. La Bible , véritable « Antiquité » des peuples protestants, comme l’observait u
96 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
198 omparable à celui de la tragédie grecque et de la Bible judéo-chrétienne : grands textes éducateurs de la psyché individuelle
199 nationalités conquises): dans les Allemagnes, la Bible traduite par Luther, en Grande-Bretagne, la King James Version et le
97 1980, Articles divers (1978-1981). L’avis de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)
200 ceci, que j’ai trouvé dans mon Dictionnaire de la Bible , sous la signature du professeur Alexandre Westphal. Jéhovah n’est n
98 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
201 ntrée en armes.)67 58. Job 16.11. Je cite la Bible œcuménique, dite TOB, sauf pour le dernier mot, emprunté à Segond. Au
99 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
202 propositions théologiques avec les énoncés de la Bible , mais de juger si c’est la Parole de Dieu, donc Dieu, qui est le suje
203 l’orthodoxie sera toujours fondée sur un texte : Bible ou Coran, évangiles et credo des grands conciles — tout cela restant
100 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
204 ncore, à la Renaissance, apports bibliques : « La Bible est notre Antiquité », écrit Ramuz. À quoi s’ajoute — si même il n’en