1
, de sortir la nuit, et qui lui fait jurer sur la
Bible
de ne pas entrer dans les cafés. Et puis, c’est égal, ce soir, tout c
2
le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la
Bible
d’Ostervald, le chocolat Suchard, les montres, et le séjour de Rousse
3
te-fille du « Grand Ostervald », traducteur de la
Bible
admiré par Fénelon, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgi
4
rien produit qui marque dans la langue, à part la
Bible
d’Ostervald. Les ouvrages distingués ne manquent pas. Mais les seuls
5
, et leur parler du message non moins inouï de la
Bible
, de cette Bible qui se pose comme une nouvelle énigme en face des con
6
du message non moins inouï de la Bible, de cette
Bible
qui se pose comme une nouvelle énigme en face des contradictions de l
7
la vie. Souvent ces deux grandeurs, la vie et la
Bible
, m’ont fait l’effet — ne me le font-elles pas encore ? — d’être Chary
8
èvent de toutes parts de troublants paradoxes. La
Bible
nous parle-t-elle de religion ? Ne nous montre-t-elle pas plutôt, ave
9
re le monde qui vit sans Dieu, la polémique de la
Bible
au contraire, vise le monde religieux, qu’il soit placé sous le signe
10
oit placé sous le signe de Baal ou de Yaveh. » La
Bible
nous parle-t-elle de ces « expériences religieuses » sur lesquelles l
11
son nom l’indique. De quel Dieu ? De celui que la
Bible
nomme l’Éternel, alors que nous sommes tout entiers temporels. De cel
12
il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela, par la
Bible
. Nous ne l’aurions pas trouvé par nos observations. En fait, l’homme
13
il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela, par la
Bible
. Nous ne l’aurions pas trouvé par nos observations. En fait, l’homme
14
implicitement. Il réduit tout au général. Mais la
Bible
, que nous dit-elle ? Elle ne fait pas une théorie, elle répond par l’
15
piternité. Mais n’est-ce point là ce que toute la
Bible
nous désigne comme l’enfer même : ne plus pouvoir échapper au temps,
16
temps. Et de même, le témoignage des apôtres, la
Bible
, est le vis-à-vis absolu de l’Église dans notre temps. Il dépend de D
17
ification19. Quand nous parlons des témoins de la
Bible
, nous n’avons pas à nous préoccuper outre mesure d’exactitude histori
18
ous avons voulu confronter avec les témoins de la
Bible
, les « problèmes » — le mot est bien faible — qui se posent au chréti
19
e proposai de lire l’Évangile. Je m’emparai d’une
Bible
qui se trouvait posée sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la
20
e » de la Révélation, la première source étant la
Bible
(fons revelationis alter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvon
21
ppuiera le protestant, avec, pour tout guide, une
Bible
… ou le témoignage intérieur du Saint-Esprit, qu’il sera bien incapabl
22
l’homme « subjectif ». Et tout en mentionnant la
Bible
pour mémoire — « ces pâles écrits », dira le père Pinard de la Boulla
23
ats, de leur époque et de leur formation ? Par la
Bible
? En principe, oui. Mais le principe a beau être affirmé en droit, il
24
à nous qui reconnaissons un critère objectif, la
Bible
, alors qu’ils ont tout fait de leur côté pour évincer ou, en tout cas
25
lise de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la
Bible
, une autre source. Tout l’effort dogmatique des conciles consiste à a
26
la pensée et la foi de l’auteur informées par la
Bible
, et dominées par elle. Pour Brunner, « la foi chrétienne est une foi
27
, « la foi chrétienne est une foi biblique » ; la
Bible
est la Parole de Dieu, et nous ne pouvons rien savoir de Dieu que par
28
nception ancienne : un chef hébreu — celui que la
Bible
appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
29
nception ancienne : un chef hébreu — celui que la
Bible
appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
30
du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la
Bible
, et constituant la véritable « action » de l’homme entre les mains de
31
e question que nous posent toutes les pages de la
Bible
. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que les reflets, d
32
a raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la
Bible
nous dit qu’elle est la Vie, et que notre vie n’est qu’une mort à ses
33
aussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des
bibles
, nous serions camisés de rouge, et l’on irait de temps à autre arrais
34
nonce d’une conférence contradictoire à A… : « La
Bible
et les travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la conférence d
35
chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la
Bible
dit des travailleurs : Jérémie exigeait que le roi payât les ouvriers
36
éricalisme. C’est lui qui est mauvais, non pas la
Bible
. Être chrétien, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si to
37
mande « s’il n’y a pas des contradictions dans la
Bible
». Suit une petite discussion tout à fait confuse et sans aucun rappo
38
aire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la
Bible
, il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discu
39
mander « si ce serait possible de se procurer une
Bible
pour étudier un peu tout ça. On sent bien que c’est important de s’y
40
s bien si ce curé lui a interdit la lecture de la
Bible
, ou si, au contraire, il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en so
41
a population. Conférences, visites, colportage de
bibles
de porte en porte. On ne peut pas dire que tout ce travail épuisant d
42
nonce d’une conférence contradictoire à A… : « La
Bible
et les travailleurs ». C’est sans doute une réponse à la conférence d
43
chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la
Bible
dit des travailleurs : Jérémie exigeait que le roi payât les ouvriers
44
éricalisme. C’est lui qui est mauvais, non pas la
Bible
. Être chrétien, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si to
45
mande « s’il n’y a pas des contradictions dans la
Bible
». Suit une petite discussion tout à fait confuse et sans aucun rappo
46
aire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la
Bible
, il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discu
47
mander « si ce serait possible de se procurer une
Bible
pour étudier un peu tout ça. On sent bien que c’est important de s’y
48
s bien si ce curé lui a interdit la lecture de la
Bible
, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit
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a population. Conférences, visites, colportage de
bibles
de porte en porte. On ne peut pas dire que tout ce travail épuisant d
50
aussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des
bibles
, nous serions camisés de rouge, et l’on irait de temps à autre arrais
51
remarque : le seul détail précis que rapporte la
Bible
à son sujet, c’est cette difficulté à s’exprimer. Non seulement rien
52
nception ancienne : un chef hébreu — celui que la
Bible
appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
53
Apôtres, des Prophètes après le Christ. Ainsi la
Bible
n’a pas d’autre sens que de désigner l’Incarnation qui est son centre
54
du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la
Bible
, et constituant la véritable « action » de l’homme entre les mains de
55
e question que nous posent toutes les pages de la
Bible
. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que les reflets, d
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a raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la
Bible
nous dit qu’elle est la Vie, et que notre vie n’est qu’une mort à ses
57
ieil or, galeries de bois peintes de scènes de la
Bible
— c’est à peine si je trouve une place assise. Je note la proportion
58
xigeantes, privées de tout contact direct avec la
Bible
. 2° Dans son ermitage du Ranft, Nicolas ne s’est pas abandonné aux «
59
i permit de jouer. Nicolas ne pouvait pas lire la
Bible
, mais il aimait à en citer les versets qu’on lui avait enseignés. Je
60
r démiurge. (Telle est du moins la doctrine de la
Bible
.) Refusant que le Jour les enseigne dans cette vie et par le moyen de
61
s traditionnelles qui ne trouvaient point dans la
Bible
leur fondement.134 » Mettons à part ce dernier trait, qui malgré tout
62
r démiurge. (Telle est du moins la doctrine de la
Bible
.) Refusant que le Jour les enseigne dans cette vie et par le moyen de
63
s traditionnelles qui ne trouvaient point dans la
Bible
leur fondement152 ». Mettons à part ce dernier trait, qui malgré tout
64
r démiurge. (Telle est du moins la doctrine de la
Bible
.) Refusant que le Jour les enseigne dans cette vie et par le moyen de
65
s traditionnelles qui ne trouvaient point dans la
Bible
leur fondement141 ». Mettons à part ce dernier trait, qui malgré tout
66
Elle demande des vérités sûres, les vérités de la
Bible
, qui sont toujours les plus actuelles, et qui sont seules à la hauteu
67
rmon, et le pasteur disait : « Laissons parler la
Bible
seule, car nous, nous ne sommes pas convaincants. » Parole profonde,
68
pprocher assez de la simplicité des paroles de la
Bible
. « Nous ne sommes pas convaincants », disait le pasteur que je viens
69
olitique, si elle le fait sur la seule base de la
Bible
? On ne lui demande pas une théorie originale, surtout pas ! On lui d
70
l cite, mais du seul et unique point de vue de la
Bible
. En résumé, la deuxième condition indispensable pour que l’Église res
71
e parle uniquement et simplement le langage de la
Bible
, qui appartient à tous, qui est frappant pour tous, et dans lequel to
72
neur et Roi des rois, à toutes les pages de notre
Bible
. Le fait est que nous manquons d’un certain respect religieux, de mêm
73
e vivre pour lui-même ? C’est parce qu’il a lu la
Bible
par exemple, et que l’Esprit a parlé à travers elle, c’est donc en ve
74
nbons Johnson… Ici, trois tués par jour… Lisez la
Bible
… Cabines de touristes à 100 yards… Ferry-boat du Delaware en grève… F
75
, le président jura, la main posée sur sa vieille
Bible
de famille, en langue hollandaise, qu’il avait choisi d’ouvrir au cha
76
as-tu trembler devant l’inexistant ? Cependant la
Bible
dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
77
tourmenté nuit et jour, au siècle des siècles. La
Bible
, notez-le, parle beaucoup moins du « mal » en général que du Malin pe
78
extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la
Bible
, il est impossible de douter un seul instant de la réalité objective
79
de la réalité objective du diable. D’ailleurs, la
Bible
donne de Satan une quantité de noms éminemment révélateurs, et qui po
80
n tomber du ciel comme un éclair. Luc 10.18. La
Bible
nous apprend que Lucifer est un ange tombé du ciel. Les anges sont de
81
me un lion rugissant en quête de sa proie, dit la
Bible
. Il rôde autour de nous comme un gangster obsédé par le kidnapping. S
82
e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la
Bible
dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
83
ensonge d’aucune vérité. 8. Légion Enfin la
Bible
appelle le diable : Légion. Ici nous n’en finirions pas de commenter,
84
dès que l’Esprit nous parle, par une phrase de la
Bible
ou de nos liturgies, par un mot que dit un passant, par une prière né
85
ire imperceptible aux gens pressés. Cependant, la
Bible
dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
86
ourmenté nuit et jour aux siècles des siècles. La
Bible
, — c’est un fait trop peu connu — parle beaucoup moins du mal en géné
87
extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la
Bible
, il est impossible de douter un seul instant de la réalité du diable.
88
la réalité du diable. Mais qui croit encore à la
Bible
, sérieusement, dans un monde où l’on croit aux journaux ? C’est un fa
89
tomber du ciel comme un éclair. Luc 10, 18. La
Bible
nous apprend que Lucifer est un ange tombé du ciel. Les anges sont de
90
me un lion rugissant en quête de sa proie, dit la
Bible
. Il rôde autour de nous comme un gangster obsédé par le kidnapping. S
91
ette illusion magique, reportons-nous à ce que la
Bible
vient de nous apprendre au sujet de Satan. Lucifer est tombé du Ciel
92
e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la
Bible
dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
93
adique de la révolte. 11. Légion Enfin, la
Bible
appelle le diable : Légion. Ici nous n’en finirions pas de commenter,
94
les rôles principaux que le diable revêt dans la
Bible
: ils sont tous, en quelque manière, des déguisements de son malheur
95
n’est pas mauvaise en soi, bien au contraire. La
Bible
la condamne dans ses abus, comme elle condamne la prostitution tout e
96
dès que l’Esprit nous parle, par une phrase de la
Bible
ou de nos liturgies, par un mot que dit un passant, par une prière né
97
ire imperceptible aux gens pressés. Cependant, la
Bible
dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
98
ourmenté nuit et jour aux siècles des siècles. La
Bible
— c’est un fait trop peu connu — parle beaucoup moins du mal en génér
99
extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la
Bible
, il est impossible de douter un seul instant de la réalité du diable.
100
la réalité du diable. Mais qui croit encore à la
Bible
, sérieusement, dans un monde où l’on croit aux journaux ? C’est un fa
101
tomber du ciel comme un éclair. Luc 10, 18. La
Bible
nous apprend que Lucifer est un ange tombé du ciel. Les anges sont de
102
me un lion rugissant en quête de sa proie, dit la
Bible
. Il rôde autour de nous comme un gangster obsédé par le kidnapping. S
103
ette illusion magique, reportons-nous à ce que la
Bible
vient de nous apprendre au sujet de Satan. Lucifer est tombé du Ciel
104
e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la
Bible
dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
105
sadique de la révolte. 11. Légion Enfin, la
Bible
appelle le diable : Légion. Ici nous n’en finirions pas de commenter,
106
les rôles principaux que le diable revêt dans la
Bible
: ils sont tous, en quelque manière, des déguisements de son malheur
107
n’est pas mauvaise en soi, bien au contraire. La
Bible
la condamne dans ses abus, comme elle condamne la prostitution tout e
108
dès que l’Esprit nous parle, par une phrase de la
Bible
ou de nos liturgies, par un mot que dit un passant, par une prière né
109
t tirée des contes de bonnes femmes. Cependant la
Bible
dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il app
110
tourmenté nuit et jour, au siècle des siècles. La
Bible
, notez-le, parle beaucoup moins du « mal » en général que du Malin pe
111
extes originaux). Si l’on croit à la vérité de la
Bible
, il est impossible de douter un seul instant de la réalité objective
112
e témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la
Bible
dit, énergiquement, que lorsque nous mentons, c’est le diable lui-mêm
113
ous les caractères de cet autre message qu’est la
Bible
, selon Kierkegaard : il sera toujours loisible de douter de leur auth
114
e ce que Kierkegaard dit les contradictions de la
Bible
: nécessaires pour ménager la liberté de l’acte de foi, et par là mêm
115
d est revenu maintes fois sur cette idée : que la
Bible
doit être lue comme une lettre qui nous est personnellement adressée,
116
du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la
Bible
, et constituant la véritable « action » de l’homme « entre les mains
117
e question que nous posent toutes les pages de la
Bible
. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que les reflets di
118
a raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la
Bible
nous dit qu’elle est la Vie, et notre vie présente n’est qu’une mort
119
it l’art de Ramuz. Voici Caille, le colporteur de
bibles
, qui s’avance dès le matin à travers le pays, et offre à tous la Paro
120
n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la
Bible
vous irritent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dang
121
n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la
Bible
vous irritent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dang
122
l, leurs stalles de chœur et leur pupitre pour la
Bible
, d’où pend un ruban large à la couleur de la saison ou de la fête lit
123
e ou des pasteurs, plus dynamiques au nom de leur
Bible
qu’un démagogue au nom des droits du peuple. Pendant trois siècles, l
124
nbons Johnson… Ici, trois tués par jour… Lisez la
Bible
… Cabines de touristes à cent yards… Ferryboat du Delaware en grève… F
125
n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la
Bible
vous irritent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dang
126
n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citations de la
Bible
vous irritent. Et vous me direz : « Que fait Dieu dans tout cela ? »
127
nonce d’une conférence contradictoire à A… : « La
Bible
et les travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la conférence d
128
chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la
Bible
dit des travailleurs : Jérémie exigeait que le roi payât les ouvriers
129
éricalisme. C’est lui qui est mauvais, non pas la
Bible
. Être chrétien, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si to
130
mande « s’il n’y a pas des contradictions dans la
Bible
». Suit une petite discussion tout à fait confuse et sans aucun rappo
131
aire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la
Bible
, il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discu
132
mander « si ce serait possible de se procurer une
Bible
pour étudier un peu tout ça. On sent bien que c’est important de s’y
133
s bien si ce curé lui a interdit la lecture de la
Bible
, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit
134
a population. Conférences, visites, colportage de
bibles
de porte en porte. On ne peut pas dire que tout ce travail épuisant d
135
aussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des
bibles
, nous serions camisés de rouge, et l’on irait de temps à autre arrais
136
ieil or, galeries de bois peintes de scènes de la
Bible
— c’est à peine si je trouve une place assise. Je note la proportion
137
l, leurs stalles de chœur et leur pupitre pour la
Bible
, d’où pend un ruban large à la couleur de la saison ou de la fête lit
138
, le président jura, la main posée sur sa vieille
Bible
de famille, en langue hollandaise, qu’il avait choisi d’ouvrir au cha
139
e ou des pasteurs, plus dynamiques au nom de leur
Bible
qu’un démagogue au nom des droits du peuple. Pendant trois siècles, l
140
nbons Johnson… Ici, trois tués par jour… Lisez la
Bible
… Cabines de touristes à 100 yards… Ferry-boat du Delaware en grève… F
141
le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la
Bible
d’Ostervald, le chocolat Suchard, les montres, et le séjour de Rousse
142
te-fille du « grand Ostervald », traducteur de la
Bible
admiré par Fénelon, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgi
143
rien produit qui marque dans la langue, à part la
Bible
d’Ostervald. Les ouvrages distingués ne manquent pas. Mais les seuls
144
sur les documents originaux de la Révélation, la
Bible
et les évangiles. Calvin ne publiera son Institution qu’en 1536, et n
145
urs de communautés, ou scientifiques, tels que la
Bible
, le Coran, les Vedas ; ou Aristote, saint Thomas, Calvin, Marx, ou De
146
nales. (Il faudrait ajouter les traductions de la
Bible
en Angleterre et en Allemagne.) Pour les autres, je propose les disti
147
n revanche, l’Orient ne connaît pas d’Églises. La
Bible
et les Vedas n’ont vraiment rien de commun, et l’usage qu’on en fait
148
n revanche, l’Orient ne connaît pas d’Églises. La
Bible
et les Vedas n’ont vraiment rien de commun, et l’usage qu’on en fait
149
cadre de nos existences n’empêchent nullement la
Bible
et l’Odyssée, la Divine Comédie, Shakespeare et Baudelaire d’agir sur
150
: point de prières publiques ni de serment sur la
Bible
. Ceci tient à la persistance du complexe anticlérical, survivant aux
151
ndes régions de l’univers alors connu. C’est à la
Bible
, interprétée par les premiers Pères de l’Église, qu’entend remonter,
152
sont convaincus que l’Église catholique ignore la
Bible
, que sa piété se réduit au culte de la Vierge, sa morale au décompte
153
itue dans un complexe assyrio-hébraïque auquel la
Bible
fait de fréquentes et très précises allusions et au centre duquel se
154
travaux de Bérard sur les poèmes homériques et la
Bible
et sur les origines sémitiques de tant de noms de dieux et de lieux g
155
ndes régions de l’univers alors connu. C’est à la
Bible
, interprétée par les premiers Pères de l’Église, qu’entend remonter,
156
à la foi catholique devint peu à peu haine de la
Bible
, de la foi chrétienne et finalement de la religion. Bien plus : cette
157
— et c’est un fait patent qu’elle demeure par la
Bible
la plus présente et agissante des trois, dans des millions de vies in
158
omane et des fresques d’églises. La lecture de la
Bible
est interdite aux fidèles dès le synode de Toulouse en 1229, rappelle
159
synode de Toulouse en 1229, rappelle F. Heer. La
Bible
en langue vulgaire est même mise à l’Index par Paul IV en 1559. « Cha
160
racine dans ses traditions les plus reculées : la
Bible
, ce fondement de la vie européenne, cache déjà en elle, d’une façon u
161
tous ceux qui en seront dignes ? La justice de la
Bible
, la vieille liberté des cités, qui les a imposées au monde ? Mais la
162
is que paraissent trois grandes traductions de la
Bible
(en Allemagne, celle de Luther, en Angleterre, celle de Tyndale, en S
163
cartes, Ansermet ne se fonde sur le dogme, sur la
Bible
et la Tradition, ni sur quelque apologétique confessionnelle. Pour dé
164
fluents recommandent aux fidèles la lecture de la
Bible
. Dans plusieurs séminaires — aux dires des jeunes prêtres qui viennen
165
donné dans notre civilisation occidentale par la
Bible
. Et la liturgie fait vivre ces mots dans leur contexte biblique, les
166
, de proverbes et dictons populaires, issus de la
Bible
, transmis par des liturgies, et qui forment une partie importante de
167
ne partie importante de nos littératures. Ôtez la
Bible
et supprimez les liturgies nationales : vous rendrez incompréhensible
168
remarque : le seul détail précis que rapporte la
Bible
à son sujet, c’est cette difficulté à s’exprimer. Non seulement rien
169
nception ancienne : un chef hébreu — celui que la
Bible
appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments de la Loi au p
170
Apôtres, des Prophètes après le Christ. Ainsi la
Bible
n’a pas d’autre sens que de désigner l’Incarnation qui est son centre
171
uté n’est pas une notion ni un terne biblique. La
Bible
nous parle de vérité, de justice, de liberté, et d’amour, mais peu ou
172
nser, comme on l’a écrit, qu’il s’agit là dans la
Bible
, d’une « lacune terrible » ? Lacune que l’idéal grec serait venu comb
173
ce n’est donc pas renier l’art. Constater que la
Bible
ne parle guère de beauté, ce n’est pas dire un seul instant que la Bi
174
beauté, ce n’est pas dire un seul instant que la
Bible
exclut l’art ; et de même, constater que les artistes modernes ne che
175
u goût de se lever tôt pour travailler, il y a la
Bible
autant que la coutume paysanne et bien plus que l’utilitarisme. Il y
176
ement « canonique » dans son interprétation de la
Bible
, mais Jung se réfère aux livres apocryphes, non moins qu’à la « shakt
177
à la terre des Pays-Bas, et bien plus encore à la
Bible
et aux dissidents calvinistes, dans le cas typique de Rembrandt. Ce n
178
, qu’on ne lit plus, merveilleux traducteur de la
Bible
, et que Newton qualifiait de vir omnium christianissimus, homme le pl
179
u goût de se lever tôt pour travailler, il y a la
Bible
autant que la coutume paysanne et bien plus que l’utilitarisme. Il y
180
n était biblique, mais très suisse en cela que la
Bible
est notre véritable Antiquité, comme l’a bien vu Ramuz. Avec « La Bel
181
ement « canonique » dans son interprétation de la
Bible
, mais Jung se réfère aux livres apocryphes, non moins qu’à la « shakt
182
sur les documents originaux de la Révélation, la
Bible
et les évangiles. Calvin ne publiera son Institution qu’en 1536, et n
183
rdite aux fidèles romains, la libre lecture de la
Bible
leur est dorénavant recommandée, et la messe est de plus en plus comm
184
i les siens, « réuni à son peuple », comme dit la
Bible
. C’est là que je l’avais surpris un jour en plein travail — on ne dev
185
artie de ces articles forment des chapitres de la
bible
marxiste, Das Kapital. Plusieurs d’entre eux, attaquant violemment la
186
és sur l’amour », de « fragile autorité » et de «
bible
du genre », il n’a cessé d’influencer durant les trois dernières déce
187
prochain comme soi-même est un commandement de la
Bible
. Puisque les sentiments ne se commandent pas, aimer le prochain comme
188
prochain comme soi-même est un commandement de la
Bible
. Puisque les sentiments ne se commandent pas, aimer le prochain comme
189
le diable dresse au désert devant Jésus. Toute la
Bible
exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu ». Si l’on exclut
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: L’Avenir est notre affaire . Il va devenir la
bible
des écologistes, des régionalistes et de tous les autres, espérons-le
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e. La conclusion de l’aventure est décrite par la
Bible
, non comme un retour au jardin primitif, mais (après la chute de « Ba
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nt de la nature des choses. » Dict. Encycl. de la
Bible
, Paris, 1932, T. I, art. Charisme. 145. Paraphrase d’un texte d’Iva
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le diable dresse au désert devant Jésus. Toute la
Bible
exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu ». Si l’on exclut
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propositions théologiques avec les énoncés de la
Bible
, mais de juger si c’est la Parole de Dieu, donc Dieu, qui est le suje
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et qui est bien différente de l’Apocalypse de la
Bible
, révélation d’une fin dernière de l’humanité. Alors, dans ce cas, oui
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se du village, ni leurs pasteurs. Mais on sent la
Bible
présente dans leur langage et dans leur vision même. La Bible, vérita
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te dans leur langage et dans leur vision même. La
Bible
, véritable « Antiquité » des peuples protestants, comme l’observait u
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omparable à celui de la tragédie grecque et de la
Bible
judéo-chrétienne : grands textes éducateurs de la psyché individuelle
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nationalités conquises): dans les Allemagnes, la
Bible
traduite par Luther, en Grande-Bretagne, la King James Version et le
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ceci, que j’ai trouvé dans mon Dictionnaire de la
Bible
, sous la signature du professeur Alexandre Westphal. Jéhovah n’est n
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ntrée en armes.)67 58. Job 16.11. Je cite la
Bible
œcuménique, dite TOB, sauf pour le dernier mot, emprunté à Segond. Au
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propositions théologiques avec les énoncés de la
Bible
, mais de juger si c’est la Parole de Dieu, donc Dieu, qui est le suje
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l’orthodoxie sera toujours fondée sur un texte :
Bible
ou Coran, évangiles et credo des grands conciles — tout cela restant
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ncore, à la Renaissance, apports bibliques : « La
Bible
est notre Antiquité », écrit Ramuz. À quoi s’ajoute — si même il n’en