1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Almanach 1925 (septembre 1925)
1 uvelle maison d’édition Fischer passait pour « la centrale où l’on avait concentré la dynamite internationale qu’Ibsen voulait p
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
2 plus réellement profonde, son point d’appui plus central . Pour notre époque déchirée entre un thomisme et un nihilisme exaspér
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
3 g, n° 1, décembre 1926, p. 3-5. Signé : Le Comité central .
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
4 icieux. » Je ne sais dans quel rapide de l’Europe centrale — région où l’on est forcé de prendre conscience de soi-même — je déc
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
5 ecteur (juillet 1927)q Nous passons la main au central de Genève, fidèles à la tradition — en ceci au moins. Nous nous retir
6 on absolument imprévisible. Que nous apportera le Central de Genève ? Tout est possible : la guerre et la paix, la tradition, l
7 osité des plus blasés. Lecteur, fais confiance au Central de Genève. Souviens-toi de la grandeur de ses traditions et ne va pas
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
8 t du roman pur ; la tournée des cours de l’Europe centrale , qu’elle subit comme jeune épouse d’un comte polonais, grand seigneur
7 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
9 eu donne aux nuances assez troubles du personnage central une résonance plus profonde. Louis II, ce chimérique, disposait par h
8 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
10 ent qu’il n’élargisse pas plus une question aussi centrale — qui est, si l’on veut, la question d’Orient-Occident. Et pourquoi c
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
11 st je crois l’éloge de choix. Mais de ce problème central , qui déborde le plan esthétique, la littérature ne constitue pas moin
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
12 t la révolution communiste en Chine, et la figure centrale de Garine, anarchiste par goût de l’expérience, conférait à tout le l
13 t » qui pose avec une pareille acuité le problème central de notre civilisation. À ce titre, l’œuvre anarchiste et antichrétien
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
14 dont la mystique se révèle au cours d’un épisode central traité en profondeur — roman-plongée pourrait-on dire —, d’une sourde
12 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
15 nt que révolutionnaires, c’est de ce point de vue central et seul efficacement critique que nous devons envisager les perspecti
13 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
16 ; soit qu’il refuse comme le marxisme l’antinomie centrale de notre condition, et que, enfermant les conflits purement humains d
14 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
17 Le sentiment de l’Europe centrale Un accord sans résolution Il arrive qu’au sortir de Paris le t
18 ois j’ai vibré au passage des rapides de l’Europe centrale  ; non pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une fièvre brève qu
19 nd Drang » à 100 kilomètres à l’heure. ⁂ L’Europe centrale est une de ces réalités qu’on reconnaît d’abord par leur frisson part
20 se sans avarice ; — puis le contraste d’un massif central de sapins et de lacs secrets, cœur noir et tourmenté du continent —,
21 établir une Carte du Tendre de la nouvelle Europe centrale . Il semblait que les noms des traités de 19, Versailles, Trianon, con
22 onflits d’actes, de faits ou de droits ; l’Europe centrale , de ces choses « déchirantes » et sans nom qui font dans l’âme un bru
23 s un mot français. En ceci, le monde de l’Europe centrale est plus chrétien que le monde latin — si l’on considère ses manières
24 tout dire, plus chrétien que le monde de l’Europe centrale . L’intelligence est sentimentale Le sentiment : un retard, un r
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
25 crois, pour répondre. L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et les esprits. C’est en cela seulement
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
26 Introduction Le sentiment de l’Europe centrale Un accord sans résolution Il arrive qu’au sortir de Paris le t
27 ois j’ai vibré au passage des rapides de l’Europe centrale  ; non pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une fièvre brève qu
28 nd Drang » à 100 kilomètres à l’heure. ⁂ L’Europe centrale est une de ces réalités qu’on reconnaît d’abord par leur frisson part
29 vie bourgeoise ; — puis le contraste d’un massif central de sapins et de lacs secrets, cœur noir et tourmenté du continent, —
30 établir une Carte du Tendre de la nouvelle Europe centrale . Il semblait que les noms des traités de 19, Versailles, Trianon, con
31 onflits d’actes, de faits ou de droits ; l’Europe centrale , de ces choses « déchirantes » et sans nom qui font dans l’âme un bru
32 as un mot français. En ceci, le monde de l’Europe centrale est plus chrétien que le monde latin — si l’on considère ses manières
33 tout dire plus chrétien que le monde de l’Europe centrale . L’intelligence est sentimentale Le sentiment : un retard, un r
34 l serait le philosophe par excellence de l’Europe centrale . Ce qu’il a tenté d’étaler dans l’Histoire, c’est l’équation d’existe
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
35 crois, pour répondre. L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et les esprits. C’est en cela seulement
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
36 ons de femmes ont été violées dans toute l’Europe centrale et orientale, des millions séparées de leur mari pendant cinq ans, ma
19 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
37 rmule est le nom même de Jésus-Christ. La réalité centrale d’une telle dialectique est formulée dans ce passage de Barth : « Que
20 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
38 pendons toutes nos constructions à un fait humain central , la personne — telle que nous la définirons tout à l’heure — ou mieux
39 nes et qui pourrait se concrétiser dans un organe central , d’autorité purement doctrinale et révolutionnaire, sorte de Kominter
40 — pôle décentralisateur — et par une institution centrale de service industriel collectivisé, soumise à un organe de répartitio
21 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
41 it à la personne de Jésus une place à juste titre centrale , mais exclusive de toute dogmatique. « La foi n’est pas une adhésion
22 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
42 le Traité du désespoir 3 est de beaucoup la plus centrale , la plus révélatrice, mais aussi la plus propre à créer du malentendu
23 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
43 ce chapitre impitoyable et précis. Voici sa thèse centrale  : nous en sommes venus à substituer « l’amour de l’humanité » à l’amo
24 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
44 re porte sur la notion de la personne, évidemment centrale pour la construction de Dandieu : « Une personne est un homme qui uni
25 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
45 ouveau, cependant que la Critica fascista, organe central du fascisme italien, déclare à propos du même groupe : « Nous préféro
26 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
46 ort de la nation ? Tel est, je crois, le problème central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu’on ait
27 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
47 olutionnaire originel. Telle est la contradiction centrale du marxisme : les fins qu’il veut atteindre, qui sont la libération d
28 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
48 soit qu’il refuse, comme le marxisme, l’antinomie centrale de notre condition, et que, enfermant les conflits purement humains d
29 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
49 sses, etc. Méfiance méthodique à l’égard de toute centrale bureaucratique. Nécessité d’un certain puritanisme, etc.) 3. Un chef
30 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
50 ivil de travail dépendrait, en effet, d’un office central qui aurait pour tâche d’ajuster exactement la production à la consomm
31 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
51 olutionnaire originel. Telle est la contradiction centrale du marxisme : les fins qu’il veut atteindre, qui sont la libération d
32 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
52 sses, etc. Méfiance méthodique à l’égard de toute centrale bureaucratique. Nécessité d’un certain puritanisme, etc.) 3. Un chef
33 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
53 ivil de travail dépendrait, en effet, d’un office central qui aurait pour tâche d’ajuster exactement la production à la consomm
34 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
54 ansformation. Et voici que nous rejoignons l’idée centrale de Crainte et Tremblement. Qu’est-ce, en effet, que le « chevalier de
35 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
55 es valeurs », sans jamais renvoyer à une autorité centrale qui donnerait la synthèse de ces contradictions. La vie chrétienne es
36 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
56 n, des images, du calcul, avait trouvé l’attitude centrale à partir de laquelle les entreprises de la connaissance et les opérat
37 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
57 infiniment différent de toi et de moi, absolument central — d’ailleurs intemporel —, établit ce lien absolu, humainement imposs
38 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
58 spect de la nation ? Tel est je crois le problème central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu’on ait
39 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
59 , dans la mesure où la foi les anime, l’événement central de notre vie chrétienne. Elles sont, avec les sacrements, la promesse
40 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
60 l’histoire de leur mesure commune, de leur règle centrale de pensée et d’action, ou si l’on veut, pour simplifier, de leur mora
61 a dans le monde le message de l’apôtre Paul, idée centrale de la doctrine de Calvin. Ordonner toutes choses, et d’abord la cité,
41 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
62 e : que le problème de la culture est le problème central de notre temps, la culture étant responsable de concentrer, d’humanis
42 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
63 de pensée qui ne se fondent pas dans cette vision centrale et unitive. Il me semble que les neuf discours traduits par M. Paul T
43 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
64 rchant », — voilà qui pose à M. Monod le problème central de ce livre. Faudra-t-il donc revenir à Marcion, hérétique condamné p
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
65 ct accidentellement négateur de cette affirmation centrale . Mais la critique des auteurs que j’ai dit ne veut être qu’une pure c
45 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
66 urgeois Si l’on se demande quel est le principe central de notre société bourgeoise, son lieu commun fondamental, son arme dé
67 t le mot de rationalisme. De même que le principe central , la vertu décisive et première de la société féodale fut l’honneur, v
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
68 ravail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement inséparables… (A
47 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
69 ons par le matériel !52 » J’ai dit aussi l’erreur centrale de la croyance collectiviste, qui veut que la culture, cette création
48 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
70 taire. Enfin j’ai essayé de circonscrire le point central , le foyer rayonnant, le cœur de la réalité humaine où vient retentir
49 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
71 er. À moins qu’il n’en parte, comme de la réalité centrale , impensable et qui permet de penser. Nous voudrions dégager ici, à ti
50 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
72 ct accidentellement négateur de cette affirmation centrale . Mais la critique des auteurs que j’ai dit ne veut être qu’une pure c
51 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
73 urgeois Si l’on se demande quel est le principe central de notre société bourgeoise, son lieu commun fondamental, son arme dé
74 le mot de rationalisme. De même que le principe central , la vertu décisive et première de la société féodale fut l’honneur, v
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
75 ravail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement inséparables… (A
53 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
76 ons par le matériel !53 » J’ai dit aussi l’erreur centrale de la croyance collectiviste qui veut que la culture, cette création,
54 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
77 taire. Enfin j’ai essayé de circonscrire le point central , le foyer rayonnant, le cœur de la réalité humaine où vient retentir
55 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
78 ations. Le travail est centralisé par un « Comité central des informations », siégeant à Paris, qui envoie chaque semaine un bu
79 s statuts. Il faut encore ajouter que le « Comité central d’informations » qui rédige le bulletin, n’a pas seulement à sa dispo
56 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
80 port » a été approuvé à l’unanimité par le Comité central du Parti communiste français, le 16 octobre 1936. C’est donc un manif
57 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
81 » qu’on donne en exemple aux barbares de l’Europe centrale . Le peuple qui sait calculer, faire son budget, bourrer le bas de lai
58 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
82 parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du De servo arbitrio, dont une première traduction française va paraî
59 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
83 s nous appelons fédération. Sur ce point, qui est central , l’accord de Nietzsche et de ses disciples avec le personnalisme para
84 ls permettent en particulier de situer à sa place centrale la conception du « retour éternel » et de la volonté d’éternisation,
60 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
85 cette inconcevable lacune, en publiant l’ouvrage central de la réforme luthérienne, le Traité du serf arbitre 14. Ne fût-ce qu
61 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
86 u collectivisme dictatorial. Elle est la position centrale , à la fois naturelle et spirituelle, dont l’individualisme et les col
87 : la Suisse doit être la gardienne de ce principe central , fédératif ; et elle ne peut être autre chose, de par sa nature même,
62 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
88 me par lui. C’est sur le fait de cette opposition centrale qu’il importe d’être bien au clair, si l’on veut comprendre pourquoi
63 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
89 » qu’on donne en exemple aux barbares de l’Europe centrale . Le peuple qui sait calculer, faire son budget, bourrer le bas de lai
90 e sur la terre. Je dois croire qu’à cet événement central doivent se rapporter toutes nos pensées, toutes nos actions, tous nos
64 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
91 s nuances qu’on imagine, nous amènent au problème central que pose à la pensée d’un protestant, et particulièrement d’un calvin
65 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
92 parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du traité que nous publions : je le vois au centre du débat occidenta
66 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
93 en suppose une. Il est, à mon sens, la tradition centrale de l’Occident, l’élément civilisateur de notre civilisation, le carac
67 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
94 nisme « à bon marché », comme les évêques. Pensée centrale de l’œuvre énorme de Kierkegaard (40 volumes en douze années). Pensée
68 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
95 mme sincère, et c’est le seul… » II. — Le fait central J’en étais là de mes étonnements. Je collectionnais des observatio
69 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
96 rchie et tyrannie, c’est au contraire l’équilibre central et créateur dont l’individualisme et le collectivisme ne représentent
97 Europe déchirée. a. « Le seul espoir », Feuille centrale de Zofingue, Zurich, n° 9, juin 1938, p. 469-472.
70 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
98 fasciste de l’expédition. Il écrit en effet à la Centrale du Parti : « L’expédition de Sarzana n’est qu’un épisode normal : il
71 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
99 (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale ). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels entraîne
72 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
100 un microcosme. Tout ce qui détruit cette volonté centrale , ou en dévie, compromet la fidélité, et donne des chances nouvelles à
73 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
101 ougemont, lauréat du prix Rambert 1938 », Feuille centrale de Zofingue, Neuchâtel, n° 1, novembre 1938, p. 36-39. Pris remis pou
74 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
102 Mon premier livre dit assez mon amour de l’Europe centrale  ; et mon deuxième, l’idée que je me fais des régimes totalitaires. Je
103 auses du Diktat, l’état démographique de l’Europe centrale , le rôle des camps de travail dans la création d’une éthique communau
75 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
104 t, songe, puis répond : Il y a donc un personnage central , c’est Nicolas de Flue. Il évolue du plan inférieur au plan supérieur
76 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
105 e qu’ils vivaient. Et ceci nous amène au problème central  : celui de l’expression d’un indicible. Il nous faut dépasser ici le
77 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
106 redonnera sa juste place dans l’humain. Ma thèse centrale présentée de la sorte — n’est-ce pas assez clair dans mon livre ? — m
78 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
107 oires, mais aucun des motifs allégués de l’action centrale du Roman. Et je les ai même soulignés. On a pu voir qu’ils se réduise
79 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
108 es noms, se mêler aux vivants. Par cette doctrine centrale de la survie des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs. Mais toute
109 de snobisme et d’intérêt, suscitée par les dogmes centraux . Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradictions chez
80 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
110 orthodoxes et le langage de la passion Le fait central de toute vie religieuse de forme et de contenu chrétiens, c’est l’évé
81 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
111 tte du Jour et de la Nuit. La mort y joue un rôle central  : elle est la défaite du monde et la victoire de la vie lumineuse. Am
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
112 (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale ). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels entraîne
83 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
113 un microcosme. Tout ce qui détruit cette volonté centrale , ou en dévie, compromet la fidélité et donne des chances nouvelles à
84 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
114 et tout y gravitait autour du Frère Claus, figure centrale symbolisant l’idée confédérale créatrice de la Suisse. Les cantons pe
85 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
115 me dans l’évolution de l’Europe, et quel principe central elle doit y incarner, de nos jours sans doute plus que jamais. Prenon
116 diate et dynamique. Et ce fait, c’est l’événement central de toute l’Histoire, la seule nouveauté absolue de tous les temps : l
117 , au nom d’une position non point centriste, mais centrale . Nous, de même, reprenons le combat contre l’esprit collectiviste, ma
86 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
118 t sacrifié au salut de la communauté. Le paradoxe central d’une pièce sur Nicolas, sa tension créatrice, réside donc dans ce fa
119 ns les moments où l’intérêt se déplaçait du héros central aux réactions de la foule, c’est-à-dire du drame de la personne à ses
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
120 oires, mais aucun des motifs allégués de l’action centrale du Roman. Et je les ai même soulignés. On a pu voir qu’ils se réduise
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
121 es noms, se mêler aux vivants. Par cette doctrine centrale de la survie des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs. Mais toute
122 de snobisme et d’intérêt, suscitée par les dogmes centraux . Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradictions chez
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
123 orthodoxes et le langage de la passion Le fait central de toute vie religieuse de forme et de contenu chrétiens, c’est l’évé
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
124 tte du Jour et de la Nuit. La mort y joue un rôle central  : elle est la défaite du monde et la victoire de la vie lumineuse. Am
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
125 (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale ). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels entraîne
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
126 un microcosme. Tout ce qui détruit cette volonté centrale , ou en dévie, compromet la fidélité et donne des chances nouvelles à
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
127 et du mariage en Occident, tel était mon dessein central  ; et cela reste à mes yeux le vrai sujet, la vraie thèse de mon livre
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
128 oires, mais aucun des motifs allégués de l’action centrale du Roman. Et je les ai même soulignés. On a pu voir qu’ils se réduise
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
129 es noms, se mêler aux vivants. Par cette doctrine centrale de la survie des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs. Mais toute
130 de snobisme et d’intérêt, suscitée par les dogmes centraux . Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradictions chez
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
131 orthodoxes et le langage de la passion Le fait central de toute vie religieuse de forme et de contenu chrétiens, c’est l’évé
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
132 tte du Jour et de la Nuit. La mort y joue un rôle central  : elle est la défaite du monde et la victoire de la vie lumineuse. Am
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
133 (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale ). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels entraîne
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
134 un microcosme. Tout ce qui détruit cette volonté centrale , ou en dévie, compromet la fidélité et donne des chances nouvelles à
100 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
135 mais nous savons ! ») Ceci explique que le souci central de Gide ait été de débarrasser son christianisme de toutes les adjonc