1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
1 , pour renaître catholique.) Certes, il bannit le charme et toute grâce vaporeuse. Mais ses fleurs de cristal, si elles sont s
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
2 , Urbanisme (juin 1926)v Nous disons adieu aux charmes troubles et inhumains de la nature. Il s’agit de créer à notre vie mo
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
3 ing, L’Iroquois (décembre 1926)z Ce roman a le charme d’un automne, une amertume enveloppée, une atmosphère trop claire où
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
4 taine amitié de la saison suffirait à dissiper le charme perfide qui les tourmente. Mais il faudrait d’abord qu’ils se soient
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
5 Orphée sans charme (février 1927)g « Cet âge est sans pitié. » « Le véritable symbo
6 uelques préoccupations assez simples dont l’étude charme le psychanalyste. Je pourrais poursuivre le jeu. Et puis, il y a auss
7 nous n’en demandions pas tant… g. « Orphée sans charme  », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, n° 3,
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 che pas, mais s’insinue dans toute sa palette, ce charme enfin, ce je ne sais quoi qu’on cherche en vain chez beaucoup des mei
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 de mépris pour Paul Morand par qui découvrîtes le charme de ces lieux. Vous composez un cocktail en guise de métaphore, avec u
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
10 œuvrettes une si exquise humanité : par lui le «  charme  » reprend quelques droits. an. « Jean-Louis Vaudoyer : Premières am
9 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
11 ve toujours au récit de succès mirobolants, et le charme un peu facile mais fort goûté du grand public, de l’humour américain,
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
12 ehausser le tableau avec beaucoup d’adresse et de charme  : Wagner et Nietzsche lui fournissent deux tons fermes dont le jeu do
11 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
13 mène au Théâtre, vous n’y comprenez rien, mais le charme des voix hongroises féminines suffit à votre bonheur et vous voyez bi
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
14 pour faire ici du sentiment, je suis sensible au charme de cette fantaisie. Mais ce qui fait très bien dans un Cahier de la q
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
15 pour faire ici du sentiment, je suis sensible au charme de cette fantaisie. Mais ce qui fait très bien dans un Cahier de la q
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
16 urifiées, un relief net, une heureuse alliance de charme et de rigueur, de moelleux et de précision… À la dernière page, l’art
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
17 , dans un sens vaste et mystique, elle le doit au charme égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale17. Les s
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
18 même auteur16, et il nous aide à mieux définir le charme de cette œuvre inoubliable. Antérieur de quelques années à Daphné, be
19 haute société anglaise ne soit pas dépourvue d’un charme qui attirera certains lecteurs, qui agacera un peu les autres. M. Cha
20 pas plus loin. Et c’est ainsi que de ce roman au charme pénétrant et presque trop certain, sourd, comme dit Charles Du Bos « 
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
21 et de nuances sarcastiques (celles du serpent qui charme à froid) — art qui tout ensemble se définit et se limite par l’épithè
18 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
22 crevassée et divisée. Son œuvre souvent pleine de charme mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais ne nous dé
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
23 , dans un sens vaste et mystique, elle le doit au charme égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale12. Les s
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
24 gées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une ce
25 s ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un charme consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Longues randonnée
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 , dans un sens vaste et mystique, elle le doit au charme égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale9. Les si
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
27 gées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une ce
28 s ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un charme consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Longues randonnée
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
29 vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le charme qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
30 et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
31 « Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un charme , simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
32 ture solide et variée, d’une nature contrastée de charme et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
33 moire des plus amers ou des plus seuls a gardé le charme des eaux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jam
34 nombre mes lacs, et la mémoire encore investit du charme des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès
26 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
35 ie, ne sont rien sans la mystique. La force et le charme de ce roman sont ceux mêmes d’une jeunesse fruste, innocente jusque d
27 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
36 ivres comme celui-là, ça aide à vivre ! » Tout le charme profond de Selma Lagerlöf revit dans ces peintures d’une Laponie loin
28 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
37 es abyssales logomachies dialectiques qui font le charme des revues communistes. Rien dans ces textes pour flatter les littéra
29 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
38 qu’il vient nous prendre où nous sommes. C’est le charme profond de Selma Lagerlöf qui revit dans ces peintures d’une Laponie
30 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
39 es abyssales logomachies dialectiques qui font le charme des revues communistes. Rien dans ces textes pour flatter les littéra
31 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
40 ceux de Goethe, surent voir en toutes choses « le charme éternel » qui les crée. Ouvrez donc au hasard tel recueil d’aphorisme
32 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
41 t d’étude, je fais tort au ton de ce livre, à son charme sentimental, à son humour particulier, à ses jeunes filles surtout qu
33 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
42 urs et de maniaques, mains machinales et qu’aucun charme ne soumet : ce sont les mains des agités, et non point de ceux qui ag
34 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
43 urs et de maniaques, mains machinales et qu’aucun charme ne soumet : ce sont les mains des agités, et non point de ceux qui ag
35 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
44 ment une anthologie de « mineurs » qui prendra le charme d’un style, et très vite, une patine rassurante. Quant au roman conte
36 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
45 rre, etc., m’apparaît au contraire comme l’un des charmes du livre. Réjouissante désinvolture ! Thibaudet fut bien moins critiq
37 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
46 i a perdu son homme, cette fois, mais non pas ses charmes profonds. C’est le siècle où je vis qui n’a plus d’ombre, et c’est po
38 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
47  ? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs charmes ont cessé d’opérer. Nous avons épuisé les environs, dans un rayon d’e
39 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
48 ule une prière désespérée, de pur amour, rompt le charme forgé par le péché. Au symbole de l’anneau volé, maintenant privé de
49 le très grand intérêt de ces souvenirs — dont le charme , d’ailleurs, suffirait bien à nous retenir : ils nous permettent de m
40 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
50  ? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs charmes ont cessé d’opérer. Nous avons épuisé les environs, dans un rayon d’e
41 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
51 t nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions des charmes … 30 juin 1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier,
42 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
52 e d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le «  charme  » qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jam
53 qu’il nous force au « réalisme » à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
43 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
54 ugemont avec ce demi-sourire en coin qui fait son charme . Mon dernier livre me paraît au contraire comme plus actuel que beauc
44 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
55 ente où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce charme  ? Et quelles complicités cet artifice de « rhétorique profonde » sait
56 mythe ? Et dans ce cas, n’est-ce pas détruire son charme que d’essayer de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que myth
57 mée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme , terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait pe
58 quelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux «  charmes  » du récit, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nou
59 rt. 5.Énigmes Résumé de la sorte, et tout «  charme  » détruit, à considérer froidement le plus envoûtant des poèmes, on s
60 étourner. Nous sommes atteints, nous subissons le charme , nous co-naissons au « tourment délicieux ». Toute condamnation serai
45 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
61 es trompeurs, — à ne plus nous séduire que par le charme et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè ou l’amour chrétien
46 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
62 sie disparaît aux yeux des mondains abusés par le charme trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et voici que cen
47 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
63 ous a conduits à une dissolution libératrice du «  charme  ». La littérature, au contraire, est la voie qui descend aux mœurs. C
64 Le temps venait où les poètes succomberaient aux charmes du miroir et de la rhétorique profanée. Nous allons voir Pétrarque se
65 le le succès prodigieux de l’Astrée. Pourtant ses charmes ne sont point inégaux à ceux de nos récents romans féeriques. Et la p
66 tel que maintenant il se souhaite : insensible au charme mortel… Confondant Phèdre et la femme qu’il aime, il se venge de l’ob
67 us aimez. On ne peut vaincre sa destinée : Par un charme fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à te
68 ar le mal : péchons jusqu’à détruire les derniers charmes du péché. Au lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des tortures
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
69 ente où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce charme  ? Et quelles complicités cet artifice de « rhétorique profonde » sait
70 mythe ? Et dans ce cas, n’est-ce pas détruire son charme que d’essayer de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que myth
71 mée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme , terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait pe
72 quelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux «  charmes  » du récit, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nou
73 rt. 5.Énigmes Résumé de la sorte, et tout «  charme  » détruit, à considérer froidement le plus envoûtant des poèmes, on s
74 étourner. Nous sommes atteints, nous subissons le charme , nous connaissons au « tourment délicieux ». Toute condamnation serai
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
75 les trompeurs — à ne plus nous séduire que par le charme et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè ou l’amour chrétien
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
76 sie disparaît aux yeux des mondains abusés par le charme trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et voici que cen
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
77 ous a conduits à une dissolution libératrice du «  charme  ». La littérature, au contraire, est la voie qui descend aux mœurs. C
78 Le temps venait où les poètes succomberaient aux charmes du miroir et de la rhétorique profanée. Nous allons voir Pétrarque se
79 le le succès prodigieux de l’Astrée. Pourtant ses charmes ne sont point inégaux à ceux de nos récents romans féeriques. Et la p
80 tel que maintenant il se souhaite : insensible au charme mortel… Confondant Phèdre et la femme qu’il aime, il se venge de l’ob
81 us aimez. On ne peut vaincre sa destinée ; Par un charme fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à te
82 ar le mal : péchons jusqu’à détruire les derniers charmes du péché. Au lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des tortures
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
83 ente où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce charme  ? Et quelles complicités cet artifice de « rhétorique profonde » sait
84 mythe ? Et dans ce cas, n’est-ce pas détruire son charme que d’essayer de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que myth
85 mée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme , terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait pe
86 quelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux «  charmes  » du récit, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nou
87 rt. 5.Énigmes Résumé de la sorte, et tout «  charme  » détruit, à considérer froidement le plus envoûtant des poèmes, on s
88 étourner. Nous sommes atteints, nous subissons le charme , nous co-naissons au « tourment délicieux ». Toute condamnation serai
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
89 les trompeurs — à ne plus nous séduire que par le charme et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè ou l’amour chrétien
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
90 sie disparaît aux yeux des mondains abusés par le charme trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et voici que cen
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
91 ous a conduits à une dissolution libératrice du «  charme  ». La littérature, au contraire, est la voie qui descend aux mœurs. C
92 Le temps venait où les poètes succomberaient aux charmes du miroir et de la rhétorique profanée. Nous allons voir Pétrarque se
93 le le succès prodigieux de l’Astrée. Pourtant ses charmes ne sont point inégaux à ceux de nos récents romans féeriques. Et la p
94 tel que maintenant il se souhaite : insensible au charme mortel… Confondant Phèdre et la femme qu’il aime, il se venge de l’ob
95 us aimez. On ne peut vaincre sa destinée : Par un charme fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à te
96 ar le mal : péchons jusqu’à détruire les derniers charmes du péché. Au lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des tortures
56 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
97 e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme , à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
57 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
98 issance immobile qui vaincrait la distance par le charme , attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’u
58 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
99 et de la sagesse mondaine en général. Elle a son charme et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
100 é qu’il ne suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le charme reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
59 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
101 ranche des glaciers. Que ces images dissipent les charmes sataniques imprudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépus
60 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
102 et de la sagesse mondaine en général. Elle a son charme et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
103 é qu’il ne suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le charme reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
61 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
104 ranche des glaciers. Que ces images dissipent les charmes sataniques imprudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépus
62 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
105 et de la sagesse mondaine en général. Elle a son charme et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
106 erté qu’il suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le charme reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
63 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
107 ranche des glaciers. Que ces images dissipent les charmes sataniques imprudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépus
64 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
108 sa pensée, comme s’il doutait… Adolescence ! Le charme du désir est celui du silence : il éloigne sans fin le terme. Tu n’en
65 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
109 vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le charme qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
110 et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
111 e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme , à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
66 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable X : Le diable homme du monde (17 décembre 1943)
112 et de la sagesse mondaine en général. Elle a son charme et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
113 é qu’il ne suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le charme reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
67 1944, Les Personnes du drame. Introduction
114 r identité par certains documents précis, dont le charme et l’audace me guident : je connais bien les règles de ce jeu, ses di
68 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
115 désigner le gagnant ? Tricher même n’a plus aucun charme . Si vous vous soumettez aux règles des échecs, déplacer un seul pion
116 nonçait à démontrer, et m’entraînait par d’autres charmes … Du conteur pur, je n’exigeais qu’un sens, valable et vérifiable en s
69 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
117 « Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un charme , simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
70 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
118 « Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un charme , simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
119 issance immobile qui vaincrait la distance par le charme , attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’u
71 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
120 vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le charme qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
121 et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
72 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
122 e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme , à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
73 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
123 mmunauté d’inconnus d’hier, plongés dans tous les charmes de la paix, incroyablement hors du siècle, et n’y cherchant aucune ex
74 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
124 e : mais c’est l’Europe ! parce qu’il y trouve un charme , simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
125 , dans un sens vaste et mystique, elle le doit au charme égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale8. Les si
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
126 gées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une ce
127 s ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un charme consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Longues randonnée
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
128  ? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs charmes ont cessé d’opérer. Nous avons épuisé les environs, dans un rayon d’e
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
129 t nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions des charmes … 30 juin 1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier,
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
130 vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le charme qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
131 et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
132 e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme , à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
133 mmunauté d’inconnus d’hier, plongés dans tous les charmes de la paix, incroyablement hors du siècle, et n’y cherchant aucune ex
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
134 « Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un charme , simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
83 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
135 i a perdu son homme, cette fois, mais non pas ses charmes profonds. C’est le siècle présent qui n’a plus d’ombre : il ne sait m
84 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
136 s sa pensée, comme s’il doutait… Adolescence ! Le charme du désir est celui du silence : il éloigne sans fin le terme. Tu n’en
85 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
137 issance immobile qui vaincrait la distance par le charme , attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’u
86 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
138 moire des plus amers ou des plus seuls a gardé le charme des eaux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jam
139 nombre mes lacs, et la mémoire encore investit du charme des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès
87 1948, Suite neuchâteloise. VI
140 ture solide et variée, d’une nature contrastée de charme et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont
88 1948, Suite neuchâteloise. VII
141 moire des plus amers ou des plus seuls a gardé le charme des eaux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jam
142 nombre mes lacs, et la mémoire encore investit du charme des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès
89 1953, Articles divers (1951-1956). Rudolf Kassner (1953)
143 e » qui composaient au sens magique du mot, les «  charmes  » de cette prose et son autorité. Telle fut ma première impression. V
90 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
144 e suis pas le dernier à subir les prestiges et le charme fatal. Est-il besoin de souligner que ce grand thème est l’unique jus
145 nom de nymphets. » Lolita, 12 ans et 7 mois, a le charme inquiétant, l’impudeur innocente et la pointe de vulgarité qui caract
91 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
146 nées plusieurs millions de disques du chanteur de charme Tino Rossi. Mais en même temps, et voilà le fait nouveau, on a vendu
92 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
147 ce » qui composaient, au sens magique du mot, les charmes de cette prose et son autorité. J’écrivais : Dans la mesure même où
148 crevassée et divisée. Son œuvre souvent pleine de charme mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais ne nous dé
93 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
149 l lui lécha le cou, et la jeune fille fut sous le charme . Elle le caressait, essuyait doucement de ses mains l’écume qui lui t
94 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
150 te et de la divination a pris pour nous autant de charme et nous est devenue tout aussi indispensable que ne l’est, pour l’amo
95 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
151 x de Casanova, ne sont pas seulement le fait d’un charme individuel. Des coutumes ancestrales, oubliées depuis des siècles, so
96 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
152 e, d’une sagesse indulgente mais incisive et d’un charme personnel infaillible, alliant le meilleur des qualités germaniques e
97 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
153 e suis pas le dernier à subir les prestiges et le charme fatal. Est-il besoin de souligner que ce grand thème est l’unique jus
154 de nymphets. » Lolita, 12 ans et sept mois, a le charme inquiétant, l’impudeur innocente et la pointe de vulgarité qui caract
98 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
155 te et de la divination a pris pour nous autant de charme et nous est devenue tout aussi indispensable que ne l’est, pour l’amo
156 x de Casanova, ne sont pas seulement le fait d’un charme individuel. Des coutumes ancestrales, oubliées depuis des siècles, so
99 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
157 ce » qui composaient, au sens magique du mot, les charmes de cette prose et son autorité. Voici donc cette première approche. ⁂
158 revassée et divisée. Son œuvre, souvent pleine de charme mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais ne nous dé
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
159 il lui lécha le cou et la jeune fille fut sous le charme . Elle le caressait, essuyait doucement de ses mains l’écume qui lui t