1
, pour renaître catholique.) Certes, il bannit le
charme
et toute grâce vaporeuse. Mais ses fleurs de cristal, si elles sont s
2
, Urbanisme (juin 1926)v Nous disons adieu aux
charmes
troubles et inhumains de la nature. Il s’agit de créer à notre vie mo
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ing, L’Iroquois (décembre 1926)z Ce roman a le
charme
d’un automne, une amertume enveloppée, une atmosphère trop claire où
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taine amitié de la saison suffirait à dissiper le
charme
perfide qui les tourmente. Mais il faudrait d’abord qu’ils se soient
6
uelques préoccupations assez simples dont l’étude
charme
le psychanalyste. Je pourrais poursuivre le jeu. Et puis, il y a auss
7
nous n’en demandions pas tant… g. « Orphée sans
charme
», Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, n° 3,
8
che pas, mais s’insinue dans toute sa palette, ce
charme
enfin, ce je ne sais quoi qu’on cherche en vain chez beaucoup des mei
9
de mépris pour Paul Morand par qui découvrîtes le
charme
de ces lieux. Vous composez un cocktail en guise de métaphore, avec u
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œuvrettes une si exquise humanité : par lui le «
charme
» reprend quelques droits. an. « Jean-Louis Vaudoyer : Premières am
11
ve toujours au récit de succès mirobolants, et le
charme
un peu facile mais fort goûté du grand public, de l’humour américain,
12
ehausser le tableau avec beaucoup d’adresse et de
charme
: Wagner et Nietzsche lui fournissent deux tons fermes dont le jeu do
13
mène au Théâtre, vous n’y comprenez rien, mais le
charme
des voix hongroises féminines suffit à votre bonheur et vous voyez bi
14
pour faire ici du sentiment, je suis sensible au
charme
de cette fantaisie. Mais ce qui fait très bien dans un Cahier de la q
15
pour faire ici du sentiment, je suis sensible au
charme
de cette fantaisie. Mais ce qui fait très bien dans un Cahier de la q
16
urifiées, un relief net, une heureuse alliance de
charme
et de rigueur, de moelleux et de précision… À la dernière page, l’art
17
, dans un sens vaste et mystique, elle le doit au
charme
égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale17. Les s
18
même auteur16, et il nous aide à mieux définir le
charme
de cette œuvre inoubliable. Antérieur de quelques années à Daphné, be
19
haute société anglaise ne soit pas dépourvue d’un
charme
qui attirera certains lecteurs, qui agacera un peu les autres. M. Cha
20
pas plus loin. Et c’est ainsi que de ce roman au
charme
pénétrant et presque trop certain, sourd, comme dit Charles Du Bos «
21
et de nuances sarcastiques (celles du serpent qui
charme
à froid) — art qui tout ensemble se définit et se limite par l’épithè
22
crevassée et divisée. Son œuvre souvent pleine de
charme
mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais ne nous dé
23
, dans un sens vaste et mystique, elle le doit au
charme
égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale12. Les s
24
gées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le
charme
se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une ce
25
s ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un
charme
consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Longues randonnée
26
, dans un sens vaste et mystique, elle le doit au
charme
égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale9. Les si
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gées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le
charme
se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une ce
28
s ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un
charme
consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Longues randonnée
29
vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le
charme
qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
30
et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le
charme
est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
31
« Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un
charme
, simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
32
ture solide et variée, d’une nature contrastée de
charme
et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont
33
moire des plus amers ou des plus seuls a gardé le
charme
des eaux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jam
34
nombre mes lacs, et la mémoire encore investit du
charme
des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès
35
ie, ne sont rien sans la mystique. La force et le
charme
de ce roman sont ceux mêmes d’une jeunesse fruste, innocente jusque d
36
ivres comme celui-là, ça aide à vivre ! » Tout le
charme
profond de Selma Lagerlöf revit dans ces peintures d’une Laponie loin
37
es abyssales logomachies dialectiques qui font le
charme
des revues communistes. Rien dans ces textes pour flatter les littéra
38
qu’il vient nous prendre où nous sommes. C’est le
charme
profond de Selma Lagerlöf qui revit dans ces peintures d’une Laponie
39
es abyssales logomachies dialectiques qui font le
charme
des revues communistes. Rien dans ces textes pour flatter les littéra
40
ceux de Goethe, surent voir en toutes choses « le
charme
éternel » qui les crée. Ouvrez donc au hasard tel recueil d’aphorisme
41
t d’étude, je fais tort au ton de ce livre, à son
charme
sentimental, à son humour particulier, à ses jeunes filles surtout qu
42
urs et de maniaques, mains machinales et qu’aucun
charme
ne soumet : ce sont les mains des agités, et non point de ceux qui ag
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urs et de maniaques, mains machinales et qu’aucun
charme
ne soumet : ce sont les mains des agités, et non point de ceux qui ag
44
ment une anthologie de « mineurs » qui prendra le
charme
d’un style, et très vite, une patine rassurante. Quant au roman conte
45
rre, etc., m’apparaît au contraire comme l’un des
charmes
du livre. Réjouissante désinvolture ! Thibaudet fut bien moins critiq
46
i a perdu son homme, cette fois, mais non pas ses
charmes
profonds. C’est le siècle où je vis qui n’a plus d’ombre, et c’est po
47
? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs
charmes
ont cessé d’opérer. Nous avons épuisé les environs, dans un rayon d’e
48
ule une prière désespérée, de pur amour, rompt le
charme
forgé par le péché. Au symbole de l’anneau volé, maintenant privé de
49
le très grand intérêt de ces souvenirs — dont le
charme
, d’ailleurs, suffirait bien à nous retenir : ils nous permettent de m
50
? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs
charmes
ont cessé d’opérer. Nous avons épuisé les environs, dans un rayon d’e
51
t nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions des
charmes
… 30 juin 1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier,
52
e d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le «
charme
» qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jam
53
qu’il nous force au « réalisme » à sa manière, le
charme
est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
54
ugemont avec ce demi-sourire en coin qui fait son
charme
. Mon dernier livre me paraît au contraire comme plus actuel que beauc
55
ente où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce
charme
? Et quelles complicités cet artifice de « rhétorique profonde » sait
56
mythe ? Et dans ce cas, n’est-ce pas détruire son
charme
que d’essayer de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que myth
57
mée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte,
charme
, terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait pe
58
quelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux «
charmes
» du récit, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nou
59
rt. 5.Énigmes Résumé de la sorte, et tout «
charme
» détruit, à considérer froidement le plus envoûtant des poèmes, on s
60
étourner. Nous sommes atteints, nous subissons le
charme
, nous co-naissons au « tourment délicieux ». Toute condamnation serai
61
es trompeurs, — à ne plus nous séduire que par le
charme
et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè ou l’amour chrétien
62
sie disparaît aux yeux des mondains abusés par le
charme
trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et voici que cen
63
ous a conduits à une dissolution libératrice du «
charme
». La littérature, au contraire, est la voie qui descend aux mœurs. C
64
Le temps venait où les poètes succomberaient aux
charmes
du miroir et de la rhétorique profanée. Nous allons voir Pétrarque se
65
le le succès prodigieux de l’Astrée. Pourtant ses
charmes
ne sont point inégaux à ceux de nos récents romans féeriques. Et la p
66
tel que maintenant il se souhaite : insensible au
charme
mortel… Confondant Phèdre et la femme qu’il aime, il se venge de l’ob
67
us aimez. On ne peut vaincre sa destinée : Par un
charme
fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à te
68
ar le mal : péchons jusqu’à détruire les derniers
charmes
du péché. Au lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des tortures
69
ente où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce
charme
? Et quelles complicités cet artifice de « rhétorique profonde » sait
70
mythe ? Et dans ce cas, n’est-ce pas détruire son
charme
que d’essayer de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que myth
71
mée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte,
charme
, terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait pe
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quelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux «
charmes
» du récit, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nou
73
rt. 5.Énigmes Résumé de la sorte, et tout «
charme
» détruit, à considérer froidement le plus envoûtant des poèmes, on s
74
étourner. Nous sommes atteints, nous subissons le
charme
, nous connaissons au « tourment délicieux ». Toute condamnation serai
75
les trompeurs — à ne plus nous séduire que par le
charme
et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè ou l’amour chrétien
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sie disparaît aux yeux des mondains abusés par le
charme
trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et voici que cen
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ous a conduits à une dissolution libératrice du «
charme
». La littérature, au contraire, est la voie qui descend aux mœurs. C
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Le temps venait où les poètes succomberaient aux
charmes
du miroir et de la rhétorique profanée. Nous allons voir Pétrarque se
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le le succès prodigieux de l’Astrée. Pourtant ses
charmes
ne sont point inégaux à ceux de nos récents romans féeriques. Et la p
80
tel que maintenant il se souhaite : insensible au
charme
mortel… Confondant Phèdre et la femme qu’il aime, il se venge de l’ob
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us aimez. On ne peut vaincre sa destinée ; Par un
charme
fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à te
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ar le mal : péchons jusqu’à détruire les derniers
charmes
du péché. Au lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des tortures
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ente où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce
charme
? Et quelles complicités cet artifice de « rhétorique profonde » sait
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mythe ? Et dans ce cas, n’est-ce pas détruire son
charme
que d’essayer de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que myth
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mée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte,
charme
, terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait pe
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quelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux «
charmes
» du récit, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nou
87
rt. 5.Énigmes Résumé de la sorte, et tout «
charme
» détruit, à considérer froidement le plus envoûtant des poèmes, on s
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étourner. Nous sommes atteints, nous subissons le
charme
, nous co-naissons au « tourment délicieux ». Toute condamnation serai
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les trompeurs — à ne plus nous séduire que par le
charme
et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè ou l’amour chrétien
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sie disparaît aux yeux des mondains abusés par le
charme
trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et voici que cen
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ous a conduits à une dissolution libératrice du «
charme
». La littérature, au contraire, est la voie qui descend aux mœurs. C
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Le temps venait où les poètes succomberaient aux
charmes
du miroir et de la rhétorique profanée. Nous allons voir Pétrarque se
93
le le succès prodigieux de l’Astrée. Pourtant ses
charmes
ne sont point inégaux à ceux de nos récents romans féeriques. Et la p
94
tel que maintenant il se souhaite : insensible au
charme
mortel… Confondant Phèdre et la femme qu’il aime, il se venge de l’ob
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us aimez. On ne peut vaincre sa destinée : Par un
charme
fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à te
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ar le mal : péchons jusqu’à détruire les derniers
charmes
du péché. Au lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des tortures
97
e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et
charme
, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
98
issance immobile qui vaincrait la distance par le
charme
, attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’u
99
et de la sagesse mondaine en général. Elle a son
charme
et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
100
é qu’il ne suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le
charme
reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
101
ranche des glaciers. Que ces images dissipent les
charmes
sataniques imprudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépus
102
et de la sagesse mondaine en général. Elle a son
charme
et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
103
é qu’il ne suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le
charme
reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
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ranche des glaciers. Que ces images dissipent les
charmes
sataniques imprudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépus
105
et de la sagesse mondaine en général. Elle a son
charme
et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
106
erté qu’il suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le
charme
reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
107
ranche des glaciers. Que ces images dissipent les
charmes
sataniques imprudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépus
108
sa pensée, comme s’il doutait… Adolescence ! Le
charme
du désir est celui du silence : il éloigne sans fin le terme. Tu n’en
109
vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le
charme
qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
110
et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le
charme
est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
111
e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et
charme
, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
112
et de la sagesse mondaine en général. Elle a son
charme
et son utilité ; mais elle est vieille, elle est trop avertie, elle o
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é qu’il ne suppose, dit-on, d’hypocrisie. Il a le
charme
reposant des formes fixes. Mais le mondain qui n’est que cela inspire
114
r identité par certains documents précis, dont le
charme
et l’audace me guident : je connais bien les règles de ce jeu, ses di
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désigner le gagnant ? Tricher même n’a plus aucun
charme
. Si vous vous soumettez aux règles des échecs, déplacer un seul pion
116
nonçait à démontrer, et m’entraînait par d’autres
charmes
… Du conteur pur, je n’exigeais qu’un sens, valable et vérifiable en s
117
« Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un
charme
, simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
118
« Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un
charme
, simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
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issance immobile qui vaincrait la distance par le
charme
, attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’u
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vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le
charme
qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
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et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le
charme
est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
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e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et
charme
, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
123
mmunauté d’inconnus d’hier, plongés dans tous les
charmes
de la paix, incroyablement hors du siècle, et n’y cherchant aucune ex
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e : mais c’est l’Europe ! parce qu’il y trouve un
charme
, simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
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, dans un sens vaste et mystique, elle le doit au
charme
égyptien du peuple errant qui lui donna sa musique nationale8. Les si
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gées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le
charme
se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une ce
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s ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un
charme
consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Longues randonnée
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? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs
charmes
ont cessé d’opérer. Nous avons épuisé les environs, dans un rayon d’e
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t nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions des
charmes
… 30 juin 1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier,
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vre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le
charme
qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamai
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et qu’il nous force au réalisme à sa manière, le
charme
est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille
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e vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et
charme
, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
133
mmunauté d’inconnus d’hier, plongés dans tous les
charmes
de la paix, incroyablement hors du siècle, et n’y cherchant aucune ex
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« Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y trouve un
charme
, simplement. Mais quand je la vois du haut de mon douzième étage, en
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i a perdu son homme, cette fois, mais non pas ses
charmes
profonds. C’est le siècle présent qui n’a plus d’ombre : il ne sait m
136
s sa pensée, comme s’il doutait… Adolescence ! Le
charme
du désir est celui du silence : il éloigne sans fin le terme. Tu n’en
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issance immobile qui vaincrait la distance par le
charme
, attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’u
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moire des plus amers ou des plus seuls a gardé le
charme
des eaux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jam
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nombre mes lacs, et la mémoire encore investit du
charme
des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès
140
ture solide et variée, d’une nature contrastée de
charme
et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont
141
moire des plus amers ou des plus seuls a gardé le
charme
des eaux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jam
142
nombre mes lacs, et la mémoire encore investit du
charme
des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès
143
e » qui composaient au sens magique du mot, les «
charmes
» de cette prose et son autorité. Telle fut ma première impression. V
144
e suis pas le dernier à subir les prestiges et le
charme
fatal. Est-il besoin de souligner que ce grand thème est l’unique jus
145
nom de nymphets. » Lolita, 12 ans et 7 mois, a le
charme
inquiétant, l’impudeur innocente et la pointe de vulgarité qui caract
146
nées plusieurs millions de disques du chanteur de
charme
Tino Rossi. Mais en même temps, et voilà le fait nouveau, on a vendu
147
ce » qui composaient, au sens magique du mot, les
charmes
de cette prose et son autorité. J’écrivais : Dans la mesure même où
148
crevassée et divisée. Son œuvre souvent pleine de
charme
mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais ne nous dé
149
l lui lécha le cou, et la jeune fille fut sous le
charme
. Elle le caressait, essuyait doucement de ses mains l’écume qui lui t
150
te et de la divination a pris pour nous autant de
charme
et nous est devenue tout aussi indispensable que ne l’est, pour l’amo
151
x de Casanova, ne sont pas seulement le fait d’un
charme
individuel. Des coutumes ancestrales, oubliées depuis des siècles, so
152
e, d’une sagesse indulgente mais incisive et d’un
charme
personnel infaillible, alliant le meilleur des qualités germaniques e
153
e suis pas le dernier à subir les prestiges et le
charme
fatal. Est-il besoin de souligner que ce grand thème est l’unique jus
154
de nymphets. » Lolita, 12 ans et sept mois, a le
charme
inquiétant, l’impudeur innocente et la pointe de vulgarité qui caract
155
te et de la divination a pris pour nous autant de
charme
et nous est devenue tout aussi indispensable que ne l’est, pour l’amo
156
x de Casanova, ne sont pas seulement le fait d’un
charme
individuel. Des coutumes ancestrales, oubliées depuis des siècles, so
157
ce » qui composaient, au sens magique du mot, les
charmes
de cette prose et son autorité. Voici donc cette première approche. ⁂
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revassée et divisée. Son œuvre, souvent pleine de
charme
mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais ne nous dé
159
il lui lécha le cou et la jeune fille fut sous le
charme
. Elle le caressait, essuyait doucement de ses mains l’écume qui lui t