1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 ui se mordillent et se frôlent amoureusement, des chiens « qui vous faufilent des douceurs au bas des jambes », jusqu’à ces ch
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 mon gré). Qu’une sorcière transforme un homme en chien , cela n’a rien d’étonnant au cinéma. C’est la photographie d’une chos
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 s y voient une façon de me moquer de leurs petits chiens musclés… Je n’en suis pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
4 e gardeur d’oies, le gueux Joseph qui parle à son chien en mourant, une fille qui chante et des enfants surtout, dès le début
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 ? — il est bientôt minuit. Mon fantôme est là. Un chien , Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelq
6 erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
7 ages bien minces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chien écrasé pose toute la question sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à do
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
8 de ses grands maîtres — par l’État bourgeois. Les Chiens de garde 39, tel est le titre de son pamphlet — ce sont les philosoph
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
9 Ce chien , ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)f Traduit du chi
10 par Rudyard Kipling (juillet 1932)f Traduit du chien par Kipling, et adapté, voire recréé par Jacques Valette dans une lan
11 ’une grande force d’expression concrète. Le petit chien Botte raconte ses journées, « des choses et des choses comme des rats
12 qui courent ». — « On est des pauvres tout petits chiens qu’on habite tout par dehors et que personne s’occupe ». Dès la secon
13 ute poésie à l’état sauvage — la vraie. f. « Ce chien , ton serviteur, par Rudyard Kipling. Traduit de l’anglais par Jacques
9 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
14 s y voient une façon de me moquer de leurs petits chiens muselés… Je n’en suis pas fâché. »   Il y avait peu de monde dans les
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
15 , où l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte dis
16 souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au chien , de l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre,
17 erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
18 ien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien . Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant
19 mesure qu’apportent dans leurs démonstrations les chiens de tous les pays). Au bout d’un certain temps, et sans doute à cause
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
20 — il est bientôt minuit20. Mon fantôme est là. Un chien , Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelq
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
21 , où l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte dis
22 souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au chien , de l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre,
23 erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
24 ien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien . Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant
25 mesure qu’apportent dans leurs démonstrations les chiens de tous les pays). Au bout d’un certain temps, et sans doute à cause
13 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
26 ique prolétarienne publiés ici où là par quelques chiens de garde du conformisme stalinien. Nous nous étonnerons alors des cra
14 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
27 i avec les communistes, écrit Aragon. Et le petit chien du duc, qui figure sur le portrait du gentilhomme, fait fête à ses no
28 cela. Nous savons, nous aussi, caresser un petit chien , donner sa feuille de salade verte au canari. Et nous ne sommes pas «
15 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
29 dinier s’appelle Simard, sa femme Marguerite, son chien basset Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de gu
30 rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
16 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
31 ur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites
32 hirements wagnériens. Et voilà que cela prend les chiens . Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-de
33 demain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne Marquise — c’est la mère du basset Pernod — a trottiné tout gentiment
34 utres mâles faméliques reniflaient la trace de la chienne à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescenda
35 tacle étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfi
36 malité. 17 avril Ça n’a pas encore cessé chez les chiens . Cette nuit, les crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des note
37 au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La chienne se traîne. La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est
38 s. Il faut voir les yeux pitoyables de ces grands chiens qui tremblent sous la pluie, groupés au maigre abri des buissons de l
17 1937, Esprit, articles (1932–1962). Marius Richard, Le Procès (juin 1937)
39 de leur mal » et même « du polémiste prenant son chien à témoin de la lâcheté des hommes, qu’il exploite ». Ce procès Stavis
18 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
40 emps ; ou bien on écrit simplement pour gagner sa chienne de vie et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse qu
19 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
41 ps ; on bien l’on écrit simplement pour gagner sa chienne de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
20 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
42 age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tournent autour d
43 pas, si proche dans les rues vides, et ces mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée de l’ombre de la mort… étr
21 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
44 ait comme une gifle ! J’en ai été malade comme un chien . Et après, eh bien, les malheurs sont venus de partout. On a retrouvé
45 ps ; ou bien l’on écrit simplement pour gagner sa chienne de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
46 lle Simard, « Fernane », sa femme Marguerite, son chien basset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de g
47 rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
48 ur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites
49 hirements wagnériens. Et voilà que cela prend les chiens . Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-de
50 demain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne Marquise — c’est la mère du basset Pernod — a trottiné tout gentiment
51 utres mâles faméliques reniflaient la trace de la chienne à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescenda
52 tacle étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfi
53 17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les chiens . Cette nuit, les crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des note
54 au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La chienne se traîne. La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est
55 s. Il faut voir les yeux pitoyables de ces grands chiens qui tremblent sous la pluie, groupés au maigre abri des buissons de l
23 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
56 age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tournent autour d
57 pas, si proche dans les rues vides, et les mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. « Vallée de l’ombre de la mort… étran
24 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
58 et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue… C’est là encore une asse
25 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
59 ! Tu viens à nous ! (Ils dansent.) Nicolas. —  Chiens de Satan ! Je vous connais ! Vous pouvez aboyer mais non pas mordre !
26 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
60 eu Sans feu ni lieu Au souffle de l’esprit. Les chiens aboient Les démons rient Sur la pierreuse voie Les démons rient Mais
27 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
61 ois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de chiens qui sentent eux-mêmes le patchouli et qu’elles disposent sur la banqu
28 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
62 et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue. C’est là encore une asse
29 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
63 et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue. C’est là encore, bien qu
30 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
64 Comme un directeur de journal qui ne fait pas les chiens écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique m
31 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
65 Comme un directeur de journal qui ne fait pas les chiens écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique m
32 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
66 Comme un directeur de journal qui ne fait pas les chiens écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique m
33 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
67 de Terre-Neuve, sous l’œil indifférent d’un seul chien du même nom. Une aurore boréale nous avait arrêtés toute une nuit, no
34 1946, Articles divers (1941-1946). Histoire de singes ou deux secrets de l’Europe (16 mai 1946)
68 élèbres travaux sur les réflexes conditionnés des chiens . Ses disciples ont passé des chiens aux singes. On prend dix singes,
69 ditionnés des chiens. Ses disciples ont passé des chiens aux singes. On prend dix singes, on les range dans une chambre, le lo
35 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
70 nfaits, ses redingotes grises, puis Lazare et ses chiens , la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un pe
36 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
71 ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
72 heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
73 re partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
74 elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les chiens du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
75 le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
76 du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des chiens se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
37 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
77 ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
78 heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
79 re partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
80 elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les chiens du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
81 le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
82 du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des chiens se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
38 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
83 ois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de chiens qui sentent eux-mêmes le patchouli et qu’elles disposent sur la banqu
39 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
84 es enfants aux tignasses d’Arabes poursuivent des chiens et des chats sous les tables, et un superbe troupeau de bœufs à grand
40 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
85 bre 1940 Notre propriétaire est un médecin des chiens . Il vient sonner vers les huit heures du soir, s’assoit au living-roo
41 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
86 s une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprends à ma
42 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
87 élèbres travaux sur les réflexes conditionnés des chiens . Les disciples de Pavlov ont passé récemment des chiens aux singes — 
88 . Les disciples de Pavlov ont passé récemment des chiens aux singes — se rapprochant ainsi de l’homme, ce qui n’est pas sans i
43 1946, Journal des deux mondes. Virginie
89 ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
90 heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
91 re partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
92 elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les chiens du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
93 le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
94 du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des chiens se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
95 , où l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte dis
96 souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au chien , de l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre,
97 erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
98 ien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien . Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant
99 mesure qu’apportent dans leurs démonstrations les chiens de tous les pays). Au bout d’un certain temps, et sans doute à cause
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
100 pe. Quand j’avais demandé un texte à l’auteur des Chiens de garde, il était venu tout de suite sonner chez moi pour savoir qui
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
101 ait comme une gifle ! J’en ai été malade comme un chien . Et après, eh bien, les malheurs sont venus de partout. » On a retrou
102 ps ; ou bien l’on écrit simplement pour gagner sa chienne de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
103 age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient et grondent, tournent autour de
104 pas, si proche dans les rues vides, et ces mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée de l’ombre de la mort… étr
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
105 le Simard, « Fernane », sa femme, Marguerite, son chien basset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de g
106 rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
107 ur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites
108 hirements wagnériens. Et voilà que cela prend les chiens . Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-de
109 demain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne Marquise — c’est la mère du basset Pernod — a trottiné tout gentiment
110 trois mâles faméliques reniflaient la trace de la chienne à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescenda
111 tacle étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfi
112 17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les chiens . Cette nuit, les crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des note
113 au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La chienne se traîne. La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est
114 s. Il faut voir les yeux pitoyables de ces grands chiens qui tremblent sous la pluie, groupés au maigre abri des buissons de l
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
115 ois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de chiens qui sentent eux-mêmes le patchouli et qu’elles disposent sur la banqu
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
116 es enfants aux tignasses d’Arabes poursuivent des chiens et des chats sous les tables, et un superbe troupeau de bœufs à grand
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
117 bre 1940 Notre propriétaire est un médecin des chiens . Il vient sonner vers les huit heures du soir, s’assoit au living-roo
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
118 la balustrade de fer forgé, les longs soupirs des chiens s’étirant sur leurs pattes, le pare luisant, les hêtres rouges sur le
119 s une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprends à ma
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
120 élèbres travaux sur les réflexes conditionnés des chiens . Les disciples de Pavlov ont passé récemment des chiens aux singes — 
121 . Les disciples de Pavlov ont passé récemment des chiens aux singes — se rapprochant ainsi de l’homme. On prend dix singes. On
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
122 ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
123 heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
124 re partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
125 elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les chiens du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
126 le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de chiens de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
127 du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des chiens se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
54 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
128 s une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprends à ma
55 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
129 nfaits, ses redingotes grises, puis Lazare et ses chiens , la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un pe
56 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
130 Le défaitisme européen Quand on veut noyer son chien , on dit qu’il a la rage. De même, quand on n’aime plus la liberté, on
57 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
131 race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les chiens même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps
58 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
132 race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les chiens même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps
133 même les articles de Life, dans cette histoire de chiens qui n’aboient plus !) Dans la mesure où les mêmes causes sont suscept
59 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
134 de banlieue en France, hétéroclites et clôturés ( chien méchant) ; le collectivisme totalitaire dans ses parades et leurs déc
60 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
135 istoire périodes de mue, de crise, de maladie des chiens . La seule vraie décadence est celle qui se termine par une chute sans
61 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
136 ui est humain leur fait horreur, elles aiment les chiens et les surhommes. » Si donc les Français veulent un roi, c’est qu’ils
62 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
137 ute, ajoutant en excellent espagnol : « Un pauvre chien comme toi ne peut pas nous faire de mal ». Quelques kilomètres plus l
63 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Misère et grandeur de saint Paul
138 utumes de leurs pères ou de leur tribu « comme le chien à son vomissement », le puritanisme agressif et l’orthodoxie ombrageu
64 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
139 la paix pour les chrétiens, sont piétinés par les chiens et ceux qui s’y rendent ne trouvent nul accès libre ni sûr. … Qui eût
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
140 les lions puniques ; cela vaut également pour les chiens , les loups et les autres animaux, quoique ceux de l’Afrique semblent
66 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
141 éphants et les rhinocéros, entre les loups et les chiens . Les Animaux carnassiers se déchireront toujours à la première occasi
67 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
142 race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les chiens même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps
68 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
143 es ayant la trace de l’éventrement, c’est que les chiens rongent dans les rues le crâne des jeunes filles violées, c’est que t
69 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
144 and passait le colonel, toujours suivi d’un grand chien blanc. On répétait qu’une troupe moderne se déplace en camion ou en t
70 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
145 harnaient à conquérir la Valteline et à faire les chiens de garde dans tout le Milanais. Passez cette porte redoutable, entre
71 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
146 ré de la patrie » (et dont le « territoire » d’un chien fournit le modèle) correspond à quelque chose de fondamental chez l’h
72 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
147 ré de la patrie » (et dont le « territoire » d’un chien fournit le modèle) correspond à quelque chose de fondamental chez l’h
73 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
148 ré de la patrie » (et dont le « territoire » d’un chien fournit le modèle) correspond à quelque chose de fondamental chez l’h
74 1972, Articles divers (1970-1973). Autopsie d’un cas : Denis de Rougemont (15 mars 1972)
149 ugemont, 65 ans, vient aux nouvelles. Il calme le chien et accueille le visiteur dans cette maison où il vit depuis 1947 et q
75 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
150 « le désir sexuel lui-même ». Le désir sexuel du chien ne ferait-il pas partie de sa « structure existentielle » ? Ne serait
151 ce canine ? Rien ne distinguerait plus l’homme du chien , dans le domaine de la passion. Allons ! il est trop clair que Sartre
76 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
152 de l’environnement : pavillons dignes des seuls «  chiens méchants » qui les défendent, clôtures agressives, lent déferlement d