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ui se mordillent et se frôlent amoureusement, des
chiens
« qui vous faufilent des douceurs au bas des jambes », jusqu’à ces ch
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mon gré). Qu’une sorcière transforme un homme en
chien
, cela n’a rien d’étonnant au cinéma. C’est la photographie d’une chos
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s y voient une façon de me moquer de leurs petits
chiens
musclés… Je n’en suis pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les
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e gardeur d’oies, le gueux Joseph qui parle à son
chien
en mourant, une fille qui chante et des enfants surtout, dès le début
5
? — il est bientôt minuit. Mon fantôme est là. Un
chien
, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelq
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erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon
chien
qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
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ages bien minces. C’est qu’aujourd’hui le moindre
chien
écrasé pose toute la question sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à do
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de ses grands maîtres — par l’État bourgeois. Les
Chiens
de garde 39, tel est le titre de son pamphlet — ce sont les philosoph
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par Rudyard Kipling (juillet 1932)f Traduit du
chien
par Kipling, et adapté, voire recréé par Jacques Valette dans une lan
11
’une grande force d’expression concrète. Le petit
chien
Botte raconte ses journées, « des choses et des choses comme des rats
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qui courent ». — « On est des pauvres tout petits
chiens
qu’on habite tout par dehors et que personne s’occupe ». Dès la secon
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ute poésie à l’état sauvage — la vraie. f. « Ce
chien
, ton serviteur, par Rudyard Kipling. Traduit de l’anglais par Jacques
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s y voient une façon de me moquer de leurs petits
chiens
muselés… Je n’en suis pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les
15
, où l’attend une ample demeure. Et maintenant le
chien
s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte dis
16
souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au
chien
, de l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre,
17
erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon
chien
qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
18
ien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le
chien
. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant
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mesure qu’apportent dans leurs démonstrations les
chiens
de tous les pays). Au bout d’un certain temps, et sans doute à cause
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— il est bientôt minuit20. Mon fantôme est là. Un
chien
, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelq
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, où l’attend une ample demeure. Et maintenant le
chien
s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte dis
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souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au
chien
, de l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre,
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erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon
chien
qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
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ien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le
chien
. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant
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mesure qu’apportent dans leurs démonstrations les
chiens
de tous les pays). Au bout d’un certain temps, et sans doute à cause
26
ique prolétarienne publiés ici où là par quelques
chiens
de garde du conformisme stalinien. Nous nous étonnerons alors des cra
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i avec les communistes, écrit Aragon. Et le petit
chien
du duc, qui figure sur le portrait du gentilhomme, fait fête à ses no
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cela. Nous savons, nous aussi, caresser un petit
chien
, donner sa feuille de salade verte au canari. Et nous ne sommes pas «
29
dinier s’appelle Simard, sa femme Marguerite, son
chien
basset Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de gu
30
rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un
chien
furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
31
ur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un
chien
qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites
32
hirements wagnériens. Et voilà que cela prend les
chiens
. Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-de
33
demain de bataille. Pendant des heures, la petite
chienne
Marquise — c’est la mère du basset Pernod — a trottiné tout gentiment
34
utres mâles faméliques reniflaient la trace de la
chienne
à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescenda
35
tacle étrange et presque « atterrant ». La petite
chienne
est couchée, sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfi
36
malité. 17 avril Ça n’a pas encore cessé chez les
chiens
. Cette nuit, les crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des note
37
au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La
chienne
se traîne. La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est
38
s. Il faut voir les yeux pitoyables de ces grands
chiens
qui tremblent sous la pluie, groupés au maigre abri des buissons de l
39
de leur mal » et même « du polémiste prenant son
chien
à témoin de la lâcheté des hommes, qu’il exploite ». Ce procès Stavis
40
emps ; ou bien on écrit simplement pour gagner sa
chienne
de vie et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse qu
41
ps ; on bien l’on écrit simplement pour gagner sa
chienne
de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
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age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des
chiens
surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tournent autour d
43
pas, si proche dans les rues vides, et ces mêmes
chiens
qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée de l’ombre de la mort… étr
44
ait comme une gifle ! J’en ai été malade comme un
chien
. Et après, eh bien, les malheurs sont venus de partout. On a retrouvé
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ps ; ou bien l’on écrit simplement pour gagner sa
chienne
de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
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lle Simard, « Fernane », sa femme Marguerite, son
chien
basset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de g
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rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un
chien
furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
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ur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un
chien
qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites
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hirements wagnériens. Et voilà que cela prend les
chiens
. Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-de
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demain de bataille. Pendant des heures, la petite
chienne
Marquise — c’est la mère du basset Pernod — a trottiné tout gentiment
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utres mâles faméliques reniflaient la trace de la
chienne
à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescenda
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tacle étrange et presque « atterrant ». La petite
chienne
est couchée, sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfi
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17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les
chiens
. Cette nuit, les crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des note
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au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La
chienne
se traîne. La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est
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s. Il faut voir les yeux pitoyables de ces grands
chiens
qui tremblent sous la pluie, groupés au maigre abri des buissons de l
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age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des
chiens
surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tournent autour d
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pas, si proche dans les rues vides, et les mêmes
chiens
qui reviennent, et pas une âme. « Vallée de l’ombre de la mort… étran
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et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son
chien
pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue… C’est là encore une asse
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! Tu viens à nous ! (Ils dansent.) Nicolas. —
Chiens
de Satan ! Je vous connais ! Vous pouvez aboyer mais non pas mordre !
60
eu Sans feu ni lieu Au souffle de l’esprit. Les
chiens
aboient Les démons rient Sur la pierreuse voie Les démons rient Mais
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ois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de
chiens
qui sentent eux-mêmes le patchouli et qu’elles disposent sur la banqu
62
et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son
chien
pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue. C’est là encore une asse
63
et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son
chien
pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue. C’est là encore, bien qu
64
Comme un directeur de journal qui ne fait pas les
chiens
écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique m
65
Comme un directeur de journal qui ne fait pas les
chiens
écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique m
66
Comme un directeur de journal qui ne fait pas les
chiens
écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique m
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de Terre-Neuve, sous l’œil indifférent d’un seul
chien
du même nom. Une aurore boréale nous avait arrêtés toute une nuit, no
68
élèbres travaux sur les réflexes conditionnés des
chiens
. Ses disciples ont passé des chiens aux singes. On prend dix singes,
69
ditionnés des chiens. Ses disciples ont passé des
chiens
aux singes. On prend dix singes, on les range dans une chambre, le lo
70
nfaits, ses redingotes grises, puis Lazare et ses
chiens
, la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un pe
71
ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs
chiens
sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
72
heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des
chiens
imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
73
re partout. Çà et là, des statues de faunes et de
chiens
gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
74
elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les
chiens
du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
75
le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de
chiens
de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
76
du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des
chiens
se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
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ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs
chiens
sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
78
heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des
chiens
imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
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re partout. Çà et là, des statues de faunes et de
chiens
gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
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elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les
chiens
du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
81
le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de
chiens
de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
82
du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des
chiens
se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
83
ois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de
chiens
qui sentent eux-mêmes le patchouli et qu’elles disposent sur la banqu
84
es enfants aux tignasses d’Arabes poursuivent des
chiens
et des chats sous les tables, et un superbe troupeau de bœufs à grand
85
bre 1940 Notre propriétaire est un médecin des
chiens
. Il vient sonner vers les huit heures du soir, s’assoit au living-roo
86
s une longue boîte noire, d’où sort un très jeune
chien
tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprends à ma
87
élèbres travaux sur les réflexes conditionnés des
chiens
. Les disciples de Pavlov ont passé récemment des chiens aux singes —
88
. Les disciples de Pavlov ont passé récemment des
chiens
aux singes — se rapprochant ainsi de l’homme, ce qui n’est pas sans i
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ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs
chiens
sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
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heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des
chiens
imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
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re partout. Çà et là, des statues de faunes et de
chiens
gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
92
elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les
chiens
du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
93
le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de
chiens
de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
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du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des
chiens
se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
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, où l’attend une ample demeure. Et maintenant le
chien
s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte dis
96
souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au
chien
, de l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre,
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erre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon
chien
qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres
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ien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le
chien
. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant
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mesure qu’apportent dans leurs démonstrations les
chiens
de tous les pays). Au bout d’un certain temps, et sans doute à cause
100
pe. Quand j’avais demandé un texte à l’auteur des
Chiens
de garde, il était venu tout de suite sonner chez moi pour savoir qui
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ait comme une gifle ! J’en ai été malade comme un
chien
. Et après, eh bien, les malheurs sont venus de partout. » On a retrou
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ps ; ou bien l’on écrit simplement pour gagner sa
chienne
de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
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age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des
chiens
surgissent des coins d’ombre, aboient et grondent, tournent autour de
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pas, si proche dans les rues vides, et ces mêmes
chiens
qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée de l’ombre de la mort… étr
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le Simard, « Fernane », sa femme, Marguerite, son
chien
basset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de g
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rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un
chien
furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
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ur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un
chien
qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites
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hirements wagnériens. Et voilà que cela prend les
chiens
. Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-de
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demain de bataille. Pendant des heures, la petite
chienne
Marquise — c’est la mère du basset Pernod — a trottiné tout gentiment
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trois mâles faméliques reniflaient la trace de la
chienne
à tous les étages du vallon. Ils grimpaient les escaliers, redescenda
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tacle étrange et presque « atterrant ». La petite
chienne
est couchée, sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfi
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17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les
chiens
. Cette nuit, les crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des note
113
au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La
chienne
se traîne. La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est
114
s. Il faut voir les yeux pitoyables de ces grands
chiens
qui tremblent sous la pluie, groupés au maigre abri des buissons de l
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ois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de
chiens
qui sentent eux-mêmes le patchouli et qu’elles disposent sur la banqu
116
es enfants aux tignasses d’Arabes poursuivent des
chiens
et des chats sous les tables, et un superbe troupeau de bœufs à grand
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bre 1940 Notre propriétaire est un médecin des
chiens
. Il vient sonner vers les huit heures du soir, s’assoit au living-roo
118
la balustrade de fer forgé, les longs soupirs des
chiens
s’étirant sur leurs pattes, le pare luisant, les hêtres rouges sur le
119
s une longue boîte noire, d’où sort un très jeune
chien
tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprends à ma
120
élèbres travaux sur les réflexes conditionnés des
chiens
. Les disciples de Pavlov ont passé récemment des chiens aux singes —
121
. Les disciples de Pavlov ont passé récemment des
chiens
aux singes — se rapprochant ainsi de l’homme. On prend dix singes. On
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ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs
chiens
sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
123
heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des
chiens
imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
124
re partout. Çà et là, des statues de faunes et de
chiens
gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
125
elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les
chiens
du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
126
le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de
chiens
de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
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du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des
chiens
se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa
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s une longue boîte noire, d’où sort un très jeune
chien
tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprends à ma
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nfaits, ses redingotes grises, puis Lazare et ses
chiens
, la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un pe
130
Le défaitisme européen Quand on veut noyer son
chien
, on dit qu’il a la rage. De même, quand on n’aime plus la liberté, on
131
race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les
chiens
même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps
132
race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les
chiens
même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps
133
même les articles de Life, dans cette histoire de
chiens
qui n’aboient plus !) Dans la mesure où les mêmes causes sont suscept
134
de banlieue en France, hétéroclites et clôturés (
chien
méchant) ; le collectivisme totalitaire dans ses parades et leurs déc
135
istoire périodes de mue, de crise, de maladie des
chiens
. La seule vraie décadence est celle qui se termine par une chute sans
136
ui est humain leur fait horreur, elles aiment les
chiens
et les surhommes. » Si donc les Français veulent un roi, c’est qu’ils
137
ute, ajoutant en excellent espagnol : « Un pauvre
chien
comme toi ne peut pas nous faire de mal ». Quelques kilomètres plus l
138
utumes de leurs pères ou de leur tribu « comme le
chien
à son vomissement », le puritanisme agressif et l’orthodoxie ombrageu
139
la paix pour les chrétiens, sont piétinés par les
chiens
et ceux qui s’y rendent ne trouvent nul accès libre ni sûr. … Qui eût
140
les lions puniques ; cela vaut également pour les
chiens
, les loups et les autres animaux, quoique ceux de l’Afrique semblent
141
éphants et les rhinocéros, entre les loups et les
chiens
. Les Animaux carnassiers se déchireront toujours à la première occasi
142
race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les
chiens
même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps
143
es ayant la trace de l’éventrement, c’est que les
chiens
rongent dans les rues le crâne des jeunes filles violées, c’est que t
144
and passait le colonel, toujours suivi d’un grand
chien
blanc. On répétait qu’une troupe moderne se déplace en camion ou en t
145
harnaient à conquérir la Valteline et à faire les
chiens
de garde dans tout le Milanais. Passez cette porte redoutable, entre
146
ré de la patrie » (et dont le « territoire » d’un
chien
fournit le modèle) correspond à quelque chose de fondamental chez l’h
147
ré de la patrie » (et dont le « territoire » d’un
chien
fournit le modèle) correspond à quelque chose de fondamental chez l’h
148
ré de la patrie » (et dont le « territoire » d’un
chien
fournit le modèle) correspond à quelque chose de fondamental chez l’h
149
ugemont, 65 ans, vient aux nouvelles. Il calme le
chien
et accueille le visiteur dans cette maison où il vit depuis 1947 et q
150
« le désir sexuel lui-même ». Le désir sexuel du
chien
ne ferait-il pas partie de sa « structure existentielle » ? Ne serait
151
ce canine ? Rien ne distinguerait plus l’homme du
chien
, dans le domaine de la passion. Allons ! il est trop clair que Sartre
152
de l’environnement : pavillons dignes des seuls «
chiens
méchants » qui les défendent, clôtures agressives, lent déferlement d