1
facilité incroyable à la défaite, au marxisme, au
chômage
, lequel semble d’ailleurs correspondre à son état d’esprit le plus na
2
e. D’un coup, tous les refoulés qui explosent, le
chômage
dans la gendarmerie et les fakirs débordés. L’hypocrisie s’en tire av
3
militaire et ses humiliations, leur travail, leur
chômage
, leurs vacances, les guerres, les grèves, les pourritures de leurs pa
4
e. D’un coup, tous les refoulés qui explosent, le
chômage
dans la gendarmerie et les fakirs débordés. L’hypocrisie s’en tire av
5
e. D’un coup, tous les refoulés qui explosent, le
chômage
dans la gendarmerie et les fakirs débordés. L’hypocrisie s’en tire av
6
ssemblées pacifistes, les prières pour enrayer le
chômage
, les encycliques, les vœux, les résolutions, les protestations et les
8
e l’heure rend particulièrement concret, celui du
chômage
, bornons-nous à montrer les conséquences fatales d’une erreur à peu p
9
ieu de créer de la liberté, le machinisme crée du
chômage
. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourg
10
’être illusoire, on s’est vu forcé de la baptiser
chômage
. Le chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du
11
ire, on s’est vu forcé de la baptiser chômage. Le
chômage
, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dan
12
ire pour la clarté de la démonstration. Car si le
chômage
technologique provoqué par l’augmentation folle du pouvoir productif
13
fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
chômage
. Mais la misère présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répo
14
ferons mieux que l’Amérique ! » a. « Liberté ou
chômage
? », L’Ordre nouveau, Paris, n° 1, mai 1933, p. 10-15.
15
us savons le vrai nom du « temps vuide » et c’est
chômage
. Tout le mal est venu d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt,
16
i, depuis vingt, ans, nous ont valu la guerre, le
chômage
et les dictatures ? Nous trouvons une certaine attitude humaine. Cett
17
mination des facteurs décisifs de l’inflation, du
chômage
et de la guerre moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’an
18
mination des facteurs décisifs de l’inflation, du
chômage
et de la guerre moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’an
19
lle, au lieu de libérer des travailleurs, crée du
chômage
. Et, cependant, les peuples de toute la terre continuent de croire au
20
utre problème dont traite cet ouvrage (travail et
chômage
, machinisme, syndicats, échange et troc, crédit, taylorisme), les lie
21
isme créateur d’injustice sociale, de guerres, de
chômage
, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui se manifeste
22
ersitaire. 13. Voir à l’appendice : « Liberté ou
chômage
? » et « Loisir ou temps vide » ? 14. On sait que M. Jean-Richard B
23
ssemblées pacifistes, les prières pour enrayer le
chômage
, les encycliques, les vœux, les résolutions, les protestations et les
25
e l’heure rend particulièrement concret, celui du
chômage
, bornons-nous à montrer les conséquences fatales d’une erreur à peu p
26
ieu de créer de la liberté, le machinisme crée du
chômage
. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourg
27
’être illusoire, on s’est vu forcé de la baptiser
chômage
. Le chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du
28
ire, on s’est vu forcé de la baptiser chômage. Le
chômage
, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dan
29
ire pour la clarté de la démonstration. Car si le
chômage
technologique provoqué par l’augmentation folle du pouvoir productif
30
fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
chômage
. Mais la misère présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répo
31
us savons le vrai nom du « temps vuide » et c’est
chômage
. Tout le mal est venu d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt,
32
isme créateur d’injustice sociale, de guerres, de
chômage
, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui se manifeste
33
ers non spécialisés, aux « nomades ». Du coup, le
chômage
se trouverait aboli, et la production dégagée des lois fatales de la
34
al.) Prendre au sérieux des problèmes tels que le
chômage
, le machinisme, le fédéralisme ou l’État, — comme si les parlements e
35
utre problème dont traite cet ouvrage (travail et
chômage
, machinisme, syndicats, échange et troc, crédit, taylorisme) les lien
36
versitaire. 8. Voir à l’appendice : « Liberté ou
chômage
? » et « Loisir ou temps vide ? » 9. On sait que M. Jean-Richard Bl
37
ssemblées pacifistes, les prières pour enrayer le
chômage
, les encycliques, les vœux, les résolutions, les protestations et les
39
e l’heure rend particulièrement concret, celui du
chômage
, bornons-nous à montrer les conséquences fatales d’une erreur à peu p
40
ieu de créer de la liberté, le machinisme crée du
chômage
. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourg
41
’être illusoire, on s’est vu forcé de la baptiser
chômage
. Le chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du
42
ire, on s’est vu forcé de la baptiser chômage. Le
chômage
, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dan
43
ire pour la clarté de la démonstration. Car si le
chômage
technologique provoqué par l’augmentation folle du pouvoir productif
44
fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
chômage
. Mais la misère présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répo
45
s savons le vrai nom du « temps vuide. » et c’est
chômage
. Tout le mal est venu d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt,
46
isme créateur d’injustice sociale, de guerres, de
chômage
, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui se manifeste
47
ers non spécialisés, aux « nomades ». Du coup, le
chômage
se trouverait aboli, et la production dégagée des lois fatales de la
48
cinq sous-officiers de la dernière guerre que le
chômage
contraint à s’engager comme instructeurs de l’armée bolivienne. (On s
49
du talion. Ici, c’est le capitalisme créateur de
chômage
, là c’est la tyrannie des dictatures. C’est contre la forme du monde
50
rent à lui : celle des accommodements et celle du
chômage
. La carrière des accommodements offre à « l’esprit » des perspectives
51
ans la presse quotidienne… Quant à la carrière du
chômage
, je lui vois bien des agréments, s’il est vrai que la liberté de pens
52
ste ; et d’autre part, les intellectuels jetés au
chômage
par la crise — plutôt que par leur volonté d’indépendance — dès qu’il
53
la presse et la puissance de la publicité ; vu le
chômage
des intellectuels et ses suites politiques inévitables et prochaines
54
libérer Thaelman ? Et M. Frossard de supprimer le
chômage
? Tout cela ne fait peut-être pas un programme extrêmement cohérent,
55
n a souffert pendant les années d’inflation et de
chômage
; j’entends le sophisme des régimes parlementaires qui appellent « dé
56
plus dans nos rues, l’État combat la misère et le
chômage
, nous avons supprimé les partis et leurs luttes épuisantes et stérile
57
plus dans nos rues, l’État combat la misère et le
chômage
, nous avons supprimé les partis et leurs luttes épuisantes et stérile
58
plus dans nos rues, l’État combat la misère et le
chômage
, nous avons supprimé les partis et leurs luttes épuisantes et stérile
59
de graves problèmes. Toute société qui sécrète un
chômage
« technologique » se voit contrainte de fournir aux chômeurs une spor
60
une manière significative !) À Rome, la caisse de
chômage
s’appelait l’aumône. On distribuait au prolétariat du blé à prix rédu
61
olétariat industriel moderne : salaire de famine,
chômage
, nomadisme. Vers le milieu du xiiie siècle, cette classe, rivée sans
62
mbre-poste vendu au profit des « intellectuels en
chômage
». Ou bien l’on s’imagine un auteur à succès choyé par les « femmes d
63
service de l’homme. — Il s’agit de transformer le
chômage
en loisir. Je résume : primauté du spirituel ; primauté de l’homme s
64
Journal d’un intellectuel en
chômage
(fragments) (15 avril 1937)k J’étais chômeur depuis trois mois. On
65
availle, ou par quelque décret d’État. Je vois le
chômage
s’étendre et s’installer, comme se sont installés dans ces villages m
66
ne l’ai-je compris vraiment qu’à la faveur de ce
chômage
? C’est qu’il m’a fallu m’éloigner de cette ambiance bourgeoise où l’
67
er sous le titre de Journal d’un intellectuel en
chômage
, ces pages que je suis en train de rédiger à temps perdu. Il est ass
68
change d’idées sur la richesse, la pauvreté ou le
chômage
. Mélange extraordinairement irritable de mauvaise conscience, de dési
69
rticle paraît. k. « Journal d’un intellectuel en
chômage
(fragments) », Mesures, Châtenay-Malabry / Paris, n° 2, 15 avril 1937
70
Journal d’un intellectuel en
chômage
(fragments) (juin 1937)ag À A… (Gard), 15 janvier Matinées d’hiver
71
en tournée ». ag. « Journal d’un intellectuel en
chômage
(fragments) », Esprit, Paris, n° 57, juin 1937, p. 368-387. Une note
72
pour parler comme la presse, un « intellectuel en
chômage
. » (Écrire, aux yeux de ces paysans, ne signifie proprement rien. S’i
74
de décrire ma petite expérience d’intellectuel en
chômage
; qu’il pourrait être utile de montrer qu’on peut sortir des villes o
75
Journal d’un intellectuel en
chômage
(25 juillet 1937)o Début de novembre 1933 Mon domaine, c’est ce qu
76
o. « [Extrait du] Journal d’un intellectuel en
chômage
», La Revue du dimanche, supplément hebdomadaire de la Revue de Lausa
77
enis de Rougement : Journal d’un intellectuel en
chômage
. Grâce à la complaisance du directeur de la Guilde, M. A. Mermoud, n
78
Extraits de… Journal d’un intellectuel en
chômage
(15 août 1937)p Il faut parler des « autocars ». Je ne sais si l’o
79
p. « Extraits de… Journal d’un intellectuel en
chômage
», Le Journal, n° 16371, 15 août 1937, p. 2. Précédé de la notice sui
80
nt, sous le titre de Journal d’un intellectuel en
chômage
, un recueil de réflexions, d’observations et de jugements. Il y montr
81
Introduction au Journal d’un intellectuel en
chômage
(août 1937)a Tolstoï disait, vers la fin du siècle dernier : « L’a
82
a. « Introduction au Journal d’un intellectuel en
chômage
», Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 8, août 1937, p. 126-
83
Pages inédites du Journal d’un intellectuel en
chômage
(octobre 1937)b Note pour une préface. — « C’est une entreprise h
84
reconnaître en vérité et rejoindre l’humanité. ⁂
Chômage
. — On dit souvent qu’il faut à l’homme un minimum de confort ou d’ais
85
physique condamnerait même un « intellectuel » au
chômage
absolu, c’est-à-dire à l’arrêt de la pensée, tout au moins de la pens
86
« Pages inédites du Journal d’un intellectuel en
chômage
», Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 10, octobre 1937, p.
88
s les conditions somme toute artificielles où mon
chômage
m’a placé, m’obligeant à me poser ici, dans un milieu qui m’est fort
89
er de démêler un peu la signification complexe du
chômage
intellectuel. Nos conversations de ces jours derniers avec nos amis,
90
analyser plus concrètement dans la suite. 1 — Le
chômage
est devenu aujourd’hui un état d’âme, une « condition », un mode part
91
ilanthropie. On parle du péril social créé par le
chômage
, dont on admet généralement qu’il est démoralisant. (Pour beaucoup de
92
ent extérieur à la réalité humaine et présente du
chômage
. 4 — Qui donc pourrait étudier la réalité humaine et présente du chôm
93
ourrait étudier la réalité humaine et présente du
chômage
? Les chômeurs eux-mêmes ? On n’étudie pas la misère, quand il ne s’a
94
ils se bornent à utiliser l’argument politique du
chômage
, soit enfin qu’une gêne assez compréhensible les retienne de se mêler
95
Voici donc le dilemme : ou bien l’on est dans le
chômage
, et l’on n’a pas les moyens de s’analyser, de s’exprimer. Ou bien l’o
96
analyser, de s’exprimer. Ou bien l’on est hors du
chômage
, et l’on a toutes les raisons de ne pas trop s’en approcher. 5 — Rest
97
les moyens d’étudier de l’intérieur le « fait du
chômage
». Mais cela n’est pas si simple en réalité. J’ai observé par exemple
98
s’arrêter de penser ? Ha ha ! Un intellectuel en
chômage
, ce serait en somme un monsieur un peu fatigué et qui se donnerait qu
99
ctuel chômeur n’est généralement pas « inscrit au
chômage
» et ne bénéficie pas du minimum de sécurité financière accordé par l
100
l puisse connaître une forme très particulière de
chômage
pur : certaines circonstances extérieures sont capables de tuer en ce
101
ux-là auront probablement de 40 à 70 ans…) 2 — Le
chômage
tel qu’il est vécu aujourd’hui par une trentaine de millions d’hommes
102
s insupportablement donc… Un point à étudier : le
chômage
déclasse l’intellectuel. Il le met sur un pied d’égalité paradoxal av
103
de décrire ma petite expérience d’intellectuel en
chômage
; qu’il pourrait être utile de montrer qu’on peut sortir des villes o
104
availle, ou par quelque décret d’État. Je vois le
chômage
s’étendre et s’installer, comme se sont installés dans ces villages m
105
ne l’ai-je compris vraiment qu’à la faveur de ce
chômage
? C’est qu’il m’a fallu m’éloigner de cette ambiance bourgeoise où l’
106
er sous le titre de Journal d’un intellectuel en
chômage
les pages que je suis en train de rédiger à temps perdu. Il est asse
107
change d’idées sur la richesse, la pauvreté ou le
chômage
. Mélange extraordinairement irritable de mauvaise conscience, de dési
108
nfortable ! Août 1935 La pire injustice du
chômage
: il vous oblige à prendre la première place qu’on vous offre, fût-el
109
Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en
chômage
(avril 1938)v Note pour une préface. — « C’est une entreprise har
110
reconnaître en vérité et rejoindre l’humanité.
Chômage
. — On dit souvent qu’il faut à l’homme un minimum de confort ou d’ais
111
physique condamnerait même un « intellectuel » au
chômage
absolu, c’est-à-dire à l’arrêt de la pensée, tout au moins de la pens
112
« Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en
chômage
», Existences, n° 15, avril 1938, p. 11-14.
113
lques crises gouvernementales, la livre à 600, le
chômage
; — et le premier dictateur venu tirera les conclusions logiques. Ser
114
rsonnes prétendent que le désarmement créerait un
chômage
effrayant. Raisonnement bien curieux, si l’on y réfléchit. Quand il y
115
and il y a trop de médecins dans un pays, et donc
chômage
dans la profession médicale, personne n’a jamais eu l’idée de propose
116
de M. de Rougemont, Journal d’un intellectuel en
chômage
, il y a une poule. C’est une poule noire, triste et digne nous dit-o
117
ant : « L’auteur du Journal d’un intellectuel en
chômage
nous remet ces pages qu’il prétend avoir été écrites (ou, comme on d
118
avec les mains , le Journal d’un intellectuel en
chômage
, et les autres écrits de Rougemont en sont parmi les plus importants
119
éfendre, et qui comporte entre autres éléments le
chômage
et la prostitution, se fonde vraiment sur l’Évangile ? Quand on me di
121
rennent la suite du Journal d’un intellectuel en
chômage
. Mais il ne s’agit plus de chômage. L’auteur vit en Allemagne hitlér
122
tellectuel en chômage . Mais il ne s’agit plus de
chômage
. L’auteur vit en Allemagne hitlérienne, et il y vit de son travail. (
123
es vacants. On a pris des mesures pour enrayer le
chômage
des intellectuels. On contingente les inscriptions. Et naturellement,
124
il était en 1932. Certes, il fallait combattre le
chômage
. Mais de fait, les jeunes bacheliers sont obligés de faire six mois d
125
n a souffert pendant les années d’inflation et de
chômage
; j’entends le sophisme des régimes parlementaires qui appellent « dé
126
t dans le Midi. Son Journal d’un intellectuel en
chômage
témoigne de la curiosité, et aussi de la discrétion avec laquelle il
127
t-on s’imaginer, en effet, l’ex-« intellectuel en
chômage
», qui traîna ses méditations et sa machine à écrire de la Vendée en
128
tualité. Je songe au Journal d’un intellectuel en
chômage
, et surtout au Journal d’Allemagne qui fut accueilli avec une telle f
129
d’augmenter les loisirs, mais bien d’augmenter le
chômage
, et qu’au lieu d’élever le niveau général, l’industrie a créé d’immen
130
il a également produit la lutte des classes et le
chômage
, et la grande ville, cette catastrophe humaine, l’un des désastres mo
131
e domaine de l’esprit. Et dès lors, la culture en
chômage
se corrompt rapidement, s’asservit. Je vous en donnerai un exemple qu
132
contre-pied de mon Journal d’un intellectuel en
chômage
, et d’insister désormais davantage sur les valeurs d’opposition que
133
Versailles, la grande misère de l’inflation et du
chômage
, l’échec de la conférence du désarmement, enfin et surtout les exempl
134
un cas concret : Si nous parvenons à supprimer le
chômage
dans le cadre des entreprises existantes, ou par la mise en train de
135
in dans son rayon, entre autres : lutte contre le
chômage
dans le cadre des entreprises et de grands travaux à créer ; organisa
136
d’augmenter les loisirs, mais bien d’augmenter le
chômage
, et qu’au lieu d’élever le niveau général, l’industrie a créé d’immen
137
il a également produit la lutte des classes et le
chômage
, et la grande ville, cette catastrophe humaine, l’un des désastres mo
138
le monde de l’esprit. Et dès lors, la culture en
chômage
se corrompt rapidement, s’asservit. Je vous donnerai un exemple que c
139
rimer la condition prolétarienne ; suppression du
chômage
périodique et technologique ; possibilité d’adapter la production à l
140
tique, ni même un expédient pour lutter contre le
chômage
. Elles sont le produit du rêve et de la vitalité inépuisable d’un peu
141
yser l’invention, puisqu’elle ne créerait plus de
chômage
technologique. Les industriels hochèrent la tête. Ils ne croyaient pa
142
oup à la fois. Vous n’êtes plus l’intellectuel en
chômage
… Au contraire, je vais maintenant pouvoir me consacrer entièrement à
143
voile au vent), du Journal d’un intellectuel en
chômage
, de L’Amour et l’Occident , de tant d’autres œuvres auxquelles sa p
144
ec les mains et le Journal d’un intellectuel en
chômage
. Aux Éditions « Je sers » : Politique de la personne , qui, publié
145
tique, ni même un expédient pour lutter contre le
chômage
. Elles sont le produit du rêve et de la vitalité inépuisable d’un peu
146
Avertissement Le Journal d’un intellectuel en
chômage
décrivait la France de l’entre-deux-guerres. Le Journal d’Allemagne
147
contre-pied de mon Journal d’un intellectuel en
chômage
, et d’insister désormais davantage sur les valeurs d’opposition que
148
e sous-titre de mon Journal d’un intellectuel en
chômage
. Je disais simplement : « Gagner peu ». Et cela pouvait suffire en F
149
e. D’un coup, tous les refoulés qui explosent, le
chômage
dans la gendarmerie et les fakirs débordés. L’hypocrisie s’en tire av
150
s les conditions somme toute artificielles où mon
chômage
m’a placé, m’obligeant à me poser ici, dans un milieu qui m’est fort
151
er de démêler un peu la signification complexe du
chômage
intellectuel. Nos conversations de ces jours derniers avec nos amis,
152
s analyser plus concrètement dans la suite. 1. Le
chômage
est devenu aujourd’hui un état d’âme, une « condition », un mode part
153
ilanthropie. On parle du péril social créé par le
chômage
, dont on admet généralement qu’il est démoralisant. (Pour beaucoup de
154
ent extérieur à la réalité humaine et présente du
chômage
. 4. Qui donc pourrait étudier la réalité humaine et présente du chôma
155
ourrait étudier la réalité humaine et présente du
chômage
? Les chômeurs eux-mêmes ? On n’étudie pas la misère, quand il ne s’a
156
ils se bornent à utiliser l’argument politique du
chômage
, soit enfin qu’une gêne assez compréhensible les retienne de se mêler
157
Voici donc le dilemme : ou bien l’on est dans le
chômage
, et l’on n’a pas les moyens de s’analyser, de s’exprimer. Ou bien l’o
158
analyser, de s’exprimer. Ou bien l’on est hors du
chômage
, et l’on a toutes les raisons de ne pas trop s’en approcher. 5. Reste
159
les moyens d’étudier de l’intérieur le « fait du
chômage
». Mais cela n’est pas si simple en réalité. J’ai observé par exemple
160
s’arrêter de penser ? Ha ha ! Un intellectuel en
chômage
, ce serait en somme un monsieur un peu fatigué et qui se donnerait qu
161
ctuel chômeur n’est généralement pas « inscrit au
chômage
» et ne bénéficie pas du minimum de sécurité financière accordé par l
162
l puisse connaître une forme très particulière de
chômage
pur : certaines circonstances extérieures sont capables de tuer en ce
163
à l’arrêt de la pensée créatrice, c’est-à-dire au
chômage
absolu. Mais quel est ce degré ? À quel niveau placer cette limite in
164
eux-là auront probablement de 40 à 70 ans…) 2. Le
chômage
tel qu’il est vécu aujourd’hui par une trentaine de millions d’hommes
165
lus insupportablement. ⁂ Un point à étudier : le
chômage
déclasse l’intellectuel. Il le met sur un pied d’égalité paradoxal av
166
de décrire ma petite expérience d’intellectuel en
chômage
; qu’il pourrait être utile de montrer qu’on peut sortir des villes o
167
availle, ou par quelque décret d’État. Je vois le
chômage
s’étendre et s’installer, comme se sont installés dans ces villages m
168
ne l’ai-je compris vraiment qu’à la faveur de ce
chômage
? C’est qu’il m’a fallu m’éloigner de cette ambiance bourgeoise où l’
169
er sous le titre de Journal d’un intellectuel en
chômage
les pages que je suis en train de rédiger à temps perdu. Il est asse
170
change d’idées sur la richesse, la pauvreté ou le
chômage
. Mélange extraordinairement irritable de mauvaise conscience, de dési
171
onfortable ! Août 1935 La pire injustice du
chômage
: il vous oblige à prendre la première place qu’on vous offre, fût-el
172
rennent la suite du Journal d’un intellectuel en
chômage
. Mais il ne s’agit plus de chômage. L’auteur vit en Allemagne hitlér
173
tellectuel en chômage . Mais il ne s’agit plus de
chômage
. L’auteur vit en Allemagne hitlérienne, et il y vit de son travail. (
174
es vacants. On a pris des mesures pour enrayer le
chômage
des intellectuels. On contingente les inscriptions. Et naturellement,
175
il était en 1932. Certes, il fallait combattre le
chômage
. Mais de fait, les jeunes bacheliers sont obligés de faire six mois d
176
n de nous prenait sa part dans la lutte contre le
chômage
, si chacun de nous s’efforçait de réduire les injustices qui pèsent e
177
Avertissement Le Journal d’un intellectuel en
chômage
décrivait la France de l’entre-deux-guerres. Le Journal d’Allemagne
178
contre-pied de mon Journal d’un intellectuel en
chômage
, et d’insister désormais davantage sur les valeurs d’opposition que
179
bre 1939) Aujourd’hui l’intellect est vraiment en
chômage
, en friches. Vous aurez un sacré boulot !… En attendant, nous les fut
180
e sous-titre de mon Journal d’un intellectuel en
chômage
. Je disais simplement : « Gagner peu. » Et cela pouvait suffire en F
181
e sous-titre de mon Journal d’un intellectuel en
chômage
. Je disais simplement : « Gagner peu ». Et cela pouvait suffire en F
182
rdi soir l’auteur du Journal d’un intellectuel en
chômage
, nous nous étions demandé à la suite de quelles expériences personnel
183
tique, ni même un expédient pour lutter contre le
chômage
. Elles sont le produit du rêve et de la vitalité inépuisable d’un peu
184
plus remarquables : Journal d’un intellectuel en
chômage
. Mais, au centre de ses préoccupations, se tient la personne humaine
185
s que vous savez : un régime social déficient, le
chômage
étendu, la ruine à bref délai, les trois-cents divisions de l’armée r
186
rtisane ou une autre, qui résoudra le problème du
chômage
, mais l’union de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut f
187
s que vous savez : un régime social déficient, le
chômage
étendu, la ruine à bref délai, les trois-cents divisions de l’armée r
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rtisane ou une autre, qui résoudra le problème du
chômage
, mais l’union de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut f
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s que vous savez : un régime social déficient, le
chômage
étendu, la ruine à bref délai, les trois-cents divisions de l’Armée r
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rtisane ou une autre, qui résoudra le problème du
chômage
, mais l’union de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut f
191
ion de mesures analogues aux cas de maladie et de
chômage
. La loi sur l’assurance-vieillesse a été votée par 80 % de la populat
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itué des caisses de secours en cas de maladie, de
chômage
, de vieillesse, d’invalidité. Elles procurent à leurs membres des avo
193
et l’Occident , le Journal d’un intellectuel en
chômage
et Lettres sur la bombe atomique . Interrogé sur le sens qu’il atta
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c’est-à-dire de « temps vide », que l’on appelle
chômage
. On refuse de considérer le loisir comme le but même du machinisme. O
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communistes dans sa commune, une augmentation du
chômage
, un ordre de mobilisation — il a peine à les reconnaître telles qu’il
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de K. me rejette à la condition d’intellectuel en
chômage
? Au pire, j’aurais encore ma conscience pour moi… Mais, à supposer q