1
Hugh Walpole, La
Cité
secrète (décembre 1925)n La Révolution russe va-t-elle usurper dan
2
e fois le grand bouleversement accompli dans la «
Cité
secrète » de la vie privée, quelques regards sur la foule suffisent p
3
ë sur l’âme slave pour deux ou trois scènes de La
Cité
secrète. Pour celle-ci par exemple (caché dans un réduit, Markovitch,
4
emont Denis de, « [Compte rendu] Hugh Walpole, La
Cité
secrète », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, déce
5
our civils : mettez-le aux prises avec une petite
cité
patricienne dont il devra portraiturer les gentilshommes archéologiqu
6
tes au soleil. Les vingt-quatre gratte-ciel de la
cité
, au centre, s’espacent autour d’un aérodrome-gare circulaire, prismes
7
n espace architectural lumineux à la place de nos
cités
congestionnées, ce serait peut-être tuer au soleil des germes de révo
8
alent qu’il faut pour lui faire acquérir droit de
cité
. Voici enfin un critique qui sait tirer une leçon constructive des ex
9
tal », et, au-dessus des ruines prochaines de nos
cités
mécaniciennes, ils rallument le mirage d’un Orient paradisiaque d’où
10
tte à graver les scènes qu’il voit dans la petite
cité
ouvrière, et c’est merveille de constater combien l’épuration rigoris
11
e de gravures sur bois colorées qu’il intitule la
cité
est un petit chef-d’œuvre de réalisme stylisé. C’est d’un art très vo
12
en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (
Cités
par M. Brunschvicg dans Le Progrès de la conscience dans la philosoph
13
our Martin le maximum de la peine, non sans avoir
cité
une pensée de Pascal en l’attribuant à Pasteur. On peut n’être pas di
14
comme il n’eût jamais fait en y restant. Dans sa
cité
, il était d’une famille, et pour sa famille un prénom ; à l’étranger,
15
ctions ecclésiastiques, l’idée du serviteur de la
cité
, c’est qu’en lui durait toute une race consacrée à la chose publique,
16
et même une expression politique cohérente. On a
cité
dans les Débats, ces jours derniers, les écrits de MM. Fernandez2 et
17
thentique. Ouvrez-le : vous serez frappé d’y voir
cités
plus d’hommes de science que de littérateurs ; de n’y trouver pas une
18
nce. Il ne s’agit pas de défendre une idée ou une
cité
. Il ne s’agit pas de défense. Mais de choix, d’affirmation, de créati
19
t aux groupements révolutionnaires que je vous ai
cités
. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous
20
sa domination terrifie les provinces autour de la
cité
. ⁂ Comment répondre sans quelque injustice à une question dont on ne
21
t aux groupements révolutionnaires que je vous ai
cités
. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous
22
a foi que de s’occuper sérieusement du sort de la
cité
où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chréti
23
que pourra se résoudre l’angoissant problème des
cités
. Mais il faudrait d’abord transformer la province et la rendre habita
24
n résumé des idées défendues par les deux groupes
cités
(et qui sont absolument indépendants l’un de l’autre). Cet exposé tra
25
que donner plus de vigueur au langage des faits,
cités
ici en très grand nombre à chaque page. Faits sinon nouveaux pour la
26
t aux groupements révolutionnaires que je vous ai
cités
. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous
27
a foi que de s’occuper sérieusement du sort de la
cité
où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chréti
28
La politique est en principe ce qui intéresse la
cité
. Aucun des habitants de la cité n’a donc le droit de s’en désintéress
29
qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la
cité
n’a donc le droit de s’en désintéresser. Ou, s’il le fait, il perd le
30
er avec émotion leur volonté de s’intéresser à la
cité
dont ils sont membres. Cette émotion est celle d’une découverte. Ils
31
riment nécessairement toute espèce de souci de la
cité
dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tout va mal, q
32
aisons de se désintéresser de la conduite de leur
cité
. Et bien qu’ils se recrutent en général parmi les « gens de droite »,
33
e n’y change rien), j’estime être plus utile à la
cité
en faisant de la philosophie et de la théologie pures. 4. Mais — la
34
doués de raison, qui s’intéressent au sort de la
cité
, reconnaissent l’évidence suivante : la cause profonde de la crise mo
35
des civilisations antiques était l’homme dans la
cité
; que la mesure du monde capitaliste est l’argent, qui est une fausse
36
e fois toute la société adaptée au cadre fixe des
cités
, hiérarchisée, soumise au bien d’une élite plus jalouse de ses droits
37
22. Cf. Arnaud Dandieu : Y a-t-il un seuil entre
cité
et humanité ? (Archives de philosophie du droit, 1933, p. 212.) 23.
38
aimée… »29 L’imagination de la forme J’ai
cité
des docteurs, des apôtres et des poètes, des savants et même quelques
39
La
cité
(avril-mai 1935)f Quand on m’a proposé ce titre, j’ai tout d’abord
40
appé par le léger anachronisme de ce petit mot de
cité
. Une image s’est immédiatement formée devant mes yeux : l’image d’un
41
le habitée et gouvernée par des chrétiens ; cette
cité
où le clerc, le magistrat et le marchand adoraient le même Dieu, dans
42
rêve, mon imagination de l’homme chrétien dans la
cité
chrétienne. Quelques jours plus tard, je me vis obligé de traverser
43
phémisme académique. Les termes de chrétien et de
cité
, qui, dans l’image moyenâgeuse me paraissaient se correspondre et s’o
44
devenait tout petit, l’autre énorme. En effet, la
cité
d’aujourd’hui est quelque chose de littéralement démesuré, un ensembl
45
conventionnelle. Entre les forces qui dominent la
cité
, et les hommes qui habitent la cité, il n’y a plus aucune proportion.
46
i dominent la cité, et les hommes qui habitent la
cité
, il n’y a plus aucune proportion. Mais ce n’est pas la cité seule qui
47
’y a plus aucune proportion. Mais ce n’est pas la
cité
seule qui a changé. En même temps qu’elle cessait d’être proportionné
48
e peut être la vocation de ce chrétien dans cette
cité
? Ce chrétien en minorité dans une masse d’hommes qui, elle-même, par
49
raît tellement impuissante sur les conseils de la
cité
? N’est-il pas ridicule de poser la question ? N’est-il pas évident,
50
restreint ? À la question de sa vocation dans la
cité
, ne devra-t-on pas opposer une question préalable, brutale : cette vo
51
elconque apparaît tout à fait dérisoire dans la «
cité
» telle qu’elle est devenue. Ni les congrégations économiques, ni les
52
la vaut la peine d’entrer dans la tourmente de la
cité
. Nous prions : « Que Ton règne vienne ! » et si nous ne faisons pas l
53
que j’énumérais tout à l’heure et qui dominent la
cité
. C’est le désordre et l’injustice tolérés, devenus normaux, c’est la
54
, pensez-vous, des problèmes concrets que pose la
cité
. Encore un qui s’évade ! Encore un qui décolle et va planer au-dessus
55
nt la situation très précaire du chrétien dans la
cité
telle qu’elle est devenue. À la question : D’où venons-nous ? j’ai ré
56
tions dernières, si ce n’est le chrétien, dans la
cité
contemporaine ? Et s’il ne le fait pas, qui d’autre est en mesure d’a
57
ous dire maintenant. Vocation du chrétien dans la
cité
: nous l’avons définie par deux mouvements : une protestation, une an
58
ur les problèmes techniques que pose la vie de la
cité
moderne. Je ne crois pas qu’il soit souhaitable que se forme un parti
59
plir tout leur devoir, toute leur mission dans la
cité
, que d’une seule et unique manière, et c’est en devenant et en restan
60
: que devons-nous faire, comme chrétiens, dans la
cité
? Si l’Église n’est pas un parti, comment et où faut-il que nous pren
61
tituent des forces politiques et sociales dans la
cité
française d’aujourd’hui. Nous entrerions dans un débat terriblement t
62
r ! Pourtant, la vocation qui nous envoie dans la
cité
reste impérieuse ! Alors quoi ? direz-vous, que reste-t-il pratiqueme
63
exemples concrets de vocation chrétienne dans la
cité
. Et d’abord, à l’image que je vous donnais en débutant du clerc moye
64
s donnais en débutant du clerc moyenâgeux dans la
cité
thomiste, j’opposerai une image moderne, qui est aussi celle d’un chr
65
oderne, qui est aussi celle d’un chrétien dans la
cité
, mais qui n’est pas cette fois une utopie. Cela se passe au Japon, de
66
: Avant l’aube g. Voilà bien le chrétien dans la
cité
: l’homme au service des hommes, bafoué, injurié, battu, exploité san
67
vement syndicaliste. Vocation du chrétien dans la
cité
. Tout le pouvoir de Kagawa se résume en effet dans ce seul mot de voc
68
e des intellectuels. Notre premier devoir dans la
cité
n’est-il pas de travailler en tant qu’intellectuels, — de même que le
69
us méconnue par ceux qui font la politique de nos
cités
. Commentons brièvement cette phrase. La cité moderne est en crise, pa
70
nos cités. Commentons brièvement cette phrase. La
cité
moderne est en crise, parce que personne n’a su ou n’a osé prévoir l’
71
de commune mesure entre la pensée et l’action. La
cité
n’est plus dominée par une norme et un but commun. Ce sont les bases
72
e qui s’oppose au libre jeu des vocations dans la
cité
: dénoncer le capitalisme avec son principe immoral de la spéculation
73
l’économie et la pensée, et toutes les lois de la
cité
. Or, c’est à bâtir ce système, à développer ses conséquences sociales
74
de Calvin. Ordonner toutes choses, et d’abord la
cité
, à l’exercice libre et fidèle des vocations, refaire un monde à la me
75
able et parfait. » f. Rougemont Denis de, « La
cité
», Le Semeur, Paris, avril–mai 1935, p. 387-416. g. Rougemont en ren
76
e génération. I. Résidence de l’Esprit dans la
cité
actuelle En publiant ce très curieux morceau lyrique, notre honora
77
la question des relations qu’entretiennent notre
cité
et la nation des clercs. C’est mettre en discussion l’un des rapports
78
e lui ai proposé, que ce palais reçût le nom de «
Cité
René-Descartes ». L’Exposition va se dérouler sous le patronage du gr
79
nt précisément celui que l’on enfermera dans la «
cité
René Descartes », ses droits ne sauraient consister que dans l’affirm
80
tuel. VII. Situation des intellectuels dans la
cité
(suite) b) Les réalités qui se payent. Donc, on nous dresse à ne s
81
s des clercs de tous ordres qui devaient régir la
cité
et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce problème n’est plus j
82
ent les clercs ? quel doit être leur rôle dans la
cité
? à qui s’adressent leurs écrits ? d) quelle est la source de leur au
83
ît préoccuper M. Duhamel, si j’en crois l’article
cité
: « Comme tous les Français, je répugne à dépenser beaucoup d’argent
84
echnicien et on le pousse dans les conseils de la
cité
sur la foi du seul nom qu’on lui donne, et en vertu du préjugé pratic
85
nseur de l’expériencev. Mais la beauté des textes
cités
fait pardonner bien volontiers cette erreur de classification35. Par
86
enseur de l’expérience. Mais la beauté des textes
cités
fait pardonner bien volontiers cette erreur de classification. En vér
87
l’homme détendu, vague et fiévreux qui peuple nos
cités
, l’homme sans visage et sans prochain, — sans vocation ! — s’imagine
88
e ». Bien que pas un verset de l’Écriture ne soit
cité
, on sent la pensée et la foi de l’auteur informées par la Bible, et d
89
la vérité a été reconnue sur la figure » (Pascal,
cité
par Ramuz). 44. Comme Ramuz l’a fait dans Six Cahiers. 45. Est-il n
90
. 50. L’allemand dit Ernüchterung. 51. Rimbaud,
cité
par Ramuz dans Six Cahiers. t. Rougemont Denis de, « Vues sur C. F.
91
vski et de Nietzsche. Aujourd’hui Kierkegaard est
cité
par tout le monde. On m’assure qu’il a même un public passionné. Mais
92
t il est lu par la façon dont il est trop souvent
cité
, l’on pensera qu’il eût mieux valu montrer plus de prudence à le répa
93
La politique est en principe ce qui intéresse la
cité
. Aucun des habitants de la cité n’a donc le droit de s’en désintéress
94
qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la
cité
n’a donc le droit de s’en désintéresser. Ou, s’il le fait, il perd le
95
er avec émotion leur volonté de s’intéresser à la
cité
dont ils sont membres. Leur émotion est celle d’une découverte. Ils d
96
riment nécessairement toute espèce de souci de la
cité
dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tout va mal, q
97
aisons de se désintéresser de la conduite de leur
cité
. Et bien qu’ils se recrutent en général parmi les « gens de droite »,
98
e n’y change rien), j’estime être plus utile à la
cité
en faisant de la philosophie et de la théologie pures. En résumé : si
99
doués de raison, qui s’intéressent au sort de la
cité
, reconnaissent l’évidence suivante : la cause profonde de la crise mo
100
’était l’argument le plus convaincant. » (Pravda,
cité
par Habaru, NRF, de janvier 1936.) 51. NRF , n° cit., p. 94 et : «
101
le drame de la civilisation, de la culture, de la
cité
modernes. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
102
es cherchions en vain, et sans le savoir, dans la
cité
qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous
103
s de son évolution. » (Voelkischer Beobachter, n°
cité
.) Remplacez peuple par prolétariat, vous aurez la doctrine stalinienn
104
publique, imitant la Sorbonne, refuse le droit de
cité
aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la
105
Loi et la prophétie ; les Grecs, l’homme dans la
cité
; les Romains, l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, l’Église ;
106
eurs parfois, le secret du service commun dans la
cité
, secret que nous avait fait perdre un siècle de sociologies collectiv
107
le drame de la civilisation, de la culture, de la
cité
modernes. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
108
es cherchions en vain, et sans le savoir, dans la
cité
qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous
109
le drame de la civilisation, de la culture, de la
cité
modernes. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
110
es cherchions en vain, et sans le savoir, dans la
cité
qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous
111
s de son évolution. » (Voelkischer Beobachter, n°
cité
.) Remplacez peuple par prolétariat, vous aurez la doctrine stalinienn
112
publique, imitant la Sorbonne, refuse le droit de
cité
aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la
113
Loi et la prophétie ; les Grecs, l’homme dans la
cité
; les Romains, l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, la théolog
114
eurs parfois, le secret du service commun dans la
cité
, secret que nous avait fait perdre un siècle de sociologies collectiv
115
ile de maintenir sur le qui-vive un empire qu’une
cité
étroite. En effet, à l’intérieur même de l’empire, s’établit un dange
116
», mais c’est aussi faire acte civique, dans une
cité
dont l’idéal est encore la plus sûre garantie. f. Rougemont Denis
117
t sur les gens de la ville… 5 octobre 1934 Petite
cité
tassée à la base d’une paroi de rocher et le long d’une rivière rapid
118
rivière rapide qui débouche d’une gorge étroite,
cité
couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui
119
re, pour laquelle nous renvoyons à l’ouvrage déjà
cité
(voir note 1), indiquons cependant quelques traits caractéristiques.
120
sur l’autorité et le pouvoir (voir le n° 31, déjà
cité
, de cette revue). Il n’est pas vrai que l’autorité spirituelle dépend
121
1925 ? Ce n’était pas la peine de lire Feuerbach,
cité
à la page suivante. Voilà qui est antimarxiste d’une manière plus val
122
les gens de la ville… 5 octobre 1934 Petite
cité
tassée à la base d’une paroi de rocher et le long d’une rivière rapid
123
rivière rapide qui débouche d’une gorge étroite,
cité
couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui
124
des citadins. Août 1935 Considération des
cités
ouvrières. — Après tout, pourquoi pas ce bonheur-là ? Si c’est celui
125
la place qu’il conviendrait de lui donner dans la
cité
, se trouve être posée à l’époque. Dans l’un et l’autre cas, et pour l
126
ne prendre que l’un des auteurs les plus souvent
cités
par Lamm. Je voudrais dégager ici trois points qui peuvent intéresser
127
ntraire les fondements mêmes de notre vie dans la
cité
, de notre existence comme « Suisses ». Ils affectent nos tabous les p
128
rd le sens des buts et du rôle de l’armée dans la
cité
. Il ne s’agit ici que de nuances dans l’atmosphère de notre pays, mai
129
elles, qui sont petites, qui sont médiocres. J’ai
cité
le cas de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale.
130
plus conforme à la hiérarchie des valeurs dans la
cité
. 81. Ce fut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédéra
131
s ont de créateur. Il veut une organisation de la
cité
qui leur permette de s’exprimer. Telle est la forme que revêt « la ch
132
z les anciens Hébreux ; l’idée le l’homme dans la
cité
, mesure de toutes choses, chez les Grecs ; l’idéal impérial à Rome ;
133
n. Et comme il fallait bien, tout de même, que la
cité
soit gouvernée, on s’en remettait l’État, providence hargneuse et abs
134
tie. c. Le tapuscrit ne reproduit pas le passage
cité
, dont on peut supposer qu’il s’agit de la « cérémonie sacrée » publié
135
spéciaux ont déversé depuis la veille dans cette
cité
de 700 000 habitants, et les autocars, et l’afflux des campagnards ve
136
us dispense de nous sentir les responsables de la
cité
et de l’État. D’autre part, il nous tente par la promesse d’une commu
137
de la destruction de toute commune mesure dans la
cité
(ou d’un défaut total d’éducation, comme en Russie). Ensuite il a don
138
tion, et responsables de cette vocation devant la
cité
qui les protège. Je ne vous appellerai pas, en terminant, à une crois
139
ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la
cité
. Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
140
spéciaux ont déversé depuis la veille dans cette
cité
de 700 000 habitants, et les autocars, et l’afflux des campagnards ve
141
crise aiguë. Il me semblait que les hommes de la
cité
actuelle ont bien du mal à communier dans une même vérité vécue ; qu’
142
nt Denis de, « Littérature et christianisme », La
Cité
chrétienne, Bruxelles, 20 novembre 1938, p. 57. k. Précédé de la not
143
pas sur eux cette Marque, se voient rejetés de la
cité
. Alors les amateurs de clés de l’Apocalypse disent aux chrétiens : Vo
144
berg, d’une Tubingue, et de tant d’autres petites
cités
où résonnent aujourd’hui des chants… d’une autre espèce ? Ne serait-c
145
se séparent sur une menace de guerre civile entre
cités
et petits cantons. Mais voici l’heure de Nicolas, l’heure qui donnera
146
finition de la personne pour toute action dans la
cité
. Ces discussions, souvent encombrées de jargon philosophique, peuvent
147
velles communautés (les thiases) comparables à la
cité
au sens moderne. Alors que la tribu était liée par des liens d’origin
148
ar des liens d’origine — le sang, la famille — la
cité
est fondée sur l’intérêt commun et les contrats. Alors que la morale
149
ale de la tribu dicte des devoirs sacrés, dans la
cité
on parle de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la
150
ntion entraînait l’exécration ou la mort. Dans la
cité
, bien au contraire, chacun cherche à se distinguer. On met son point
151
que par son rôle social, par sa fonction dans la
cité
. C’est celui-là qui sera nommé juridiquement la persona. Ce mot qui d
152
-elles acquises aux dépens de sa famille et de sa
cité
, aux dépens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent
153
ondateurs du capitalisme commercial, sont souvent
cités
comme les premiers types d’individus au sens moderne. Nous retrouvons
154
beaucoup de personnalités. Cela constitue dans la
cité
des tissus sains, et c’est une sauvegarde appréciable contre la conta
155
uoi nous sommes ensemble. Il s’est formé, dans la
cité
un sentiment encore diffus de vide social, analogue à celui qui dut m
156
a plus ni Juif ni Grec, et tu es mon frère en la
cité
nouvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère encore si t
157
dinaires. Le grand nombre des faits et des textes
cités
, le jeu des « leitmotive » entrelacés, risqueraient d’égarer certains
158
ssiques, et de quelques autres ; et si je n’en ai
cité
qu’un nombre assez restreint, ce n’est pas toujours par ignorance, ma
159
la jalousie de Vénus (Dîbat dans le premier hymne
cité
) qui veut retenir dans la sombre matière l’amant en proie au lumineux
160
s « liens mondains ». Saint Bernard de Clairvaux (
cité
par Rahn) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes
161
, au commencement du xiiie siècle, détruisit les
cités
des cathares, brûla leurs livres, massacra et brûla les populations q
162
te der Gnosis, p. 158 à 164. 63. R. P. Sandrini,
cité
par Cantu, Histoire universelle, t. XI, p. 123. 64. Voir aussi l’App
163
B. Groethuysen, dans Hermès, juillet 1937. 98.
Cité
par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage « ép
164
races des luttes violentes qui opposèrent dans la
cité
les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses d
165
131. Voir la Croisade du Graal, d’Otto Rahn, déjà
cité
. 132. Nous avons déjà relevé l’influence de cette littérature sur sa
166
Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (
cité
par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma c
167
in, Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 170.
Cité
par Fred Bérence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 171. Die Kul
168
ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la
cité
. Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
169
’Assise était un hérétique, avant 1204 ! Dans les
cités
avoisinantes, il y eut de nombreux soulèvements et émeutes occasionné
170
matériel et le bonheur plus ou moins grand de la
cité
, mais les raisons de vivre des hommes qui l’habitent. Ce n’est pas la
171
oésie des troubadours, la passion reçoit droit de
cité
. Elle peut s’exprimer dans le langage du mythe sous une forme voilée.
172
— ruse vitale pour des poètes —, tous les textes
cités
par Béguin nous inclinent à penser qu’ils sont plus proches des mysti
173
bien loin, dans le désert, car je vois dans notre
cité
la violence et l’iniquité ! Je déclare déposer ma charge ! (Il ôte s
174
ur d’entre nous s’en va ! Qui maintiendra dans la
cité
le droit ? Qui gardera notre alliance jurée ? Ô justicier ta voix s
175
re ! Ô toujours plus solitaire ! Ni l’armée ni la
cité
Ni ta paix ne t’ont comblé. Solitude, solitude, Solitude bien-aimée
176
sieurs fois déjà, dans ses sermons, Zwingli avait
cité
avec éloges le « pieux frère Claus von Unterwalden ». Les autres réfo
177
tecture d’Amsterdam, de Rotterdam, ou des petites
cités
du centre. Je vois côte à côte un palais de la Renaissance flamande,
178
la jalousie de Vénus (Dîbat dans le premier hymne
cité
) qui veut retenir dans la sombre matière l’amant en proie au lumineux
179
s les liens mondains. Saint Bernard de Clairvaux (
cité
par Rahn) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes
180
, au commencement du xiiie siècle, détruisit les
cités
des cathares, brûla leurs livres, massacra et brûla les populations q
181
répressible intuition des « aventureux » que j’ai
cités
répond, avec notre bon sens : démontrez-nous, dans ce cas, comment ca
182
vers d’un Marcabru ou ceux d’un Raimbaut d’Orange
cités
plus haut74. Chose curieuse, les troubadours chez lesquels nous const
183
e de son amour. (Guillaume de Poitiers.) Je n’ai
cité
que des poètes de la première et de la seconde génération des troubad
184
sonne mais bien à sa dissolution. Tout le passage
cité
trahit d’ailleurs un virulent ressentiment contre les doctrines ortho
185
te der Gnosis, p. 158 à 164. 63. R. P. Sandrini,
cité
par Cantu, Histoire universelle, t. XI, p. 123. 64. Voir aussi l’App
186
B. Groethuysen, dans Hermès, juillet 1937. 116.
Cité
par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage « ép
187
races des luttes violentes qui opposèrent dans la
cité
les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses d
188
Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (
cité
par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma c
189
in, Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 188.
Cité
par Fred Bérence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 189. Die Kul
190
ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la
cité
. Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
191
5, 1953. 213. Voir notamment, outre les ouvrages
cités
plus haut sur le catharisme et l’amour courtois, des livres comme Arc
192
dinaires. Le grand nombre des faits et des textes
cités
, le jeu des « leitmotive » entrelacés, risqueraient d’égarer certains
193
ssiques, et de quelques autres ; et si je n’en ai
cité
qu’un nombre assez restreint, ce n’est pas toujours par ignorance, ma
194
la jalousie de Vénus (Dîbat dans le premier hymne
cité
) qui veut retenir dans la sombre matière l’amant en proie au lumineux
195
s les liens mondains. Saint Bernard de Clairvaux (
cité
par Rahn) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes
196
, au commencement du xiiie siècle, détruisit les
cités
des cathares, brûla leurs livres, massacra et brûla les populations q
197
répressible intuition des « aventureux » que j’ai
cités
répond, avec notre bon sens : démontrez-nous, dans ce cas, comment ca
198
les vers d’un Marcabru ou d’un Raimbaut d’Orange,
cités
plus haut (au chap. 8). Chose curieuse, les troubadours chez lesquels
199
e de son amour. (Guillaume de Poitiers.) Je n’ai
cité
que des poètes de la première et de la seconde génération des troubad
200
sonne mais bien à sa dissolution. Tout le passage
cité
trahit d’ailleurs un virulent ressentiment contre les doctrines ortho
201
te der Gnosis, p. 158 à 164. 56. R. P. Sandrini,
cité
par Cantu, Histoire universelle, t. xi, p. 123. 57. Voir aussi l’App
202
B. Groethuysen, dans Hermès, juillet 1937. 106.
Cité
par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage « ép
203
races des luttes violentes qui opposèrent dans la
cité
les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses d
204
Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (
cité
par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma c
205
n, Histoire des guerres d’Italie, I, p. 2. 174.
Cité
par Fred Bérence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 175. J. Burc
206
ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la
cité
. Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
207
5, 1953. 199. Voir notamment, outre les ouvrages
cités
plus haut sur le catharisme et l’amour courtois, des livres comme Arc
208
’Assise était un hérétique, avant 1204 ! Dans les
cités
avoisinantes, il y eut de nombreux soulèvements et émeutes occasionné
209
alier de Stein, va combattre à Novare et pille la
cité
, assiste à la défaite de la Bicoque, crie son indignation dans un fur
210
mal est profond : d’où la nécessité d’agir sur la
cité
. Si la cité n’a plus de vraies mesures, c’est l’Église qui doit les r
211
ond : d’où la nécessité d’agir sur la cité. Si la
cité
n’a plus de vraies mesures, c’est l’Église qui doit les refaire. Qu’e
212
très compliqué qui ne vaut rien pour conduire la
cité
, pour gagner de l’argent, pour faire des choses sérieuses… Et cependa
213
ncé à leur mission de directeurs spirituels de la
cité
. Bien sûr, ils n’ont pas dit : notre pensée, à partir d’aujourd’hui,
214
ici où nous rejoignons le temps présent. Dans une
cité
où la culture n’a plus en fait l’initiative, ce sont les lois de la p
215
outes les activités d’une société donnée. Dans la
cité
grecque, par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu r
216
sentaient le besoin d’agir sur les destins de la
cité
, c’était, depuis Hegel, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
217
les grandes pourvoyeuses de lieux communs pour la
cité
. La théologie médiévale, par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à l
218
, se détourner de toute action régulatrice sur la
cité
. Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du capitalisme et aux tran
219
t moralement, que je vois la commune mesure de la
cité
qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tou
220
ommune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir.
Cité
solide et pourtant libérale : c’est tout le problème à résoudre. L
221
se position du problème, c’est de prévoir pour la
cité
et la culture une structure fédéraliste. Le fédéralisme, en effet, su
222
lement à des catastrophes cosmiques. La vie de la
cité
et de la culture, ce sera toujours une bataille. Entre l’esprit de lo
223
main. Mais nous qui avons encore su conserver une
cité
à la mesure de la personne, nous qui sommes encore épargnés, ne perdo
224
i, d’agir dans le monde et pour le monde, dans la
cité
où il est né et pour son bien. Il n’a pas le droit de s’en désintéres
225
rne, 1er mars 1940. 1. Vers d’un poète anglais,
cités
par le roi Georges VI en conclusion de son message de Noël 1939.
226
velles communautés (les thiases) comparables à la
cité
au sens moderne. Alors que la tribu était liée par des liens d’origin
227
ar des liens d’origine — le sang, la famille — la
cité
est fondée sur l’intérêt commun et les contrats. Alors que la morale
228
ale de la tribu dicte des devoirs sacrés, dans la
cité
on parle de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la
229
ntion entraînait l’exécration ou la mort. Dans la
cité
, bien au contraire, chacun cherche à se distinguer. On met son point
230
que par son rôle social, par sa fonction dans la
cité
. C’est celui-là qui sera nommé juridiquement la persona. Ce mot qui d
231
-elles acquises aux dépens de sa famille et de sa
cité
, aux dépens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent
232
ondateurs du capitalisme commercial, sont souvent
cités
comme les premiers types d’individus au sens moderne. Nous retrouvons
233
beaucoup de personnalités. Cela constitue dans la
cité
des tissus sains, et c’est une sauvegarde appréciable contre la conta
234
très compliqué qui ne vaut rien pour conduire la
cité
, pour gagner de l’argent, pour faire des choses sérieuses… Et cependa
235
ncé à leur mission de directeurs spirituels de la
cité
. Bien sûr, ils n’ont pas dit : notre pensée, à partir d’aujourd’hui,
236
ici où nous rejoignons le temps présent. Dans une
cité
où la culture n’a plus en fait l’initiative, ce sont les lois de la p
237
outes les activités d’une société donnée. Dans la
cité
grecque, par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu r
238
entaient le besoin d’agir sur les destinées de la
cité
, c’était depuis Hegel, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
239
e possible ? Qui recréera les lieux communs de la
cité
? Je ne voudrais pas, ici, partir dans l’utopie. Je ne pense pas que
240
les grandes pourvoyeuses de lieux communs pour la
cité
. La théologie médiévale, par les sommes de Thomas d’Aquin, fixait à l
241
, se détourner de toute action régulatrice sur la
cité
. Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du capitalisme et aux tran
242
t moralement, que je vois la commune mesure de la
cité
qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tou
243
ommune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir.
Cité
solide et pourtant libérale : c’est tout le problème à résoudre. L
244
se position du problème, c’est de prévoir pour la
cité
et la culture une structure fédéraliste. Le fédéralisme, en effet, su
245
lement à des catastrophes cosmiques. La vie de la
cité
et de la culture, ce sera toujours une bataille. Entre l’esprit de lo
246
main. Mais nous qui avons encore su conserver une
cité
à la mesure de la personne, nous qui sommes encore épargnés, ne perdo
247
ntraire les fondements mêmes de notre vie dans la
cité
, de notre existence comme « Suisses ». Ils affectent nos tabous les p
248
elles, qui sont petites, qui sont médiocres. J’ai
cité
le cas de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale.
249
r, d’agir dans le monde et pour le monde, dans la
cité
où il est né, et pour son bien. Il n’a pas le droit de s’en désintére
250
t bien de cela qu’il s’agit : fonder à nouveau la
cité
, pour qu’elle résiste et qu’elle rayonne encore, quoi qu’il arrive, o
251
s de base d’une nouvelle société7, les noyaux des
cités
futures, les refuges de la vraie liberté. Nos paroisses actuelles, no