1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)n La Révolution russe va-t-elle usurper dan
2 e fois le grand bouleversement accompli dans la «  Cité secrète » de la vie privée, quelques regards sur la foule suffisent p
3 ë sur l’âme slave pour deux ou trois scènes de La Cité secrète. Pour celle-ci par exemple (caché dans un réduit, Markovitch,
4 qui enchantera M. Gide. n. « Hugh Walpole : La Cité secrète (Perrin, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genèv
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
5 our civils : mettez-le aux prises avec une petite cité patricienne dont il devra portraiturer les gentilshommes archéologiqu
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
6 tes au soleil. Les vingt-quatre gratte-ciel de la cité , au centre, s’espacent autour d’un aérodrome-gare circulaire, prismes
7 n espace architectural lumineux à la place de nos cités congestionnées, ce serait peut-être tuer au soleil des germes de révo
4 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
8 tal », et, au-dessus des ruines prochaines de nos cités mécaniciennes, ils rallument le mirage d’un Orient paradisiaque d’où
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
9 alent qu’il faut pour lui faire acquérir droit de cité . Voici enfin un critique qui sait tirer une leçon constructive des ex
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 tte à graver les scènes qu’il voit dans la petite cité ouvrière, et c’est merveille de constater combien l’épuration rigoris
11 e de gravures sur bois colorées qu’il intitule la cité est un petit chef-d’œuvre de réalisme stylisé. C’est d’un art très vo
7 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
12 en 1914, a posé le problème en termes fort nets. ( Cités par M. Brunschvicg dans Le Progrès de la conscience dans la philosoph
8 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
13 our Martin le maximum de la peine, non sans avoir cité une pensée de Pascal en l’attribuant à Pasteur. On peut n’être pas di
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
14 comme il n’eût jamais fait en y restant. Dans sa cité , il était d’une famille, et pour sa famille un prénom ; à l’étranger,
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
15 ctions ecclésiastiques, l’idée du serviteur de la cité , c’est qu’en lui durait toute une race consacrée à la chose publique,
11 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
16 et même une expression politique cohérente. On a cité dans les Débats, ces jours derniers, les écrits de MM. Fernandez2 et
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
17 t aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités . Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous
13 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
18 thentique. Ouvrez-le : vous serez frappé d’y voir cités plus d’hommes de science que de littérateurs ; de n’y trouver pas une
19 nce. Il ne s’agit pas de défendre une idée ou une cité . Il ne s’agit pas de défense. Mais de choix, d’affirmation, de créati
14 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
20 sa domination terrifie les provinces autour de la cité . ⁂ Comment répondre sans quelque injustice à une question dont on ne
15 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
21 que pourra se résoudre l’angoissant problème des cités . Mais il faudrait d’abord transformer la province et la rendre habita
16 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
22 que donner plus de vigueur au langage des faits, cités ici en très grand nombre à chaque page. Faits sinon nouveaux pour la
17 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
23 n résumé des idées défendues par les deux groupes cités (et qui sont absolument indépendants l’un de l’autre). Cet exposé tra
18 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
24 t aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités . Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous
19 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
25 a foi que de s’occuper sérieusement du sort de la cité où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chréti
20 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
26 t aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités . Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous
21 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
27 a foi que de s’occuper sérieusement du sort de la cité où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chréti
22 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
28 La politique est en principe ce qui intéresse la cité . Aucun des habitants de la cité n’a donc le droit de s’en désintéress
29 qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la cité n’a donc le droit de s’en désintéresser. Ou, s’il le fait, il perd le
30 er avec émotion leur volonté de s’intéresser à la cité dont ils sont membres. Cette émotion est celle d’une découverte. Ils
31 riment nécessairement toute espèce de souci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tout va mal, q
32 aisons de se désintéresser de la conduite de leur cité . Et bien qu’ils se recrutent en général parmi les « gens de droite »,
33 e n’y change rien), j’estime être plus utile à la cité en faisant de la philosophie et de la théologie pures. 4. Mais — la
34 doués de raison, qui s’intéressent au sort de la cité , reconnaissent l’évidence suivante : la cause profonde de la crise mo
23 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
35 des civilisations antiques était l’homme dans la cité  ; que la mesure du monde capitaliste est l’argent, qui est une fausse
36 e fois toute la société adaptée au cadre fixe des cités , hiérarchisée, soumise au bien d’une élite plus jalouse de ses droits
37 22. Cf. Arnaud Dandieu : Y a-t-il un seuil entre cité et humanité ? (Archives de philosophie du droit, 1933, p. 212.) 23.
24 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
38 aimée… »29 L’imagination de la forme J’ai cité des docteurs, des apôtres et des poètes, des savants et même quelques
25 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
39 La cité (avril-mai 1935)d Quand on m’a proposé ce titre, j’ai tout d’abord
40 appé par le léger anachronisme de ce petit mot de cité . Une image s’est immédiatement formée devant mes yeux : l’image d’un
41 le habitée et gouvernée par des chrétiens ; cette cité où le clerc, le magistrat et le marchand adoraient le même Dieu, dans
42 rêve, mon imagination de l’homme chrétien dans la cité chrétienne. Quelques jours plus tard, je me vis obligé de traverser
43 phémisme académique. Les termes de chrétien et de cité , qui, dans l’image moyenâgeuse me paraissaient se correspondre et s’o
44 devenait tout petit, l’autre énorme. En effet, la cité d’aujourd’hui est quelque chose de littéralement démesuré, un ensembl
45 conventionnelle. Entre les forces qui dominent la cité , et les hommes qui habitent la cité, il n’y a plus aucune proportion.
46 i dominent la cité, et les hommes qui habitent la cité , il n’y a plus aucune proportion. Mais ce n’est pas la cité seule qui
47 ’y a plus aucune proportion. Mais ce n’est pas la cité seule qui a changé. En même temps qu’elle cessait d’être proportionné
48 e peut être la vocation de ce chrétien dans cette cité  ? Ce chrétien en minorité dans une masse d’hommes qui, elle-même, par
49 raît tellement impuissante sur les conseils de la cité  ? N’est-il pas ridicule de poser la question ? N’est-il pas évident,
50 restreint ? À la question de sa vocation dans la cité , ne devra-t-on pas opposer une question préalable, brutale : cette vo
51 elconque apparaît tout à fait dérisoire dans la «  cité  » telle qu’elle est devenue. Ni les congrégations économiques, ni les
52 la vaut la peine d’entrer dans la tourmente de la cité . Nous prions : « Que Ton règne vienne ! » et si nous ne faisons pas l
53 que j’énumérais tout à l’heure et qui dominent la cité . C’est le désordre et l’injustice tolérés, devenus normaux, c’est la
54 , pensez-vous, des problèmes concrets que pose la cité . Encore un qui s’évade ! Encore un qui décolle et va planer au-dessus
55 nt la situation très précaire du chrétien dans la cité telle qu’elle est devenue. À la question : D’où venons-nous ? j’ai ré
56 tions dernières, si ce n’est le chrétien, dans la cité contemporaine ? Et s’il ne le fait pas, qui d’autre est en mesure d’a
57 ous dire maintenant. Vocation du chrétien dans la cité  : nous l’avons définie par deux mouvements : une protestation, une an
58 ur les problèmes techniques que pose la vie de la cité moderne. Je ne crois pas qu’il soit souhaitable que se forme un parti
59 plir tout leur devoir, toute leur mission dans la cité , que d’une seule et unique manière, et c’est en devenant et en restan
60 : que devons-nous faire, comme chrétiens, dans la cité  ? Si l’Église n’est pas un parti, comment et où faut-il que nous pren
61 tituent des forces politiques et sociales dans la cité française d’aujourd’hui. Nous entrerions dans un débat terriblement t
62 r ! Pourtant, la vocation qui nous envoie dans la cité reste impérieuse ! Alors quoi ? direz-vous, que reste-t-il pratiqueme
63 exemples concrets de vocation chrétienne dans la cité . Et d’abord, à l’image que je vous donnais en débutant du clerc moye
64 s donnais en débutant du clerc moyenâgeux dans la cité thomiste, j’opposerai une image moderne, qui est aussi celle d’un chr
65 oderne, qui est aussi celle d’un chrétien dans la cité , mais qui n’est pas cette fois une utopie. Cela se passe au Japon, de
66  : Avant l’aube e. Voilà bien le chrétien dans la cité  : l’homme au service des hommes, bafoué, injurié, battu, exploité san
67 vement syndicaliste. Vocation du chrétien dans la cité . Tout le pouvoir de Kagawa se résume en effet dans ce seul mot de voc
68 e des intellectuels. Notre premier devoir dans la cité n’est-il pas de travailler en tant qu’intellectuels, — de même que le
69 us méconnue par ceux qui font la politique de nos cités . Commentons brièvement cette phrase. La cité moderne est en crise, pa
70 nos cités. Commentons brièvement cette phrase. La cité moderne est en crise, parce que personne n’a su ou n’a osé prévoir l’
71 de commune mesure entre la pensée et l’action. La cité n’est plus dominée par une norme et un but commun. Ce sont les bases
72 e qui s’oppose au libre jeu des vocations dans la cité  : dénoncer le capitalisme avec son principe immoral de la spéculation
73 l’économie et la pensée, et toutes les lois de la cité . Or, c’est à bâtir ce système, à développer ses conséquences sociales
74 de Calvin. Ordonner toutes choses, et d’abord la cité , à l’exercice libre et fidèle des vocations, refaire un monde à la me
75 ce qui est bon, agréable et parfait. » d. « La cité  », Le Semeur, Paris, n° 6-7, avril-mai 1935, p. 387-416. e. Rougemon
26 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
76 e génération. I. Résidence de l’Esprit dans la cité actuelle En publiant ce très curieux morceau lyrique, notre honora
77 la question des relations qu’entretiennent notre cité et la nation des clercs. C’est mettre en discussion l’un des rapports
78 e lui ai proposé, que ce palais reçût le nom de «  Cité René-Descartes ». L’Exposition va se dérouler sous le patronage du gr
79 nt précisément celui que l’on enfermera dans la «  cité René Descartes », ses droits ne sauraient consister que dans l’affirm
80 tuel. VII. Situation des intellectuels dans la cité (suite) b) Les réalités qui se payent. Donc, on nous dresse à ne s
81 s des clercs de tous ordres qui devaient régir la cité et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce problème n’est plus j
82 ent les clercs ? quel doit être leur rôle dans la cité  ? à qui s’adressent leurs écrits ? d) quelle est la source de leur au
83 ît préoccuper M. Duhamel, si j’en crois l’article cité  : « Comme tous les Français, je répugne à dépenser beaucoup d’argent
84 echnicien et on le pousse dans les conseils de la cité sur la foi du seul nom qu’on lui donne, et en vertu du préjugé pratic
27 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
85 nseur de l’expériencev. Mais la beauté des textes cités fait pardonner bien volontiers cette erreur de classification35. Par
28 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
86 enseur de l’expérience. Mais la beauté des textes cités fait pardonner bien volontiers cette erreur de classification. En vér
29 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
87 l’homme détendu, vague et fiévreux qui peuple nos cités , l’homme sans visage et sans prochain, — sans vocation ! — s’imagine
30 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
88 e ». Bien que pas un verset de l’Écriture ne soit cité , on sent la pensée et la foi de l’auteur informées par la Bible, et d
31 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
89 la vérité a été reconnue sur la figure » (Pascal, cité par Ramuz). 44. Comme Ramuz l’a fait dans Six Cahiers. 45. Est-il n
90 . 50. L’allemand dit Ernüchterung. 51. Rimbaud, cité par Ramuz dans Six Cahiers. r. « Vues sur C. F. Ramuz », Esprit, Par
32 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
91 vski et de Nietzsche. Aujourd’hui Kierkegaard est cité par tout le monde. On m’assure qu’il a même un public passionné. Mais
92 t il est lu par la façon dont il est trop souvent cité , l’on pensera qu’il eût mieux valu montrer plus de prudence à le répa
33 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
93 La politique est en principe ce qui intéresse la cité . Aucun des habitants de la cité n’a donc le droit de s’en désintéress
94 qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la cité n’a donc le droit de s’en désintéresser. Ou, s’il le fait, il perd le
95 er avec émotion leur volonté de s’intéresser à la cité dont ils sont membres. Leur émotion est celle d’une découverte. Ils d
96 riment nécessairement toute espèce de souci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tout va mal, q
97 aisons de se désintéresser de la conduite de leur cité . Et bien qu’ils se recrutent en général parmi les « gens de droite »,
98 e n’y change rien), j’estime être plus utile à la cité en faisant de la philosophie et de la théologie pures. En résumé : si
99 doués de raison, qui s’intéressent au sort de la cité , reconnaissent l’évidence suivante : la cause profonde de la crise mo
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
100 ’était l’argument le plus convaincant. » (Pravda, cité par Habaru, NRF, de janvier 1936.) 51. NRF , n° cit., p. 94 et : «
35 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
101 le drame de la civilisation, de la culture, de la cité modernes. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
102 es cherchions en vain, et sans le savoir, dans la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
103 le drame de la civilisation, de la culture, de la cité modernes. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
104 es cherchions en vain, et sans le savoir, dans la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
105 s de son évolution. » (Voelkischer Beobachter, n°  cité .) Remplacez peuple par prolétariat, vous aurez la doctrine stalinienn
38 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
106 publique, imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la
39 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
107 Loi et la prophétie ; les Grecs, l’homme dans la cité  ; les Romains, l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, l’Église ;
108 eurs parfois, le secret du service commun dans la cité , secret que nous avait fait perdre un siècle de sociologies collectiv
40 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
109 ile de maintenir sur le qui-vive un empire qu’une cité étroite. En effet, à l’intérieur même de l’empire, s’établit un dange
41 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
110 le drame de la civilisation, de la culture, de la cité modernes. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
111 es cherchions en vain, et sans le savoir, dans la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
112 s de son évolution. » (Voelkischer Beobachter, n°  cité .) Remplacez peuple par prolétariat, vous aurez la doctrine stalinienn
43 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
113 publique, imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la
44 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
114 Loi et la prophétie ; les Grecs, l’homme dans la cité  ; les Romains, l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, la théolog
115 eurs parfois, le secret du service commun dans la cité , secret que nous avait fait perdre un siècle de sociologies collectiv
45 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
116  », mais c’est aussi faire acte civique, dans une cité dont l’idéal est encore la plus sûre garantie. f. « Condition de l’
46 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
117 t sur les gens de la ville… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base d’une paroi de rocher et le long d’une rivière rapid
118 rivière rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui
47 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
119 re, pour laquelle nous renvoyons à l’ouvrage déjà cité (voir note 1), indiquons cependant quelques traits caractéristiques.
120 sur l’autorité et le pouvoir (voir le n° 31, déjà cité , de cette revue). Il n’est pas vrai que l’autorité spirituelle dépend
48 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
121 1925 ? Ce n’était pas la peine de lire Feuerbach, cité à la page suivante. Voilà qui est antimarxiste d’une manière plus val
49 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
122 la place qu’il conviendrait de lui donner dans la cité , se trouve être posée à l’époque. Dans l’un et l’autre cas, et pour l
50 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
123 ne prendre que l’un des auteurs les plus souvent cités par Lamm. Je voudrais dégager ici trois points qui peuvent intéresser
51 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
124 ntraire les fondements mêmes de notre vie dans la cité , de notre existence comme « Suisses ». Ils affectent nos tabous les p
125 rd le sens des buts et du rôle de l’armée dans la cité . Il ne s’agit ici que de nuances dans l’atmosphère de notre pays, mai
126 elles, qui sont petites, qui sont médiocres. J’ai cité le cas de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale.
127 plus conforme à la hiérarchie des valeurs dans la cité . 81. Ce fut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédéra
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
128 les gens de la ville… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base d’une paroi de rocher et le long d’une rivière rapid
129 rivière rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
130 des citadins. Août 1935 Considération des cités ouvrières. — Après tout, pourquoi pas ce bonheur-là ? Si c’est celui
54 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
131 s ont de créateur. Il veut une organisation de la cité qui leur permette de s’exprimer. Telle est la forme que revêt « la ch
55 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
132 spéciaux ont déversé depuis la veille dans cette cité de 700 000 habitants, et les autocars, et l’afflux des campagnards ve
56 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
133 us dispense de nous sentir les responsables de la cité et de l’État. D’autre part, il nous tente par la promesse d’une commu
134 de la destruction de toute commune mesure dans la cité (ou d’un défaut total d’éducation, comme en Russie). Ensuite il a don
135 tion, et responsables de cette vocation devant la cité qui les protège. Je ne vous appellerai pas, en terminant, à une crois
57 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
136 ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la cité . Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
58 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
137 à l’enquête « Littérature et christianisme », La Cité chrétienne, Bruxelles, n° 286, 20 novembre 1938, p. 57. Précédé de la
59 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
138 pas sur eux cette Marque, se voient rejetés de la cité . Alors les amateurs de clés de l’Apocalypse disent aux chrétiens : Vo
60 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
139 crise aiguë. Il me semblait que les hommes de la cité actuelle ont bien du mal à communier dans une même vérité vécue ; qu’
61 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
140 spéciaux ont déversé depuis la veille dans cette cité de 700 000 habitants, et les autocars, et l’afflux des campagnards ve
62 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
141 sieurs fois déjà, dans ses sermons, Zwingli avait cité avec éloges le « pieux frère Claus von Unterwalden ». Les autres réfo
63 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
142 uoi nous sommes ensemble. Il s’est formé, dans la cité un sentiment encore diffus de vide social, analogue à celui qui dut m
143 a plus ni Juif ni Grec, et tu es mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère encore si t
64 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
144 matériel et le bonheur plus ou moins grand de la cité , mais les raisons de vivre des hommes qui l’habitent. Ce n’est pas la
65 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
145 oésie des troubadours, la passion reçoit droit de cité . Elle peut s’exprimer dans le langage du mythe sous une forme voilée.
66 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
146 — ruse vitale pour des poètes —, tous les textes cités par Béguin nous inclinent à penser qu’ils sont plus proches des mysti
67 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
147 tecture d’Amsterdam, de Rotterdam, ou des petites cités du centre. Je vois côte à côte un palais de la Renaissance flamande,
68 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
148 dinaires. Le grand nombre des faits et des textes cités , le jeu des « leitmotive » entrelacés, risqueraient d’égarer certains
149 ssiques, et de quelques autres ; et si je n’en ai cité qu’un nombre assez restreint, ce n’est pas toujours par ignorance, ma
69 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
150 la jalousie de Vénus (Dîbat dans le premier hymne cité ) qui veut retenir dans la sombre matière l’amant en proie au lumineux
151 s « liens mondains ». Saint Bernard de Clairvaux ( cité par Rahn) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes
152 , au commencement du xiiie siècle, détruisit les cités des cathares, brûla leurs livres, massacra et brûla les populations q
153 te der Gnosis, p. 158 à 164. 63. R. P. Sandrini, cité par Cantu, Histoire universelle, t. XI, p. 123. 64. Voir aussi l’App
70 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
154 B. Groethuysen, dans Hermès, juillet 1937. 98. Cité par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage « ép
71 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
155 races des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses d
156 131. Voir la Croisade du Graal, d’Otto Rahn, déjà cité . 132. Nous avons déjà relevé l’influence de cette littérature sur sa
157 Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins ( cité par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma c
72 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
158 in, Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 170. Cité par Fred Bérence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 171. Die Kul
73 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
159 ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la cité . Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
74 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
160 ’Assise était un hérétique, avant 1204 ! Dans les cités avoisinantes, il y eut de nombreux soulèvements et émeutes occasionné
75 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
161 berg, d’une Tubingue, et de tant d’autres petites cités où résonnent aujourd’hui des chants… d’une autre espèce ? Ne serait-c
76 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
162 se séparent sur une menace de guerre civile entre cités et petits cantons. Mais voici l’heure de Nicolas, l’heure qui donnera
77 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
163 finition de la personne pour toute action dans la cité . Ces discussions, souvent encombrées de jargon philosophique, peuvent
164 velles communautés (les thiases) comparables à la cité au sens moderne. Alors que la tribu était liée par des liens d’origin
165 ar des liens d’origine — le sang, la famille — la cité est fondée sur l’intérêt commun et les contrats. Alors que la morale
166 ale de la tribu dicte des devoirs sacrés, dans la cité on parle de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la
167 ntion entraînait l’exécration ou la mort. Dans la cité , bien au contraire, chacun cherche à se distinguer. On met son point
168 que par son rôle social, par sa fonction dans la cité . C’est celui-là qui sera nommé juridiquement la persona. Ce mot qui d
169 -elles acquises aux dépens de sa famille et de sa cité , aux dépens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent
170 ondateurs du capitalisme commercial, sont souvent cités comme les premiers types d’individus au sens moderne. Nous retrouvons
171 beaucoup de personnalités. Cela constitue dans la cité des tissus sains, et c’est une sauvegarde appréciable contre la conta
78 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
172 bien loin, dans le désert, car je vois dans notre cité la violence et l’iniquité ! Je déclare déposer ma charge ! (Il ôte s
173 ur d’entre nous s’en va ! Qui maintiendra dans la cité le droit ? Qui gardera notre alliance jurée ? Ô justicier ta voix s
174 re ! Ô toujours plus solitaire ! Ni l’armée ni la cité Ni ta paix ne t’ont comblé. Solitude, solitude, Solitude bien-aimée
79 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
175 la jalousie de Vénus (Dîbat dans le premier hymne cité ) qui veut retenir dans la sombre matière l’amant en proie au lumineux
176 s les liens mondains. Saint Bernard de Clairvaux ( cité par Rahn) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes
177 , au commencement du xiiie siècle, détruisit les cités des cathares, brûla leurs livres, massacra et brûla les populations q
178 répressible intuition des « aventureux » que j’ai cités répond, avec notre bon sens : démontrez-nous, dans ce cas, comment ca
179 vers d’un Marcabru ou ceux d’un Raimbaut d’Orange cités plus haut74. Chose curieuse, les troubadours chez lesquels nous const
180 e de son amour. (Guillaume de Poitiers.) Je n’ai cité que des poètes de la première et de la seconde génération des troubad
181 sonne mais bien à sa dissolution. Tout le passage cité trahit d’ailleurs un virulent ressentiment contre les doctrines ortho
182 te der Gnosis, p. 158 à 164. 63. R. P. Sandrini, cité par Cantu, Histoire universelle, t. XI, p. 123. 64. Voir aussi l’App
80 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
183 B. Groethuysen, dans Hermès, juillet 1937. 116. Cité par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage « ép
81 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
184 races des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses d
185 Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins ( cité par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma c
82 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
186 in, Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 188. Cité par Fred Bérence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 189. Die Kul
83 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
187 ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la cité . Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
188 5, 1953. 213. Voir notamment, outre les ouvrages cités plus haut sur le catharisme et l’amour courtois, des livres comme Arc
84 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
189 dinaires. Le grand nombre des faits et des textes cités , le jeu des « leitmotive » entrelacés, risqueraient d’égarer certains
190 ssiques, et de quelques autres ; et si je n’en ai cité qu’un nombre assez restreint, ce n’est pas toujours par ignorance, ma
85 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
191 la jalousie de Vénus (Dîbat dans le premier hymne cité ) qui veut retenir dans la sombre matière l’amant en proie au lumineux
192 s les liens mondains. Saint Bernard de Clairvaux ( cité par Rahn) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes
193 , au commencement du xiiie siècle, détruisit les cités des cathares, brûla leurs livres, massacra et brûla les populations q
194 répressible intuition des « aventureux » que j’ai cités répond, avec notre bon sens : démontrez-nous, dans ce cas, comment ca
195 les vers d’un Marcabru ou d’un Raimbaut d’Orange, cités plus haut (au chap. 8). Chose curieuse, les troubadours chez lesquels
196 e de son amour. (Guillaume de Poitiers.) Je n’ai cité que des poètes de la première et de la seconde génération des troubad
197 sonne mais bien à sa dissolution. Tout le passage cité trahit d’ailleurs un virulent ressentiment contre les doctrines ortho
198 te der Gnosis, p. 158 à 164. 56. R. P. Sandrini, cité par Cantu, Histoire universelle, t. xi, p. 123. 57. Voir aussi l’App
86 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
199 B. Groethuysen, dans Hermès, juillet 1937. 106. Cité par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage « ép
87 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
200 races des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses d
201 Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins ( cité par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi de ma c
88 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
202 n, Histoire des guerres d’Italie, I, p. 2. 174. Cité par Fred Bérence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 175. J. Burc
89 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
203 ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la cité . Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in
204 5, 1953. 199. Voir notamment, outre les ouvrages cités plus haut sur le catharisme et l’amour courtois, des livres comme Arc
90 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
205 ’Assise était un hérétique, avant 1204 ! Dans les cités avoisinantes, il y eut de nombreux soulèvements et émeutes occasionné
91 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
206 très compliqué qui ne vaut rien pour conduire la cité , pour gagner de l’argent, pour faire des choses sérieuses… Et cependa
207 ncé à leur mission de directeurs spirituels de la cité . Bien sûr, ils n’ont pas dit : notre pensée, à partir d’aujourd’hui,
208 ici où nous rejoignons le temps présent. Dans une cité où la culture n’a plus en fait l’initiative, ce sont les lois de la p
209 outes les activités d’une société donnée. Dans la cité grecque, par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu r
210 sentaient le besoin d’agir sur les destins de la cité , c’était, depuis Hegel, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
211 les grandes pourvoyeuses de lieux communs pour la cité . La théologie médiévale, par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à l
212 , se détourner de toute action régulatrice sur la cité . Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du capitalisme et aux tran
213 t moralement, que je vois la commune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tou
214 ommune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tout le problème à résoudre. L
215 se position du problème, c’est de prévoir pour la cité et la culture une structure fédéraliste. Le fédéralisme, en effet, su
216 lement à des catastrophes cosmiques. La vie de la cité et de la culture, ce sera toujours une bataille. Entre l’esprit de lo
217 main. Mais nous qui avons encore su conserver une cité à la mesure de la personne, nous qui sommes encore épargnés, ne perdo
92 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
218 i, d’agir dans le monde et pour le monde, dans la cité où il est né et pour son bien. Il n’a pas le droit de s’en désintéres
93 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
219 t bien de cela qu’il s’agit : fonder à nouveau la cité , pour qu’elle résiste et qu’elle rayonne encore, quoi qu’il arrive, o
220 s de base d’une nouvelle société7, les noyaux des cités futures, les refuges de la vraie liberté. Nos paroisses actuelles, no
94 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
221 alier de Stein, va combattre à Novare et pille la cité , assiste à la défaite de la Bicoque, crie son indignation dans un fur
222 mal est profond : d’où la nécessité d’agir sur la cité . Si la cité n’a plus de vraies mesures, c’est l’Église qui doit les r
223 ond : d’où la nécessité d’agir sur la cité. Si la cité n’a plus de vraies mesures, c’est l’Église qui doit les refaire. Qu’e
95 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
224 rne, 1er mars 1940. 1. Vers d’un poète anglais, cités par le roi Georges VI en conclusion de son message de Noël 1939.
96 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
225 velles communautés (les thiases) comparables à la cité au sens moderne. Alors que la tribu était liée par des liens d’origin
226 ar des liens d’origine — le sang, la famille — la cité est fondée sur l’intérêt commun et les contrats. Alors que la morale
227 ale de la tribu dicte des devoirs sacrés, dans la cité on parle de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la
228 ntion entraînait l’exécration ou la mort. Dans la cité , bien au contraire, chacun cherche à se distinguer. On met son point
229 que par son rôle social, par sa fonction dans la cité . C’est celui-là qui sera nommé juridiquement la persona. Ce mot qui d
230 -elles acquises aux dépens de sa famille et de sa cité , aux dépens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent
231 ondateurs du capitalisme commercial, sont souvent cités comme les premiers types d’individus au sens moderne. Nous retrouvons
232 beaucoup de personnalités. Cela constitue dans la cité des tissus sains, et c’est une sauvegarde appréciable contre la conta
97 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
233 très compliqué qui ne vaut rien pour conduire la cité , pour gagner de l’argent, pour faire des choses sérieuses… Et cependa
234 ncé à leur mission de directeurs spirituels de la cité . Bien sûr, ils n’ont pas dit : notre pensée, à partir d’aujourd’hui,
235 ici où nous rejoignons le temps présent. Dans une cité où la culture n’a plus en fait l’initiative, ce sont les lois de la p
236 outes les activités d’une société donnée. Dans la cité grecque, par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu r
237 entaient le besoin d’agir sur les destinées de la cité , c’était depuis Hegel, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
238 e possible ? Qui recréera les lieux communs de la cité  ? Je ne voudrais pas, ici, partir dans l’utopie. Je ne pense pas que
239 les grandes pourvoyeuses de lieux communs pour la cité . La théologie médiévale, par les sommes de Thomas d’Aquin, fixait à l
240 , se détourner de toute action régulatrice sur la cité . Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du capitalisme et aux tran
241 t moralement, que je vois la commune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tou
242 ommune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tout le problème à résoudre. L
243 se position du problème, c’est de prévoir pour la cité et la culture une structure fédéraliste. Le fédéralisme, en effet, su
244 lement à des catastrophes cosmiques. La vie de la cité et de la culture, ce sera toujours une bataille. Entre l’esprit de lo
245 main. Mais nous qui avons encore su conserver une cité à la mesure de la personne, nous qui sommes encore épargnés, ne perdo
98 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
246 ntraire les fondements mêmes de notre vie dans la cité , de notre existence comme « Suisses ». Ils affectent nos tabous les p
247 elles, qui sont petites, qui sont médiocres. J’ai cité le cas de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale.
99 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
248 r, d’agir dans le monde et pour le monde, dans la cité où il est né, et pour son bien. Il n’a pas le droit de s’en désintére
100 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
249 elles communautés (les thiases), comparables à la cité au sens moderne. Alors que la tribu était liée par des liens d’origin
250 ar des liens d’origine — le sang, la famille — la cité est fondée sur l’intérêt commun et les contrats. Alors que la morale
251 ale de la tribu dicte des devoirs sacrés, dans la cité on parle de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la
252 ntion entraînait l’exécration ou la mort. Dans la cité , bien au contraire, chacun cherche à se distinguer. On met son point
253 que par son rôle social, par sa fonction dans la cité . C’est celui-là qui sera nommé juridiquement la persona. Ce mot qui d
254 -elles acquises aux dépens de sa famille et de sa cité , aux dépens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent
255 ondateurs du capitalisme commercial, sont souvent cités comme les premiers types d’individus au sens moderne. Nous retrouvons
256 beaucoup de personnalités. Cela constitue dans la cité des tissus sains, et c’est une sauvegarde appréciable contre la conta