1
ne dans la Maladère une étrange harmonie entre le
climat
des sentiments et celui des campagnes désolées où ils se développent.
2
s plus purs d’entre nous se préparent à tenter le
climat
, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
3
urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le
climat
de la passion ? — C’est celui de la Hongrie14. 9. Une lettre de Ma
4
de grands morceaux avec notre cœur. On remuait un
climat
de poèmes, une spiritualité un peu grave, on touchait avec notre jeun
5
? Tâchons d’être joyeux et humbles. 8. Le seul
climat
qui permette et suscite l’aventure spirituelle. Le seul aussi qui don
6
otre temps est celui de la violence, inéluctable.
Climat
salubre des aventures spirituelles. ⁂ Tout est devenu tellement abstr
7
s qu’au sein d’un ensemble organique de mœurs, de
climat
et d’ambitions collectives, ensemble que, tout indépendamment des réa
8
urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le
climat
de la passion ? — C’est celui de la Hongrie9. ix Une lettre de Ma
9
ns des plus purs d’entre nous ont voulu tenter le
climat
, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
10
dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seul
climat
de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte a
11
Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son
climat
, jusqu’aux détails de l’intendance des domaines. Là, toute démarche d
12
ci de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres
climats
, fait effervescence et fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ai
13
s qu’au sein d’un ensemble organique de mœurs, de
climat
et d’ambitions collectives, ensemble que, tout indépendamment des réa
14
urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le
climat
de la passion ? — C’est celui de la Hongrie.6 Une lettre de Matth
15
ns des plus purs d’entre nous ont voulu tenter le
climat
, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
16
dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seul
climat
de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte a
17
Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son
climat
, jusqu’aux détails de l’intendance des domaines. Là, toute démarche d
18
ci de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres
climats
, fait effervescence et fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ai
19
r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un
climat
de musique, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vie
20
es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce
climat
sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
21
ions plutôt. Cela suffit pour créer un espace, un
climat
, une invite à naître — une légèreté nouvelle dans l’atmosphère de ce
22
is romanciers protestants, entendez romanciers de
climats
protestants. Que faut-il pour faire un roman ? Des caractères, de la
23
int-là l’image habituelle que l’on se fait de nos
climats
? Et voici un dernier argument. Prenez une liste des romanciers franç
24
rientation religieuse » avait en effet préparé le
climat
et la juste portée de ces attaques, avec une patience ironique, mais
25
vorables au ressort de l’activité, comme certains
climats
ou certains pays se prêtent mieux au personnalisme social, mais ce ne
26
emme qu’il perçoit de sa fenêtre. « Mais dans les
climats
chauds, les choses croissent très vite, et après qu’une semaine eut p
27
tionnaires ; nous pouvons en tous cas préciser le
climat
de finalité dans lequel ils apparaîtront. ⁂ Nous avons dit que l’acte
28
te vacance où les idées et sentiments changent de
climat
. Le loisir n’est pas simplement la cessation du travail pour un repos
29
te vacance où les idées et sentiments changent de
climat
. Le loisir n’est pas simplement la cessation du travail pour un repos
30
r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un
climat
de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
31
es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce
climat
sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
32
annonce à l’autre. Cette parole traverse tous les
climats
, jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans chaque dial
33
. » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au «
climat
» de la Nouvelle Héloïse, si nouveau pour le xviiie siècle, une facu
34
», alliée à un désir fébrile d’aventure, voilà le
climat
des principaux romans de cette période. Et cela signifie sans équivoq
35
. » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au «
climat
» de la Nouvelle Héloïse, si nouveau pour le xviiie siècle, une facu
36
», alliée à un désir fébrile d’aventure, voilà le
climat
des principaux romans de cette période. Et cela signifie sans équivoq
37
. » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au «
climat
» de la Nouvelle Héloïse, si nouveau pour le xviiie siècle, une facu
38
», alliée à un désir fébrile d’aventure, voilà le
climat
des principaux romans de cette période. Et cela signifie sans équivoq
39
iel sur des parois violemment découpées, c’est un
climat
que je connais. Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
40
a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce
climat
. Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
41
e se plaindre de l’inhumanité que revêtent ici le
climat
et les rapports humains. Ils pensent, dans leur ignorance, que c’est
42
r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un
climat
de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
43
es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce
climat
sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
44
uis étendu sur cet exemple unique pour décrire le
climat
de l’effort personnaliste. Il est clair que l’institution du service
45
annonce à l’autre. Cette parole traverse tous les
climats
jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans tous les dia
47
nses, vont à neutraliser les sautes d’humeur d’un
climat
fantaisiste à l’extrême, souvent brutal. Comme chaque jour à New York
48
lanète. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux
climats
inhumains de la planète. À ces îles des tropiques où le litre de rhum
49
nfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un
climat
tempéré. C’est la France. Ses habitants croient que la nature dont il
50
s croient que la nature dont ils jouissent est le
climat
normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que
51
ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce
climat
« normal », sur la planète, est une exception surprenante. Tout ce qu
52
t si l’on parcourt les statistiques. La France au
climat
tempéré, avec son type d’humains normalement adaptés à une nature jug
53
s robes et une littérature, plus quelques âmes de
climat
dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : c
54
t de rejoindre par les plus coûteux artifices, ce
climat
qu’un Français moyen reçoit à son berceau, cadeau des fées, comme poi
55
t de départ d’une vie vraiment humaine. h. « Un
climat
tempéré », Le Figaro, Paris, n° 317, 22 août 1945, p. 1.
56
emande qu’on ne séjourne pas indéfiniment dans le
climat
étranger. En outre, j’ai des éditeurs à voir à Paris et en Suisse. Et
57
d’autant plus de simplicité qu’ils ont atteint un
climat
presque mortel. Conflit politique et économique entre l’État totalita
58
iel sur des parois violemment découpées, c’est un
climat
que je connais… Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
59
a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce
climat
. Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
60
r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un
climat
de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
61
es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce
climat
sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
62
iel sur des parois violemment découpées, c’est un
climat
que je connais… Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
63
a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce
climat
. Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
64
ous suit. » Chemins d’exil. 2 août 1942 Un
climat
tempéré. — Une nouvelle vague de chaleur sur New York, et voici les b
65
nses, vont à neutraliser les sautes d’humeur d’un
climat
fantaisiste à l’extrême, souvent brutal. Comme chaque jour à New York
66
lanète. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux
climats
inhumains de la planète. À ces îles des tropiques où le litre de rhum
67
nfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un
climat
tempéré. C’est la France. Ses habitants croient que la nature dont il
68
s croient que la nature dont ils jouissent est le
climat
normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que
69
ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce
climat
« normal », sur la planète, est une exception surprenante. Tout ce q
70
t si l’on parcourt les statistiques. La France au
climat
tempéré, avec son type d’humains normalement adaptés à une nature jug
71
s robes et une littérature, plus quelques âmes de
climat
dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : c
72
de rejoindre, par les plus coûteux artifices, ce
climat
qu’un Français moyen reçoit à son berceau, cadeau des fées, comme poi
73
s qu’au sein d’un ensemble organique de mœurs, de
climat
et d’ambitions collectives, ensemble que, tout indépendamment des réa
74
urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le
climat
de la passion ? — C’est celui de la Hongrie. Une lettre de Matthia
75
ns des plus purs d’entre nous ont voulu tenter le
climat
, — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
76
dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seul
climat
de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte a
77
Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son
climat
, jusqu’aux détails de l’intendance des domaines. Là, toute démarche d
78
ci de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres
climats
, fait effervescence et fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ai
79
toute violence spirituelle et créatrice. Le seul
climat
qui permette et suscite l’aventure spirituelle. Le seul aussi qui don
80
te vacance où les idées et sentiments changent de
climat
. Le loisir n’est pas simplement la cessation du travail pour un repos
81
r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un
climat
de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
82
es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce
climat
sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
83
iel sur des parois violemment découpées, c’est un
climat
que je connais… Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
84
a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce
climat
. Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
85
nous aurons dit une vérité. 2 août 1942 Un
climat
tempéré. — Une nouvelle vague de chaleur sur New York, et voici les b
86
nses, vont à neutraliser les sautes d’humeur d’un
climat
fantaisiste à l’extrême, souvent brutal. Comme chaque jour à New York
87
lanète. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux
climats
inhumains de la planète. À ces îles des tropiques où le litre de rhum
88
nfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un
climat
tempéré. C’est la France. Ses habitants croient que la nature dont il
89
s croient que la nature dont ils jouissent est le
climat
normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que
90
ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce
climat
« normal », sur la planète, est une exception surprenante. Tout ce qu
91
t si l’on parcourt les statistiques. La France au
climat
tempéré, avec son type d’humains normalement adaptés à une nature jug
92
s robes et une littérature, plus quelques âmes de
climat
dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : c
93
t de rejoindre par les plus coûteux artifices, ce
climat
qu’un Français moyen reçoit à son berceau, cadeau des fées, comme poi
94
ant des exceptions. Ainsi pensent les Français du
climat
tempéré dont ils jouissent à peu près seuls au monde, tandis que les
95
mme qu’il aperçoit de sa fenêtre. « Mais dans ces
climats
chauds, dit Andersen, les choses croissent très vite ; et après qu’un
96
t en cause un certain mode de vie, un idéal et un
climat
de liberté, que symbolise depuis des siècles le nom d’Europe. En les
97
ents se vantent de leur efficacité, mais c’est le
climat
européen seul qui rend la vie dangereuse, aventureuse, magnifique et
98
, qui respecte l’opposition, et qui entretient un
climat
tolérable de libertés publiques et privées. Ce sont ces libertés, et
99
tholicisme, en général, offre à la littérature un
climat
plus favorable que le protestantisme en général. Car, si l’on considè
100
il est clair que le libre examen, conduit dans un
climat
rationaliste, n’est pas une attitude de créateur. L’art suppose une o
101
nce de la mise en valeur d’un sol fertile sous un
climat
bénin. Mais elle a dominé par la violence aussi, et par la mise en es
102
ons la substance idéale, que nous en respirons le
climat
nostalgique. Et nous ici, nous ne sommes pas réunis pour tracer des p
103
aucoup plus tard, j’ai rencontré l’auteur dans le
climat
fomenté par son œuvre : la grandeur signifie l’exil. C’était, on l’im
104
es et de vrais émigrés. Les uns voyagent vers des
climats
et des coutumes où l’isolement social, sans être surmonté, soit du mo
105
de contribuer dans l’immédiat à la création d’un
climat
non seulement intellectuel, mais civique, mais moral, et enfin politi
106
», ses quatre langues, ses deux confessions, ses
climats
contrastés, ses économies juxtaposées, sa méfiance profonde pour les
107
onstances locales, ils baignent néanmoins dans un
climat
d’« helvétisme » très sensible. Cette unité dans la diversité résulte
108
sse alémanique s’en distinguait davantage par son
climat
moral et ses institutions. Certes, l’esprit réalisateur et moderne de
109
s deux Bureaux de la propriété intellectuelle. Le
climat
de neutralité semblait à cette époque (de 1864 à 1918) offrir des gar
110
utre offre aux entreprises d’union des peuples un
climat
politique particulièrement favorable ; à tout le moins, il les soustr
111
antage au contrecoup nationaliste allemand : « Le
climat
est lourd en Allemagne occidentale. (Fuite d’Otto John.) Nous avons r
112
erchent à émigrer ou qui, eux aussi, préfèrent le
climat
, pourtant contraint, de la République démocratique à la précaire libe
113
de nature à modifier, par sa seule existence, le
climat
intellectuel et moral de l’Europe, en restaurant le sens de notre ind
114
, elle l’obligera à peiner très durement dans nos
climats
occidentaux, pour se nourrir, se protéger du froid, des inondations,
115
ant alors vers les applications. Et cela, dans un
climat
social et politique devenu très favorable aux entreprises brutales de
116
rait de présenter celle-ci aux Européens dans son
climat
réel et dans ses perspectives spécifiques. (Sinon le dialogue serait
117
ant des exceptions. Ainsi pensent les Français du
climat
tempéré dont ils jouissent à peu près seuls au monde, tandis que les
118
ailleurs attachés à la démocratie, entretient un
climat
de confusions intellectuelles et morales dont les seuls staliniens on
119
t viennent d’ailleurs… » (Thème de l’Exil.) Et ce
climat
est un lieu de dévastation, un désert de sel, rempli de troubles, de
120
fait son plan, ou reçu sa commande, ou senti son
climat
? Ou de cette heure où fut écrite sa première page, posée sa première
121
ent viennent d’ailleurs… (Thème de l’Exil.) Et ce
climat
est un lieu de dévastation, un désert de sel, rempli de troubles, de
122
es, elle l’oblige à peiner très durement dans nos
climats
occidentaux, pour se nourrir, se protéger du froid, des inondations,
123
ant alors vers les applications. Et cela, dans un
climat
social et politique devenu très favorable aux entreprises brutales de
124
es facilités matérielles (locaux, communications,
climats
, etc.), de l’équipement technique disponible (laboratoires, bibliothè
125
ent, c’est-à-dire dans ce qui nous lie au sol, au
climat
, à la race ; car justement, notre civilisation européenne se caractér
126
ni le sol assez fertile, ni la population, ni le
climat
, ni les déséquilibres dynamiques résultant de ces facteurs combinés n
127
araison de deux œuvres à ce point inégales par le
climat
et l’ambition. Ulrich von X. converse avec sa sœur Agathe, dont il se
128
ilisation de se développer. Suit une théorie des
climats
, qui rappelle Hippocrate, et qui fera fortune jusqu’au xixe siècle ;
129
turelle, leur manque de ports, la rigueur de leur
climat
ou telle autre cause rendaient presque inhabitables, sont parvenus à
130
abitable, là où le sol de l’Europe est uni et son
climat
tempéré, la nature semble avoir tout fait pour hâter les progrès de l
131
la paresse immense de l’Asie et de l’Afrique, le
climat
tropical n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous
132
la paresse immense de l’Asie et de l’Afrique — le
climat
tropical n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous
133
a paresse immense de l’Asie et de l’Afrique, — le
climat
tropical n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous
134
e l’âme et de son ange. Pour situer dans son vrai
climat
spirituel le personnalisme essentiel de ces doctrines, citons ce vers
135
emprunté par Wagner à Schopenhauer — participe du
climat
spirituel « iranien » et trouve en lui ses origines archétypales. La
136
ment codifiée, longuement invétérée) qui forme le
climat
des milieux bien-pensants dans le peuple et la bourgeoisie, catholiqu
137
araison de deux œuvres à ce point inégales par le
climat
et l’ambition. Ulrich von X converse avec sa sœur Agathe, dont il sen
138
e l’âme et de son ange. Pour situer dans son vrai
climat
spirituel le personnalisme essentiel de ces doctrines109, citons ce v
139
emprunté par Wagner à Schopenhauer — participe du
climat
spirituel « iranien » et trouve en lui ses origines archétypales. La
140
ment codifiée, longuement invétérée) qui forme le
climat
des milieux bien-pensants dans le peuple et la bourgeoisie, catholiqu
141
ilisation de se développer. Suit une théorie des
climats
, qui rappelle l’école d’Hippocrate et qui fera fortune jusqu’au xixe
142
turelle, leur manque de ports, la rigueur de leur
climat
ou telle autre cause rendaient presque inhabitables, sont parvenus à
143
abitable, là où le sol de l’Europe est uni et son
climat
tempéré, la nature semble avoir tout fait pour hâter les progrès de l
144
e dirigés les Scythes qui vivent hors le septième
climat
, ils subissent une grande inégalité de jours et de nuits, et ils supp
145
nt de zone tempérée ; et les lieux situés dans un
climat
très-froid y touchent immédiatement ceux qui sont dans un climat très
146
id y touchent immédiatement ceux qui sont dans un
climat
très-chaud, c’est-à-dire la Turquie, la Perse, le Mogol, la Chine, la
147
st très-étendue, quoiqu’elle soit située dans des
climats
très-différents entre eux, n’y ayant point de rapport entre les clima
148
s entre eux, n’y ayant point de rapport entre les
climats
d’Espagne et d’Italie, et ceux de Norwège et de Suède. Mais, comme le
149
e, et ceux de Norwège et de Suède. Mais, comme le
climat
y devient insensiblement froid en allant du midi au nord, à peu près
150
Bothnie tout était sauvage ; les habitants de ces
climats
vivaient, comme les Tartares ont toujours vécu, dans l’ignorance, dan
151
jointe aux besoins du luxe et à la diversité des
climats
, rend les uns toujours nécessaires aux autres. Toutes ces causes réun
152
re ont gagné quelque chose. Tout ce qu’on dit des
climats
est une bêtise, un non causa pro causa, erreur la plus commune de la
153
d’hommes industrieux, qui iront chercher dans ces
climats
heureux l’aisance qui les fuyait dans leur patrie. La liberté les y r
154
de jouissances appelait les richesses de tous les
climats
, et l’on voyait s’échanger la pourpre de Tyr pour le fil précieux de
155
moindre rapport avec l’ancien. Si tant est que le
climat
, la nature du sol, les voisins immédiats, la situation géographique f
156
venté cette religion de la cruauté conforme à son
climat
, il aurait envahi l’Europe à la force de l’épée, y implantant ses mœu
157
er dans la différence d’un peuple à un autre : le
climat
, l’aspect de la nature, la langue, le gouvernement, enfin surtout les
158
vue de la situation géographique que de celui du
climat
ou de la race. Ce fait apparaît clairement si on considère sa structu
159
nt simplement parce qu’ici un autre sol, un autre
climat
(celui de la liberté et de la diversité), tout un monde déchiqueté d’
160
conditions qui font naître des races liées par le
climat
et les mœurs, et qui s’affranchissent chaque jour davantage de tout m
161
ant. Elle est assez grande pour contenir tous les
climats
; assez diverse pour présenter les cultures et les terrains les plus
162
ns encore, en Suisse romande, aux antipodes de ce
climat
d’excitation intellectuelle et artistique. Nos habitudes utilitaires,
163
oule actuellement sur tous les continents dans le
climat
très favorable qu’ont créé les journées de septembre à Genève. br.
164
leurs créations. L’appel, c’était l’attrait d’un
climat
, en prenant ce terme dans son sens le plus large : climat physique, c
165
en prenant ce terme dans son sens le plus large :
climat
physique, climat intellectuel, génie du lieu, rassemblement de forces
166
me dans son sens le plus large : climat physique,
climat
intellectuel, génie du lieu, rassemblement de forces diverses, équili
167
qu’une métropole, cela consiste en un attrait, un
climat
, et des ressources économiques, dont la combinaison assure la product
168
naison assure la production et le rayonnement. Le
climat
, il existe ici, on l’a décrit hier. Il est heureux, il est dense, il
169
utés bien distinctes et solidement enracinées, le
climat
tempéré, dans le centre du moins, permettant une économie d’énergies
170
s par le fait que les Asiatiques vivaient dans un
climat
trop égal, tandis qu’en Europe, dit-il, « les passages rapides d’un e
171
contraire cette même supériorité des Européens au
climat
tempéré qui — je le cite — « semble avoir tout fait pour hâter les pr
172
. Voilà donc l’importance de la géographie et du
climat
minimisée, presque niée. Serait-ce alors à la démographie qu’il faudr