1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
1 ne dans la Maladère une étrange harmonie entre le climat des sentiments et celui des campagnes désolées où ils se développent.
2 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
2 s plus purs d’entre nous se préparent à tenter le climat , — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est celui de la Hongrie14. 9. Une lettre de Ma
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
4 de grands morceaux avec notre cœur. On remuait un climat de poèmes, une spiritualité un peu grave, on touchait avec notre jeun
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
5  ? Tâchons d’être joyeux et humbles. 8. Le seul climat qui permette et suscite l’aventure spirituelle. Le seul aussi qui don
6 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
6 otre temps est celui de la violence, inéluctable. Climat salubre des aventures spirituelles. ⁂ Tout est devenu tellement abstr
7 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
7 s qu’au sein d’un ensemble organique de mœurs, de climat et d’ambitions collectives, ensemble que, tout indépendamment des réa
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est celui de la Hongrie9. ix Une lettre de Ma
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
9 ns des plus purs d’entre nous ont voulu tenter le climat , — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seul climat de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte a
11 Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son climat , jusqu’aux détails de l’intendance des domaines. Là, toute démarche d
12 ci de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres climats , fait effervescence et fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ai
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
13 s qu’au sein d’un ensemble organique de mœurs, de climat et d’ambitions collectives, ensemble que, tout indépendamment des réa
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
14 urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est celui de la Hongrie.6 Une lettre de Matth
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
15 ns des plus purs d’entre nous ont voulu tenter le climat , — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
16 dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seul climat de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte a
17 Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son climat , jusqu’aux détails de l’intendance des domaines. Là, toute démarche d
18 ci de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres climats , fait effervescence et fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ai
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
19 r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de musique, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vie
20 es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
16 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
21 ions plutôt. Cela suffit pour créer un espace, un climat , une invite à naître — une légèreté nouvelle dans l’atmosphère de ce
17 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
22 is romanciers protestants, entendez romanciers de climats protestants. Que faut-il pour faire un roman ? Des caractères, de la
23 int-là l’image habituelle que l’on se fait de nos climats  ? Et voici un dernier argument. Prenez une liste des romanciers franç
18 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
24 rientation religieuse » avait en effet préparé le climat et la juste portée de ces attaques, avec une patience ironique, mais
19 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
25 vorables au ressort de l’activité, comme certains climats ou certains pays se prêtent mieux au personnalisme social, mais ce ne
20 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
26 emme qu’il perçoit de sa fenêtre. « Mais dans les climats chauds, les choses croissent très vite, et après qu’une semaine eut p
21 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
27 tionnaires ; nous pouvons en tous cas préciser le climat de finalité dans lequel ils apparaîtront. ⁂ Nous avons dit que l’acte
22 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
28 te vacance où les idées et sentiments changent de climat . Le loisir n’est pas simplement la cessation du travail pour un repos
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
29 te vacance où les idées et sentiments changent de climat . Le loisir n’est pas simplement la cessation du travail pour un repos
24 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
30 r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
31 es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
25 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
32 annonce à l’autre. Cette parole traverse tous les climats , jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans chaque dial
26 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
33 . » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au «  climat  » de la Nouvelle Héloïse, si nouveau pour le xviiie siècle, une facu
27 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
34 », alliée à un désir fébrile d’aventure, voilà le climat des principaux romans de cette période. Et cela signifie sans équivoq
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
35 . » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au «  climat  » de la Nouvelle Héloïse, si nouveau pour le xviiie siècle, une facu
29 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
36 », alliée à un désir fébrile d’aventure, voilà le climat des principaux romans de cette période. Et cela signifie sans équivoq
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
37 . » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au «  climat  » de la Nouvelle Héloïse, si nouveau pour le xviiie siècle, une facu
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
38 », alliée à un désir fébrile d’aventure, voilà le climat des principaux romans de cette période. Et cela signifie sans équivoq
32 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
39 iel sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais. Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
40 a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce climat . Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
41 e se plaindre de l’inhumanité que revêtent ici le climat et les rapports humains. Ils pensent, dans leur ignorance, que c’est
33 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
42 r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
43 es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
34 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
44 uis étendu sur cet exemple unique pour décrire le climat de l’effort personnaliste. Il est clair que l’institution du service
35 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
45 annonce à l’autre. Cette parole traverse tous les climats jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans tous les dia
36 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
46 Un climat tempéré (22 août 1945)h New York, août Une nouvelle vague de cha
47 nses, vont à neutraliser les sautes d’humeur d’un climat fantaisiste à l’extrême, souvent brutal. Comme chaque jour à New York
48 lanète. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète. À ces îles des tropiques où le litre de rhum
49 nfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants croient que la nature dont il
50 s croient que la nature dont ils jouissent est le climat normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que
51 ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète, est une exception surprenante. Tout ce qu
52 t si l’on parcourt les statistiques. La France au climat tempéré, avec son type d’humains normalement adaptés à une nature jug
53 s robes et une littérature, plus quelques âmes de climat dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : c
54 t de rejoindre par les plus coûteux artifices, ce climat qu’un Français moyen reçoit à son berceau, cadeau des fées, comme poi
55 t de départ d’une vie vraiment humaine. h. « Un climat tempéré », Le Figaro, Paris, n° 317, 22 août 1945, p. 1.
37 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
56 emande qu’on ne séjourne pas indéfiniment dans le climat étranger. En outre, j’ai des éditeurs à voir à Paris et en Suisse. Et
38 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
57 d’autant plus de simplicité qu’ils ont atteint un climat presque mortel. Conflit politique et économique entre l’État totalita
39 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
58 iel sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais… Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
59 a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce climat . Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
40 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
60 r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
61 es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
41 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
62 iel sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais… Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
63 a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce climat . Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
42 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
64 ous suit. » Chemins d’exil. 2 août 1942 Un climat tempéré. — Une nouvelle vague de chaleur sur New York, et voici les b
65 nses, vont à neutraliser les sautes d’humeur d’un climat fantaisiste à l’extrême, souvent brutal. Comme chaque jour à New York
66 lanète. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète. À ces îles des tropiques où le litre de rhum
67 nfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants croient que la nature dont il
68 s croient que la nature dont ils jouissent est le climat normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que
69 ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète, est une exception surprenante. Tout ce q
70 t si l’on parcourt les statistiques. La France au climat tempéré, avec son type d’humains normalement adaptés à une nature jug
71 s robes et une littérature, plus quelques âmes de climat dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : c
72 de rejoindre, par les plus coûteux artifices, ce climat qu’un Français moyen reçoit à son berceau, cadeau des fées, comme poi
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
73 s qu’au sein d’un ensemble organique de mœurs, de climat et d’ambitions collectives, ensemble que, tout indépendamment des réa
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
74 urdes et de souffrances vraies, n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est celui de la Hongrie. Une lettre de Matthia
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
75 ns des plus purs d’entre nous ont voulu tenter le climat , — j’avais rêvé sur ce passage de l’émouvante Bettina, rêvé sans dout
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
76 dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seul climat de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte a
77 Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son climat , jusqu’aux détails de l’intendance des domaines. Là, toute démarche d
78 ci de « merveilleux ». Tout ce qui, sous d’autres climats , fait effervescence et fuse en l’air, ici fermente en pleine pâte. Ai
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
79 toute violence spirituelle et créatrice. Le seul climat qui permette et suscite l’aventure spirituelle. Le seul aussi qui don
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
80 te vacance où les idées et sentiments changent de climat . Le loisir n’est pas simplement la cessation du travail pour un repos
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
81 r au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vi
82 es ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
83 iel sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais… Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans
84 a cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce climat . Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême civilisation m
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
85 nous aurons dit une vérité. 2 août 1942 Un climat tempéré. — Une nouvelle vague de chaleur sur New York, et voici les b
86 nses, vont à neutraliser les sautes d’humeur d’un climat fantaisiste à l’extrême, souvent brutal. Comme chaque jour à New York
87 lanète. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète. À ces îles des tropiques où le litre de rhum
88 nfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants croient que la nature dont il
89 s croient que la nature dont ils jouissent est le climat normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que
90 ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète, est une exception surprenante. Tout ce qu
91 t si l’on parcourt les statistiques. La France au climat tempéré, avec son type d’humains normalement adaptés à une nature jug
92 s robes et une littérature, plus quelques âmes de climat dur, de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : c
93 t de rejoindre par les plus coûteux artifices, ce climat qu’un Français moyen reçoit à son berceau, cadeau des fées, comme poi
52 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
94 ant des exceptions. Ainsi pensent les Français du climat tempéré dont ils jouissent à peu près seuls au monde, tandis que les
53 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
95 mme qu’il aperçoit de sa fenêtre. « Mais dans ces climats chauds, dit Andersen, les choses croissent très vite ; et après qu’un
54 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
96 t en cause un certain mode de vie, un idéal et un climat de liberté, que symbolise depuis des siècles le nom d’Europe. En les
97 ents se vantent de leur efficacité, mais c’est le climat européen seul qui rend la vie dangereuse, aventureuse, magnifique et
55 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
98 , qui respecte l’opposition, et qui entretient un climat tolérable de libertés publiques et privées. Ce sont ces libertés, et
56 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
99 tholicisme, en général, offre à la littérature un climat plus favorable que le protestantisme en général. Car, si l’on considè
100 il est clair que le libre examen, conduit dans un climat rationaliste, n’est pas une attitude de créateur. L’art suppose une o
57 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
101 nce de la mise en valeur d’un sol fertile sous un climat bénin. Mais elle a dominé par la violence aussi, et par la mise en es
58 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
102 ons la substance idéale, que nous en respirons le climat nostalgique. Et nous ici, nous ne sommes pas réunis pour tracer des p
59 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
103 aucoup plus tard, j’ai rencontré l’auteur dans le climat fomenté par son œuvre : la grandeur signifie l’exil. C’était, on l’im
60 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
104 es et de vrais émigrés. Les uns voyagent vers des climats et des coutumes où l’isolement social, sans être surmonté, soit du mo
61 1952, Arts, articles (1952-1965). Appel à ceux qui osent être différents (22 mai 1952)
105 de contribuer dans l’immédiat à la création d’un climat non seulement intellectuel, mais civique, mais moral, et enfin politi
62 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
106  », ses quatre langues, ses deux confessions, ses climats contrastés, ses économies juxtaposées, sa méfiance profonde pour les
63 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
107 onstances locales, ils baignent néanmoins dans un climat d’« helvétisme » très sensible. Cette unité dans la diversité résulte
64 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
108 sse alémanique s’en distinguait davantage par son climat moral et ses institutions. Certes, l’esprit réalisateur et moderne de
109 s deux Bureaux de la propriété intellectuelle. Le climat de neutralité semblait à cette époque (de 1864 à 1918) offrir des gar
110 utre offre aux entreprises d’union des peuples un climat politique particulièrement favorable ; à tout le moins, il les soustr
65 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
111 antage au contrecoup nationaliste allemand : « Le climat est lourd en Allemagne occidentale. (Fuite d’Otto John.) Nous avons r
112 erchent à émigrer ou qui, eux aussi, préfèrent le climat , pourtant contraint, de la République démocratique à la précaire libe
66 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
113 de nature à modifier, par sa seule existence, le climat intellectuel et moral de l’Europe, en restaurant le sens de notre ind
67 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
114 , elle l’obligera à peiner très durement dans nos climats occidentaux, pour se nourrir, se protéger du froid, des inondations,
115 ant alors vers les applications. Et cela, dans un climat social et politique devenu très favorable aux entreprises brutales de
68 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
116 rait de présenter celle-ci aux Européens dans son climat réel et dans ses perspectives spécifiques. (Sinon le dialogue serait
69 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
117 ant des exceptions. Ainsi pensent les Français du climat tempéré dont ils jouissent à peu près seuls au monde, tandis que les
70 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
118 ailleurs attachés à la démocratie, entretient un climat de confusions intellectuelles et morales dont les seuls staliniens on
71 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
119 t viennent d’ailleurs… » (Thème de l’Exil.) Et ce climat est un lieu de dévastation, un désert de sel, rempli de troubles, de
72 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
120 fait son plan, ou reçu sa commande, ou senti son climat  ? Ou de cette heure où fut écrite sa première page, posée sa première
73 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
121 ent viennent d’ailleurs… (Thème de l’Exil.) Et ce climat est un lieu de dévastation, un désert de sel, rempli de troubles, de
74 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
122 es, elle l’oblige à peiner très durement dans nos climats occidentaux, pour se nourrir, se protéger du froid, des inondations,
123 ant alors vers les applications. Et cela, dans un climat social et politique devenu très favorable aux entreprises brutales de
75 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
124 es facilités matérielles (locaux, communications, climats , etc.), de l’équipement technique disponible (laboratoires, bibliothè
76 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
125 ent, c’est-à-dire dans ce qui nous lie au sol, au climat , à la race ; car justement, notre civilisation européenne se caractér
77 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Pour une politique de la recherche
126 ni le sol assez fertile, ni la population, ni le climat , ni les déséquilibres dynamiques résultant de ces facteurs combinés n
78 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
127 araison de deux œuvres à ce point inégales par le climat et l’ambition. Ulrich von X. converse avec sa sœur Agathe, dont il se
79 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
128 ilisation de se développer. Suit une théorie des climats , qui rappelle Hippocrate, et qui fera fortune jusqu’au xixe siècle ;
129 turelle, leur manque de ports, la rigueur de leur climat ou telle autre cause rendaient presque inhabitables, sont parvenus à
130 abitable, là où le sol de l’Europe est uni et son climat tempéré, la nature semble avoir tout fait pour hâter les progrès de l
80 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
131 la paresse immense de l’Asie et de l’Afrique, le climat tropical n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous
81 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
132 la paresse immense de l’Asie et de l’Afrique — le climat tropical n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous
82 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
133 a paresse immense de l’Asie et de l’Afrique, — le climat tropical n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous
83 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
134 e l’âme et de son ange. Pour situer dans son vrai climat spirituel le personnalisme essentiel de ces doctrines, citons ce vers
135 emprunté par Wagner à Schopenhauer — participe du climat spirituel « iranien » et trouve en lui ses origines archétypales. La
84 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
136 ment codifiée, longuement invétérée) qui forme le climat des milieux bien-pensants dans le peuple et la bourgeoisie, catholiqu
85 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
137 araison de deux œuvres à ce point inégales par le climat et l’ambition. Ulrich von X converse avec sa sœur Agathe, dont il sen
86 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
138 e l’âme et de son ange. Pour situer dans son vrai climat spirituel le personnalisme essentiel de ces doctrines109, citons ce v
139 emprunté par Wagner à Schopenhauer — participe du climat spirituel « iranien » et trouve en lui ses origines archétypales. La
87 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
140 ment codifiée, longuement invétérée) qui forme le climat des milieux bien-pensants dans le peuple et la bourgeoisie, catholiqu
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
141 ilisation de se développer. Suit une théorie des climats , qui rappelle l’école d’Hippocrate et qui fera fortune jusqu’au xixe
142 turelle, leur manque de ports, la rigueur de leur climat ou telle autre cause rendaient presque inhabitables, sont parvenus à
143 abitable, là où le sol de l’Europe est uni et son climat tempéré, la nature semble avoir tout fait pour hâter les progrès de l
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
144 e dirigés les Scythes qui vivent hors le septième climat , ils subissent une grande inégalité de jours et de nuits, et ils supp
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
145 nt de zone tempérée ; et les lieux situés dans un climat très-froid y touchent immédiatement ceux qui sont dans un climat très
146 id y touchent immédiatement ceux qui sont dans un climat très-chaud, c’est-à-dire la Turquie, la Perse, le Mogol, la Chine, la
147 st très-étendue, quoiqu’elle soit située dans des climats très-différents entre eux, n’y ayant point de rapport entre les clima
148 s entre eux, n’y ayant point de rapport entre les climats d’Espagne et d’Italie, et ceux de Norwège et de Suède. Mais, comme le
149 e, et ceux de Norwège et de Suède. Mais, comme le climat y devient insensiblement froid en allant du midi au nord, à peu près
150 Bothnie tout était sauvage ; les habitants de ces climats vivaient, comme les Tartares ont toujours vécu, dans l’ignorance, dan
151 jointe aux besoins du luxe et à la diversité des climats , rend les uns toujours nécessaires aux autres. Toutes ces causes réun
152 re ont gagné quelque chose. Tout ce qu’on dit des climats est une bêtise, un non causa pro causa, erreur la plus commune de la
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
153 d’hommes industrieux, qui iront chercher dans ces climats heureux l’aisance qui les fuyait dans leur patrie. La liberté les y r
154 de jouissances appelait les richesses de tous les climats , et l’on voyait s’échanger la pourpre de Tyr pour le fil précieux de
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
155 moindre rapport avec l’ancien. Si tant est que le climat , la nature du sol, les voisins immédiats, la situation géographique f
156 venté cette religion de la cruauté conforme à son climat , il aurait envahi l’Europe à la force de l’épée, y implantant ses mœu
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
157 er dans la différence d’un peuple à un autre : le climat , l’aspect de la nature, la langue, le gouvernement, enfin surtout les
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
158 vue de la situation géographique que de celui du climat ou de la race. Ce fait apparaît clairement si on considère sa structu
95 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
159 nt simplement parce qu’ici un autre sol, un autre climat (celui de la liberté et de la diversité), tout un monde déchiqueté d’
160 conditions qui font naître des races liées par le climat et les mœurs, et qui s’affranchissent chaque jour davantage de tout m
96 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
161 ant. Elle est assez grande pour contenir tous les climats  ; assez diverse pour présenter les cultures et les terrains les plus
97 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
162 ns encore, en Suisse romande, aux antipodes de ce climat d’excitation intellectuelle et artistique. Nos habitudes utilitaires,
98 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour un Dialogue des cultures [Note liminaire] (avril 1962)
163 oule actuellement sur tous les continents dans le climat très favorable qu’ont créé les journées de septembre à Genève. br.
99 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
164 leurs créations. L’appel, c’était l’attrait d’un climat , en prenant ce terme dans son sens le plus large : climat physique, c
165 en prenant ce terme dans son sens le plus large : climat physique, climat intellectuel, génie du lieu, rassemblement de forces
166 me dans son sens le plus large : climat physique, climat intellectuel, génie du lieu, rassemblement de forces diverses, équili
167 qu’une métropole, cela consiste en un attrait, un climat , et des ressources économiques, dont la combinaison assure la product
168 naison assure la production et le rayonnement. Le climat , il existe ici, on l’a décrit hier. Il est heureux, il est dense, il
100 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
169 utés bien distinctes et solidement enracinées, le climat tempéré, dans le centre du moins, permettant une économie d’énergies
170 s par le fait que les Asiatiques vivaient dans un climat trop égal, tandis qu’en Europe, dit-il, « les passages rapides d’un e
171 contraire cette même supériorité des Européens au climat tempéré qui — je le cite — « semble avoir tout fait pour hâter les pr
172 . Voilà donc l’importance de la géographie et du climat minimisée, presque niée. Serait-ce alors à la démographie qu’il faudr