1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen. On ne me permet pas d’entrer.
3 pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen. On ne me permet pas d’entrer.
5 pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
4 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
6 dernière liste des promotions, André Gide passant colonel honoraire, Vaillant tambour-major et Nizan sergent recruteur. Le suje
5 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
7 ue. À vrai dire, on ne voit guère à droite que ce colonel . Que veut-il ? Un petit volume paru l’hiver dernier, Service public,
8 ne voit pas qui aurait le pouvoir de désarmer un colonel en civil, qui affirme au surplus n’avoir aucune espèce d’intention qu
6 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
9 qui se trompe — pour les fascismes étrangers. Le Colonel et son ami Doriot viennent fermer ce cercle vicieux. Trouvera-t-on le
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)
10 ges retiendront particulièrement l’attention : le colonel Maercker, fondateur des fameux corps francs qui réduisirent les révol
8 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
11 aits d’un récent discours prononcé à Berne par un colonel , devant un grand public, montre l’état d’esprit actuel de la Suisse.
9 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
12 sans limites des nations. C’était trop simple. Un colonel de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la mort
13 , bref que je suis un « élément de désordre ». Ce colonel m’a donné une idée. En reposant sa lettre je me suis écrié : « Viveme
14 Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le colonel . Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses preuves sou
15 e mordant de l’infanterie ou la bravoure de votre colonel . Il n’aura pas d’adversaires à combattre à 2000 kilomètres à la ronde
10 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
16 ’article paru ce matin dans la Gazette ? Oui, mon colonel . — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon c
17 dé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon colonel . — Pourquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le
18 Sur ma table une note me priant de passer chez le colonel . — Bonjour, mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis : c’est donc si grave
11 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
19 coup d’État qu’il faut prévoir sera fait par les colonels . Il serait vain d’essayer de le qualifier d’avance en termes européen
12 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
20 sans limites des nations. C’était trop simple. Un colonel de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la mort
21 nnes, pour vous prouver que je n’invente pas.) Ce colonel m’a donné une idée. En reposant sa lettre je me suis écrié : « Viveme
13 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
22 . Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le colonel . Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses preuves sou
23 e mordant de l’infanterie ou la bravoure de votre colonel . (Il n’aura pas d’adversaires à combattre à 2000 km à la ronde, sauf
14 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
24 guments sur les nations, la paix, la Bombe, et le colonel , procèdent d’un esprit subversif, imbu de paradoxes et vaguement diab
25 poste.) Et tous en chœur proclament, comme votre colonel , qu’il est « inopportun et même prématuré de clamer que les armées on
26 dres. Voilà pourquoi, si je crie « au loup ! » le colonel me traite d’élément de désordre, et pense que l’argument suffit. Pour
15 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
27 n fait pas de secret, mais ne la publiez pas : le colonel dirait encore que c’est « au moins prématuré ». Voilà. Le gouvernemen
16 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
28 sans limites des nations. C’était trop simple. Un colonel de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la mort
29 nnes, pour vous prouver que je n’invente pas.) Ce colonel m’a donné une idée. En reposant sa lettre je me suis écrié : « Viveme
17 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
30 . Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le colonel . Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses preuves sou
31 e mordant de l’infanterie ou la bravoure de votre colonel . (Il n’aura pas d’adversaires à combattre à deux-mille kilomètres à l
18 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
32 guments sur les nations, la paix, la Bombe, et le colonel , procèdent d’un esprit subversif, imbu de paradoxes, vaguement diabol
33 poste.) Et tous en chœur proclament, comme votre colonel , qu’il est « inopportun et même prématuré de clamer que les armées on
34 s cadres. Voilà pourquoi, si je crie au loup ! le colonel me traite d’élément de désordre, et pense que l’argument suffit. Pour
19 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
35 n fait pas de secret, mais ne la publiez pas : le colonel dirait encore que c’est « au moins prématuré ». Voilà. Le gouvernemen
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
36 ison couverte de roses grimpantes. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen. On ne me permet pas d’entrer.
37 pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
38 -là pour me demander de céder mon tour à un jeune colonel qui venait de lui donner un livre « urgent » intitulé La France et so
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
39 e, 2 décembre 1939 Rapport, dès mon retour, au colonel Masson, chef du SR de l’armée suisse. Non, ce n’est pas une zone, mai
40 icle paru ce matin dans la Gazette  ? — Oui, mon colonel . — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon co
41 ndé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon colonel . — Pourquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le
42 ur ma table, une note me priant de passer chez le colonel . — Bonjour, mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis : « C’est donc si grav
43 leuré. Quelle délivrance ! 20 juin 1940 Mon colonel se présente à la porte de notre petite maison du Gurten. Je prends la
44 e petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon colonel  ! J’ai toujours été partisan des vacances payées. Je vous remercie. —
45 s vacances payées. Je vous remercie. — Repos ! Le colonel a bien voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie.  
46 rs furieux après vous ! » m’a dit hier encore mon colonel , un Bernois. Mais quoi ! D’une part, le Général ne saura pas que le t
47 s l’armée viennent d’être arrêtés, sur l’ordre du colonel Labhardt, commandant l’unité d’armée de Sargans. Ils avaient essayé d
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
48 coup d’État qu’il faut prévoir sera fait par les colonels . Il serait vain d’essayer de le qualifier d’avance en termes européen
24 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
49 ité d’armée suisse n’est pas appelé général, mais colonel commandant de corps (ou de division, ou de brigade) ; que le général
25 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
50 proprement dite, et que les généraux sont appelés colonels  : le tempérament suisse est nettement réfractaire à l’inflation des t
26 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
51 ttres cravachantes qu’envoient aux rédactions des colonels en retraite. Refoulée du domaine des forces réelles et des pouvoirs c
27 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
52 ttres cravachantes qu’envoient aux rédactions des colonels en retraite. Refoulée du domaine des forces réelles et des pouvoirs c
28 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
53 en effet… Non-ingérence En juin dernier, le colonel Nasser condamnait aux travaux forcés soixante chefs du PC d’Égypte, p
29 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
54 Que la schizophrénie est une sagesse. Et que les colonels sont des économistes. Je déplore d’avoir l’air de jongler avec les mo
30 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
55 se. Un jour, dans notre classe de « théorie », le colonel entre à grands pas, nous prenons le garde-à-vous, il dit : « Repos, a
56 est maladroit, ce n’est rien qui vaille. Alors le colonel nous arrêtant d’un geste sec déclare : « Je vais vous le dire. L’éner
57 it le lendemain : une marche de 80 kilomètres. Ce colonel avait raison. L’énergie est quelque chose qui sommeille non pas seule
31 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
58 e allemand et sur le pacifisme actuel de certains colonels français, erreur sur l’Europe et sa situation dans le monde présent,
32 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
59 tement. Cet éclat réussit. On l’introduit chez un colonel , et la scène de Lemberg se reproduit. Retinger déclare en français qu
60 ur le passeport… Après beaucoup d’hésitations, le Colonel se résout à signer un papier autorisant son porteur à se rendre en Su
33 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
61 one. On va me parler de l’E.-M. du Général. — Ici colonel Masson. C’est bien vous qui avez écrit l’article paru ce matin dans l
62 ticle paru ce matin dans la Gazette  ? — Oui, mon colonel . — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon co
63 ndé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon colonel . — Pourquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le
64 ur ma table, une note me priant de passer chez le colonel , chef de la Ve Section. — Bonjour mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis 
34 1962, Articles divers (1957-1962). La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)
65 petites choses précises à faire. 20 juin 1940 Mon colonel se présente à la porte de notre petite maison du Gurten. Je prends la
66 e petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon colonel  ! J’ai toujours été partisan des vacances payées. Je vous remercie. —
67 s vacances payées. Je vous remercie. — Repos ! Le colonel a bien voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie. 22
35 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
68 rs furieux après vous ! » m’a dit hier encore mon colonel , un Bernois. Mais quoi ! D’une part, le général ne saura pas que le t
69 s l’armée viennent d’être arrêtés, sur l’ordre du colonel Labhardt, commandant l’unité d’armée de Sargans. Ils avaient essayé d
36 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
70 ite pour favoriser mes dispositions du moment. Le colonel de P. cachait sous des manies, qui le faisaient passer pour un origin
71 es manies », disait-on à mi-voix quand passait le colonel , toujours suivi d’un grand chien blanc. On répétait qu’une troupe mod
72 ervaient à rien… Pour ma part, j’observais que le colonel prenait grand soin de ne pas les justifier, malgré la sourde résistan
73 ère à frapper nos imaginations. C’est pourquoi le colonel de P. nous laissait faire de sa « Grande course » un mythe, avec tout
74 ne file à gauche, une file à droite — notre vieux colonel en tête, maigre silhouette aux jambes de cavalier serrées dans ses ba
75 gues tables de sapin. « Fatigués ? » — « Non, mon colonel . » Pour être à peu près unanime, la réponse n’en était pas moins sinc
76 és, tout équipés. Un camarade m’a réveillé : — Le colonel demande des volontaires pour une patrouille. Il faut aller reconnaîtr
77 . Cinq ou six d’entre nous allèrent s’annoncer au colonel , qui buvait du café au restaurant. — « Je vous remercie, nous dit-il
37 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
78 emier président de cet Institut, le professeur et colonel Claude DuPasquier. Il n’a pas hésité à me demander, à moi qui n’avais
38 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
79 s officiers, les régiments portant le nom de leur colonel . Les premiers souverains alliés furent les rois de France. Le régimen
39 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
80 ion, d’un corps d’armée, ne porte que le grade de colonel  ; celui de général n’étant décerné qu’en cas de guerre, et au seul co
81 nt apprendre à lui répondre : « À vos ordres, mon colonel divisionnaire ! » ou : « Oui, mon colonel commandant de corps ! » ce
82 es, mon colonel divisionnaire ! » ou : « Oui, mon colonel commandant de corps ! » ce qui est d’un effet singulier. De même, jus
83 arder les vaches. Ils lui demandèrent alors si le colonel Guillaume Fröhlich, commandant des Suisses au service de la France, n
84 , et il répondit que non. Interrogé ensuite si le colonel Pfyffer l’était, il répliqua : « Les Pfyffer ne sont pas nobles ; ils
40 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
85 que militaire français C. Rougeron écrivait : Le colonel de Montmollin, chef de l’état-major helvétique, vient d’exposer un pl
86 un plan que l’on aurait tort de négliger, car ce colonel est aujourd’hui de beaucoup celui qui peut réunir le plus rapidement,
41 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
87 ise de tout le mouvement, et Georges Rebattet (le Colonel Cheval de la Résistance). À propos de je ne sais plus quoi, Gilson ay
42 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
88 ent pour continuer l’œuvre du Congrès ». Le jeune colonel d’aviation Cheshire, du Réarmement moral, exige d’abord un retour à D
43 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
89 les modules spatiaux ? Pas des savants, mais des colonels . Et ils font cela en service commandé : au service de l’armée américa
90 expédition qui a bien réussi, ils étaient partis colonels et ils deviennent généraux. On pourrait dire que tout ce qu’ils ont é
91 peuvent dire que ce sont eux qui transforment ces colonels en projectiles à têtes chercheuses. Les savants pourraient dire — et
44 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
92 tez en danger la sécurité de la Suisse, me dit ce colonel , mais j’ai aimé votre article. » Plus tard, le Conseil fédéral jugea
45 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
93 ats, du royaume saoudien, et de la dictature d’un colonel libyen, mahométan de l’espèce intégriste (on sait que les colonels « 
94 mahométan de l’espèce intégriste (on sait que les colonels « chrétiens » sont seuls « fascistes », les autres sont « anti-impéri
95 les émirs pétroliers, le roi de droit divin et le colonel de gauche qui déclare au journal Le Monde qu’il peut « détruire l’éco
46 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
96 ’officier, vous voyez que ce n’est pas d’hier, le colonel divisionnaire Borel, officier très brillant qui allait faire pas mal
47 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
97 mon idée. Le mercredi soir, Georges Rebattet (le Colonel Cheval de la Résistance) m’apporte le texte de mon Message aux Europ
48 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)
98 x, une zone d’États intermédiaires, la Pologne du colonel Beck, la Tchécoslovaquie de Beneš, la Hongrie de l’amiral Horthy et l
49 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
99 droit de faire. Cela m’a été annoncé par un gros colonel bernois, qui est venu chez moi — j’avais loué une petite maison sur l
100 vations à présenter ? » J’ai répondu : « Non, mon colonel , aucune, j’ai toujours été pour les vacances payées. » Après cette in
101 car je viens de recevoir un manuscrit d’un jeune colonel français. Il s’agit d’un livre qui s’appelle La France et son armée. 
102 La France et son armée. » L’auteur s’appelait le colonel de Gaulle. Alors j’ai répondu par une lettre un peu humoristique, dis