1
pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du
colonel
en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
2
maison couverte de roses Crimson. Le père est un
colonel
en retraite qui déteste les Franzosen. On ne me permet pas d’entrer.
3
pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du
colonel
en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
4
maison couverte de roses Crimson. Le père est un
colonel
en retraite qui déteste les Franzosen. On ne me permet pas d’entrer.
5
pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du
colonel
en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
6
dernière liste des promotions, André Gide passant
colonel
honoraire, Vaillant tambour-major et Nizan sergent recruteur. Le suje
7
ue. À vrai dire, on ne voit guère à droite que ce
colonel
. Que veut-il ? Un petit volume paru l’hiver dernier, Service public,
8
ne voit pas qui aurait le pouvoir de désarmer un
colonel
en civil, qui affirme au surplus n’avoir aucune espèce d’intention qu
9
qui se trompe — pour les fascismes étrangers. Le
Colonel
et son ami Doriot viennent fermer ce cercle vicieux. Trouvera-t-on le
10
ges retiendront particulièrement l’attention : le
colonel
Maercker, fondateur des fameux corps francs qui réduisirent les révol
11
aits d’un récent discours prononcé à Berne par un
colonel
, devant un grand public, montre l’état d’esprit actuel de la Suisse.
12
sans limites des nations. C’était trop simple. Un
colonel
de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la mort
13
, bref que je suis un « élément de désordre ». Ce
colonel
m’a donné une idée. En reposant sa lettre je me suis écrié : « Viveme
14
Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le
colonel
. Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses preuves sou
15
e mordant de l’infanterie ou la bravoure de votre
colonel
. Il n’aura pas d’adversaires à combattre à 2000 kilomètres à la ronde
16
’article paru ce matin dans la Gazette ? Oui, mon
colonel
. — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon c
17
dé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon
colonel
. — Pourquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le
18
Sur ma table une note me priant de passer chez le
colonel
. — Bonjour, mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis : c’est donc si grave
19
coup d’État qu’il faut prévoir sera fait par les
colonels
. Il serait vain d’essayer de le qualifier d’avance en termes européen
20
sans limites des nations. C’était trop simple. Un
colonel
de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la mort
21
nnes, pour vous prouver que je n’invente pas.) Ce
colonel
m’a donné une idée. En reposant sa lettre je me suis écrié : « Viveme
22
. Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le
colonel
. Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses preuves sou
23
e mordant de l’infanterie ou la bravoure de votre
colonel
. (Il n’aura pas d’adversaires à combattre à 2000 km à la ronde, sauf
24
guments sur les nations, la paix, la Bombe, et le
colonel
, procèdent d’un esprit subversif, imbu de paradoxes et vaguement diab
25
poste.) Et tous en chœur proclament, comme votre
colonel
, qu’il est « inopportun et même prématuré de clamer que les armées on
26
dres. Voilà pourquoi, si je crie « au loup ! » le
colonel
me traite d’élément de désordre, et pense que l’argument suffit. Pour
27
n fait pas de secret, mais ne la publiez pas : le
colonel
dirait encore que c’est « au moins prématuré ». Voilà. Le gouvernemen
28
sans limites des nations. C’était trop simple. Un
colonel
de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la mort
29
nnes, pour vous prouver que je n’invente pas.) Ce
colonel
m’a donné une idée. En reposant sa lettre je me suis écrié : « Viveme
30
. Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le
colonel
. Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses preuves sou
31
e mordant de l’infanterie ou la bravoure de votre
colonel
. (Il n’aura pas d’adversaires à combattre à deux-mille kilomètres à l
32
guments sur les nations, la paix, la Bombe, et le
colonel
, procèdent d’un esprit subversif, imbu de paradoxes, vaguement diabol
33
poste.) Et tous en chœur proclament, comme votre
colonel
, qu’il est « inopportun et même prématuré de clamer que les armées on
34
s cadres. Voilà pourquoi, si je crie au loup ! le
colonel
me traite d’élément de désordre, et pense que l’argument suffit. Pour
35
n fait pas de secret, mais ne la publiez pas : le
colonel
dirait encore que c’est « au moins prématuré ». Voilà. Le gouvernemen
36
ison couverte de roses grimpantes. Le père est un
colonel
en retraite qui déteste les Franzosen. On ne me permet pas d’entrer.
37
pe et mon chien qui bougonne. La petite maison du
colonel
en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sau
38
-là pour me demander de céder mon tour à un jeune
colonel
qui venait de lui donner un livre « urgent » intitulé La France et so
39
e, 2 décembre 1939 Rapport, dès mon retour, au
colonel
Masson, chef du SR de l’armée suisse. Non, ce n’est pas une zone, mai
40
icle paru ce matin dans la Gazette ? — Oui, mon
colonel
. — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon co
41
ndé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon
colonel
. — Pourquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le
42
ur ma table, une note me priant de passer chez le
colonel
. — Bonjour, mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis : « C’est donc si grav
43
leuré. Quelle délivrance ! 20 juin 1940 Mon
colonel
se présente à la porte de notre petite maison du Gurten. Je prends la
44
e petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon
colonel
! J’ai toujours été partisan des vacances payées. Je vous remercie. —
45
s vacances payées. Je vous remercie. — Repos ! Le
colonel
a bien voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie.
46
rs furieux après vous ! » m’a dit hier encore mon
colonel
, un Bernois. Mais quoi ! D’une part, le Général ne saura pas que le t
47
s l’armée viennent d’être arrêtés, sur l’ordre du
colonel
Labhardt, commandant l’unité d’armée de Sargans. Ils avaient essayé d
48
coup d’État qu’il faut prévoir sera fait par les
colonels
. Il serait vain d’essayer de le qualifier d’avance en termes européen
49
ité d’armée suisse n’est pas appelé général, mais
colonel
commandant de corps (ou de division, ou de brigade) ; que le général
50
proprement dite, et que les généraux sont appelés
colonels
: le tempérament suisse est nettement réfractaire à l’inflation des t
51
ttres cravachantes qu’envoient aux rédactions des
colonels
en retraite. Refoulée du domaine des forces réelles et des pouvoirs c
52
ttres cravachantes qu’envoient aux rédactions des
colonels
en retraite. Refoulée du domaine des forces réelles et des pouvoirs c
53
en effet… Non-ingérence En juin dernier, le
colonel
Nasser condamnait aux travaux forcés soixante chefs du PC d’Égypte, p
54
Que la schizophrénie est une sagesse. Et que les
colonels
sont des économistes. Je déplore d’avoir l’air de jongler avec les mo
55
se. Un jour, dans notre classe de « théorie », le
colonel
entre à grands pas, nous prenons le garde-à-vous, il dit : « Repos, a
56
est maladroit, ce n’est rien qui vaille. Alors le
colonel
nous arrêtant d’un geste sec déclare : « Je vais vous le dire. L’éner
57
it le lendemain : une marche de 80 kilomètres. Ce
colonel
avait raison. L’énergie est quelque chose qui sommeille non pas seule
58
e allemand et sur le pacifisme actuel de certains
colonels
français, erreur sur l’Europe et sa situation dans le monde présent,
59
tement. Cet éclat réussit. On l’introduit chez un
colonel
, et la scène de Lemberg se reproduit. Retinger déclare en français qu
60
ur le passeport… Après beaucoup d’hésitations, le
Colonel
se résout à signer un papier autorisant son porteur à se rendre en Su
61
one. On va me parler de l’E.-M. du Général. — Ici
colonel
Masson. C’est bien vous qui avez écrit l’article paru ce matin dans l
62
ticle paru ce matin dans la Gazette ? — Oui, mon
colonel
. — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon co
63
ndé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon
colonel
. — Pourquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le
64
ur ma table, une note me priant de passer chez le
colonel
, chef de la Ve Section. — Bonjour mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis
65
petites choses précises à faire. 20 juin 1940 Mon
colonel
se présente à la porte de notre petite maison du Gurten. Je prends la
66
e petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon
colonel
! J’ai toujours été partisan des vacances payées. Je vous remercie. —
67
s vacances payées. Je vous remercie. — Repos ! Le
colonel
a bien voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie. 22
68
rs furieux après vous ! » m’a dit hier encore mon
colonel
, un Bernois. Mais quoi ! D’une part, le général ne saura pas que le t
69
s l’armée viennent d’être arrêtés, sur l’ordre du
colonel
Labhardt, commandant l’unité d’armée de Sargans. Ils avaient essayé d
70
ite pour favoriser mes dispositions du moment. Le
colonel
de P. cachait sous des manies, qui le faisaient passer pour un origin
71
es manies », disait-on à mi-voix quand passait le
colonel
, toujours suivi d’un grand chien blanc. On répétait qu’une troupe mod
72
ervaient à rien… Pour ma part, j’observais que le
colonel
prenait grand soin de ne pas les justifier, malgré la sourde résistan
73
ère à frapper nos imaginations. C’est pourquoi le
colonel
de P. nous laissait faire de sa « Grande course » un mythe, avec tout
74
ne file à gauche, une file à droite — notre vieux
colonel
en tête, maigre silhouette aux jambes de cavalier serrées dans ses ba
75
gues tables de sapin. « Fatigués ? » — « Non, mon
colonel
. » Pour être à peu près unanime, la réponse n’en était pas moins sinc
76
és, tout équipés. Un camarade m’a réveillé : — Le
colonel
demande des volontaires pour une patrouille. Il faut aller reconnaîtr
77
. Cinq ou six d’entre nous allèrent s’annoncer au
colonel
, qui buvait du café au restaurant. — « Je vous remercie, nous dit-il
78
emier président de cet Institut, le professeur et
colonel
Claude DuPasquier. Il n’a pas hésité à me demander, à moi qui n’avais
79
s officiers, les régiments portant le nom de leur
colonel
. Les premiers souverains alliés furent les rois de France. Le régimen
80
ion, d’un corps d’armée, ne porte que le grade de
colonel
; celui de général n’étant décerné qu’en cas de guerre, et au seul co
81
nt apprendre à lui répondre : « À vos ordres, mon
colonel
divisionnaire ! » ou : « Oui, mon colonel commandant de corps ! » ce
82
es, mon colonel divisionnaire ! » ou : « Oui, mon
colonel
commandant de corps ! » ce qui est d’un effet singulier. De même, jus
83
arder les vaches. Ils lui demandèrent alors si le
colonel
Guillaume Fröhlich, commandant des Suisses au service de la France, n
84
, et il répondit que non. Interrogé ensuite si le
colonel
Pfyffer l’était, il répliqua : « Les Pfyffer ne sont pas nobles ; ils
85
que militaire français C. Rougeron écrivait : Le
colonel
de Montmollin, chef de l’état-major helvétique, vient d’exposer un pl
86
un plan que l’on aurait tort de négliger, car ce
colonel
est aujourd’hui de beaucoup celui qui peut réunir le plus rapidement,
87
ise de tout le mouvement, et Georges Rebattet (le
Colonel
Cheval de la Résistance). À propos de je ne sais plus quoi, Gilson ay
88
ent pour continuer l’œuvre du Congrès ». Le jeune
colonel
d’aviation Cheshire, du Réarmement moral, exige d’abord un retour à D
89
les modules spatiaux ? Pas des savants, mais des
colonels
. Et ils font cela en service commandé : au service de l’armée américa
90
expédition qui a bien réussi, ils étaient partis
colonels
et ils deviennent généraux. On pourrait dire que tout ce qu’ils ont é
91
peuvent dire que ce sont eux qui transforment ces
colonels
en projectiles à têtes chercheuses. Les savants pourraient dire — et
92
tez en danger la sécurité de la Suisse, me dit ce
colonel
, mais j’ai aimé votre article. » Plus tard, le Conseil fédéral jugea
93
ats, du royaume saoudien, et de la dictature d’un
colonel
libyen, mahométan de l’espèce intégriste (on sait que les colonels «
94
mahométan de l’espèce intégriste (on sait que les
colonels
« chrétiens » sont seuls « fascistes », les autres sont « anti-impéri
95
les émirs pétroliers, le roi de droit divin et le
colonel
de gauche qui déclare au journal Le Monde qu’il peut « détruire l’éco
96
’officier, vous voyez que ce n’est pas d’hier, le
colonel
divisionnaire Borel, officier très brillant qui allait faire pas mal
97
mon idée. Le mercredi soir, Georges Rebattet (le
Colonel
Cheval de la Résistance) m’apporte le texte de mon Message aux Europ
98
x, une zone d’États intermédiaires, la Pologne du
colonel
Beck, la Tchécoslovaquie de Beneš, la Hongrie de l’amiral Horthy et l
99
droit de faire. Cela m’a été annoncé par un gros
colonel
bernois, qui est venu chez moi — j’avais loué une petite maison sur l
100
vations à présenter ? » J’ai répondu : « Non, mon
colonel
, aucune, j’ai toujours été pour les vacances payées. » Après cette in
101
car je viens de recevoir un manuscrit d’un jeune
colonel
français. Il s’agit d’un livre qui s’appelle La France et son armée.
102
La France et son armée. » L’auteur s’appelait le
colonel
de Gaulle. Alors j’ai répondu par une lettre un peu humoristique, dis