1
fait lever la haine ». « La faiblesse est mère du
combat
. » C’est donc à un lacédémonisme renouvelé que nous conduirait cette
2
profond, une attirance aussi d’anciennes folies…
Combat
, oscillations silencieuses dans ma demi-conscience. Joie, dégoût, lue
3
parce que ça se vend mieux. Ce récit des premiers
combats
de taureaux du jeune Montherlant est en réalité un nouveau tome de se
4
e le meilleur ; mais l’émulation, l’atmosphère de
combat
nécessaire au développement de certains jeunes tempéraments leur fait
5
cilité même est une réussite. Léon Bopp, c’est le
combat
d’un tempérament avec l’esprit de géométrie. Un scientisme assez inso
6
omphe est facile. C’est le technicien parfait qui
combat
les techniciens imparfaits. Il ne se demande jamais si la technique m
7
compte du réel ne signifie pas s’y soumettre sans
combat
. L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun état de choses. Il es
8
compte du réel ne signifie pas s’y soumettre sans
combat
. L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun état des choses. Il e
9
moins artificielle que le lâche idéalisme qu’elle
combat
avec raison ? D’ailleurs, si je vois bien que le propos de M. Nizan n
10
ommes plus, n’appartenant plus à la mort, mais au
combat
de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. La neurasthénie b
11
t saine, c’est-à-dire : d’abord spirituelle. « Le
combat
spirituel est aussi dur que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud. Ma
12
te à se risquer en faveur des hommes, un acte, un
combat
. Fin de l’esprit désintéressé, cela signifierait pour les clercs, sel
13
, la force et la joie d’envisager la vie comme un
combat
perpétuel dont l’enjeu est à chaque instant total, éternel et urgent.
14
rinales exposées ici par des membres d’Esprit, de
Combat
, de L’Ordre nouveau ou de Réaction, pour n’être pas entièrement origi
15
des vues parfois proches de celles d’Esprit ou de
Combat
, il réduit l’aventure humaine à un déroulement indéfini de changement
16
faits, demain, seront pour nous. L’Ordre nouveau,
Combat
, Esprit, travaillent dans la ligne des forces révolutionnaires profon
17
comme celles, je le crois, de L’Ordre nouveau, de
Combat
ou d’Esprit) c’est une violence spirituelle qui existe déjà au-delà d
18
ti, saboté. Des groupes tels que L’Ordre nouveau,
Combat
, Esprit, Plans, Réaction, par leur volonté proclamée de rupture, et p
19
tel démon qu’il nous délègue de temps à autre. Le
combat
que nous devrons peut-être engager militairement contre l’un de ces p
20
irement contre l’un de ces petits personnages, ce
combat
, si « total » qu’il soit, ne saurait figurer pour nous qu’un exercice
21
e première escarmouche, un entraînement pour le «
combat
final » où le Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en per
22
surpris de trouver dans le quotidien politique de
combat
ou dans les revues berlinoises les plus « avancées » des professions
23
osé. Voici donc en quelques mots nos positions de
combat
: 1° « Sans théorie révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire. On
24
est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle
combat
, parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes,
25
nous dresse pour une réponse. La plénitude est un
combat
d’amour. Mais aimer ? C’est d’abord répondre, — c’est en même temps e
26
e stérile, et dont l’absurdité tragique évoque ce
combat
d’aveugles peint par un primitif flamand. L’humanité pâtit à tous les
27
pour être moins bruyant et moins démagogique, le
combat
qu’ils mènent est beaucoup plus radical au sens étymologique du terme
28
tiation au réalisme enfin total, qui est celui du
combat
personnel ; initiation à la vision constituante de notre vie, celle q
29
uer ensemble devant Rio de Janeiro, au cours d’un
combat
acharné contre une section des troupes régulières, dont le chef n’est
30
gique de son œuvre. Leurs manières de décrire des
combats
où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite sur son sort,
31
des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce
combat
mauvais, et porter ailleurs leur violence. Ou plus exactement encore,
32
elligence, passant outre à son dégoût, accepte le
combat
tel qu’il lui est offert, elle court le risque de s’y dégrader. J’ai
33
serait la négation de leurs principales thèses de
combat
actuelles, fondées sur le déterminisme. Si le mot « spirituel » signi
34
latifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il
combat
. Bien plus, il sait que l’affaire est réglée ; j’ajoute qu’il ne le s
35
ée ; j’ajoute qu’il ne le sait qu’au plus fort du
combat
, une fois tous les risques endossés. Voilà son paradoxe et l’humour d
36
ous les voyons préconiser les mêmes formations de
combat
, exciter des passions sans rapport aux idéaux qu’il s’agit d’imposer
37
hacune pour son compte, de postes définis.) Le
combat
singulier La troupe d’assaut reste l’expression adéquate d’une mét
38
ux anciens ordres de chevalerie. Son honneur : le
combat
singulier. C’est-à-dire la conquête des hommes, un à un. L’aide appor
39
pour être moins bruyant et moins démagogique, le
combat
qu’ils mènent est beaucoup plus radical au sens étymologique du terme
40
des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce
combat
mauvais, et porter ailleurs leur violence. Ou plus exactement encore,
41
elligence, passant outre à son dégoût, accepte le
combat
tel qu’il lui est offert, elle court le risque de s’y dégrader. J’ai
42
serait la négation de leurs principales thèses de
combat
actuelles, fondées sur le déterminisme. Si le mot « spirituel » signi
43
latifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il
combat
. Bien plus, il sait que l’affaire est réglée ; j’ajoute qu’il ne le s
44
ée ; j’ajoute qu’il ne le sait qu’au plus fort du
combat
, une fois tous les risques endossés. Voilà son paradoxe et l’humour d
45
ous les voyons préconiser les mêmes formations de
combat
, exciter des passions sans rapport aux idéaux qu’il s’agit d’imposer
46
hacune pour son compte, de postes définis.) Le
combat
singulier La troupe d’assaut reste l’expression adéquate d’une mét
47
ux anciens ordres de chevalerie. Son honneur : le
combat
singulier. C’est-à-dire la conquête des hommes, un à un. L’aide appor
48
pour être moins bruyant et moins démagogique, le
combat
qu’ils mènent est beaucoup plus radical au sens étymologique du terme
49
rsonnaliste. C’est le hiatus entre la tactique de
combat
avant la prise de pouvoir et les buts collectivistes du gouvernement
50
i vous aviez lu ce livre vous sauriez : 1° que je
combats
violemment la politique de l’Église (chap. 7) ; 2° que je suis protes
51
ituations extrêmes (tortures en prison, folie des
combats
à la mitrailleuse presque à bout portant, etc.), où l’homme avoue ses
52
pirituelles, dans le sens où Rimbaud a dit : « Le
combat
spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pou
53
n’est pas une “autobiographie” mais un ouvrage de
combat
, comme son nom l’indique, et sa doctrine. Autre erreur : je vois pass
54
es, n’ont plus rien de la brutalité des années de
combat
, avant 1933. Il ne s’agit pas de haine : il s’agit d’amour. Il ne s’a
55
ayante. (On a toujours beaucoup plus peur loin du
combat
qu’en pleine lutte.) Il n’ose plus intervenir en force, s’imposer à s
56
e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État
combat
la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
57
re les dictatures fascistes ressemble à un de ces
combats
d’aveugles tels qu’en organisait le Moyen Âge. Combat de malades atte
58
ts d’aveugles tels qu’en organisait le Moyen Âge.
Combat
de malades atteints du même mal : mais les uns n’en sont encore qu’au
59
ait pas été hypnotisé par les nécessités de « son
combat
»59, il eût tiré aussi les leçons négatives que comporte l’expérience
60
ous pouvons affirmer qu’une idéologie née du seul
combat
(Mein Kampf) sera forcément d’allure totalitaire. y. « Les jacobins
61
ormie jusqu’ici. Ce n’est pas renouveler de vieux
combats
qui traînent, mais déclarer une guerre nouvelle au nom d’une ambition
62
; l’idée de luxe plutôt que celle de travail, de
combat
spirituel et de puissance en marche. Pour reprendre les termes de Sor
63
ls en propriété assurée. La culture n’est plus un
combat
, elle devient une distinction ; c’est-à-dire une fin en soi, non plus
64
lois : ce sont les seules qui la provoquent à des
combats
où elle puisse vaincre, où elle puisse se recréer dans le mouvement q
65
s qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux
combats
de gladiateurs, les marquises encyclopédistes, et nos belles excitées
66
’elle les met au service de l’homme, tant qu’elle
combat
pour un idéal supérieur d’autonomie personnelle, d’invention. Raison
67
jectifs au gré des ambitions du siècle ; quand le
combat
s’apaise et quand retombent les passions, l’agressivité primitive se
68
e en ordre ; mais une fois l’idéal conquis, et le
combat
rompu, elle se dissocie fatalement, et l’ordre abstrait prenant le pa
69
e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État
combat
la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
70
sifs, tous ceux dont l’œuvre n’est pas ce lieu de
combat
sans merci où quelque chose qu’il ne peut plus fuir attaque l’auteur
71
mission d’une culture nouvelle sera d’accepter le
combat
, d’assumer les conflits vitaux, et de les résoudre en création. Voilà
72
n’est qu’un moyen de retremper nos armes pour un
combat
dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le but, c’est voir le
73
gens de gauche utilisent les mêmes formations de
combat
, partis ou ligues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service
74
est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle
combat
, parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes,
75
ormie jusqu’ici. Ce n’est pas renouveler de vieux
combats
qui traînent, mais déclarer une guerre nouvelle au nom d’une ambition
76
; l’idée de luxe plutôt que celle de travail, de
combat
spirituel et de puissance en marche. Pour reprendre les termes de Sor
77
ls en propriété assurée. La culture n’est plus un
combat
, elle devient une distinction ; c’est-à-dire une fin en soi, non plus
78
lois : ce sont les seules qui la provoquent à des
combats
où elle puisse vaincre, où elle puisse se recréer dans le mouvement q
79
s qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux
combats
de gladiateurs, les marquises encyclopédistes, et nos belles excitées
80
’elle les met au service de l’homme, tant qu’elle
combat
pour un idéal supérieur d’autonomie personnelle, d’invention. Raison
81
jectifs au gré des ambitions du siècle ; quand le
combat
s’apaise et quand retombent les passions, l’agressivité primitive se
82
e en ordre ; mais une fois l’idéal conquis, et le
combat
rompu, elle se dissocie fatalement, et l’ordre abstrait prenant le pa
83
e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État
combat
la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
84
sifs, tous ceux dont l’œuvre n’est pas ce lieu de
combat
sans merci où quelque chose qu’il ne peut plus fuir attaque l’auteur
85
mission d’une culture nouvelle sera d’accepter le
combat
, d’assumer les conflits vitaux et de les résoudre en création. Voilà
86
n’est qu’un moyen de retremper nos armes pour un
combat
dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le but, c’est voir le
87
gens de gauche utilisent les mêmes formations de
combat
, partis ou ligues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service
88
est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle
combat
, parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes,
89
ssionnelles qu’a déchaînées le conflit espagnol ?
Combats
, sinon d’aveugles, du moins de borgnes. Et les Français se contentent
90
s deux France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un
combat
indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’h
91
a. C’est au contraire (ou plutôt ce doit être) un
combat
perpétuel, exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer
92
s deux France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un
combat
indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’h
93
ai martyr n’a jamais eu recours à la violence, il
combat
à l’aide de son impuissance. Il force les hommes à être attentifs. Ah
94
de l’Argent ? Réponse de M. Denis de Rougemont »,
Combat
, Paris, n° 26, 10 juin 1938, n. p. Précédé de la note suivante : « L’
95
oyant manichéen, était l’expression dramatique du
combat
de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur non averti une «
96
velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le
combat
. On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
97
Revue des revues (septembre 1938)ao
Combat
(juin). — Un souffle révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bo
98
meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le
combat
de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
99
es, détient une signification secrète, qui est le
combat
du Jour et de la Nuit. J’espérais terminer mon livre aux alentours du
100
pirituelles, dans le sens où Rimbaud a dit : « Le
combat
spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pou
101
Kapp et la révolution en Rhénanie. Il s’engage et
combat
contre les rouges dans un corps franc. Survient l’inflation. Sa pensi
102
i seront désillusionnés, qui avaient cru mener un
combat
purement politique. Ils auront à se décider ! Certains cercles protes
103
ait pas été hypnotisé par les nécessités de « son
combat
»22, il eût tiré aussi les leçons négatives que comporte l’expérience
104
ême on peut affirmer qu’une idéologie née du seul
combat
(Mein Kampf) sera forcément d’allure totalitaire.
105
e-pensée, l’arrière-angoisse. Cette mort en plein
combat
dans l’invisible spirituel, à la veille d’un discours qui devait être
106
e tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il
combat
et tue un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré d
107
re l’amant en proie au lumineux Désir. Tel est le
combat
de l’amour sexuel et de l’Amour, et il exprime l’angoisse fondamental
108
s romans bretons, en ce sens que la part épique —
combats
et intrigues — y est réduite au minimum, tandis que le développement
109
orieuse) pour acquérir le droit de se marier : le
combat
contre le Morholt, dans Tristan, illustre exactement cette coutume, s
110
s couvents ! 42. Ici encore, D. Roché (op. cit.)
combat
l’opinion courante chez les historiens officiels, et affirme en s’app
111
de l’amour se substituant au vouloir propre. Le «
combat
» d’amour, dont il faut sortir vaincu. Le symbolisme des « châteaux »
112
i apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du
combat
spirituel et du Château intérieur. Extraordinaire retour et assompti
113
de Tristan n’est plus ici que coquetterie, et le
combat
du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre le corp
114
crit dans son Ley de Amor : « Ne pense pas que le
combat
de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas
115
épouvantable sévit des deux côtés, car l’amour ne
combat
qu’à force de caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres parole
116
i cette complicité physiologique des instincts de
combat
et de procréation ne suffisent à déterminer l’usage précis des expres
117
n’est pas seulement dans le détail des règles de
combat
individuel que se fait sentir l’action de l’idéal chevaleresque, mais
118
valiers de l’ordre de l’Étoile jurent que dans le
combat
ils ne reculeront jamais de plus de quatre arpents ; sinon ils devron
119
us. Tout chevalier qui touche l’écu s’engage à un
combat
dans les conditions décrites par les « chapitres » du pas d’armes. C’
120
ent de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le
combat
, tout maculé de son sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
121
es bannières et les cris de guerre conservent aux
combats
un caractère individuel et l’apparence d’un noble sport ». Mais dans
122
présenté par le duel et la « prouesse » (tournoi,
combat
singulier des deux chefs en présence) ; l’idée de régler les bataille
123
it Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On
combat
toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se r
124
u’humaine était aussi utile aux Français dans les
combats
que dans les sièges… » Autre sujet d’effroi pour l’Italie : tandis qu
125
t dès lors d’inévitables carnages. Et en effet au
combat
de Rappallo, tout au début de la campagne, sur les 3000 hommes engagé
126
uelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du
combat
, tout l’échiquier, le maréchal fait avancer ou reculer habilement ses
127
oyant manichéen, était l’expression dramatique du
combat
de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur une « poésie » é
128
velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le
combat
. On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
129
meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le
combat
de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
130
dire l’individualisme social et religieux. Calvin
combat
les deux tendances non point pour des raisons politiques, mais pour s
131
riste, mais centrale. Nous, de même, reprenons le
combat
contre l’esprit collectiviste, mais aussi et d’abord contre les dévia
132
et à la fin, ce soir au camp, après notre dernier
combat
. J’entends encore notre fanfare dans la nuit, écoute ! Est-ce que tu
133
it sa vengeance, et il l’en prive au plus fort du
combat
! Quatre démons (mêlés aux soldats). — Hou ! Hou ! Hou ! Mort aux
134
es plaines désirables ! Eh quoi ! Fuirez-vous les
combats
? Laisserez-vous rouiller le fer des piques ? Français. (À gauche
135
e tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il
combat
et tue un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré d
136
re l’amant en proie au lumineux Désir. Tel est le
combat
de l’amour sexuel et de l’Amour, et il exprime l’angoisse fondamental
137
s romans bretons, en ce sens que la part épique —
combats
et intrigues — y est réduite au minimum, tandis que le développement
138
orieuse) pour acquérir le droit de se marier : le
combat
contre le Morholt, dans Tristan, illustre exactement cette coutume, s
139
de l’amour se substituant au vouloir propre. Le «
combat
» d’amour, dont il faut sortir vaincu. Le symbolisme des « châteaux »
140
i apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du
combat
spirituel et du Château intérieur. Extraordinaire retour et assompt
141
de Tristan n’est plus ici que coquetterie, et le
combat
du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre le corp
142
crit dans son Ley de Amor : « Ne pense pas que le
combat
de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas
143
épouvantable sévit des deux côtés, car l’amour ne
combat
qu’à force de caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres parole
144
i cette complicité physiologique des instincts de
combat
et de procréation ne suffisent à déterminer l’usage précis des expres
145
n’est pas seulement dans le détail des règles de
combat
individuel que se fait sentir l’action de l’idéal chevaleresque, mais
146
valiers de l’ordre de l’Étoile jurent que dans le
combat
ils ne reculeront jamais de plus de quatre arpents ; sinon ils devron
147
us. Tout chevalier qui touche l’écu s’engage à un
combat
dans les conditions décrites par les chapitres du pas d’armes. C’est
148
ent de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le
combat
, tout maculé de son sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
149
es bannières et les cris de guerre conservent aux
combats
un caractère individuel et l’apparence d’un noble sport. » Mais dans
150
présenté par le duel et la « prouesse » (tournoi,
combat
singulier des deux chefs en présence) ; l’idée de régler les bataille
151
it Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On
combat
toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se r
152
u’humaine était aussi utile aux Français dans les
combats
que dans les sièges… » Autre sujet d’effroi pour l’Italie : tandis qu
153
t dès lors d’inévitables carnages. Et en effet au
combat
de Rappallo, tout au début de la campagne, sur les 3000 hommes engagé
154
uelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du
combat
, tout l’échiquier, le maréchal fait avancer ou reculer habilement ses
155
oyant manichéen, était l’expression dramatique du
combat
de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur une « poésie » é
156
velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le
combat
. On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
157
meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le
combat
de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
158
e tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il
combat
et tue un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré d
159
re l’amant en proie au lumineux Désir. Tel est le
combat
de l’amour sexuel et de l’Amour, et il exprime l’angoisse fondamental
160
s romans bretons, en ce sens que la part épique —
combats
et intrigues — y est réduite au minimum, tandis que le développement
161
orieuse) pour acquérir le droit de se marier : le
combat
contre le Morholt, dans Tristan, illustre exactement cette coutume, s
162
de l’amour se substituant au vouloir propre. Le «
combat
» d’amour, dont il faut sortir vaincu. Le symbolisme des « châteaux »
163
i apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du
combat
spirituel et du Château intérieur. » Extraordinaire retour et assompt
164
de Tristan n’est plus ici que coquetterie, et le
combat
du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre le corp
165
crit dans son Ley de Amor : « Ne pense pas que le
combat
de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas
166
épouvantable sévit des deux côtés, car l’amour ne
combat
qu’à force de caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres parole
167
i cette complicité physiologique des instincts de
combat
et de procréation ne suffisent à déterminer l’usage précis des expres
168
n’est pas seulement dans le détail des règles de
combat
individuel que se fait sentir l’action de l’idéal chevaleresque, mais
169
valiers de l’ordre de l’Étoile jurent que dans le
combat
ils ne reculeront jamais de plus de quatre arpents ; sinon ils devron
170
us. Tout chevalier qui touche l’écu s’engage à un
combat
dans les conditions décrites par les « chapitres » du pas d’armes. C’
171
ent de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le
combat
, tout maculé de son sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
172
es bannières et les cris de guerre conservent aux
combats
un caractère individuel et l’apparence d’un noble sport ». Mais dans
173
résentée par le duel et la « prouesse » (tournoi,
combat
singulier des deux chefs en présence) ; l’idée de régler les bataille
174
it Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On
combat
toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se r
175
u’humaine était aussi utile aux Français dans les
combats
que dans les sièges… ». Autre sujet d’effroi pour l’Italie : tandis q
176
t dès lors d’inévitables carnages. Et en effet au
combat
de Rapallo, tout au début de la campagne, sur les 3000 hommes engagés
177
uelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du
combat
, tout l’échiquier, le maréchal fait avancer ou reculer habilement ses
178
oyant manichéen, était l’expression dramatique du
combat
de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur une « poésie » é
179
velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le
combat
. On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
180
meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le
combat
de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
181
aix, c’est à nous d’engager sans illusion le vrai
combat
qui nous maintienne humains. Tout cela, un jeune poète de génie, Arth
182
mbaud, l’a dit d’un seul trait prophétique : « Le
combat
spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision d
183
ins ceux qui se trouveraient mieux placés dans ce
combat
, et d’être prêt à leur porter main-forte cas échéant. Car tout revien
184
tel démon qu’il nous délègue de temps à autre. Le
combat
que nous devrons peut-être engager militairement contre l’un de ces p
185
irement contre l’un de ces petits personnages, ce
combat
, si « total » qu’il soit, ne saurait figurer pour nous qu’un exercice
186
e première escarmouche, un entraînement pour le «
combat
final » où Dieu seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne
187
verrait dans la paix, là où chacun livre son vrai
combat
. 21 mai 1939 Promenade au Bois avec V. O. que j’ai été prendre chez A
188
. Notre amitié nouvelle, scellée par les premiers
combats
, est le meilleur gage d’un accord qui doit s’approfondir et s’élargir
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dire l’individualisme social et religieux. Calvin
combat
les deux tendances non point pour des raisons politiques, mais pour s
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triste, mais centrale. Nous de même, reprenons le
combat
contre l’esprit collectiviste, mais aussi et d’abord contre les dévia
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aix, c’est à nous d’engager sans illusion le vrai
combat
qui nous maintienne humains. Tout cela, un jeune poète de génie, Arth
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mbaud, l’a dit d’un seul trait prophétique : « Le
combat
spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision d
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a. C’est au contraire (ou plutôt ce doit être) un
combat
perpétuel, exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer