1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 fait lever la haine ». « La faiblesse est mère du combat . » C’est donc à un lacédémonisme renouvelé que nous conduirait cette
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 profond, une attirance aussi d’anciennes folies… Combat , oscillations silencieuses dans ma demi-conscience. Joie, dégoût, lue
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 parce que ça se vend mieux. Ce récit des premiers combats de taureaux du jeune Montherlant est en réalité un nouveau tome de se
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 e le meilleur ; mais l’émulation, l’atmosphère de combat nécessaire au développement de certains jeunes tempéraments leur fait
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
5 cilité même est une réussite. Léon Bopp, c’est le combat d’un tempérament avec l’esprit de géométrie. Un scientisme assez inso
6 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
6 omphe est facile. C’est le technicien parfait qui combat les techniciens imparfaits. Il ne se demande jamais si la technique m
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
7 compte du réel ne signifie pas s’y soumettre sans combat . L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun état de choses. Il es
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
8 compte du réel ne signifie pas s’y soumettre sans combat . L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun état des choses. Il e
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
9 moins artificielle que le lâche idéalisme qu’elle combat avec raison ? D’ailleurs, si je vois bien que le propos de M. Nizan n
10 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
10 ommes plus, n’appartenant plus à la mort, mais au combat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. La neurasthénie b
11 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
11 t saine, c’est-à-dire : d’abord spirituelle. « Le combat spirituel est aussi dur que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud. Ma
12 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
12 te à se risquer en faveur des hommes, un acte, un combat . Fin de l’esprit désintéressé, cela signifierait pour les clercs, sel
13 , la force et la joie d’envisager la vie comme un combat perpétuel dont l’enjeu est à chaque instant total, éternel et urgent.
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
14 rinales exposées ici par des membres d’Esprit, de Combat , de L’Ordre nouveau ou de Réaction, pour n’être pas entièrement origi
15 des vues parfois proches de celles d’Esprit ou de Combat , il réduit l’aventure humaine à un déroulement indéfini de changement
16 faits, demain, seront pour nous. L’Ordre nouveau, Combat , Esprit, travaillent dans la ligne des forces révolutionnaires profon
17 comme celles, je le crois, de L’Ordre nouveau, de Combat ou d’Esprit) c’est une violence spirituelle qui existe déjà au-delà d
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
18 ti, saboté. Des groupes tels que L’Ordre nouveau, Combat , Esprit, Plans, Réaction, par leur volonté proclamée de rupture, et p
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
19 tel démon qu’il nous délègue de temps à autre. Le combat que nous devrons peut-être engager militairement contre l’un de ces p
20 irement contre l’un de ces petits personnages, ce combat , si « total » qu’il soit, ne saurait figurer pour nous qu’un exercice
21 e première escarmouche, un entraînement pour le «  combat final » où le Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en per
16 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
22 surpris de trouver dans le quotidien politique de combat ou dans les revues berlinoises les plus « avancées » des professions
17 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
23 osé. Voici donc en quelques mots nos positions de combat  : 1° « Sans théorie révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire. On
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
24 est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle combat , parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes,
19 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
25 nous dresse pour une réponse. La plénitude est un combat d’amour. Mais aimer ? C’est d’abord répondre, — c’est en même temps e
26 e stérile, et dont l’absurdité tragique évoque ce combat d’aveugles peint par un primitif flamand. L’humanité pâtit à tous les
20 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
27 pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’ils mènent est beaucoup plus radical au sens étymologique du terme
21 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
28 tiation au réalisme enfin total, qui est celui du combat personnel ; initiation à la vision constituante de notre vie, celle q
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
29 uer ensemble devant Rio de Janeiro, au cours d’un combat acharné contre une section des troupes régulières, dont le chef n’est
30 gique de son œuvre. Leurs manières de décrire des combats où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite sur son sort,
23 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
31 des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce combat mauvais, et porter ailleurs leur violence. Ou plus exactement encore,
32 elligence, passant outre à son dégoût, accepte le combat tel qu’il lui est offert, elle court le risque de s’y dégrader. J’ai
24 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
33 serait la négation de leurs principales thèses de combat actuelles, fondées sur le déterminisme. Si le mot « spirituel » signi
25 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
34 latifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il combat . Bien plus, il sait que l’affaire est réglée ; j’ajoute qu’il ne le s
35 ée ; j’ajoute qu’il ne le sait qu’au plus fort du combat , une fois tous les risques endossés. Voilà son paradoxe et l’humour d
26 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
36 ous les voyons préconiser les mêmes formations de combat , exciter des passions sans rapport aux idéaux qu’il s’agit d’imposer
37 hacune pour son compte, de postes définis.) Le combat singulier La troupe d’assaut reste l’expression adéquate d’une mét
38 ux anciens ordres de chevalerie. Son honneur : le combat singulier. C’est-à-dire la conquête des hommes, un à un. L’aide appor
27 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
39 pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’ils mènent est beaucoup plus radical au sens étymologique du terme
28 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
40 des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce combat mauvais, et porter ailleurs leur violence. Ou plus exactement encore,
41 elligence, passant outre à son dégoût, accepte le combat tel qu’il lui est offert, elle court le risque de s’y dégrader. J’ai
29 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
42 serait la négation de leurs principales thèses de combat actuelles, fondées sur le déterminisme. Si le mot « spirituel » signi
30 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
43 latifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il combat . Bien plus, il sait que l’affaire est réglée ; j’ajoute qu’il ne le s
44 ée ; j’ajoute qu’il ne le sait qu’au plus fort du combat , une fois tous les risques endossés. Voilà son paradoxe et l’humour d
31 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
45 ous les voyons préconiser les mêmes formations de combat , exciter des passions sans rapport aux idéaux qu’il s’agit d’imposer
46 hacune pour son compte, de postes définis.) Le combat singulier La troupe d’assaut reste l’expression adéquate d’une mét
47 ux anciens ordres de chevalerie. Son honneur : le combat singulier. C’est-à-dire la conquête des hommes, un à un. L’aide appor
32 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
48 pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’ils mènent est beaucoup plus radical au sens étymologique du terme
33 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
49 rsonnaliste. C’est le hiatus entre la tactique de combat avant la prise de pouvoir et les buts collectivistes du gouvernement
34 1935, Articles divers (1932-1935). Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)
50 i vous aviez lu ce livre vous sauriez : 1° que je combats violemment la politique de l’Église (chap. 7) ; 2° que je suis protes
35 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
51 ituations extrêmes (tortures en prison, folie des combats à la mitrailleuse presque à bout portant, etc.), où l’homme avoue ses
36 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
52 pirituelles, dans le sens où Rimbaud a dit : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pou
37 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
53 n’est pas une “autobiographie” mais un ouvrage de combat , comme son nom l’indique, et sa doctrine. Autre erreur : je vois pass
38 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
54 es, n’ont plus rien de la brutalité des années de combat , avant 1933. Il ne s’agit pas de haine : il s’agit d’amour. Il ne s’a
39 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
55 ayante. (On a toujours beaucoup plus peur loin du combat qu’en pleine lutte.) Il n’ose plus intervenir en force, s’imposer à s
40 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
56 e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
57 re les dictatures fascistes ressemble à un de ces combats d’aveugles tels qu’en organisait le Moyen Âge. Combat de malades atte
58 ts d’aveugles tels qu’en organisait le Moyen Âge. Combat de malades atteints du même mal : mais les uns n’en sont encore qu’au
42 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
59 ait pas été hypnotisé par les nécessités de « son combat  »59, il eût tiré aussi les leçons négatives que comporte l’expérience
60 ous pouvons affirmer qu’une idéologie née du seul combat (Mein Kampf) sera forcément d’allure totalitaire. y. « Les jacobins
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
61 ormie jusqu’ici. Ce n’est pas renouveler de vieux combats qui traînent, mais déclarer une guerre nouvelle au nom d’une ambition
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
62  ; l’idée de luxe plutôt que celle de travail, de combat spirituel et de puissance en marche. Pour reprendre les termes de Sor
63 ls en propriété assurée. La culture n’est plus un combat , elle devient une distinction ; c’est-à-dire une fin en soi, non plus
45 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
64 lois : ce sont les seules qui la provoquent à des combats où elle puisse vaincre, où elle puisse se recréer dans le mouvement q
65 s qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux combats de gladiateurs, les marquises encyclopédistes, et nos belles excitées
66 ’elle les met au service de l’homme, tant qu’elle combat pour un idéal supérieur d’autonomie personnelle, d’invention. Raison
67 jectifs au gré des ambitions du siècle ; quand le combat s’apaise et quand retombent les passions, l’agressivité primitive se
68 e en ordre ; mais une fois l’idéal conquis, et le combat rompu, elle se dissocie fatalement, et l’ordre abstrait prenant le pa
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
69 e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
47 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
70 sifs, tous ceux dont l’œuvre n’est pas ce lieu de combat sans merci où quelque chose qu’il ne peut plus fuir attaque l’auteur
48 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
71 mission d’une culture nouvelle sera d’accepter le combat , d’assumer les conflits vitaux, et de les résoudre en création. Voilà
72 n’est qu’un moyen de retremper nos armes pour un combat dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le but, c’est voir le
73 gens de gauche utilisent les mêmes formations de combat , partis ou ligues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service
74 est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle combat , parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes,
49 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
75 ormie jusqu’ici. Ce n’est pas renouveler de vieux combats qui traînent, mais déclarer une guerre nouvelle au nom d’une ambition
50 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
76  ; l’idée de luxe plutôt que celle de travail, de combat spirituel et de puissance en marche. Pour reprendre les termes de Sor
77 ls en propriété assurée. La culture n’est plus un combat , elle devient une distinction ; c’est-à-dire une fin en soi, non plus
51 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
78 lois : ce sont les seules qui la provoquent à des combats où elle puisse vaincre, où elle puisse se recréer dans le mouvement q
79 s qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux combats de gladiateurs, les marquises encyclopédistes, et nos belles excitées
80 ’elle les met au service de l’homme, tant qu’elle combat pour un idéal supérieur d’autonomie personnelle, d’invention. Raison
81 jectifs au gré des ambitions du siècle ; quand le combat s’apaise et quand retombent les passions, l’agressivité primitive se
82 e en ordre ; mais une fois l’idéal conquis, et le combat rompu, elle se dissocie fatalement, et l’ordre abstrait prenant le pa
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
83 e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
53 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
84 sifs, tous ceux dont l’œuvre n’est pas ce lieu de combat sans merci où quelque chose qu’il ne peut plus fuir attaque l’auteur
54 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
85 mission d’une culture nouvelle sera d’accepter le combat , d’assumer les conflits vitaux et de les résoudre en création. Voilà
86 n’est qu’un moyen de retremper nos armes pour un combat dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le but, c’est voir le
87 gens de gauche utilisent les mêmes formations de combat , partis ou ligues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service
88 est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle combat , parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes,
55 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
89 ssionnelles qu’a déchaînées le conflit espagnol ? Combats , sinon d’aveugles, du moins de borgnes. Et les Français se contentent
56 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
90 s deux France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un combat indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’h
57 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
91 a. C’est au contraire (ou plutôt ce doit être) un combat perpétuel, exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer
58 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
92 s deux France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un combat indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’h
59 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
93 ai martyr n’a jamais eu recours à la violence, il combat à l’aide de son impuissance. Il force les hommes à être attentifs. Ah
60 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
94 de l’Argent ? Réponse de M. Denis de Rougemont », Combat , Paris, n° 26, 10 juin 1938, n. p. Précédé de la note suivante : « L’
61 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
95 oyant manichéen, était l’expression dramatique du combat de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur non averti une «
96 velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le combat . On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
62 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
97 Revue des revues (septembre 1938)ao Combat (juin). — Un souffle révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bo
63 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
98 meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le combat de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
64 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
99 es, détient une signification secrète, qui est le combat du Jour et de la Nuit. J’espérais terminer mon livre aux alentours du
65 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
100 pirituelles, dans le sens où Rimbaud a dit : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pou
101 Kapp et la révolution en Rhénanie. Il s’engage et combat contre les rouges dans un corps franc. Survient l’inflation. Sa pensi
66 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
102 i seront désillusionnés, qui avaient cru mener un combat purement politique. Ils auront à se décider ! Certains cercles protes
67 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
103 ait pas été hypnotisé par les nécessités de « son combat  »22, il eût tiré aussi les leçons négatives que comporte l’expérience
104 ême on peut affirmer qu’une idéologie née du seul combat (Mein Kampf) sera forcément d’allure totalitaire.
68 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
105 e-pensée, l’arrière-angoisse. Cette mort en plein combat dans l’invisible spirituel, à la veille d’un discours qui devait être
69 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
106 e tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et tue un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré d
70 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
107 re l’amant en proie au lumineux Désir. Tel est le combat de l’amour sexuel et de l’Amour, et il exprime l’angoisse fondamental
108 s romans bretons, en ce sens que la part épique —  combats et intrigues — y est réduite au minimum, tandis que le développement
109 orieuse) pour acquérir le droit de se marier : le combat contre le Morholt, dans Tristan, illustre exactement cette coutume, s
110 s couvents ! 42. Ici encore, D. Roché (op. cit.) combat l’opinion courante chez les historiens officiels, et affirme en s’app
71 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
111 de l’amour se substituant au vouloir propre. Le «  combat  » d’amour, dont il faut sortir vaincu. Le symbolisme des « châteaux »
112 i apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du combat spirituel et du Château intérieur. Extraordinaire retour et assompti
72 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
113 de Tristan n’est plus ici que coquetterie, et le combat du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre le corp
73 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
114 crit dans son Ley de Amor : « Ne pense pas que le combat de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas
115 épouvantable sévit des deux côtés, car l’amour ne combat qu’à force de caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres parole
116 i cette complicité physiologique des instincts de combat et de procréation ne suffisent à déterminer l’usage précis des expres
117 n’est pas seulement dans le détail des règles de combat individuel que se fait sentir l’action de l’idéal chevaleresque, mais
118 valiers de l’ordre de l’Étoile jurent que dans le combat ils ne reculeront jamais de plus de quatre arpents ; sinon ils devron
119 us. Tout chevalier qui touche l’écu s’engage à un combat dans les conditions décrites par les « chapitres » du pas d’armes. C’
120 ent de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le combat , tout maculé de son sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
121 es bannières et les cris de guerre conservent aux combats un caractère individuel et l’apparence d’un noble sport ». Mais dans
122 présenté par le duel et la « prouesse » (tournoi, combat singulier des deux chefs en présence) ; l’idée de régler les bataille
123 it Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se r
124 u’humaine était aussi utile aux Français dans les combats que dans les sièges… » Autre sujet d’effroi pour l’Italie : tandis qu
125 t dès lors d’inévitables carnages. Et en effet au combat de Rappallo, tout au début de la campagne, sur les 3000 hommes engagé
126 uelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du combat , tout l’échiquier, le maréchal fait avancer ou reculer habilement ses
74 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
127 oyant manichéen, était l’expression dramatique du combat de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur une « poésie » é
128 velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le combat . On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
75 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
129 meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le combat de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
76 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
130 dire l’individualisme social et religieux. Calvin combat les deux tendances non point pour des raisons politiques, mais pour s
131 riste, mais centrale. Nous, de même, reprenons le combat contre l’esprit collectiviste, mais aussi et d’abord contre les dévia
77 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
132 et à la fin, ce soir au camp, après notre dernier combat . J’entends encore notre fanfare dans la nuit, écoute ! Est-ce que tu
133 it sa vengeance, et il l’en prive au plus fort du combat  ! Quatre démons (mêlés aux soldats). —  Hou ! Hou ! Hou ! Mort aux
78 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
134 es plaines désirables ! Eh quoi ! Fuirez-vous les combats  ? Laisserez-vous rouiller le fer des piques ? Français. (À gauche
79 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
135 e tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et tue un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré d
80 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
136 re l’amant en proie au lumineux Désir. Tel est le combat de l’amour sexuel et de l’Amour, et il exprime l’angoisse fondamental
137 s romans bretons, en ce sens que la part épique —  combats et intrigues — y est réduite au minimum, tandis que le développement
138 orieuse) pour acquérir le droit de se marier : le combat contre le Morholt, dans Tristan, illustre exactement cette coutume, s
81 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
139 de l’amour se substituant au vouloir propre. Le «  combat  » d’amour, dont il faut sortir vaincu. Le symbolisme des « châteaux »
140 i apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du combat spirituel et du Château intérieur. Extraordinaire retour et assompt
82 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
141 de Tristan n’est plus ici que coquetterie, et le combat du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre le corp
83 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
142 crit dans son Ley de Amor : « Ne pense pas que le combat de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas
143 épouvantable sévit des deux côtés, car l’amour ne combat qu’à force de caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres parole
144 i cette complicité physiologique des instincts de combat et de procréation ne suffisent à déterminer l’usage précis des expres
145 n’est pas seulement dans le détail des règles de combat individuel que se fait sentir l’action de l’idéal chevaleresque, mais
146 valiers de l’ordre de l’Étoile jurent que dans le combat ils ne reculeront jamais de plus de quatre arpents ; sinon ils devron
147 us. Tout chevalier qui touche l’écu s’engage à un combat dans les conditions décrites par les chapitres du pas d’armes. C’est
148 ent de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le combat , tout maculé de son sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
149 es bannières et les cris de guerre conservent aux combats un caractère individuel et l’apparence d’un noble sport. » Mais dans
150 présenté par le duel et la « prouesse » (tournoi, combat singulier des deux chefs en présence) ; l’idée de régler les bataille
151 it Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se r
152 u’humaine était aussi utile aux Français dans les combats que dans les sièges… » Autre sujet d’effroi pour l’Italie : tandis qu
153 t dès lors d’inévitables carnages. Et en effet au combat de Rappallo, tout au début de la campagne, sur les 3000 hommes engagé
154 uelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du combat , tout l’échiquier, le maréchal fait avancer ou reculer habilement ses
84 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
155 oyant manichéen, était l’expression dramatique du combat de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur une « poésie » é
156 velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le combat . On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
85 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
157 meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le combat de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
86 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
158 e tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et tue un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré d
87 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
159 re l’amant en proie au lumineux Désir. Tel est le combat de l’amour sexuel et de l’Amour, et il exprime l’angoisse fondamental
160 s romans bretons, en ce sens que la part épique —  combats et intrigues — y est réduite au minimum, tandis que le développement
161 orieuse) pour acquérir le droit de se marier : le combat contre le Morholt, dans Tristan, illustre exactement cette coutume, s
88 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
162 de l’amour se substituant au vouloir propre. Le «  combat  » d’amour, dont il faut sortir vaincu. Le symbolisme des « châteaux »
163 i apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du combat spirituel et du Château intérieur. » Extraordinaire retour et assompt
89 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
164 de Tristan n’est plus ici que coquetterie, et le combat du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre le corp
90 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
165 crit dans son Ley de Amor : « Ne pense pas que le combat de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas
166 épouvantable sévit des deux côtés, car l’amour ne combat qu’à force de caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres parole
167 i cette complicité physiologique des instincts de combat et de procréation ne suffisent à déterminer l’usage précis des expres
168 n’est pas seulement dans le détail des règles de combat individuel que se fait sentir l’action de l’idéal chevaleresque, mais
169 valiers de l’ordre de l’Étoile jurent que dans le combat ils ne reculeront jamais de plus de quatre arpents ; sinon ils devron
170 us. Tout chevalier qui touche l’écu s’engage à un combat dans les conditions décrites par les « chapitres » du pas d’armes. C’
171 ent de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le combat , tout maculé de son sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
172 es bannières et les cris de guerre conservent aux combats un caractère individuel et l’apparence d’un noble sport ». Mais dans
173 résentée par le duel et la « prouesse » (tournoi, combat singulier des deux chefs en présence) ; l’idée de régler les bataille
174 it Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se r
175 u’humaine était aussi utile aux Français dans les combats que dans les sièges… ». Autre sujet d’effroi pour l’Italie : tandis q
176 t dès lors d’inévitables carnages. Et en effet au combat de Rapallo, tout au début de la campagne, sur les 3000 hommes engagés
177 uelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du combat , tout l’échiquier, le maréchal fait avancer ou reculer habilement ses
91 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
178 oyant manichéen, était l’expression dramatique du combat de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur une « poésie » é
179 velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le combat . On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
92 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
180 meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le combat de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure
93 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
181 aix, c’est à nous d’engager sans illusion le vrai combat qui nous maintienne humains. Tout cela, un jeune poète de génie, Arth
182 mbaud, l’a dit d’un seul trait prophétique : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision d
94 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
183 ins ceux qui se trouveraient mieux placés dans ce combat , et d’être prêt à leur porter main-forte cas échéant. Car tout revien
95 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
184 tel démon qu’il nous délègue de temps à autre. Le combat que nous devrons peut-être engager militairement contre l’un de ces p
185 irement contre l’un de ces petits personnages, ce combat , si « total » qu’il soit, ne saurait figurer pour nous qu’un exercice
186 e première escarmouche, un entraînement pour le «  combat final » où Dieu seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne
96 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
187 verrait dans la paix, là où chacun livre son vrai combat . 21 mai 1939 Promenade au Bois avec V. O. que j’ai été prendre chez A
97 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
188 . Notre amitié nouvelle, scellée par les premiers combats , est le meilleur gage d’un accord qui doit s’approfondir et s’élargir
98 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
189 dire l’individualisme social et religieux. Calvin combat les deux tendances non point pour des raisons politiques, mais pour s
190 triste, mais centrale. Nous de même, reprenons le combat contre l’esprit collectiviste, mais aussi et d’abord contre les dévia
99 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
191 aix, c’est à nous d’engager sans illusion le vrai combat qui nous maintienne humains. Tout cela, un jeune poète de génie, Arth
192 mbaud, l’a dit d’un seul trait prophétique : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision d
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
193 a. C’est au contraire (ou plutôt ce doit être) un combat perpétuel, exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer