1
lable pour le seul pape de Rome et pour les seuls
conciles
. Les grands mouvements fascistes ne se réclament-ils pas, eux aussi,
2
ant revêtus de l’imprimatur. Finalement, faute du
concile
qui aurait seul qualité pour m’éclairer, et qu’on ne saurait convoque
3
ecueil des formules dogmatiques élaborées par les
conciles
et les bulles papales, donc simple catalogue de résultats, sans comme
4
re et simple copie des formules élaborées par les
conciles
, est bien forcé de parler un langage personnel, dont il sera toujours
5
chise ? Il ne dit rien dans ce que je cite que le
concile
de Trente n’ait dit ou n’ait permis de dire28. Seulement, il le dit e
6
gine du secret que l’Église, selon Bossuet et les
conciles
, détient et possède si bien qu’elle a sur lui ce jus uti et abutendi
7
ca). Nous la trouvons définie tout d’abord par le
concile
d’Éphèse (431) comme étant la fidem definitam a sanctis Patribus qui
8
to congregati fuerunt. Aux formules de ce premier
concile
de Nicée, s’ajoutent ensuite celles des conciles d’Éphèse, de Chalcéd
9
r concile de Nicée, s’ajoutent ensuite celles des
conciles
d’Éphèse, de Chalcédoine, etc., etc. Puis, dès 514, les écrits d’Augu
10
et, sur quelle autorité se fonde-t-elle ? Sur les
conciles
. Et ceux-ci à leur tour ? Prenons le concile de Trente : « Sacrosanct
11
les conciles. Et ceux-ci à leur tour ? Prenons le
concile
de Trente : « Sacrosancta œcumenica et generalis Tridentina Synodus i
12
eclarat. » Cela est clair encore : l’autorité des
conciles
se fonde sur l’inspiration du Saint-Esprit. Comment ce Saint-Esprit s
13
le ruiner plus tard en droit. C’est ce que fit le
concile
du Vatican (1869-1870. Cap. 2 : de revelatione, de interpretatione S.
14
’Église, et en particulier selon les décisions du
concile
de Trente. La tradition est ainsi substituée à l’Écriture comme critè
15
de l’Esprit saint. Mais la tradition, ce sont les
conciles
. Inspirés par l’Esprit saint, ils ne sauraient être, en bonne logique
16
ses juges. Il faut donc admettre ou bien que les
conciles
sont le seul critère des conciles ; ou bien que l’Esprit saint est le
17
ou bien que les conciles sont le seul critère des
conciles
; ou bien que l’Esprit saint est le seul critère de l’Esprit saint. L
18
’ancienneté » des erreurs les plus manifestes des
conciles
? La question peut paraître brutale, simpliste. Elle manque certainem
19
aine, la tradition ? Tout l’effort dogmatique des
conciles
se fonde dans cette inquiétude32, qui a conduit l’Église de Rome à st
20
e, une autre source. Tout l’effort dogmatique des
conciles
consiste à accumuler des assurances contre tous les « dangers », poss
21
t Canones 1 et 2. La seule raison alléguée par ce
concile
pour interdire la communion sous les deux espèces est celle-ci : Jésu
22
u’ils pensent réellement de cette… raison, car le
concile
a pris soin de déclarer par avance anathème celui qui dirait que l’Ég
23
ndre, hors de son temps ? Il naquit à l’époque du
concile
de Constance, et mourut à la fin du xve siècle. Son existence coïnci
24
nière période d’unité de l’Église occidentale. Le
concile
de Constance venait de mettre fin au Grand Schisme de la catholicité.
25
chrétienté se vit alors frappée d’anathème ! — le
concile
avait substitué un pontife unique et romain. On avait condamné Jean H
26
nfer dont encore il reste le Roi. En l’an 547, le
concile
de Constantinople le déclare éternel. Pendant tout le Moyen Âge, il t
27
nfer dont encore il reste le Roi. En l’an 547, le
concile
de Constantinople le déclare éternel. Pendant tout le Moyen Âge, il t
29
itiales et finales, mises au point par les grands
conciles
œcuméniques du ive au vie siècle. Ces options tracent les résultant
30
mais, qui le consument et dont il vit. o. « Des
conciles
à la bombe atomique ou la fin dans le commencement », The Alliance Re
31
disputes savantes et passionnées, les travaux des
conciles
fondateurs de notre conception occidentale de l’homme, Athanase, Grég
32
ans leurs longues disputes trinitaires les grands
conciles
, je ne sais plus quelle Europe nous défendrons. Celle dont je parle e
33
de ces assises du christianisme grec : les grands
conciles
. Qu’on se figure bien moins de savantes réunions de professeurs et d’
34
mmes de main, rôde autour de l’église où siège le
concile
, attendant l’occasion d’intervenir en force. À l’intérieur, les incid
35
Constantin, et beaucoup d’évêques qui dominent le
concile
portent les traces de la persécution et des tortures qu’ils ont subie
36
dans ses relations. L’acte de création des grands
conciles
consista donc à opérer la transmutation périlleuse d’un mot latin et
37
ique Que les options fondamentales décidées au
concile
de Nicée aient aussi décidé du genre de science que produirait l’Euro
38
e crucial de la spéculation des Pères et de leurs
conciles
. Il fut aussi le modèle suprême de la polarité impensable mais vraie,
39
fut montré comme objet de la foi par les Pères du
concile
de Nicée, mais devint par la suite une « manière de penser », un arch
40
catombes d’évêques déposés à la suite de certains
conciles
: comment ne pas songer aux épurations qui seront pratiquées 1500 ans
41
itiques et les façons de penser. 18. Le débat du
concile
de Nicée porte en effet sur les deux termes grecs homoousios (de même
42
éfendu par Eusèbe et les tenants d’Arius. 19. Le
concile
de Nicée se tint en 325. Les grandes disputes christologiques avaient
43
sera définitivement assise qu’en 680, par le VIe
concile
de Constantinople. 20. Je ne veux parler ici que d’incompatibles rée
44
yssée. Ôtez le dogme de l’Incarnation, formulé au
concile
de Nicée, et vous ôtez la condition des sciences physiques et naturel
45
morale ; la seconde fut définie par les premiers
conciles
, à l’occasion des grands débats sur la Trinité, et se lia par la suit
46
bles, seuls. Elle exige la convocation d’un grand
concile
œcuménique des cultures en présence dans le monde du xxe siècle. Ell
47
constitutive de l’Occident, je trouve les grands
conciles
œcuméniques, Nicée, Constantinople, Éphèse et Chalcédoine, dont les d
48
de ces assises du christianisme grec : les grands
conciles
. Qu’on se figure bien moins de savantes réunions de professeurs et d’
49
mmes de main, rôde autour de l’église où siège le
concile
, attendant l’occasion d’intervenir en force. À l’intérieur, les incid
50
nstantin, et beaucoup des évêques qui dominent le
concile
portent les traces physiques de la persécution et des tortures qu’ils
51
dans ses relations. L’acte de création des grands
conciles
consista donc à opérer la transmutation périlleuse d’un mot latin et
52
et cela d’une manière manifeste dès l’époque des
conciles
œcuméniques. Apport grec. — L’homme se détache du corps magique en l
53
es « documentées » (il y a pourtant les actes des
conciles
), on se condamne du même coup à juger sans comprendre les faits et le
54
catombes d’évêques déposés à la suite de certains
conciles
: comment ne pas songer aux épurations qui seront pratiquées 1500 ans
55
itiques et les façons de penser. 23. Le débat du
concile
de Nicée porte en effet sur les deux termes grecs homoousios (de même
56
éfendu par Eusèbe et les tenants d’Arius. 24. Le
concile
de Nicée se tint en 325. Les grandes disputes christologiques avaient
57
e sera définitivement assise qu’en 680, par le 6e
concile
de Constantinople. 25. Rappelons que dans le Bas-Empire, magistratur
58
ique Que les options fondamentales décidées au
concile
de Nicée aient aussi décidé du genre de science que produirait l’Euro
59
e crucial de la spéculation des Pères et de leurs
conciles
. Il fut aussi le modèle suprême de la polarité impensable mais vraie,
60
fut montré comme objet de la foi par les Pères du
concile
de Nicée, mais devint par la suite une « manière de penser », un arch
61
elle est devenue dans l’Église, dès le temps des
conciles
, et sans nul doute par contamination de l’ambition impériale (byzanti
62
ger, recueil des articles de foi et décisions des
conciles
et des papes, on vérifie très vite que la tradition dogmatique prospè
63
ormation de l’Europe. C’est la période des grands
conciles
, qui va du ive au vie siècle de notre ère. À l’époque des grands co
64
u vie siècle de notre ère. À l’époque des grands
conciles
, les Européens ont décidé — ou du moins tout se passe comme s’ils ava
65
proclamant le dogme de l’Incarnation, les grands
conciles
ont reconnu que le corps, et la matière qui le constitue, sont des ré
66
la matière. Ainsi donc, l’option de base prise au
concile
de Nicée a entraîné des conséquences littéralement incalculables, — t
67
es par leurs fonctions mais d’essence unique, les
conciles
ont fourni le modèle du concept même de la personne, transposé par la
68
upprimé aux yeux de l’esprit. Mais à l’époque des
conciles
, pour la première fois, il semble que les Européens aient conçu le co
69
s religieuses et métaphysiques, celles des grands
conciles
, j’ai donc essayé de marquer le point de départ, dans le complexe eur
70
morale ; la seconde fut définie par les premiers
conciles
, à l’occasion des grands débats sur la Trinité, et se lia par la suit
71
ifestant à nous dans un corps d’homme, les grands
conciles
des premiers siècles de notre ère se trouvent avoir reconnu, du même
72
devant le monde entier par l’annonce d’un nouveau
concile
œcuménique, le problème de l’union des Églises chrétiennes concerne-t
73
p. 66-67. Cet article paraît dans le dossier « Le
concile
de la dernière chance », et est introduit par cette note : « L’auteur
74
et cela d’une manière manifeste dès l’époque des
conciles
œcuméniques. Apport grec. — L’homme se détache du corps magique en l
75
a formé l’Occident, en formant, dès les premiers
conciles
, ses modèles de pensée en tension : Incarnation, personnes divines à
76
a formé l’Occident, en formant, dès les premiers
conciles
, ses modèles de pensée en tension : Incarnation, Personnes divines à
77
ération, qui serait placée sous la direction d’un
concile
, dans lequel les différentes nations garderaient une indépendance abs
78
vrait prendre l’initiative de la convocation d’un
concile
qui établirait la paix entre les chrétiens, en organisant la société
79
ui doivent-ils plaider ?… On peut répondre que le
concile
doit statuer que des arbitres ecclésiastiques ou autres seraient dési
80
s dont beaucoup étaient connues à son époque : le
concile
convoqué par le pape ; l’arbitrage international, très en usage depui
81
s Mages) où l’on peut le voir chevauchant vers le
concile
de Bâle, dans un paysage hautement civilisé ; et le tableau de Pintur
82
vu cela, je ne donnerai pas un maravedis pour le
concile
ni pour tous les remèdes et devises que l’on puisse imaginer. Il ne f
83
nds entre les princes, convoque les princes à des
conciles
, a réglé la préséance lors de ces conciles et que ceux-ci, au nom du
84
à des conciles, a réglé la préséance lors de ces
conciles
et que ceux-ci, au nom du Christ, ont déclaré la guerre aux ennemis d
85
tait un conseil permanent ou un Sénat créé par ce
concile
, chargé de veiller aux intérêts généraux de la chrétienté, ce qui se
86
e fut du tems de Charlemagne, lorsqu’il tenait le
concile
de Francfort ; et de renoncer à tous conciles tenus depuis, qui ne sa
87
t le concile de Francfort ; et de renoncer à tous
conciles
tenus depuis, qui ne sauroient passer pour œcuméniques. Il faudroit a
88
mes et d’une renaissance religieuse, d’un grand «
concile
européen » réunissant dans une nouvelle Jérusalem chrétiens et libert
89
de ses bénédictions. Du sein sacré d’un vénérable
concile
européen, la chrétienté renaîtra, et la tâche qui consistera dans le
90
ntemporain, pendant trente-six ans de liberté, le
concile
des intelligences ; c’est ici qu’ont été posées, débattues et résolue
91
une assemblée qui sera comme votre âme à tous, un
concile
souverain et populaire qui décidera, qui jugera, qui résoudra tout en
92
elon Reynold, la doctrine trinitaire des premiers
conciles
: L’organisation politique et sociale (des Germains) les opposait à
93
ues, non le pape, tentent de réformer l’Église au
concile
de Bâle, mais en vain… Friedrich Heer conclut : Toujours et encore,
94
u du mouvement catholique romain que symbolise le
concile
œcuménique convoqué par Jean XXIII ; qu’il s’agisse des conventions d
95
La messe romaine a été subitement fixée après le
concile
de Trente, sur un type unique, et n’a plus varié. La grande vitalité,
96
, centralisée de l’Église romaine date en fait du
concile
de Trente, 1545-1563. 49. On a calculé que plus de 80 % des prix Nob
97
gien soit capable de se référer non seulement aux
conciles
et aux textes sacrés, mais aux fondements de la doctrine physique du
98
gien soit capable de se référer non seulement aux
conciles
et aux textes sacrés, mais aux fondements de la doctrine physique du
99
u’à d’autres, — chaîne continue qui va des grands
conciles
des ive et ve siècles, comme ceux de Nicée et de Chalcédoine, jusqu
100
udité, mais non pour la contraception discutée au
concile
du Vatican. Quelque chose a changé ; mais quoi ? Il est peu vraisembl
101
ibilités réformatrices qui se manifestent dans le
concile
actuel du Vatican ? Le supérieur général des jésuites critique les mi
102
réfère toujours, poursuit-il, aux définitions des
conciles
du ive au vie siècle qui ont défini la personne à propos des person
103
personne à propos des personnes de la Trinité. Le
concile
de Chalcédoine dit, en substance, que les deux natures, l’homme et Di
104
nous le trouvons dans le christianisme des grands
conciles
. À Nicée, puis à Chalcédoine, plusieurs centaines d’évêques et de doc
105
e politique. De même que le modèle trinitaire des
conciles
sera utilisé par Kepler dans ses spéculations sur le cercle et leurs
106
l’homme analogue au modèle bipolaire posé par le
concile
de Chalcédoine. La personne humaine, notion déduite des dogmes relati
107
nous le trouvons dans le christianisme des grands
conciles
. À Nicée, puis à Chalcédoine, plusieurs centaines d’évêques et de doc
108
e politique. De même que le modèle trinitaire des
conciles
sera utilisé par Kepler dans ses spéculations sur le cercle et leurs
109
l’homme analogue au modèle bipolaire posé par le
concile
de Chalcédoine. La personne humaine, notion déduite des dogmes relati
110
gien soit capable de se référer non seulement aux
conciles
et aux textes sacrés, mais aux fondements de la doctrine physique du
111
tôt qu’à d’autres — et cette chaîne va des grands
conciles
du ive et du ve siècle, comme ceux de Nicée et de Chalcédoine, jusq
112
rope. Pour désigner ces choix, je pars des grands
conciles
, de Nicée en 325, à Chalcédoine en 451. Au cours de ces assises houle
113
gnostiques, lesquelles furent condamnées par les
conciles
pour leur spiritualisme excessif et unilatéral. Le conflit entre la s
114
Trinité fut l’une des tâches majeures des grands
conciles
. Le problème était le suivant : Comment définir les trois fonctions d
115
tinctes, une seule ousie en trois hypostases, les
conciles
choisirent le mot de Personne, donnant un contenu chrétien à un mot l
116
grandes options religieuses et métaphysiques des
conciles
, nous avons pu marquer le point de départ ou d’insertion dans le comp
117
nous le trouvons dans le christianisme des grands
conciles
. À Nicée, puis à Chalcédoine, plusieurs centaines d’évêques et de doc
118
e politique. De même que le modèle trinitaire des
conciles
sera utilisé par Kepler dans ses spéculations sur le cercle et leurs
119
l’homme analogue au modèle bipolaire posé par le
concile
de Chalcédoine. La personne humaine, notion déduite des dogmes relati
120
nous le trouvons dans le christianisme des grands
conciles
. À Nicée, puis à Chalcédoine, plusieurs centaines d’évêques et de doc
121
e politique. De même que le modèle trinitaire des
conciles
sera utilisé par Kepler dans ses spéculations sur le cercle et leurs
122
l’homme analogue au modèle bipolaire posé par le
concile
de Chalcédoine. La personne humaine, notion déduite des dogmes relati
123
e intuition dans toute la culture européenne, des
conciles
de Nicée et de Chalcédoine jusqu’à Hegel et Proudhon. Selon vous, le
124
ve chez Héraclite, dans la théologie des premiers
conciles
et notamment dans la définition de la personne du Christ où l’on cons
125
réalités antinomiques : Dieu et homme. D’après le
concile
de Chalcédoine, au ve siècle, les deux natures de Jésus-Christ doive
126
du mal des phrases de catéchisme ou les canons du
concile
de Trente mis en vers.) Chaque troubadour cathare — et peu m’importe
127
progrès de l’hérésie dans ses domaines, réunit un
concile
à Charroux pour étudier les moyens de combattre les « manichéens ». E
129
la personne s’est constituée au cours des grands
conciles
œcuméniques de Nicée en 325, à Chalcédoine en 451, époque où l’Église
130
élation venue de la Judée. Le problème majeur des
conciles
est celui de la Trinité : comment définir et distinguer en un seul Di
131
vrai Dieu et vrai homme » à la fois, les Pères du
concile
de Chalcédoine ont posé le premier modèle permettant de penser ensemb
132
la personne s’est constituée au cours des grands
conciles
œcuméniques, de Nicée en 325 à Chalcédoine en 451, époque où l’Église
133
élation venue de la Judée. Le problème majeur des
conciles
est celui de la Trinité : comment définir et distinguer en un seul Di
134
vrai Dieu et vrai homme » à la fois, les Pères du
concile
de Chalcédoine ont posé le premier modèle permettant de penser ensemb
135
oin, ce qui a été consacré en l’an 787 par le IIe
concile
œcuménique de Nicée, c’est le culte des images. Une figuration transp
136
ique ni des définitions théologiques des premiers
conciles
, et enfin que toutes les civilisations ont une littérature profane, e
137
au-dessus des citoyens. Avec le christianisme des
conciles
qui élaborent du ive au vie siècle les grandes définitions des Pers
138
de Nicée (325) et de Chalcédoine (452). Ces deux
conciles
œcuméniques avaient à résoudre un problème littéralement crucial pour
139
les Pères ont pensé la réalité humaine. Entre les
conciles
de Nicée et de Chalcédoine, saint Augustin transpose à l’homme, créat
140
isions métaphysiques. Ce sont les premiers grands
conciles
œcuméniques du ive au vie siècle, et en particulier Nicée, Constant
141
ne de l’homme telle que l’ont élaborée les grands
conciles
, de Nicée à Chalcédoine, saint Augustin entre les deux, plus tard Tho
142
e : Bible ou Coran, évangiles et credo des grands
conciles
— tout cela restant vain, trompeur, invérifiable, tant que tout cela
143
» — comme le dit la formule théologique du grand
concile
de Chalcédoine, formule aussi de mon éthique et de ma politique fédér
144
grand problème des pères de l’Église à partir du
concile
de Nicée, et cela a finalement été résolu cent-vingt-cinq ans plus ta
145
ement été résolu cent-vingt-cinq ans plus tard au
concile
de Chalcédoine. Ils ont adopté le mot latin persona, qui désignait d’
146
on »… La forme de pensée qui s’exprime durant les
conciles
aura des conséquences incroyables ; notamment dans le domaine politiq
147
’on cherche toujours à exprimer durant les grands
conciles
, c’est ce même paradoxe : comment exprimer la diversité des trois per
148
omplexe. Un moment important est celui des grands
conciles
dont les débats inaugurent un mode de pensée caractéristique de la cu
149
ingue et unit à la fois, qu’il s’agisse, comme au
concile
de Nicée, des deux natures du Christ, dans l’anthropologie, de l’âme
150
port chrétien 16 janvier 1969 La théologie des
conciles
qui se sont passés pendant les ive , ve et vie siècles, a consisté
151
a notion de personne, fruit des débats des grands
conciles
(ive , ve , vie siècles). Ces débats vont trouver de multiples prolo
152
nité de l’évolution occidentale depuis les grands
conciles
se définit en raison de son objectif qui est la personne humaine. Il
153
ent et obéissant à une loi fixe : dans les grands
conciles
, comme autrefois en Ionie, s’est illustrée une forme d’esprit — l’esp
154
anisme (à travers notamment les débats des grands
conciles
et l’apport de la Réforme) clarifie l’aspect individuel et l’aspect c