1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
1 ne, ou cet Alexandro Gomez cynique et puissant de confiance en soi, qu’une volonté presque inhumaine torture et conduit au crime.
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 qui m’entraîna sur les stades où je connus quelle confiance sourde aux contradictions intimes exige un acte victorieux. Autour de
3 —, mais je sais quelle légèreté puissante, quelle confiance vont guider ce corps et cet esprit… Créer, ou glisser au plaisir ? Êt
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 nées dans l’espace nous environnent d’une obscure confiance . Livrons-nous aux jeux des hommes-qui-font-des-gestes. Les autos répè
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
5 é d’agir efficacement. (Il faut, pour sauter, une confiance dans l’élan qui échappe à toute analyse préalable et sans quoi le sau
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
6 encore à nous comprendre et de nous accorder une confiance sans laquelle nous ne saurions aller, et qui, nous voulons l’espérer,
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
7 t maladroit, incertain, brutal : mais faisons-lui confiance , voici un homme d’aujourd’hui, presque sans pose, et décidé à méprise
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
8 nimer la curiosité des plus blasés. Lecteur, fais confiance au Central de Genève. Souviens-toi de la grandeur de ses traditions e
8 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
9 opère au commandement de la main. Ce soir-là, une confiance me possédait, telle que je savais très clairement que je gagnerais à
9 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
10 a négation de l’invérifiable. Stéphane n’a pas eu confiance . Or la personnalité est un acte de foi : Stéphane ne sait plus ce qu’
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
11 mal. J’appartiens à cette espèce de gens qui font confiance à leur sensibilité plus qu’aux idées des autres. Or, c’est une révolt
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
12 mal. J’appartiens à cette espèce de gens qui font confiance à leur sensibilité plus qu’aux idées des autres. Or, c’est une révolt
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
13 ns les moulures et les vieux papiers à fleurs. La confiance , la sincérité, l’amitié, s’arrondissaient autour des livres dont nous
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
14 est que, jusqu’à nouvel ordre, je lui fais encore confiance  ». Ainsi se termine ce livre amer, sans qu’à vrai dire l’on distingue
14 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
15 d’André Philip ont posé au régime la question de confiance  ; et qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la justice humain
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
16 ai vu des yeux lever vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pouvait dire, — qui était, dans un suprême
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
17 ai vu des yeux lever vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pouvait dire, — qui était, dans un suprême
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
18 e de naturel qui naît d’une entente tacite, d’une confiance , presque d’une insouciance… C’est tout cela que vient de mettre en qu
18 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
19 à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’homme, succède une dictature. Certain fascisme est d’autant pl
19 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
20 réside dans notre culte du « pratique », dans la confiance naïve que nous donnons aux techniciens. Je distingue dans ce culte le
20 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
21 à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’homme, succède une dictature. Certain fascisme est d’autant pl
21 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
22 réside dans notre culte du « pratique », dans la confiance naïve que nous donnons aux techniciens. Je distingue dans ce culte le
22 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
23 à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’homme, succède une dictature. Certain fascisme est d’autant pl
23 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
24 tu du même principe. Ils travailleraient en toute confiance dans un ensemble organiquement articulé, c’est-à-dire dominé par une
24 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
25 ort ne peut s’appuyer que sur une pleine et ferme confiance en soi, qui seule élève le cœur et l’esprit. À celui qui a perdu cett
26 ve le cœur et l’esprit. À celui qui a perdu cette confiance , plus rien ne saurait apparaître digne et grand ; son âme a perdu la
25 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
27 enir. » Ou encore : « Oh ! ne me donnez pas votre confiance — Pour me charger du poids de votre vie, de vos affaires ; — Ne me fo
26 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
28 tion de la crise a pour effet normal de ruiner la confiance un peu béate que l’on mettait dans l’immobilité même du centre. Quan
27 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
29 et sans préparation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’inquiétude, — on pourrait dire, dans une sorte d’humour — dans l
28 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
30 llemand est sans cesse renforcée par la foi et la confiance du Peuple en moi ! — un seul cri des masses confessant leur fidélité
29 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
31 e ne puis rien sans votre approbation, sans votre confiance . Je ne suis pas un usurpateur, ni un dictateur, mais je suis le porte
30 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
32 du pouvoir n’ont aucune force dès que défaille la confiance dans l’homme qui les porte, comme le prouve la moindre expérience de
33 e la moindre expérience de commandement. Or cette confiance est une réalité spirituelle, au plein sens du mot, cette fois. (Il es
31 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
34 taises inspirent à notre idéaliste impénitent une confiance sereine dans le marxisme révisé par M. Staline, seule « technique du
32 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
35 es purement matérielles. Il lui faut la fameuse «  confiance  », et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule une mystique
36 les. Il lui faut la fameuse « confiance », et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule une mystique nationaliste la lui
33 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
37 ue d’un plus ou d’un moins, d’un glissement de la confiance à la méfiance, mais bien des choses et bien des actes en dépendent. E
38 n avait décidé de ne pas poser, en vertu de cette confiance sans laquelle on ne peut gouverner. Qu’un homme en vienne à poser cet
39 me en vienne à poser cette question, c’est que la confiance a cessé de régner. Et c’est le signe indubitable d’une décadence des
40 e, sur l’inquiétude qu’il trahit, sur la crise de confiance qu’il révèle. Mais en même temps, et non moins fortement, il faut dir
41 ourd’hui qu’en vertu d’une vision nouvelle, d’une confiance déjà restaurée dans le cœur et l’esprit de plusieurs. Si j’entreprend
34 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
42 éodale fut l’honneur, vérité de la force et de la confiance jurée, de même le fondement du régime et de la mentalité bourgeoise,
35 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
43 rtains succès, Charles X faire appel à la « juste confiance des Français » et à « l’amour qu’ils ont toujours montré pour leur ro
36 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
44 ue d’un plus ou d’un moins, d’un glissement de la confiance à la méfiance, mais bien des choses et bien des actes en dépendent. E
45 n avait décidé de ne pas poser, en vertu de cette confiance sans laquelle on ne peut gouverner. Voilà le signe indubitable d’une
37 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
46 éodale fut l’honneur, vérité de la force et de la confiance jurée, de même le fondement du régime et de la mentalité bourgeoise,
38 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
47 rtains succès, Charles X faire appel à la « juste confiance des Français » et à « l’amour qu’ils ont toujours montré pour leur ro
39 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
48 à l’Esprit que le Parti communiste français… fait confiance pour l’aider à résoudre les problèmes de la paix, de la liberté et du
49 pain des hommes. » Autant dire qu’il ne fait plus confiance à Marx. Autant dire qu’il ne se fait plus confiance à lui-même. Autan
50 nfiance à Marx. Autant dire qu’il ne se fait plus confiance à lui-même. Autant dire que toutes les attaques marxistes contre les
40 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
51 à l’Esprit que le parti communiste français fait confiance pour l’aider à résoudre les problèmes de la paix, de la liberté et du
41 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
52 imprévoyance naïve, d’acceptation des risques, de confiance obscurément accordée à l’instinct ou à « la Vie », ou à la solidarité
42 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
53 doucement compris, approuvé. Une familiarité, une confiance , une proximité des choses vues, un langage innocent et raisonnable ;
43 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
54 brusquer ! Ce soir, il s’agissait de gagner leur confiance , et ensuite on verra si on peut aller plus loin. — Mais ne croyez-vou
55 ais ne croyez-vous pas qu’on pourrait gagner leur confiance en leur parlant plus familièrement, sans faire d’éloquence ? Cela tra
56 u’ils peuvent tous mentir ! On ne peut plus avoir confiance dans les partis. C’est aussi à cause de cette centralisation : qu’est
44 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
57 jambes, et m’en parle d’abord, pour me mettre en confiance . Je sens bien qu’elle veut me faire causer avant de fixer le prix du
58 nouvellement intéressant. Et quand nous sommes en confiance , si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs lectures, les journaux qu
45 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
59 jambes, et m’en parle d’abord, pour me mettre en confiance . Je sens bien qu’elle veut me faire causer avant de fixer le prix du
46 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
60 us rendraient — est-ce trop dire ? — une sorte de confiance en l’homme. Il y a la liberté qu’assure la pauvreté. Ce goût qu’elle
47 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
61 institutions, les méfiances de C. F. Ramuz et la confiance de Liehburg, tout indique et appelle dans ces pages une seule et même
48 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
62 jambes, et m’en parle d’abord, pour me mettre en confiance . Je sens bien qu’elle veut me faire causer avant de fixer le prix du
63 nouvellement intéressant. Et quand nous sommes en confiance , si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs lectures, les journaux qu
64 brusquer ! Ce soir, il s’agissait de gagner leur confiance , et ensuite on verra si on peut aller plus loin. — Mais ne croyez-vou
65 ais ne croyez-vous pas qu’on pourrait gagner leur confiance en leur parlant plus familièrement, sans faire d’éloquence ? Cela tra
66 u’ils peuvent tous mentir ! On ne peut plus avoir confiance dans les partis. C’est aussi à cause de cette centralisation : qu’est
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
67 imprévoyance naïve, d’acceptation des risques, de confiance obscurément accordée à l’instinct ou à « la Vie », ou à la solidarité
68 doucement compris, approuvé. Une familiarité, une confiance , une proximité des choses vues, un langage innocent et raisonnable :
50 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
69 fondamental. « Il faut se faire lire et gagner la confiance  ; on ne remonte pas le courant de toute l’époque ; la passion a toujo
51 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
70 llemand est sans cesse renforcée par la foi et la confiance du Peuple en moi ! — un seul cri des masses confessant leur fidélité
71 llemand est sans cesse renforcée par la foi et la confiance du peuple en moi ! » (Hitler.) Refuser de réfléchir sur ces deux text
52 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
72 inon c’est l’échec assuré. Il lui faut la fameuse confiance , et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule la mystique nat
73 assuré. Il lui faut la fameuse confiance, et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule la mystique nationaliste la lui d
53 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
74 e ne puis rien sans votre approbation, sans votre confiance . Je ne suis pas un usurpateur, ni un dictateur, mais je suis le porte
54 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
75 être totalitaire à moitié. Il lui faut la fameuse confiance , et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule, la mystique na
76 moitié. Il lui faut la fameuse confiance, et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule, la mystique nationaliste peut la
55 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
77 e de naturel qui naît d’une entente tacite, d’une confiance , presque d’une insouciance… C’est tout cela que vient de mettre en qu
56 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
78 de, il est peut-être au moins aussi sage de faire confiance à l’intuition. » — Tristesse de l’historien n’est-ce pas ? Et c’est p
57 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
79 ’aucune sorte ». Et de cette union résultent « la confiance , la foi, l’abandon, le service ». Il s’agit donc plutôt, me semble-t-
58 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
80 n ce bas monde. Il ne nous reste plus rien que la confiance la plus parfaite l’un dans l’autre et la foi dans la toute-puissante
59 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
81 fondamental. « Il faut se faire lire et gagner la confiance  ; on ne remonte pas le courant de toute l’époque ; la passion a toujo
60 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
82 de certitude renouvelée, à ce désir de retrouver confiance en soi, que je devrais répondre en exaltant ici le protestantisme cré
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
83 ’aucune sorte. » Et de cette union résultent « la confiance , la foi, l’abandon, le service ». Il s’agit donc plutôt, me semble-t-
62 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
84 n ce bas monde. Il ne nous reste plus rien que la confiance la plus parfaite l’un dans l’autre et la foi dans la toute-puissante
63 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
85 fondamental. « Il faut se faire lire et gagner la confiance  ; on ne remonte pas le courant de toute l’époque ; la passion a toujo
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
86 ’aucune sorte. » Et de cette union résultent « la confiance , la foi, l’abandon, le service ». Il s’agit donc plutôt, me semble-t-
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
87 n ce bas monde. Il ne nous reste plus rien que la confiance la plus parfaite l’un dans l’autre et la foi dans la toute-puissante
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
88 fondamental. « Il faut se faire lire et gagner la confiance  ; on ne remonte pas le courant de toute l’époque ; la passion a toujo
67 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
89 n coup, cette ivresse ailée, tout d’un coup cette confiance envahissante dans le salut du monde malgré tout, cette beauté sensibl
68 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
90 re toute espérance. Un tel passé doit nous donner confiance pour le présent. Il nous montre que de tout temps, la Suisse a été me
69 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
91 ne résistance efficace. Et d’abord, une parole de confiance . Tout craque autour de nous, mais ce n’est pas une raison de se lamen
70 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
92 chure qui va paraître sur la Ligue. Il faut faire confiance à des hommes jeunes et qui forment une équipe. Passons sur le passé.
71 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
93 rammes sur le papier sont moins importants que la confiance qui naît de contacts personnels entre hommes résolus à l’action. L’es
72 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). III. Organisation de la Ligue
94 éléments les plus vivants. Rien ne se fera sans confiance réciproque. Or la confiance ne naît pas de dosages et ne se noue pas
95 Rien ne se fera sans confiance réciproque. Or la confiance ne naît pas de dosages et ne se noue pas à coups de paragraphes. La v
96 t ne se noue pas à coups de paragraphes. La vraie confiance naît de la lutte en commun pour un idéal entraînant. Enfin, nous somm
73 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IV. La Ligue du Gothard sera-t-elle un parti ?
97 s d’un groupement de volontés personnelles. De la confiance née de l’esprit d’équipe et de la lutte poursuivie en commun se dégag
74 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
98 choc salutaire sur l’opinion suisse. Elle a rendu confiance à beaucoup de citoyens, elle a fait naître un grand espoir et dissipé
99 accomplie dans la liberté. Dès maintenant, notre confiance peut se fonder sur quelques faits concrets autant que sur la certitud
75 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
100 de certitude renouvelée, à ce désir de retrouver confiance en soi, que je devais répondre en exaltant ici le protestantisme créa
76 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
101 ue c’est qu’une vocation, et qu’il faut lui faire confiance , même lorsqu’elle nous paraît exceptionnelle. Sans doute faut-il être
77 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
102 de timide, se trouve à merveille compensé par la confiance plus naïve en la vie que manifestent par exemple les grands romans de
78 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
103 it l’union des partis, l’oubli des polémiques, la confiance dans le gouvernement et la nécessité d’augmenter l’aide à l’Angleterr
79 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
104 rce que, dit-on, sa piété profonde lui gagnera la confiance des États du Middle West… J’écoutais hier la cérémonie dite de « l’In
80 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
105 , montre d’une façon concrète que l’État lui fait confiance . Imaginez ce qui arriverait dans certains États modernes, en proie à
81 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
106 sa propre faute ; et pour que puisse renaître la confiance qui donnera seule le courage de rebâtir. Celui qui doute du pardon ne
82 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
107 émentis de la réalité. Cet optimisme n’est pas la confiance naïve de l’enfant, mais une espèce de mensonge. Exactement : une fuit
83 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
108 res à donner le change : optimisme et cordialité, confiance en soi, poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invit
109 lire intime, mais des amis jurés dont l’amour est confiance . Contre cette alliance-là, le diable ne peut rien. « L’amour parfait
84 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
110 e, aussi nommé spirituel Le secret de la seule confiance qui ne soit pas une illusion réside dans la simple certitude que nous
111 nit l’ordre céleste, le gage inaliénable de toute confiance humaine. L’imagerie populaire de l’archange peut passer pour une hist
112 Dieu comme étant l’ordre de sa Volonté. Toute ma confiance repose dans la certitude que nos méfaits et ceux du diable, et ceux d
113 qu’un conseil soit encore entendu. Mais voici la confiance indestructible, qui remonte à travers nos rumeurs et rétablit le sile
114 et regardons le Bien. Armons-nous de cette grande Confiance qui survit à la catastrophe, parce qu’en ayant sondé les causes, elle
115 nconvénient. Tout cela ne m’empêchera pas d’avoir confiance  ! Le malheur nous rend au sérieux. Il nous apprend à opposer au mal l
116 tu et la splendeur. Je lui oppose les gages d’une confiance que n’atteindra jamais sa ruse. Je lui oppose les hiérarchies de l’Or
85 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
117 sa propre faute ; et pour que puisse renaître la confiance qui donnera seule le courage de rebâtir. Celui qui doute du pardon ne
86 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
118 entis de la réalité. Cet optimisme n’était pas la confiance naïve de l’enfant, mais une espèce de mensonge. Exactement : une fuit
119 le poétique, embrassant à la fois le risque et la confiance , la menace et la riposte, l’abîme et le sublime ? Aucune époque ne fu
87 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
120 res à donner le change : optimisme et cordialité, confiance en soi, poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invit
121 lire intime, mais des amis jurés dont l’amour est confiance . Contre cette alliance-là, le diable ne peut rien. « L’amour parfait
88 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
122 e, aussi nommé spirituel Le secret de la seule confiance qui ne soit pas une illusion réside dans la simple certitude que nous
123 nit l’ordre céleste, le gage inaliénable de toute confiance humaine. L’imagerie populaire de l’archange peut passer pour une hist
124 Dieu comme étant l’ordre de sa Volonté. Toute ma confiance repose dans la certitude que nos méfaits et ceux du diable ne changen
125 qu’un conseil soit encore entendu. Mais voici la confiance indestructible qui remonte à travers nos rumeurs et rétablit le silen
126 et regardons le Bien. Armons-nous de cette grande Confiance qui survit à la catastrophe, parce qu’en ayant sondé les causes, elle
127 nconvénient. Tout cela ne m’empêchera pas d’avoir confiance  ! Le malheur nous rend au sérieux. Il nous apprend à opposer au mal l
128 tu et la splendeur. Je lui oppose les gages d’une confiance que n’atteindra jamais sa ruse. Je lui oppose les hiérarchies de l’Or
89 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
129 sa propre faute ; et pour que puisse renaître la confiance qui donnera seule le courage de rebâtir. Celui qui doute du pardon ne
90 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
130 entis de la réalité. Cet optimisme n’était pas la confiance naïve de l’enfant, mais une espèce de mensonge. Exactement : une fuit
131 le poétique, embrassant à la fois le risque et la confiance , la menace et la riposte, l’abîme et le sublime ? Aucune époque ne fu
91 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
132 res à donner le change : optimisme et cordialité, confiance en soi, poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invit
133 lire intime, mais des amis jurés dont l’amour est confiance . Contre cette alliance-là, le diable ne peut rien. « L’amour parfait
92 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
134 e, aussi nommé spirituel Le secret de la seule confiance qui ne soit pas une illusion réside dans la simple certitude que nous
135 nit l’ordre céleste, le gage inaliénable de toute confiance humaine. L’imagerie populaire de l’archange peut passer pour une hist
136 Dieu comme étant l’ordre de sa Volonté. Toute ma confiance repose dans la certitude que nos méfaits et ceux du diable ne changen
137 qu’un conseil soit encore entendu. Mais voici la confiance indestructible qui remonte à travers nos rumeurs et rétablit le silen
138 et regardons le Bien. Armons-nous de cette grande confiance qui survit à la catastrophe, parce qu’en ayant sondé les causes, elle
139 nconvénient. Tout cela ne m’empêchera pas d’avoir confiance  ! Le malheur nous rend au sérieux. Il nous apprend à opposer au mal l
140 tu et la splendeur. Je lui oppose les gages d’une confiance que n’atteindra jamais sa ruse. Je lui oppose les hiérarchies de l’Or
93 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
141 e de naturel qui naît d’une entente tacite, d’une confiance , presque d’une insouciance… C’est tout cela que vient de mettre en qu
94 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
142 sa propre faute ; et pour que puisse renaître la confiance qui donnera seule le courage de rebâtir. Celui qui doute du pardon ne
95 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
143 émentis de la réalité. Cet optimisme n’est pas la confiance naïve de l’enfant, mais une espèce de mensonge. Exactement : une fuit
96 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
144 e pudeur. Quant aux Américains, ils exultaient de confiance , en crescendo, jusqu’à la « Marseillaise » finale. On peut penser tou
97 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
145 et sans préparation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’inquiétude — on pourrait dire dans une sorte d’humour —, dans l’
98 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
146 ts de la Justice. Ils n’inspirent pas précisément confiance , mais qui sait ? Nous n’avons pas le droit de négliger cette chance m
147 ens obscur d’une culpabilité ; mais il a perdu la confiance que les époques naïves de l’histoire (ou de sa propre histoire indivi
148 is sur un fond d’absurdité hostile, et non pas de confiance en la Nature. ⁂ Le chevalier de la foi, chez Kierkegaard, exécutait s
99 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
149 des gens en qui l’on ne peut pas avoir une grande confiance … Ils voient l’Europe un peu comme nous voyions les Balkans avant la g
100 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
150 l’œcuménisme. Rien que cela, mais tout cela, avec confiance , mais aussi avec une inflexible conséquence. Résumons-nous : il ne s’