1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobr
2 rises de contact entre artiste et public ? b. «  Conférence Meili », Feuille d’Avis de Neuchâtel, n° 254, 30 octobre 1924, p. 6.
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
3 Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)c M. René Guisan,
4 ula, devant un très nombreux public, la série des conférences que nous promet le groupe neuchâtelois des « Amis de la pensée protes
5 é d’un esprit animé par une foi agissante. c. «  Conférence Guisan », Suisse libérale, Neuchâtel, n° 26, 2 février 1926, p. 2.
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
6 Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)d Pour la première fois cette année, les c
7 1926)d Pour la première fois cette année, les conférences de l’Association chrétienne d’étudiants eurent lieu au printemps, et
8 te innovation. Le sujet de la première partie des conférences , les Objections des intellectuels au Dieu chrétien, fut introduit par
9 ophiques provoquées par ces deux travaux. Avec la conférence de M. Jean Cadier, un jeune pasteur français, on descendit — ou l’on
10 laissés en suspens dans la première partie de la conférence . Puis M. A. Brémond, étudiant en théologie, présenta deux ouvriers de
11 s compromettre, si nous écopons, tant pis. » Cinq conférences et autant de cultes en trois jours, cela peut paraître excessif à qui
12 tant à la fameuse devise de la Révolution. d. «  Conférences d’Aubonne », Suisse libérale, Neuchâtel, n° 78, 7 avril 1926, p. 2. S
4 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
13 d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)e Cette conférence s’ouvrit par une bise qu’on peut bien dire du diable et se termina so
5 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
14 Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 févrie
15 Grenoble, traita mardi soir à la Grande salle des Conférences , devant un très bel auditoire, est un des plus passionnants et des pl
16 pathique professeur de Grenoble. i. « Troisième conférence des Amis de la pensée protestante : La révocation de l’édit de Nantes
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
17 (Notes écrites en décembre 1925, au sortir d’une conférence sur le Salut de l’humanité.)   Ce soir en moi trépigne une rage. Sur
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
18 risme que répond M. Gabriel Marcel dans une belle conférence prononcée au Foyer des étudiants protestants, et que la Nouvelle Revu
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
19 Conférences du comte Keyserling (avril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’
20 e de Darmstadt vient de donner au Trocadéro trois conférences sur les problèmes fondamentaux de la civilisation moderne. Décidément
21 c quelque perplexité par le public de la première conférence , sifflé à la seconde, ovationné à la dernière, Keyserling, il faut le
22 alité, nous pensons connaissance mystique. f. «  Conférences du comte Keyserling », Foi et Vie, Paris, n° 26, avril 1931, p. 287-2
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
23 l’autre jour à Tavannes où nous avions donné deux conférences successives devant un vaste rassemblement de jeunes gens : « Comme ch
24 sion que je reçus quelques semaines plus tard, de conférences sur la Suisse aux USA. Le 20 août, je quittais Genève pour l’Amérique
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
25 rier 1934)q Depuis des années, dans toutes les conférences , dans tous les journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis
26 éelles, elle prépare. Mais ce serait là une autre conférence . ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux
11 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
27 es objets que diverses occasions tout imprévues —  conférences , débats publics, enquêtes — m’invitèrent à traiter sans trop de préca
12 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
28 onnelle ?12 Depuis des années, dans toutes les conférences , dans tous les journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis
29 éelles, elle prépare. Mais ce serait là une autre conférence . ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux
30 nne au monde, avant d’avoir rencontré Dieu. 12. Conférence donnée à Genève, le 12 février 1934, au cours de la Semaine chrétienn
13 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
31 es objets que diverses occasions tout imprévues —  conférences , débats publics, enquêtes — m’invitèrent à traiter sans trop de préca
14 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
32 sonnelle ?7 Depuis des années, dans toutes les conférences , dans tous les journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis
33 éelles, elle prépare. Mais ce serait là une autre conférence . ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux
34 onne au monde, avant d’avoir rencontré Dieu. 7. Conférence donnée à Genève, le 12 février 1934, au cours de la Semaine chrétienn
15 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
35 nt se retremper à Paris, d’amphithéâtres pour les conférences et pour les congrès, il sera, pendant la durée de l’Exposition, le ce
16 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
36 ontre clairement M. Lévy-Bruhl, notamment dans la conférence qu’il a faite à Oxford, le 19 mai 1931, il le passe chaque fois qu’il
17 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
37 ènent les affaires du pays. Ils vont à toutes les conférences , prennent la parole au Cercle d’hommes, citent des livres sur la poli
38 quand les voyez-vous ? — Surtout à l’occasion des conférences que j’organise. Vous avez déjà parlé dans des cercles d’hommes. Vous
39 . Demain dimanche, à 10 heures, sera donnée une conférence au profit des vieux, hommes et femmes, âgés de 60 ans au mois de juil
40 s assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence . L’organisation lutte afin de faire accorder une retraite aux vieux.
41 s petits bourgeois, l’obscurantisme clérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires 
18 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
42 de Marseille… Et soudain je me suis souvenu de la conférence que je dois donner à Marseille dans 15 jours. Je ne voulais pas la pr
43 . 28 février Terminé hier soir la rédaction de ma conférence . Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette
44 rtre, il y a deux ou trois ans, j’assistais à une conférence contradictoire contre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne cr
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
45 in-16 » standard. Le feuillet qui nous apporte la conférence d’Éluard à Londres, sur la poésie surréaliste, résume tout le vrai et
20 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
46 ’île pour allumer le feu, j’ai vu l’annonce d’une conférence contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs. » C’est sans do
47 travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la conférence donnée au même endroit, il y a quinze jours, sous les auspices d’une
48 availleurs. » Je comptais me rendre à la première conférence . Mais le village d’A… est à huit kilomètres et la tempête m’avait emp
49 as. Peut-être que la discussion annoncée après la conférence d’A… me fera modifier ce jugement. J’en suis bien curieux. 15 décembr
50 33 Je relève les notes prises l’autre soir sur la conférence à A… … Grande salle de la mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une t
51 ction du bureau, puisque, comme vous le savez, la conférence est contradictoire. Je vous demanderai donc de bien vouloir proposer
52 e ! 18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la conférence d’avant-hier à A… Il me semble qu’elle m’apprend sur « le peuple » da
53 ine dans les propos de mon voisin au sortir de la conférence . Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à « discuter » dans les paro
54 écouter avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec projections lumineuses. Mais les philosophes3, par e
55 ion inefficaces. L’opinion de mon voisin après la conférence , j’ai pu croire que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est c
56 erai pas les conclusions que j’avais tirées de la conférence à A… Elles sont également vraies. Ce qui est faux, c’est de parler du
21 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
57 x ans, pour entrer en contact avec la population. Conférences , visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire
22 1937, Articles divers (1936-1938). « Subjectivité et transcendance », Lettre de M. Denis de Rougemont (décembre 1937)
58 , p. 204. Lettre publiée parmi les réactions à la conférence de Jean Wahl, « Subjectivité et transcendance ».
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
59 ’île pour allumer le feu, j’ai vu l’annonce d’une conférence contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs ». C’est sans do
60 travailleurs ». C’est sans doute une réponse à la conférence donnée au même endroit, il y a quinze jours, sous les auspices d’une
61 availleurs ». Je comptais me rendre à la première conférence . Mais le village d’A. est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêch
62 as. Peut-être que la discussion annoncée après la conférence d’A. me fera modifier ce jugement. J’en suis bien curieux. 13 déce
63 Je relève les notes prises l’autre soir sur la conférence à A. — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une t
64 ction du bureau, puisque, comme vous le savez, la conférence est contradictoire. Je vous demanderai donc de bien vouloir proposer
65 18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la conférence d’avant-hier, à A. Il me semble qu’elle m’apprend sur « le peuple » d
66 ine dans les propos de mon voisin au sortir de la conférence . Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à « discuter » dans les paro
67 écouter avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec projections lumineuses. Mais les philosophes3, par e
68 ion inefficaces. L’opinion de mon voisin après la conférence , j’ai pu croire que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est c
69 x ans, pour entrer en contact avec la population. Conférences , visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire
70 erai pas les conclusions que j’avais tirées de la conférence à A. Elles sont également vraies. Ce qui est faux, c’est de parler du
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
71 ènent les affaires du pays. Ils vont à toutes les conférences , prennent la parole au Cercle d’hommes, citent des livres sur la poli
72 quand les voyez-vous ? — Surtout à l’occasion des conférences que j’organise. Vous avez déjà parlé dans des cercles d’hommes, vous
73 ité. Palavas-les-Flots, 6 janvier 1935 Deux conférences à Montpellier, hier et ce matin. Des étudiants, des professeurs. Beau
74 de Marseille… Et soudain je me suis souvenu de la conférence que je dois donner à Marseille dans quinze jours. Je ne voulais pas l
75 rier 1935 Terminé hier soir la rédaction de ma conférence . Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette
76 rs. Demain dimanche, à 10 heures, sera donnée une conférence au profit des vieux, hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois d
77 s assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence . L’organisation lutte afin de faire accorder une retraite aux vieux.
78 s petits bourgeois, l’obscurantisme clérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires 
79 rtre, il y a deux ou trois ans, j’assistais à une conférence contradictoire contre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne cr
25 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
80 sera jamais totalitaire. 1. Conclusions d’une conférence prononcée à Genève au mois de mai 1938, sous les auspices de Zofingue
26 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
81 le retrait de l’Allemagne de la SDN, ainsi que la Conférence du désarmement, dont l’échec fut pourtant le prétexte principal à la
27 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
82 entreprise dans cette ville. Échange d’étudiants, conférences , cercles d’études, aide bénévole aux étudiants en langues romanes, vo
28 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
83 ours ne commencèrent que le second jour, avec une conférence de Y. chargé de l’instruction de la province. Sujet : “Notre sang, no
29 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
84 mbre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces conférences que j’allais faire, absurdement, dans un pays qui n’existait peut-êtr
30 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
85 ucoup d’entre vous2, apercevant le titre de cette conférence , aient ressenti quelque méfiance. Je souhaite que beaucoup aient tenu
86 marteaux l’on y use. » 2. Texte intégral d’une conférence prononcée au mois de janvier 1939 à Bâle, Neuchâtel, Lausanne et Genè
31 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
87 éprouvions tous un doute sur l’opportunité d’une conférence en temps de guerre, ce fait est significatif. Il prouve que nous teno
88 nvier-février 1940, p. 9-36. Une note précise : «  Conférence prononcée au Rathaus de Zurich, le 15 janvier 1940. — Le manque de pl
32 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
89 isère de l’inflation et du chômage, l’échec de la conférence du désarmement, enfin et surtout les exemples du communisme russe et
33 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
90 gé par la fondation “Pro Helvetia” d’une série de conférences destinées aux colonies suisses du Nouveau Monde. Il part également po
34 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
91 en ce mois de juillet de 1940. Ce ne sera pas une conférence bien bâtie, je tiens à vous le dire tout de suite, mais une simple in
92 ment bibliques ! Ne vous fatiguez pas à faire une conférence , avec des idées personnelles. Notre époque ne demande pas des idées,
93 cherchons à faire au lieu d’un sermon simple, des conférences intéressantes ou pathétiques. Nous ne sommes pas convaincants quand n
94 42. Une note de la rédaction précise : « Deuxième conférence du Camp aîné de Vaumarcus. Les suivantes : L’Église et l’Europe, l’Ég
35 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
95 , réunis en un volume, une série d’articles et de conférences dont il indique, dans son avertissement, le propos, en ces termes : “
36 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
96 ent Ceci n’est pas un livre, mais un recueil de conférences et d’essais sur des sujets variés en apparence : protestantisme, cult
97 urope d’aujourd’hui. On trouvera tout d’abord une conférence sur le protestantisme créateur de personnes. C’est qu’avant de rien p
98 ute rigueur, pour ce qu’il est. Vient ensuite une conférence sur la Bataille de la culture : synthèse rapide des éléments sociaux,
37 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
99 aucoup d’entre vous, apercevant le titre de cette conférence , aient ressenti quelque méfiance. Je souhaite que beaucoup aient tenu
100 amuse, tant plus de marteaux l’on y use.12 » 2. Conférence prononcée au mois de janvier 1939 dans les aulas des universités de N
38 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
101 lerais de la culture… Quel sens pouvait avoir une conférence , au milieu des angoisses et des brutalités de cette guerre étrange, s
102 éprouvions tous un doute sur l’opportunité d’une conférence en temps de guerre, ce fait est significatif. Il prouve que nous teno
103 la justice est le plaisir de Dieu seul. » 13. Conférence prononcée le 15 janvier 1940 au Rathaus de Zurich, sous les auspices
39 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
104 je voudrais consacrer cette dernière partie de ma conférence à quelques remarques sur l’idée de vocation en général, et ensuite, s
105 la Suisse où Dieu nous veut à son service. 31. Conférence prononcée le 28 janvier 1940 au camp de Tavannes des UCJG. 32. Cette
40 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
106 aucoup d’entre vous, apercevant le titre de cette conférence , aient ressenti quelque méfiance. Je souhaite que beaucoup aient tenu
107 ’amuse, tant plus de marteaux l’on y use. » 63. Conférence prononcée au mois de janvier 1939 dans les aulas des universités de N
41 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
108 président et ses secrétaires d’État tiennent des conférences régulières avec les journalistes, qui ont le droit de leur poser n’im
42 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
109 e texte que nous publions est la conclusion d’une conférence que M. Denis de Rougemont a donnée en septembre à Rio de la Plata, so
43 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
110 , lois, opinion publique, presse libre, meetings, conférences . La monarchie était fondée sur le rite, les formules consacrées, la c
44 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
111 , lois, opinion publique, presse libre, meetings, conférences . La monarchie était fondée sur le rite, les formules consacrées, la c
45 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
112 , lois, opinion publique, presse libre, meetings, conférences . La monarchie était fondée sur le rite, les formules consacrées, la c
46 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
113 que et les affirmations formulées par les grandes conférences œcuméniques. Mais il est non moins remarquable qu’aucun de ces docume
47 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
114 tre mois que j’ai passés en Argentine à faire les conférences qu’impliquait ma mission. Je pensais alors regagner la Suisse, quand
115 nis me bloqua sur place. J’avais constaté que les conférences n’étaient pas un très bon moyen de propagande. Les Américains en écou
48 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
116 et ne pouvant me réclamer que d’une « mission de conférences  » (prétexte évidemment peu convaincant) je fais figure d’ex-voyageur
49 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
117 nquets, des jeux de loto, des comités variés, des conférences , des films, un peu de danse, les cultes du dimanche et parfois de la
50 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
118 l’égide de L’Esprit européen. On y a entendu des conférences et des discussions, des concerts, des récitals de poèmes, et assisté
119 t, l’un de nos plus brillants essayistes, dont la conférence , en l’aula de l’Université, a obtenu le plus grand succès, comme cell
51 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
120 er arrivait au pouvoir, on m’offrit de donner des conférences à Budapest. Le président de l’organisation qui m’invitait était un gr
121 , raconte avec vivacité comment il a organisé mes conférences , et quel public j’aurai, et quelles personnes me prient de leur réser
122 te, nous ne parlions jamais. Le soir, j’avais mes conférences ou un dîner. Et je passais le reste de la nuit dans un bar, en compag
52 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
123 mbre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces conférences que j’allais faire, absurdement, dans un pays qui n’existait peut-êtr
53 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
124 rais-je bien être l’« ex » ? Avec ma « mission de conférences  » (prétexte évidemment peu convaincant) je fais figure d’ex-voyageur
54 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
125 on vous demande un cent. 13 novembre 1940 Conférences . — Elles doivent être courtes — cinquante minutes — et garder autant
126 ars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze conférences . Débâcle russe. Absurdité du siècle. Toutes les causes collectives en
55 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
127 s Aires. Je n’ai pas écrit une seule de mes douze conférences . L’hiver ramène ses soucis. Mais il est des plus modérés. 4 août 1
128 e, mes premières impressions, le programme de mes conférences , ce que je vais dire dans la prochaine, ce que j’y ai dit, lesquelles
129 ison. On eût dit que vous le faisiez exprès… » ⁂ Conférences . — Comme aux États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins n
130 res du groupe de Sur, l’honneur du Sud… Avant mes conférences sur l’hitlérisme, on a craint que le gouvernement ne m’empêche de par
131 alistes. ⁂ L’Anti-diable. — L’avant-veille de ma conférence sur le diable dans notre siècle, un reporter américain chez qui je dî
132 — Qu’en savez-vous ? Je n’ai pas encore écrit ma conférence  ? — Nous savons tout, prenez ce fauteuil. — Vous en savez donc plus
133 résident du Jockey ayant proposé que je donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un t
134 ureau par jour, pour rentrer en possession de mes conférences , lettres, journaux intimes, coupures de journaux, carnets d’adresses,
56 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
135 on lit, sans que je bouge. J’ai lentement relu ma conférence de Buenos Aires, des notes éparses. À sept heures, je me suis mis à é
57 1946, Lettres sur la bombe atomique. Point de vue d’un général
136 ra. S’il reste encore des vivants sur terre, une conférence sera très certainement organisée pour décider qui est le vainqueur et
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
137 mples : Paul Desjardins : grand intérêt, émotion, conférence à l’Union pour la Vérité. Benda : id. article ? Renéville : préfère l
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
138 ’île pour allumer le feu, j’ai vu l’annonce d’une conférence contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs. » C’est sans do
139 travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la conférence donnée au même endroit, il y a quinze jours, sous les auspices d’une
140 availleurs. » Je comptais me rendre à la première conférence . Mais le village d’A… est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêch
141 as. Peut-être que la discussion annoncée après la conférence d’A… me fera modifier ce jugement. J’en suis bien curieux. 13 déce
142 Je relève les notes prises l’autre soir sur la conférence à A… — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une t
143 ction du bureau, puisque, comme vous le savez, la conférence est contradictoire. Je vous demanderai donc de bien vouloir proposer
144 18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la conférence d’avant-hier, à A… Il me semble qu’elle m’apprend sur « le peuple » d
145 ine dans les propos de mon voisin au sortir de la conférence . Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à « discuter » dans les paro
146 écouter avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec projections lumineuses. Mais les philosophes28, par
147 ion inefficaces. L’opinion de mon voisin après la conférence , j’ai pu croire que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est c
148 x ans, pour entrer en contact avec la population. Conférences , visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire
149 erai pas les conclusions que j’avais tirées de la conférence à A. Elles sont également vraies. Ce qui est faux, c’est de parler du
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
150 ènent les affaires du pays. Ils vont à toutes les conférences , prennent la parole au Cercle d’hommes, citent des livres sur la poli
151 quand les voyez-vous ? — Surtout à l’occasion des conférences que j’organise. Vous avez déjà parlé dans des cercles d’hommes, vous
152 ité. Palavas-les-Flots, 6 janvier 1935 Deux conférences à Montpellier, hier et ce matin. Des étudiants, des professeurs. Beau
153 de Marseille… Et soudain je me suis souvenu de la conférence que je dois donner à Marseille dans quinze jours. Je ne voulais pas l
154 rier 1935 Terminé hier soir la rédaction de ma conférence . Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette
155 s. Demain dimanche, à 10 heures, sera donnée une conférence au profit des vieux, hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois d
156 s assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence . L’organisation lutte afin de faire accorder une retraite aux vieux.
157 s petits bourgeois, l’obscurantisme clérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires 
158 rtre, il y a deux ou trois ans, j’assistais à une conférence contradictoire contre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne cr
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
159 entreprise dans cette ville. Échange d’étudiants, conférences , cercles d’études, aide bénévole aux étudiants en langues romanes, vo
160 ours ne commencèrent que le second jour, avec une conférence de X… chargé de l’instruction de la province. Sujet : “Notre sang, no
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
161 qui me fut faite en février 1939 d’une tournée de conférences dans quatre universités suisses, sur un thème suggéré par l’associati
162 ris les livres I à V. En mai, comme prévu, quatre conférences en Suisse, une présentation du livre V sur l’Amour et la guerre au Co
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
163 mbre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces conférences que j’allais faire, absurdement, dans un pays qui n’existait peut-êtr
164 l’autre jour à Tavannes où nous avions donné deux conférences devant un vaste rassemblement de jeunes gens : « Comme chrétiens, nou
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
165 Suisses à l’étranger85 m’offrait une « mission de conférences  » en Amérique. L’armée démobilisait les deux tiers de ses effectifs.
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
166 et politiques. Peu d’argent ; moyens d’en gagner conférences et articles mais pour qui et sur quoi, je ne le sais pas encore. L’A
167 rais-je bien être I’« ex » ? Avec ma « mission de conférences  » (prétexte évidemment peu convaincant) je fais figure d’ex-voyageur
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
168 ’on vous demande un cent. 13 novembre 1940 Conférences . — Elles doivent être courtes — cinquante minutes — et garder autant
169 ars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze conférences . Débâcle russe. Absurdité du siècle. Toutes les causes collectives en
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
170 os Aires. Je n’ai pas écrit un seule de mes douze conférences . L’hiver ramène ses soucis. Mais il est des plus modérés. 4 août 1
171 e, mes premières impressions, le programme de mes conférences , ce que je vais dire dans la prochaine, ce que j’y ai dit, les discou
172 i va me paralyser pendant quinze jours encore. ⁂ Conférences . — Comme aux États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins n
173 res du groupe de Sur, l’honneur du Sud… Avant mes conférences sur l’hitlérisme, on a craint que le gouvernement ne m’empêche de par
174 aître88. ⁂ L’Anti-diable. — L’avant-veille de ma conférence sur le diable dans notre siècle, un reporter américain avec qui je dî
175 — Qu’en savez-vous ? Je n’ai pas encore écrit ma conférence  ? Nous savons tout, prenez ce fauteuil. — Vous en savez en tout cas p
176 résident du Jockey ayant proposé que je donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un t
177 un passeport suisse… », affirmera au cours d’une conférence prononcée en Sorbonne le 28 novembre 1946, et publiée dans le recueil
178 28 novembre 1946, et publiée dans le recueil des Conférences de l’Unesco, M. Aragon.
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède douanier
179 ureau par jour, pour rentrer en possession de mes conférences , lettres, journaux intimes, coupures de journaux, carnets d’adresses,
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
180 on lit, sans que je bouge. J’ai lentement relu ma conférence de Buenos Aires, des notes éparses. À sept heures, je me suis mis à é
181 utre compositeur qui a suivi quelques-unes de mes conférences , me disait l’autre jour : « Ce n’est pas que nous refusions les règle
182 ez qui je veux dire, qui se répand en articles et conférences , mais je vais le démasquer, j’ai mon dossier ! » Comme je feins de ne
70 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
183 on lit, sans que je bouge. J’ai lentement relu ma conférence de Buenos Aires, des notes éparses. À sept heures, je me suis mis à é
71 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
184 C’était cependant un peu confus. Subitement, à la conférence de Moscou, quelqu’un propose une méthode, aussi simple que neuve en c
72 1947, Articles divers (1946-1948). Conversation à bâtons rompus avec M. Denis de Rougemont (30-31 août 1947)
185 arti pour l’Amérique afin de faire une tournée de conférences sur la Suisse. J’y allais aussi dans l’intention de faire jouer mon o
186 créer un État fédéral. Comme je l’ai dit dans ma conférence de mardi soir, ce qui étonne tous les historiens de notre Confédérati
73 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
187 Une note finale conclut : « Texte définitif d’une conférence prononcée au congrès de l’Union européenne des fédéralistes, Montreux
74 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
188 Fontaine, à Paris, avaient publié le recueil des conférences prononcées l’hiver dernier en Sorbonne sous les auspices de l’Unesco.
75 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
189 er arrivait au pouvoir, on m’offrit de donner des conférences à Budapest. Le président de l’organisation qui m’invitait était un gr
190 , raconte avec vivacité comment il a organisé mes conférences , et quel public j’aurai, et quelles personnes me prient de leur réser
191 te, nous ne parlions jamais. Le soir, j’avais mes conférences ou un dîner. Et je passais le reste de la nuit dans un bar, en compag
76 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
192 rope », L’Esprit européen : textes in extenso des conférences et entretiens organisés par les Rencontres internationales de Genève
193 ière, 1947, p. 143-163. Accompagné de la note : «  Conférence du 8 septembre 1946. »
77 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
194 président et ses secrétaires d’État tiennent des conférences régulières avec les journalistes, qui ont le droit de leur poser n’im
78 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
195 nquets, des jeux de loto, des comités variés, des conférences , des films, un peu de danse, les cultes du dimanche et parfois de la
79 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
196 davantage comparables. On l’a bien vu lors de la Conférence des Seize. L’URSS s’oppose à toute tentative d’unir les nations de l’
80 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
197 940, il était envoyé en Amérique pour y faire des conférences . Il n’en revint qu’au mois de juillet dernier. Il vécut à New York, à
198 stes, qui se tenait à Montreux, j’ai prononcé une conférence où je développais les principes du fédéralisme. Il ne peut naître, di
81 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
199 ntral de l’Union européenne des fédéralistes, une conférence en Sorbonne. Les extraits que l’on va en lire montrent à quel point l
82 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
200 nent. Le sujet des débats était l’Europe. Dans la conférence qu’on va lire, je m’efforçai de confronter ma « politique de la perso
201 davantage comparables. On l’a bien vu lors de la Conférence des Seize. L’URSS s’oppose à toute tentative d’unir les nations de l’
83 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
202 le pays même dans lequel ils se rassemblaient. La conférence qui suit fut prononcée en guise d’introduction aux travaux du Congrès
84 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
203 réparation du congrès de La Haye qu’appartient la conférence sur l’Aventure de l’Europe prononcée à la Sorbonne le 22 avril 1948.
204 opos, et sans sortir, je crois, du cadre de cette conférence , je voudrais saisir l’occasion d’une mise au point qui se révèle néce
85 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
205 train d’aboutir à certains résultats concrets. La Conférence des Cinq va peut-être accepter notre plan de Parlement européen. Cett
86 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
206 le se fera. Peut-être n’est-il pas mauvais que la conférence des Dix ambassadeurs, à Londres1, prenne son temps. Il y a deux semai
87 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
207 et sur la demande réitérée de nos mouvements, une conférence restreinte de dix-huit ministres et experts était convoquée à Paris,
208 l des ministres européens. Le 28 janvier 1949, la conférence aboutissait à un premier accord, et pouvait annoncer la création proc
209 portation devient importation chez le voisin. Une conférence d’économistes européens, convoquée pour le mois d’avril à Westminster
88 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
210 tera de différents pays. Je prépare également une conférence culturelle européenne qui aura lieu, en octobre, à Lausanne. Ce qui m
89 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
211 os cultures : telle sera la double ambition de la Conférence culturelle, qui doit se réunir à Lausanne au mois d’octobre, sous les
212 e siège du Centre européen de la culture et de la Conférence culturelle, cela ne relève ni du hasard ni de considérations touristi
90 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
213 iers.) Et M. Spaak, seul homme d’État invité à la conférence , est indemne du reproche d’avoir vendu vos peuples. Mais je pense que
214 le même numéro, à l’occasion de l’ouverture de la Conférence européenne de la culture, qui se tint à Lausanne du 8 au 12 décembre
91 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
215 e Bureau d’études met au point le programme d’une conférence de la culture, qui doit se tenir fin octobre à Lausanne. Des rapports
92 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
216 Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)l La condition profondément contradictoire dans laqu
217 lant des masses, l’Assemblée de Strasbourg, cette conférence de la culture. Je parle d’un espoir tremblant. Le sentiment le plus r
218 la communauté européenne. Tel est le but de cette Conférence . Ce qu’on attend de nous ici, c’est d’abord une réponse à la question
219 pourrait discuter sans fin sur le titre de cette Conférence . Les mots européen, culture, prêtent à des controverses trop faciles.
220 mission de leurs principes. Je souhaite que notre Conférence s’interdise les débats académiques auxquels prêtent ces définitions.
221 ondent qu’ils ont un rhume, qu’ils ont promis une conférence . D’autres invoquent un besoin subit de se retirer pour méditer. Regre
222 isoire, en guise d’introduction aux travaux de la conférence . Précisons bien que ce rapport n’est pas un instant destiné à faire l
223 ant destiné à faire l’objet des discussions de la conférence . Il en introduit les sujets. Il veut servir d’exposé des motifs à la
224 tés qu’a rencontrées la préparation même de cette conférence , et que ses insuffisances inévitables dans l’état actuel des choses.
225 Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. La Conférence décidera du sort qu’il faut leur réserver. Il en va de même pour le C
226 ulement, mais importants. La préparation de cette Conférence , l’abondance et la qualité des rapports reçus sur les questions d’édu
227 arbares, que de nous être aussi mal civilisés. La Conférence européenne de la culture faillirait à sa vraie mission, si elle n’éle
228 ilance publique, on pourra dire vraiment de notre Conférence qu’elle fut le congrès de la conscience européenne. Une conscience ma
229 e Madariaga, qui était d’ailleurs président de la conférence de Lausanne (NDLR). 7. Dirigé par M. Denis de Rougemont, avec la col
230 e l’éducation (NDLR). l. « Raisons et buts d’une conférence  », Fédération, Paris, n° 60, janvier 1950, p. 19-25. Il s’agit du dis
231 scours prononcé par Denis de Rougemont lors de la Conférence européenne de la culture qui a eu lieu à Lausanne en décembre 1949.
93 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
232 alistes » dans L’Esprit européen, recueil de neuf conférences prononcées à Genève en 1949, par des hommes de tendances aussi opposé
94 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
233 emaine à ses lecteurs, un extrait de l’importante conférence prononcée par Denis de Rougemont au congrès de La Fédération à Beaune
95 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
234 enu à Bombay, du 28 au 31 mars. Au cours de cette conférence , Denis de Rougemont, qui représentait le Congrès international pour l
96 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
235 ’Arabie, avant le grand échec de ses espoirs à la Conférence de Versailles. Mais comment ne pas penser à Saint-Exupéry ? Le parall
97 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
236 it être question de tirer de nos débats et de nos conférences des conclusions collectives, unanimes. Nous avons entendu, depuis qui
98 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
237 opos de l’Europe. Ici, je devrais faire une autre conférence pour démontrer que notre culture fut bel et bien, dans le passé, la v
99 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
238 n° 6, octobre 1952, p. 3-7. Rapport présenté à la Conférence des Jeunesses politiques européennes.
100 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
239 e l’Europe tenu à La Haye en 1948, préparé par la conférence de Montreux de 1947. Avant que l’administrateur du plan Marshall ait
240 ard avait encore été un des délégués suisses à la conférence de Londres, en 1949. Ainsi donc, et sans remonter à Henri IV ou à Vic