1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 confrontation avec l’Orient, plutôt qu’une réelle connaissance de l’Orient, une conscience d’elle-même. C’est peut-être pour provoqu
2 e le choc de deux mondes, et que seule une intime connaissance mutuelle l’adoucira. Il y a ceux qui à la suite de Claudel estiment q
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
3 e ces Anglais, tombe malade avec à-propos et perd connaissance chaque fois que le récit doit sauter quelques semaines. Qu’on veuille
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 énomène, puis à en suivre quelques conséquences. Connaissance intégrale et culture de soi, telle peut être l’épigraphe de toute la
5 s l’attente angoissée d’une révélation et dans la connaissance de leur misère. Pareils à ceux dont Vinet disait qu’ils s’en vont « é
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
6 xemple que l’œuvre d’art ne peut être un moyen de connaissance personnelle. Après quoi il écrit : « II y a, en fait, deux manières d
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
7 nous étions baignés nous promettait pourtant une connaissance plus intime de certaine tristesse. Seule une maison blanche est arrêt
6 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
8 ecret dans la personnalité. Ce serait un moyen de connaissance plus intégrale de soi. Mais pour être moins pittoresque et plus « ent
9 ôle en se bornant à nous donner de nous-mêmes une connaissance plus intense et plus émouvante ; mais la morale, plutôt que de nous c
10 s moral. De la sincérité envisagée comme moyen de connaissance , le cas extrême d’un Crevel nous montre assez ce qu’il faut penser2.
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
11 ttez-moi de me présenter… d’ailleurs une ancienne connaissance … le Sens Critique. Moi (gêné)… Rougemont. Le Sens Critique. — Il y
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
12 poésie, l’état poétique, est notre seul moyen de connaissance concrète du monde. Mais c’est à condition qu’on ne l’écrive pas, même
13 un mot, une phrase, pour tuer une réalité dont la connaissance devient douloureuse et troublante. Ainsi la conscience tue la connais
14 oureuse et troublante. Ainsi la conscience tue la connaissance . (« Connaissance » étant pris avec son sens le plus profond, qui est
15 ante. Ainsi la conscience tue la connaissance. («  Connaissance  » étant pris avec son sens le plus profond, qui est proche du sens bi
16 t proche du sens biblique. Il ne s’agit pas de la connaissance abstraite et rationnelle dont le monde moderne se contente, et qui te
17 talité scolaire et primaire en particulier, toute connaissance véritable du monde.) Littérature : un vice ? Peut-être. Ou une maladi
9 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
18 ière du prix de la seule possession véritable, la connaissance de l’Esprit. C’est déjà un fait d’expérience. Et qui n’en pourrait ci
19 , qui gardent, par quelle grâce ? un peu de cette connaissance active de Dieu que nos savants nomment mysticisme et considèrent comm
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
20 s à condition d’aller plus loin et de prendre une connaissance positive de ce qu’il y a sous cette réalité. Il est certain que s’ils
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
21 r dans cette classification le plus possible de «  connaissances  » qui dès lors deviennent obligatoires. La somme et l’arrangement des
22 de l’enfant dont je disais tout à l’heure que la connaissance n’est pas exigée de ceux qui établissent les programmes et les examen
23 vérités aussi élémentaires. L’égalitarisme des connaissances De l’existence des programmes, qui est un fait, et de l’existence
24 tiliser pour son profit humain la petite somme de connaissances indispensables qu’on lui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni pl
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
25 pour seul but de faire avaler la pilule amère des connaissances . On songe à M. Ford, qui donne à ses ouvriers un second dimanche, afi
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
26 el régime, c’est qu’ils n’ont pas d’eux-mêmes une connaissance aussi sensible. Ils ignorent ce qu’étiolent en eux les droits de l’ho
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
27 entraînement de l’esprit, au lieu d’une somme de connaissances mortes. Une technique spirituelle. Et puis, qu’il en fasse ce qu’il v
28 ’on nous laisse le temps de la regarder. De faire connaissance . Je ne sais s’il est très exagéré de dire que tout homme gagnerait à
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
29 r dans cette classification le plus possible de «  connaissances  » qui dès lors deviennent obligatoires. La somme et l’arrangement des
30 de l’enfant dont je disais tout à l’heure que la connaissance n’est pas exigée de ceux qui établissent les programmes et les examen
31 és aussi élémentaires. 3.c. L’égalitarisme des connaissances De l’existence des programmes, qui est un fait, et de l’existence
32 tiliser pour son profit humain la petite somme de connaissances indispensables qu’on lui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni pl
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
33 pour seul but de faire avaler la pilule amère des connaissances . On songe à M. Ford, qui donne à ses ouvriers un second dimanche afin
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
34 el régime, c’est qu’ils n’ont pas d’eux-mêmes une connaissance aussi sensible. Mais attendez, si quelques-uns allaient se réveiller…
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
35 entraînement de l’esprit, au lieu d’une somme de connaissances mortes. Une technique spirituelle. Et puis, qu’il en fasse ce qu’il v
36 ’on nous laisse le temps de la regarder. De faire connaissance . Je ne sais s’il est très exagéré de dire que tout homme gagnerait à
19 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
37 eprésente son positivisme esthétique, ce désir de connaissance , puis désigne chez les surréalistes certains sophismes et ce « badina
20 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
38 fantôme, d’office, a pris place. On lie bien vite connaissance , pourvu qu’on sache un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y s
21 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
39 moyen d’un organe interne, puisse nous donner des connaissances plus complètes que l’expérience commune ?” Depuis (et même avant) que
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
40 e roi. » 10. Visite à Babits Personne, à ma connaissance , ne se plaint de ce qu’il y a peu de poètes par le monde. C’est dans
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
41 phrases très frappantes : « L’un garde encore la connaissance au sein d’une flamme plus grande, l’autre seulement d’une plus faible
24 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
42 je pour vous m’arrêter quelques jours ? On ferait connaissance à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en I
25 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
43 nos gestes et nos pensées, nos créations et notre connaissance  ; le sentiment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos connaissan
44 iment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos connaissances même, et dans l’allure de leur progrès. Les humanités nous paraissaie
45 Les humanités y trouveraient bien leur place : la connaissance des étymologies est l’une des garanties les plus actives de la pensée
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
46 ion ; et lorsqu’il dit spiritualité, nous pensons connaissance mystique. f. « Conférences du comte Keyserling », Foi et Vie, Paris
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
47 t « par-delà », — cette joie « qui surpasse toute connaissance  ». 16. La Princesse Blanche, Stock, éditeur. 17. Qu’on lise, par
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
48 plation de sommets assez rares. Personne, à notre connaissance , ne s’était risqué jusqu’ici dans pareille aventure. Personne même n’
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
49 vre entièrement simple qui nous introduit dans la connaissance de la misère, et par là même nous fait sentir combien nous sommes mes
30 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
50 oit d’affirmer rien de certain dans l’ordre de la connaissance , cependant ils seraient en droit d’agir, car on s’y peut contenter de
31 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
51 mières séductions du dépaysement spirituel, de la connaissance ésotérique dans ce qu’elle peut avoir de purement « étrange » ont à p
52 ent au « jour nouveau ». L’âme parvient à cette «  connaissance  », à cet acte de fécondation spirituelle par où l’homme pénètre dans
53 C’est l’opposition du savoir et du pouvoir, de la connaissance et de la souffrance, de la spéculation et de l’existence, de l’au-del
32 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
54 Lavater ou d’un Jacobi. Mais ce « reste », cette connaissance mystique, il ne tardera pas à découvrir qu’on n’y atteint qu’en outre
33 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
55 d’une respiration, l’envahissement de cette dure connaissance  ! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me saisit va-t-i
34 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
56 Le roi. » x Visite à Babits Personne, à ma connaissance , ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dan
57 je pour vous m’arrêter quelques jours ? On ferait connaissance à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en I
35 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
58 fantôme, d’office, a pris place. On lie bien vite connaissance , pourvu qu’on sache un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y s
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
59 d’une respiration, l’envahissement de cette dure connaissance  ! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me saisit va-t-i
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
60 e. Le roi. » Visite à Babits Personne, à ma connaissance , ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dan
61 je pour vous m’arrêter quelques jours ? On ferait connaissance à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en I
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
62 que mon village ne ressemble à aucun autre ; une connaissance intime de la neige ; le désir des pays chauds ; et un petit lièvre. J
39 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
63 rdinaire) de défendre le christianisme, la piètre connaissance de l’homme que l’on trahit ainsi, et, comment cette tactique, encore
40 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
64 ment d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour dema
41 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
65 ur de drames historiques. Que cherche Ramuz ? Une connaissance du particulier qui introduise à celle de l’élémentaire ; qui soit don
42 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
66 ader que la religion de la matière introduit à la connaissance des cœurs ? 2° Raisons philosophiques C’est la bourgeoisie qui,
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
67 que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la connaissance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
68 st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la connaissance intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
44 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
69 ffectif et de la créativité dans l’exercice de la connaissance . Une œuvre « subjective » alors ? Justement non. Rompant avec la cout
45 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
70 es lyriques anglais nourrissent leur flamme d’une connaissance voluptueuse de l’antagonisme cosmique, la France rationaliste, cathol
46 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
71 : mais ce péril est tout imaginaire. Car seule la connaissance du salut promis par le Christ peut nous amener à l’aveu de la réalité
47 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
72 as annoncé sa parution à grand fracas, et qu’à ma connaissance , tout au moins, presque personne encore n’en a parlé. Ce qui n’est pa
48 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
73 nos contemporains. J’entends, par sens social, la connaissance vivante du principe spirituel, affectif et communautaire de la nation
49 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
74 jet que personne n’a vu ni touché appartient à la connaissance qu’on nomme abstraite, qui est la connaissance des choses en tant qu’
75 la connaissance qu’on nomme abstraite, qui est la connaissance des choses en tant qu’absentes. Mais c’est une autre erreur que d’att
76 e d’attribuer à la vision, ou au toucher, ou à la connaissance , une réalité suffisante et détachée de toute action particulière. (Ai
77 bjets matériels ne sont vraiment objets que si la connaissance d’un homme les saisit. La connaissance d’un homme n’est réellement su
78 que si la connaissance d’un homme les saisit. La connaissance d’un homme n’est réellement sujet que dans l’instant où elle rencontr
50 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
79 que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la connaissance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
80 st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la connaissance intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
51 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
81 rdinaire) de défendre le christianisme, la piètre connaissance de l’homme que l’on trahit ainsi, et, comment cette tactique, encore
52 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
82 ment d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour dema
53 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
83 que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la connaissance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
84 st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la connaissance intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
54 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
85 rdinaire) de défendre le christianisme, la piètre connaissance de l’homme que l’on trahit ainsi, et, comment cette tactique, encore
55 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
86 ment d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour dema
56 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
87 s, et de cette liberté spirituelle que confère la connaissance vivante de « la seule chose nécessaire ». Rien de grand, dans l’ordre
57 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
88 Jean 3.2) « L’homme nouveau se renouvelle dans la connaissance , selon l’image de celui qui l’a créé. » (Col. 3.10) Sur la vision et
89 ce grand mystère de la vision. C’est parfois une connaissance égarée qui traverse un délire lucide, tel ce rayon qui pénètre dans l
90 -être pas vu ».28 D’autres fois, c’est la claire connaissance de la béatitude visionnaire : connaissance parfois trop « claire » au
91 claire connaissance de la béatitude visionnaire : connaissance parfois trop « claire » au sens rationaliste de ce mot. Connaissance
92 s trop « claire » au sens rationaliste de ce mot. Connaissance trop pénétrante, qui dépasse trop aisément le concret de la vision. C
93 ntrale à partir de laquelle les entreprises de la connaissance et les opérations de l’art sont également possibles ; les échanges he
58 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
94 res, prix, profit) figure selon Tzara « l’acte de connaissance , qui est quantité, et que nous désignons sous le nom de poésie ». On
59 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
95 dire qu’il marque une date dans l’histoire de la connaissance du monde par le corps, ou si l’on veut, du corps par le monde. « L’ho
60 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
96 est qu’ils croyaient bien faire. Et personne à ma connaissance n’a mis en question leur sérieux, ce qui précisément me paraît remarq
61 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
97 té ne prend mesure que de ce qu’il transforme. Sa connaissance est acte et vision prophétique. La mesure du temps de sa vie réside d
62 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
98 e la religion des Grecs, et justifié par la seule connaissance qu’on a du premier sens. 46. C’est là ce qu’il appelle sa « vie inté
63 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
99 politique étrangère ne suppose pas, en France, la connaissance de nos voisins : elle ne suppose que la lecture des journaux. (Bien s
64 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
100 ord deux mots : « poétique » dans le titre ; et «  connaissance  », qui s’inscrit à chaque page. La rumeur quotidienne tend à faire de
101 z les clercs, déplore l’antipathie tragique de la connaissance et de la Vie. Ceci tuerait cela. Et de cette dialectique, on a tiré q
102 nt, ici et là, ni de la même poésie ni de la même connaissance . Claudel choisit, contre le sens banal, le sens qu’indiquent les étym
65 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
103 arité de l’œuvre entière. Mais bien peu en ont eu connaissance , et moins encore se sont risqués à en parler. Rien d’étonnant d’aille
66 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
104 actuel, mais ce mal n’a pu être révélé que par la connaissance d’un bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne pose pas de problèmes, mais
67 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
105 orpus d’œuvres classées dont il s’agit de prendre connaissance si l’on veut être un « homme cultivé ». C’est aussi un ensemble de di
106 és une vie actuelle, un pouvoir et un sens. Toute connaissance des origines est incluse dans celle des fins, et c’est pourquoi la vi
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
107 à-dire des hommes consacrés à la critique et à la connaissance du principe qui domine l’action et la pensée de leur époque. Nous avo
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
108 t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une connaissance des « causes », mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
70 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
109 toute autorité et de toute légitimité, qui est la connaissance existentielle des fins dernières. La protestation de Luther contre la
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
110 e vraie ou de fausse ; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’engager pour ou contre, en vertu d’un acte d
72 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
111 étal, apporte nécessairement à l’intellectuel une connaissance plus organique du cosmos et de plus saines disciplines de pensée58. J
112 ntéresse le philosophe moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en prend. Épistémologie et gnoséologie, histor
113 oit d’affirmer rien de certain dans l’ordre de la connaissance , cependant ils seraient en droit d’agir, car on s’y peut contenter de
114 naître qu’une seule discipline : la théorie de la connaissance . Ces trois activités, tout à fait typiques de la mentalité que je déc
73 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
115 a grâce, la conscience d’une démission suppose la connaissance préalable, même obscure, de la mission qu’il s’agissait de remplir. C
116 t donné ce qu’ils ne cherchaient pas d’abord, une connaissance plus réelle de l’homme.) L’inertie qui résulte pratiquement de confus
117 acte, nous disposons d’un seul moyen, et c’est la connaissance de ce qui, certainement, s’oppose à l’acte. Deux tentations perpétuel
118 ’ayons perdu par notre chute dans le temps. Cette connaissance dernière est celle de la foi seule. Elle est don de l’Esprit, révélat
119 entiment, bien sûr ! C’est par lui que nous avons connaissance du milieu où il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 86.
120 ) cette collection. » 94. Claudel (Art poétique, Connaissance de l’Est), le Péguy des pamphlets, Ramuz (Raison d’être, Six cahiers,
74 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
121 e réalité immédiate à l’acte, c’est évidemment la connaissance . Non seulement la pensée est acte, mais elle est ce qu’il y a de plus
122 e que pour qui refuse d’aborder le problème de la connaissance à partir de l’acte. Mais, au contraire, la science, considérée mainte
75 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
123 actuel, mais ce mal n’a pu être révélé que par la connaissance d’un bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne pose pas de problèmes, mais
76 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
124 orpus d’œuvres classées dont il s’agit de prendre connaissance si l’on veut être un « homme cultivé ». C’est aussi un ensemble de di
125 és une vie actuelle, un pouvoir et un sens. Toute connaissance des origines est incluse dans celle des fins, et c’est pourquoi la vi
77 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
126 à-dire des hommes consacrés à la critique et à la connaissance du principe qui domine l’action et la pensée de leur époque. Nous avo
78 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
127 t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une connaissance des « causes », mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
128 toute autorité et de toute légitimité, qui est la connaissance existentielle des fins dernières. La protestation de Luther contre la
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
129 e vraie ou de fausse ; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’engager pour ou contre, en vertu d’un acte d
81 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
130 étal, apporte nécessairement à l’intellectuel une connaissance plus organique du cosmos et de plus saines disciplines de pensée60. J
131 ntéresse le philosophe moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en prend. Épistémologie et gnoséologie, histor
132 oit d’affirmer rien de certain dans l’ordre de la connaissance , cependant ils seraient en droit d’agir, car on s’y peut contenter de
133 naître qu’une seule discipline : la théorie de la connaissance . Ces trois activités, tout à fait typiques de la mentalité que je déc
82 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
134 a grâce, la conscience d’une démission suppose la connaissance préalable, même obscure, de la mission qu’il s’agissait de remplir. C
135 t donné ce qu’ils ne cherchaient pas d’abord, une connaissance plus réelle de l’homme. L’inertie qui résulte pratiquement de confusi
136 acte, nous disposons d’un seul moyen, et c’est la connaissance de ce qui, certainement, s’oppose à l’acte. Deux tentations perpétuel
137 ’ayons perdu par notre chute dans le temps. Cette connaissance dernière est celle de la foi seule. Elle est don de l’Esprit, révélat
138 entiment, bien sûr ! C’est par lui que nous avons connaissance du milieu où il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 89.
139 ) cette collection. » 97. Claudel (Art poétique, Connaissance de l’Est), le Péguy des pamphlets, Ramuz (Raison d’être, Six cahiers.
83 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
140 qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la connaissance de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet «
141 extrêmes de la connaissance de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet « extrêmisme » évangélique, que les
142 verse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la connaissance du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce
84 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
143 lui de Luther : la liberté est à ses yeux dans la connaissance virile d’une nécessité immuable, acceptée et aimée comme telle. Mais
85 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
144 e cet incident ne fut autre chose qu’une perte de connaissance , etc. » Ailleurs il parle d’une préface dans laquelle Swedenborg aura
86 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
145 aggrave cette faute. Ainsi : conscience du péché, connaissance de la fin et de l’origine, obligation d’agir pour racheter le mal com
146 vable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droite connaissance de Dieu naît de l’obéissance », écrit Calvin. Et que serait une obéis
87 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
147 n que la pensée « libre » fait d’elle-même, cette connaissance de l’homme qui ne « connaît » pas en acte, qui se souvient seulement
88 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
148 llé à ce qu’elles fussent connues de tous. Cette connaissance produit parmi nous une admirable conformité, parce que rien n’est si
149 t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une connaissance des « causes » mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
89 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
150 qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la connaissance de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet «
151 extrêmes de la connaissance de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet « extrémisme » évangélique, que les
152 verse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la connaissance du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce
90 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
153 e, triste et digne nous dit-on, dont nous faisons connaissance page 92. L’auteur habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la ma
91 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
154 À cette lumière que jette sur nos psychologies la connaissance du mythe primitif, le succès du roman et du film apparaissent comme l
155 de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissance plus exacte et largement vulgarisée des phénomènes sexuels. L’abondan
92 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
156 sauriez-vous prévoir la fin d’une union faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, des millénaires à la nature pour sélec
157 eux religions qui se disputent notre Occident. La connaissance de ce conflit, de ses origines historiques et psychologiques, de son
158 e notre fidélité. La sagesse orientale cherche la connaissance dans l’abolition progressive du divers. Nous, nous cherchons la densi
159 rait le nier. Cependant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces périls nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter
160 , le sort du monde nous importe bien moins que la connaissance de nos devoirs présents. Car « la figure de ce monde passe », mais l’
93 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
161 » — dont on peut recevoir une certaine somme de «  connaissances  ». Je leur demande de répondre par écrit à cette question : « Pourquo
94 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
162 efficace suppose nécessairement et avant tout la connaissance « objective » des faits en discussion, voilà qui, semble-t-il, ne sou
95 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
163 sonnel » du Führer pour dix ans. Cas unique, à ma connaissance , et qui revêt une signification extraordinaire dans sa simplicité. Mi
96 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
164 e. Notre génération trouve, au contraire, dans la connaissance du désordre et des périls inhérents au progrès, la chance d’une grand
97 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
165 irecteur de conscience se trouve subordonnée à la connaissance d’un but auquel il faut conduire cet homme réel. La direction de cons
98 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
166 . Au fond, lorsqu’ils se demandent si le rêve est connaissance ou illusion, et si c’est « l’Autre », ou le moi sombre et son néant,
99 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
167 ncent l’approche des richesses de la terre. ⁂ Une connaissance intime et personnelle de ce que l’on appellera l’âme hollandaise, je
100 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
168 nt de méditer dans le vertige ? Il se peut que la connaissance ne soit rien d’autre que l’effort d’un esprit qui résiste à la chute,
169 e, injustifiable, dont il rejette avec horreur la connaissance . Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe mieux que quiconq
170 la douleur amoureuse, est un moyen privilégié de connaissance . Certes, cela vaut pour les meilleurs. Le grand nombre se soucie peu
171 ion, sont des aspects de notre mode occidental de connaissance , il faut en venir — au moins sous forme de question — à poser une der