1
confrontation avec l’Orient, plutôt qu’une réelle
connaissance
de l’Orient, une conscience d’elle-même. C’est peut-être pour provoqu
2
e le choc de deux mondes, et que seule une intime
connaissance
mutuelle l’adoucira. Il y a ceux qui à la suite de Claudel estiment q
3
e ces Anglais, tombe malade avec à-propos et perd
connaissance
chaque fois que le récit doit sauter quelques semaines. Qu’on veuille
4
énomène, puis à en suivre quelques conséquences.
Connaissance
intégrale et culture de soi, telle peut être l’épigraphe de toute la
5
s l’attente angoissée d’une révélation et dans la
connaissance
de leur misère. Pareils à ceux dont Vinet disait qu’ils s’en vont « é
6
xemple que l’œuvre d’art ne peut être un moyen de
connaissance
personnelle. Après quoi il écrit : « II y a, en fait, deux manières d
7
nous étions baignés nous promettait pourtant une
connaissance
plus intime de certaine tristesse. Seule une maison blanche est arrêt
8
ecret dans la personnalité. Ce serait un moyen de
connaissance
plus intégrale de soi. Mais pour être moins pittoresque et plus « ent
9
ôle en se bornant à nous donner de nous-mêmes une
connaissance
plus intense et plus émouvante ; mais la morale, plutôt que de nous c
10
s moral. De la sincérité envisagée comme moyen de
connaissance
, le cas extrême d’un Crevel nous montre assez ce qu’il faut penser2.
11
ttez-moi de me présenter… d’ailleurs une ancienne
connaissance
… le Sens Critique. Moi (gêné)… Rougemont. Le Sens Critique. — Il y
12
poésie, l’état poétique, est notre seul moyen de
connaissance
concrète du monde. Mais c’est à condition qu’on ne l’écrive pas, même
13
un mot, une phrase, pour tuer une réalité dont la
connaissance
devient douloureuse et troublante. Ainsi la conscience tue la connais
14
oureuse et troublante. Ainsi la conscience tue la
connaissance
. (« Connaissance » étant pris avec son sens le plus profond, qui est
15
ante. Ainsi la conscience tue la connaissance. («
Connaissance
» étant pris avec son sens le plus profond, qui est proche du sens bi
16
t proche du sens biblique. Il ne s’agit pas de la
connaissance
abstraite et rationnelle dont le monde moderne se contente, et qui te
17
talité scolaire et primaire en particulier, toute
connaissance
véritable du monde.) Littérature : un vice ? Peut-être. Ou une maladi
18
ière du prix de la seule possession véritable, la
connaissance
de l’Esprit. C’est déjà un fait d’expérience. Et qui n’en pourrait ci
19
, qui gardent, par quelle grâce ? un peu de cette
connaissance
active de Dieu que nos savants nomment mysticisme et considèrent comm
20
s à condition d’aller plus loin et de prendre une
connaissance
positive de ce qu’il y a sous cette réalité. Il est certain que s’ils
21
r dans cette classification le plus possible de «
connaissances
» qui dès lors deviennent obligatoires. La somme et l’arrangement des
22
de l’enfant dont je disais tout à l’heure que la
connaissance
n’est pas exigée de ceux qui établissent les programmes et les examen
23
vérités aussi élémentaires. L’égalitarisme des
connaissances
De l’existence des programmes, qui est un fait, et de l’existence
24
tiliser pour son profit humain la petite somme de
connaissances
indispensables qu’on lui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni pl
25
pour seul but de faire avaler la pilule amère des
connaissances
. On songe à M. Ford, qui donne à ses ouvriers un second dimanche, afi
26
el régime, c’est qu’ils n’ont pas d’eux-mêmes une
connaissance
aussi sensible. Ils ignorent ce qu’étiolent en eux les droits de l’ho
27
entraînement de l’esprit, au lieu d’une somme de
connaissances
mortes. Une technique spirituelle. Et puis, qu’il en fasse ce qu’il v
28
’on nous laisse le temps de la regarder. De faire
connaissance
. Je ne sais s’il est très exagéré de dire que tout homme gagnerait à
29
r dans cette classification le plus possible de «
connaissances
» qui dès lors deviennent obligatoires. La somme et l’arrangement des
30
de l’enfant dont je disais tout à l’heure que la
connaissance
n’est pas exigée de ceux qui établissent les programmes et les examen
31
és aussi élémentaires. 3.c. L’égalitarisme des
connaissances
De l’existence des programmes, qui est un fait, et de l’existence
32
tiliser pour son profit humain la petite somme de
connaissances
indispensables qu’on lui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni pl
33
pour seul but de faire avaler la pilule amère des
connaissances
. On songe à M. Ford, qui donne à ses ouvriers un second dimanche afin
34
el régime, c’est qu’ils n’ont pas d’eux-mêmes une
connaissance
aussi sensible. Mais attendez, si quelques-uns allaient se réveiller…
35
entraînement de l’esprit, au lieu d’une somme de
connaissances
mortes. Une technique spirituelle. Et puis, qu’il en fasse ce qu’il v
36
’on nous laisse le temps de la regarder. De faire
connaissance
. Je ne sais s’il est très exagéré de dire que tout homme gagnerait à
37
eprésente son positivisme esthétique, ce désir de
connaissance
, puis désigne chez les surréalistes certains sophismes et ce « badina
38
fantôme, d’office, a pris place. On lie bien vite
connaissance
, pourvu qu’on sache un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y s
39
moyen d’un organe interne, puisse nous donner des
connaissances
plus complètes que l’expérience commune ?” Depuis (et même avant) que
40
e roi. » 10. Visite à Babits Personne, à ma
connaissance
, ne se plaint de ce qu’il y a peu de poètes par le monde. C’est dans
41
phrases très frappantes : « L’un garde encore la
connaissance
au sein d’une flamme plus grande, l’autre seulement d’une plus faible
42
je pour vous m’arrêter quelques jours ? On ferait
connaissance
à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en I
43
nos gestes et nos pensées, nos créations et notre
connaissance
; le sentiment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos connaissan
44
iment d’une harmonie à sauvegarder au sein de nos
connaissances
même, et dans l’allure de leur progrès. Les humanités nous paraissaie
45
Les humanités y trouveraient bien leur place : la
connaissance
des étymologies est l’une des garanties les plus actives de la pensée
46
ion ; et lorsqu’il dit spiritualité, nous pensons
connaissance
mystique. f. « Conférences du comte Keyserling », Foi et Vie, Paris
47
t « par-delà », — cette joie « qui surpasse toute
connaissance
». 16. La Princesse Blanche, Stock, éditeur. 17. Qu’on lise, par
48
plation de sommets assez rares. Personne, à notre
connaissance
, ne s’était risqué jusqu’ici dans pareille aventure. Personne même n’
49
vre entièrement simple qui nous introduit dans la
connaissance
de la misère, et par là même nous fait sentir combien nous sommes mes
50
oit d’affirmer rien de certain dans l’ordre de la
connaissance
, cependant ils seraient en droit d’agir, car on s’y peut contenter de
51
mières séductions du dépaysement spirituel, de la
connaissance
ésotérique dans ce qu’elle peut avoir de purement « étrange » ont à p
52
ent au « jour nouveau ». L’âme parvient à cette «
connaissance
», à cet acte de fécondation spirituelle par où l’homme pénètre dans
53
C’est l’opposition du savoir et du pouvoir, de la
connaissance
et de la souffrance, de la spéculation et de l’existence, de l’au-del
54
Lavater ou d’un Jacobi. Mais ce « reste », cette
connaissance
mystique, il ne tardera pas à découvrir qu’on n’y atteint qu’en outre
55
d’une respiration, l’envahissement de cette dure
connaissance
! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me saisit va-t-i
56
Le roi. » x Visite à Babits Personne, à ma
connaissance
, ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dan
57
je pour vous m’arrêter quelques jours ? On ferait
connaissance
à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en I
58
fantôme, d’office, a pris place. On lie bien vite
connaissance
, pourvu qu’on sache un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y s
59
d’une respiration, l’envahissement de cette dure
connaissance
! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me saisit va-t-i
60
e. Le roi. » Visite à Babits Personne, à ma
connaissance
, ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dan
61
je pour vous m’arrêter quelques jours ? On ferait
connaissance
à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en I
62
que mon village ne ressemble à aucun autre ; une
connaissance
intime de la neige ; le désir des pays chauds ; et un petit lièvre. J
63
rdinaire) de défendre le christianisme, la piètre
connaissance
de l’homme que l’on trahit ainsi, et, comment cette tactique, encore
64
ment d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la
connaissance
du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour dema
65
ur de drames historiques. Que cherche Ramuz ? Une
connaissance
du particulier qui introduise à celle de l’élémentaire ; qui soit don
66
ader que la religion de la matière introduit à la
connaissance
des cœurs ? 2° Raisons philosophiques C’est la bourgeoisie qui,
67
que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la
connaissance
désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
68
st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la
connaissance
intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
69
ffectif et de la créativité dans l’exercice de la
connaissance
. Une œuvre « subjective » alors ? Justement non. Rompant avec la cout
70
es lyriques anglais nourrissent leur flamme d’une
connaissance
voluptueuse de l’antagonisme cosmique, la France rationaliste, cathol
71
: mais ce péril est tout imaginaire. Car seule la
connaissance
du salut promis par le Christ peut nous amener à l’aveu de la réalité
72
as annoncé sa parution à grand fracas, et qu’à ma
connaissance
, tout au moins, presque personne encore n’en a parlé. Ce qui n’est pa
73
nos contemporains. J’entends, par sens social, la
connaissance
vivante du principe spirituel, affectif et communautaire de la nation
74
jet que personne n’a vu ni touché appartient à la
connaissance
qu’on nomme abstraite, qui est la connaissance des choses en tant qu’
75
la connaissance qu’on nomme abstraite, qui est la
connaissance
des choses en tant qu’absentes. Mais c’est une autre erreur que d’att
76
e d’attribuer à la vision, ou au toucher, ou à la
connaissance
, une réalité suffisante et détachée de toute action particulière. (Ai
77
bjets matériels ne sont vraiment objets que si la
connaissance
d’un homme les saisit. La connaissance d’un homme n’est réellement su
78
que si la connaissance d’un homme les saisit. La
connaissance
d’un homme n’est réellement sujet que dans l’instant où elle rencontr
79
que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la
connaissance
désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
80
st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la
connaissance
intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
81
rdinaire) de défendre le christianisme, la piètre
connaissance
de l’homme que l’on trahit ainsi, et, comment cette tactique, encore
82
ment d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la
connaissance
du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour dema
83
que impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la
connaissance
désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mai
84
st un homme incomplet, désuni. Et ce n’est pas la
connaissance
intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire po
85
rdinaire) de défendre le christianisme, la piètre
connaissance
de l’homme que l’on trahit ainsi, et, comment cette tactique, encore
86
ment d’humaniste, mange du fruit de l’arbre de la
connaissance
du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour dema
87
s, et de cette liberté spirituelle que confère la
connaissance
vivante de « la seule chose nécessaire ». Rien de grand, dans l’ordre
88
Jean 3.2) « L’homme nouveau se renouvelle dans la
connaissance
, selon l’image de celui qui l’a créé. » (Col. 3.10) Sur la vision et
89
ce grand mystère de la vision. C’est parfois une
connaissance
égarée qui traverse un délire lucide, tel ce rayon qui pénètre dans l
90
-être pas vu ».28 D’autres fois, c’est la claire
connaissance
de la béatitude visionnaire : connaissance parfois trop « claire » au
91
claire connaissance de la béatitude visionnaire :
connaissance
parfois trop « claire » au sens rationaliste de ce mot. Connaissance
92
s trop « claire » au sens rationaliste de ce mot.
Connaissance
trop pénétrante, qui dépasse trop aisément le concret de la vision. C
93
ntrale à partir de laquelle les entreprises de la
connaissance
et les opérations de l’art sont également possibles ; les échanges he
94
res, prix, profit) figure selon Tzara « l’acte de
connaissance
, qui est quantité, et que nous désignons sous le nom de poésie ». On
95
dire qu’il marque une date dans l’histoire de la
connaissance
du monde par le corps, ou si l’on veut, du corps par le monde. « L’ho
96
est qu’ils croyaient bien faire. Et personne à ma
connaissance
n’a mis en question leur sérieux, ce qui précisément me paraît remarq
97
té ne prend mesure que de ce qu’il transforme. Sa
connaissance
est acte et vision prophétique. La mesure du temps de sa vie réside d
98
e la religion des Grecs, et justifié par la seule
connaissance
qu’on a du premier sens. 46. C’est là ce qu’il appelle sa « vie inté
99
politique étrangère ne suppose pas, en France, la
connaissance
de nos voisins : elle ne suppose que la lecture des journaux. (Bien s
100
ord deux mots : « poétique » dans le titre ; et «
connaissance
», qui s’inscrit à chaque page. La rumeur quotidienne tend à faire de
101
z les clercs, déplore l’antipathie tragique de la
connaissance
et de la Vie. Ceci tuerait cela. Et de cette dialectique, on a tiré q
102
nt, ici et là, ni de la même poésie ni de la même
connaissance
. Claudel choisit, contre le sens banal, le sens qu’indiquent les étym
103
arité de l’œuvre entière. Mais bien peu en ont eu
connaissance
, et moins encore se sont risqués à en parler. Rien d’étonnant d’aille
104
actuel, mais ce mal n’a pu être révélé que par la
connaissance
d’un bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne pose pas de problèmes, mais
105
orpus d’œuvres classées dont il s’agit de prendre
connaissance
si l’on veut être un « homme cultivé ». C’est aussi un ensemble de di
106
és une vie actuelle, un pouvoir et un sens. Toute
connaissance
des origines est incluse dans celle des fins, et c’est pourquoi la vi
107
à-dire des hommes consacrés à la critique et à la
connaissance
du principe qui domine l’action et la pensée de leur époque. Nous avo
108
t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une
connaissance
des « causes », mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
109
toute autorité et de toute légitimité, qui est la
connaissance
existentielle des fins dernières. La protestation de Luther contre la
110
e vraie ou de fausse ; et finalement choisir « en
connaissance
de fin », c’est-à-dire s’engager pour ou contre, en vertu d’un acte d
111
étal, apporte nécessairement à l’intellectuel une
connaissance
plus organique du cosmos et de plus saines disciplines de pensée58. J
112
ntéresse le philosophe moderne : les moyens de la
connaissance
et la conscience qu’il en prend. Épistémologie et gnoséologie, histor
113
oit d’affirmer rien de certain dans l’ordre de la
connaissance
, cependant ils seraient en droit d’agir, car on s’y peut contenter de
114
naître qu’une seule discipline : la théorie de la
connaissance
. Ces trois activités, tout à fait typiques de la mentalité que je déc
115
a grâce, la conscience d’une démission suppose la
connaissance
préalable, même obscure, de la mission qu’il s’agissait de remplir. C
116
t donné ce qu’ils ne cherchaient pas d’abord, une
connaissance
plus réelle de l’homme.) L’inertie qui résulte pratiquement de confus
117
acte, nous disposons d’un seul moyen, et c’est la
connaissance
de ce qui, certainement, s’oppose à l’acte. Deux tentations perpétuel
118
’ayons perdu par notre chute dans le temps. Cette
connaissance
dernière est celle de la foi seule. Elle est don de l’Esprit, révélat
119
entiment, bien sûr ! C’est par lui que nous avons
connaissance
du milieu où il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 86.
120
) cette collection. » 94. Claudel (Art poétique,
Connaissance
de l’Est), le Péguy des pamphlets, Ramuz (Raison d’être, Six cahiers,
121
e réalité immédiate à l’acte, c’est évidemment la
connaissance
. Non seulement la pensée est acte, mais elle est ce qu’il y a de plus
122
e que pour qui refuse d’aborder le problème de la
connaissance
à partir de l’acte. Mais, au contraire, la science, considérée mainte
123
actuel, mais ce mal n’a pu être révélé que par la
connaissance
d’un bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne pose pas de problèmes, mais
124
orpus d’œuvres classées dont il s’agit de prendre
connaissance
si l’on veut être un « homme cultivé ». C’est aussi un ensemble de di
125
és une vie actuelle, un pouvoir et un sens. Toute
connaissance
des origines est incluse dans celle des fins, et c’est pourquoi la vi
126
à-dire des hommes consacrés à la critique et à la
connaissance
du principe qui domine l’action et la pensée de leur époque. Nous avo
127
t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une
connaissance
des « causes », mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
128
toute autorité et de toute légitimité, qui est la
connaissance
existentielle des fins dernières. La protestation de Luther contre la
129
e vraie ou de fausse ; et finalement choisir « en
connaissance
de fin », c’est-à-dire s’engager pour ou contre, en vertu d’un acte d
130
étal, apporte nécessairement à l’intellectuel une
connaissance
plus organique du cosmos et de plus saines disciplines de pensée60. J
131
ntéresse le philosophe moderne : les moyens de la
connaissance
et la conscience qu’il en prend. Épistémologie et gnoséologie, histor
132
oit d’affirmer rien de certain dans l’ordre de la
connaissance
, cependant ils seraient en droit d’agir, car on s’y peut contenter de
133
naître qu’une seule discipline : la théorie de la
connaissance
. Ces trois activités, tout à fait typiques de la mentalité que je déc
134
a grâce, la conscience d’une démission suppose la
connaissance
préalable, même obscure, de la mission qu’il s’agissait de remplir. C
135
t donné ce qu’ils ne cherchaient pas d’abord, une
connaissance
plus réelle de l’homme. L’inertie qui résulte pratiquement de confusi
136
acte, nous disposons d’un seul moyen, et c’est la
connaissance
de ce qui, certainement, s’oppose à l’acte. Deux tentations perpétuel
137
’ayons perdu par notre chute dans le temps. Cette
connaissance
dernière est celle de la foi seule. Elle est don de l’Esprit, révélat
138
entiment, bien sûr ! C’est par lui que nous avons
connaissance
du milieu où il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 89.
139
) cette collection. » 97. Claudel (Art poétique,
Connaissance
de l’Est), le Péguy des pamphlets, Ramuz (Raison d’être, Six cahiers.
140
qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la
connaissance
de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet «
141
extrêmes de la connaissance de soi-même et de la
connaissance
de la foi. Luther insiste sur cet « extrêmisme » évangélique, que les
142
verse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la
connaissance
du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce
143
lui de Luther : la liberté est à ses yeux dans la
connaissance
virile d’une nécessité immuable, acceptée et aimée comme telle. Mais
144
e cet incident ne fut autre chose qu’une perte de
connaissance
, etc. » Ailleurs il parle d’une préface dans laquelle Swedenborg aura
145
aggrave cette faute. Ainsi : conscience du péché,
connaissance
de la fin et de l’origine, obligation d’agir pour racheter le mal com
146
vable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droite
connaissance
de Dieu naît de l’obéissance », écrit Calvin. Et que serait une obéis
147
n que la pensée « libre » fait d’elle-même, cette
connaissance
de l’homme qui ne « connaît » pas en acte, qui se souvient seulement
148
llé à ce qu’elles fussent connues de tous. Cette
connaissance
produit parmi nous une admirable conformité, parce que rien n’est si
149
t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une
connaissance
des « causes » mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
150
qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la
connaissance
de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet «
151
extrêmes de la connaissance de soi-même et de la
connaissance
de la foi. Luther insiste sur cet « extrémisme » évangélique, que les
152
verse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la
connaissance
du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce
153
e, triste et digne nous dit-on, dont nous faisons
connaissance
page 92. L’auteur habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la ma
154
À cette lumière que jette sur nos psychologies la
connaissance
du mythe primitif, le succès du roman et du film apparaissent comme l
155
de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une
connaissance
plus exacte et largement vulgarisée des phénomènes sexuels. L’abondan
156
sauriez-vous prévoir la fin d’une union faite en
connaissance
de causes. Il a fallu, dit-on, des millénaires à la nature pour sélec
157
eux religions qui se disputent notre Occident. La
connaissance
de ce conflit, de ses origines historiques et psychologiques, de son
158
e notre fidélité. La sagesse orientale cherche la
connaissance
dans l’abolition progressive du divers. Nous, nous cherchons la densi
159
rait le nier. Cependant, à plusieurs reprises, la
connaissance
de ces périls nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter
160
, le sort du monde nous importe bien moins que la
connaissance
de nos devoirs présents. Car « la figure de ce monde passe », mais l’
161
» — dont on peut recevoir une certaine somme de «
connaissances
». Je leur demande de répondre par écrit à cette question : « Pourquo
162
efficace suppose nécessairement et avant tout la
connaissance
« objective » des faits en discussion, voilà qui, semble-t-il, ne sou
163
sonnel » du Führer pour dix ans. Cas unique, à ma
connaissance
, et qui revêt une signification extraordinaire dans sa simplicité. Mi
164
e. Notre génération trouve, au contraire, dans la
connaissance
du désordre et des périls inhérents au progrès, la chance d’une grand
165
irecteur de conscience se trouve subordonnée à la
connaissance
d’un but auquel il faut conduire cet homme réel. La direction de cons
166
. Au fond, lorsqu’ils se demandent si le rêve est
connaissance
ou illusion, et si c’est « l’Autre », ou le moi sombre et son néant,
167
ncent l’approche des richesses de la terre. ⁂ Une
connaissance
intime et personnelle de ce que l’on appellera l’âme hollandaise, je
168
nt de méditer dans le vertige ? Il se peut que la
connaissance
ne soit rien d’autre que l’effort d’un esprit qui résiste à la chute,
169
e, injustifiable, dont il rejette avec horreur la
connaissance
. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe mieux que quiconq
170
la douleur amoureuse, est un moyen privilégié de
connaissance
. Certes, cela vaut pour les meilleurs. Le grand nombre se soucie peu
171
ion, sont des aspects de notre mode occidental de
connaissance
, il faut en venir — au moins sous forme de question — à poser une der