1
cette « violence ordonnée et calme » des « grands
corps
athlétiques ». Sur le stade au soleil se déploient les équipes, et l’
2
e », et aussi parfois, de la pensée que « sur ces
corps
de l’entre-deux-guerres, … cinq sur dix sont désignés… ». Voici passe
3
be, c’est une allégresse héroïque qu’infuse à son
corps
la douce matière. L’air et le sol, dieux rivaux, se le disputent, et
4
sique que je n’entends pas ? » — Mais plus que le
corps
en mouvement, c’est la domination de la raison sur ce corps qui est e
5
ouvement, c’est la domination de la raison sur ce
corps
qui est exaltante, et c’est cette domination qui est le but véritable
6
e entrave à la violence animale déchaînée dans le
corps
du joueur à la vue de la prairie rase où rebondit un ballon. Si l’on
7
our où cette consomption frénétique terrassant un
corps
minable, il ne restera plus que les flammes, les soleils et aussi les
8
n’a pas eu trop de peine à l’annexer à son propre
corps
de doctrines critiques. Dirai-je pourtant que je crains qu’il n’ait é
9
se remettre à manger, tout de même nous avons un
corps
, et c’est très beau, Breton, de crier « Révolution toujours » — tant
10
s et des proportions ; rééduquer les instincts du
corps
et de l’âme ; vouloir une foi… La morale de demain sera en réaction c
11
onstruire ; sobres de langage et maîtres de leurs
corps
exercés, ils savent qu’il n’y a de pensée valable qu’assujettie à son
12
René Crevel, Mon
corps
et moi (mai 1926)u Les témoignages ne manquent pas sur la détresse
13
l’hypocrisie. Isolé dans un hôtel perdu, avec son
corps
qui se souvient — « mémoire, l’ennemie » — avec une intelligence dont
14
nez-nous la force et le courage de contempler nos
corps
et nos cœurs sans dégoût implorait Baudelaire. Encore avait-il le co
15
-il le courage de prier… u. « René Crevel : Mon
corps
et moi », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 19
16
te force — ici, je tape du pied —, ces désirs, ce
corps
… J’ai un passé à moi, un milieu, des amis, ce tic. Mais encore, tant
17
ur mon état qui peut m’être dangereuse. (On donne
corps
à une faiblesse en la nommant ; or je ne veux plus de faiblesses4.) E
18
omment m’adapter à l’existence que m’imposent mon
corps
et les lois du monde, et comment augmenter ma puissance de jouir, en
19
la marée de mes désirs. Qu’ils viennent battre ce
corps
triste, qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes joies du larg
20
gèreté puissante, quelle confiance vont guider ce
corps
et cet esprit… Créer, ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon am
21
Puis ses pattes se tendirent peu à peu, comme un
corps
qu’on gonflerait à la pompe, tandis que dans cet agrandissement les a
22
des voluptés plus faciles — pour infuser dans nos
corps
charmés d’un repos sans rêves une langueur dont on ne voudrait plus g
23
(décembre 1926)b Nous voyons un mythe prendre
corps
parmi les ruines de ce temps. Il fallait bien tirer quelque vertu d’u
24
des profondeurs ; mais déjà c’est le chaos. Mon
corps
et moi, le livre si poignant de René Crevel, est la démonstration la
25
non !… Debout dans l’ère successive ! Brisez, mon
corps
, brisez cette forme pensive ! .......................................
26
unité la plus réelle de l’individu — en dehors du
corps
. Et ce ne sont point là jeux d’idées et jongleries verbales. Regards
27
ait. Nous aimions la Révolution qui nous perdrait
corps
et biens dans sa grandeur comme une femme merveilleuse nous perdrait
28
andeur comme une femme merveilleuse nous perdrait
corps
et âme dans l’ivresse amoureuse ; nous cherchions cette Révolution de
29
C’était le poids de la pierre, plus que celui du
corps
de l’athlète ; l’œuvre n’atteignait pas encore pleinement sa vie prop
30
c’est encore l’« élan mortel » que décrivait Mon
Corps
et Moi. Quand l’analyse féroce de Crevel fouille les pensées de Pierr
31
dix ans au plus. Après, c’est un long adieu et le
corps
se fige à mesure que l’esprit s’établit sur ses positions. Or donc, j
32
sourire et pleura. Alors une rage s’empara de mon
corps
tout entier, je criai un juron, claquai la porte et courus dans ma ch
33
ure qui aurait pu être… Un homme médite à côté du
corps
de son ami suicidé pour une femme qu’ils ont aimé tous deux (L’Amie d
34
. Mais l’homme qui était un membre vivant dans le
corps
de la Nature, lié par les liens les plus subtils et les plus profonds
35
es et des exigences les plus rudimentaires de son
corps
. Il a perdu le contact avec les choses naturelles, et par là même, av
36
ure de robes de soie, nous amusant à imaginer les
corps
précieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune femme, ch
37
mme des ballons. La rumeur de Vienne baignait nos
corps
fatigués jusqu’à l’insensibilité et l’Illusion étendait sur toutes ch
38
fin, le Français reçoit une lettre trouvée sur le
corps
de son ami suicidé, pathétique confession qui doit expliquer sa mort
39
amerlan, dont la spécialité était l’assassinat du
corps
humain, mais qui raconte dans son autobiographie que son désir consta
40
r se détache de toi comme une lourde pierre. » Le
corps
, que l’âme quitte, redevient minéral, statue dans le silence « aux ye
41
en Allemagne. Et durant trente années, ce pauvre
corps
abandonné vivra dans la petite tour de Tubingue, chez un charpentier
42
erdu son âme. Et puis il n’est revenu qu’un vieux
corps
radotant. — Qu’en pensez-vous, bonnes gens ?… Il a eu tort, sans dout
43
livrent à ces excès de langage, je les renvoie en
corps
au chapitre 5 où je traiterai de cet aspect du problème que l’on peut
44
u’il ne manque à cette plaisanterie, pour prendre
corps
, que l’appui intéressé d’un groupement politico-financier. Et il y au
45
respond au garde-à-vous ! par quoi l’on impose au
corps
une immobilité absolue. L’un et l’autre de ces exercices montrent que
46
livrent à ces excès de langage. Je les renvoie en
corps
au chapitre 5 où je traiterai de cet aspect du problème que l’on peut
47
u’il ne manque à cette plaisanterie, pour prendre
corps
, que l’appui intéressé d’un groupement politico-financier. Et il y au
48
respond au garde-à-vous ! par quoi l’on impose au
corps
une immobilité absolue. L’un et l’autre de ces exercices montrent que
49
es sanglots perdus qui rôdent à la recherche d’un
corps
faible. Je ne sais pas où tu m’attends mais je sais comment tu pleu
50
lusieurs semaines, au terme desquelles, épuisé de
corps
et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule note, il se retrouva aux por
51
colie même est passionnée. Elles chantent avec le
corps
entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi, — elles ont
52
mbré d’un ministère… mais déjà l’œil s’éteint, le
corps
se plie, fait demi-tour et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quell
53
gréco-latin, un canon de l’âme aussi bien que du
corps
. Il est possible que ce mythe ait animé l’humanisme de nos humanités.
54
ois longues croix dans une lumière dramatique, le
corps
du Christ déjà presque transfiguré en symbole mystique sur le ciel ve
55
, il se jeta par terre sur la route, criant à son
corps
: “Meurs !”, mais sans résultat ». C’est dans un tel état de désespoi
56
s souvent indignées de nos docteurs, un fait prit
corps
, irréfutable : dans l’esprit du Français moyen, « protestant » devint
57
urraient-ils ? Car il faut qu’un idéal ait « pris
corps
» pour qu’il devienne « applicable ». On ne crée rien de vivant avec
58
nfiévré le jeune Goethe, que déjà la faiblesse du
corps
le ramène à l’aspect concret de notre condition. Et c’est seulement e
59
t lorsque, épuisé mais pacifié, il va quitter son
corps
aveugle pour d’autres formes d’existence que la Nature se voit pour a
60
celui « qui toujours s’est efforcé » a purifié le
corps
, et l’âme est prête à recevoir « l’amour d’en haut ». Car telle est l
61
ts drapeaux dans une aube sans frontières nos
corps
sont dans l’autre nuit mais c’est ici que je t’ai touchée pour la
62
mme on vit peu de temps au seul désir tant de
corps
refusés au seul plaisir un seul ange tombé et celui qui roulait s
63
moins d’agir en vertu du principe d’inertie (tout
corps
en mouvement tend à conserver son mouvement). C’est ainsi que ces act
64
ure de robes de soie, nous amusant à imaginer les
corps
précieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune femme, ch
65
mme des ballons. La rumeur de Vienne baignait nos
corps
fatigués jusqu’à l’insensibilité et l’illusion étendait sur toutes ch
66
aisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le
corps
diplomatique, debout en cercle, écoute dans un recueillement stupide,
67
ui déjà me saisit va-t-il ainsi nous séparer ? Ce
corps
de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le vel
68
— guérir de l’écœurement de revivre — toucher un
corps
livré à la violence immobile de son âme… Mais les jeunes filles sont
69
colie même est passionnée. Elles chantent avec le
corps
entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi, — elles ont
70
mbré d’un ministère… mais déjà l’œil s’éteint, le
corps
se plie, fait demi-tour et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quell
71
en Allemagne. Et durant trente années, ce pauvre
corps
abandonné vivra dans la petite tour de Tubingue, chez un charpentier
72
erdu son âme. Et puis il n’est revenu qu’un vieux
corps
radotant. — Qu’en pensez-vous, bonnes gens ?… Il a eu tort, sans dout
73
au net. Paracelse s’occupait d’extraire l’ens des
corps
, tandis que Swedenborg se complaît à décrire le vêtement des anges. L
74
nde qu’on nous a fait. Tout encombré d’idées sans
corps
, de corps stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous voulez —, t
75
nous a fait. Tout encombré d’idées sans corps, de
corps
stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous voulez —, tout encomb
76
st un point de vue central et médiateur entre les
corps
et les esprits. C’est en cela seulement que réside son originalité da
77
prême de la signification. (L’état de l’âme et du
corps
où tout nous apparaît en relations concrètes.) 31 mai 1929 Pers
78
une espèce de joie qui attrape la fièvre dans mon
corps
. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il semble que mon
79
s l’ombre.) Quand la Lune s’en va, il y a ce haut
corps
obscur qui vit tout près de moi dans son véritable silence, les yeux
80
tion fondamentale, et non point seulement pour le
corps
. J’ai pensé aux gens des villes, au décor de leur « vie ». J’ai vu cl
81
s du sommeil. Ou bien descends les bras collés au
corps
dans l’onde apaisée du souvenir. Sois riche d’avoir ce que tu es, com
82
diait à quelque amie de haut parage spirituel. Le
corps
même y trouve sa part, car l’invention favorise la circulation du san
83
lir avec un cœur viril et bon le spectacle de ces
corps
amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’Andersen, un t
84
ur tentation, leur nostalgie, c’est de revêtir un
corps
humain. 17. Tel fut bien, d’ailleurs, son dessein, qu’il avoue dans
85
voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le
corps
se détend. Là devant, un chauffeur immobile guette les ornières profo
86
as, et l’Occident ne peut rien en attendre, qu’un
corps
de janissaires tout au plus. Mais ces hommes durs, silencieux, et sa
87
lusieurs semaines, au terme desquelles, épuisé de
corps
et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule note, il se retrouva aux por
88
aisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le
corps
diplomatique, debout en cercle, écoute dans un recueillement stupide,
89
ui déjà me saisit va-t-il ainsi nous séparer ? Ce
corps
de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le vel
90
— guérir de l’écœurement de revivre — toucher un
corps
livré à la violence immobile de son âme… Mais les jeunes filles sont
91
colie même est passionnée. Elles chantent avec le
corps
entier — non pas avec les bras, comme on chante du Verdi —, elles ont
92
mbré d’un ministère… mais déjà l’œil s’éteint, le
corps
se plie, fait demi-tour et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quell
93
voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le
corps
se détend. Là devant, un chauffeur immobile guette les ornières profo
94
as, et l’Occident ne peut rien en attendre, qu’un
corps
de janissaires tout au plus. Mais ces hommes durs, silencieux, servan
95
en Allemagne. Et durant trente années, ce pauvre
corps
abandonné vivra dans la petite tour de Tubingue, chez un charpentier
96
erdu son âme. Et puis il n’est revenu qu’un vieux
corps
radotant. — Qu’en pensez-vous, bonnes gens ?… Il a eu tort, sans dout
97
au net. Paracelse s’occupait d’extraire l’ens des
corps
, tandis que Swedenborg se complaît à décrire le vêtement des anges. L
98
nde qu’on nous a fait. Tout encombré d’idées sans
corps
, de corps stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous voulez —, t
99
nous a fait. Tout encombré d’idées sans corps, de
corps
stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous voulez —, tout encomb
100
st un point de vue central et médiateur entre les
corps
et les esprits. C’est en cela seulement que réside son originalité da
101
ur tentation, leur nostalgie, c’est de revêtir un
corps
humain. Or, pour l’être situé en un tel lieu — le lieu humain par ex
102
prême de la signification. (L’état de l’âme et du
corps
où tout nous apparaît en relations concrètes.) 31 mai 1929 Pers
103
une espèce de joie qui attrape la fièvre dans mon
corps
. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il semble que mon
104
s l’ombre.) Quand la Lune s’en va, il y a ce haut
corps
obscur qui vit tout près de moi dans son véritable silence, les yeux
105
tion fondamentale, et non point seulement pour le
corps
. J’ai pensé aux gens des villes, au décor de leur « vie ». J’ai vu cl
106
s du sommeil. Ou bien descends les bras collés au
corps
dans l’onde apaisée du souvenir. Sois riche d’avoir ce que tu es, com
107
diait à quelque amie de haut parage spirituel. Le
corps
même y trouve sa part, car l’invention favorise la circulation du san
108
lir avec un cœur viril et bon le spectacle de ces
corps
amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’Andersen, un t
109
ouve encore des nourritures authentiques pour les
corps
et pour les esprits. Ne comptez plus sur vos épargnes, ni sur la seul
110
x, mais je ne puis m’empêcher de faire mention du
corps
des Ministraux qui forme le Tiers État toutes les fois qu’il s’agit d
111
le, ou de faire des changements aux anciennes. Ce
corps
est une sorte de Comité chargé de l’administration de la police, et d
112
n inclusion, mais sans changer de régime, dans le
Corps
helvétique. Dès la chute de Napoléon, et malgré la Restauration, l’on
113
donc pas de nous un appel aux églises en tant que
corps
constitués et officiels1. Non, en présence du scandale de la chrétien
114
exige tout : c’est la conversion. 1. L’Église «
corps
du Christ », en théologie ; et en réalité : corps officiellement cons
115
corps du Christ », en théologie ; et en réalité :
corps
officiellement constitué dans la Troisième République… 2. Et non pas
116
oge, dans Une Main, c’est plutôt un examen de son
corps
. Examen forcé d’ailleurs, interrogation accidentelle. Par le choix mê
117
ême que le choc est le mode de contact propre aux
corps
solides. À quelles subtilités « dialectiques », à peine dignes d’une
118
a plus que du désordre et des souffrances pour le
corps
qui les subit. L’acte ordonnateur, ou révolution La tâche resta
119
te, — et l’on institue la police pour soutenir un
corps
social qui s’abandonne ; enfin la police décrète qu’elle est elle-mêm
120
endre les antagonismes féconds pour l’ensemble du
corps
social. Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’unio
121
re moi et le monde, non, rien que la tension d’un
corps
à corps amoureux ou meurtrier. Je n’existe que par cette tension. Ell
122
t le monde, non, rien que la tension d’un corps à
corps
amoureux ou meurtrier. Je n’existe que par cette tension. Elle est ma
123
it aboutir à une distinction entre l’esprit et le
corps
qui, d’accidentelle qu’elle était à l’origine, allait être décrétée e
124
ce, c’est l’individu autonome. L’esprit contre le
corps
, telle est la dialectique moderne, et c’est encore la dialectique ant
125
es coups, soit que triomphe un spiritualisme sans
corps
ou que s’installe un matérialisme sans âme. ⁂ À ce degré d’évolution
126
t : on l’accusa de panthéisme. Constant, drôle de
corps
ironique, esprit exact dont les erreurs ne sont jamais que défaillanc
127
l’un et l’autre divisent l’homme en esprit et en
corps
, seul l’amour d’espérance, charité de la foi, nous permet d’apporter
128
it désigner que la totalité créatrice de l’homme,
corps
et intelligence, indissolublement, en acte. La séparation cartésienne
129
acte. La séparation cartésienne de l’esprit et du
corps
, la divinisation hégélienne de l’esprit pur, sont en réalité à l’orig
130
ts de masse, ni par des organisations, ni par des
corps
constitués mais par des hommes concrets, agissant dans le cercle conc
131
si l’on a d’abord assuré l’autre vie, la vie des
corps
, les conditions physiques de l’existence. Que la justice est dans l’é
132
chat s’élève dans les airs et peu à peu rend son
corps
invisible, seule subsiste sa face hilare au-dessus des bourreaux pant
133
qui n’engage en puissance notre être tout entier,
corps
et âme sans distinction. Apprenons à penser comme des hommes responsa
134
mmes, venues au sépulcre, n’avaient pas trouvé le
corps
de Jésus. Cette création s’est faite sans qu’il soit nécessaire ou lé
135
écable qui marque la limite de décomposition d’un
corps
quelconque. Autrement dit, l’individu n’est conçu qu’à partir de l’en
136
individu n’est conçu qu’à partir de l’ensemble du
corps
social, comme un élément numérique, indifférencié, objectif. On l’obt
137
pie sociologique qui prophétise la dissolution du
corps
social en individus libres au terme d’une évolution scientifique et o
138
mpris que l’homme n’est pas un ange, qu’il est un
corps
jeté au milieu d’autres corps, et que c’est un orgueil assez court qu
139
ange, qu’il est un corps jeté au milieu d’autres
corps
, et que c’est un orgueil assez court que de prétendre l’ignorer ; il
140
sonne, ou plutôt son lieu naturel, en séparant le
corps
et l’âme : c’est qu’il les a mal distingués. Du point de vue de la pe
141
al distingués. Du point de vue de la personne, le
corps
et l’âme sont deux aspects de l’homme concret, dont la nature réelle
142
s ce débat qu’apparaît la conscience.) Mais ni le
corps
de l’homme ne peut être conçu comme réel sans l’insistance particuliè
143
rs de la consistance qui la révèle et l’effectue.
Corps
et âme sont un seul et même être ; ils naissent ensemble et meurent e
144
eur que de nommer « esprit » l’aspect original du
corps
humain ; c’est une étrange erreur que de rêver l’âme immortelle19 ; e
145
cette erreur qu’on croit pouvoir séparer l’âme du
corps
— quitte à ne plus savoir comment les réunir — ce que ne font ni la v
146
nsait sur les eaux primitives, et les lois de mon
corps
sont celles de la poussière ? — Rien, l’esprit n’est plus rien, et co
147
mbre. J’appelle esprit cette surprise pure de mon
corps
qui se voit conduit où rien en lui n’était nécessité d’aller. J’appel
148
être entendu quelque parole, on n’a rien vu qu’un
corps
en mouvement. C’est parce que Dieu s’est révélé dans un corps d’homme
149
vement. C’est parce que Dieu s’est révélé dans un
corps
d’homme que l’esprit, parmi nous, n’est rien — hors la démonstration
150
fixe sans le dépasser. 19. L’aspect animique du
corps
disparaît, en fait, avant l’aspect proprement matériel. 20. La certi
151
ésurrection de la chair », non pas de l’âme ni du
corps
. h. « Définition de la personne », Esprit, Paris, n° 27, décembre 19
152
vorise la dissociation de l’homme en esprit et en
corps
irresponsables l’un de l’autre. La bourgeoisie libérale ne sait plus
153
fie aussi bien la raison et l’intelligence que le
corps
et les passions. L’Esprit auquel je crois est justement celui que l’h
154
st rien. 16. Littré donne : « Individu. 1° Tout
corps
considéré comme un tout distinct par rapport à l’espèce à laquelle il
155
moins d’agir en vertu du principe d’inertie(tout
corps
en mouvement tend à conserver son mouvement). C’est ainsi que ces act
156
donc pas de nous un appel aux Églises en tant que
corps
constitués et officiels31. Non, en présence du scandale de la chrétie
157
itain, Philip, Berdiaev et Dulot. 31. L’Église «
corps
du Christ », en théologie ; et en réalité : corps officiellement cons
158
corps du Christ », en théologie ; et en réalité :
corps
officiellement constitué dans la Troisième République… 32. Et non pa
159
endre les antagonismes féconds pour l’ensemble du
corps
social. Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’union
160
a plus que du désordre et des souffrances pour le
corps
qui les subit. L’acte ordonnateur, ou révolution La tâche resta
161
it désigner que la totalité créatrice de l’homme,
corps
et intelligence, indissolublement, en acte. La séparation cartésienne
162
acte. La séparation cartésienne de l’esprit et du
corps
, la divinisation hégélienne de l’esprit pur, sont en réalité à l’orig
163
vorise la dissociation de l’homme en esprit et en
corps
irresponsables l’un de l’autre. La bourgeoisie libérale ne sait plus
164
fie aussi bien la raison et l’intelligence que le
corps
et les passions. L’Esprit auquel je crois est justement celui que l’h
165
est rien. 11. Littré donne « Individu : 1° Tout
corps
considéré comme un tout distinct par rapport à l’espèce à laquelle il
166
moins d’agir en vertu du principe d’inertie (tout
corps
en mouvement tend à conserver son mouvement). C’est ainsi que ces act
167
donc pas de nous un appel aux Églises en tant que
corps
constitués et officiels24. Non, en présence du scandale de la chrétie
168
itain, Philip, Berdiaev et Dulot. 24. L’Église «
corps
du Christ », en théologie ; et en réalité : corps officiellement cons
169
corps du Christ », en théologie ; et en réalité :
corps
officiellement constitué dans la Troisième République… 25. Et non pa
170
endre les antagonismes féconds pour l’ensemble du
corps
social. Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’union
171
a plus que du désordre et des souffrances pour le
corps
qui les subit. L’acte ordonnateur, ou révolution La tâche resta
172
le confirme, qu’à l’origine de tout mouvement des
corps
, il y a comme un appel de la lumière. La première parole de Dieu : «
173
ne connaît d’autres arguments que les parties du
corps
humain, les plantes, les aigles, un tesson, des ulcères, des rochers,
174
maritimes des Charentes et de ces âmes et de ces
corps
tout frémissants de nostalgies naïves et de jeunes ruses. On sent que
175
ans du crottin de cheval, et de faire subir à son
corps
toute la gamme des combinaisons alchimiques afin de ressusciter ensui
176
t mourir avant d’avoir ressuscité ». Rajeunir son
corps
et son âme par l’ordure, c’est un des thèmes favoris de notre temps.
177
ixe , et qui nous ont conduits à considérer notre
corps
comme une espèce de moteur démontable. Ainsi le grand docteur « macro
178
ans l’histoire de la connaissance du monde par le
corps
, ou si l’on veut, du corps par le monde. « L’homme ne saura jamais as
179
ssance du monde par le corps, ou si l’on veut, du
corps
par le monde. « L’homme ne saura jamais assez combien il est anthropo
180
« réaliser » un vieux rêve positiviste et donner
corps
à l’utopie d’un sanctuaire de la Pensée laïque ? Il faudra le constru
181
it « clair et distinct » fût séparé absolument du
corps
. Ce que Descartes a proposé, ce que l’Église, pour son malheur, a pri
182
rée sans effet. Séparer soigneusement l’esprit du
corps
, et glorifier cet esprit distingué, c’est aussi laisser ce corps à lu
183
fier cet esprit distingué, c’est aussi laisser ce
corps
à lui-même, le mépriser, l’abandonner à sa lourdeur. Décréter que l’e
184
encore une fois supposer un esprit dégagé de son
corps
, jamais un tel esprit n’est né dégagé de tous liens, irresponsable. E
185
ger, et de juger effectivement, dans le monde des
corps
et des sanctions de fait, non pas seulement de « dire le vrai » dans
186
éée par le décret de séparation de l’esprit et du
corps
, de la raison pure et de la morale pratique, décret prononcé par Desc
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t pratiquement de la séparation de l’esprit et du
corps
, la thèse suivante : l’esprit représente dans l’homme la fonction spe
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souverainement adorable, de l’Église qui est son
corps
; tandis que Rome affirme que la tradition et le pape détiennent « le
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er en les incorporant à la tradition de l’Église,
corps
du Christ ressuscité ! » Réponse qui justement donne un exemple bien
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ue Jésus-Christ a mis ensemble, et qu’on donne le
corps
à manger sans donner en même temps le sang à boire. Étonnez-vous donc
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tue la liberté pour assurer l’ordre et le pain du
corps
(c’est le principe !). La liberté condamne la dictature, mais dès qu’
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i voulait « posséder la vérité dans une âme et un
corps
». Aujourd’hui, c’est un Rilke, un Claudel, un Ramuz qui détiennent l
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ous dit qu’il est l’état de virulence extrême des
corps
. Les journalistes ont décontenancé le langage des hommes de ce temps,
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mais aussi garantir son unité concrète, esprit et
corps
. Les niveaux respectifs auxquels se placent un Goethe et un Ramuz dét
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partis et leurs luttes épuisantes et stériles. Le
corps
social était malade, il fallait l’opérer d’urgence, à chaud et nous y
196
la classe ou de la race. Vous vous êtes refait un
corps
. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été résolus pour autant. Vou
197
ctature de cette crise sur nos esprits et sur nos
corps
signifie sans erreur possible que toute commune mesure est morte parm
198
n le gigantisme national. La société doit être un
corps
, non pas une construction mécanisée. Et la santé et la force d’un cor
199
struction mécanisée. Et la santé et la force d’un
corps
supposent l’harmonie de fonctions diversifiées, saines et fortes. C’e
200
its : les réactions d’un esprit et d’une âme — le
corps
, ici, a peu de part, nous sommes en France — au fait social de notre
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a chose qu’il re-présente tout d’abord, rendre un
corps
et refaire des racines matérielles aux dérivés les plus exsangues, c’
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des instruments dont il a la propriété ». Et son
corps
lui est comme « un document où il suit les œuvres de l’esprit qui le
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ontre le séparatisme. — Il y a le précédent des «
corps
francs » qui ont paré aux premières menaces de soviétisation fédérali
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ne s’est pas proposé d’abord une modification du
corps
social et de la structure des classes, mais bien le balayage d’un per
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une autre angoisse les travaillait. « Je veux un
corps
! », gémissait Kierkegaard. Et nous voici au seuil de ces années où l
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ure proprement dite : aussi la grande majorité du
corps
professoral accueille-t-elle les injonctions du Parti avec une passiv
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partis et leurs luttes épuisantes et stériles. Le
corps
social était malade, il fallait l’opérer d’urgence, à chaud, et nous
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la classe ou de la race. Vous vous êtes refait un
corps
. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été résolus pour autant. Vou
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ctature de cette crise sur nos esprits et sur nos
corps
signifie sans erreur possible, et à elle seule, que toute commune mes
210
n le gigantisme national. La société doit être un
corps
, non pas une construction mécanisée. Et la santé et la force d’un cor
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struction mécanisée. Et la santé et la force d’un
corps
supposent l’harmonie de fonctions diversifiées, saines et fortes. C’e
212
guer et opposer : le cerveau et les mains dans le
corps
, la foi et les œuvres dans l’âme, mais aussi cette âme et ce corps, c
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les œuvres dans l’âme, mais aussi cette âme et ce
corps
, cette pensée profonde et ce qui la révèle au jour, cet esprit qu’on
214
les uns des autres des systèmes en réalité nés du
corps
et du sang de leurs créateurs, cette Histoire qui repousse un Rimbaud
215
comment peut-on appliquer ce qui n’a jamais eu de
corps
? Il faut bien croire que personne n’y songeait. « C’est votre affair
216
donnée tout aussitôt par la raison, qui lui donne
corps
en lui assignant des limites. (La raison seule ne produit rien. La vi
217
ont-ils cessé de l’être ? On dit : le mot est le
corps
de l’idée. Acceptons provisoirement cette expression douteuse, si ell
218
nit l’homme, être pensant, à son langage. Le mot,
corps
d’une idée qui serait l’âme de cette combinaison ? De fait, vit-on ja
219
tte combinaison ? De fait, vit-on jamais âme sans
corps
, ou corps sans âme ? Si l’on a pu distinguer âme et corps, c’est à la
220
aison ? De fait, vit-on jamais âme sans corps, ou
corps
sans âme ? Si l’on a pu distinguer âme et corps, c’est à la suite d’u
221
u corps sans âme ? Si l’on a pu distinguer âme et
corps
, c’est à la suite d’un relâchement de l’être, d’une faute originelle.
222
ents qu’il désunit, mots et idée, pensée et acte,
corps
et âme, etc. Dès lors, leur réunion même ne suffit plus à effacer sa
223
ême. Par exemple, tout ce qui voudrait réduire le
corps
au profit de l’âme, ou l’inverse, alors que la racine du mal n’est ni
224
ecrée, dans la vision de l’homme, la forme de son
corps
tel que Dieu le forma. Ainsi l’acte nous réincarne. La primauté du sp
225
ive. 96. « Posséder la vérité dans une âme et un
corps
. » (Rimbaud.) On oublie trop souvent aujourd’hui que c’est la volonté
226
de notre être, par exemple à une objectivation du
corps
— de mon corps — ou à une objectivation du devenir historique, ou enc
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par exemple à une objectivation du corps — de mon
corps
— ou à une objectivation du devenir historique, ou encore à une auton
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une autre angoisse les travaillait. « Je veux un
corps
! », gémissait Kierkegaard. Et nous voici au seuil de ces années où l
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ure proprement dite : aussi la grande majorité du
corps
professoral accueille-t-elle les injonctions du Parti avec une passiv
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partis et leurs luttes épuisantes et stériles. Le
corps
social était malade, il fallait l’opérer d’urgence, à chaud, et nous
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la classe ou de la race. Vous vous êtes refait un
corps
. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été résolus pour autant. Vou
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ctature de cette crise sur nos esprits et sur nos
corps
signifie sans erreur possible, et à elle seule, que toute commune mes
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n le gigantisme national. La société doit être un
corps
, non pas une construction mécanisée. Et la santé et la force d’un cor
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struction mécanisée. Et la santé et la force d’un
corps
supposent l’harmonie de fonctions diversifiées saines et fortes. C’es
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guer et opposer : le cerveau et les mains dans le
corps
, la foi et les œuvres dans l’âme, mais aussi cette âme et ce corps, c
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les œuvres dans l’âme, mais aussi cette âme et ce
corps
, cette pensée profonde et ce qui la révèle au jour, cet esprit qu’on
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les uns des autres des systèmes en réalité nés du
corps
et du sang de leurs créateurs, cette Histoire qui repousse un Rimbaud
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comment peut-on appliquer ce qui n’a jamais eu de
corps
? Il faut bien croire que personne n’y songeait. « C’est votre affair
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donnée tout aussitôt par la raison, qui lui donne
corps
en lui assignant des limites. (La raison seule ne produit rien. La vi
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ont-ils cessé de l’être ? On dit : le mot est le
corps
de l’idée. Acceptons provisoirement cette expression douteuse, si ell
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nit l’homme, être pensant, à son langage. Le mot,
corps
d’une idée qui serait l’âme de cette combinaison ? De fait, vit-on ja
242
tte combinaison ? De fait, vit-on jamais âme sans
corps
, ou corps sans âme ? Si l’on a pu distinguer âme et corps, c’est à la
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aison ? De fait, vit-on jamais âme sans corps, ou
corps
sans âme ? Si l’on a pu distinguer âme et corps, c’est à la suite d’u
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u corps sans âme ? Si l’on a pu distinguer âme et
corps
, c’est à la suite d’un relâchement de l’être, d’une faute originelle.
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ents qu’il désunit, mots et idée, pensée et acte,
corps
et âme, etc. Dès lors, leur réunion même ne suffit plus à effacer sa
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ême. Par exemple, tout ce qui voudrait réduire le
corps
au profit de l’âme, ou l’inverse, alors que la racine du mal n’est ni
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ecrée, dans la vision de l’homme, la forme de son
corps
tel que Dieu le forma. Ainsi l’acte nous réincarne. La primauté du sp
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ive. 99. « Posséder la vérité dans une âme et un
corps
. » (Rimbaud.) On oublie trop souvent aujourd’hui que c’est la volonté
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ntion : le colonel Maercker, fondateur des fameux
corps
francs qui réduisirent les révoltes ouvrières et séparatistes, — et N