1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 qu’ils incarnaient les voix contradictoires d’un débat que tous menaient en eux-mêmes loyalement. Et ce désir d’arriver à qu
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 st peut-être pourquoi nous accordons voix dans le débat d’écrire, aux forces les plus secrètes de notre être comme aux calcul
3 udes5, j’éprouve vite le sentiment d’être dans un débat étranger à ce véritable débat de ma vie : comment surmonter un malais
4 ment d’être dans un débat étranger à ce véritable débat de ma vie : comment surmonter un malaise sans cesse renaissant, comme
3 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
5 rtout pressenti, qui s’impose, qui apaise le vain débat de notre esprit : « Car l’on pense beaucoup trop haut, et cela fait u
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
6 st plus l’heure de venir prendre position dans un débat où les voix les mieux écoutées ont dit ce qu’elles avaient à dire. Et
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
7 ographique que nous devons de pouvoir trancher le débat sans risquer le poteau. L’on s’en rend compte en écrivant ces lignes,
8 nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce débat silencieux et obscur comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de
9 profonde qui ait divisé le xixe . Tous les autres débats du siècle perdent leur aiguillon si on les y compare ; et se réduisen
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
10 désir de l’éveiller à la conscience. Le but de ce débat , celui de Kierkegaard, celui de Nietzsche, celui présentement de Jouh
11 l et du bien à la fois. « Mal » ou « péché » — le débat se ramène sur cette page, à une question de vocabulaire. Une simple q
7 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
12 re pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de perfect
8 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
13 ir ses complices. Sans entrer donc dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de conscience », a donné par son ac
14 c’est fait ? » 7° Certes, l’on peut tirer de ces débats une conclusion précise : la question du service civil est ouverte. Un
9 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
15 matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est en der
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 re pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de perfect
11 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
17 xpression politique cohérente. On a cité dans les Débats , ces jours derniers, les écrits de MM. Fernandez2 et Guéhenno. Si int
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
18 e du premier homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise millénaire dont les périodes dites « prospères » ne so
13 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
19 jusqu’à présent les philosophes. Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y compare. Affleurant maint
14 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
20 d’un mot rendu à son vrai sens, pour orienter le débat intérieur, pour donner à telle problématique l’expression qui lui man
15 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
21 diverses occasions tout imprévues — conférences, débats publics, enquêtes — m’invitèrent à traiter sans trop de précautions,
16 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
22 e du premier homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise millénaire dont les périodes dites « prospères » ne so
17 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
23 ’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé) L’affirmation de l’importance décisive du fai
24 ommun dans la doctrine de l’immanence. Au fond du débat précédence ou primauté, nous retrouvons le débat immanence ou transce
25 débat précédence ou primauté, nous retrouvons le débat immanence ou transcendance, c’est-à-dire une opposition essentielleme
18 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
26 matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est, en de
19 1934, Politique de la personne. Appendice — 5. La Révolution nécessaire
27 jusqu’à présent les philosophes. Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y compare. Affleurant maint
20 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
28 tions, parfois violentes, où se poursuit ce vieux débat , aucun espoir de solution réelle n’est plus permis18. Mais c’est ce p
29 omme aussi de n’en pas choisir. (Et c’est dans ce débat qu’apparaît la conscience.) Mais ni le corps de l’homme ne peut être
21 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
30 diverses occasions tout imprévues — conférences, débats publics, enquêtes — m’invitèrent à traiter sans trop de précautions,
22 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
31 e du premier homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise dont les périodes dites « prospères » ne sont que les
23 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
32 ’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé) L’affirmation de l’importance décisive du fai
33 ommun dans la doctrine de l’immanence. Au fond du débat précédence ou primauté, nous retrouvons le débat immanence ou transce
34 débat précédence ou primauté, nous retrouvons le débat immanence ou transcendance, c’est-à-dire une opposition essentielleme
24 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
35 matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est, en de
25 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
36 utres partis que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur tous les arguments, et qu’on aime répéter co
26 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
37 sion. Dans Crainte et Tremblement, Kierkegaard se débat encore avec lui-même. A-t-il la foi ? Qu’est-ce que la foi ? Hegel, d
27 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
38 — Nous voici donc d’emblée ramenés à notre vieux débat . Je n’ignore pas que l’éternel problème de la mort à soi-même et au m
39 me semble que c’est assez !   — Ici s’engagea un débat extrêmement confus sur la distinction délicate que voulait établir le
40 e je vous le prouve ? Il suffira de résumer notre débat . Quel est le problème que nous discutons ? C’est le problème inverse
28 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
41 française d’aujourd’hui. Nous entrerions dans un débat terriblement technique et faussement précis, et nous aurions vite fai
29 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
42 concepts à tout faire31. Il faut voir comme il se débat avec son latin de cuisine, son grec allégorique et son allemand mal a
30 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
43 nne, pourraient bien se résoudre, au cours de ces débats et sous la pression populaire, en une espèce de nuit du 4 août de la
31 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
44 e juge incorruptible et amical du héros et de son débat , ce personnage a vécu dans ce siècle, où son nom ne cessera de grandi
32 1936, Tapuscrits divers (1936-1947). [Compte rendu] Henri de Man, L’Idée socialiste (1936)
45 tion du but final de la culture, élevant ainsi le débat au-dessus des polémiques partisanes où il était en train de s’épuiser
33 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
46 défend. Dictature et liberté, le monde moderne se débat tragiquement entre ces deux nécessités dont la première exprime notre
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
47 normaux, incomber à tout homme normal, enfin ces débats enfiévrés pour savoir si le clerc doit être un citoyen tout comme les
48 utres partis que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur tous les arguments, et qu’on aime répéter co
49 tiels, mal compris, meurtriers, où s’excite et se débat la « politique » des « réalistes » à la petite semaine. Nous sommes «
35 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
50 enir le lecteur même incroyant ou ignorant de ces débats . Wilfred Monod nous apparaît ici comme une espèce de père Hugo du mod
36 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
51 , volontaires ou touchantes qui passionnèrent les débats de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
37 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
52 virile constitue sa seule raison d’être. Tout le débat de ce journal revient à cette scandaleuse opposition, créée par notre
53 ongent (Barrès, Péguy, Romain Rolland) ; enfin le débat plus profond d’un humaniste avec la foi chrétienne, telle qu’il songe
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
54 ent « simple question de mots ». Et cela dans des débats où, cependant, le sens des mots devrait primer tout autre souci plus
55 que si l’on convient de mettre au second plan le débat des définitions, considéré comme byzantin — on met du coup au second
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
56 idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est dans le débat qui opposa Calvin au cardinal Sadolet qu’on peut en trouver l’express
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
57 vraiment l’usage : un sens commun. La plupart des débats qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
58 né dans la conversation courante ; tandis que les débats politiques et électoraux abondent en confusions de cette espèce, et s
41 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
59 volontaires ou touchantes, qui passionnèrent les débats de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
60 raphie physique. À lire nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se ferait une
43 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
61 s l’abord deux malentendus très courants dans les débats contemporains. Je ne cherche pas à bâtir un système dans l’absolu : j
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
62 ms : Hegel et Kierkegaard dominent et résument ce débat . Désormais nous les retrouverons aux prises à tous les degrés de notr
63 e qui ait divisé le xixe siècle. Tous les autres débats de ce siècle perdent leur aiguillon si on les y compare. Ils se rédui
64 ographique que nous devons de pouvoir trancher le débat sans risquer le camp de concentration. Je m’en rends compte en écriva
65 nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce débat silencieux et obscur, comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré d
45 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
66 vraiment l’usage : un sens commun. La plupart des débats qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
67 né dans la conversation courante ; tandis que les débats politiques ou électoraux abondent en confusion de cette espèce et s’e
46 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
68 que si l’on convient de mettre au second plan le débat des définitions, considéré comme byzantin — on met du coup au second
47 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
69 idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est dans le débat qui opposa Calvin au cardinal Sadolet qu’on peut en trouver l’express
48 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
70 raiment l’usage : un sens commun. La plupart des débats qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
71 né dans la conversation courante ; tandis que les débats politiques et électoraux abondent en confusions de cette espèce, et s
49 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
72 volontaires ou touchantes, qui passionnèrent les débats de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
50 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
73 raphie physique. À lire nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se ferait une
51 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
74 s l’abord deux malentendus très courants dans les débats contemporains. Je ne cherche pas à bâtir un système dans l’absolu : j
52 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
75 ms : Hegel et Kierkegaard dominent et résument ce débat . Désormais nous les découvrirons aux prises à tous les degrés de notr
76 e qui ait divisé le xixe siècle. Tous les autres débats de ce siècle perdent leur aiguillon si on les y compare. Ils se rédui
77 ographique que nous devons de pouvoir trancher le débat sans risquer le camp de concentration. Je m’en rends compte en écriva
78 nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce débat silencieux et obscur comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de
53 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
79 e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
80 raité que nous publions : je le vois au centre du débat occidental par excellence, mais au centre, aussi, de la Réforme, et d
81 isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du débat . Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
54 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
82 e même, et qui, par ailleurs, peut éclairer notre débat  : « L’éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer
55 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
83 terme de personne, que nous jetions alors dans le débat politique et culturel, et qu’on nous reprochait non sans aigreur, qua
84 il se veuille, se trouve intéressé dans un pareil débat  ? Cela va de soi. 44. Je pense que Mounier ne se dissimule pas le c
56 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
85 plorable. Elles se font excessivement rares.) Les débats passionnés que vient de soulever le fameux projet de loi Jean Zay dém
57 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
86 e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
87 un peu plus de 400 ans : je le vois au centre du débat occidental par excellence, — mais au centre, aussi, de la Réforme, et
88 isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du débat . Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
58 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
89 À la fin, un des communistes se lève et résume le débat  : « En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu, nous autres, ce
59 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
90 À la fin, un des communistes se lève et résume le débat  : En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu, nous autres, ce s
60 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
91 préciables. Elle nous place au cœur même du grand débat occidental, celui de la pensée « pure » et de la pensée « engagée ».
92 choses ? À tout le moins doit-elle passionner le débat , et le faire puissamment rebondir. Car personne n’a mieux incarné la
93 oisir. Mais le choix est-il libre ? On retombe au débat de Luther et d’Érasme. Le trop prudent humaniste eût-il saisi dans so
61 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
94 e : on le souffre. On l’aime, on l’injurie, on se débat sous son regard, on argumente contre sa souffrance, on craint pitié c
62 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
95 corne !), et Moïse ou Élie intervenaient dans les débats le plus naturellement du monde. Il y avait, selon Dürrer, 149 rôles p
63 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
96 l’absence de preuves en matière de « croyance », débat dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vrai qu’il e
64 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
97 nnés la science matérialiste, tranche toujours le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas. Prenons le cas des métaphores 
65 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
98 c’est l’équivoque malgré tout maintenue. D’où le débat qui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de définir enfin ce d
99 liaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le Débat de l’âme et du corps qui date précisément de cette époque, est le pre
66 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
100 d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un long débat , Girard consent à céder Elissent, à condition qu’il cesse d’être vass
101 peler une mise au point très opportune dans notre débat . a) « On ne peut hésiter — écrit notre auteur — sur l’objet et la na
67 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
102 plantée que le derrière, on peut compter que les débats auront de la tenue. Voici les sièges des villes : Lucerne, Berne, Zur
103 les ambassadeurs de l’étranger pour inaugurer les débats . Écoutez ! (Ils s’arrêtent, les marteaux levés. Fanfare dans la couli
104 is. C’est aujourd’hui notre suprême chance. De ce débat — songez-y tous ! — sortiront la paix ou la guerre ! Que chacun des p
68 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
105 e m’est alors de reconnaître qu’à l’origine de ce débat il n’y a pas seulement en cause une certaine conception « dissonante 
69 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
106 pour apporter un témoignage assez précis au vieux débat de l’inspiration. On voit la part déterminante que l’occasion et les
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
107 nnés la science matérialiste, tranche toujours le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas. Prenons le cas des métaphores 
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
108 c’est l’équivoque malgré tout maintenue. D’où le débat qui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de définir enfin ce d
109 liaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le Débat de l’âme et du corps qui date précisément de cette époque est le prem
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
110 nnés la science matérialiste, tranche toujours le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas. Prenons le cas des métaphores 
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
111 c’est l’équivoque malgré tout maintenue. D’où le débat qui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de définir enfin ce d
112 liaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le Débat de l’âme et du corps qui date précisément de cette époque est le prem
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
113 d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un long débat , Girard consent à céder Elissent, à condition qu’il cesse d’être vass
114 peler une mise au point très opportune dans notre débat . a) « On ne peut hésiter — écrit notre auteur — sur l’objet et la nat
75 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
115 ui perdait ses mesures. Et quand le lieu du grand débat devient enfin l’Église et sa réforme, courant toujours au plus pressé
116 te à Berne la modération de ses discours lors des débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fant
76 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
117 Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat , dans un cercle privé, sur la politique commerciale de la France. Tan
77 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
118 réponses que nous versons à titre de documents au débat et que nous faisons suivre des remarques et conclusions qu’elles nous
78 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
119 asi totale d’arguments idéologiques dans ce grand débat démocratique. Toute la polémique se ramène à deux séries d’arguments 
120 nions publiées les jours précédents. À côté de ce débat académique — recouvrant d’ailleurs des intérêts matériels et non des
79 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
121 fonctionnaires n’hésitent pas à participer à des débats publics, ou à commenter l’activité de leur département devant les aud
122 x, des articles de magazines, des interviews, des débats contradictoires à la radio, des sermons, des mandements et des manife
80 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
123 e et ne cesse pas d’agir ». C’est ici le foyer du débat . Un mythe est une histoire qui décrit et illustre, sous une forme dra
81 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
124 l’Occident et son vocabulaire sont nés des grands débats théologiques aux siècles de la primitive Église. Notre musique, notre
82 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
125 e et ne cesse pas d’agir. » C’est ici le foyer du débat . Un mythe est une histoire qui décrit et illustre, sous une forme dra
83 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
126 l’Occident et son vocabulaire sont nés des grands débats théologiques aux siècles de la primitive Église. Notre musique, notre
84 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
127 e et ce langage clair et distinct qui convient au débat des idées. A. … qui convient au débat des idées claires ! Mais il fa
128 onvient au débat des idées. A. … qui convient au débat des idées claires ! Mais il faudrait s’entendre tout d’abord sur la n
129 récisément — tout l’entre-deux, la pénombre de ce débat . Je vois maintenant deux espèces de langage. Ramenons-les pour simpli
85 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
130 e : on le souffre. On l’aime, on l’injurie, on se débat sous son regard, on argumente contre sa souffrance, on craint sa piti
86 1944, Les Personnes du drame. II. Liberté et fatum — 5. Luther et la liberté de la personne
131 e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
132 bitre, de l’aveu même de son auteur, au centre du débat de la Réforme et de son effort dogmatique. Mais nous touchons du même
133 isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du débat . Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
87 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
134 intervenir comme influences inspiratrices dans le débat culturel. L’abîme commença à s’ouvrir entre l’Église et la culture. U
88 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
135 s, avec une insistance parfois suspecte — mais le débat central reste théologique, qu’on le veuille ou non, qu’on l’admette c
89 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
136 cise : ils l’admettent justement à l’occasion des débats les plus graves et les plus passionnés, tels que ceux que provoquent
137 portant. En France, il arrive trop souvent que le débat réel reste mal défini, les positions des parties en présence n’ayant
138 nt. Ce que l’on trouve dans son journal, c’est un débat à propos d’un débat. C’est un torrent de jugements contradictoires, m
139 ve dans son journal, c’est un débat à propos d’un débat . C’est un torrent de jugements contradictoires, mais trop exactement
90 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
140 erre est vaste ! Que d’autres ont protesté que ce débat était antipatriotique, ou anticommuniste, que sais-je. On m’écrit cel
91 1946, Combat, articles (1946–1950). Tous démocrates (22 mai 1946)
141 demander : qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai débat . Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul
92 1946, Lettres sur la bombe atomique. III. Le point de vue moral
142 l’espèce réaliste). Le fait brutal, c’est que ce débat n’est pas à l’échelle de l’Histoire. Ce qui domine en vérité tous les
93 1946, Lettres sur la bombe atomique. XI. Tous démocrates
143 demander : Qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai débat . Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul
94 1946, Lettres sur la bombe atomique. III . Le point de vue moral
144 l’espèce réaliste). Le fait brutal, c’est que ce débat n’est pas à l’échelle de l’Histoire. Ce qui domine en vérité tous les
95 1946, Lettres sur la bombe atomique. XI . Tous démocrates
145 demander : Qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai débat . Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul
96 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
146 par les services de l’Armée de Terre, pendant le débat qui opposait cette dernière à la Marine, sur la question du commandem
97 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
147 crie un personnage de Giraudoux — sans parler des débats sur la laïcité ou les écoles confessionnelles. L’Américain lui, passe
98 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
148 Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat au cercle des Nouveaux Cahiers sur la politique commerciale de la Fra
99 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
149 ui perdait ses mesures. Et quand le lieu du grand débat devient enfin l’Église et sa réforme, courant toujours au plus pressé
150 te à Berne la modération de ses discours lors des débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fant
100 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
151 ouche de charbon lisse. Cela me rappelle le vieux débat sur les livres qu’il faut couper et ceux que l’on vous vend rognés à