1
qu’ils incarnaient les voix contradictoires d’un
débat
que tous menaient en eux-mêmes loyalement. Et ce désir d’arriver à qu
2
st peut-être pourquoi nous accordons voix dans le
débat
d’écrire, aux forces les plus secrètes de notre être comme aux calcul
3
udes5, j’éprouve vite le sentiment d’être dans un
débat
étranger à ce véritable débat de ma vie : comment surmonter un malais
4
ment d’être dans un débat étranger à ce véritable
débat
de ma vie : comment surmonter un malaise sans cesse renaissant, comme
5
rtout pressenti, qui s’impose, qui apaise le vain
débat
de notre esprit : « Car l’on pense beaucoup trop haut, et cela fait u
6
st plus l’heure de venir prendre position dans un
débat
où les voix les mieux écoutées ont dit ce qu’elles avaient à dire. Et
7
ographique que nous devons de pouvoir trancher le
débat
sans risquer le poteau. L’on s’en rend compte en écrivant ces lignes,
8
nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce
débat
silencieux et obscur comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de
9
profonde qui ait divisé le xixe . Tous les autres
débats
du siècle perdent leur aiguillon si on les y compare ; et se réduisen
10
désir de l’éveiller à la conscience. Le but de ce
débat
, celui de Kierkegaard, celui de Nietzsche, celui présentement de Jouh
11
l et du bien à la fois. « Mal » ou « péché » — le
débat
se ramène sur cette page, à une question de vocabulaire. Une simple q
12
ir ses complices. Sans entrer donc dans le vif du
débat
— à savoir si Martin, « objecteur de conscience », a donné par son ac
13
c’est fait ? » 7° Certes, l’on peut tirer de ces
débats
une conclusion précise : la question du service civil est ouverte. Un
14
matérielles permettent à ce suprême et quotidien
débat
d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est en der
15
re pour aimer ; les autres, aimer pour connaître.
Débat
qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de perfect
16
re pour aimer ; les autres, aimer pour connaître.
Débat
qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de perfect
17
xpression politique cohérente. On a cité dans les
Débats
, ces jours derniers, les écrits de MM. Fernandez2 et Guéhenno. Si int
18
e du premier homme, depuis le déluge, le monde se
débat
dans une crise millénaire dont les périodes dites « prospères » ne so
19
jusqu’à présent les philosophes. Tous les autres
débats
du xixe perdent leur aiguillon si on les y compare. Affleurant maint
20
d’un mot rendu à son vrai sens, pour orienter le
débat
intérieur, pour donner à telle problématique l’expression qui lui man
21
tions, parfois violentes, où se poursuit ce vieux
débat
, aucun espoir de solution réelle n’est plus permis18. Mais c’est ce p
22
omme aussi de n’en pas choisir. (Et c’est dans ce
débat
qu’apparaît la conscience.) Mais ni le corps de l’homme ne peut être
23
diverses occasions tout imprévues — conférences,
débats
publics, enquêtes — m’invitèrent à traiter sans trop de précautions,
24
e du premier homme, depuis le déluge, le monde se
débat
dans une crise millénaire dont les périodes dites « prospères » ne so
25
’économique dans le marxisme ? (Introduction à un
débat
dans un cercle privé) L’affirmation de l’importance décisive du fai
26
ommun dans la doctrine de l’immanence. Au fond du
débat
précédence ou primauté, nous retrouvons le débat immanence ou transce
27
débat précédence ou primauté, nous retrouvons le
débat
immanence ou transcendance, c’est-à-dire une opposition essentielleme
28
matérielles permettent à ce suprême et quotidien
débat
d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est, en de
29
jusqu’à présent les philosophes. Tous les autres
débats
du xixe perdent leur aiguillon si on les y compare. Affleurant maint
30
diverses occasions tout imprévues — conférences,
débats
publics, enquêtes — m’invitèrent à traiter sans trop de précautions,
31
e du premier homme, depuis le déluge, le monde se
débat
dans une crise dont les périodes dites « prospères » ne sont que les
32
’économique dans le marxisme ? (Introduction à un
débat
dans un cercle privé) L’affirmation de l’importance décisive du fai
33
ommun dans la doctrine de l’immanence. Au fond du
débat
précédence ou primauté, nous retrouvons le débat immanence ou transce
34
débat précédence ou primauté, nous retrouvons le
débat
immanence ou transcendance, c’est-à-dire une opposition essentielleme
35
matérielles permettent à ce suprême et quotidien
débat
d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est, en de
36
utres partis que par besoin d’entretenir de vieux
débats
dont on connaît par cœur tous les arguments, et qu’on aime répéter co
37
sion. Dans Crainte et Tremblement, Kierkegaard se
débat
encore avec lui-même. A-t-il la foi ? Qu’est-ce que la foi ? Hegel, d
38
— Nous voici donc d’emblée ramenés à notre vieux
débat
. Je n’ignore pas que l’éternel problème de la mort à soi-même et au m
39
me semble que c’est assez ! — Ici s’engagea un
débat
extrêmement confus sur la distinction délicate que voulait établir le
40
e je vous le prouve ? Il suffira de résumer notre
débat
. Quel est le problème que nous discutons ? C’est le problème inverse
41
française d’aujourd’hui. Nous entrerions dans un
débat
terriblement technique et faussement précis, et nous aurions vite fai
42
concepts à tout faire31. Il faut voir comme il se
débat
avec son latin de cuisine, son grec allégorique et son allemand mal a
43
nne, pourraient bien se résoudre, au cours de ces
débats
et sous la pression populaire, en une espèce de nuit du 4 août de la
44
défend. Dictature et liberté, le monde moderne se
débat
tragiquement entre ces deux nécessités dont la première exprime notre
45
normaux, incomber à tout homme normal, enfin ces
débats
enfiévrés pour savoir si le clerc doit être un citoyen tout comme les
46
utres partis que par besoin d’entretenir de vieux
débats
dont on connaît par cœur tous les arguments, et qu’on aime répéter co
47
tiels, mal compris, meurtriers, où s’excite et se
débat
la « politique » des « réalistes » à la petite semaine. Nous sommes «
48
enir le lecteur même incroyant ou ignorant de ces
débats
. Wilfred Monod nous apparaît ici comme une espèce de père Hugo du mod
49
, volontaires ou touchantes qui passionnèrent les
débats
de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
50
virile constitue sa seule raison d’être. Tout le
débat
de ce journal revient à cette scandaleuse opposition, créée par notre
51
ongent (Barrès, Péguy, Romain Rolland) ; enfin le
débat
plus profond d’un humaniste avec la foi chrétienne, telle qu’il songe
52
vraiment l’usage : un sens commun. La plupart des
débats
qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
53
né dans la conversation courante ; tandis que les
débats
politiques ou électoraux abondent en confusion de cette espèce et s’e
54
e juge incorruptible et amical du héros et de son
débat
, ce personnage a vécu dans ce siècle, où son nom ne cessera de grandi
55
ent « simple question de mots ». Et cela dans des
débats
où, cependant, le sens des mots devrait primer tout autre souci plus
56
que si l’on convient de mettre au second plan le
débat
des définitions, considéré comme byzantin — on met du coup au second
57
idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est dans le
débat
qui opposa Calvin au cardinal Sadolet qu’on peut en trouver l’express
58
vraiment l’usage : un sens commun. La plupart des
débats
qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
59
né dans la conversation courante ; tandis que les
débats
politiques et électoraux abondent en confusions de cette espèce, et s
60
volontaires ou touchantes, qui passionnèrent les
débats
de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
61
raphie physique. À lire nos revues, à écouter les
débats
les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se ferait une
62
s l’abord deux malentendus très courants dans les
débats
contemporains. Je ne cherche pas à bâtir un système dans l’absolu : j
63
ms : Hegel et Kierkegaard dominent et résument ce
débat
. Désormais nous les retrouverons aux prises à tous les degrés de notr
64
e qui ait divisé le xixe siècle. Tous les autres
débats
de ce siècle perdent leur aiguillon si on les y compare. Ils se rédui
65
ographique que nous devons de pouvoir trancher le
débat
sans risquer le camp de concentration. Je m’en rends compte en écriva
66
nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce
débat
silencieux et obscur, comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré d
67
e même, et qui, par ailleurs, peut éclairer notre
débat
: « L’éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer
68
que si l’on convient de mettre au second plan le
débat
des définitions, considéré comme byzantin — on met du coup au second
69
idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est dans le
débat
qui opposa Calvin au cardinal Sadolet qu’on peut en trouver l’express
70
raiment l’usage : un sens commun. La plupart des
débats
qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
71
né dans la conversation courante ; tandis que les
débats
politiques et électoraux abondent en confusions de cette espèce, et s
72
volontaires ou touchantes, qui passionnèrent les
débats
de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
73
raphie physique. À lire nos revues, à écouter les
débats
les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se ferait une
74
s l’abord deux malentendus très courants dans les
débats
contemporains. Je ne cherche pas à bâtir un système dans l’absolu : j
75
ms : Hegel et Kierkegaard dominent et résument ce
débat
. Désormais nous les découvrirons aux prises à tous les degrés de notr
76
e qui ait divisé le xixe siècle. Tous les autres
débats
de ce siècle perdent leur aiguillon si on les y compare. Ils se rédui
77
ographique que nous devons de pouvoir trancher le
débat
sans risquer le camp de concentration. Je m’en rends compte en écriva
78
nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce
débat
silencieux et obscur comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de
79
plorable. Elles se font excessivement rares.) Les
débats
passionnés que vient de soulever le fameux projet de loi Jean Zay dém
80
terme de personne, que nous jetions alors dans le
débat
politique et culturel, et qu’on nous reprochait non sans aigreur, qua
81
il se veuille, se trouve intéressé dans un pareil
débat
? Cela va de soi. 44. Je pense que Mounier ne se dissimule pas le c
82
À la fin, un des communistes se lève et résume le
débat
: « En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu, nous autres, ce
83
e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le
débat
du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
84
un peu plus de 400 ans : je le vois au centre du
débat
occidental par excellence, — mais au centre, aussi, de la Réforme, et
85
isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du
débat
. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
86
préciables. Elle nous place au cœur même du grand
débat
occidental, celui de la pensée « pure » et de la pensée « engagée ».
87
choses ? À tout le moins doit-elle passionner le
débat
, et le faire puissamment rebondir. Car personne n’a mieux incarné la
88
oisir. Mais le choix est-il libre ? On retombe au
débat
de Luther et d’Érasme. Le trop prudent humaniste eût-il saisi dans so
89
À la fin, un des communistes se lève et résume le
débat
: En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu, nous autres, ce s
90
e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le
débat
du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
91
raité que nous publions : je le vois au centre du
débat
occidental par excellence, mais au centre, aussi, de la Réforme, et d
92
isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du
débat
. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
93
e : on le souffre. On l’aime, on l’injurie, on se
débat
sous son regard, on argumente contre sa souffrance, on craint pitié c
94
l’absence de preuves en matière de « croyance »,
débat
dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vrai qu’il e
95
e m’est alors de reconnaître qu’à l’origine de ce
débat
il n’y a pas seulement en cause une certaine conception « dissonante
96
pour apporter un témoignage assez précis au vieux
débat
de l’inspiration. On voit la part déterminante que l’occasion et les
97
nnés la science matérialiste, tranche toujours le
débat
au bénéfice de ce qui est le plus bas. Prenons le cas des métaphores
98
c’est l’équivoque malgré tout maintenue. D’où le
débat
qui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de définir enfin ce d
99
liaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le
Débat
de l’âme et du corps qui date précisément de cette époque, est le pre
100
d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un long
débat
, Girard consent à céder Elissent, à condition qu’il cesse d’être vass
101
peler une mise au point très opportune dans notre
débat
. a) « On ne peut hésiter — écrit notre auteur — sur l’objet et la na
102
corne !), et Moïse ou Élie intervenaient dans les
débats
le plus naturellement du monde. Il y avait, selon Dürrer, 149 rôles p
103
plantée que le derrière, on peut compter que les
débats
auront de la tenue. Voici les sièges des villes : Lucerne, Berne, Zur
104
les ambassadeurs de l’étranger pour inaugurer les
débats
. Écoutez ! (Ils s’arrêtent, les marteaux levés. Fanfare dans la couli
105
is. C’est aujourd’hui notre suprême chance. De ce
débat
— songez-y tous ! — sortiront la paix ou la guerre ! Que chacun des p
106
nnés la science matérialiste, tranche toujours le
débat
au bénéfice de ce qui est le plus bas. Prenons le cas des métaphores
107
c’est l’équivoque malgré tout maintenue. D’où le
débat
qui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de définir enfin ce d
108
liaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le
Débat
de l’âme et du corps qui date précisément de cette époque est le prem
109
nnés la science matérialiste, tranche toujours le
débat
au bénéfice de ce qui est le plus bas. Prenons le cas des métaphores
110
c’est l’équivoque malgré tout maintenue. D’où le
débat
qui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de définir enfin ce d
111
liaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le
Débat
de l’âme et du corps qui date précisément de cette époque est le prem
112
d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un long
débat
, Girard consent à céder Elissent, à condition qu’il cesse d’être vass
113
peler une mise au point très opportune dans notre
débat
. a) « On ne peut hésiter — écrit notre auteur — sur l’objet et la nat
114
Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un
débat
, dans un cercle privé, sur la politique commerciale de la France. Tan
115
réponses que nous versons à titre de documents au
débat
et que nous faisons suivre des remarques et conclusions qu’elles nous
116
ui perdait ses mesures. Et quand le lieu du grand
débat
devient enfin l’Église et sa réforme, courant toujours au plus pressé
117
te à Berne la modération de ses discours lors des
débats
de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fant
118
asi totale d’arguments idéologiques dans ce grand
débat
démocratique. Toute la polémique se ramène à deux séries d’arguments
119
nions publiées les jours précédents. À côté de ce
débat
académique — recouvrant d’ailleurs des intérêts matériels et non des
120
fonctionnaires n’hésitent pas à participer à des
débats
publics, ou à commenter l’activité de leur département devant les aud
121
x, des articles de magazines, des interviews, des
débats
contradictoires à la radio, des sermons, des mandements et des manife
122
e et ne cesse pas d’agir ». C’est ici le foyer du
débat
. Un mythe est une histoire qui décrit et illustre, sous une forme dra
123
l’Occident et son vocabulaire sont nés des grands
débats
théologiques aux siècles de la primitive Église. Notre musique, notre
124
e et ne cesse pas d’agir. » C’est ici le foyer du
débat
. Un mythe est une histoire qui décrit et illustre, sous une forme dra
125
l’Occident et son vocabulaire sont nés des grands
débats
théologiques aux siècles de la primitive Église. Notre musique, notre
126
e et ce langage clair et distinct qui convient au
débat
des idées. A. … qui convient au débat des idées claires ! Mais il fa
127
onvient au débat des idées. A. … qui convient au
débat
des idées claires ! Mais il faudrait s’entendre tout d’abord sur la n
128
récisément — tout l’entre-deux, la pénombre de ce
débat
. Je vois maintenant deux espèces de langage. Ramenons-les pour simpli
129
e : on le souffre. On l’aime, on l’injurie, on se
débat
sous son regard, on argumente contre sa souffrance, on craint sa piti
130
e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le
débat
du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
131
bitre, de l’aveu même de son auteur, au centre du
débat
de la Réforme et de son effort dogmatique. Mais nous touchons du même
132
isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du
débat
. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
133
intervenir comme influences inspiratrices dans le
débat
culturel. L’abîme commença à s’ouvrir entre l’Église et la culture. U
134
cise : ils l’admettent justement à l’occasion des
débats
les plus graves et les plus passionnés, tels que ceux que provoquent
135
portant. En France, il arrive trop souvent que le
débat
réel reste mal défini, les positions des parties en présence n’ayant
136
nt. Ce que l’on trouve dans son journal, c’est un
débat
à propos d’un débat. C’est un torrent de jugements contradictoires, m
137
ve dans son journal, c’est un débat à propos d’un
débat
. C’est un torrent de jugements contradictoires, mais trop exactement
138
erre est vaste ! Que d’autres ont protesté que ce
débat
était antipatriotique, ou anticommuniste, que sais-je. On m’écrit cel
139
demander : qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai
débat
. Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul
140
par les services de l’Armée de Terre, pendant le
débat
qui opposait cette dernière à la Marine, sur la question du commandem
141
crie un personnage de Giraudoux — sans parler des
débats
sur la laïcité ou les écoles confessionnelles. L’Américain lui, passe
142
s, avec une insistance parfois suspecte — mais le
débat
central reste théologique, qu’on le veuille ou non, qu’on l’admette c
143
Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un
débat
au cercle des Nouveaux Cahiers sur la politique commerciale de la Fra
144
ui perdait ses mesures. Et quand le lieu du grand
débat
devient enfin l’Église et sa réforme, courant toujours au plus pressé
145
te à Berne la modération de ses discours lors des
débats
de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fant
146
ouche de charbon lisse. Cela me rappelle le vieux
débat
sur les livres qu’il faut couper et ceux que l’on vous vend rognés à
147
erre est vaste ! Que d’autres ont protesté que ce
débat
était antipatriotique, ou anticommuniste, je ne sais plus. On m’écrit
148
l’espèce réaliste). Le fait brutal, c’est que ce
débat
n’est pas à l’échelle de l’Histoire. Ce qui domine en vérité tous les
149
demander : Qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai
débat
. Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul
150
l’espèce réaliste). Le fait brutal, c’est que ce
débat
n’est pas à l’échelle de l’Histoire. Ce qui domine en vérité tous les
151
demander : Qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai
débat
. Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul