1 r Un léger flirt avec la muse, parce que c’est dimanche , parce qu’il pleut et qu’on s’ennuie. Si la vie est bête à pleurer, s

2 on fordienne de l’oisiveté. Ford a créé un second dimanche dans la semaine, « retouché l’œuvre de la Création », comme dit Ferre

3 deurs de peaux, comme dans un rêve, des matins de dimanche sonores et tout propres, la cuiller d’huile de foie de morue avant le

4 nge à M. Ford, qui donne à ses ouvriers un second dimanche , afin qu’ils consomment deux fois plus de machines. Jeu du chat avec

5 deurs de peaux, comme dans un rêve, des matins de dimanche sonores et tout propres, la cuiller d’huile de foie de morue avant le

6 nge à M. Ford, qui donne à ses ouvriers un second dimanche afin qu’ils consomment deux fois plus de machines. Jeu du chat avec l

7 risent. « Naturellement, vous allez à l’église le dimanche  ? — Oui, tante Harriet, j’y vais. — Tante Harriet eut un soupir de so

8 ait réglée : du moment qu’on allait à l’église le dimanche , tout était bien ; inutile d’en demander plus. » Parlant de son paste

9 e spirituelle n’en sont que plus émouvantes : Un dimanche , sur les collines derrière Nunobiki, au milieu des arbres, à côté d’u

10 vie quotidienne en promulguant des règles sur le dimanche , l’alcool et la moralité, mais qu’elle s’est arrêtée au moment où il

11 . On conçoit que le fidèle habitué à venir chaque dimanche chercher dans un sermon consolateur le droit de ne pas trop prendre a

12 ole est prêchée, on voit des pasteurs qui, chaque dimanche pourtant, prêchent l’exaltation de « l’âme humaine » par la religion,

13 Nous lisons les journaux, voilà notre réalité. Le dimanche , nous allons quelquefois à l’église déplorer en commun l’athéisme du

14 ou religieuse. Au grand Hegel qui philosophe « au dimanche de la vie » au-dessus du « banc de sable de cette vie temporelle », L

15 abitants. Quinze cents personnes au temple chaque dimanche . Je complète : vers 1900, la soie artificielle fait son apparition da

16 e, oui et non. — Enfin, viennent-ils au temple le dimanche  ? — Ça non. D’ailleurs, communistes ou pas, les hommes d’ici ne vienn

17 les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur pastis. Si l’on va au culte, il f

18 es. — Les « exclus » vieux travailleurs. Demain dimanche , à 10 heures, sera donnée une conférence au profit des vieux, hommes

19 antisme clérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires ! Ô liberté, égalité, frat

20 jour ! C’est l’heure même qui va sonner : demain dimanche , sur le coup de dix heures, le grand mot qui résume cent années d’eff

21 ou indifférente. Nous prenons rendez-vous pour un dimanche prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette,

22 ume de se réunir, d’être ensemble pour causer. Le dimanche , ils « font la partie » chez l’un ou l’autre, à quatre ou cinq. On bo

23 de devenir la proie des politiciens de Paris. Un dimanche , ce sont les enfants communistes de la colonie de vacances qui défile

24 rouges et l’on pousse des « cris séditieux » ; le dimanche suivant, ce sont les enfants de la fondation « de droite » et on les

25 urnal d’un intellectuel en chômage », La Revue du dimanche , supplément hebdomadaire de la Revue de Lausanne, Lausanne, n° 202, 2

26 ou indifférente. Nous prenons rendez-vous pour un dimanche prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette,

27 ume de se réunir, d’être ensemble pour causer. Le dimanche , ils « font la partie » chez l’un ou l’autre, à quatre ou cinq. On bo

28 de devenir la proie des politiciens de Paris. Un dimanche ce sont les enfants communistes de la colonie de vacances qui défilen

29 rouges et l’on pousse des « cris séditieux » ; le dimanche suivant, ce sont les enfants de la fondation « de droite » et on les

30 abitants. Quinze cents personnes au temple chaque dimanche . Je complète : Vers 1900, la soie artificielle fait son apparition da

31 e, oui et non. — Enfin, viennent-ils au temple le dimanche  ? — Ça non. D’ailleurs, communistes ou pas, les hommes d’ici ne vienn

32 les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur pastis. Si l’on va au culte, il f

33 gues. — Les « exclus » vieux travailleurs. Demain dimanche , à 10 heures, sera donnée une conférence au profit des vieux, hommes

34 antisme clérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires ! Ô Liberté, Égalité, Frat

35 jour ! C’est l’heure même qui va sonner : demain dimanche , sur le coup de dix heures, le grand mot qui résume cent années d’eff

36 ques de nos jours ? Dès les bancs de « l’école du dimanche  », tout jeune protestant est nourri aux sources mêmes du judaïsme pré

37 lant de « guerre », fût-ce même contre le froid ? Dimanche dernier, c’était le jour de l’Eintopfgericht. Ce jour-là, chaque ména

38 age sur la divinité des impressions champêtres du dimanche .) Spinoza définit l’amour : un sentiment de joie accompagné de l’idée

39 route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer les belles autos, et s’indigner des excès

40 age sur la divinité des impressions champêtres du dimanche .) Spinoza définit l’amour : un sentiment de joie accompagné de l’idée

41 route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer les belles autos, et s’indigner des excès

42 age sur la divinité des impressions champêtres du dimanche .) Spinoza définit l’amour : un sentiment de joie accompagné de l’idée

43 route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer les belles autos, et s’indigner des excès

44 pas à être dérangés dans nos petites habitudes du dimanche matin, et il arrive que nous soyons choqués quand un pasteur ne garde

45 t incroyante. Vous réussissez à l’amener, un beau dimanche , au culte d’une de nos paroisses suisses. Elle sera d’abord, probable

46 ce, j’éprouve le besoin d’entendre répéter chaque dimanche les grandes vérités de la foi, j’éprouve le besoin de participer, par

47 ipales paroisses de la cité. (Trois cultes chaque dimanche dans beaucoup d’églises.) Le lundi, copieux résumés des sermons de la

48 es du monde entier. Le samedi, les synagogues. Le dimanche , du matin au soir, une douzaine de cultes relayés par différentes sta

49 polissant et graissant son fusil après le tir du dimanche , — spectacle que vous ne verrez nulle part ailleurs dans le monde. Ce

50 La situation des chrétiens qui ne le sont que le dimanche , ou dans un certain secteur délimité de leur vie, dans une certaine «

51 Nous lisons les journaux, voilà notre réalité. Le dimanche , nous allons quelquefois à l’église déplorer l’athéisme du monde. « L

52 la bombe du type Nagasaki — celle qui fut lancée dimanche soir — démodée et mille fois surpassée par les récents modèles, qu’il

53 votion correcte… Le goût de la cérémonie Un dimanche matin à New York : voilà le temps, voilà le lieu pour une étude compa

54 rences, des films, un peu de danse, les cultes du dimanche et parfois de la semaine, bref, un milieu. Le pasteur se trouve donc

55 rincipale sera donc de parler, et ce n’est pas le dimanche qu’il parlera le plus, car son sermon ne dépasse pas vingt minutes :

56 ependant, ces Américains répètent le Credo chaque dimanche , à haute voix tous ensemble et debout, tandis que le chœur et le past

57 r une idée qui s’incarne, qui « prend corps ». Dimanche , 16 juin 1940 À 11 heures, hier matin, mon ordonnance fait irrupti

58 nait devant les Athéniens. Toutes sont pleines le dimanche , pendant des heures. On dirait que la religion va de soi pour les Amé

59 re. Certains se chargent eux-mêmes du message. Le dimanche , on nous transmet les cultes des principales confessions religieuses,

60 mes enfants à Long Island, le samedi soir, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affa

61 ou indifférente. Nous prenons rendez-vous pour un dimanche prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette,

62 ume de se réunir, d’être ensemble pour causer. Le dimanche , ils « font la partie » chez l’un ou l’autre, à quatre ou cinq. On bo

63 de devenir la proie des politiciens de Paris. Un dimanche ce sont les enfants communistes de la colonie de vacances qui défilen

64 rouges et l’on pousse des « cris séditieux » ; le dimanche suivant, ce sont les enfants de la fondation « de droite » et on les

65 abitants. Quinze cents personnes au temple chaque dimanche . Je complète : Vers 1900, la soie artificielle fait son apparition d

66 e, oui et non. — Enfin, viennent-ils au temple le dimanche  ? — Ça non. D’ailleurs, communistes ou pas, les hommes d’ici ne vienn

67 les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur pastis. Si l’on va au culte, il f

68 ues. — Les « exclus » vieux travailleurs. Demain dimanche , à 10 heures, sera donnée une conférence au profit des vieux, hommes

69 antisme clérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires ! Il est venu le jour que

70 é populaire appelait de tous ses espoirs ! Demain dimanche , sur le coup de 10 heures, les travailleurs de Bouillargues proclamer

71 lant de « guerre », fût-ce même contre le froid ? Dimanche dernier, c’était le jour de l’Eintopfgericht. Ce jour-là, chaque ména

72 r une idée qui s’incarne, qui « prend corps ». Dimanche , 16 juin 1940 À onze heures, hier matin mon ordonnance fait irrupt

73 nait devant les Athéniens. Toutes sont pleines le dimanche , pendant des heures. On dirait que la religion va de soi pour les Amé

74 re. Certains se chargent eux-mêmes du message. Le dimanche , on nous transmet les cultes des principales confessions religieuses,

75 mes enfants à Long Island, le samedi soir, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affa

76 mes enfants à Long Island, le samedi soir, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affa

77 amme du Solitaire à la radio serait écouté chaque dimanche par quarante millions de personnes avides de faire comme le voisin… I

78 , de luxe, de dignité, de dévotion correcte…   Un dimanche matin à New York : voilà le temps, voilà le lieu pour une étude compa

79 ipales paroisses de la cité. (Trois cultes chaque dimanche dans beaucoup d’églises.) Le lundi, copieux résumés des sermons de la

80 es du monde entier. Le samedi, les synagogues. Le dimanche , du matin au soir, une douzaine de cultes relayés par différentes sta

81 rences, des films, un peu de danse, les cultes du dimanche et parfois de la semaine, bref un milieu. Le pasteur se trouve donc à

82 rincipale sera donc de parler, et ce n’est pas le dimanche qu’il parlera le plus, car son sermon ne dépasse pas vingt minutes :

83 ependant, ces Américains répètent le Credo chaque dimanche à haute voix tous ensemble et debout, tandis que le chœur et le paste

84 Tribune au Times, parce que le Tribune publie le dimanche un supplément de comics en couleur. Occasion de conflits hebdomadaire

85 calogue, observe le repos hebdomadaire non pas le dimanche mais le samedi. Il en résulte que les enfants élevés dans cette croya

86 istes ont tort ou raison de préférer le samedi au dimanche comme jour de repos, ne doit pas davantage intervenir dans la considé

87 es que l’Europe ait connu depuis 1905 ; depuis ce Dimanche Rouge, où le tsar fit tirer sur la foule qui marchait vers le Palais

88 » Ainsi les Soviétiques viennent de renouveler ce Dimanche rouge de 1905 où le tzar fit tirer sur la foule qui marchait vers le

89 divers projets sur les congés payés, le repos du dimanche , le régime de l’énergie hydraulique, etc. Le Landamann11, du haut de

90 oyer, de leurs enfants, si elles doivent voter un dimanche sur trois, et participer aux débats préparatoires pour se former une

91 dernière production. Mais nos grands concerts du dimanche ne jouent plus que les modernes d’autres temps. D’où l’aspect forcéme

92 communiste, désormais… (10 novembre 1956)af Le dimanche 4 novembre, à 7 h 57, Radio-Kossuth diffuse le texte que voici : Att

93 ême de la plus pure révolution de l’Histoire : le dimanche 4 novembre, sous le feu des canons russes, tandis que les troupes mon

94 e, trop claire sans doute pour qu’on y croie ? Dimanche 4 novembre 1956, soir La radio, à sept heures et quart, transmetta

95 ation, et peut-être saisir une arme : l’unité. Dimanche 11 novembre 1956 L’Europe se tait… Honte à cette Europe silencieu

96 urgeois mêlés. Nos grands-pères se promenaient le dimanche le long des routes, en redingote, et parfois faisaient trempette au b

97 nt professés ; qu’un même Credo y est lu tous les dimanches , le même Évangile annoncé, et le même Notre Père prié ; que les grand

98 unis des plus larges pouvoirs et de son sceau, le dimanche Reminiscere de l’année 1464 après la nativité du Seigneur70, dans la

99 t, alors qu’en Amérique elles sont pleines chaque dimanche , et on en trouve en général quatre ou cinq pour une commune rurale mo

100 , alors qu’en Amérique, elles sont pleines chaque dimanche , et on en trouve en général quatre ou cinq pour une commune rurale mo

101 ques de nos jours ? Dès les bancs de « l’école du dimanche  », tout jeune protestant est nourri aux sources mêmes du judaïsme pré

102 divers projets sur les congés payés, le repos du dimanche , le régime de l’énergie hydraulique, etc. Le Landamman, du haut de la

103 le est si fréquemment consulté que les femmes, un dimanche sur six, devraient choisir entre les urnes et les casseroles. Pour qu

104 c celui qu’avait canonisé « l’Obscurantisme ». Un dimanche matin à New York, au bas de Madison Avenue déserte, vingt étages à ga

105 dernière production. Mais nos grands concerts du dimanche ne jouent plus que les modernes d’autres temps. D’où l’aspect forcéme

106 , mais d’autres passifs, tels les « sportifs » du dimanche , qui se contentent d’assister aux matches. En 2000, il y aura beaucou

107 es en fait à la circulation de nos automobiles le dimanche . Or cette circulation quasi sacrée, qu’il faut sauver à n’importe que

108 ait vide, artificiel, sans âme. Je me rappelle un dimanche matin, à Madison Avenue. La rue était déserte, tout le monde était à

109 s Béatitudes, et les sermons le répètent tous les dimanches aux banquiers qui vont à l’église… Le prestige national se révèle fa

110 tais allé passer le week-end à Long Island, et le dimanche matin déjà, j’annonce subitement à mes hôtes que je dois rentrer à Ne

111 s Béatitudes, et les sermons le répètent tous les dimanches aux banquiers soucieux, comme à leurs clients insatisfaits. Le presti

112 veilla d’abord en moi les souvenirs de l’école du dimanche de mon enfance ! Ces apports émotifs ou plastiques à nos arts ont peu

113 mer les usines, ni à décréter la semaine des cinq dimanches plus le week-end, la société post-industrielle ne peut signifier conc

114 allées manifester à Kaiseraugst, lors d’un fameux dimanche sous la pluie : « Vous êtes hors de la légalité, c’est évident, et vo

115 les jeunes. Mon fils s’est acheté une voiture. Le dimanche soir, je lui demande : où as-tu été ? qu’est-ce que tu as vu ? qu’est

116 at, dont on nous assure qu’il exige de passer ses dimanches sur les routes ? Les prévisions elles-mêmes imprévisibles Il y

117 ulation et d’alternances. » Ford a créé un second dimanche dans la semaine, “retouché l’œuvre de la création”, comme dit Gugliel

118 ints aux occupants du chantier de Kaiseraugst, un dimanche de janvier 1975, j’ai envoyé le message suivant qui sera lu, avec bea

119 page sur Denis de Rougemont », La Voix du Nord du dimanche , Lille, 14-15 mai 1978, p. 19. Les coquilles de cet article ont été c

120 e Rougemont, mon ami très cher et très écouté. » Dimanche matin. Sur Madison Avenue déserte, je me hâte vers la « Little Church

121 nvoyées à la Gazette de Lausanne . Le lendemain, dimanche 16 juin, j’ai montré mon manuscrit à mon beau-frère qui était à la ce

122 stantisme traditionnel que j’entendais prêcher le dimanche . C’est alors que j’ai découvert Kierkegaard. J’ai commencé à lire que

123 confesse, de celle que je gardais de mon école du dimanche . C’était l’idée très calvinienne de la personne, c’est-à-dire d’un in

124 ui qu’est sportif celui qui va voir les matchs le dimanche ou les regarde à la TV. 20 janvier1967 Il est évident que personne ne