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nature. Il s’agit de créer à notre vie moderne un
décor
utile et beau. Or « la grande ville, phénomène de force en mouvement,
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ues, regards, musiques — cette vie rapide dans un
décor
qui est le rêve éternisé des plus voluptueuses intelligences — tous l
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tamorphose le paysage du passé. Ainsi de certains
décors
modernes : vous changez l’éclairage, et la chaumière devient palais.
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mort ou des chansons ? » On a l’hallucination du
décor
des capitales, créatrice d’un merveilleux de chaque instant, d’une vé
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e province s’agitent incompréhensiblement dans un
décor
très pauvre, légèrement coloré. Le principe est simple : « Je vous ai
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datent des toiles comme le Souvenir de l’Évêché.
Décors
et personnages semblent d’une matière idéale. Tout est lisse et parfa
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s du matin, moyennant tant de schillings, dans un
décor
banal et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la me
8
e d’éternel. Tous les drames du monde ne sont que
décors
mouvants dans la lueur bariolée des sentiments, ils ne sont que refle
9
e relève pas, et qui tire sa grandeur de celle du
décor
? Guy de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son héros « prince de l’il
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secrètement à son aventure. Nous vivons dans un
décor
flamboyant de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son
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cole telle qu’on la voit. Après les personnes, le
décor
. La laideur des collèges n’est pas accidentelle. C’est celle même du
12
ées, Numa Droz et ses crottes de mouches… Dans ce
décor
s’écoulent huit années de votre vie, citoyens ! Et vous pensez que c’
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rancie armée de pédantisme, et je ne parle pas du
décor
, des odeurs, de la poussière, des petites habitudes sordides et de ce
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cole telle qu’on la voit. Après les personnes, le
décor
. La laideur des « collèges » n’est pas accidentelle. C’est celle même
15
ées, Numa Droz et ses crottes de mouches… Dans ce
décor
s’écoulent huit années de votre vie, citoyens ! Et vous pensez que c’
16
rancie armée de pédantisme, et je ne parle pas du
décor
, des odeurs, de la poussière, des petites habitudes sordides et de ce
17
e espèce de grande villa baroque assez décrépite,
décor
en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On lon
18
alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel
décor
à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
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ontagne dans leurs œuvres, elle n’est guère qu’un
décor
conventionnel, un élément de pittoresque, un sublime tout fait, dont
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thique. Là, elles prêtaient le romantisme de leur
décor
; ici, par l’effort de discipline qu’elles exigent de qui veut les va
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Se trouvera-t-il un romancier pour animer dans le
décor
des « hauts lieux » autre chose qu’une intrigue de palaces ? 22. L
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us apparaissent incapables de transporter dans ce
décor
les dilemmes religieux d’une vie intérieure que l’on sent parfois sou
23
e entre Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le
décor
voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis
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es du matin, moyennant tant de schilling, dans un
décor
banal et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la me
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éternel. Tous les drames du monde ne sont que des
décors
mouvants dans la lueur bariolée des sentiments, ils ne sont que refle
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grande villa ou palais baroque assez décrépit, un
décor
en pierre brune peu solide, rongé de roses Crimson. On longe une gale
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alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel
décor
à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
28
pour le corps. J’ai pensé aux gens des villes, au
décor
de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition
29
e entre Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le
décor
voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis
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grande villa ou palais baroque assez décrépit, un
décor
en pierre brune peu solide, rongé de roses crimson. On longe une gale
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alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel
décor
à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
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pour le corps. J’ai pensé aux gens des villes, au
décor
de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition
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ouées par Nietzsche), ses brusques changements de
décor
suivis de guerre d’usure contre l’inertie fascinante, cette vie faite
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e comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du
décor
guerrier est un goût pacifique, somme toute, sportif, artistique si j
35
e sa vie, non point certes aux contingences et au
décor
de son apparition. Aussi bien la suite du passage nous ramène au nive
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dé des biographies parallèles, et Franz Lehar les
décors
d’opérette. Catalogue illustré des vices les plus connus, revue à gra
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is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes.
Décor
candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
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’un après l’autre, tous les éléments historiques,
décors
, personnages et coutumes, que les romans mettront en œuvre : il n’y m
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profondes, structure sociale stable et puissante,
décor
naturel envoûtant, intimement mêlé aux sentiments des personnages. Co
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is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes.
Décor
candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
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s. Voici les rues du village, illuminées comme un
décor
blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horri
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is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes.
Décor
candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
43
us rien ne palpite et n’attend, le pittoresque du
décor
devient un désordre sordide, les singularités curieuses des hommes et
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s. Voici les rues du village, illuminées comme un
décor
blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horri
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e comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du
décor
guerrier est un goût pacifique somme toute, sportif, artistique si j’
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uite, au xviiie , il n’est resté que la nudité du
décor
. La discipline est devenue lésinerie. Comment louer assez les mérites
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un pont de fer, au-dessus de canaux reflétant les
décors
d’une grandiose activité marchande. Ici, les sirènes annoncent l’appr
48
dans notre éducation, dans les images qui font le
décor
de nos vies ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécaniqu
49
e plus l’instant mais la durée. 158. Surtout les
décors
réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décor
50
s murailles du burg au deuxième) ! Il faudrait un
décor
simplifié à l’extrême, abstrait, métaphysique, rêvé. Il faudrait des
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nt les places et les rues sont si pareilles à des
décors
, la nuit, nous avions l’impression de circuler sur une scène perpétue
52
.) 2. Ce drame a été écrit pour une scène sans
décors
ni rideau, comportant trois degrés ou plans réunis par de larges esca
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e que le paysage lui-même invite au jeu, avec ses
décors
partout suspendus, pans de forêts, portants de rochers, grandiose toi
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dans notre éducation, dans les images qui font le
décor
de nos vies ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécaniqu
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plus l’instant mais la durée. 176. Surtout les
décors
réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décor
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s murailles du burg au deuxième !) Il faudrait un
décor
simplifié à l’extrême, abstrait, métaphysique, rêvé. Il faudrait des
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dans notre éducation, dans les images qui font le
décor
de nos vies ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécaniqu
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plus l’instant mais la durée. 164. Surtout les
décors
réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décor
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murailles du burg au deuxième !). Il faudrait un
décor
simplifié à l’extrême, abstrait, métaphysique, rêvé. Il faudrait des
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dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un
décor
; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p
61
français. Les Français critiquaient beaucoup. Le
décor
était inexact, les situations pas toujours vraisemblables, les traîtr
62
e sa vie, non point certes aux contingences et au
décor
de son apparition. Aussi bien la suite du passage nous ramène au nive
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outume américaine : le formalisme, une passion du
décor
dès qu’il s’agit de manifestations publiques. Ceci compense cela, san
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i les uns des autres par leurs rites, coutumes et
décors
, comment les chrétiens d’Amérique conçoivent-ils et vivent-ils leurs
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un pont de fer, au-dessus de canaux reflétant les
décors
d’une grandiose activité marchande. Les sirènes, ici, n’annoncent enc
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dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un
décor
; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p
67
méricains. Les Français critiquaient beaucoup. Le
décor
était inexact, les situations pas toujours vraisemblables, les traîtr
68
e entre Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le
décor
voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis
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e espèce de grande villa baroque assez décrépite,
décor
en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On lon
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alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel
décor
à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
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pour le corps. J’ai pensé aux gens des villes, au
décor
de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition
72
is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes.
Décor
candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
73
s. Voici les rues du village, illuminées comme un
décor
blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient et gr
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us rien ne palpite et n’attend, le pittoresque du
décor
devient un désordre sordide, les singularités curieuses des hommes et
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e comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du
décor
guerrier est un goût pacifique somme toute, sportif, artistique si j’
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flammes jaillies des guichets 65. À l’Opéra, les
décors
sont affreux, comme toujours, les voix allemandes, comme il convient,
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Suisses. La scène de l’Exposition de Zurich, sans
décors
ni rideau, 36 mètres de large et 18 mètres de profondeur, s’étagera s
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un pont de fer, au-dessus de canaux reflétant les
décors
d’une grandiose activité marchande. Les sirènes, ici, n’annoncent enc
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dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un
décor
; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p
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méricains. Les Français critiquaient beaucoup. Le
décor
était inexact, les situations pas toujours vraisemblables, les traîtr
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s secrètement à son aventure. Nous vivons dans un
décor
flamboyant de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son
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ssime de Venise, ne laissant qu’un souvenir ou un
décor
, parce qu’il aura gardé son idée pour lui seul et l’aura épuisée en s
83
lles surchargées d’anneaux et de grelots, mais le
décor
est italien. (Et ce même rose très pâle et un peu mauve des cotonnade
84
s automatiques et les quais fleuris, composent un
décor
luisant et astiqué de modernisme, autour des monuments d’un passé soi
85
out autre le rythme intime d’une civilisation. Le
décor
a pris en Europe, depuis la Renaissance italienne et française, une i
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es ou en préparation, leur mise en scène et leurs
décors
, ainsi que sur les artistes, chefs d’orchestre, etc., seront mises à
87
le seule qui peut le sauver de sa condition et du
décor
hideux de son existence. Ce n’est pas la scolastique qui a supprimé l
88
c’est le mot-clé de la Suisse. Douze paysages ou
décors
types juxtaposés, et l’on va de l’un à l’autre en une demi-heure, par
89
atiemment les grands faubourgs industriels et les
décors
de la technique. En Amérique : pas un seul lieu sacré en dehors des é
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à Bombay comme à Capetown et à Hong Kong17 et des
décors
industriels aux confins de la jungle ou en plein désert. Enfin la Chi
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atiemment les grands faubourgs industriels et les
décors
de la technique. En Amérique : pas un seul lieu sacré en dehors des é
92
llectivisme totalitaire dans ses parades et leurs
décors
austères et plats… Mais la personne dans tout cela, où l’a-t-on
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le seule qui peut le sauver de sa condition et du
décor
hideux de son existence. Ce n’est pas la scolastique qui a supprimé l
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à Bombay comme à Capetown et à Hong Kong1 et des
décors
industriels aux confins de la jungle ou en plein désert. Enfin la Chi
95
écorés ou pierres gravées. Il a fixé pour nous le
décor
printanier où les poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occ
96
va pas de même avec Horace. Bien qu’il adopte le
décor
traditionnel du mythe, il est le premier à lui donner son sens histor
97
es et les strip-teases : il suffit de regarder le
décor
des journées et des nuits citadines pour vérifier l’omniprésence de l
98
es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un
décor
de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
99
tte mince bande jaune sur la mer, dans le nouveau
décor
de Bayreuth, cette frileuse aurore jaune au bas du ciel, c’est un jou
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es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un
décor
de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
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es et les strip-teases : il suffit de regarder le
décor
des journées et des nuits citadines pour vérifier l’omniprésence de l
102
es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un
décor
de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
103
resque sans mélange ; une douzaine de paysages ou
décors
types, et l’on va de l’un à l’autre en une demi-heure, parfois en deu
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écorés ou pierres gravées. Il a fixé pour nous le
décor
printanier où les poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occ
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va pas de même avec Horace. Bien qu’il adopte le
décor
traditionnel du mythe, il est le premier à lui donner son sens histor
106
son énergie du charbon, n’a pas seulement créé le
décor
sale et sans âme des faubourgs de nos capitales, elle a créé le prolé
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son énergie du charbon, n’a pas seulement créé le
décor
sale et sans âme des faubourgs de nos capitales, elle a créé le prolé
108
sent d’être des lieux totalement séculiers par le
décor
, l’architecture et l’ornementation, de simples salles de conférence,
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vêtements, à la musique, au ton, c’est-à-dire au
décor
. S’il s’y arrête, c’est lui qui à ce moment-là sera la victime du « m
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s dimensions les moins trompeuses. La grandeur du
décor
, l’infinie variété de ses plans lumineux virant très lentement à mesu
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rs automatiques et les quais fleuris composent un
décor
luisant et astiqué d’un modernisme modéré, autour des monuments d’un
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dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un
décor
: non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie siècle
113
s ce pays et qui en compose depuis des siècles le
décor
. Je ne parle pas des cathédrales gothiques et des grandes abbayes rom
114
it être national, et s’exposer sur une scène sans
décors
ni rideau, de 35 m de large, à trois étages et deux plateaux latéraux
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taire : les génies y ont manqué — musique, poème,
décors
et mise en scène — ou peut-être n’a-t-on pas voulu qu’ils s’en mêlent
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novateurs du théâtre contemporain. Suppression du
décor
réaliste, grands espaces architecturaux suggérés par quelques lignes,
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es et la percussion diabolique de Stravinsky, les
décors
de René Auberjonois, maître raffiné du naïf, la direction d’Ernest An
118
, visage levé, crinière au vent. Et c’est dans le
décor
de Manhattan (qu’il haïssait), granit poli, brique enfumée, verre et
119
ue l’Europe ne s’américanise par le costume et le
décor
urbain. L’URSS ? Mais qu’apporte-t-elle de nouveau ? Est-elle une aut
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loie les fastes de ses opéras dans les plus beaux
décors
du monde : ceux d’une nature humanisée par les styles de nos grandes
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ue l’Europe ne s’américanise par le costume et le
décor
urbain. L’URSS ? Mais qu’apporte-t-elle de nouveau ? Est-elle une aut
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r, trois niveaux reliés par des marches, point de
décors
ni de rideaux, tout cela béant devant une salle de 6000 places. Je de
123
dent verticales et sans relief visible, comme des
décors
translucides. Mais tout ce qui est proche sur nos rives brille d’un v
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dent verticales et sans relief visible, comme des
décors
translucides. Mais tout ce qui est proche sur nos rives brille d’un v
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tte mince bande jaune sur la mer, dans le nouveau
décor
de Bayreuth, cette frileuse aurore jaune au bas du ciel, c’est un jou
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es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un
décor
de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
127
point de salut pour ce siècle. Hier, dans ce beau
décor
de la Fondation Cini, on nous a parlé d’un fédéralisme plus problémat