1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 nature. Il s’agit de créer à notre vie moderne un décor utile et beau. Or « la grande ville, phénomène de force en mouvement,
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 ues, regards, musiques — cette vie rapide dans un décor qui est le rêve éternisé des plus voluptueuses intelligences — tous l
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 tamorphose le paysage du passé. Ainsi de certains décors modernes : vous changez l’éclairage, et la chaumière devient palais.
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
4 mort ou des chansons ? » On a l’hallucination du décor des capitales, créatrice d’un merveilleux de chaque instant, d’une vé
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
5 e province s’agitent incompréhensiblement dans un décor très pauvre, légèrement coloré. Le principe est simple : « Je vous ai
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 datent des toiles comme le Souvenir de l’Évêché. Décors et personnages semblent d’une matière idéale. Tout est lisse et parfa
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
7 s du matin, moyennant tant de schillings, dans un décor banal et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la me
8 e d’éternel. Tous les drames du monde ne sont que décors mouvants dans la lueur bariolée des sentiments, ils ne sont que refle
8 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
9 e relève pas, et qui tire sa grandeur de celle du décor  ? Guy de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son héros « prince de l’il
9 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
10 secrètement à son aventure. Nous vivons dans un décor flamboyant de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
11 cole telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor . La laideur des collèges n’est pas accidentelle. C’est celle même du
12 ées, Numa Droz et ses crottes de mouches… Dans ce décor s’écoulent huit années de votre vie, citoyens ! Et vous pensez que c’
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
13 rancie armée de pédantisme, et je ne parle pas du décor , des odeurs, de la poussière, des petites habitudes sordides et de ce
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
14 cole telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor . La laideur des « collèges » n’est pas accidentelle. C’est celle même
15 ées, Numa Droz et ses crottes de mouches… Dans ce décor s’écoulent huit années de votre vie, citoyens ! Et vous pensez que c’
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
16 rancie armée de pédantisme, et je ne parle pas du décor , des odeurs, de la poussière, des petites habitudes sordides et de ce
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
17 e espèce de grande villa baroque assez décrépite, décor en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On lon
18 alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
19 ontagne dans leurs œuvres, elle n’est guère qu’un décor conventionnel, un élément de pittoresque, un sublime tout fait, dont
20 thique. Là, elles prêtaient le romantisme de leur décor  ; ici, par l’effort de discipline qu’elles exigent de qui veut les va
21 Se trouvera-t-il un romancier pour animer dans le décor des « hauts lieux » autre chose qu’une intrigue de palaces ? 22. L
16 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
22 us apparaissent incapables de transporter dans ce décor les dilemmes religieux d’une vie intérieure que l’on sent parfois sou
17 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
23 e entre Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le décor voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
24 es du matin, moyennant tant de schilling, dans un décor banal et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la me
25 éternel. Tous les drames du monde ne sont que des décors mouvants dans la lueur bariolée des sentiments, ils ne sont que refle
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 grande villa ou palais baroque assez décrépit, un décor en pierre brune peu solide, rongé de roses Crimson. On longe une gale
27 alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
28 pour le corps. J’ai pensé aux gens des villes, au décor de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
29 e entre Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le décor voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
30 grande villa ou palais baroque assez décrépit, un décor en pierre brune peu solide, rongé de roses crimson. On longe une gale
31 alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
32 pour le corps. J’ai pensé aux gens des villes, au décor de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition
24 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
33 ouées par Nietzsche), ses brusques changements de décor suivis de guerre d’usure contre l’inertie fascinante, cette vie faite
25 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
34 e comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique, somme toute, sportif, artistique si j
26 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
35 e sa vie, non point certes aux contingences et au décor de son apparition. Aussi bien la suite du passage nous ramène au nive
27 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
36 dé des biographies parallèles, et Franz Lehar les décors d’opérette. Catalogue illustré des vices les plus connus, revue à gra
28 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
37 is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
29 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
38 ’un après l’autre, tous les éléments historiques, décors , personnages et coutumes, que les romans mettront en œuvre : il n’y m
39 profondes, structure sociale stable et puissante, décor naturel envoûtant, intimement mêlé aux sentiments des personnages. Co
30 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
40 is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
31 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
41 s. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horri
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
42 is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
43 us rien ne palpite et n’attend, le pittoresque du décor devient un désordre sordide, les singularités curieuses des hommes et
34 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
44 s. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horri
35 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
45 e comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique somme toute, sportif, artistique si j’
36 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
46 uite, au xviiie , il n’est resté que la nudité du décor . La discipline est devenue lésinerie. Comment louer assez les mérites
37 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
47 un pont de fer, au-dessus de canaux reflétant les décors d’une grandiose activité marchande. Ici, les sirènes annoncent l’appr
38 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
48 dans notre éducation, dans les images qui font le décor de nos vies ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécaniqu
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
49 e plus l’instant mais la durée. 158. Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décor
50 s murailles du burg au deuxième) ! Il faudrait un décor simplifié à l’extrême, abstrait, métaphysique, rêvé. Il faudrait des
40 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
51 nt les places et les rues sont si pareilles à des décors , la nuit, nous avions l’impression de circuler sur une scène perpétue
41 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
52 .) 2. Ce drame a été écrit pour une scène sans décors ni rideau, comportant trois degrés ou plans réunis par de larges esca
42 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
53 e que le paysage lui-même invite au jeu, avec ses décors partout suspendus, pans de forêts, portants de rochers, grandiose toi
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
54 dans notre éducation, dans les images qui font le décor de nos vies ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécaniqu
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
55 plus l’instant mais la durée. 176. Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décor
56 s murailles du burg au deuxième !) Il faudrait un décor simplifié à l’extrême, abstrait, métaphysique, rêvé. Il faudrait des
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
57 dans notre éducation, dans les images qui font le décor de nos vies ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécaniqu
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
58 plus l’instant mais la durée. 164. Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décor
59 murailles du burg au deuxième !). Il faudrait un décor simplifié à l’extrême, abstrait, métaphysique, rêvé. Il faudrait des
47 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
60 dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un décor  ; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p
48 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
61 français. Les Français critiquaient beaucoup. Le décor était inexact, les situations pas toujours vraisemblables, les traîtr
49 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
62 e sa vie, non point certes aux contingences et au décor de son apparition. Aussi bien la suite du passage nous ramène au nive
50 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
63 outume américaine : le formalisme, une passion du décor dès qu’il s’agit de manifestations publiques. Ceci compense cela, san
51 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
64 i les uns des autres par leurs rites, coutumes et décors , comment les chrétiens d’Amérique conçoivent-ils et vivent-ils leurs
52 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
65 un pont de fer, au-dessus de canaux reflétant les décors d’une grandiose activité marchande. Les sirènes, ici, n’annoncent enc
66 dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un décor  ; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p
53 1946, Journal des deux mondes. Virginie
67 méricains. Les Français critiquaient beaucoup. Le décor était inexact, les situations pas toujours vraisemblables, les traîtr
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
68 e entre Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le décor voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
69 e espèce de grande villa baroque assez décrépite, décor en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On lon
70 alais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magn
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
71 pour le corps. J’ai pensé aux gens des villes, au décor de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
72 is ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à l
73 s. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient et gr
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
74 us rien ne palpite et n’attend, le pittoresque du décor devient un désordre sordide, les singularités curieuses des hommes et
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
75 e comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique somme toute, sportif, artistique si j’
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
76 flammes jaillies des guichets 65. À l’Opéra, les décors sont affreux, comme toujours, les voix allemandes, comme il convient,
77 Suisses. La scène de l’Exposition de Zurich, sans décors ni rideau, 36 mètres de large et 18 mètres de profondeur, s’étagera s
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
78 un pont de fer, au-dessus de canaux reflétant les décors d’une grandiose activité marchande. Les sirènes, ici, n’annoncent enc
79 dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un décor  ; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
80 méricains. Les Français critiquaient beaucoup. Le décor était inexact, les situations pas toujours vraisemblables, les traîtr
63 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
81 s secrètement à son aventure. Nous vivons dans un décor flamboyant de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son
64 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
82 ssime de Venise, ne laissant qu’un souvenir ou un décor , parce qu’il aura gardé son idée pour lui seul et l’aura épuisée en s
65 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
83 lles surchargées d’anneaux et de grelots, mais le décor est italien. (Et ce même rose très pâle et un peu mauve des cotonnade
66 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
84 s automatiques et les quais fleuris, composent un décor luisant et astiqué de modernisme, autour des monuments d’un passé soi
67 1953, Articles divers (1951-1956). Préface à Photo + scène (1953)
85 out autre le rythme intime d’une civilisation. Le décor a pris en Europe, depuis la Renaissance italienne et française, une i
68 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour les grands festivals de musique l’Europe est faite ! (octobre 1955)
86 es ou en préparation, leur mise en scène et leurs décors , ainsi que sur les artistes, chefs d’orchestre, etc., seront mises à
69 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
87 le seule qui peut le sauver de sa condition et du décor hideux de son existence. Ce n’est pas la scolastique qui a supprimé l
70 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
88 c’est le mot-clé de la Suisse. Douze paysages ou décors types juxtaposés, et l’on va de l’un à l’autre en une demi-heure, par
71 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
89 atiemment les grands faubourgs industriels et les décors de la technique. En Amérique : pas un seul lieu sacré en dehors des é
72 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
90 à Bombay comme à Capetown et à Hong Kong17 et des décors industriels aux confins de la jungle ou en plein désert. Enfin la Chi
73 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
91 atiemment les grands faubourgs industriels et les décors de la technique. En Amérique : pas un seul lieu sacré en dehors des é
74 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
92 llectivisme totalitaire dans ses parades et leurs décors austères et plats… Mais la personne dans tout cela, où l’a-t-on
75 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
93 le seule qui peut le sauver de sa condition et du décor hideux de son existence. Ce n’est pas la scolastique qui a supprimé l
76 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
94 à Bombay comme à Capetown et à Hong Kong1 et des décors industriels aux confins de la jungle ou en plein désert. Enfin la Chi
77 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
95 écorés ou pierres gravées. Il a fixé pour nous le décor printanier où les poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occ
96 va pas de même avec Horace. Bien qu’il adopte le décor traditionnel du mythe, il est le premier à lui donner son sens histor
78 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
97 es et les strip-teases : il suffit de regarder le décor des journées et des nuits citadines pour vérifier l’omniprésence de l
79 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
98 es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
80 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
99 tte mince bande jaune sur la mer, dans le nouveau décor de Bayreuth, cette frileuse aurore jaune au bas du ciel, c’est un jou
100 es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
81 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
101 es et les strip-teases : il suffit de regarder le décor des journées et des nuits citadines pour vérifier l’omniprésence de l
82 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
102 es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
83 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
103 resque sans mélange ; une douzaine de paysages ou décors types, et l’on va de l’un à l’autre en une demi-heure, parfois en deu
84 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
104 écorés ou pierres gravées. Il a fixé pour nous le décor printanier où les poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occ
105 va pas de même avec Horace. Bien qu’il adopte le décor traditionnel du mythe, il est le premier à lui donner son sens histor
85 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
106 son énergie du charbon, n’a pas seulement créé le décor sale et sans âme des faubourgs de nos capitales, elle a créé le prolé
86 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
107 son énergie du charbon, n’a pas seulement créé le décor sale et sans âme des faubourgs de nos capitales, elle a créé le prolé
87 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
108 sent d’être des lieux totalement séculiers par le décor , l’architecture et l’ornementation, de simples salles de conférence,
88 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
109 vêtements, à la musique, au ton, c’est-à-dire au décor . S’il s’y arrête, c’est lui qui à ce moment-là sera la victime du « m
89 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
110 s dimensions les moins trompeuses. La grandeur du décor , l’infinie variété de ses plans lumineux virant très lentement à mesu
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
111 rs automatiques et les quais fleuris composent un décor luisant et astiqué d’un modernisme modéré, autour des monuments d’un
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
112 dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un décor  : non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie siècle
113 s ce pays et qui en compose depuis des siècles le décor . Je ne parle pas des cathédrales gothiques et des grandes abbayes rom
114 it être national, et s’exposer sur une scène sans décors ni rideau, de 35 m de large, à trois étages et deux plateaux latéraux
115 taire : les génies y ont manqué — musique, poème, décors et mise en scène — ou peut-être n’a-t-on pas voulu qu’ils s’en mêlent
116 novateurs du théâtre contemporain. Suppression du décor réaliste, grands espaces architecturaux suggérés par quelques lignes,
117 es et la percussion diabolique de Stravinsky, les décors de René Auberjonois, maître raffiné du naïf, la direction d’Ernest An
92 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
118 , visage levé, crinière au vent. Et c’est dans le décor de Manhattan (qu’il haïssait), granit poli, brique enfumée, verre et
93 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
119 ue l’Europe ne s’américanise par le costume et le décor urbain. L’URSS ? Mais qu’apporte-t-elle de nouveau ? Est-elle une aut
94 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
120 loie les fastes de ses opéras dans les plus beaux décors du monde : ceux d’une nature humanisée par les styles de nos grandes
95 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
121 ue l’Europe ne s’américanise par le costume et le décor urbain. L’URSS ? Mais qu’apporte-t-elle de nouveau ? Est-elle une aut
96 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
122 r, trois niveaux reliés par des marches, point de décors ni de rideaux, tout cela béant devant une salle de 6000 places. Je de
97 1972, Articles divers (1970-1973). Je rentrais de l’espace… (27-28 mai 1972)
123 dent verticales et sans relief visible, comme des décors translucides. Mais tout ce qui est proche sur nos rives brille d’un v
98 1972, Articles divers (1970-1973). Forteresse au centre de l’Europe : la Suisse (1972)
124 dent verticales et sans relief visible, comme des décors translucides. Mais tout ce qui est proche sur nos rives brille d’un v
99 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
125 tte mince bande jaune sur la mer, dans le nouveau décor de Bayreuth, cette frileuse aurore jaune au bas du ciel, c’est un jou
126 es êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les
100 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe
127 point de salut pour ce siècle. Hier, dans ce beau décor de la Fondation Cini, on nous a parlé d’un fédéralisme plus problémat