1
générations nouvelles. Toute la jeune littérature
décrit
un type d’homme profondément antisocial, glorifie une morale résolume
2
ultipliant ses douleurs en les lui nommant », ils
décrivent
le tourment dont sortira peut-être une foi nouvelle ; mais qu’ils sac
3
e de l’art, et pas encore la vérité pure — Crevel
décrit
sans aucune transposition romanesque le trouble caractéristique de sa
4
peu mes lèvres, et s’affirmer à mesure que je le
décris
. Mais comme un écho profond, une attirance aussi d’anciennes folies…
5
u’on imagine un personnage de tableau se mettre à
décrire
ce qu’il voit autour de lui — et l’étonnement indigné du spectateur.
6
nces matérielles. Ce n’est plus l’élan pur que je
décris
: c’est un élan freiné dans mon esprit, c’est le frein lui-même, bien
7
, où sa jeunesse ne verrait qu’une abdication. Il
décrit
la « génération nouvelle » avec une intelligente sympathie et un sens
8
a « maladie », c’est encore l’« élan mortel » que
décrivait
Mon Corps et Moi. Quand l’analyse féroce de Crevel fouille les pensée
9
rd, penché sur cet aquarium de rêves, discourt et
décrit
les images qu’il y découvre. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui so
10
crétisé en hommes, en meurtres, en décrets. Qu’il
décrive
la vie intense et instable des acteurs du drame, l’aspect quotidien e
11
de l’après-guerre, Malraux l’a vécue, avant de la
décrire
; et cet aveu de Garine est décisif : « La Révolution… tout ce qui n’
12
tte histoire idiote, d’ailleurs vraie, se borne à
décrire
l’aspect psychologique d’une aventure qui en a bien d’autres, d’aspec
13
us cet aspect dans ces deux premiers tomes, où il
décrit
des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’art d’An
14
la nuance mate d’un paravent chinois). Ce qu’elle
décrit
, ce sont des perceptions de l’âme plus que de l’esprit ou des sens. «
15
Le dire une bonne fois. Il ne faut pas songer à
décrire
en quarante petites pages tous les méfaits de l’instruction publique.
16
tranquille du bon sens bafoué et qui s’en moque,
décrit
la stupidité de l’enseignement tel qu’il est pratiqué dans nos collèg
17
-être sur ce point. Pour l’instant je ne veux que
décrire
l’école telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideu
18
t l’aboutissement de l’évolution dont je viens de
décrire
la marche nécessaire11. On ne manquera pas d’insinuer qu’à l’origine
19
une vaste échelle à cette « Trahison des clercs »
décrite
par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce crime contre la civi
20
Le dire une bonne fois. Il ne faut pas songer à
décrire
en 50 petites pages tous les méfaits de l’instruction publique. C’est
21
tranquille du bon sens bafoué et qui s’en moque,
décrit
la stupidité de l’enseignement tel qu’il est pratiqué dans nos collèg
22
-être sur ce point. Pour l’instant je ne veux que
décrire
l’école telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideu
23
t l’aboutissement de l’évolution dont je viens de
décrire
la marche nécessaire 11. On ne manquera pas d’insinuer qu’à l’origine
24
une vaste échelle à cette « Trahison des clercs »
décrite
par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce crime contre la civi
25
ources. Il défriche et il fabrique, soit qu’il se
décrive
comme un lieu de miracles le plus souvent malencontreux, ou qu’il inv
26
le de le voir, dans sa main rapide et minutieuse,
décrire
la vallée du jeune Rhin ou les pentes de Chésières en les parant d’un
27
(avril 1930)bf Ce récit d’une élégante minceur
décrit
la passion d’une jeune fille de la grande bourgeoisie pour une gamine
28
ertain état d’esprit moins facile à formuler qu’à
décrire
dans ses effets, et qui paraît affecter d’un commun penchant au liber
29
a, transfiguré par un souffle épique, en train de
décrire
à Blaise Cendrars, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Pa
30
hante… Ainsi, la vulgarité évidente des fantômes
décrits
par la psychologie moderne révèle-t-elle une déficience de méthode, l
31
tion, gages d’un monde que les poètes essaient de
décrire
sans l’avoir jamais vu, et dont nous savons seulement que tout y a so
32
au comble de la turbulence de tes jeux, un violon
décrit
vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissable, déjà perdue (co
33
vel humanisme, il est assez aisé de prévoir et de
décrire
une tentation qui le guette et à laquelle tout humanisme paraît encli
34
une écrivain. Son premier roman, Les Conquérants,
décrivait
la révolution communiste en Chine, et la figure centrale de Garine, a
35
1. Le courage presque agressif qu’elle apporte à
décrire
la figure de l’homme moderne en proie au seul orgueil de vivre, dénon
36
t » de l’art français. Mais s’il est malaisé de
décrire
, dès à présent, un art protestant de fait, peut-on, par contre, le dé
37
our toute la chose. C’est pourquoi il s’attarde à
décrire
le concret d’une façon concrète : ainsi, le maniement d’un outil. D’o
38
roblèmes exquis où s’attardent encore ceux que je
décrirai
comme les Prêtres de l’Insoluble, nous n’avons plus le droit d’y prêt
39
les Embarras de Paris. Sujet de pastiche facile :
décrire
l’état d’esprit du Français moyen qui brandit son parapluie sous le n
40
e de cette avarice ou de cette férocité spéciales
décrites
par Léon Bloy. Joli monde, comme disent les échotiers. Remercions Can
41
s faits. Elle sera « acte ». 2e — Le matérialisme
décrit
un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment cr
42
rd, penché sur cet aquarium de rêves, discourt et
décrit
les images qu’il y découvre. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui so
43
tion, gages d’un monde que les poètes essaient de
décrire
sans l’avoir jamais vu, et dont nous savons seulement que tout y a so
44
au comble de la turbulence de tes jeux, un violon
décrit
vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissable, déjà perdue (co
45
ns des corps, tandis que Swedenborg se complaît à
décrire
le vêtement des anges. L’un découvre l’univers dans chaque organe de
46
ermente en pleine pâte. Ainsi voudrais-je un jour
décrire
ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une pensée sensuelle et
47
ntions ? Et toute votre littérature est occupée à
décrire
vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de sure
48
a, transfiguré par un souffle épique, en train de
décrire
à Blaise Cendrars, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Pa
49
tion, gages d’un monde que les poètes essaient de
décrire
sans l’avoir vu, et dont nous savons seulement que tout y a son écho
50
au comble de la turbulence de tes jeux, un violon
décrit
vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissable, déjà perdue (co
51
ntions ? Et toute votre littérature est occupée à
décrire
vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de sure
52
ns des corps, tandis que Swedenborg se complaît à
décrire
le vêtement des anges. L’un découvre l’univers dans chaque organe de
53
ermente en pleine pâte. Ainsi voudrais-je un jour
décrire
ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une pensée sensuelle et
54
’Irlande ». Mais ce cliché et ces jolies syllabes
décrivent
mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non s
55
phrase des Mémoires d’outre-tombe lui suffit pour
décrire
l’ennui : « Un maigre chat noir, demi-sauvage, qui pêchait de petits
56
enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il
décrit
ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
57
rmée d’intellectuels français. On serait tenté de
décrire
les cadres de cette confrérie dans un style trop facilement comique :
58
voir, par ces quelques traits schématiques, voulu
décrire
une dialectique qui juge tous nos mots. Je voudrais simplement en avo
59
açon très rapide dont nous allons être obligés de
décrire
le contenu de nos constructions et la méthode personnaliste qui les a
60
épète, est la chance de notre époque. Je voudrais
décrire
cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
61
nant vous donner une contrepartie, tenter de vous
décrire
la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
62
hercher à s’approcher de l’homme Jésus tel que le
décrivent
les évangiles. Mais, dit M. Dominicé, deux obstacles très graves se d
63
la nature, dans la Cinquième Rêverie, comment le
décrit
-il, sinon, précisément, comme « le sentiment de l’existence dépouillé
64
sons ses Réflexions sur le Théâtre allemand. Il y
décrit
un état d’âme tout voisin de la « panique » antique14, mais qui, dans
65
pas, dans leur foi, les marxistes. Mais ce qu’il
décrit
avec une véritable puissance, c’est l’aboutissement du marxisme : l’i
66
’est pas simple chez Kierkegaard. Mais il a su le
décrire
clairement et fidèlement, sans pédantisme et sans littérature. Tant d
67
e reprocher au christianisme. Voici comment il le
décrit
: … l’impuissance qui n’use pas de représailles devient par un menso
68
umanité que nous revendiquons les fausses valeurs
décrites
par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’acte d’amour personnel — qui es
69
hrétien que renferme le mot. Ces quelques lignes
décrivent
assez bien le mouvement général de la critique de Scheler. À l’origin
70
intérieure ». Je ne vois pas où le recueillement
décrit
par M. Marcel trouverait sa place, entre la prière et l’acte, seuls m
71
dans un ésotérisme, au contraire : il se borne à
décrire
ces apparences avec une minutie qui suffit à dénoncer leur absurdité
72
ine de tout, il y a une attitude de l’homme. J’ai
décrit
, à propos des marxistes11, l’attitude de ceux qui se réfugient dans l
73
re « politique du pessimisme actif ». Je voudrais
décrire
maintenant une attitude constructive à laquelle je me suis rallié pou
74
ui raconte les origines du Mouvement et cherche à
décrire
son esprit. Ce n’est pas le meilleur livre qu’on ait écrit sur les Gr
75
ennent au génie japonais tel que Claudel nous l’a
décrit
, mais auquel le génie chrétien ajoute une dimension humaine particuli
76
retrouve ; et le peuple les aime, parce qu’elles
décrivent
ses désirs réalisés. Cet amour à peu près unanime figure la bonne con
77
onde ancien et le condamne à passer avec lui : il
décrit
l’anarchie intime de l’homme moderne avec le parti pris de ne jamais
78
e pire des partis pris. La littérature romanesque
décrit
depuis cent ans nos mœurs et nos malheurs avec une croissante applica
79
-plan idéologique de son œuvre. Leurs manières de
décrire
des combats où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite s
80
du marxisme. Cette crise, c’est Montagnon qui la
décrit
le plus franchement. « Vieillissement », dit-il d’abord, « crise des
81
roman véritablement chrétien. La Porte étroite ne
décrit
guère qu’une aberration janséniste. Et je ne retrouve le calvinisme v
82
Ils croient voir l’existence réelle alors qu’ils
décrivent
simplement l’impuissance de leur propre cœur. Le regard « réaliste »
83
qu’on n’arrive plus même à s’y aimer : Colette a
décrit
cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les connaît bien dans l
84
e dans sa déduction. Dans une première partie qui
décrit
d’une façon remarquable les diverses formes de la croyance à la résur
85
10 témoigne de la volonté qu’avait l’auteur de ne
décrire
que les effets sociaux, politiques et culturels de la Réforme, sans l
86
ions avoir du « grand siècle » tel que nous l’ont
décrit
les fervents de Louis XIV et certains défenseurs de la politique roma
87
catif, n’est pas moins grand lorsque, après avoir
décrit
l’enterrement nocturne et secret d’une de ses coreligionnaires, il co
88
quations dont le concret constitue l’inconnue, et
décrit
la manière dont l’entendement le prévoit. Peut-on vraiment faire plus
89
s les psychologies échouent dans leur effort pour
décrire
l’acte et rendre compte de ses déterminations suffisantes. Ce qui rev
90
ent descriptive est exacte dans la mesure où elle
décrit
notre dégradation. L’erreur est simplement de nommer homme cette dégr
91
e de l’homme, mais son éducation. Il n’est pas de
décrire
, mais d’inventer. L’acte étant sujet pur, il ne sera jamais un objet
92
. Mais ce mystère de la présence, si l’on peut en
décrire
les effets, demeure mystère en tant que pure initiation : c’est le my
93
re de nos lumières, et le soleil que rien ne peut
décrire
, mais qui fait voir le monde et chasse nos fantômes, notre devoir n’e
94
épète, est la chance de notre époque. Je voudrais
décrire
cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
95
nant vous donner une contrepartie, tenter de vous
décrire
la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
96
omme l’expression brutale de leur inconscient, il
décrit
sans pudeur la part honteuse de leur nature réelle. Prenons donc d’ab
97
enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il
décrit
ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
98
que dans un domaine restreint. Si l’on cherche à
décrire
le « phénomène fasciste » comme tel, en Allemagne et en Italie, on ne
99
de décompositions morales que les historiens vont
décrire
mais que d’autres savants connaissent mieux encore : ceux qu’on nomme
100
Pour le personnalisme, tel que j’ai essayé de le
décrire
plus haut, il n’est pas moins aisé de voir qu’il est le véritable ant
101
ces faits. Elle sera « acte ». 2° Le matérialisme
décrit
un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment cr
102
’est pas simple chez Kierkegaard, mais il a su le
décrire
sans pédantisme et sans littérature. Tant de biographes brillent aux
103
épète, est la chance de notre époque. Je voudrais
décrire
cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
104
nant vous donner une contrepartie, tenter de vous
décrire
la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
105
omme l’expression brutale de leur inconscient, il
décrit
sans pudeur la part honteuse de leur nature réelle. Prenons donc d’ab
106
enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il
décrit
ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
107
que dans un domaine restreint. Si l’on cherche à
décrire
le « phénomène fasciste » comme tel, en Allemagne et en Italie, on ne
108
de décompositions morales que les historiens vont
décrire
mais que d’autres savants connaissent mieux encore : ceux qu’on nomme
109
Pour le personnalisme, tel que j’ai essayé de le
décrire
plus haut, il n’est pas moins aisé de voir qu’il est le véritable ant
110
ces faits. Elle sera « acte ». 2° Le matérialisme
décrit
un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment cr
111
au moins une matière. Les pages de Soulillou qui
décrivent
les conditions de travail dans l’industrie de la nitrocellulose sont
112
nde nouveau. ⁂ Je n’ai pas cherché ce soir à vous
décrire
impartialement la situation : il eût fallu beaucoup plus de nuances.
113
édecins de la jeune école seront comblés. Gundolf
décrit
l’œuvre de Paracelse comme un drame de l’expression, une tragédie de
114
s doctrines, à une filiation de systèmes, qu’elle
décrit
sortant les uns des autres, par un jeu purement dialectique. Procès r
115
qu’il s’agit de modifier et non pas seulement de
décrire
, on fera bien d’aller la chercher à cent lieues des « sanctuaires de
116
l pour l’informer. Pour l’informer et non pour le
décrire
! Pour le gêner, pour l’accuser, pour l’inventer, et non pour constat
117
ours, des circonstances d’une humble vie. Il faut
décrire
ces éléments de sa « personne » en termes d’apparence paradoxale : le
118
rame humain que nous pussions prévoir, désirer et
décrire
; une rupture et une vision. La présence de l’absolu dans la sobriété
119
recherches de L’Ordre nouveau. Robert Aron les a
décrites
avec une sobre et nerveuse précision37 qui tranche sur le verbiage te
120
emeurant justiciable de la critique de Proudhon.)
Décrire
le « domaine » d’un auteur authentique, c’est aussi décrire sa person
121
« domaine » d’un auteur authentique, c’est aussi
décrire
sa personne, à la manière du physiognomoniste plutôt qu’à celle du ps
122
on verrait alors que ces bonshommes ne sont point
décrits
« de l’extérieur » — comme le voudrait certaine formule naturaliste —
123
t certaine formule naturaliste — mais qu’ils sont
décrits
dans leur forme, ce qui n’est pas du tout la même chose. La forme hum
124
our toute la chose. C’est pourquoi il s’attarde à
décrire
le concret d’une façon concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où
125
. Or s’il est vrai que Kierkegaard s’est occupé à
décrire
les formes déclarées ou déguisées que revêt le désespoir fondamental
126
n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à
décrire
les passions, et la nature et la diversité des êtres. Il fallait déso
127
ations sociales de « Garta », telles que nous les
décrit
Max Brod, aideront à deviner la nature assez rare du dessein secret d
128
er les vices d’une culture : tant d’autres ont su
décrire
avant moi notre crise. Au travers des critiques qu’à mon tour il me f
129
e, mais le dos tourné à l’avenir : il ne sait que
décrire
la Prusse et son passé, etc. 2. « Maigre immortalité noire et dorée.
130
sse donc d’être « ce qui fait ». Elle se réduit à
décrire
sans juger. À moins qu’elle ne vise au contraire à masquer cette tyra
131
s L’Idée socialiste (en particulier p. 16 et 17),
décrit
ce processus en termes semblables, sans toutefois souligner le rôle d
132
mettrait l’essentiel du Plan si l’on se bornait à
décrire
les faits. Le Plan, ce n’est pas seulement des tracteurs, des barrage
133
n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à
décrire
les passions, et la nature, et la diversité des êtres. Il fallait dés
134
uement inséparables… (Attitude que j’essaierai de
décrire
dans la seconde partie de cet ouvrage.) Moralisme. — La morale est
135
le chemin. C’est donc ce chemin qu’il va falloir
décrire
. Ce n’est pas une route nationale, où l’on puisse marcher en colonne,
136
rmonise. Il était nécessaire de le rappeler et de
décrire
aussi les mécanismes ou les fatalités de quelques mesures, et leurs r
137
juger, de le modifier… Il s’agit maintenant de le
décrire
et non plus de le conduire au salut. Nous tenons ici la première supp
138
s ou jouent à contre-fins. Dénoncez une doctrine,
décrivez
ses excès, accumulez sur ses méfaits les plus patents les témoignages
139
l’état moyen du laid. Elle n’invente guère : elle
décrit
; elle ne forme pas : elle récite. Elle ne met pas un poids nouveau d
140
e ! — à une Nécessité qu’ils croyaient déceler et
décrire
dans les faits, alors qu’ils décrivaient et codifiaient la démission
141
t déceler et décrire dans les faits, alors qu’ils
décrivaient
et codifiaient la démission de leurs pensées. « Pourquoi vous agiter
142
ités, tout à fait typiques de la mentalité que je
décris
, ont ceci de commun qu’elles n’engagent à rien : elles sont purement
143
guée.) Cependant, l’homme est ainsi fait qu’il ne
décrit
ou ne récite jamais une chose sans se décrire ou se réciter en même t
144
l ne décrit ou ne récite jamais une chose sans se
décrire
ou se réciter en même temps, ne fût-ce dans le meilleur cas, que par
145
scription impartiale de l’homme, et des moyens de
décrire
l’homme. On est alors en droit de se poser cette question : est-ce qu
146
onséquence accessoire des erreurs que je viens de
décrire
. C’est un certain péché contre l’esprit que je redoute, et non point
147
te des processus d’évolution, qu’elle s’attache à
décrire
après coup, et qu’elle déclare indépendants de ses pouvoirs. Ce sont
148
e, en ceci qu’elle est la doctrine d’un mouvement
décrit
comme à la fois créateur et déterminé. Mais ce paradoxe a cessé depui
149
de et en un élan vers. C’est-à-dire qu’on peut le
décrire
soit comme résultant d’une tension donnée, soit comme obéissant à l’a
150
r ses causes, soit par son but. Et lorsqu’on veut
décrire
un mouvement, ou quelque réalité en mouvement, comme par exemple notr
151
comme par exemple notre mesure nouvelle, on peut
décrire
la situation d’où le mouvement résulte, ou la fin vers laquelle il te
152
ulte, ou la fin vers laquelle il tend, mais on ne
décrira
jamais son sens qu’en sous-entendant constamment la situation quand o
153
ituation. Sinon la description est insensée. J’ai
décrit
ce que je refuse, au nom d’une attitude finale. Il s’agit maintenant
154
’en se produisant ; et surtout qu’il ne peut être
décrit
en général, puisqu’il n’existe jamais que hic et nunc et dans des cir
155
lle subit des lois que la pensée doit se borner à
décrire
. Je répondrais qu’une telle culture est ou bien un mensonge intéressé
156
contrecoups moraux qui nous permettra seul de le
décrire
. Un acte n’est rien s’il ne comporte des effets. La somme de ses effe
157
e d’examiner ici, en tant que la culture que j’ai
décrite
la recommande. En effet, l’opposition courante du « théorique » et du
158
ailleurs symbolique du relâchement que nous avons
décrit
. On établit d’abord un conformisme89, une sécurité de l’esprit, c’est
159
simple récitation. Il ne s’agit pas seulement de
décrire
ce qui est, il faut décrire ce qui doit être, ce que l’on veut qui so
160
agit pas seulement de décrire ce qui est, il faut
décrire
ce qui doit être, ce que l’on veut qui soit, mais qui n’est pas encor
161
ion du péché primitif, nous pouvons la nommer, la
décrire
. Ainsi, dans une certaine mesure, nous la tenons dans notre puissance
162
obabilité essentielle. Paradoxe que M. Meyerson a
décrit
sous le nom de paradoxe épistémologique. » (Arnaud Dandieu). a. « L
163
sse donc d’être « ce qui fait ». Elle se réduit à
décrire
sans juger. À moins qu’elle ne vise au contraire à masquer cette tyra
164
s L’Idée socialiste (en particulier p. 16 et 17),
décrit
ce processus en termes semblables, sans toutefois souligner le rôle d
165
mettrait l’essentiel du Plan si l’on se bornait à
décrire
les faits. Le Plan, ce n’est pas seulement des tracteurs, des barrage
166
n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à
décrire
les passions, et la nature, et la diversité des êtres. Il fallait dés