1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 générations nouvelles. Toute la jeune littérature décrit un type d’homme profondément antisocial, glorifie une morale résolume
2 ultipliant ses douleurs en les lui nommant », ils décrivent le tourment dont sortira peut-être une foi nouvelle ; mais qu’ils sac
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
3 e de l’art, et pas encore la vérité pure — Crevel décrit sans aucune transposition romanesque le trouble caractéristique de sa
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 peu mes lèvres, et s’affirmer à mesure que je le décris . Mais comme un écho profond, une attirance aussi d’anciennes folies…
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
5 u’on imagine un personnage de tableau se mettre à décrire ce qu’il voit autour de lui — et l’étonnement indigné du spectateur.
6 nces matérielles. Ce n’est plus l’élan pur que je décris  : c’est un élan freiné dans mon esprit, c’est le frein lui-même, bien
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
7 , où sa jeunesse ne verrait qu’une abdication. Il décrit la « génération nouvelle » avec une intelligente sympathie et un sens
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
8 a « maladie », c’est encore l’« élan mortel » que décrivait Mon Corps et Moi. Quand l’analyse féroce de Crevel fouille les pensée
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 rd, penché sur cet aquarium de rêves, discourt et décrit les images qu’il y découvre. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui so
8 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
10 crétisé en hommes, en meurtres, en décrets. Qu’il décrive la vie intense et instable des acteurs du drame, l’aspect quotidien e
11 de l’après-guerre, Malraux l’a vécue, avant de la décrire  ; et cet aveu de Garine est décisif : « La Révolution… tout ce qui n’
9 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
12 tte histoire idiote, d’ailleurs vraie, se borne à décrire l’aspect psychologique d’une aventure qui en a bien d’autres, d’aspec
10 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
13 us cet aspect dans ces deux premiers tomes, où il décrit des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’art d’An
11 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
14 la nuance mate d’un paravent chinois). Ce qu’elle décrit , ce sont des perceptions de l’âme plus que de l’esprit ou des sens. «
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
15 Le dire une bonne fois. Il ne faut pas songer à décrire en quarante petites pages tous les méfaits de l’instruction publique.
16 tranquille du bon sens bafoué et qui s’en moque, décrit la stupidité de l’enseignement tel qu’il est pratiqué dans nos collèg
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
17 -être sur ce point. Pour l’instant je ne veux que décrire l’école telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideu
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
18 t l’aboutissement de l’évolution dont je viens de décrire la marche nécessaire11. On ne manquera pas d’insinuer qu’à l’origine
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
19 une vaste échelle à cette « Trahison des clercs » décrite par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce crime contre la civi
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
20 Le dire une bonne fois.   Il ne faut pas songer à décrire en 50 petites pages tous les méfaits de l’instruction publique. C’est
21 tranquille du bon sens bafoué et qui s’en moque, décrit la stupidité de l’enseignement tel qu’il est pratiqué dans nos collèg
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
22 -être sur ce point. Pour l’instant je ne veux que décrire l’école telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideu
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
23 t l’aboutissement de l’évolution dont je viens de décrire la marche nécessaire 11. On ne manquera pas d’insinuer qu’à l’origine
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
24 une vaste échelle à cette « Trahison des clercs » décrite par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce crime contre la civi
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
25 ources. Il défriche et il fabrique, soit qu’il se décrive comme un lieu de miracles le plus souvent malencontreux, ou qu’il inv
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
26 le de le voir, dans sa main rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin ou les pentes de Chésières en les parant d’un
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
27 (avril 1930)bf Ce récit d’une élégante minceur décrit la passion d’une jeune fille de la grande bourgeoisie pour une gamine
23 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
28 ertain état d’esprit moins facile à formuler qu’à décrire dans ses effets, et qui paraît affecter d’un commun penchant au liber
24 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
29 a, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Pa
25 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
30 hante… Ainsi, la vulgarité évidente des fantômes décrits par la psychologie moderne révèle-t-elle une déficience de méthode, l
26 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
31 tion, gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jamais vu, et dont nous savons seulement que tout y a so
27 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
32 au comble de la turbulence de tes jeux, un violon décrit vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissable, déjà perdue (co
28 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
33 vel humanisme, il est assez aisé de prévoir et de décrire une tentation qui le guette et à laquelle tout humanisme paraît encli
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
34 une écrivain. Son premier roman, Les Conquérants, décrivait la révolution communiste en Chine, et la figure centrale de Garine, a
35 1. Le courage presque agressif qu’elle apporte à décrire la figure de l’homme moderne en proie au seul orgueil de vivre, dénon
30 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
36 t » de l’art français.   Mais s’il est malaisé de décrire , dès à présent, un art protestant de fait, peut-on, par contre, le dé
31 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
37 our toute la chose. C’est pourquoi il s’attarde à décrire le concret d’une façon concrète : ainsi, le maniement d’un outil. D’o
32 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
38 roblèmes exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai comme les Prêtres de l’Insoluble, nous n’avons plus le droit d’y prêt
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
39 les Embarras de Paris. Sujet de pastiche facile : décrire l’état d’esprit du Français moyen qui brandit son parapluie sous le n
34 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
40 e de cette avarice ou de cette férocité spéciales décrites par Léon Bloy. Joli monde, comme disent les échotiers. Remercions Can
35 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
41 s faits. Elle sera « acte ». 2e — Le matérialisme décrit un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment cr
36 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
42 rd, penché sur cet aquarium de rêves, discourt et décrit les images qu’il y découvre. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui so
37 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 tion, gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jamais vu, et dont nous savons seulement que tout y a so
44 au comble de la turbulence de tes jeux, un violon décrit vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissable, déjà perdue (co
38 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
45 ns des corps, tandis que Swedenborg se complaît à décrire le vêtement des anges. L’un découvre l’univers dans chaque organe de
46 ermente en pleine pâte. Ainsi voudrais-je un jour décrire ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une pensée sensuelle et
39 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
47 ntions ? Et toute votre littérature est occupée à décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de sure
40 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
48 a, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Pa
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
49 tion, gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir vu, et dont nous savons seulement que tout y a son écho
50 au comble de la turbulence de tes jeux, un violon décrit vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissable, déjà perdue (co
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
51 ntions ? Et toute votre littérature est occupée à décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de sure
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
52 ns des corps, tandis que Swedenborg se complaît à décrire le vêtement des anges. L’un découvre l’univers dans chaque organe de
53 ermente en pleine pâte. Ainsi voudrais-je un jour décrire ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une pensée sensuelle et
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
54 ’Irlande ». Mais ce cliché et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non s
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
55 phrase des Mémoires d’outre-tombe lui suffit pour décrire l’ennui : « Un maigre chat noir, demi-sauvage, qui pêchait de petits
46 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
56 enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
47 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
57 rmée d’intellectuels français. On serait tenté de décrire les cadres de cette confrérie dans un style trop facilement comique :
48 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
58 voir, par ces quelques traits schématiques, voulu décrire une dialectique qui juge tous nos mots. Je voudrais simplement en avo
49 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
59 açon très rapide dont nous allons être obligés de décrire le contenu de nos constructions et la méthode personnaliste qui les a
50 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
60 épète, est la chance de notre époque. Je voudrais décrire cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
61 nant vous donner une contrepartie, tenter de vous décrire la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
51 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
62 hercher à s’approcher de l’homme Jésus tel que le décrivent les évangiles. Mais, dit M. Dominicé, deux obstacles très graves se d
52 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
63 la nature, dans la Cinquième Rêverie, comment le décrit -il, sinon, précisément, comme « le sentiment de l’existence dépouillé
64 sons ses Réflexions sur le Théâtre allemand. Il y décrit un état d’âme tout voisin de la « panique » antique14, mais qui, dans
53 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
65 pas, dans leur foi, les marxistes. Mais ce qu’il décrit avec une véritable puissance, c’est l’aboutissement du marxisme : l’i
54 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
66 ’est pas simple chez Kierkegaard. Mais il a su le décrire clairement et fidèlement, sans pédantisme et sans littérature. Tant d
55 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
67 e reprocher au christianisme. Voici comment il le décrit  : … l’impuissance qui n’use pas de représailles devient par un menso
68 umanité que nous revendiquons les fausses valeurs décrites par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’acte d’amour personnel — qui es
69 hrétien que renferme le mot. Ces quelques lignes décrivent assez bien le mouvement général de la critique de Scheler. À l’origin
70 intérieure ». Je ne vois pas où le recueillement décrit par M. Marcel trouverait sa place, entre la prière et l’acte, seuls m
56 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
71 dans un ésotérisme, au contraire : il se borne à décrire ces apparences avec une minutie qui suffit à dénoncer leur absurdité
57 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
72 ine de tout, il y a une attitude de l’homme. J’ai décrit , à propos des marxistes11, l’attitude de ceux qui se réfugient dans l
58 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
73 re « politique du pessimisme actif ». Je voudrais décrire maintenant une attitude constructive à laquelle je me suis rallié pou
59 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
74 ui raconte les origines du Mouvement et cherche à décrire son esprit. Ce n’est pas le meilleur livre qu’on ait écrit sur les Gr
75 ennent au génie japonais tel que Claudel nous l’a décrit , mais auquel le génie chrétien ajoute une dimension humaine particuli
60 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
76 retrouve ; et le peuple les aime, parce qu’elles décrivent ses désirs réalisés. Cet amour à peu près unanime figure la bonne con
77 onde ancien et le condamne à passer avec lui : il décrit l’anarchie intime de l’homme moderne avec le parti pris de ne jamais
78 e pire des partis pris. La littérature romanesque décrit depuis cent ans nos mœurs et nos malheurs avec une croissante applica
61 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
79 -plan idéologique de son œuvre. Leurs manières de décrire des combats où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite s
62 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
80 du marxisme. Cette crise, c’est Montagnon qui la décrit le plus franchement. « Vieillissement », dit-il d’abord, « crise des
63 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
81 roman véritablement chrétien. La Porte étroite ne décrit guère qu’une aberration janséniste. Et je ne retrouve le calvinisme v
82 Ils croient voir l’existence réelle alors qu’ils décrivent simplement l’impuissance de leur propre cœur. Le regard « réaliste »
64 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
83 qu’on n’arrive plus même à s’y aimer : Colette a décrit cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les connaît bien dans l
65 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
84 e dans sa déduction. Dans une première partie qui décrit d’une façon remarquable les diverses formes de la croyance à la résur
66 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
85 10 témoigne de la volonté qu’avait l’auteur de ne décrire que les effets sociaux, politiques et culturels de la Réforme, sans l
86 ions avoir du « grand siècle » tel que nous l’ont décrit les fervents de Louis XIV et certains défenseurs de la politique roma
87 catif, n’est pas moins grand lorsque, après avoir décrit l’enterrement nocturne et secret d’une de ses coreligionnaires, il co
67 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
88 quations dont le concret constitue l’inconnue, et décrit la manière dont l’entendement le prévoit. Peut-on vraiment faire plus
89 s les psychologies échouent dans leur effort pour décrire l’acte et rendre compte de ses déterminations suffisantes. Ce qui rev
90 ent descriptive est exacte dans la mesure où elle décrit notre dégradation. L’erreur est simplement de nommer homme cette dégr
91 e de l’homme, mais son éducation. Il n’est pas de décrire , mais d’inventer. L’acte étant sujet pur, il ne sera jamais un objet
92 . Mais ce mystère de la présence, si l’on peut en décrire les effets, demeure mystère en tant que pure initiation : c’est le my
93 re de nos lumières, et le soleil que rien ne peut décrire , mais qui fait voir le monde et chasse nos fantômes, notre devoir n’e
68 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
94 épète, est la chance de notre époque. Je voudrais décrire cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
95 nant vous donner une contrepartie, tenter de vous décrire la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
69 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
96 omme l’expression brutale de leur inconscient, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur nature réelle. Prenons donc d’ab
70 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
97 enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
71 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
98 que dans un domaine restreint. Si l’on cherche à décrire le « phénomène fasciste » comme tel, en Allemagne et en Italie, on ne
99 de décompositions morales que les historiens vont décrire mais que d’autres savants connaissent mieux encore : ceux qu’on nomme
100 Pour le personnalisme, tel que j’ai essayé de le décrire plus haut, il n’est pas moins aisé de voir qu’il est le véritable ant
72 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
101 ces faits. Elle sera « acte ». 2° Le matérialisme décrit un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment cr
73 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
102 ’est pas simple chez Kierkegaard, mais il a su le décrire sans pédantisme et sans littérature. Tant de biographes brillent aux
74 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
103 épète, est la chance de notre époque. Je voudrais décrire cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quel
104 nant vous donner une contrepartie, tenter de vous décrire la pensée personnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux seul
75 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
105 omme l’expression brutale de leur inconscient, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur nature réelle. Prenons donc d’ab
76 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
106 enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
77 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
107 que dans un domaine restreint. Si l’on cherche à décrire le « phénomène fasciste » comme tel, en Allemagne et en Italie, on ne
108 de décompositions morales que les historiens vont décrire mais que d’autres savants connaissent mieux encore : ceux qu’on nomme
109 Pour le personnalisme, tel que j’ai essayé de le décrire plus haut, il n’est pas moins aisé de voir qu’il est le véritable ant
78 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
110 ces faits. Elle sera « acte ». 2° Le matérialisme décrit un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment cr
79 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
111 au moins une matière. Les pages de Soulillou qui décrivent les conditions de travail dans l’industrie de la nitrocellulose sont
80 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
112 nde nouveau. ⁂ Je n’ai pas cherché ce soir à vous décrire impartialement la situation : il eût fallu beaucoup plus de nuances.
81 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
113 édecins de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse comme un drame de l’expression, une tragédie de
82 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
114 s doctrines, à une filiation de systèmes, qu’elle décrit sortant les uns des autres, par un jeu purement dialectique. Procès r
115 qu’il s’agit de modifier et non pas seulement de décrire , on fera bien d’aller la chercher à cent lieues des « sanctuaires de
116 l pour l’informer. Pour l’informer et non pour le décrire  ! Pour le gêner, pour l’accuser, pour l’inventer, et non pour constat
83 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
117 ours, des circonstances d’une humble vie. Il faut décrire ces éléments de sa « personne » en termes d’apparence paradoxale : le
84 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
118 rame humain que nous pussions prévoir, désirer et décrire  ; une rupture et une vision. La présence de l’absolu dans la sobriété
85 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
119 recherches de L’Ordre nouveau. Robert Aron les a décrites avec une sobre et nerveuse précision37 qui tranche sur le verbiage te
86 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
120 emeurant justiciable de la critique de Proudhon.) Décrire le « domaine » d’un auteur authentique, c’est aussi décrire sa person
121 « domaine » d’un auteur authentique, c’est aussi décrire sa personne, à la manière du physiognomoniste plutôt qu’à celle du ps
122 on verrait alors que ces bonshommes ne sont point décrits « de l’extérieur » — comme le voudrait certaine formule naturaliste —
123 t certaine formule naturaliste — mais qu’ils sont décrits dans leur forme, ce qui n’est pas du tout la même chose. La forme hum
124 our toute la chose. C’est pourquoi il s’attarde à décrire le concret d’une façon concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où
87 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
125 . Or s’il est vrai que Kierkegaard s’est occupé à décrire les formes déclarées ou déguisées que revêt le désespoir fondamental
88 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
126 n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à décrire les passions, et la nature et la diversité des êtres. Il fallait déso
89 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
127 ations sociales de « Garta », telles que nous les décrit Max Brod, aideront à deviner la nature assez rare du dessein secret d
90 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
128 er les vices d’une culture : tant d’autres ont su décrire avant moi notre crise. Au travers des critiques qu’à mon tour il me f
129 e, mais le dos tourné à l’avenir : il ne sait que décrire la Prusse et son passé, etc. 2. « Maigre immortalité noire et dorée.
91 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
130 sse donc d’être « ce qui fait ». Elle se réduit à décrire sans juger. À moins qu’elle ne vise au contraire à masquer cette tyra
131 s L’Idée socialiste (en particulier p. 16 et 17), décrit ce processus en termes semblables, sans toutefois souligner le rôle d
92 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
132 mettrait l’essentiel du Plan si l’on se bornait à décrire les faits. Le Plan, ce n’est pas seulement des tracteurs, des barrage
133 n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à décrire les passions, et la nature, et la diversité des êtres. Il fallait dés
93 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
134 uement inséparables… (Attitude que j’essaierai de décrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)   Moralisme. — La morale est
94 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
135 le chemin. C’est donc ce chemin qu’il va falloir décrire . Ce n’est pas une route nationale, où l’on puisse marcher en colonne,
95 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
136 rmonise. Il était nécessaire de le rappeler et de décrire aussi les mécanismes ou les fatalités de quelques mesures, et leurs r
96 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
137 juger, de le modifier… Il s’agit maintenant de le décrire et non plus de le conduire au salut. Nous tenons ici la première supp
138 s ou jouent à contre-fins. Dénoncez une doctrine, décrivez ses excès, accumulez sur ses méfaits les plus patents les témoignages
139 l’état moyen du laid. Elle n’invente guère : elle décrit  ; elle ne forme pas : elle récite. Elle ne met pas un poids nouveau d
140 e ! — à une Nécessité qu’ils croyaient déceler et décrire dans les faits, alors qu’ils décrivaient et codifiaient la démission
141 t déceler et décrire dans les faits, alors qu’ils décrivaient et codifiaient la démission de leurs pensées. « Pourquoi vous agiter 
142 ités, tout à fait typiques de la mentalité que je décris , ont ceci de commun qu’elles n’engagent à rien : elles sont purement
143 guée.) Cependant, l’homme est ainsi fait qu’il ne décrit ou ne récite jamais une chose sans se décrire ou se réciter en même t
144 l ne décrit ou ne récite jamais une chose sans se décrire ou se réciter en même temps, ne fût-ce dans le meilleur cas, que par
145 scription impartiale de l’homme, et des moyens de décrire l’homme. On est alors en droit de se poser cette question : est-ce qu
146 onséquence accessoire des erreurs que je viens de décrire . C’est un certain péché contre l’esprit que je redoute, et non point
147 te des processus d’évolution, qu’elle s’attache à décrire après coup, et qu’elle déclare indépendants de ses pouvoirs. Ce sont
148 e, en ceci qu’elle est la doctrine d’un mouvement décrit comme à la fois créateur et déterminé. Mais ce paradoxe a cessé depui
97 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
149 de et en un élan vers. C’est-à-dire qu’on peut le décrire soit comme résultant d’une tension donnée, soit comme obéissant à l’a
150 r ses causes, soit par son but. Et lorsqu’on veut décrire un mouvement, ou quelque réalité en mouvement, comme par exemple notr
151 comme par exemple notre mesure nouvelle, on peut décrire la situation d’où le mouvement résulte, ou la fin vers laquelle il te
152 ulte, ou la fin vers laquelle il tend, mais on ne décrira jamais son sens qu’en sous-entendant constamment la situation quand o
153 ituation. Sinon la description est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude finale. Il s’agit maintenant
154 ’en se produisant ; et surtout qu’il ne peut être décrit en général, puisqu’il n’existe jamais que hic et nunc et dans des cir
155 lle subit des lois que la pensée doit se borner à décrire . Je répondrais qu’une telle culture est ou bien un mensonge intéressé
156 contrecoups moraux qui nous permettra seul de le décrire . Un acte n’est rien s’il ne comporte des effets. La somme de ses effe
157 e d’examiner ici, en tant que la culture que j’ai décrite la recommande. En effet, l’opposition courante du « théorique » et du
158 ailleurs symbolique du relâchement que nous avons décrit . On établit d’abord un conformisme89, une sécurité de l’esprit, c’est
159 simple récitation. Il ne s’agit pas seulement de décrire ce qui est, il faut décrire ce qui doit être, ce que l’on veut qui so
160 agit pas seulement de décrire ce qui est, il faut décrire ce qui doit être, ce que l’on veut qui soit, mais qui n’est pas encor
161 ion du péché primitif, nous pouvons la nommer, la décrire . Ainsi, dans une certaine mesure, nous la tenons dans notre puissance
98 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
162 obabilité essentielle. Paradoxe que M. Meyerson a décrit sous le nom de paradoxe épistémologique. » (Arnaud Dandieu). a. « L
99 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
163 sse donc d’être « ce qui fait ». Elle se réduit à décrire sans juger. À moins qu’elle ne vise au contraire à masquer cette tyra
164 s L’Idée socialiste (en particulier p. 16 et 17), décrit ce processus en termes semblables, sans toutefois souligner le rôle d
100 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
165 mettrait l’essentiel du Plan si l’on se bornait à décrire les faits. Le Plan, ce n’est pas seulement des tracteurs, des barrage
166 n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à décrire les passions, et la nature, et la diversité des êtres. Il fallait dés