1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 l’amour ou la poésie — et d’autres, à travers les déserts de la sainteté que hantent les fantômes adorables du désir, — quelque
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
2 rbres pourpres, l’heure où dans les bibliothèques désertes glisse un grand souffle oblique plein de fraîcheur et de pardon. »
3 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
3 ncore. Ici et là, quelques cris s’élèvent dans le désert d’une époque déjà presque abandonnée par l’Esprit. À l’heure de touch
4 vers lequel il entraîne l’Occident ? Cris dans le désert . Déserts des villes fiévreuses où le fracas des machines couvre déjà
5 uel il entraîne l’Occident ? Cris dans le désert. Déserts des villes fiévreuses où le fracas des machines couvre déjà la plaint
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 vait juste assez de passants pour qu’on la sentît déserte ne me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais qui fallait-il accuse
5 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
7 e tes yeux s’ouvrent n’attends rien d’autre qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au vent captif délivre un
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
8 les collines. Un grand verre de bière à l’auberge déserte , ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en re
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage des trains chaqu
10 d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peupl
11 é d’être n’importe où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! tout
12 t en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert , je traçais des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité d
13 comparable à ce que les mystiques appellent leur désert , — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalit
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
14 es » que l’effort désespéré de ces conquérants de désert . 9. Chez Grasset. 10. La Voie royale n’est que l’introduction à u
15 à une série de romans intitulés Les Puissances du désert . 11. Le prix Goncourt, dit-on, eût été décerné à M. Malraux s’il n’a
9 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
16 vait juste assez de passants pour qu’on la sentît déserte ne me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais qui fallait-il accuse
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
17 vers une porte qui s’ouvre ramène le bal dans mes déserts . (Elle est partie. — Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
18 enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage des trains chaqu
19 d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peupl
20 é d’être n’importe où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! tout
21 t en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert , je traçais des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité d
22 comparable à ce que les mystiques appellent leur désert , — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalit
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 les collines. Un grand verre de bière à l’auberge déserte , ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en re
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
24 vers une porte qui s’ouvre ramène le bal dans mes déserts . (Elle est partie. — Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage des trains chaqu
26 d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peupl
27 é d’être n’importe où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! tout
28 t en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert , je traçais des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité d
29 comparable à ce que les mystiques appellent leur désert , — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalit
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
30 les collines. Un grand verre de bière à l’auberge déserte , ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en re
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
31 Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétisé
32 ient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte , aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’aime ! »
33 t l’hiver, un ouragan de neige horizontale sur le désert des forêts canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute la nui
34 re dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mais sur le
35 rès sept ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte . Un rendez-vous dont j’avais bien souvent désespéré, après cet au rev
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
36 assis sur un banc près du port, la promenade est déserte et mon cœur assoiffé. Personne ne passe jamais, voilà la vie ! Mais s
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
37 tuer les bêtes, couper les arbres et peupler les déserts  ; sur le principe animateur des choses, elle est sans prise. Elle ne
38 la logique fatale, isole l’individu dans un monde désert  ; alors que l’un et l’autre divisent l’homme en esprit et en corps, s
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
39 étrange, perdue à 4000 mètres d’altitude dans un désert glacé, dominé par d’énormes cimes neigeuses. Le ministre de la Guerre
20 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
40 al de beaucoup. Lorsque l’intelligence, dégoûtée, déserte le Forum, c’est la bêtise qui s’occupe des affaires publiques et tout
21 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
41 al de beaucoup. Lorsque l’intelligence, dégoûtée, déserte le Forum, c’est la bêtise qui s’occupe des affaires publiques et tout
22 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
42 des retraites solitaires, et s’il la cherche, un désert qu’il faut fuir. Ainsi, selon que l’homme doit y entrer ou qu’il le q
23 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
43 lanc de la colline, déjà dans l’ombre, paraissait désert . Nous nous sommes assis sur la terrasse, au pied d’un grand micocouli
24 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
44 ue, j’imagine, à un poste colonial aux limites du désert . Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ailleurs exc
25 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
45 ais il y a aussi la nature, l’océan et les landes désertes , et ces olivettes moirant les dernières pentes des Cévennes. Il y a a
26 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
46 etite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. ⁂ (Conclusion.) — S’occuper des « peti
27 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
47 une heure nous battions la semelle sur les quais déserts de ce port fantomatique, sans ville derrière lui, vaguement américain
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
48 ue, j’imagine, à un poste colonial aux limites du désert . Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ailleurs exc
49 re solitude. Et certainement c’était ici, dans ce désert , qu’il convenait d’entendre une telle musique et de la laisser se dép
50 ansformation. Ainsi de mon île : c’est d’abord un désert , et ensuite il m’apparaît que ce désert est habité par des hommes don
51 ’abord un désert, et ensuite il m’apparaît que ce désert est habité par des hommes dont la présence m’est plus concrète qu’ail
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
52 lanc de la colline, déjà dans l’ombre, paraissait désert . Nous nous sommes assis sur la terrasse, au pied d’un grand micocouli
53 raie vie… Je suis assis dans un grand restaurant désert , près d’une baie qui donne sur « les flots », en plein soleil. Un peu
54 les hommes sont séparés par de grandes distances désertes  ? C’est un symbole. On peut en déduire facilement les deux formules d
30 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
55 qui a pesé jusqu’à nos jours sur les habitants du désert . Désignée entre mille, sans raison. Ou sans autre raison, peut-être,
56 de chacun. Ce peuple errait sans « fin » dans le désert , sans but jusqu’à ce que Dieu l’élise. Désormais sa voie est fixée, m
31 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
57 l s’accordait quelque répit, errait sur les quais déserts du port, ou gagnait les forêts qui avoisinent la capitale. Puis il se
32 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
58 etite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. Conclusion. — S’occuper des « petits-
33 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
59 e cette main qui désigne le Christ, au-dessus des déserts du monde. « Il faut qu’il croisse et que je diminue. » Et nous dirion
34 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
60 ierre et dans les vestiges d’une civilisation qui déserte … Je me suis enfermé dans ma chambre d’hôtel et j’ai écrit pendant deu
35 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
61 grâce, et la « vive flamme d’amour » éclose aux «  déserts  » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut rien avouer. Il veut comme s’il n
36 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
62 et Aillinn, ils se donnent rendez-vous en un lieu désert , où la mort les précède, empêchant leur réunion « car il était prédit
37 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
63 Vraiment, comment se défendre de songer ici aux «  déserts  » de la Nuit obscure que décrit saint Jean de la Croix ? « Éloigne le
38 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
64 evalier du Serpent, Jean-Baptiste le chevalier du Désert , et les apôtres, les douze chevaliers de la Table ronde. Or, selon Ra
39 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
65 Ni autour des habitations humaines. Il hante les déserts . Le chemin qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. (Traduction
66 ue Gottfried confesse qu’il a, lui aussi, erré au désert , mais sans y rencontrer la « récompense » de ses peines. (Il n’est pa
40 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
67 Nicolas. —  Oui ! Je fuirai bien loin, dans le désert , car je vois dans notre cité la violence et l’iniquité ! Je déclare d
68 itude, Solitude bien-aimée, Ô seule béatitude, Au désert je t’ai trouvée. Nicolas. —  Dorothée, je sais que tu m’aimes. Al
69   Voici, je fuirai bien loin, j’irai séjourner au désert . Car j’ai vu dans mon peuple la violence et le mépris des lois divine
70 ve.) Le chœur. Solitaire, où vont tes pas ? Au désert , ton orgueil s’égare ! Nicolas. —  Mon cœur tremble au-dedans de m
41 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
71 as. —  Heureux l’homme qui trouve sa paix dans le désert et la prière ! Haimo. —  Heureux l’homme qui préfère à sa paix le
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
72 grâce, et la « vive flamme d’amour » éclose aux «  déserts  » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut rien avouer. Il veut comme s’il n
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
73 eux-mêmes cèdent à la tentation. Les églises sont désertes et tombent en ruines… Les personnages les plus importants de ma terre
74 et Aillinn, ils se donnent rendez-vous en un lieu désert , où la mort les précède, empêchant leur réunion « car il était prédit
75 archétypique. Jésus est demeuré quarante jours au Désert . Les Hébreux ont erré pendant quarante ans entre l’Égypte et la Terre
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
76 Vraiment, comment se défendre de songer ici aux «  déserts  » de la Nuit obscure que décrit saint Jean de la Croix ? « Éloigne le
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
77 evalier du Serpent, Jean-Baptiste le chevalier du Désert , et les apôtres, les douze chevaliers de la Table ronde. L’ésotérisme
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
78 grâce, et la « vive flamme d’amour » éclose aux «  déserts  » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut rien avouer. Il veut comme s’il n
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
79 eux-mêmes cèdent à la tentation. Les églises sont désertes et tombent en ruine… Les personnages les plus importants de ma terre
80 et Aillin, ils se donnent rendez-vous en un lieu désert , où la mort les précède, empêchant leur réunion « car il était prédit
81 archétypique. Jésus est demeuré quarante jours au Désert . Les Hébreux ont erré pendant quarante ans entre l’Égypte et la Terre
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
82 Vraiment, comment se défendre de songer ici aux «  déserts  » de la Nuit obscure que décrit saint Jean de la Croix ? « Éloigne le
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
83 evalier du Serpent, Jean-Baptiste le chevalier du Désert , et les apôtres, les douze chevaliers de la Table ronde. L’ésotérisme
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
84 Ni autour des habitations humaines. Il hante les déserts . Le chemin qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. (Traduction
85 ue Gottfried confesse qu’il a, lui aussi, erré au désert , mais sans y rencontrer la « récompense » de ses peines. (Il n’est pa
51 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
86 ar du reste l’esplanade était sauvage, abrupte et déserte . Je n’oublierai cela de ma vie. Dans une anfractuosité du rocher, ass
52 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
87 e l’homme concret n’est pas le Robinson d’une île déserte , ni l’anonyme numéro d’un rang, mais qu’il est à la fois un être uniq
53 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
88 Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétisé
54 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
89 icaces de notre temps sont autant de cris dans le désert , alors ? Laissons les choses aller… Les clercs se consoleront de leur
90 e l’homme concret n’est pas le Robinson d’une île déserte , ni l’anonyme numéro d’un rang, mais qu’il est à la fois un être uniq
55 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
91 ar du reste l’esplanade était sauvage, abrupte et déserte . Je n’oublierai cela de ma vie. Dans une anfractuosité de rocher, ass
56 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
92 Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétisé
57 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
93 e m’est rendu ! 47. L’ordre social C’est au désert que le démon tenta le Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite
94 que le démon tenta le Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts
95 Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux q
96 , déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’espérance. I
58 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
97 é, Adam et Ève débouchent hors du Jardin, dans le désert au sol maudit. Pour avoir voulu dépasser l’état d’image divine et se
59 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
98 Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétisé
60 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
99 e m’est rendu. 63. L’ordre social C’est au désert que le démon tenta le Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite
100 que le démon tenta le Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts
101 Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux q
102 , déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’espérance. I
61 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
103 é, Adam et Ève débouchent hors du Jardin, dans le désert au sol maudit. Pour avoir voulu dépasser l’état d’image divine et se
62 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
104 Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert des hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétis
63 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
105 ge m’est rendu. 63. L’ordre social C’est au désert que le démon entra dans le Christ, c’est toujours aux déserts qu’il h
106 le démon entra dans le Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts
107 Christ, c’est toujours aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux q
108 , déserts de sables, d’eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’espérance. I
64 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
109 de l’étreinte, n’est-ce point le souvenir du seul désert que désormais nous chercherons ? Au terme de la fuite, nous ne touche
65 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
110 élève autour du massif du Gothard, invincible et désert , cœur mystérieux du continent, dernier symbole d’une liberté qui ne p
111 ient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte , aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’aime ! »
66 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
112 l s’accordait quelque répit, errait sur les quais déserts du port, ou gagnait les forêts qui avoisinent la capitale. Puis il se
67 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
113 films tournés à Hollywood. Aux toundras, steppes, déserts , pampas, glaciers, et jungles qui couvrent neuf dixièmes des continen
68 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
114 re dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mais sur le
115 rès sept ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte . Un rendez-vous dont j’avais bien souvent désespéré, après cet au rev
69 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
116 ubitement confrontée non plus avec sa nature, ses déserts , ses émigrés et ses Indiens, mais avec le monde entier organisé en gr
70 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
117 ient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte , aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’aime ! »
71 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
118 prit, l’une des entrées de la Voie négative et du Désert dont parlent les mystiques ? Homéopathie spirituelle : traitement par
72 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
119 ierre et dans les vestiges d’une civilisation qui déserte … Je me suis enfermé dans ma chambre d’hôtel et j’ai écrit pendant deu
73 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
120 lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétisé
74 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
121 poussière jaune, des châteaux sarrazins, le camp désert d’Argelès où furent rassemblés les débris de l’armée rouge d’Espagne,
122 rnée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts , et, dans le port, un petit bateau de guerre coulé à quai, coupé en d
75 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
123 ords. Vers une heure du matin, le square semblait désert . Une femme le traversa, toute seule, à grands pas, soulevant des gerb
124 prit, l’une des entrées de la Voie Négative et du Désert dont parlent les mystiques ? Homéopathie spirituelle : traitement par
76 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
125 foule, et les adieux sur l’avant-pont, seul coin désert , entre des paquets de cordage ; et ce départ enfin vers le silence, à
126 uenos Aires J’ai retrouvé l’Argentina, presque désert , et ses stewards qui me rappellent notre croisière du mois d’août, re
77 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
127 nt-Michel qui monte vers l’Observatoire. Elle est déserte et sombre. Pas un seul réverbère allumé. Et je comprends que jamais p
128 it s’installe sans bruit dans les bureaux presque déserts . Téléphone de Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se pas
129 films tournés à Hollywood. Aux toundras, steppes, déserts , pampas, glaciers et jungles qui couvrent neuf dixièmes des continent
78 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
130 ient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte , aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’aime ! »
79 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
131 l’hiver, un ouragan de neige horizontale, sur le désert des forêts canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute une nu
132 re dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mais sur le
133 rès sept ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte . Un rendez-vous dont j’avais bien souvent désespéré, après cet au-rev
80 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les cochons en uniforme ou. Le nouveau déluge
134 nie dans la baie de Bikini, petite île à peu près déserte du Pacifique. Parmi tous les détails publiés dans la presse sur les p
81 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
135 responsable des méfaits perpétrés par un lion du désert . Mais que Vichy ait pu tromper son monde en abusant, surtout aux prem
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
136 vers une porte qui s’ouvre ramène le bal dans mes déserts . (Elle est partie. — Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
137 enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage des trains chaqu
138 d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peupl
139 é d’être n’importe où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! tout
140 t en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert , je traçais des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité d
141 comparable à ce que les mystiques appellent leur désert , — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalit
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
142 les collines. Un grand verre de bière à l’auberge déserte , ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en re
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
143 une heure nous battions la semelle sur les quais déserts de ce port fantomatique, sans ville derrière lui, vaguement américain
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
144 ue, j’imagine, à un poste colonial aux limites du désert . Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ailleurs exc
145 re solitude. Et certainement c’était ici, dans ce désert , qu’il convenait d’entendre une telle musique et de la laisser se dép
146 ansformation. Ainsi de mon île : c’est d’abord un désert , et ensuite il m’apparaît que ce désert est habité par des hommes don
147 ’abord un désert, et ensuite il m’apparaît que ce désert est habité par des hommes dont la présence m’est plus concrète qu’ail
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
148 lanc de la colline, déjà dans l’ombre, paraissait désert . Nous nous sommes assis sur la terrasse, au pied d’un grand micocouli
149 vraie vie… Je suis assis dans un grand restaurant désert , près d’une baie qui donne sur « les flots », en plein soleil. Un peu
150 les hommes sont séparés par de grandes distances désertes  ? C’est un symbole. On peut en déduire facilement les deux formules d
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
151 ierre et dans les vestiges d’une civilisation qui déserte … Je me suis enfermé dans ma chambre d’hôtel et j’ai écrit pendant deu
152 Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L’envahisseur avait prophétisé
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
153 poussière jaune, des châteaux sarrazins, le camp désert d’Argelès où furent rassemblés les débris de l’armée rouge d’Espagne,
154 rnée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts , et, dans le port, un petit bateau de guerre coulé à quai, coupé en d
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
155 ords. Vers une heure du matin, le square semblait désert . Une femme le traversa, toute seule, à grands pas, soulevant des gerb
156 prit, l’une des entrées de la Voie Négative et du Désert dont parlent les mystiques ? Homéopathie spirituelle : traitement par
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
157 foule, et les adieux sur l’avant-pont, seul coin désert , entre des paquets de cordage ; et ce départ enfin vers le silence, à
158 uenos Aires J’ai retrouvé l’Argentina, presque désert , et ses stewards qui me rappellent notre croisière du mois d’août, ma
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
159 nt-Michel qui monte vers l’Observatoire. Elle est déserte et sombre. Pas un seul réverbère allumé. Et je comprends que jamais p
160 a ne se peut que dans une très grande ville ou un désert . Travail nocturne. Je dors un peu le matin ou l’après-midi. La femme
161 it s’installe sans bruit dans les bureaux presque déserts . Téléphone d’Henri Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui s
162 films tournés à Hollywood. Aux toundras, steppes, déserts , pampas, glaciers, et jungles qui couvrent neuf dixièmes des continen
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
163 ient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte , aux rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’aime ! »
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
164 t l’hiver, un ouragan de neige horizontale sur le désert des forêts canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute une nu
165 re dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mais sur le
166 rès sept ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte . Un rendez-vous dont j’avais bien souvent désespéré, après cet au rev
95 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
167 it s’installe sans bruit dans les bureaux presque déserts . Téléphone de Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se pas
96 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
168 accuser la ville de Lyon des méfaits d’un lion du désert , et Malherbe d’avoir consolé Duperrier — celui qui a perdu son procès
97 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
169 accuser la ville de Lyon des méfaits d’un lion du désert , et Malherbe d’avoir consolé Duperrier — celui qui a perdu son procès
98 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
170 uissent à peu près seuls au monde, tandis que les déserts , les volcans, les ouragans et les températures extravagantes menacent
99 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
171 de l’étreinte, n’est-ce point le souvenir du seul désert que désormais nous chercherons ? Au terme de la fuite, nous ne touche
100 1947, Doctrine fabuleuse. L’eau ou L’esprit de la tempête
172 s pour nos soifs, car l’assoiffé n’y trouve qu’un désert . C’est comme un feu. Mourir de soif dans l’eau de l’amertume, là où l